Saison 2009 / 2010 - Théâtre Le Public

Saison 2009 / 2010
Parce qu’il n’est qu’une passion, la vie,
l’avenir sera amoureux…ou ne sera pas.
Et parce que la vie invente, ce qui est jouissif, c’est d’inventer !
Inventer, créer, s’obstiner à inventer et à créer…voilà le plan de relance…
D’abord mettre l’imagination devant
Sortir, sortir, aller voir dehors
Tendre l’oreille
Aiguiser le regard
Caresser les idées
Eveiller les sens
Ensuite raconter, raconter le monde, poétiser
Jubiler, jouer, donner vie
interpréter,
mettre en jeux, représenter,
Rire et propager des ondes jubilatoires,
Et créer, donner vie, car la vie invente…
Aller, hop !
Par amour de la vie
Et pour l’amour de l’art
Venez voir… c’est beau à vivre !
Patricia Ide
Co-directrice
Michel Kacenelenbogen
Co-directeur
Voir conditions avantageuses sur les abonnements en p 10
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1. MISTER BATES
de Valérie Lemaître
Du 08/09 au 17/10/09 - Grande Salle - Création
Comédie satirique dans une multinationale.
Avec Claire Bodson, Monia Douieb, Ingrid Heiderscheidt, Michelangelo Marchese, Clément Thirion
Mise en scène Valérie Lemaître
« L’humanité n’a plus de prix, sauf si celle-ci peut rapporter… »
Hollybates. Une multinationale, avec succursales, marchés et profits faramineux, renommée internationale. Des cadres dynamiques,
compétents et polyvalents. Un monde impitoyable où la pression et le rendement sont de rigueur. Un monde brutal, violent, sans pitié. Un
microcosme puissant… et un PDG en plein burn-out ! Et c’est bien connu, quand le boss éternue, toute l’entreprise s’enrhume… !
Que se passe-t-il lorsque Monsieur Bates, Président Directeur Général de Hollybates, tombe en dépression, refuse de sortir de son bureau et
d’y laisser entrer ses collaborateurs ? Comment son équipe, qui n’a pour mot d’ordre que « la captation des richesses », va-t-elle régler cette
situation embarrassante ? Et finalement, que restera-t-il de cette crise entre un homme et un système de pensées ?
Au milieu de tous ces managers qui s’arrachent les places au soleil avec les dents, qui se déchiquettent et se dénoncent , entre leurs jeux de
séduction et de pouvoir, surgit une jeune femme : Rose…
Valérie Lemaître, auteure énervée, s’amuse et secoue le cocotier du business. Entre profits et stress, elle jongle avec dénonciation et moquerie,
anglais et français, constat et indignation… de la colère au rire, elle nous plonge au coeur de la guérilla d’entreprise.
UNE CREATION ET UNE PRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC
2. UBU À L’ELYSÉE (OU LE MARIAGE D’UBU)
de Claude Semal et Ivan Fox
Du 04/09 au 10/10/09 - Petite Salle - Reprise
Farce satirico-politico-déjantée.
Marionnettes, jeu et scénographie Claude Semal et Ivan Fox
Mise en scène Laurence Warin
Texte et musique Claude Semal
Vidéographie Tanguy Cortier
Comment le petit coq Ubu, Sénéchal de Pologne et de Hongrie, changea de femme et de pays pour devenir Président, s'acheter une nouvelle
Rolex et déclarer la guerre à la Suisse.
Comment il augmenta le pouvoir d'achat en doublant son salaire et en confondant la France qui se levait tôt avec celle qui se couchait tard.
Comment il se fit élire par les pauvres en ne fréquentant que les riches. Avec la participation exceptionnelle de Marla Caroni, Princesse de
Bologne, dans le rôle de madame Ubu.
Un spectacle de marionnettes multidisciplinaire, satirique et résolument sarcophage, (très) librement inspiré du personnage d'Alfred Jarry.
Une ironie décapante qui fait un bien fou !
UNE COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC, DU THEATRE DU CHIEN ECRASE ET DE LA CHARGE DU RHINOCEROS
3. L’INITIATRICE (SQUAT)
de Pietro Pizzuti
Du 09/09 au 31/10/09 - Salle des Voûtes - Création
Hommage aux femmes d’ici et d’ailleurs.
Avec Babetida Sadjo et Patricia Ide
Mise en scène Guy Theunissen
« Comprendre devrait se faire avant la loi. Comprendre suppose qu’on informe, qu’on débatte… pour admettre d’autres modes de pensées,
d’autres comportements, les accepter… ensemble… »
Dans un appartement vide dont elle a les clés, une femme blanche découvre une jeune femme noire, qui semble squatter.
Adama est la fille de Nura, jadis femme de ménage. Nura a été condamnée en Belgique pour avoir pratiqué l’excision.
Porteuse du projet, Babetida Sadjo a confié à Pietro Pizzuti le soin d’écrire le texte. Pièce sensible et délicate pour un sujet sensible et délicat,
qui évoque la tradition, la loi, les rites, les cultures, les peurs… Au cœur de la pièce, c’est l’excision. Mais c’est aussi le corps des femmes, la
sensualité, le mystère, la jouissance, l’érotisme, le plaisir…
« Est-ce qu’un homme peut comprendre ça ? Est-ce qu’un homme peut écrire ça avec pertinence ? Aujourd’hui en lisant les mots de Pietro, je
me dis que oui.
Il me reste à mettre en corps les mots que l’auteur a tracés.
Il me reste à mettre en mots deux corps de femmes, une belge et une africaine. Mystère et sensualité. »
UNE CREATION ET COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC ET DE LA MAISON EPHEMERE, COMPAGNIE THEATRALE
Guy Theunissen, metteur en scène
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4. HANSEL ET GRETEL
de Anne-Cécile Vandalem et Jean-Benoît Ugeux
Du 20/10 au 28/11/09 - Petite Salle - Accueil
Fable sucrée amère pour des noces pimentées.
Avec Selma Alaoui et Cédric Eeckhout - Mise en scène et conception Anne-Cécile Vandalem et Jean-Benoît Ugeux
Ils se mariaient pour le meilleur… et pour le pire ! Une journée de mariage traditionnelle, avec échange des anneaux, marche nuptiale de
Mendelssohn, apéritif au jardin, et table dressée dans les règles de l’art. Et bientôt, ce qui devait être une grande réjouissance se transforme en
un champ de bataille où les vraies victimes ne sont pas celles que l’on pensait. Allez savoir pourquoi…
A deux, mais entourés de téléviseurs qui figurent autant de convives, les acteurs explorent les possibles d’une situation aux multiples
rebondissements. Dans une mise en scène formidablement originale, cette pièce aborde, non sans une certaine dérision, l’ambiguïté des
rapports des individus à la loi morale… Une mise à nu incroyablement déjantée de la difficulté de s’aimer hors des codes communément admis.
Et là où les deux créateurs excellent, c’est dans la description de comportements qui, aussi dérisoires puissent-ils paraître, nous renvoient à
notre propre image. Vous reconnaîtrez-vous ?
UN PROJET DE LA COMPAGNIE DAS FRAULEIN EN COPRODUCTION AVEC LE THEATRE DE
LA PLACE - CENTRE EUROPEEN DE CREATION THEATRALE ET CHOREGRAPHIQUE - CENTRE DRAMATIQUE DE LA COMMUNAUTE FRANÇAISE WALLONIE-BRUXELLES. AVEC L’AIDE DE LA COMMISSION
CONSULTATIVE D’AIDE AUX PROJETS THEATRAUX, LE SOUTIEN DE THEATRE ET PUBLICS, L’AJC ET IMAL ET DE TECHNOCITE.
5. DOM JUAN
de Molière
Du 21/10 au 31/10/09 - Grande Salle - Reprise
Comédie mythique du plus célèbre des séducteurs.
Avec Jean-Michel Balthazar, Laurence d’Amelio, Serge Demoulin, Pierre Geranio, Pierre Haezaert, Nicolas Laine, Anabel Lopez, Olivier
Massart, Aurelio Mergola, Quentin Milo, Laura Sepul, Zaïre Souchi et Clément Thirion
Mise en scène Michel Kacenelenbogen
Personnage légendaire et archétype du libertin impie, Dom Juan défie toutes formes d’autorités, de règles, de morales.
Maître de la transgression, il nous entraîne à sa suite dans une quête obsessionnelle de la provocation. Infidèle, aventurier, Dom Juan utilise
mensonges, flatteries, usurpations, scandales, critiques, et nous plonge par ces thèmes au cœur de l’acte théâtral. Insolent libertin que rien
n’inquiète, ni son avenir sur cette terre, ni son salut dans l’autre monde, il accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles
nobles et les servantes avec le même succès…
Quand on s’inscrit contre toutes les valeurs bien pensantes d’une société, est-ce supportable ? Quel est le prix à payer ? Peut-on dire de
quelqu’un qu’il est vaincu quand il a renoncé à ses convictions ? Et d’où vient que cet « insolent blasphémateur » soit devenu au fil des siècles
ce « grand séducteur » ? Autres temps, autres mœurs ?... Pas si clair…
UNE CREATION ET COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC ET DU THEATRE DE LA PLACE AVEC L’AIDE DU CENTRE DES ARTS SCENIQUES
6. RAIN MAN
de Dan Gordon
Du 10/11 au 31/12/09 (Relâches 24 et 25/12)
Grande Salle - Création
Comédie dramatique adaptée du célèbre film de Barry Levinson.
Avec Jean-Michel Balthazar, Pierre Geranio, Damien Gillard, Freddy Sicx, Maria Del Rio et Aylin Yay
Mise en scène Michel Kacenelenbogen
A l’occasion du décès de son père, Charlie Babbitt apprend qu’il a un frère…et que ce frère va hériter de l’entièreté des 5 millions de $ que le
père a laissés !
Charlie veut récupérer sa part et s’en va donc à la rencontre de cet autre qui l’a spolié.
Homme d’affaire pressé, beau gosse, entreprenant et séducteur, Charlie rencontre Raymond, le frère caché, savant autiste, prisonnier des
rituels et des maniaqueries qui régissent son quotidien. Le « Rain Man » oublié de sa toute petite enfance.
De l’égoïste ou de l’autiste on serait bien en peine de savoir lequel des deux est le plus enfermé dans ses comportements.
Charlie va arracher le Rain Man à ses habitudes et à son médecin pour un long voyage vers Los Angeles. Voyage durant lequel il va devoir lui
aussi perdre ses habitudes et repenser ses certitudes.
Violemment, tendrement, deux hommes que rien ne semblait rapprocher entreprennent le long voyage qui mène à la fraternité : ils vont
s’apprivoiser, se reconnaître dans l’autre… pour que la routine et les logiques volent en éclats et que l’avenir prenne un autre visage. Voici
l’histoire peu banale de la relation entre deux hommes fermés au monde et d’où va naître la compréhension et le changement… une histoire de
notre époque, une émotion brute, violente, durable.
UNE CREATION ET COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC ET DU THEATRE DE NAMUR
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7.
STIB, SUITE DE TRAJETS INFRAHUMAINS BALISÉS
de Geneviève Damas
Du 11/11 au 31/12/09 (Relâches 24 et 25/12)
Salle des Voûtes - Création
Tram movie pour deux clowns bruxelloises et solitaires.
Avec Geneviève Damas et Isabelle Defossé - Mise en scène Janine Godinas.
Magda :
Eva :
Magda :
Eva :
Ça raconte quoi ?
Ça se passe à Bruxelles. C’est l’histoire de deux filles…Des célibataires. Enfin c’est compliqué à dire comme ça.
Ça me plairait ? Si je savais lire, ça me plairait ?
Je sais pas. Peut-être. Peut-être pas. Peut-être c’est
mieux que tu saches pas lire.
Elles habitent Bruxelles. Elles voyagent en transport en commun. Avec la STIB et De Lijn. Elles ne se connaissent pas mais, chaque matin,
elles prennent le même tram. À force, ça crée des liens…C’est sur la plate-forme de cet univers sur roues que Magda et Eva, telles deux
accords, vont se battre en duel, entrer en collision pour esquisser une mélodie.
C’est dans ce chaos miniature que l’une terminera la phrase que l’autre a commencé, qu’elles bricoleront un hymne d’amour à partir de
morceaux volés ici et là, que Geneviève Damas nous donne à déguster une tranche de réalité toute crue avec humour, cruauté, violence et
amour.
Léger, savoureux, vif et généreux, avec deux formidables comédiennes qui croquent deux filles qui croquent la vie comme elle vient !
UNE CRÉATION ET PRODUCTION D’ALBERTINE, DU FESTIVAL DE THEATRE DE SPA ET DE L’ATELIER THEATRE JEAN VILAR
8. UN JOUR, J’IRAI À NEW-YORK AVEC TOI
de Bruno Belvaux et Jean Lambert
Du 04/12 au 31/12/09 (Rel. 24 et 25/12) - Petite Salle - Reprise
Co-mélo-die entre un père et son fils.
Avec Olivier Darimont et Elie Belvaux
Texte et mise en scène Bruno Belvaux et Jean Lambert
Max a grandi à côté de ses parents assistant impuissant à leur séparation; malheureux sous sa couette, perturbé à l’école, mal partout…
Malgré tout, Max, 13 ans, a découvert la thérapie par le rire. Il a trouvé dans le piano un monde extraordinaire qui lui a permis de s’évader… Et
de rencontrer des tas de gens formidables : Audrey Hepburn, Jack Lemmon, une diva noire, Glen Gould, Chopin,… Avec tous il a parlé de la
vie, de serments, de loyauté, de femmes. Il aurait aussi bien voulu en parler avec son père Olivier mais Olivier n’a pas le temps, il doit trouver
une femme, il a quarante-neuf ans et le temps presse.
«Tragicomédie musicale, mélopéra ?», comment appelle-t-on en français un spectacle d’infinie tendresse qui réunit un père et son fils autour du
piano, du chant… de la ligne d’un sein et du galbe d’une hanche ? Un adulte, un enfant, un piano et deux guitares… Une soirée
particulièrement recommandée aux familles, toutes les familles : les familles composées, les décomposées, les recomposées, les papas
divorcés, les fistons délurés… Et les autres.
« ‘Un jour j’irai à New York’ avec toi ose offrir un vrai rôle à un garçon de 13 ans : Elie Belvaux. Aux côtés d’Olivier Darimont, le jeune et
étonnant comédien compose une tendre relation père-fils et questionne en passant le difficile métier de parent. »
(C. Makereel, Le Soir, Décembre 2008)
UNE CRÉATION ET COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC ET DU THEATRE DE NAMUR
9. JE VEUX QU’ON ME PARLE
de Louis Calaferte
Du 06/01 au 13/02/10 - Salle des Voûtes - Accueil
Voyage cirquestre en pays de Calaferte.
Avec Yaël Elhadad, Nicolas Gény et Roland Pichaud
Mise en scène Alain Timar
« Je suis une totalité de questions. Toutes doivent-elles avoir une réponse ? »
Bienvenue dans le grand cirque de la vie ! Deux hommes, une femme : trois frères humains, un peu bêtes, un peu méchants, médiocres
attachants et loosers magnifiques vous emportent dans leurs histoires où l'humour noir se mêle à la dérision, au sarcasme, au blasphème, à
l'autodérision, mais aussi à la fraternité et au sourire empathique… Si on se moque du constat de la réalité, c’est pour mieux éprouver une vraie
tendresse pour l’humain. C’est drôle, parfois tragique, quelquefois cynique, souvent comique, comme la vie quoi ! Alain Timar a tricoté,
entremêlé, coupé, recousu, plusieurs morceaux choisis de l’auteur contemporain Louis Calaferte.
« Les trois acteurs, tous formidables, mettent le public dans leurs farces, leurs confidences, leurs explosions et leurs dépressions. Drolatique et
cruel, hilarant et tragique, tout cela en même temps, ce spectacle a sans conteste les vertus décapantes du meilleur humour noir ! »
(Les Echos et La Marseillaise)
UNE PRODUCTION DU THEATRE DES HALLES, AVEC L’AIDE DU MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION (DRAC PACA), DU CONSEIL REGIONAL PACA, DU CONSEIL GENERAL DE VAUCLUSE, DE LA
VILLE D’AVIGNON
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10. L’ALLÉE DU ROI
de Françoise Chandernagor et Jean-Claude Idée
Du 07/01 au 20/02/10 - Grande Salle - Accueil
Seul en scène royal, ou les mémoires de la Marquise de Maintenon.
Avec Jacqueline Bir - Mise en scène Jean-Claude Idée
« Je ne mets point de borne à mes désirs. »
Sous la Régence, retirée à Saint Cyr après la mort du Roi, Françoise d’Aubigné, 84 ans, Marquise de Maintenon, revit seule son siècle de Louis
XIV, incarnant tour à tour plus de 100 personnages, changeant d’âge, d’aspect, de costumes, de perruques. Elle jongle avec les accessoires et
les souvenirs, avec nos cœurs et nos mémoires. Dans le personnage et le destin de la Marquise de Maintenon, qu’on surnomma « la belle
Indienne », se reflètent les aspects contradictoires du ‘Grand Siècle’, dissimulés sous l’apparence immuable de la majesté royale. À partir d’une
documentation considérable et en recourant aux nombreux écrits, souvent inédits, de Mme de Maintenon, Françoise Chandernagor a voulu
restituer le vrai visage de ce témoin intelligent et sensible. C’est à la découverte d’une femme belle avec esprit, ambitieuse avec dignité, secrète
avec sincérité, raisonnable avec passion, que nous entraîne « L’Allée du Roi ».
Pour la première fois au Public, vous applaudirez Jacqueline Bir dans ce rôle grandiose : « Une grande dame face à une autre grande dame.
Jaqueline Bir nous offre une Maintenon tout simplement humaine, révélant les joies et les blessures d’une femme née de rien qui essaya de
rester noble et honnête à une époque bien excessive. Chapeau bas Mesdames ! » (C. Makereel, Le Soir, 27/03/2008)
UNE CRÉATION ET PRODUCTION DU THEATRE ROYAL DES GALERIES
11. ENFANTILLAGES
de Raymond Cousse
Du 09/01 au 20/02/10 - Petite Salle - Création
Jeux d’enfants ; jeux interdits.
Avec Martin Staes-Polet - Mise en scène Véronique Dumont
« Je regardais derrière la serrure en montant sur une brique et Marcel regardait aussi derrière la serrure. En montant sur la brique avec Marcel
on regardait et on voyait… »
…Ils voyaient… une grosse bête pleine de poils !
Habillé comme un dimanche, un petit garçon nous raconte des morceaux de sa vie, dans son village avec son copain Marcel. De son récit
surgissent en bousculade une multitude de personnages : le curé, l’instituteur, le boucher, le facteur, la mère Michel et le père Lustucru…
turlututu.
L’enfant polisson, plein de malice et de questions, observe le monde et le raconte à sa façon de petit garçon : organique, comique, espiègle et
cruelle…
« Enfantillages », ce sont des souvenirs, mis en scène et en jeux par deux grands insolents, des artistes complices, qui vont se faire un malin
plaisir de nous conter l’enfance et son art de jouir de la vie en la créant.
Et dans cet immense poème à la liberté, l’auteur ne se contente pas de nous faire rire ; en manipulant les mots comme un virtuose, il « fugue »
comme personne et nous invite à partager un grand éclat de rire, un plongeon dans le bon vieux temps, le temps d’avant qu’on soit … grands.
UNE CREATION ET UNE PRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC
12. ANIMAL
Carte blanche
Du 23/02 au 03/04/10 - Salle des Voûtes - Création
Farce zoologique par et pour humanoïdes en cage !
De, par et avec : Donatienne Cappelle, Catherine Graindorge, Magali Pinglaut, Pietro Pizzuti, Virginie Thirion et
Laurence Vielle
Déloyaux animaux tristes, farceurs d’hominiens, humanoïdes, prétendants humains, prétentieux… Nous sommes de drôles d’animaux. Nous
exterminons à tirelarigot ce qui respire, à commencer par nos semblables, comme si notre évolution en dépendait. Peut-être en dépend-t-elle ?
Pensons l’impensable ! Déposons les réponses reçues, les réponses faites, ou connues. Posons questions, posons !
En arrivant, avons trouvé eau, air, terre et mer mirifiques d’agencement. Et nous voilà en partance, laissant aux générations que nous
enfantons benoîtement, la latrine à sec et bien emmerdée.En plein Holocène, nous qui peuplons de dépeupleurs le jardin originel, sommes
cause de la cinquième grande extinction des espèces… dont nous sommes.
Vers et pour quoi ?
À quoi bon notre finitude, si n’avons encore trouvé sens à la boucherie ? Ô notre farce pourquoi nous as-tu abandonnés ?
Posons questions, posons !
Eructons, tétons et tentons le diable d’animal en nous, derrière sa cage. Pour qu’il joue du violon, pète en piano et vocifère poétiquement sur
l’absence irrémédiable de silence. Faisons théâtre !
Le Public donne carte blanche à 6 humanoïdes fous de rage pour un spectacle fourrage !
UNE CREATION ET UNE PRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC
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13. AVALANCHE
de Tuncer Cücenoğlu
Du 02/03 au 03/04/10 - Grande Salle - Création
Fable métaphorique et poétique, cri contre le pouvoir despotique.
Avec Donatienne Decoster, Bernard Graczyk, Catherine Mestoussis, Henri Monin, Bernadette Riga, François Sikivie, Micheline Zanatta
et Rolf Biesmans - Mise en scène Isabelle Gyselinx
Dans la crainte du danger naturel d’avalanche, un village cerné de montagnes vit neuf mois sur douze figé dans un silence de mort qu’une
réglementation stricte impose aux habitants, afin de garantir la survie de toute la communauté. Une famille se retrouve confrontée à la situation
la plus redoutée : la jeune femme est sur le point d’accoucher avant le terme calculé. Ses cris et ceux du nouveau-né risquent de provoquer la
catastrophe…
Dans ce village, tous les rituels ont été créés depuis des siècles pour que les habitants se taisent, pour qu’ils ne s’expriment jamais. Jusqu’à ce
que l’un d’entre eux dise non. Non à l’avalanche, non aux traditions. D’abord tétanisés par la peur, la révolte qui les anime ensuite se révèle
aussi puissante que le sont les montagnes, le vent, le froid et la neige.
Si « Avalanche »est un cri d’espoir, une métaphore poignante de la quête de la liberté et d’une vie meilleure, la pièce n’en reste pas moins une
fiction où toute ressemblance avec des régimes totalitaires connus ou moins reconnus n’est sans doute pas toujours fortuite…
Un texte formidable dont l’auteur ne cesse de clamer que « celui qui ne se mêle de rien est responsable du désordre ».
A découvrir !
UNE CREATION ET COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC, DU THEATRE DE LA PLACE ET DU THEATRE DE NAMUR
14. LE RÊVE D’UN HOMME RIDICULE
de Dostoïevski
Du 03/03 au 03/04/10 - Petite Salle - Reprise
Récit initiatique, imaginaire et sidéral.
Avec Pierre Laroche - Mise en scène Sandrine Laroche
« Oui, l'homme a la vie dure ! Un être qui s'habitue à tout. Voilà, je pense, la meilleure définition qu'on puisse donner de l'homme.»
Un homme qui depuis toujours se trouve ridicule décide de mettre fin à ses jours pour trouver le néant. Une rencontre va cependant bouleverser
ses projets. Il s’endort et rêve de sa mort. C’est au travers de ce songe que notre désillusionné fera son chemin initiatique. A son réveil un
homme nouveau est né, et le voilà devant nous, fort de sa nouvelle vérité.
Toute la dimension fantastique, métaphysique de l’auteur se révèle dans ce texte puissant. Emouvant témoignage d’un personnage dont le
ridicule pose bien des questions sur nos croyances, nos combats… Emouvante obsession aussi d’un homme hanté par les mots de
Dostoïevski : Pierre Laroche, le père, mis en scène par Sandrine Laroche, la fille. Une même passion les unit pour Dostoïevski, la Russie, le
théâtre ; une association filiale pour créer sur la scène ce flambeau magnifique contre l’indifférence, cet hymne à l’amour, à la vie.
« Son Rêve d’un homme ridicule a la limpidité d’une fable mi-contée, mi-vécue, entre exaltation presque enfantine et sérénité, colorées de
malice et d’ironie. (…) Le rêve d’un homme ridicule ? Celui d’un artiste heureux. »
(M. Friche, Le Soir 28/01/09)
UNE CRÉATION ET COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC ET DU THEATRE DE NAMUR
15. LE RÉPÉTITEUR
de Françoise Courvoisier
Du 13/04 au 30/04/10 - Grande Salle - Création
Comédie théâtralo-musicale douce et légère.
Avec Gabriel Courvoisier, Patricia Ide, Antony Mettler, Pietro Musillo, Magali Pinglaut, Daniele Pintaudi
Mise en scène Françoise Courvoisier
Un pianiste compositeur un peu maudit devient, malgré lui, répétiteur et confident des chanteurs qu’il accompagne. Lui qui rêve d’entendre
interpréter ses œuvres par les grands orchestres symphoniques, gagne sa vie en faisant répéter Charlie le travesti qui chante Françoise Hardy
dans les bars, Marie, jolie soprano débutante et volage, ou Eva, sa mère, prestigieuse cantatrice et castratrice…Tous ces personnages
cherchent leur place et, entre incompréhensions et fous rires, au rythme des vingt-deux Arcanes majeurs du Tarot, « Le Répétiteur » interroge
nos choix de vie et pose, l’air de rien, quelques questions autour du hasard et de la destinée…
Une comédie douce et légère interprétée avec malice par une distribution belgo-suisse…
« Cette pièce met en scène les interrogations des artistes d’aujourd’hui, le tout sur un ton léger soutenu par des dialogues percutants, tout aussi
riches en musicalité que les compositions magnifiques du pianiste. »
(S. Monay, 20 minutes, 19/01/09)
UNE CRÉATION ET COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC ET DU THEATRE LE POCHE GENEVE
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16.
LA NUIT DU THERMOMÈTRE
de Diastème
Du 13/04 au 30/04/10 - Salle des Voûtes - Accueil
Comédie
Avec Kim Leleux et Simon Wauters
Mise en scène Sebastian Moradiellos
C’est la nuit. Une de ces nuits où il fait trop chaud pour dormir. Quand Lucie se relève pour aller boire, elle découvre sa mère inanimée sur le
canapé. Quand on est une jeune fille et qu’on découvre une mère inanimée, on est sensée faire quoi ? On lui retire ses chaussures, on appelle
le docteur. Et puis ? On appelle du renfort, par exemple son meilleur ami, Simon, qui lui, ne dort jamais…
« La nuit du thermomètre » raconte une nuit particulière : une nuit qui va rassembler dans un même temps et dans un même lieu toutes les
émotions et les contradictions nécessaires au passage de l’enfance à l’adolescence. Un événement dramatique finira pas se transformer en un
souvenir inoubliable, celui d’une première histoire d’amour.
« Rétrospectivement, faire vivre ces personnages a été pour moi un plaisir d’auteur incroyablement violent… je me sens un peu idiot en
l’écrivant mais je me suis terriblement attaché à ces deux enfants, à leur lucidité comique, leur innocence incrédule et leur quête de CocaCola.»
Une comédie inclassable où deux enfants qui n’osent s’avouer qu’ils s’aiment, parlent de la mort, de l’alcool, du sexe, de
la religion, de la solitude, du mensonge, de l’absurdité de l’existence… oui mais une comédie.
Diastème
UNE PRODUCTION DU COLLECTIF DES PASSEURS ET DU THÉÂTRE JARDIN PASSION
17. SANS AILES ET SANS RACINES
de Hamadi et Soufian El Boubsi
Du 13/04 au 08/05/10 - Petite Salle - Accueil
Histoires d’exils entre un père et son fils.
Avec Hamadi et Soufian El Boubsi
Texte, mise en espace et interprétation Hamadi et Soufian El Boubsi
Hamadi El Boubsi est le père. Soufian El Boubsi est le fils. Hamadi le père est un enfant de l’exil. Il débarque en Belgique à 7 ans dans les
bagages de ses parents… et se nourrit rapidement aux idéaux de démocratie, de liberté, de laïcité… Soufian le fils, lui, est né en Belgique où il
est chez lui avec ses attaches, ses repères et ses engagements.
Puisant à des instantanés précis de leurs vies, le père et le fils s’interrogent sur l’influence de la grande Histoire sur leur propre destin, sur la
migration, la religion, les origines, l’intégration, la condition de la femme, les rapports avec l’Occident…
De leur confrontation naîtra le dialogue. De leur dialogue naîtra notre réflexion.
Sans ailes et sans racines, c’est un dialogue entre un père et son fils sur la transmission de la mémoire et sur les choix de vie… des questions
qui sont de vrais enjeux aujourd’hui ! « Sans ailes et sans racines », c’est aussi l’Histoire de tous nos exils qui croise celle de tous les exilés.
Au Public nous avons eu un réel coup de cœur pour ce tête-à-tête magnifique !
« En cinquante minutes, la tension croît, l’émotion aussi, rythmées par les explosions vocales et les silences, les questions sans réponses, les
plongées introspectives, les corps qui se relâchent, avant de s’arc-bouter, dans un face-à-face longtemps différé. Une très belle rencontre pour
un débat essentiel ».
(M.Friche, Le soir, 12/02/09)
UNE COPRODUCTION DU THEATRE DE NAMUR, DE LA CHARGE DU RHINOCEROS ET DU THEATRE DE L’ANCRE
18. L’OMBRE
de Evgueni Schwartz
Du 05/05 au 26/06/10 - Salle des Voûtes - Création
Conte tragi-comique, irrévérencieux et décalé, sur le pouvoir.
Avec Benoît Verhaert, Lara Hubinont, France Bastoen, Philippe Résimont, Itsik Elbaz, Vincent Lécuyer...
Mise en scène Jasmina Douieb
Dans un pays mystérieux, un savant venu de l’étranger entreprend des recherches pour rendre les gens heureux. Il succombe aux charmes
d’une jeune princesse héritière autour de laquelle se trament mille machinations politiques. Naïf et trop sûr de lui, le savant demande à son
Ombre d’être son interprète auprès de sa bien-aimée. L’Ombre, insaisissable, menaçante, s’emploiera désormais à asseoir son pouvoir et à
prendre la place de son maître. Jusqu’où ira sa tyrannie… ? L’ombre dans un premier temps était pourtant si peu consistante !
« L’Ombre » est une épopée inspirée d’un conte d’Andersen et des années noires du XXème siècle. Elle aborde les origines mythiques qui
opposent l’Homme à sa part d’ombre. Une fable sur le pouvoir, l’utopie, la dictature et la rébellion qui s’inspire joyeusement du clown, du musichall et du guignol. Du grand théâtre populaire qui vise les cœurs et montre la nécessité d’agir et de combattre toutes les formes d’oppressions.
Un éclat de rire à la barbe des tyrans ! Un univers où coexistent réel et fantastique, ordinaire et miraculeux… Exactement comme dans la vie !
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UNE CREATION ET COPRODUCTION DE LA COMPAGNIE ENTRE CHIENS ET LOUPS, LE THEATRE LE PUBLIC, LE THEATRE DE NAMUR. AVEC L’AIDE DE LA CAPT
19. LE DIEU DU CARNAGE
de Yasmina Reza
Du 06/05 au 05/06/10 - Grande Salle - Reprise
Comédie ironique et féroce dans un salon bobo.
Avec Véronique Biefnot, Damien Gillard, Olivier Massart, Valérie Lemaître. Mise en scène Michel Kacenelenbogen
Ferdinand Reille a attaqué Bruno Houillé à l’aide d’un bâton et lui a cassé deux dents au cours d’une bagarre après l’école. Les parents du
blessé ont convié ceux de l’agresseur à leur domicile afin de résoudre l’affaire avec civisme.
Tout le monde est de bonne éducation et soucieux de faire preuve de tolérance… Mais bon, faut pas pousser le bouchon !
Yasmina Reza évoque avec jubilation nos paradoxes et les limites de nos discours éthiques et généreux ; petite scène de massacre ordinaire
entre adultes civilisés, toute la force de la pièce réside dans sa capacité à rendre audible la vacuité du monde moderne.
Un moment de théâtre drôle, cruel et jouissif servi par une formidable équipe d’acteurs, impatients d’entrer dans l’arène.
« Formidablement dirigés, les comédiens couvent avec maestria ce « dieu du carnage », démon qui sommeille en nous, brisant, quand il sort de
sa cage, tous nos beaux discours et nos remparts de bonne conscience. Les vrais visages se dévoilent et les failles de chaque couple
apparaissent. Le tout avec un humour féroce qui nous laisse pantois face à ce sublime carnage ! »
UNE CREATION ET COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC ET DU THEATRE DE NAMUR
(C. Makereel, Le Soir, Novembre 2008)
20. INTOX
DE MICHEL HUISMAN
Du 18/05 au 26/06/10 - Petite Salle - Création
Comédie cynique sur les infos et intoxs médiatiques.
Avec Guy Pion, Serge Demoulin, Laurence d'Amelio.
Mise en scène Michel Kacenelenbogen
« On va faire péter l’audimat ! Laisserons-nous l’impartialité de la presse devenir un simple mythe contrôlé par le Big Brother qui surveille tout,
et qui dirige les esprits selon ses besoins ? L’information, c’est le pouvoir, ne l’oublions pas. Et ce pouvoir, nous devons nous en servir ! »
En pleine guerre de succession pour la désignation d’un(e) nouveau(elle) Directeur(trice) à la tête d’une grande chaîne de télévision, un étrange
document arrive sur le bureau du Directeur général sortant. Ce document semble démontrer que la reprise de la guerre Israélo-palestinienne en
2000 a été déclenchée par un reportage truqué par « France 1 » et diffusé dans le monde entier.
Info ou intox ?!
« Intox », féroce, cynique et irrésistiblement drôle vous entraînera dans les coulisses de ces médias qui viennent jour après jour déverser la
bonne parole, chez vous, dans votre propre maison. Tout sera pesé, les dires et les non-dits. La manipulation par l’image, les reportages
truqués, les infos bidon, les intox en tous genres et les intérêts personnels de chacun. La raison contre l’émotion. Il n’y a pas de fumée sans
feu ? Allez savoir…
UNE CREATION ET COPRODUCTION DU THEATRE LE PUBLIC ET DU THEATRE DE L’EVEIL
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PALAIS DES BEAUX-ARTS
CONCERT DE CLAUDE SEMAL
Du 23/10 au 26/06/10 – Salle M
Concert
Avec Claude Semal
Quatre concerts exceptionnels de Claude Semal avec trois formidables musiciens, une poignée de nouvelles chansons et un «best of» de ses
plus grands succès d’estime pour joyeusement fêter ensemble son dixième album !
UNE CRÉATION THÉÂTRE DU CHIEN ECRASÉ / CHARGE DU RHINOCÉROS / THÉÂTRE LE PUBLIC
GILLES ET LA NUIT
DE HUGO CLAUS
Du 31/03 au 02/04/10 – Salle M - Reprise
Drame.
Avec Olivier Massart
Mise en scène Alexis Goslain
Hugo Claus ressuscite la verve théâtrale du monstre, un barbe bleue campé avec brio par Olivier Massart.
Seul face à ses juges, abandonné par ses amis et ses pairs, accablé par les familles de quelque cent quarante enfants qu’on l’accuse d’avoir
sauvagement assassinés, Gilles de Rais, Maréchal de France, répond avec mépris, colère et manipulation à ses Inquisiteurs.
UNE CRÉATION DU THÉÂTRE LE PUBLIC
LES MANGEUSES DE CHOCOLAT
DE PHILIPPE BLASBAND
Du 25/05 au 29/05/10 – Salle M - Reprise
Comédie.
Avec Claire Bodson, Jacqueline Bollen, Muriel Jacobs et Michèle Schor
Texte et mise en scène PHILIPE BLASBAND
Cacao torréfié, terrifiant cacao…
Voici l’histoire, dramatiquement drôle, de trois femmes boulimiques de chocolat, dans leur recherche pour en finir avec ce qui leur est devenu
une drogue quotidienne. Une thérapeute spécialisée les écoute…
UNE CRÉATION ET UNE PRODUCTION D’AUDIENCE PRODUCTION ASBL ET DU THÉÂTRE LE PUBLIC (BRUXELLES)
AVEC L’AIDE DU MINISTÈRE DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE, SERVICE DU THÉÂTRE (CAPT)
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Abonnement étudiant – 26 ans :
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POUR BÉNÉFICIER DE CES AVANTAGES :
- Soit vous appelez le 0800 / 944 44 (du lun. au ven. de 10h à 18h et le sam. de 14h à 18h) paiement par carte de crédit ou par virement sur
notre compte : 143-0680498-47 avec votre numéro de commande en référence.
- Soit vous passez à la billetterie du Public à partir du 04 avril, rue Braemt, 64-70, le mercredi de 10h à 18h et le samedi de 14h à 18h :
paiement cash, Bancontact ou carte de crédit.
Changement de vos réservations : au plus tard le jour même AVANT 17h et sous réserve des places disponibles.
N’entraîne aucun frais sauf si vous aviez déjà le ticket chez vous: il sera alors échangé à l’accueil le soir de la nouvelle date de
représentation et nous vous demanderons 1€ par nouveau ticket réimprimé.
Vous pouvez aussi céder votre place à une personne ayant droit au même tarif. Les places ne sont pas remboursables.
NB Des tarifs « spéciaux » étant pratiqués lors des soirées des 31/12/09 et 14/02/10, les abonnés peuvent utiliser les places de leur
abonnement moyennant un supplément, les formules dîners ne sont pas utilisables.
Le Théâtre Le Public vous accueille du mardi au samedi à partir de 18h30.
Il dispose d’une infrastructure de trois salles :
- Grande Salle (climatisée) : 300 places numérotées
- Salle des Voûtes (climatisée) : 160 places (placement libre)
- Petite Salle : 100 places (placement libre)
Heures des représentations:
Spectacles à 20h30 précises du mardi au samedi.
(Accès à la Grande Salle à partir de 20h10, accès à la Salle des Voûtes et à la Petite Salle à partir de 20h20.)
* sur votre abonnement 14 spectacles par rapport au prix/place
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