Dossier de presse
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création collective Les Brigades du Flore es -P d n i a m int- Ger a S t e r Caba rés sommaire distribution résumé note d’intention inspiration musicale l’équipe ça swing avec… contacts 02 03 04 06 07 10 11 distribution LA BANDE DU TABOU Cabaret Saint-Germain-des-Prés création collective collaboration artistique Jean-Marc Hoolbecq et Alexandre Delawarde coordinatrices Sol Espeche et Lorraine de Sagazan direction musicale Delphine Dussaux arrangements musicaux Jean-Pierre Gesbert chorégraphie Jean-Marc Hoolbecq scénographie Antoine Milian costumes Bruno Marchini lumière Charlotte Montoriol avec Claire Barrabès, Fiona Chauvin, Sol Espeche, Antonin Meyer-Esquerré, Pascal Neyron, Yoann Parize, Lorraine de Sagazan, Jonathan Salmon, Guillaume Tarbouriech piano Delphine Dussaux saxophone Lucas Gaudin percussions Cédric Barbier 02 coproduction le Studio d’Asnières, direction Hervé Van der Meulen et Jean-Louis Martin-Barbaz, et la Compagnie Narcisse Merci à Yveline Hamon et Jean-Pierre Gesbert pour l’idée originale qui a inspiré le spectacle résumé En racontant cette époque, nous parlons de la nôtre, de notre volonté de nous affirmer comme une génération porteuse d’idéaux saint-Germain-des-prés, 1950 La Bande du Tabou fait revivre le jazz, le be-bop et l’espoir d’un monde meilleur 03 Devenu le haut lieu à la mode, musiciens, auteurs, philosophes, cinéastes, peintres… s’y retrouvent dans l’effervescence d’après-guerre, guidés par le goût de la fête revenu. L’existentialisme cohabite avec le jazz américain, de nouveaux noms s’imposent (Prévert, Cosma, Ferré, Vian...), le foisonnement d’idées littéraires et artistiques marquera l’époque. La jeunesse d’après-guerre nous a fait rêver ; aujourd’hui elle nous inspire. Nous revisitons ces années pleines d’espoir où tout est possible, où tout reste ouvert. Comment nous, jeunes trentenaires, racontons ce club mythique qu’était le Tabou ? On vous accueille un verre tendu, le pop-corn éclatant, on se presse, on s’entasse, prêts à danser, boire, fumer, s’engueuler sur le cinéma ou sur les nouveaux penseurs. On jubile de la liberté retrouvée, et puis surtout, on chante ! Qui ? Sartre, Beauvoir, Vian, Gréco, Gainsbourg et les autres. Autant de figures emblématiques que vous verrez apparaître à mesure que le spectacle avance. La Bande du Tabou fait revivre le jazz, le be-bop et l’espoir d’un monde meilleur. note d’intention rendre hommage à la tradition du cabaret par l’enchaînement de numéros, de chansons et d’humour l’époque au-delà d’un simple un tour de chant, nous avons voulu construire une dramaturgie à partir d’une écriture collective 04 Tous issus de l’Ecole du Studio, nous nous sommes réunis avec l’envie de retravailler ensemble sur la période des années 50 à Saint-Germain-des-prés, sous la forme d’un cabaret. Nous plonger dans ces années d’idéal et d’effervescence nous a immédiatement passionnés. En racontant cette époque, nous parlons de la nôtre, de la volonté de nous affirmer comme génération intéressante, porteuse d’idéaux et d’une culture qui lui est propre. Nourris de Sartre, Beauvoir, Prévert, Gréco, Vian, Gainsbourg et des autres, nous avons redécouvert tout ce qui a fait de cette période un foisonnement de nouveautés et de créations émancipées. Nous avons travaillé sur des thématiques fortes de l’époque : le jazz, le cinéma, les existentialistes, la fascination pour les EtatsUnis, les medias, les contemporains des années 50 (auteurs, poètes, compositeurs). Nous avons d’abord choisi les chansons qui nous correspondaient et qui reflétaient notre manière d’entrevoir les années 50 à Saint-Germain-des-Prés… Puis, l’envie d’aller bien au-delà d’un simple tour de chant s’est rapidement imposée à nous. Nous avons voulu construire une dramaturgie solide à partir d’une écriture collective, et une mise en scène relevant davantage du théâtre que du récital. Nous nous sommes attachés à restituer l’essence d’une soirée dans la cave la plus célèbre de l’époque : Le Tabou. La forme Chaque acteur s’est donc vu attribuer une personnalité de l’époque autour de laquelle il a travaillé. De l’évocation simple à l’interprétation décalée et humoristique de chacun de nos personnages, nous avons joué avec ces figures pour construire une histoire. Le spectacle est un hommage à la tradition du cabaret (par la succession de numéros chorégraphiques ou humoristiques, de chansons…), tout en y apportant un ton résolument contemporain par des moments de pur théâtre et la construction d’un scénario drôle et intemporel. Des séquences plus intimistes, voire sombres, contrastent avec le rythme soutenu du cabaret, en surprenant toujours le spectateur. >> note d’intention Un fil rouge guide le spectateur : la dernière soirée au Tabou >> Au début de la représentation, c’est nous, jeunes trentenaires en 2012, qui nous proposons de raconter le Saint-Germain-des-Prés de l’après-guerre. Puis, progressivement, l’atmosphère de l’époque prend possession de la scène comme un révélateur photographique… Nous souhaitions que le spectateur puisse voyager des années 50 à aujourd’hui, qu’il pense au cinéma, au jazz, aux questionnements des jeunes philosophes et créateurs du Saint-Germain-desPrés d’alors, et à leur résonance actuelle. Un fil rouge guide le spectateur : la dernière soirée au Tabou. Nous avons imaginé ces derniers instants, leurs dernières folies, ivresses, joies, peines, les dernières chansons. C’est la fin d’un cabaret, d’une époque peut-être mais tout semble possible, et personne ne sombre dans la mélancolie. La lumière est tamisée, on se sent chez soi, sur scène comme dans la salle. 05 La scénographie, les lumières : Nous avons reconstitué un “Tabou idéal” : un véritable cabaret avec son bar, ses tables, son estrade pour musiciens et sa piste de danse. Certains détails trahissent volontairement le réalisme pour ouvrir un espace au rêve, à l’imaginaire : des costumes suspendus dans les airs, des objets insolites… La lumière est tamisée, on se sent chez soi, sur scène comme dans la salle. La démarcation scène salle est inexistante au début, et même si elle semble se dessiner au fil du spectacle, les acteurs-chanteurs restent toujours en lien avec le public et les interactions entre l’un et l’autre ne se perdent jamais. Le cabaret finit comme il commence : à l’entrée nous accueillons le public, nous l’installons, puis à la fin nous ouvrons les portes, le raccompagnons vers la sortie, près à renouveler le rendez-vous. Le projet n’a cessé d’évoluer, pendant toute la durée des répétitions, jusqu’à la première. Il y a, à chaque représentation, un espace de liberté et une part laissée à l’improvisation. Un véritable work in progress à travers lequel nous apprenons à nous construire en tant qu’artiste par le prisme de ces figures qui nous animent. inspiration musicale Un fil rouge guide le spectateur : la dernière soirée au Tabou La musique d’après-guerre L’après-guerre de 40, c’est l’âge d’or de la chanson en France, parce qu’elle bénéficie d’un concours de circonstances favorables : le développement du microphone élargit le champ des interprètes et le disque microsillon élargit celui des auditeurs. La tradition de la chanson réaliste et celle de l’opérette sont encore très vivantes : Piaf remplit les salles, Francis Lopez aussi – mais c’est plutôt rive droite. Boris Vian, un auteur, un musicien, un compositeur et un passionné de jazz 06 Par ailleurs, des auteurs de grande qualité littéraire, Mac-Orlan, Prévert, Aragon, Queneau, Sartre, ne dédaignent pas d’être mis en musique, et parallèlement, des auteurs-compositeurs, auteursinterprètes, voire auteurs-compositeurs-interprètes de forte personnalité prennent leur envol : c’est Ferré, c’est Brassens, c’est Brel, c’est Aznavour ; des complicités étroites se créent – Joseph Kosma avec Prévert, par exemple. Le jazz commence à sortir d’un cercle étroit d’initiés et à toucher un public plus large ; Aznavour ne s’y est pas trompé, qui a adapté en français nombre de succès anglo-saxons. Il y a Juliette Gréco, qui par sa personnalité fascinante et sa curiosité éclectique tisse des liens entre ces univers. Et puis il y a Boris Vian. Vian, c’est un peu tout cela : un véritable auteur, qui pendant ses dernières années s’est passionné pour cette forme ramassée d’écriture qu’est la chanson. Un vrai musicien, qui a su à la fois établir des complicités avec des compositeurs de grand talent, Alain Goraguer, Jimmy Walter, Michel Legrand, Henri Salvador, et au besoin se muer lui-même en compositeur. Un passionné de jazz, qui a fait connaitre en France Duke Ellington, Miles Davies et bien d’autres, et qui a brisé les barrières entre chanson traditionnelle et jazz. Un personnage emblématique enfi n, doté d’une curiosité insatiable, d’une imagination foisonnante, d’un énorme appétit de vivre, d’un sens de la surprise et de la provocation jamais démenti, héraut du politiquement incorrect dont Serge Gainsbourg est le fils spirituel. Comment s’étonner alors que dans notre Saint-Germain-des-Prés de l’après-guerre visité en rêve par une bande de jeunes comédiens-chanteurs-danseurs pleins d’appétit de vivre, de jouer, de chanter et de danser, ce soit Boris Vian qui se taille la part du Lion ? l’équipe Claire Barrabès (françoise ) Claire a travaillé sous la direction de J.-L. Martin- Barbaz, Hervé Van der Meulen, David Sztulman au CFA des Comédiens. En 2010, elle joue sous la direction de René Loyon dans Dom Juan de Molière, puis dans Les Fourberies de Scapin de Molière dirigé par Vincent Tavernier. Elle a écrit la pièce Dis Camion (texte soutenu par le CNT et la Chartreuse) dans laquelle elle jouera dans une mise en scène de Sidney Meheleb. Cédric Barbier (batterie ) les neuf comédiens : « nous avons tous été formés à l’Ecole du Studio, où nous sous sommes rencontrés » 07 Il joue dans des orchestres et ensembles tels que l’Opéra de Dijon, La Camerata de Bourgogne, L’Ensemble XXI, L’Orchestre Ostinato, Aeolus brass band... Il y interprète un répertoire varié (Mozart à Messiaen, Berlioz, Prokofiev, Ravel, Bizet…) En 2010 Cédric Barbier intègre le pupitre de percussion du Paris Brass Band. Il a enregistré avec des solistes comme Steven Mead, Alexis Demailly et Bastien Baumet. Fiona Chauvin (zazie ) Au CFA, Fiona joue dans La Cerisaie et Le Dépit Amoureux mis en scène par J-L Martin-Barbaz. Elle travaille également avec Benoit Seguin, Laëtitia Guédon, Sol Espeche, Fabio Alessandrini… A 18 ans, elle tourne pour la télévision avec Jean-Louis Lorenzi dans deux téléfilms sur la Seconde Guerre Mondiale, pour France 2. Depuis elle a joué dans Bref (Canal +) et Pop Redemption au cinéma. Antonin Meyer-Esquerré (jean-paul) Après l’Ecole du Studio, Antonin intègre le CNSAD, il travaille avec Didier Sandre dans Avant/ Après de Shimmelpfennig, Alfredo Arias dans Le lézard noir de Mishima, Nada Strancar dans Rodogune de Corneille… En 2012, il joue dans Rhinocéros de Ionesco dirigé par Caroline Guita, puis dans Maison d’Arrêt de Bond dirigé par Aymeline Alix. Depuis, Antonin travaille avec Hélène Poitevin dans Silence, travail. Il jouera le rôle principal de la pièce L.C.R.C.G. au Théâtre 13 / Seine la saison prochaine. l’équipe Delphine Dussaux (piano) Elle obtient 4 premiers prix au CRR de Boulogne-Billancourt (piano, accompagnement, musique de chambre...), intègre le CNSM de Lyon, puis celui de Paris en accompagnement vocal. Elle est aussi chef de chant à des productions lyriques (Carmen, Le Barbier de Séville, Les Mamelles de Tirésias, L’Opéra de Quat’Sous). Titulaire du DE d’accompagnement, elle est pianiste accompagnatrice au CRR de Boulogne-Billancourt. Elle a été chef d’orchestre pour l’opéra René L’Enervé mis en scène par Jean-Michel Ribes au Théâtre du Rond-Point. Sol Espeche (juliette ) Sol a joué sous la direction de Paul Desveaux, Pauline Bureau, Adrien Melin, Pierre-Marie Baudoin, Rafael Spregelburd, Hervé Devolder, Alexandre Delawarde… En 2011, elle joue dans le Festival In d’Avignon, dans L’Entêtement, sous la direction de Marcial Di Fonzo Bo qu’elle assiste ensuite à la mise en scène de Lucide au Théâtre Marigny. En 2012, Aurélie Van Den Daele l’engage dans Top Girls de C. Churchill et Peggy Pickit de Schimmelpfennig. Sol a écrit et mis en scène la pièce Là-bas, c’est bien aussi au Lavoir Moderne Parisien. Lucas Gaudin (saxophone ) des numéros chorégraphiques ou humoristiques, des chansons et des moments de pur théâtre 08 À 20 ans, il entre au conservatoire de Boulogne-Billancourt (classe de Jean-Michel Goury). Après son Diplôme d’Études Musicales en 2008, il intègre le cycle du “pôle supérieur”. Il obtient parallèlement une licence de musicologie à La Sorbonne. Il joue dans de nombreux ensembles de musique de chambre et se spécialise dans le jazz. Jean-Marc Hoolbecq (chorégraphies) Jean-Marc signe ou co-signe des créations chorégraphiques pures (La Sœur écarlate, Un Ciel de traîne, Nocturne urbain…), mais il associe aussi son travail chorégraphique aux mises en scène : Jean Rochefort (L’Histoire du Soldat), Marcel Bozonnet (La Princesse de Clèves), Jacques Rebotier (Réponse à la question précédente), Paul Desveaux (Elle est là), Jacques Lassalle (La Danse de mort, Rue de Babylone, Il Campiello…), Denis Podalydès et Frédéric Bélier-Garcia (Le Mental de l’équipe), et de façon fidèle auprès de Jean-Louis Martin-Barbaz, Hervé Van der Meulen, Caroline Marcadé... Il est également acteur et joue dans Max va à l’opéra de Max Charruyer, L’Homme de leur Vie de Jonathan Kerr et Brocéliande d’Yveline Hamon. Puis il met en scène Le Chien du Jardinier de Lope De Vega. l’équipe Pascal Neyron (boris) Pascal a joué dans Le Bourgeois Gentilhomme de Molière mis en scène par Laurent Serrano, qui l’a également dirigé dans le cabaret Les élans ne sont pas toujours des animaux faciles. Au CFA il a joué dans La Boîte à Joujoux (spectacle jeune public dansé) et La Dame de chez Maxim, tous deux mis en scène par Hervé Van Der Meulen. Il joue dans Les Tortues viennent toutes seules de Denise Bonal (m.e.s. JL Martin-Barbaz). Yoann Parize (serge ) Formé au CFA des comédiens, Yoann joue dans Cook de Giraudoux m.e.s. par Patrick Simon, La Dame de Chez Maxim de Feydeau, Les Trentre Millions de Gladiator de Labiche et Les Mamelles de Tirésias d’Apollinaire m.e.s. Hervé Van der Meulen. Parallèlement à sa carrière de comédien, il met en scène Melquiot, Molière, Shakespeare et récemment Pirandello dans le festival “Lakapsule” dont il est directeur, en Picardie. Il joue dans la websérie ESO (CowProd). De l’évocation simple à l’interprétation décalée et humoristique de chacun de nos personnages, nous avons joué avec ces figures pour construire une histoire 09 Lorraine de Sagazan (simone ) Après l’Ecole Périmony et le CFA des comédiens, Lorraine travaille sous la direction d’A. Delawarde dans Joueurs, Benoît Lambert dans Badine 2.0, D. Klockenbring dans Le Misanthrope, L. Guédon dans Le Médecin Malgré lui, Émilie Vandenameele et Hélène François dans Casimir et Caroline, Aurélie Van Den Daele dans Peggy Pickit… Elle a aussi joué Marie-Antoinette dans un docufiction. Lorraine double régulièrement pour la télévision. Elle a écrit et mis en scène Ceci n’est pas un rêve pour les Mises en Capsule (2012) du Ciné 13. Jonathan Salmon (jacques) Il travaille dans une dizaine de pièces dans le cadre du CFA des comédiens, avec J.-L. Martin-Barbaz, Patrick Simon, Jean-Marc Hoolbecq, Hervé Van der Meulen... Puis il rejoint le Groupe ACM et joue le spectacle Qu’est-ce qu’on va faire de toi (au Théâtre Main d’œuvre). Il joue sous la direction d’Olivier Letellier, Agathe Alexis et plus récemment Quentin Defalt au Théâtre de l’Atelier dans La Reine des Neiges. Guillaume Tarbouriech (marcel) Guillaume suit une double carrière d’acteur et collaborateur artistique avec Patrick Simon (auprès de qui il monte 5 pièces), Laëtitia Guédon, Jean-Louis Martin-Barbaz… Il joue aussi sous la direction de Jean-Louis Bihoreau, Stéphane Druet, Jean-Philippe Albizatti, Remy Pedvilla, Yveline Hamon… Il tourne dans Epuration de J-L Lorenzi pour France 2. Guillaume a mis en scène Quand la viande parle de B. Allain. ça swing avec… « À Saint-Germain-des-Prés paroles et musiqe de Guy Béart Maintenant que tu vis A l’autre bout d’Paris Quand tu veux changer d’âge Tu t’offres un long voyage Tu viens me dire bonjour Au coin d’la rue Dufour Tu viens me visiter A Saint-Germain-des-Prés Il n’y a plus d’après A Saint-Germain-des-Prés Plus d’après-demain Plus d’après-midi Il n’y a qu’aujourd’hui Quand je te reverrai A Saint-Germain-des-Prés Ce n’sera plus toi Ce n’sera plus moi Il n’y a plus d’autrefois Tu me dis « Comme tout change ! » Les rues te semblent étranges Même les cafés-crème N’ont plus le goût qu’tu aimes C’est que tu es une autre C’est que je suis un autre Nous sommes étrangers A Saint-Germain-des-Prés Il n’y a plus d’après A Saint-Germain-des-Prés Plus d’après-demain Plus d’après-midi Il n’y a qu’aujourd’hui Quand je te reverrai A Saint-Germain-des-Prés Ce n’sera plus toi Ce n’sera plus moi Il n’y a plus d’autrefois A vivre au jour le jour Le moindre des amours Prenait dans ces ruelles Des allures éternelles Mais à la nuit la nuit C’était bientôt fini Voici l’éternité De Saint-Germain-des-Prés Il n’y a plus d’après A Saint-Germain-des-Prés Plus d’après-demain Plus d’après-midi Il n’y a qu’aujourd’hui Quand je te reverrai A Saint-Germain-des-Prés Ce n’sera plus toi Ce n’sera plus moi Il n’y a plus d’autrefois A Saint-Germain-des-Prés Les chansons du cabaret Adrienne J. Prévert / C. Verger Ah ! si j’avais un franc cinquante M. et J. Schonberger C’est le be-bop B. Vian / J. Diéval Chambre 33 R. Vitrac / Y. Spanos Déshabillez-moi R. Nyel / G. Verlor Fais-moi mal B. Vian 10 Il n’y a plus d’après G. Béart Le jazz band L. Ferré J’aime pas B. Vian / B. Vian et C. Laurence Les nuits d’une demoiselle C. Renard / G.Breton Je m’aime B. Vian / A.Goraguer Si tu t’imagines R. Queneau / J. Kosma Je voudrais pas crever B. Vian / C. Vence Strip-rock B. B. Vian / A. Goraguer J’suis snob B. Vian / J. Walter Talkie walkie S. Gainsbourg La java des bombes atomiques B. Vian / A. Goraguer Trompette d’occasion B. Vian / H. Salvador Le déserteur B. Vian / B. Vian et H. Berg Une bonne paire de claques B. Vian / H. Salvador contacts Les Brigades du Flore Administration et production déléguée Alexandre Delawarde Compagnie Narcisse Théâtre 16 rue Cino Del Duca – 92200 Neuilly-sur-Seine (répondeur) : 09 81 62 04 61 – fax : 09 56 13 91 42 [email protected] SIRET 489 129 478 00033 APE 9001Z Arts du spectacle vivant TVA FR 91 489 129478 licence 2-1060875 Diffusion Olivier Talpaert En Votre Compagnie [email protected] 06 77 32 50 50 Régie générale Charlotte Montoriol – 06 84 00 25 34 [email protected] 11 Coordinatrion Sol Espeche – 06 71 61 02 78 Lorraine De Sagazan – 06 61 75 42 28 [email protected] conception graphique : Sabine Bouffelle / [email protected] crédits photos : © Sabine Bouffelle