La fièvre acheteuse Il touche davantage les

La fièvre acheteuse
Il touche davantage les femmes que les hommes, les
adultes que les adolescents. Il y a les acheteurs compulsifs,
ceux qui culpabilisent, ceux qui n’ont pas les moyens…
Joies et misères d’une drôle d’addiction.
Seul ou accompagné, pour célébrer un examen, un
anniversaire ou par simple envie d’acheter quelque chose
d’utile. Ou de superflu. Pas étonnant que la carte de crédit
glisse de façon magique du portefeuille pour atterrir
directement dans les mains de la caissière. C’est tellement
simple, en une fraction de seconde, le tour est joué !
Le plaisir d’acheter se transforme alors en une véritable dépendance qui peut
générer, pêle-mêle, culpabilité, honte, stress, problèmes dans les relations sociales
et professionnelles, malaises au sein du couple et de la famille ou graves difficultés
financières.
On fait du shopping par nécessité (« j’achète utile »), par pur hédonisme (« J’achète
pour le plaisir »), pour suivre la mode (« j’achète pour être branché ») ou bien pour
soulager un problème inconscient (« j’achète pour combler un manque», « j’achète
pour me remonter le moral » etc…).
La « fièvre acheteuse » féminine concerne en premier lieu les vêtements, suivis des
produits cosmétiques, des chaussures et des bijoux, tous ces objets ayant trait à
l’image. Les hommes, en revanche, privilégient tout ce qui symbolise pouvoir et
prestige : téléphones et ordinateurs portables, équipements sportifs…
Lisez l’article sur la fièvre acheteuse. Trouvez des mots ou des expressions dans le
texte qui correspondent à ces définitions.
Exemple :
ceux qui sont accros à l’achat – les acheteurs compulsifs
quelque chose dont on n’a pas besoin
un mélange confus de choses
sentiment d’inquiétude ou de tension
le surendettement
motivation économique par la recherche du maximum de satisfaction par le minimum
d’efforts
6. à la mode
7. faire en sorte qu’une lacune disparaît
8. attribuent une importance particulière
1.
2.
3.
4.
5.