Table des matières

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Sommaire................................................................................................................................................5
Avant-propos......................................................................................................................................7
Didier Guével
Professeur de droit privé, Doyen de la Faculté de Droit, Sciences politiques
et sociales de l’Université Paris 13 Sorbonne Paris Cité
Propos introductifs.......................................................................................................................9
Céline Bloud-Rey
Jean-Jacques Menuret
Maîtres de conférences à la Faculté de Droit,
Sciences politiques et sociales de l’Université Paris 13 Sorbonne Paris Cité
Thème 1.
La réforme du Conseil supérieur de l’audiovisuel
par les lois du 15 novembre 2013 : annonce
d’un bouleversement à venir ?.................................................................................11
La place du Conseil supérieur de l’audiovisuelau sein
des autorités administratives indépendantes....................................................13
Jean-Jacques Menuret
Maître de conférences de droit public à la Faculté de Droit,
Sciences politiques et sociales de l’Université Paris 13 Sorbonne Paris Cité,
membre du Centre d’études et de recherches administratives
et politiques (EA 1629)
I. Une autorité garante de l’exercice de la liberté de communication
audiovisuelle...................................................................................................................16
A. Une autorité pérennisée en raison de sa mission d’ordre
constitutionnel.........................................................................................................17
Le droit de la régulation audiovisuelle et le numérique
B. Une autorité devant faire face à un constant volontarisme
politique......................................................................................................................19
II. Une autorité désormais armée pour assurer une mission
de régulation économique ?..................................................................................22
A. Une autorité réformée dans son statut et ses procédures......................23
B. Une autorité dotée de peu de pouvoirs nouveaux.......................................27
L’attribution de la personnalité morale au Conseil supérieur
de l’audiovisuel.................................................................................................................................33
Jean-Pierre Camby
Professeur associé à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines
Les finalités de l’attribution de la personnalité morale
au Conseil supérieur de l’audiovisuel..........................................................................43
Sébastien Martin
Maître de conférences de droit public à l’Université de Bordeaux,
membre du Centre de recherches en droit européen et international (CRDEI)
I. Les finalités affirmées de l’attribution de la personnalité
morale au CSA................................................................................................................47
A. Une attribution de la personnalité morale au CSA
sans effet sur l’indépendance.............................................................................48
B. Une attribution de la personnalité morale au CSA
réorganisant l’exercice de contrôle.................................................................51
II. Les finalités induites de l’attribution de la personnalité
morale au CSA................................................................................................................53
A. Une attribution de la personnalité morale au CSA
accentuant la responsabilité de l’autorité...................................................53
B. Une attribution de la personnalité morale au CSA
favorisant le détachement à l’égard de l’État.............................................55
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Table des matières
La séparation des fonctions dans la procédure de sanction
du Conseil supérieur de l’audiovisuel .......................................................................59
Hubert Delzangles
Professeur de droit public à l’Institut d’études politiques de Bordeaux,
membre du Centre de recherches en droit européen et international (CRDEI),
Université de Bordeaux
I. Le renforcement de l’impartialité du pouvoir de sanction
du CSA.................................................................................................................................65
II. L’hétérogénéité des solutions envisagées......................................................67
III.Le CSA est-il un nouveau modèle d’impartialité
dans le domaine des sanctions ?........................................................................70
La nouvelle composition du Conseil supérieur de l’audiovisuel.......75
Guillaume du Puy-Montbrun
Chargé de mission auprès du Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel
L’activité normative du Conseil supérieur de l’audiovisuel
est-elle appelée à changer ?...............................................................................................83
Anne Penneau
Professeur de droit privé à la Faculté de Droit, Sciences politiques et sociales
de l’Université Paris 13 Sorbonne Paris Cité, membre de l’Institut de recherche
pour un droit attractif (EA 3970)
I. L’encadrement des pouvoirs normatifs du CSA par la loi :
la continuité imposée................................................................................................85
A. Les pouvoirs normatifs du CSA portant sur aspects techniques
de la diffusion.........................................................................................................86
B. Le pouvoir règlementaire du CSA afférent aux aspects qualitatifs
de la diffusion.........................................................................................................87
1. Le pouvoir de recommandation............................................ 88
2. Le domaine de la recommandation........................................ 90
II. Au-delà des termes de la loi, la régulation par des chartes
et labels sous l’égide du CSA : un changement à cadrer......................91
A. La montée en puissance de la régulation par les chartes
et labels au XXIe siècle........................................................................................92
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Le droit de la régulation audiovisuelle et le numérique
B. Les labels du CSA...................................................................................................94
1. L’activité de certification au regard du régime légal du CSA...... 94
Le contrôle de l’activité du Conseil supérieur de l’audiovisuel.........99
Benoît Delaunay
Professeur de droit public à l’Université Paris 2
I. Un contrôle exemplaire de la qualité d’autorité indépendante
reconnue au CSA...........................................................................................................100
A. Les insuffisances du contrôle de légalité.....................................................100
1. Les manques du pouvoir de réglementation............................ 100
2. Les correctifs du pouvoir de sanction.................................... 102
B. Les perspectives du contrôle de responsabilité..........................................104
1. La mise en cause de la responsabilité.....................................................104
2. La mise en œuvre de la responsabilité................................... 105
II. Un contrôle exemplaire de la qualité du pluralisme
démocratique garantie par le CSA......................................................................106
A. Le contrôle de l’exercice du pluralisme démocratique.............................106
1. Le contrôle général de l’expression pluraliste.......................... 106
2. Le contrôle spécifique du temps de parole des autorités
politiques......................................................................... 107
B. L’exercice pluraliste du contrôle démocratique ........................................109
1. Le contrôle parlementaire................................................... 109
2. Au-delà du contrôle parlementaire ?..................................... 111
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Thème 2.
L’évolution du droit de l’audiovisuel face aux mutations
technologiqueset aux enjeux économiques...........................................113
L’évolution du droit de l’audiovisuel face au spectre
radioélectrique..................................................................................................................................115
Céline Bloud-Rey
Maître de conférences de droit privé à la Faculté de Droit, Sciences politiques et
sociales de l’Université Paris 13 Sorbonne Paris Cité, membre de l’Institut
de recherche pour un droit attractif (EA 3970),
membre du LABEX Industries culturelles et création artistique
I. La refondation de la législation audiovisuelle...........................................118
A. Une réforme annoncée...........................................................................................118
B. Une réforme graduelle..........................................................................................120
II. L’impact du spectre sur le devenir de la législation audiovisuelle..... 123
A. Le spectre, un élément déterminant de l’évolution de l’audiovisuel..124
B. La gestion de la rareté du spectre et l’action déterminante
de l’ANFR...................................................................................................................127
Nouvelles missions et nouveaux pouvoirs du Conseil supérieur
de l’audiovisuelen lien avec le numérique..........................................................131
Véronique Mikalef-Toudic
Maître de conférences de droit privé HDR à l’Université de Caen Basse-Normandie,
membre de l’institut Demolombe (EA 967) et membre associé de l’Institut de recherche pour un droit attractif (EA 3970)
I. Les missions et pouvoirs du CSA en matière de services de médias
audiovisuels à la demande.....................................................................................133
A. Les nouvelles obligations des SMAD..............................................................134
1. Obligations de contribution financière.................................. 135
2. Obligations de mise à disposition et d’exposition.................... 136
3. L’obligation de déclaration.................................................. 138
B. La mise en œuvre par le CSA du contrôle des SMAD..............................139
1. L’identification des SMAD.................................................... 139
2. La répartition des tâches entre éditeur et distributeur............. 140
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Le droit de la régulation audiovisuelle et le numérique
3. Les modes de mise à disposition des programmes.................... 141
4. La délimitation des services proposés par un même éditeur...... 141
5. Le poids des obligations pesant sur les SMAD par rapport
aux services linéaires......................................................... 143
II. L’évolution souhaitée par le CSA en matière de communication
audiovisuelle numérique..........................................................................................144
A. La reconnaissance des services numériques comme acteurs
de la communication audiovisuelle...................................................................144
B. L’amélioration du régime des SMAD................................................................145
Quelques enjeux de régulation pour les industries de contenus
à l’ère numérique............................................................................................................................149
François Moreau
Professeur d’économie à l’Université Paris 13 Sorbonne Paris Cité,
membre du Centre d’Économie de l’Université Paris Nord (UMR n° 7234
CNRS-UP13), membre du Labex Industries Culturelles et Création artistique
I. Trois fondements des industries de contenus
dans la période pré-numérique….......................................................................149
II. ...remis en cause par le numérique...................................................................152
III.Enjeux en termes de régulation...........................................................................155
Les opérateurs économiques face à l’extension de la régulation
audiovisuellepar le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
le cas de la société Orange...................................................................................................159
Carole Cunéo
Directrice du pôle magazines, Orange France Direction Divertissements
et nouveaux usages
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Quelle place pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel
face à l’Autorité de la concurrence et à l’Autorité de régulation
des communications électroniques ?..........................................................................165
Laurence Calandri
Maître de conférences de droit public HDR à l’Université Toulouse 1 Capitole,
membre de l’IDETCOM (EA 785)
I. La numérisation des contenus audiovisuels, révélatrice
d’une complémentarité insuffisante du CSA et de l’ARCEP.................173
A. Une érosion croissante des frontières entre les secteurs régulés.....174
B. Des outils de coopération lacunaires.............................................................178
II. La numérisation des contenus audiovisuels, fondement
d’une concurrence émergente entre le CSA et l’ADLC..............................182
A. La transformation d’une répartition des compétences initialement
équilibrée...................................................................................................................183
B. Une évolution aux effets contrastés...............................................................187
La Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection
des droits sur Internet : bilan et perspectives ...............................................191
Catherine Arnaud
Maître de conférences de droit privé à l’Université Paris 13 Sorbonne Paris Cité,
membre de l’Institut de recherche pour un droit attractif (EA 3970)
I. L’HADOPI, produit d’une politique publique................................................192
A. Une tentative avortée............................................................................................193
B. La création d’une nouvelle institution : l’HADOPI................................198
II. L’HADOPI, instrument d’une politique publique........................................202
A. Un instrument à l’efficacité limitée................................................................202
B. Un instrument à l’avenir incertain..................................................................208
La réforme de la directive « Services de medias audiovisuels »........217
Francisco Javier Cabrera Blázquez
Analyste à l’Observatoire européen de l’audiovisuel
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Le droit de la régulation audiovisuelle et le numérique
Regards sur les autorités de régulation de l’audiovisuel
en Europe...............................................................................................................................................225
Emmanuelle Machet
Secrétaire de la Plate-forme européenne des instances de régulation (EPRA)
I. Instances de régulation de l’audiovisuel en Europe :
dénominateurs communs.........................................................................................226
A. Progrès accomplis en Europe concernant le concept
de régulation audiovisuelle................................................................................226
B. Progrès accomplis en Europe par le concept de l’instance
de régulation indépendante.................................................................................227
C. Des principes, des valeurs et un socle juridique en commun................228
D. Des défis partagés...................................................................................................231
II. Extraordinaire diversité des instances de régulation en Europe......233
III.Tendances actuelles....................................................................................................236
A. Une évolution vers une régulation plus économique................................236
B. Le développement d’un rôle de médiateur, voire de facilitateur..........237
C. Une régulation qui se complexifie....................................................................237
D. Un besoin toujours croissant de coopération entre régulateurs........238
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