Dossier de presse - Théâtre de Lenche
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Dossier de presse - Théâtre de Lenche
Dossier de presse ● Théâtre de Lenche ● Saison 14-15 MUSIC-HALL De Jean-Luc LAGARCE ●Cie L’ÉGRÉGORE ● Création …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Du 4 au 22 novembre 2014 ● Friche du Panier ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. CONTACTS PRESSE : Sylvia Duranton ● [email protected] ● 04 91 91 52 22 ● 06 20 86 66 81 THEATRE DE LENCHE : 4 place de Lenche – 13002 Marseille ● www.theatredelenche.info DISTRIBUTION Music-Hall Création 2014 ● Cie L’Egrégore Texte : Jean Luc Lagarce Mise en scène : Ivan Romeuf Eclairage : Marie Lefèvre Costumes : Marie-Line Rossetti Photos : Stéphane Torres Avec : Bernard Destouches Jean François Regazzi Marie-Line Rossetti Production : L’Egrégore/La Kolima/Les Rubens Coproduction : Théâtre de Lenche …………………………………………………………………………………………………………… AUTOUR DU SPECTACLE Répétition générale publique pour les habitants du 2ème arrondissement : lundi 3 novembre à 20h30 (entrée libre sur réservation) Rencontre avec l’équipe artistique jeudi 13 novembre à l’issue de la représentation de 19 heures En première partie de Music-Hall : 7, 8, 14, 15, 21 et 22 novembre I Friche du Panier Représentations les vendredis et samedis à 19 heures Les inséparables jouent aux Frères ennemis Cie les Rubens Textes : André Gaillard, Teddy Vrignault Un spectacle de : Bernard Destouches et Jean-François Regazzi Regard extérieur : Ivan Romeuf Ce spectacle revisite l’humour absurde des Frères ennemis, duo comique à l’humour absurde qui connut un immense succès dans les années 60-70. Les joutes oratoires et délires verbaux les plus loufoques se succèdent pour entraîner le spectateur jusqu’à l’hilarité. Un spectacle original où comique et finesse font bon ménage ! CONTACTS PRESSE : Sylvia Duranton ● [email protected] ● 04 91 91 52 22 ● 06 20 86 66 81 THEATRE DE LENCHE : 4 place de Lenche – 13002 Marseille ● www.theatredelenche.info L’AVENTURE Trois compagnies se réunissent pour créer un nouveau spectacle, cabaret déjanté, pas chanté, et mal dansé, d’une comédienne-danseuse-chanteuse, qui n’a plus rien à montré, sinon nous balader dans une histoire qui ne sera jamais une histoire racontée mais vécue au milieu d’un cabaret, qui n’est pas un cabaret mais un lieu comme ça, dans ce genre de ville, qui croit pouvoir servir de music-hall : c’est dans ce lieu que cela se passe. Comme tous les soirs, dans cette ville-là comme dans toutes les autres villes - vingt ou trente années ? Trente années... -, la Fille jouera sa petite histoire, prendra des mines, habile à prendre des mines, fredonnera chansonnette et esquissera pas de danse. Comme tous les soirs, dans cette ville-là comme dans toutes les autres villes, racontant la journée terrible qui s'achève, récit des diverses humiliations et aléas divers Comme tous les soirs, les deux boys, épuisés, fatigués, rêvant de s'enfuir, s'enfuyant, les deux boys feront mine, habiles à faire des mines, les deux boys l'accompagneront, tricheront avec elle. CONTACTS PRESSE : Sylvia Duranton ● [email protected] ● 04 91 91 52 22 ● 06 20 86 66 81 THEATRE DE LENCHE : 4 place de Lenche – 13002 Marseille ● www.theatredelenche.info L’HISTOIRE QUI N’EST PAS UNE HISTOIRE …. …mais qui pourrait, peut-être, être une histoire. Au début l’agacement prévu. Lagarce agace. C’est voulu. Son personnage raconte des riens, avec des digressions, des coupures des redites. L’actrice, elle, sait qu’elle nous énerve, elle en joue, ça lui fait plaisir, elle minaude, elle nous parle de son tabouret. Il est là, le tabouret. Elle tourne autour, s’assoit dessus, se relève, le soupèse, le fait pencher, le brandi, le caresse. Elle en est propriétaire, de ce tabouret, elle le dit, on le sent : c’est son tabouret. Les tabourets que lui proposaient les théâtres n’allaient jamais - c’étaient des chaises, le plus souvent, ou de tout petits tabourets à ras de terre, elle a fini par s’acheter son propre tabouret, sans dossier, à la bonne hauteur, solide et léger. La chanteuse (qui ne chante jamais d’ailleurs) nous cueille au plus fort de l’impatience en nous faisant comprendre que nous attendons une « histoire ». Elle cite des réactions de publics, fictives, inventées de toutes pièces par un Lagarce déterminé à nous impatienter, elle se moque de nous, pauvre public si vulgaire, si fragile, public perdu quand il n’y a pas d’histoire. Elle nous nargue. Elle nous dit qu’il n’y a pas d’histoire et que c’est tant pis pour nous. On en est là. Le public va sourire, rire même de se voir ainsi démasqué, brocanté, un autre public qui n’est pas lui. Lui le vrai public doit savoir maintenant, en tout cas, qu’il n’est pas venu pour qu’on lui raconte une histoire. Il doit se dire qu’il est venu pour qu’on lui parle des publics qui veulent qu’on leur raconte une histoire. Lui, le vrai public, est venu pour… Entrée des boys, ils sont deux, ils étaient restés dans l’ombre. Maintenant ils s’avancent. L’un chante, l’autre danse. Tous deux racontent à leurs manières une histoire. On s’était fait avoir en pensant qu’il n’y en avait pas et que c’était très bien comme ça parce qu’on n’était pas venu pour ça. Il y en a bien une d’histoire, et même plusieurs, juxtaposées, superposées, les aventures sentimentales de la chanteuse, la succession des maris et des amants, les mensonges qu’elle se raconte lorsqu’elle évoque un prestigieux passé qui, selon les boys n’a jamais existé toujours la galère, toujours un public clairsemé, des recettes minables. Elle répond qu’ils n’ont pas connu son âge héroïque, ils sont arrivés après. Ils ont du mal à la croire. Nous aussi. La vraie histoire, on commence à se douter qu’on ne la connaitra jamais. De temps en temps, l’un des personnages s’avance près de la rampe et scrute le public, y a-t-il quelqu’un ? Qui sont-ils ? Que pensent-ils en ce moment même ? Pour se laisser gagner par la nostalgie des paillettes ? Pour se lamenter sur le sort du théâtre ? Non, non, plus que ça plus profond. A travers les bribes entrelacées, nous voyons émerger notre dérisoire vie humaine, le grandiose aussi faux que le pitoyable, les trous, les manques, les incertitudes de nos mémoires. Nous contemplons les masques dont nous affublons notre être, les pacotilles que nous agitons, au nez de nos concitoyens, nos doutes sur l’authenticité des liens que nous tissons avec eux. A la fin nous serons bien agacés, comme prévu. « La vie est un théâtre » nous le savons depuis Shakespeare, il nous l’a rappelé en temps voulu. Mais Lagarce nous amène au plus près de notre scène intérieure. Là où se dissolvent les bribes de notre histoire, là où les contours flottants de l’autre se laissent deviner dans une demi-obscurité. CONTACTS PRESSE : Sylvia Duranton ● [email protected] ● 04 91 91 52 22 ● 06 20 86 66 81 THEATRE DE LENCHE : 4 place de Lenche – 13002 Marseille ● www.theatredelenche.info L’AUTEUR Jean-Luc Lagarce (1957-1995) est actuellement l’auteur contemporain le plus joué en France. Metteur en scène de textes classiques aussi bien que de ses propres pièces, c’est en tant que tel qu’il accède à la reconnaissance de son vivant. Depuis sa disparition, son œuvre littéraire (vingt-cinq pièces de théâtre, trois récits, un livret d’opéra…) connaît un succès public et critique grandissant ; elle est traduite en vingt-cinq langues. Quand Jean-Luc Lagarce est mort (du sida) le 30 septembre 1995, c’était un metteur en scène connu mais un auteur encore méconnu. Certes, plusieurs de ses pièces avaient été jouées avec succès mais d’autres étaient restées dans le tiroir ou incomprises. Sa notoriété n’a cessé de croître depuis sa disparition et aujourd’hui Jean-Luc Lagarce est considéré comme un auteur classique contemporain, à l’instar d’un Bernard-Marie Koltès (mort du sida peu avant Lagarce) dont la notoriété a été plus précoce grâce à l’aura de Patrice Chéreau, qui montait ses pièces. Lagarce, lui, montait les siennes. Si Lagarce n’a pas été reconnu de son vivant comme un auteur important, c’est peut-être que le langage théâtral de ses pièces était trop en décalage, trop novateur. Aujourd’hui, c’est l’un des auteurs coqueluches des cours d’art dramatique, un auteur chéri des troupes amateurs et de plus en plus prisé par les meilleurs metteurs en scène, toutes générations confondues. Il est traduit dans une quinzaine de langues. Les colloques, les études universitaires et les publications se multiplient. En 2008, l’une de ses pièces a été créée salle Richelieu, la grande scène de la Comédie-Française. Jean-Luc Lagarce est né le 14 février 1957, dans le pays de Montbéliard, en Franche-Comté et a passé toute sa jeunesse à Valentigney, une petite bourgade, fief des usines automobiles et des cycles Peugeot où ses parents travaillaient comme ouvriers ; il est aussi le rejeton d’une culture protestante. Au collège, une femme, professeur de français-latin, initie les élèves au théâtre : Lagarce, 13 ans, écrit pour la classe sa toute première pièce (perdue). A 18 ans, son baccalauréat en poche, il part vivre à Besançon, la grande ville de la région, s’inscrit à la faculté de philosophie et au conservatoire d’art dramatique de la ville. Bientôt, avec quelques élèves du conservatoire, il fonde une compagnie amateur, la Roulotte, nom qui rend hommage à Jean Vilar. Parallèlement Jean-Luc travaille à un mémoire universitaire sur le thème « Théâtre et pouvoir en Occident ». Quelques années plus tard, il abandonne l’université ses études (et un travail en cours sur le marquis de Sade) pour se consacrer entièrement au théâtre : sa compagnie devient professionnelle. La Roulotte est basée à Besançon, mais n’a pas de lieu propre excepté un bureau. Elle répète où elle peut et est hébergée le temps d’un spectacle dans les théâtres de la ville. Dès lors, Jean-Luc Lagarce va mener une double vie d’auteur et de metteur en scène. La compagnie de la Roulotte sera progressivement subventionnée par les collectivités locales, régionales et bientôt par le ministère de la Culture. En tant qu’auteur Lagarce recevra l’appui de Théâtre Ouvert, une structure subventionnée basée à Paris qui vise à mieux faire connaître les auteurs de théâtre contemporain. Il obtiendra également plusieurs bourses du ministère de la Culture ; en outre, certains théâtres lui commanderont des pièces. Le monde du théâtre, des tournées, des coulisses est au centre de plusieurs pièces comme Music-hall (une artiste flanquée de ses deux boys ressasse ses tournées), Hollywood (inspirée par le monde du cinéma et de la littérature américains – à commencer par Fitzgerald –, la pièce mêle des personnages de roman et d’autres ayant existé), Nous, les héros (qui fait référence au Journal de Kafka, et évoque la vie d’une troupe en tournée dans l’Europe centrale à la veille d’une guerre). Cette dernière pièce, Jean-Luc Lagarce l’avait CONTACTS PRESSE : Sylvia Duranton ● [email protected] ● 04 91 91 52 22 ● 06 20 86 66 81 THEATRE DE LENCHE : 4 place de Lenche – 13002 Marseille ● www.theatredelenche.info écrite pour les acteurs de sa mise en scène à succès du Malade imaginaire de Molière. Et c’est en s’inspirant d’un vieux manuel que Lagarce écrira Les Règles du savoir-vivre dans la société moderne, pièce pour une actrice. Plusieurs pièces comme Retour à la citadelle, L’Exercice de la raison (restée inédite jusqu’en 2007) et Les Prétendants brossent un tableau satirique des lieux de pouvoir à la faveur d’une nomination. On nomme un nouveau gouverneur, un nouveau directeur, la pièce se situe là, dans ce moment de bascule de l’investiture, entre l’ancien et le nouveau. L’humour et le regard caustique de Lagarce y font bon ménage ; mais on retrouve cet humour partout, y compris dans ses dernières pièces, plus sombres puisqu’il y est question d’un enfant qui revient au pays natal à l’approche de la mort. Ce retour du fils peut être hypothétique, rêvé – comme dans J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne, où cinq femmes attendent le retour d’un frère, d’un fils parti il y a longtemps –, ou effectif – comme dans Juste la fin du monde, qui se passe dans un cercle familial. Dans Le Pays lointain, ce cercle rejoint l’autre famille, celle que le héros s’est choisie : amantes, amants, amis. Cette pièce ultime, Jean-Luc Lagarce l’achèvera quinze jours avant de disparaître. Quand on la lira, quelques mois après sa mort, cela sera un choc émotif d’abord, puis bientôt un éblouissement. CONTACTS PRESSE : Sylvia Duranton ● [email protected] ● 04 91 91 52 22 ● 06 20 86 66 81 THEATRE DE LENCHE : 4 place de Lenche – 13002 Marseille ● www.theatredelenche.info A PROPOS DU PROJET L'idée d'Ivan Romeuf de réunir trois compagnies en ces temps de disette culturelle est une belle idée ! L'idée d'avoir choisie la pièce de Jean-Luc Lagarce « Music-hall » par Marie Line Rossetti en est une autre ! L'idée de confier le rôle des deux boys aux « Inséparables » Bernard Destouches et Jean-François Regazzi, est plus qu'intéressante et sans doute qu'Ivan Romeuf a son idée derrière la tête... Voilà, J'aime rendre à César ce qui lui appartient ! En effet si Bernard et moi en 2007 avons remis au goût du jour les textes d’André Gaillard et Teddy Vrignault « Les Frères ennemis », sous la houlette d'André Gaillard, nous avons demandés récemment à Ivan pour notre dernière création de nous aiguiller ! Alors voilà, le soir venu nos trois artistes se réuniront dans un cabaret improbable que nous recréerons pour vous conter une histoire de plus, une de ces histoires que nous connaissons bien nous les « Artistes », ces intermittents pas toujours compris...Les temps sont-ils venus où nous serions devenus des inter-mutants ? Le spectacle continu, coûte que coûte, on verra bien et puis peut être qu'un jour dans une de ces villes traversées par ces errants, dans un lieu comme ça, dans ce genre de ville, un lieu qui croit pouvoir servir de music-hall, c'est là que cela se passe... Jean François REGAZZI, Cie Les Rubens Au début, à « ses débuts », comme on dit dans le jargon du métier, il était un rêve… Un rêve de succès… Des salles pleines… Des plateaux avec la bonne distance du fond jusqu’à l’avant-scène. Au début, à « ses débuts », il était un homme, qui gérait tout. La protégeait de tout. Veillait sur elle, et leur « numéro ». Au début, à « ses débuts », il était un numéro, un vrai, de cabaret… Au début, à « ses débuts », ce numéro était une pièce musicale. Elle et lui, lui et elle, dansaient, faisaient des tours de divinations - « devinations ? »… C’était au début. A ses débuts. L’homme, le « mari », la figure du mari protecteur, a disparu. Désormais, c’est elle qui gère. C’est elle qui raconte… Se raconte. Raconte les plateaux trop petits, les cachets non payés, les galères des transports, les normes de sécurité devenues idiotes…le tabouret non ignifugé auquel elle se raccroche, comme à son rêve d’ailleurs ! Ce rêve, qui s’assombrit…comme ce trou noir, et vide, là, en face d’elle. Toujours. Marie-Line ROSSETTI, Cie La Kolima CONTACTS PRESSE : Sylvia Duranton ● [email protected] ● 04 91 91 52 22 ● 06 20 86 66 81 THEATRE DE LENCHE : 4 place de Lenche – 13002 Marseille ● www.theatredelenche.info LA KOLIMA La Kolima est une jeune compagnie marseillaise créée en Mars 2011 par Marie-Line Rossetti. Elle compte déjà deux créations à son actif : Hier… comme un oiseau pièce contemporaine présentée dans le cadre des Espaces libres au théâtre de Lenche à Marseille en avril 2012. La robe rouge monologue contemporain présenté au Festival d’Avignon 2013, puis lors de la 1èrere édition de Voyages en solitaire(s) (temps fort consacré au monologues initié par le Théâtre d eLenche) en mai 2014. La compagnie, qui n’exclut pas l’exploration de textes classiques, a choisi dans un premier élan d’orienter son travail de recherche sur des textes contemporains, s’intéressant à la condition et à la sensibilité féminine au travers de thèmes éternels et récurrents que sont l’amour, la communication ou l’incommunicabilité, le pouvoir, la solitude, la mort. Comédienne, née d’un père comédien et d’une mère danseuse, Marie-Line Rossetti baigna dès son plus jeune âge dans le monde du spectacle. Sa formation en danse commença très tôt et se poursuivit par une pratique assidue de toutes les danses sans a priori, du classique au contemporain, en passant par la salsa et le hip hop. En art dramatique son père Henri Rossetti fut son premier maître. Au sein de la Cie Théâtre 47 elle joue dans plusieurs créations Le pain de ménage de Jules Renard, Premier bal de Maxime Léry, Deux frères d’André Praga, La perle de la Canebière de Labiche, Liberté provisoire de Michel Duran, et présenta de nombreux textes poétiques, notamment de Jacques Prévert, lors de cabarets. Sa rencontre avec Ivan Romeuf a donné lieu à plusieurs collaborations depuis 2011, d’abord comme assistante à la mise en scène : Les Bonnes de Jean Genet, George Dandin de Molière, et Sur le quai -Ode maritime de Fernando Pessoa ; puis comme comédienne : L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel. Elle sera à nouveau assistante d’Ivan Romeuf sur L’Echange de Claudel, création 2015 de l’Egrégore. LES RUBENS Jean François Regazzi est comédien et metteur en scène. Après avoir travaillé dans le cours d’Henri Rossetti à Marseille, il s’inscrit au cours Florent à Paris en compagnie de Bernard Destouches. Ses professeurs sont entre autres Chistian Crozet et Francis Huster, puis Jean Laurent Cochet. Il intègre deux saisons durant la Comédie Française, et travaille sous la direction d’Antoine Vitez, Jean Luc Boutté, Idrissa Ouédraogo. Au théâtre il a pour partenaires, Patrick Préjean pour Cyrano de Bergerac, Marie Josée Nat pour Lucrèce Borgia, Guy Téjan et Francis Lallane pour Coriolan, Martine Chevallier puis Geneviève Casile pour Bérénice, Catherine Salviat etc…Il est l’auteur d’un spectacle sur Jean Gabin joué et repris depuis dix ans, T’as de beaux yeux tu sais… En 2008, il joue avec Bernard Destouches dans Cahin Caha, duo écrit et mis en scène par Serge Valletti au Théâtr. La création a lieu au Théâtre de Lenche et inaugure une première collaboration entre le théâtre et la cie Les Rubens. Avec son complice Bernard Destouches, il est à l’origine d’un duo humoristique Les Inséparables….Frères ennemis (re)créé récemment au Théâtre Fontblanche (Vitrolles) dont Ivan Romeuf signe la mise en scène et repris en première parti de la création Music-Hall. CONTACTS PRESSE : Sylvia Duranton ● [email protected] ● 04 91 91 52 22 ● 06 20 86 66 81 THEATRE DE LENCHE : 4 place de Lenche – 13002 Marseille ● www.theatredelenche.info RENSEIGNEMENTS PRATIQUES Renseignements et réservations : | 04 91 91 52 22 | www.theatredelenche.info Lieu de représentation: | Théâtre de Lenche - 4, place de Lenche – 13002 Marseille Horaires : I Mardi, vendredi et samedi à 20h30 I Mercredi et jeudi à 19h I Dimanche 16/11 à 16h +++ Les vendredi et samedis à 19h : représentation de Les inséparables jouent aux Frères ennemis, en première partie de Music-Hall (Billet d’entrée aux tarifs habituels valable pour les 2 spectacles) Tarifs : | Général : 16 € I Groupe, CE et partenaires : 10 € | Réduit : 8 € (intermittents, - 18 ans, adhérents théâtres partenaires, chômeurs) | Bénéficiaires du RSA : 2 € | Carte spectateur (3 spectacles sur la saison – carte nominative) : 18 € | Carnet à plusieurs (6 billets à partager) : 36 € | Le mercredi : une place au tarif général = 1 place offerte Accès : | Métro Vieux-Port (ligne 1) ou Joliette (ligne 2) | Bus 49 | Tramway T 2 arrêt Sadi Carnot | Parking payant Jules Verne CONTACTS PRESSE : Sylvia Duranton ● [email protected] ● 04 91 91 52 22 ● 06 20 86 66 81 THEATRE DE LENCHE : 4 place de Lenche – 13002 Marseille ● www.theatredelenche.info