Clipperton - Nautilus Explorer

Transcription

Clipperton - Nautilus Explorer
CLIPPERTON
VOYAGE
Yves Herraud
Terre française perdue dans le Pacifique,
l’îlot de Clipperton vaut tous les efforts faits
pour l’atteindre : après trois jours
de navigation, les plongées que l’on fait
le long de ses tombants sont d’une richesse
à couper le souffle ! Requins, carangues,
mérous, raies… Les poissons évoluent
dans un bleu d’une densité rarement
rencontrée, un bleu parfois coupé par
le passage d’une baleine accompagnée
de son baleineau.
Un reportage d’Yves Herraud.
Clipperton
L’îlot perdu
du Pacifique
© Daniel Brinckmann
L
’île de Clipperton, située par 10° de latitude nord à 1 300 km
à l’ouest de la côte mexicaine, 900 km au sud de Socorro (archipel de Revilaggigedo) et 4 800 km à l’est de Pukapuka (Tuamotu) en Polynésie Française, fut découverte le vendredi de Pâques
en avril 1711, d’où son autre nom, île de la Passion, par Martin de
Chassairon et Michel du Bocage commandant respectivement les
frégates françaises La Découverte et La Princesse. Selon d’autres
sources, Clipperton aurait été découverte avant par Ferdinand Magellan naviguant pour le compte de la couronne espagnole.
Le pirate John Clippington légua à cette île son patronyme de corsaire au service de la couronne d’Angleterre : Clipperton. Il y aurait
enfoui un trésor…
La convoitise des ressources phosphatées au cours du XIXe siècle
entraîna la prise de possession française de cette terre par le
lieutenant de vaisseau Le Coët de Kerveguen. Le dépôt par
ses soins d’une copie de l’acte auprès du gouvernement des
îles Hawaii en 1848 favorisa la France lors de l’arbitrage de la
cour internationale. Victor-Emmanuel III attribua, en 1931, la
souveraineté sur Clipperton à la France face au Mexique. Afin
d’exploiter le guano riche en phosphate, les Mexicains manipulés par les Britanniques Lord Stanmore et John Arundel, occupèrent l’île à partir de 1905 avec une trentaine de personnes.
Les troubles liés à la Révolution mexicaine firent d’eux ”les oubliés de Clipperton”. En juillet 1917, l’USS Yorktown venu vérifier que les Allemands n’utilisaient pas Clipperton comme base
pour leurs sous-marins, sauva trois femmes et huit enfants.
C’étaient les seuls rescapés. Le scorbut, la folie et les deux années
et demie passées sur l’île en autarcie complète eurent raison des
plus faibles. Plusieurs expéditions scientifiques y furent menées par
le commandant Jacques-Yves Cousteau en 1978 ou Jean-Louis
Étienne en 2005.
J’ai découvert l’existence de Clipperton voici quelques années lors
de la lecture du hors-série N° 1 de Subaqua sur la vie sous-marine
et la description faite a aiguisé ma curiosité…
En avril 2011 j’ai eu l’opportunité de m’y rendre. Voici mon récit de
voyage, cap vers cette destination hors du commun !
Nous embarquons le matin à bord du Nautilus Explorer à Cabo San
Lucas, point le plus austral de la Basse-Californie au Mexique.
Novembre - Décembre 2011 - N° 239 SUBAQUA
33
Près de l’arche, sujet fétiche de tous les photographes, nous
voyons notre première baleine à bosse (Megaptera novaeangliae) et son baleineau venus nous souhaiter bonne route ! Les
femelles viennent depuis l’Alaska dans les eaux chaudes du Pacifique mexicain pour mettre bas et se reproduire. (Voir Subaqua
n° 224 pour plus d’infos sur ces cétacés). Le Nautilus Explorer est
un navire de 35 mètres, répondant aux normes SOLAS, pouvant
accueillir une vingtaine de passagers dans un confort propre aux
bateaux nord-américains. Nous entamons notre première étape
le lendemain par San Benedicto, l’une des quatre îles de l’archipel des Revilaggigedo. Les dauphins, fous, frégates et baleines
à bosse sont là pour nous accueillir. Après deux plongées au fil
desquelles je retrouve les habitants classiques de ces eaux, raies
mantas (Manta birostris), carangues à gros yeux (Caranx sexfasciatus), carangues bleues (Caranx melampygus), requins des Galapagos (Carcharhinus galapagensis) et autres Creolefishes (Paranthias colonus), nous mettons le cap vers le sud. Clipperton se
trouve à 510 miles nautiques…
Un atoll étonnant
Nous arrivons sur Clipperton le matin après une navigation de
2 jours et 3 nuits. Ce sont d’abord les dauphins qui viennent à
notre rencontre puis les fous masqués (Sula dactylatra) arrivent
en nombre ! Clipperton héberge la plus importante colonie mondiale de fous masqués mais également des fous bruns, des fous
à ventre blanc, des sternes, des nodis et même des poules d’eau !
La présence de cet oiseau d’eau douce, dans le lagon s’explique
aisément dès que l’on sait que Clipperton fait partie du club très
fermé des atolls (12 au total dans le Pacifique) dont le lagon n’a
aucune passe avec l’océan. Les deux passes signalées au milieu
© Photos Y. Herraud
32
Novembre - Décembre 2011 - N° 239 SUBAQUA
La sortie de Cabo San Lucas, à la pointe sud de la Basse Californie.
du 19 se sont fermées et il n’y a plus d’autre alimentation en eau de
mer que les vagues de tempête. Les pluies abondantes, les cyclones
et les tempêtes tropicales présentes de mai à décembre ont peu à
peu adouci l’eau du lagon qui est douce à saumâtre : seulement 3 à
3,5 g/l de chlorure de sodium (NaCl) soit une concentration dix fois
moindre que l’océan Pacifique. C’est le plus grand récif corallien
du Pacifique oriental et le seul au nord de l’équateur. La hauteur
moyenne s’élève à 3 m au-dessus du niveau de la mer ! Le point
culminant est le rocher, formation basaltique, de 29 mètres de haut.
Ce serait le seul vestige du volcan initial.
Nos différentes immersions dans une eau à 28 °C me permettront
de vérifier que les eaux de Clipperton sont vraiment très poissonneuses ! La zone de Clipperton se situe au croisement des migrations des thonidés ce qui lui donne une importance économique
considérable. La pêche du thon est la principale activité de la zone,
mais elle est pratiquée sans autorisation par des navires américains,
mexicains et japonais. Des problèmes de pêche illégale avaient déjà
été signalés par Jean-Louis Étienne en 2005.
Nous avons malheureusement l’occasion de vérifier de visu que rien
n’a changé. Deux bateaux de pêche usine, pêchant de manière illégale sont présents et leurs hélicoptères nous survolent par deux fois
pendant notre séjour.
Les 435 000 km² (pratiquement la superficie de la France !) de zone
marine définie par la création de la Zone exclusive économique (ZEE)
en 1978 font de Clipperton le cinquième territoire français d’outremer et ceci malgré ses 9 km² dont seulement 2 émergent.
e
34
Des poissons peu craintifs
Clipperton présente une faune pauvre en nombre de coraux
constructeurs de récifs. À peine une dizaine d’espèces, à comparer avec la vingtaine de l’archipel de Revillagigedo pourtant proche.
Mais si la diversité est faible le nombre d’individus est important !
Cette densité est probablement due à plusieurs facteurs tels que la
température superficielle de l’océan (de 26° à 29 °C), la thermocline
profonde (50-60 m) et la transparence des eaux, ce qui augmente
la profondeur à laquelle les coraux peuvent se développer. Les coraux constructeurs de récifs sont apparemment en bonne santé
malgré le blanchissement observé sur quelques-uns. Dans les zones
coralliennes de l’océan Pacifique américain, la structure récifale est
en grande partie déterminée par les ”destructeurs” (polychètes,
éponges, mollusques, etc.) et les corallivores tels l’étoile de mer
Acanthaster (Acanthaster planci) ou le tétrodon (Arothron meleagris). Ces destructeurs et ces corallivores sont en nombre faible sur
Clipperton et ceci pourrait aussi expliquer le développement vigoureux de l’atoll. Ce qui me surprend à chaque fois que je vais plonger dans cette zone du Pacifique est le bleu profond de l’eau, c’est
réellement fascinant et je n’ai vu ce bleu que dans cette partie du
Pacifique.
Un des aspects les plus plaisants de la plongée à Clipperton est
l’abondance de poissons osseux ou cartilagineux et en général ils
sont assez peu craintifs. Les canthigasters
sont habituellement très mobiles et j’ai
rencontré un ”honeycomb puffer” (Canthigaster janthinoptera) coopératif dont j’ai
pu tirer le portrait ! Les carangues bleues
(Caranx melampygus) ainsi que les carangues à gros yeux (Caranx sexfasciatus)
s’approchent et viennent pratiquement au
contact !
Ces carangues se rencontrent dans une
multitude d’endroits de la mer Rouge à
l’océan Indien. Il y a dans cette zone du Pacifique beaucoup d’espèces spécifiques, ce
qui induit un grand nombre de recherches
dans les guides une fois hors de l’eau pour
les identifications ! Les espèces telles que
les poissons faucons de corail (Cirrhitichtys
oxycephalus), poissons faucons géants (Cirrhitus rivulatus), les vivaneaux à 5 bandes
(Lutjanus viridis) mais également les Creolefishes (Paranthias colonus) sont en grand
nombre. Je suis étonné par l’abondance et
le comportement des murènes ! Les murènes à petits
Si la diversité des coraux points (Gymnoest plutôt faible,
thorax dovii) nale nombre des individus gent en pleine
eau le jour et
est important.
celles qui sont
tapies dans des failles n‘hésitent pas à en
sortir pour venir voir de près le photographe
qui ose s’approcher ! Un peu déroutant la
première fois… Un autre poisson osseux
magnifique : le mérou cuir (Dermatolepis
dermatolepis) est présent en quantité ! J’ai
même vu se ”créer” de manière spontanée
un banc de plus d’une centaine d’individus.
Ces derniers se sont regroupés et se sont
dirigés à la queue leu leu vers une direction
commune.
Sur une plongée de fin de journée faite
dans la zone des 15 mètres, des requins
des Galapagos (Carcharhinus galapagensis)
nous accompagnent pendant la dernière
Voyage >
Clipperton
Carangues et requins viennent au contact !
partie de la plongée et remontent avec
nous en surface alors que nous nous dirigions vers le semi-rigide venu nous récupérer. Dernier à remonter sur le bateau, je ne
fais pas trop le fier avec la quinzaine d’individus venus me voir ! Les Silvertip (Carcharhinus albimarginatus) sont plus craintifs et
ne s’approchent pas autant, mais ils viennent voir qui sont ces intrus. Ils n’ont pas
trop l’habitude de croiser des plongeurs. À
ma connaissance, seul le Nautilus Explorer
offre des voyages vers Clipperton à raison
d’un voyage par an ou tous les deux ans !
Malheureusement, les requins ne sont pas
à l’abri de la pêche illégale. Je remarque
à plusieurs reprises des hameçons plantés
dans leur gueule.
Nous voyons beaucoup de requins pendant
notre séjour que ce soit les Silvertip (Carcharhinus albimarginatus), les requins des
Galapagos (Carcharhinus galapagensis), les
requins soyeux (Carcharhinus falciformis)
et également des requins marteaux halicorne (Sphyrna lewini). Lors d’une plongée
avec un couple d’Anglais fort sympathique
nous en comptons une centaine qui défile
devant nous… Que du bonheur ! Dans les
rencontres un peu hors du commun il y a
celle avec des Unicorm filefishes (Aluterus
monoceros), ces poissons limes aux allures
de baliste.
Pour les fous de macro…
© D.R.
Il est vrai qu’avec tous les pélagiques qui
tournent autour de nous, il est plus difficile
de regarder le reste ! Mais il y a aussi des
invertébrés ! Côté échinodermes quelques
holothuries, une quantité impressionnante
d’oursins diadèmes du genre Diadema,
du côté des cnidaires en plus des madréporaires des hydraires et côté spongiaires
des éponges que je n’ai pas pu identifier !
Quand je prends le temps de regarder un
peu plus le paysage, certes très minéral du
fait de l’absence de coraux mous colorés, je
peux apprécier comme il se doit les empileL’ambiance joyeuse des plongées qui s’achèvent…
Les murènes sont incroyablement abondantes.
Novembre - Décembre 2011 - N° 239 SUBAQUA
Novembre - Décembre 2011 - N° 239 SUBAQUA
ments de coraux durs qui forment des plateaux décalés les uns des autres et empilés !
En fin de plongée, les fous masqués assurent la dernière partie du show ! Intrigués
par les parachutes, ils viennent voir de
près ! Le spectacle d’un fou posé en surface, la tête immergée vous regardant les
pattes écartées vaut son pesant de cacahuètes !
35
Un îlot au milieu de rien…
Une grande quantité de vie tout autour
de l’atoll mais également dessus, malgré
les apparences : plus d’une dizaine de millions de crabes terrestres (Gecarcinus planatus) herbivores puis devenus omnivores
après avoir désertifié une partie de l’île. Les
”oubliés mexicains” ne purent même pas
les consommer pour survivre ! Leur chair
contient une toxine qui rend malade ! Les
rats présents sur l’île depuis le naufrage
d’un bateau régulent un peu la population des crabes et des plaques de végétation herbacées sont réapparues. Jean-Louis
Étienne, pendant son expédition en 2005,
a tenté d’éradiquer les rats mais finalement
ces derniers ont gagné le combat ! Il ne faut
Au vieux plongeur
Le spécialiste de la plongée et de la chasse sous marine
1 gramme d’expérience vaut mieux que 100 kilos de théorie
Un surf de baleine à bosse impressionnant !
36
pas oublier la multitude d’oiseaux et là les rats jouent, également
avec les crabes, un rôle important en ”régulant” la ponte des fous.
Après 6 jours passés sur Clipperton nous mettons le cap au nord
pour rejoindre Roca Partida dans l’archipel des Revilaggigedo. J’avais
plongé sur Roca Partida en janvier 2009 et ce fut grandiose… Cette
fois-ci et malgré des conditions de mer un peu plus difficiles, courant
et houle, c’est encore un cran au dessus ! Lors de la deuxième plongée j’entends un ”boum” très fort, ressemblant à un tuyau haute
pression qui explose. Je cherche autour de moi et ne trouve rien, pas
de bulles anormales. Quelques minutes plus tard, dans la zone des
10 mètres, je comprends… Une baleine à bosse et son baleineau
nous croisent… En surface, les baleines sont également présentes et
nous en voyons à proximité du bateau. Les baleineaux sont prêts et
elles vont entreprendre le long voyage de retour vers les eaux froides
de l’Alaska. Nous avons démarré le voyage à Cabo San Lucas avec
une baleine à bosse et son baleineau, nous le terminons à Roca Partida avec une autre mère et son petit… Belle organisation !
Une destination qui se mérite
Avec ses 60 heures de navigation depuis Socorro, Clipperton est
une destination lointaine, mais quelle récompense que de pouvoir
y plonger ! Grâce au confort du Nautilus Explorer, aux bons petits
plats d’Enrique le Chef, et aux différentes informations qui nous
ont été données sur Clipperton (Dvd, photos…) ainsi que sur la vie
marine du Pacifique, le trajet ne paraît pas long.
À Socorro, nous eûmes la chance de recevoir à bord Mauricio
Hoyos, chercheur mexicain, spécialiste du grand blanc et des requins. Il nous explique le réseau de récepteurs mis en place à divers
endroits du Pacifique (Socorro, Cocos, Malpelo et Clipperton) qui
permettent de suivre les déplacements des requins qu’il a équipés
d’un transmetteur. n
Vente 15 jours à l’essai, garantie de 24 mois et « usage à vie »
avec prêt de matériel en cas de réparation, garantie de fourniture de pièces
pendant 10 ans, choix avec plus de 10000 références et plus de 45 marques
en stock, sécurité avec un atelier ouvert 363 jours par an, .
Si faire des prix est à la porté de n’importe qui, seul le VIEUX PLONGEUR
vous offre un tel service.. depuis 1934
Nouveaux TEKNODIVER Supratex Superflex 2012: les vêtements les plus 37
solides du marché.Le Supratex est une matière extrêmement souple et robuste utilisée
en général pour faire des renforts sur les articulations. Ses inconvénients sont son prix et
sa difficulté de montage. Teknodiver, grâce à sa technicité, a pu réaliser des vêtements
intégralement en Supratex Superflex permetttant d’avoir les vêtements les
plus solides et les plus souples/
Infos pratiques
• Plongée : il est préférable d’être minimum niveau 2 pour apprécier ces plongées. Sur Clipperton les plongées ne présentent pas de difficultés. Sur Roca Partida, elles peuvent être,
en fonction des conditions météo, un peu plus musclées ! Pour Clipperton, une combinaison
de 3 mm suffit largement. Pour les plongées sur Socorro une 5 mm sera plus confortable.
Pensez à vous hydrater le plus souvent possible… Vérifier la franchise bagages auprès de
votre transporteur aérien !
D’autres informations sur le bateau sont disponibles sur www.nautilusexplorer.com
• Électricité : nous sommes sur le continent nord-américain, donc prévoyez un adaptateur
prises normes Us. La tension est de 110 V et à une fréquence de 60 Hz. Normalement les
alimentations des appareils modernes savent gérer ces différences sans problème, vérifiez sur
les alimentations de votre matériel !
• Photographies : vous pourrez à loisir en fonction des plongées utiliser le grand-angle ou
l’objectif macro. Le tout est d’avoir le bon au bon moment… Un bac de rinçage attend les
caméras et appareils photo. Ne stockez pas votre matériel dans vos cabines. L’écart de température entre l’extérieur et l’intérieur se traduirait par l’apparition de buée sur vos objectifs.
De larges ”tables” sont prévues et aménagées pour laisser le matériel sans aucun risque sur
la plateforme arrière.
• Divers : le décalage est de 9 heures en hiver et de 8 heures en été. Pour rejoindre Cabo San
Lucas (code aéroport : Sjd) vous pouvez soit passer par les États-Unis d’Amérique (pensez à
remplir le formulaire Esta sur Internet avant votre départ) ou via le Mexique et Mexico.
• Conseils pratiques si vous pouvez allonger votre séjour : si vous le pouvez, je vous
conseille de passer un peu de temps en Basse-Californie ! Les Mexicains sont gentils et accueillants. Il ne faut pas rester sur Cabo San Lucas mais plutôt remonter vers le nord. La Paz
est une ville très agréable et très calme. Les balades aux alentours vous rappelleront les Bd
de Lucky Luke avec les cactus ! Pour se rendre sur La Paz vous pouvez soit louer une voiture à
Cabo ou prendre un bus.
Vente 15 jours à l’essai, garantie usage à vie
NEXO STX:
Remerciements
Les fous se révèlent très curieux.
Je tiens à remercier pour l’aide apportée à la réalisation de ce
reportage :
• Mike Lever et toute l’équipe du Nautilus Explorer www.nautilusexplorer.com
• Olivier Mely d’Energy Trip www.energy-trip.fr
J’ai trouvé beaucoup d’informations sur Clipperton grâce à :
• www.clipperton.fr (Pr Christian H. Jost)
• http://www.jeanlouisetienne.com/clipperton/
• Tropique du crabe par André Rossfelder
Plongée zen
Yves Herraud, moniteur fédéral 2e degré, moniteur fédéral bio et brevet d’État vous propose de
vous accompagner pour des séjours sur mesure en mer Rouge, en mer de Cortez, aux Maldives
ou autres destinations…
www.plongee-zen.fr - [email protected]
Novembre - Décembre 2011 - N° 239 SUBAQUA
Néoprène 5 mm Supratex
Fermeture dorsale Dynat
Botillons néoprènes
Cagoule séparée
Manchons inversés
Inflateur et purge Apeks
699 €
GOLD 700 STX:
Néoprène 7 mm Supratex.
Fermeture dorsale métallique.
Cagoule séparée ou fixe (option).
Doubles manchons inversés.
Coupe anatomique préformée.
439 €
15° anniversaire du site internet
vieuxplongeur.com sur Internet depuis 1996
Visitez la Nouvelle caverne d’Ali baba des plongeurs
42, rue du rouet 13006 Marseille Tel : 04 91 48 79 48 (parking gratuit)
Novembre - Décembre 2011 - N° 239 SUBAQUA