Pourquo oi boire d de l`eau avant, p pendant e et après l`effort? ?
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Pourquo oi boire d de l`eau avant, p pendant e et après l`effort? ?
Pourquo oi boire de d l’eau avant, pendant p et e après l’effort?? DESH HYDRATAT TION = CHU UTE DE PE ERFORMAN NCES ET DE CAPACIT TES PHYSIQ QUES L’’eau représente environ 60% de e notre poiids corpo orel. Pen ndant l’efffort, l’orga anisme, en e se réch hauffant, perd de l’eau et du d sod dium. Les s pertes en eau peuvent con nduire à une u déshy ydratation n en plus s d’entraîn ner une e chute c considérrable des s perform mances sportive s s. Une déshyd dratation n de 2% % réduit l es capac cités phy ysiques d de 20%. Les troubles les plus fréq quents son nt digestiifs et mus sculaires, plus part rticulièrem ment les crampes ou encore le es tendinites. Il esst importa ant d’évite er les cacchets de sel s qui peu uvent acc centuer le es effets de d la désh hydratatio on ou alors en con nsommer en quanttité limitée. Quand et c commentt s’hydra ater On ne doit pas atte endre la sensatio on de soiif pour s’hydrate er, car ce ela signiffie qu’’il est dé éjà trop tard. t Il est nécesssaire de boire b avan nt, penda ant et après l’effortt. L’ea au perdue e sous forme de sueur doitt être com mpensée afin a d’évitter les ris sques de dés shydratattion. Pen ndant l’efffort, il est importa ant de pen nser à bo oire régulièrement de petite es gorgées d’eau, sans attendre de ressentir la so if. Cela permet le maintien d’un déb bit cardiaq que corrrect et un ne bonne e oxygéna ation des tissus. La sensatio on de soif indique une dé éshydrattation im mportantte (20% des bes soins corporels). Sachez z aussi q ue notre e estoma ac ne peu ut absorber plus de 750 0 ml de liquide par p heure e. Il est alors primordial de boire e réguliè èrement en pettites qua antités. Boire après l’effort fa avorise l’é éliminatio on des déc chets acid des générrés par le es muscle es et aide a à rec constituerr la perte d’eau. 1 Nous sommes constitués à plus de 60% d’eau 60% d’eau, cela représente 42 L chez une personne de 70 kg. Et sachant que ce volume se renouvelle d’environ 6% chaque jour, plus de 2,5 L sont nécessaires pour assurer ce turn-over : L’eau Métabolique, synthétisée à partir des réactions enzymatiques de l’organisme, représente 10% de ce renouvellement, soit environ 0,3 L L’eau de constitution des aliments représente quant à elle environ 0,8 L. L’eau de boisson (sous toutes ses formes) doit donc représenter plus de 1,5 L pour assurer ce besoin quotidien, indépendamment des besoins consécutifs à la pratique sportive. Ces apports permettent de compenser les pertes quotidiennes : La diurèse représente environ 1,3 à 1,5L/j. Toute réduction des apports liquidiens se traduit notamment par une réduction de la diurèse à l’origine d’une concentration des déchets présents dans l’urine, dont la couleur devient plus foncée et l’odeur plus prononcée. Les selles sont à l’origine d’une perte de 0,1 à 0,5 L par jour, expliquant qu’une des principales causes de la constipation est le manque d’hydratation de l’organisme. La respiration et la transpiration représentent quant à elle une perte d’environ 0,7 à 1 L. Toute augmentation d’1°c de la Température corporelle se traduit par une perte de 0,2 à 0,3 L supplémentaires de liquide. Ce à quoi se rajoutent de nombreux facteurs : la Température extérieure (la chaleur augmente les pertes par transpiration et le froid par vasoconstriction à l’origine d’une augmentation de la diurèse), l’humidité relative, la ventilation, l’altitude et bien sûr l’activité musculaire. Mais à quoi sert l’eau ? Les deux-tiers du volume d’eau corporelle se situent à l’intérieur de nos 10 000 milliards de cellules, il s’agit du volume intracellulaire, le tiers restant constituant le liquide extracellulaire : système lymphatique et interstitiel, plasma et fluide transcellulaire (liquide cérébrospinal, articulaire, péritonéal et tractus gastrointestinal). L’eau, ce précieux liquide, est associée à de nombreux oligo-éléments et minéraux (les électrolytes) pour permettre l’ensemble des réactions chimiques se déroulant à chaque seconde au sein de notre organisme. Donc sans eau, point de réaction enzymatique, donc point de vie. L’eau permet également le transport des nutriments et de l’oxygène aux cellules, des déchets (ou métabolites) de l’organisme, les échanges entre les milieux intra- et extracellulaires, la digestion ou encore la régulation de la température corporelle. En effet, la machinerie cellulaire n’est malheureusement pas très « rentable » d’un point de vue énergétique : environ 75% de l’énergie issue de la dégradation des nutriments est dissipées sous forme de chaleur. Il faut donc assurer l’évacuation de cet excès de chaleur, au risque de subir la surchauffe ! Donc on transpire. 2 Dis-moi comment tu transpires Quand vous courez, vous perdez de l’eau à travers la transpiration. Mais pas seulement. Véritable mécanisme de protection de l’organisme pour éviter l’augmentation de la température corporelle pouvant être à l’origine d’une perte de connaissance, voire de décès, la transpiration est à l’origine d’une perte d’eau mais aussi d’électrolytes, en particulier de Sodium. Il s’agit en effet de l’électrolyte le plus abondant dans le milieu extracellulaire. D’autres électrolytes sont éliminés par la transpiration en quantité plus modérée : Potassium, Magnésium, Zinc et Cuivre notamment. La capacité à « suer » est très différente d’un sportif à l’autre : en effet, certains possèdent un seuil de déclanchement de la sudation bas. Ce qui représente, physiologiquement parlant, un avantage certain, la sudation permettant en effet de mieux réguler la température corporelle. Le désavantage sera la nécessité de boire davantage pour compenser les pertes en eau et en électrolytes. Il suffit d’ailleurs d’observer les tenues vestimentaires d’un traileur ou d’un triathlète pour constater les auréoles blanchâtres, synonymes de pertes de Sodium. De même que si vous avez déjà eu l’occasion de « goûter » votre sueur, sa saveur salée ne vous aura pas échappé. D’autres facteurs modifient le niveau de transpiration au cours de l’effort : Les conditions climatiques L’intensité de l’effort : la transpiration est maximale pour des efforts dont l’intensité est supérieure à 80% de VO2 max. Le type d’activité : par exemple, un nageur transpire beaucoup pour réguler sa température corporelle. Il transpire ainsi environ sept fois plus que dans une eau à 22°c par rapport à un effort de même intensité réalisé à l’extérieur à la même température. Le port et la nature des vêtements Les qualités intrinsèques du sportif : l’augmentation du niveau d’entraînement et d’acclimatation à la chaleur réduisent le seuil de déclanchement de la sudation. Les pertes hydro-électrolytiques au cours de l’effort varient donc de manière importante en fonction des conditions de pratique et selon les individus. Au cours d’un effort de 1 à 2h, les pertes peuvent atteindre 1,5 à 1,8 L/heure d’effort, voire 2 à 2,5 litres/h en cas de forte chaleur, puis environ 1L/heure sur des épreuves de plus longue durée. Ainsi, les valeurs maximales enregistrées lors de l’Ironman d’Hawaï ont atteint jusqu’à 25 Litres. En moyenne, un marathonien transpire plus de 4 L de sueur tout au long des 42,195km parcourus. 3 Qu uelles soont les conséqu c uences d de la dééshydrattation su ur la sa anté et les perrforman nces ? La déshydratati d ion perturbee de nombreeux paramèètres physiollogiques : Elle alttère les perrformancess aérobie eet anaérobiie : il est commun de lire ou d’eentendre quu’une déshydrratation de 1% du poid ds corporel engendre une u diminution des perrformances de 10%, dee 2% une dim minution des performan nces de 20% %, etc. Mêm me si cette vulgarisatio v on demeure empirique,, elle permet néanmoinss d’illustrer l’importannce de l’hyd dratation au u cours de l’effort. Vous V passezz des mois, vvoire des annnées à vou us entraînerr pour optim miser vos performance p es. Vous êttes souvent à la recherchhe du matérriel ou de laa méthode dd’entraînem ment la plus efficace e pouur vous, don nc pensez aussi a à entreetenir le premier facteeur de perfformance, votre corps ! 2% de ddéshydratatiion représenntent par exem mple 1,4 L pour un sportif de 70kkg, soit le volume v pouv vant être peerdu en à peeine 1h d’efffort. Courir à 90 voire 80% 8 de ses capacités ap après une heeure d’effortt est dommaage, non ? C’est C pourq quoi la strattégie d’hyd dratation est essentiellle. Nous laa développeerons ultérieeurement. Une U étude parue p dans lee Journal of o the Amerrican Colleege of nutrrition en 20 007 et mennée par le Pr. Lieberm man, mentionnne par aillleurs qu’unee déshydraatation de 2% engend dre une auugmentation du temp ps de réaction de 10,7% %, une désh hydratation n de 4% dee 21,4%. Lo orsque l’on connaît l’im mportance de d la vigilancce au courss d’un trail réalisé en montagne ou à vélo lors l d’un trriathlon, s’iintéresser à son hydrataation peut êttre salvateurr. 4 Elle augmente les risques de survenue de troubles digestifs gastriques et intestinaux suite à l’ischémie digestive qu’engendre l’effort musculaire proportionnellement à l’intensité de l’effort. Plus vous réalisez un effort intense, plus l’irrigation sanguine des organes digestifs diminue : cette ischémie peut atteindre jusqu’à 80% de la valeur de repos. Au delà de son effet immédiat sur la capacité de digestion, la diminution de l’irrigation sanguine mésentérique est également à l’origine d’une fragilisation de la muqueuse intestinale, pouvant être responsable d’une hyperperméabilité intestinale et de nombreux symptômes associés à long terme (troubles ostéo-tendineux, immunitaires ou inflammatoires). Elle augmente les risques de « coup de chaleur ». Baisse de vigilance, vomissements, troubles du comportement et respiratoires, voire perte de connaissance. Elle est responsable d’une hémoconcentration, à l’origine d’une augmentation de la viscosité du sang, d’une moindre capacité d’épuration des déchets, d’une altération des échanges thermiques et de la perfusion des muscles actifs. Elle augmente les risques de blessures, en particulier tendineuses. Elle diminue le volume d’éjection systolique et augmente de ce fait le rythme cardiaque. Elle augmente les risques d’apparition de calculs rénaux à long terme, pouvant atteindre 10% dans la population sportive, soit une fréquence cinq fois plus élevée que dans la population sédentaire. Par ailleurs, l’effort de longue durée, associée à une stratégie d’hydratation inadaptée, peut être à l’origine d’une hyponatrémie symptomatique plus communément connue sous le nom d’intoxication à l’eau. En effet, lorsque le sportif compense ses pertes en eau mais pas en Sodium, il s’en suit une diminution de sa concentration plasmatique à l’origine d’une baisse des performances, de maux de têtes, de crampes, de nausées voire d’une perte de connaissance dans les cas les plus extrêmes. D’autres facteurs peuvent augmenter les risques d’hyponatrémie : prise de diurétiques ou consommation excessive de bière (il s’agit d’un conseil sérieux !) ou dysfonctionnement rénal. Les femmes, les sportifs souffrant de troubles digestifs (vomissements ou diarrhées), lents et/ou peu acclimatés sont par ailleurs plus exposés à ce risque, par ailleurs plus fréquent lors d’efforts d’une durée supérieure à 3h. On estime à 15 à 30% le pourcentage de marathoniens souffrant d’une hyponatrémie modérée pendant ou après l’effort. C’est pourquoi une stratégie orientée sur la prise unique de soda, de sirop ou de jus de fruits au cours des efforts de longue durée est à éviter, surtout par climat chaud et si vous ne faites pas partie du peloton de tête ! Rien de tel pour se motiver à boire régulièrement, non ? Et en pratique ? Au quotidien : Boire au minimum 1,5 L d’eau régulièrement au cours de la journée, auxquels se rajoutent 500 ml / heure d’effort en moyenne. Boire suffisamment vous permettra par ailleurs, au delà de vous hydrater, de mieux réguler votre transit en cas de constipation. Boire au minimum 1,5 L d’eau régulièrement au cours de la journée, auxquels se rajoutent 500 ml / heure d’effort en moyenne. Boire suffisamment vous permettra par ailleurs, au delà de vous hydrater, de mieux réguler votre transit en cas de constipation. Eviter de boire de trop grandes quantités de boisson au cours du repas : 1 à 2 verres maximum, pour optimiser la qualité de la digestion et éviter la dilution des sucs digestifs. Préférez le thé au café, moins diurétique et plus riche en antioxydants. Attention aux draineurs, pouvant posséder une forte activité diurétique peu compatible en période d’entraînement intense. 5 Varier au maximum le choix des eaux, en préférant des eaux de sources ou minérales. En effet, certains polluants ne sont pas totalement éliminés par les stations d’épuration, à commencer par les hormones féminines issues des moyens de contraception… Les teneurs en nitrates des eaux du robinet sont toutefois aujourd’hui beaucoup mieux contrôlées. Si vous consommez des eaux gazeuses, attention aux eaux riches en sodium même si ces dernières sont intéressantes en récupération. Préférez des eaux pauvres en ions Chlorure ou Sulfates mais riches en bicarbonates pour participer à un bon équilibre acido-basique. Certaines eaux, telle que Salvetat par exemple, sont intéressantes à ce titre. Attention également aux eaux riches en Magnésium pouvant accélérer le transit en grandes quantités : la nature du sel de Magnésium présent est par ailleurs peu biodisponible et couvre donc difficilement les besoins quotidiens. Pendant l’effort Il peut être difficile, voire impossible, de compenser la déshydratation au cours des efforts de très longue durée réalisés dans un environnement chaud. L’objectif est donc de minimiser et de retarder au maximum son apparition, grâce à une stratégie bien menée : Inutile de vous surhydrater le jour de la course : augmenter les apports d’environ 500 mL par jour au cours de la dernière semaine pour favoriser l’hydratation et la mise en réserve du glycogène musculaire. Pensez à bien boire entre la fin du repas d’avant-course et le départ, environ 500 ml par petites gorgées en 3 à 4h. Attention à la surconsommation de caféine, possédant une forte activité diurétique. Boire dès le début de l’effort. Tout ce qui est perdu ne sera pas récupéré. Boire régulièrement par petites quantités : en effet, une telle prise fractionnée favorise la vidange gastrique et le confort qui en découle. Boire régulièrement l’équivalent d’1 à 2 gorgées toutes les 7 à 10min. Dans tous les cas, pas plus de 300ml et au minimum toutes les 20min. Le volume théorique conseillé est de 500 ml / heure d’effort ou 6 à 8 ml / kg poids corporel / heure : toutefois, en fonction des conditions climatiques, de l’intensité et de la durée de l’effort, des tolérances et des niveaux de déshydratation individuels, ce volume peut varier de 300 à 900 ml /heure d’effort. Tester votre stratégie à l’entraînement, dans des conditions de course et à plusieurs reprises, pour plusieurs raisons : vérifier votre tolérance à la boisson choisie et habituer votre estomac à se dilater au cours de l’effort. Entraînez votre estomac, au même titre que votre cœur et vos muscles ! Dans l’idéal, préférez une boisson de l’effort commerciale plutôt qu’artisanale. S’il existe bien un produit méritant un investissement, c’est votre boisson de l’effort. Et au regard du cout du matériel, cet investissement demeure très relatif… En effet, au delà de l’hydratation, les boissons présentent d’autres bénéfices que nous ne développerons pas tous ici car en dehors du sujet : maîtrise de l’osmolarité, apport en glucides complémentaires (glucose ou dextrose, fructose, maltodextrines de DE complémentaires), acides aminés fonctionnels (BCAA notamment), sels désacidifiants pour tamponner l’acidité générée au cours de l’effort (citrates, bicarbonates au détriment du chlorure), autres électrolytes (magnésium, potassium, zinc, etc.) et vitamines (B1 notamment). Et dans ce domaine encore, la notion d’individualisation de la stratégie est essentielle, tant en terme de volume, de fréquence que de nature des apports alimentaires. En récupération Les objectifs de la réhydratation en récupération sont multiples. Notamment : Restaurer le statut hydro-électrolytique Drainer les métabolites (déchets) produits au cours de l’effort Tamponner l’acidité 6 En pratique : Boire au minimum 150% des liquides perdus au cours de l’effort, soit environ 1,5 L par kg poids corporel perdu, le plus tôt possible après l’effort et en quantités régulières. Boire des eaux sodées bicarbonatées (Vichy, Badoit, St-Yorre), idéalement associées à une boisson de récupération riche en minéraux (Sodium, Potassium, Magnésium notamment) sous forme de sels désacidifiants (citrates, bicarbonates). Les eaux sodées bicarbonatées doivent leur notoriété à la présence conjointe de sodium, permettant de participer à la restauration des pertes en sodium, et de bicarbonates possédant la propriété de neutraliser en partie les acides générés au cours de l’effort. Le sodium alimentaire permet de restaurer le statut sodique mais également de favoriser l’hydratation, en particulier en complément des glucides : vous pouvez donc, dans le cadre d’une stratégie globale de récupération (non abordée ici), consommer régulièrement des végétaux digestes riches en potassium et sels organiques (banane bien mure, fruits secs selon tolérance digestive, compote, jus de légumes, légumes cuits au cours du repas de récupération) et des aliments salés (noix salées par exemple). Penser à bien saler vos aliments. Et la bière dans tout ça, me direz-vous ? L’alcool étant malheureusement diurétique, et au regard de sa composition nutritionnelle, ce célèbre breuvage n’est malheureusement pas la boisson la plus adaptée à la récupération, quoi qu’en disent les habitudes… Mais la notion de plaisir faisant bien évidemment partie intégrante de la stratégie nutritionnelle, il s’agit de concilier l’ensemble des objectifs. Donc, pour les amateurs de cervoise, réhydratez-vous idéalement avec de l’eau avant de vous installer en terrasse autour d’une bonne bière bien méritée. Pour trinquer ! En conclusion Les signes de la déshydratation : Une perte de 4% de votre poids en eau réduit de 40% la capacité d’effort physique et psychologique et peut également entraîner des symptômes désagréables tels: Une sensation de soif; Une élévation de la fréquence cardiaque; Une baisse de la tension artérielle; Une chute des performances sportives, caractérisée par une sensation de fatigue, d’essoufflement, de lourdeur aux jambes, de douleurs musculaires et ligamentaires ou encore par une tendinite; Une urine foncée et une odeur nauséabonde sont aussi des caractéristiques typiques d’une déshydratation et d’un corps intoxiqué par ses déchets métaboliques; Un sentiment de confusion; La langue, la bouche et la peau sèche; Une diminution de la quantité d’urine; Une perte de poids rapide; 7 Des crampes. À savoir L’hydratation est la clé de toute bonne pratique sportive. Il faut boire non seulement pour se réhydrater mais aussi parce que sans apport de boisson, notre corps ne peut stocker d’énergie. L’aliment principal du muscle est le glycogène et pour stocker un seul gramme de glycogène, il faut consommer trois grammes d’eau. Alors, le secret? BUVEZ! 8