Ouverture du showroom Jupiter

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Ouverture du showroom Jupiter
Jupiter N°8
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N°8
Septembre 2006
Lettre d’informations de Jupiter France
Ouverture du
showroom Jupiter
A
vec l’ouverture de ce superbe showroom, Jupiter crée
l’événement de la rentrée.
Comme on pouvait s’y attendre, la
marque met les petits plats dans
les grands pour accueillir les
musiciens. Tout d’abord, en s’installant au cœur du quartier de la
musique à Paris, au numéro 57 de
la fameuse rue de Rome, qui fait
figure de “Champs-Elysées” des
musiciens, une réputation qui s’étend bien au-delà de nos frontières ! Ensuite, en concevant un
écrin pour exposer l’ensemble
Ouverture du
Situé 57, rue de Rome (Paris 8e), le
r : Showroom Jupiter permettra de découvrir
de la gamme des cuivres et Showroom Jupite
e
l’ensemble de la gamme cuivres et bois.
des bois. Ainsi, le musicien
le 19 septembr
Cet espace d’exposition n’ayant pas de
2006
pourra découvrir et essayer les
vocation commerciale, aucune vente ne
nouveautés comme les références
sera faite sur place.
phares du catalogue Jupiter dans
des conditions idéales.
Edito
L
a rentrée de septembre
est un période clé pour les
musiciens. La reprise des
cours, la nouvelle saison à
l’orchestre… C’est également
le moment où chacun se mobilise
sur de nouveaux projets après le
repos réparateur de l’été.
Justement, pour cette rentrée,
Jupiter franchit une nouvelle étape
dans son implantation dans
l’hexagone. Plébiscitée par des
musiciens toujours plus nombreux,
notre ligne complète “cuivres
et bois” sera désormais exposée
dans notre showroom situé
57, rue de Rome, à Paris.
Venez nous rendre visite !
Bonne rentrée en musique !
Bruno Blondel
La série 900 au complet
Fer de lance de la gamme des saxophones
Jupiter, la très professionnelle série 900
s’enrichit de nouveaux modèles.
Nous résumons ci-dessous l’ensemble de
la ligne :
• Les saxophones alto se déclinent soit en
finition vernie, soit en cuivre rose, soit en
argenté avec un bocal en argent massif.
Les modèles vernis et argentés ont déjà
séduit bon nombre de saxophonistes qui
ont été impressionnés par leur qualité de
timbre et leur très grande justesse. L’arrivée
du modèle en cuivre rose complète idéalement la gamme. A n’en pas douter, ce
modèle va satisfaire de nombreux musiciens à la recherche de nouvelles couleurs
sonores.
• Les saxophones ténor
bénéficient des mêmes
avancées techniques que
les altos et se déclinent
également, soit en verni, soit
en cuivre rose, soit en argenté
avec bocal en argent massif.
• Le saxophone soprano 900 en finition vernie répond exactement aux exigences des
musiciens les plus pointus.
• Le saxophone baryton équipé d’une
pique apporte un meilleur confort de jeu.
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Musique à l’école
un projet d’envergure dans la Sarthe
A
près après avoir relayé le projet
“Musique à l’école” développé à
Dunkerque (Lettre Jupiter n°7), nous
poursuivons avec un projet lancé dès la rentrée 2006 dans la région du Mans (72).
Frédéric Bois nous explique les tenants et
aboutissants de cette initiative de grande
envergure.
Pouvez-vous nous décrire en quelques
mots le cadre de ce projet ?
Ce projet est à l’initiative de l’Ecole
Intercommunale du canton de Pontvallain qui
compte 80 élèves. La Communauté de 9
Communes rurales d’environ 10 000 habitants
se trouve à 25 km au sud de Mans. Il reste
encore 7 Sociétés Musicales, malheureusement vieillissantes, sur ce territoire. Une classe de 6e de 24 enfants sera équipée en instruments d’harmonie dès la rentrée au collège
Jacques Prévert de Pontvallain.
L’instrumentarium a été choisi le plus varié
possible. Ainsi, il y aura 4 flûtes, 4 clarinettes, 4 saxophones (dont un ténor à disposition), 4 trompettes, 3 cors, 3 trombones et 2
tubas. Les enfants bénéficieront de 3 heures
Frédéric Bois,
de la trompette au cor
Après avoir étudié la trompette
avec Jean-Paul Leroy, André et
Frédéric Presles et Robert
Pichereau, Frédéric Bois débute
le cor à l’âge de 21 ans avec JeanClaude Baillieux et Jacques
Adnet. Il rentre 6 ans après
comme Cor solo à l’Orchestre
Régional de Basse-Normandie où
il poursuit son activité depuis
plus de 12 ans. Il dirige depuis 2 ans l’Ecole
Intercommunale de Musique du Canton de Pontvallain où
il ouvre une classe de cor. Il a enseigné le cor en
2005/2006 à l’ENM du Havre. Passionné de pratique collective amateur, il partage son expérience de musicien
d’orchestre professionnel en dirigeant 2 harmonies
Sarthoises (Spay et Giocoso).
de Musique hebdomadaires : l’heure traditionnelle, 1 heure d’instrument en groupe avec 6
professeurs de l’école de Musique et 1 heure
d’ensemble avec la professeur de Musique du
collège (corniste). Ce projet “Musique à l’école” a été proposé comme une “option” lors de
l’inscription. Il est à noter qu’il n’y a eu
aucun problème pour trouver les 24 volontaires (liste d’attente) soit 30% des inscriptions
du collège. Ce projet doit durer 3 ans avec
cette même classe. La population concernée
est d’origine assez modeste et le fait que tout
soit gratuit semble être considéré comme une
aubaine pour accéder à la Musique.
Comment est née l'idée ?
L’idée du projet est née à la suite d’une table
ronde organisée par la Fédération Musicale de
la Sarthe sur le sujet “Dynamiser l’image des
cuivres” avec Fabrice Colas qui nous présenta
lors de la soirée le projet pilote de Cergy.
Devant les difficultés à recruter de nouveaux
musiciens et particulièrement des instrumentistes à vent, j’ai vu dans ce genre de projet
un formidable espoir pour l’avenir.
Quel a été l'accueil des partenaires ?
Avant toute chose, il faut trouver un enseignant et une école partante. Nous invitons
sur le Canton de Pontvallain les musiciens à
jouer ensemble à l’occasion de grandes manifestations (Projet Sax en Sarthe 2006, Weekend avec la Musique des Pompiers de Paris en
janvier 2007). Les professeurs de Musique des
deux collèges y participant, l’accueil fut très
bon. D’ailleurs, nous pensions créer une classe-orchestre dans les deux collèges pour
encore favoriser les échanges et la vie intercommunale, mais malheureusement, ça ne
sera possible que dans un seul établissement.
Ensuite, j’ai présenté le projet au bureau de la
Communauté de Communes (9 Maires et 3
Adjoints) qui lui aussi a été enthousiasmé par
ce projet et a débloqué un budget conséquent
(25% du parc instrumental) et donné son
accord pour la prise en charge des intervenants (6 professeurs de l’Ecole de Musique).
S’en est suivi la longue période de recherche
La classe d'orchestre Junior des Ecoles Intercommunales
du Canton de Pontvallain et “Aune & Loir” devant l'église
d'Aubigné-Racan, le 21 juin 2006 à l'occasion de la Fête
de la Musique.
de financement. Chacun a pris son bâton de
pèlerin. Ainsi, notre Député nous amène 35%
sur sa réserve parlementaire et les 40% restants seront des fonds privés récoltés par l’intermédiaire de l’Association “GIOCOSO” qui a
pour vocation de promouvoir la Musique sur
notre territoire. Les 2 banques locales et
l’Atelier d’Orphée, luthier au Mans, nous
apportent aussi leur soutien financier. Il est à
noter que la Principale du collège de
Pontvallain et toute son équipe soutiennent
vraiment ce projet en mettant à disposition la
professeur de Musique pour les 2 heures supplémentaires et les locaux nécessaires.
A partir de votre expérience, quelles sont
les principales difficultés à surmonter
pour monter ce type de projet ?
Les difficultés à surmonter sont tout d’abord
humaines :
• Il faut trouver un établissement avec un
enseignant et une direction vraiment motivés. Il faut aussi avoir des locaux appropriés
(une des raisons qui a rendu impossible la
réalisation du projet dans le second collège).
• Avoir le soutien actif des élus.
• Avoir une équipe pédagogique dans l’école
de Musique motivée pour ces expériences.
• Impliquer dans le projet les structures musicales locales car il faut dès que possible créer
des passerelles entre cette classe et les
musiques locales pour que l’intégration en
cours ou à la fin de l’expérience se fasse le
plus naturellement possible.
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L’orchestre à l’école par Jupiter
Il y a ensuite les difficultés matérielles et
bien sûr financières.
• Avoir un soutien financier non négligeable
de la collectivité locale.
• “Ratisser large” auprès des différentes institutions. Il y a aussi des Fondations qui peuvent aider ce genre de projets. Les dossiers
doivent être montés très en amont.
• Prospecter pour le Mécénat privé auprès des
entreprises ou des personnes car les dons
ouvrent droit à une réduction d’impôt importante (60%).
Cette expérience est-elle destinée à être
essaimée dans la région dans un futur
proche ?
Plusieurs classes ouvriront leurs portes à la
Musique dès la rentrée prochaine (La Flèche,
Alençon). Il y a déjà 2 classes dans les collèges d’Allonnes et 2 en primaire à ArnageMulsanne. Le projet de Goron (Mayenne) remporte un large succès et sera transformé en
Classe à Horaires Aménagés à partir de la rentrée prochaine, une première en France !
Quelques mots sur Jupiter et les atouts de
cette marque dans ce type de projet…
L’achat du parc instrumental étant la part
principale du budget, il faut vraiment trouver
le bon dosage entre diversité de l’instrumentarium, prix d’achat, qualité intrinsèque des
instruments et fiabilité dans le temps. On
peut avoir un parc d’une seule marque ou bien
chercher dans chaque marque les meilleurs
rapports qualité-prix. Je me suis donc beaucoup renseigné auprès de plusieurs amis
luthiers ou bien encore auprès des enseignants de l’ITEMM. Recevant bien sûr les différents tarifs, j’ai été très intéressé par l’offre globale Jupiter. Malheureusement, j’avais
de cette marque, encore assez peu connue
dans la Sarthe, des échos controversés. Je
suis alors entré directement en relation avec
Jupiter France et nous avons énormément
parlé des produits et de leur fabrication. J’ai
personnellement essayé les cors et ma femme
flûtiste - en classe de pédagogie au CNSM - a
essayé les flûtes. Les instruments nous ont
semblé très intéressants avec un excellent
rapport qualité-prix. Fort de ces premiers
essais, nous en avons parlé à Gérard Klein de
l’Atelier d’Orphée, luthier-revendeur au Mans.
Il a accepté de façon très ouverte d’organiser
dans ses locaux un essai comparatif de toute
la gamme avec des modèles d’autres marques.
Nous avions pour l’occasion, invité des collègues de la Sarthe (2 ou 3 par instrument).
Chacun a essayé et donné son avis librement.
Pour aider les classes à s’équiper en
instruments, Jupiter France a développé
une offre spéciale en collaboration avec le
revendeur spécialisé local. Les deux partenaires consentent des conditions exceptionnelles. Ainsi, pour un projet standard
(25 instruments pour une classe de 25
élèves), le montant global reste sous la
barre des 15 000 euros TTC. La réalisation
des derniers projets démontre que la plupart d’entre eux se concrétisent avec un
budget compris entre 13 000 et 14 000
euros TTC.
Tous ont, je crois, été surpris et intéressés. Ils
ont reconnu le très bon rapport qualité-prix
de la gamme et m’ont confirmé le choix de
ces instruments pour le projet Musique à l’école. Il faut ajouter que l’Atelier d’Orphée et
Jupiter nous ont fait bénéficier de conditions
très intéressantes ce qui nous a permis d’avoir un parc très complet et varié, de bonne
qualité et qui rentrait dans notre budget.
L’entretien du parc a été prévu pour les 3
années du projet. C’est donc bien plus qu’une simple relation commerciale, mais plutôt
un véritable partenariat qui a été mis en
place, élément indispensable pour ce genre
d’expérience qui demande un sincère engagement sur la durée.•
Cornet JCR 1220 RL par Frédéric Presle
rofesseur au CNR de Boulogne (92), musicien actif dans
plusieurs formations, Frédéric Presle mesure chaque jour,
que ce soit en enseignant ou sur scène, l’importance de
disposer d’un instrument fiable et performant. Ce passionné de facture instrumentale a eu la chance de vivre la genèse de
la conception du cornet JCR 1220 RL, nouvel instrument de la
gamme professionnelle Jupiter : “Comme d’autres professionnels,
j’ai pu essayer le Cornet 1220 RL et
formuler des remarques pour encore affiner la qualité de l’instrument. Lors du dernier Salon de
Francfort, en avril 2006, j’ai eu
enfin le plaisir de souffler dans
l’instrument “de série”. C’est vraiment un très beau cornet.
L’esthétique reste classique mais
dans le meilleur sens du terme : la
sonorité est ronde et chaude et la
justesse est sans reproche. Je dois
P
dire que le modèle
d’étude 526 m’avait déjà beaucoup
séduit par ses qualités
générales. Avec le
1220 RL, on change réellement de gamme. Il n’y a
pas les limites qu’on peut trouver
sur un instrument d’étude : le son
est plus ouvert et on conserve une
très belle couleur de son dans toutes
les nuances, du piano au forte. C’est
une sonorité de “vrai” cornet, loin
de l’esthétique “trompette” qui prédomine souvent. Il faut également
saluer le trigger de la première coulisse, la bonne ergonomie et, bien
sûr, un rapport qualité-prix très favorable, comme toujours chez
Jupiter. Bref, c’est un instrument à essayer !”
Trompette JCR1220 RL : 1690 € (argenté : 1840 €) prix public conseillé TTC
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La Lettre Jupiter est publiée
par Jupiter France.
20, rue Clavel 75019 Paris
Tél : 01 53 38 63 43
e-mail : [email protected] - site : www.jupiterfrance.com
Réalisation graphique : PMR - Impression : Imprimerie Stipa
© septembre 2006
BARYTON MARCHING JBR 560L JUPITER
es premières traces de la
Compagnie des Carabiniers
du Prince de Monaco
remontent à 1830, sous le règne
du Prince Honoré V. Cette unité
disparaîtra puis renaîtra au gré
des changements de règne. A
l’issue de la seconde guerre
mondiale, l’élément musical se
compose uniquement de clairons
qui exécutent les sonneries
réglementaires et marches de
relève (marches françaises). En
mai 1966, commence l’instruction de 6
Carabiniers tambours en vue de la formation d’une clique. Celle-ci est officiellement
créée le 1er mars 1967, ce qui porte l’effectif à 12 musiciens. Les fameuses relèves de
la Garde s’effectuent depuis avec 2 tambours et 2 clairons.
Fin 1978, l’Adjudant-Chef Jean-Pierre Butin
devient Chef de Fanfare. La clique restructurée (trombones, barytons, basses,
contrebasses, trompettes, cornets, bugles,
saxophones et percussions) prend désormais l’appellation de “Fanfare de la compagnie des Carabiniers du Prince”.
Actuellement, la Fanfare est composée d’un
Chef de Fanfare et de 27 musiciens. Elle
assure de nombreuses missions : sonneries
réglementaires lors des services d’honneur
et relève de Garde, concerts de musique
militaire et de variété donnés sur la place
du Palais durant la période estivale. Elle
assure également les manifestations officielles de la Principauté (réceptions de
Chefs d’Etat, Fête Nationale, Prises d’armes
etc). Des activités officielles et protocolai-
L
Vue du port de Monaco
due de son registre, ce qui le rend facile d’émission. Précis dans la justesse, il bénéficie
d’une coulisse d’accord au 3e piston, comme
sur les trompettes, ce qui se révèle très pratique. Le baryton JBR 560L nous permet
donc de donner au pupitre une dimension
nouvelle, tant sur l’efficacité musicale que
sur la prestance.”◆
Baryton JBR 560L : 1 580€ prix public conseillé TTC.
res qui expliquent le soin apporté à la
sélection des instruments joués par la
Fanfare, comme nous l’explique le Maréchal
des Logis Christian Escaffre : “Comme dans
la majeure partie des formations françaises,
la Fanfare disposait jusqu’à présent de barytons traditionnels. Je souhaitais donner au
pupitre, un rendu différent en prestations
extérieures, j’ai donc fait essayer aux musiciens le Baryton Marching JBR 560L Jupiter.
Le concept de l’instrument nous a rapidement séduit. Son pavillon horizontal permet
d’obtenir un son directionnel, similaire à
celui du trombone. Autre point décisif : cet
instrument apporte à la formation un aspect
visuel novateur, notamment lors de nos évolutions.” D’autres atouts expliquent la réaction enthousiaste des musiciens de la
Fanfare : “J’ai pu constater que les musiciens prennent beaucoup de plaisir sur cet
instrument. Ils reconnaissent qu’il est doté
d’atouts majeurs, tant sur le plan mécanique que sur ses qualités acoustiques.
D’une légèreté surprenante, bien équilibré,
ce Baryton est très souple sur toute l’éten-
Un nouveau tuba pro
Le nouveau tuba professionnel en Ut JCB584 est
désormais disponible. Un superbe instrument sur
lequel nous reviendrons plus en détail dans la prochaine Lettre Jupiter à l’occasion d’un banc d’essai
par l’un des meilleurs tubistes français.
hÇ ÑtÜvÉâÜá xåxÅÑÄt|Üx
Maréchal des Logis, Christian Escaffre est lauréat du
Conservatoire National de la ville de Toulouse en 1979
(en classe de trompette). En 1980, il intègre le 1er
Régiment de Chasseurs Parachutiste dans la Musique
de la 11e Division Parachutiste à Pau/Idron (Pyrénées
Atlantiques). De 1981 à 1984, il est engagé volontaire
dans la Musique Régionale du 8e Régiment de
Transmissions au Mont Valérien (Hauts de Seine).
En parallèle, il suit des études musicales au
Conservatoire National de la ville de Paris (Classes de
trompette et de Formation musicale), joue dans diverses formations (classique, variété, jazz) et occupe le
poste d’instructeur au sein de la Fédération Culturelle
et Sportive de France. Il rejoint la Compagnie des
Carabiniers du Prince en 1985. Dix ans plus tard, il
devient adjoint au Chef de Fanfare et reprend les études de direction musicale au Conservatoire de
Musique Militaire de l’Armée de Terre de Versailles.
En 1999, Christian Escaffre obtient le diplôme de Chef
de Fanfare. Depuis le 6 avril 2004, il occupe le poste
de Chef de la Fanfare à la Compagnie des Carabiniers
du Prince de Monaco.
Vous souhaitez intégrer la Fanfare ?
Pour tout renseignement :
Fanfare des Carabiniers 5, boulevard de Belgique
98000 Monaco - Tél. : 00.377.93.15.64.00
E-mail : [email protected]

Documents pareils

Trombones, la gamme

Trombones, la gamme La Lettre Jupiter est publiée par Jupiter France. 20, rue Clavel 75019 Paris Tél : 01 53 38 63 43 e-mail : [email protected] - site : www.jupiterfrance.com Réalisation graphique : PMR - Im...

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