olivier letellier - Théâtre du Phare
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olivier letellier - Théâtre du Phare
crédit photo - Nicolas Joubard Dossier de présentation > OLIVIER LETELLIER La Mort du roi Tsongor récit - musique Production > Le théâtre du Phare (94) Production déléguée > ici même productions 57 quai de la Prévalaye - 35000 Rennes T > + 33 (0)2 99 79 24 35 – F > +33 (0)2 99 79 26 07 [email protected] - www.icimeme.fr Diffusion > Agence SINE QUA NON – Liliane BOTTÉON 27 rue Fidèle Simon - BP 164 - 44613 - Saint Nazaire cedex T > + 33 (0)2 51 10 04 04 – F > + 33 (0)2 51 10 04 05 [email protected] - www.agence-sinequanon.com Distribution - Partenaires récit – musique > durée - 1h30 Olivier Letellier récit Julie Läderach violoncelle mise en scène et adaptation Guillaume Servely / Olivier Letellier création musicale Simon Kastelnik création lumière Lionel Mahé scénographie et costume Dodeskaden collaboration artistique Isabelle Magnin / Pépito Matéo collaboration à l’adaptation Caroline Girard Production Le Théâtre du Phare Coproductions Centre Culturel / Maison du Conte - Chevilly-Larue (94) Centre Jean Vilar - Ville de Champigny sur Marne (94) Le Strapontin, scène des arts de la parole - Pont Scorff (56) Festival Paroles d’Hiver - ODDC Côtes d’Armor (22) Soutiens Conseil Général du Val-de-Marne (94) Les Théâtrales Charles Dullin - Orly (94) Le Glob Théâtre - Bordeaux (33) Festival du conte - Château d’Oléron (17) Centre Culturel L’Intervalle - Noyal sur villaine (35) Présentation C’est le jour heureux où Tsongor marie sa fille. Le jour où il croit enterrer à jamais le roi de sang qu’il a été. C’est le jour tragique où la guerre éclate. Et déchire son clan encore, encore… Encore. Le jour où Souba, le plus jeune des Tsongor, part en exil… pour qu’il reste peut-être un homme qui ne soit pas un barbare… Cette quête initiatique le mène à la rencontre de son père, à la rencontre de lui-même : il se confronte à cet héritage familial que nous portons tous, sans le savoir, et qui nous conditionne malgré nous. Il plonge jusqu’aux racines de la violence et nous place face à nos propres démons. Olivier Letellier s’empare à bras le corps de cette grande épopée de Laurent Gaudé. Il poursuit son exploration d’un théâtre de récit qui fait jeu de tout, pétri d’images fortes. Un duo avec Julie Läderach au violoncelle, pour un corps à corde qui nous entraîne dans une antiquité imaginaire, troublant reflet de la folie des hommes d’aujourd’hui. Une parole simple et cruelle, terriblement humaine, urgente… Le roman «La Mort du roi Tsongor» a obtenu le Goncourt des lycéens en 2002 et le prix des libraires en 2003. Résumé > par Olivier Letellier Histoire La Mort du roi de Tsongor est une épopée comparable à l’Illiade, une histoire humaine de dimension mythologique. Une écriture contemporaine, qui traite de la transmission, de la filiation, mais aussi de la barbarie des hommes. Dès sa lecture, le roman de Laurent Gaudé m’a donné l’envie de raconter l’histoire du clan Tsongor. Je me suis trouvé face à une langue, à un récit intense, à un univers singulier. La poétique de l’écriture et la puissance évocatrice des mots créent des images percutantes et universelles, les personnages y sont de grandes figures intemporelles auxquelles chacun peut s’identifier, comme dans les contes traditionnels. En s’inspirant des mythes et mélangeant les géographies, Laurent Gaudé a recréé une antiquité imaginaire qui porte des problématiques contemporaines. Pour l’adaptation scénique du roman, nous nous sommes efforcés de rester au plus près du texte d’origine. Olivier Letellier Résumé (Dans une antiquité imaginaire) Le soleil se lève sur Massaba. Demain, le vieux roi Tsongor doit marier sa fille. Pour la première fois, enfin, il va unir son empire à un autre, autrement que par les armes. Kouame, le prince des terres de sel, s’apprête à épouser Samilia. Mais Sango-Kérim revient pour réclamer sa main. Enfants, ils s’étaient promis l’un à l’autre. Entre celui qu’il a choisi et celui qu’il a toujours considéré comme son fils malgré les années d’exil, le souverain ne peut trancher. Il se donne la mort. Son sacrifice ne suffit pas et la guerre éclate. Le clan Tsongor se divise. Les armées se livrent des luttes sanglantes. Samilia prend conscience qu’elle n’est plus que prétexte au déchaînement d’une folie guerrière qui n’a plus besoin d’elle pour se perpétuer. En parallèle, Souba, le plus jeune des fils, parcourt les terres du royaume sur ordre de son père. Il doit ériger sept tombeaux à l’image de Tsongor. C’est pour lui un voyage initiatique à la découverte de qui fut son père. C’est une découverte de lui-même, avant de revenir sur les ruines de Massaba. Note d’intention > par Olivier Letellier Il me semble essentiel de porter cette parole au plus grand nombre, et plus particulièrement aux jeunes adolescents qui sont à l’âge de grands questionnements. En abordant ce grand récit, nous voulons raconter la violence de l’homme qui se transmet de génération en génération, inéluctablement. La guerre qui appelle la guerre. L’adaptation s’articule autour de Souba, le personnage que le spectateur peut identifier au conteur. Celui dont la parole est portée en « je ». Sa quête initiatique l’amène à la rencontre de son père, à la rencontre de lui-même. Elle le confronte au poids de son héritage familial : Comment évoluer sans comprendre d’où l’on vient et ce que l’on porte malgré soi ? Loin des combats, Souba découvre sa part de violence, sans être entraîné dans la barbarie. Echappant à cette spirale, il peut reconnaître cette violence, l’accepter et avoir le choix de la dépasser. C’est ce chemin - reconnaître, accepter, dépasser - qui nous intéresse. C’est aussi celui d’une identité en construction, en devenir : Le seul porteur d’une alternative au déterminisme, le seul porteur d’espoir. Souba, donc, mais également le personnage de Samilia. Elle incarne ce qui n’a pu se dire, n’a pu se faire entendre, ce qui pèse sous chaque silence. Elle place les hommes face à leurs responsabilités et leur offre en vain une alternative à la barbarie guerrière. Elle est la femme comme promesse d’avenir, sacrifiée. La musicienne est cette présence féminine, le violoncelle sa voix. C’est au travers de son regard, de son impuissance, que nous mettons en scène les combats. Arguments de mise en scène par Olivier Letellier UN DUO La violence est aujourd’hui curieusement déréalisée. La transposition d’une épopée épique permet le même travail que les grands contes : donner la distance suffisante pour avoir les moyens d’entendre, et atteindre une dimension symbolique qui parle à l’inconscient collectif. Le conteur sera le passeur entre le mythe et l’intime, le porteur des résonances de l’histoire en chacun. Etre porteur d’une parole simple, terriblement humaine, en lien avec le public, et se hisser dans le même temps à cette dimension mythique. Il nous accompagne dans cette découverte de son propre passé / sa propre histoire. La musicienne transpose la violence des combats pour que l’imaginaire chemine par tous les sens. Tsongor est comme la métaphore d’un monde archaïque qui a confié à son fils le destin des hommes de demain. Un formidable espoir de changement placé entre les mains des générations à venir. Par un théâtre de récit mêlant transpositions visuelles et musicales, nous voulons permettre aux spectateurs de se projeter émotionnellement et de s’approprier le propos de cette grande épopée. Parcours Olivier LETELLIER comédien - conteur - metteur en scène Après s’être formé à l’école Internationale de théâtre Jacques Lecoq, il a joué sous la direction d’Alain Mollot, Marc Delaruelle et Sara Veron. Il a souvent travaillé avec des jeunes en tant que professeur au conservatoire de Champigny, intervenant en milieu scolaire, ou metteur en scène pour des projets associatifs. Il a découvert le conte avec Gigi Bigot et s’est formé auprès d’Abbi Patrix, Pépito Matéo et Muriel Bloch. Il est un partenaire privilégié de la Maison du Conte de Chevilly-Larue depuis plusieurs années. Il s’est mis en scène dans L’Homme de fer. Valérie Briffod et Cécile Delhomeau lui ont confié la mise en scène de leurs spectacles de conte. Il a assisté Catherine Verlaguet dans la mise en scène de son texte Chacun son dû. Yannick Jaulin l’a invité à créer son texte La légende de Monsieur Chance, sur une musique de Martin Matalon avec l’Orchestre National de Lorraine. Il a créé avec le Théâtre du mouvement « Equilibre Instable III », mis en scène par Yves Marc. Julie LÄDERACH violoncelliste Après des études au Conservatoire de Luxembourg où elle obtient le Prix Supérieur de violoncelle, elle part en Lettonie au Conservatoire de Riga puis en Géorgie suivre une Master class au Conservatoire de Tbilissi. De retour en France, elle s’intéresse de plus en plus à la musique contemporaine et obtient la Médaille d’Honneur de la ville de Bordeaux. Parallèlement, elle obtient le diplôme d’Etat de Professorat de violoncelle. Elle a travaillé avec l’Ensemble Takloy, ensemble de musique contemporaine, avec BLOK, collectif de musiciens, et avec Le cirque Zanzibar et les Nouveaux Nez pour le spectacle Mano a Mano. Elle a collaboré avec Musiques de Nuit (Bordeaux) lors de la venue de Mauricio KAGEL pour le festival NOV’ART. Elle joue dans DoubleFaze (duo saxophone-violoncelle). Enfin, elle est membre-fondatrice du projet Les Imprévisibles, rencontre d’artistes, musiciens, danseurs, d’ici et d’ailleurs, réunis par la pratique de l’improvisation en spectacle. Actuellement, elle est dans une démarche de création et s’est tournée vers le spectacle vivant en associant le violoncelle aux différents arts de la scène. Elle inclut dans son travail le rapport corps-espace, corps-musical, corps-instrument et corps en mouvement. Parcours Guillaume SERVELY metteur en scène Formé à l’école Jacques Lecoq et au Conservatoire National de Région de Paris en Danse Contemporaine. Il travaille comme comédien et danseur avec la Cie Zig-Zag, la Cie Oposito, la Cie Doriane Moretus et Catherine Verlaguet pour Chacun son dû. Il assiste Alain Gautré en acrobatie clownesque. En 2004, il crée avec Marielle Rémy Récits de lit, le premier volet d’une trilogie sur l’intime dont le deuxième, Récits de bain, est actuellement en création. Il signe les mises en scène de Cosa sola avec Léonore Canalès, Croisades de Michel Azama, En chair et en sucre, et Les petits mélancoliques de Fabrice Melquiot, spectacle dans lequel il est aussi comédien. En 2008 il mettra en scène La peau toute seule, de Philippe Aufort. Simon KASTELNIK création musicale Né d'une famille de musiciens, il s'est formé comme percussionniste au CNR d'Aquitaine, puis au CIAM à Bordeaux. Mais c'est surtout en expérimentant autour du vibraphone qu'il constitue son univers musical avec différents groupes de jazz (oriental, free, big band...). Ses voyages en Syrie et à Bali sont l'occasion pour lui de se former aux percussions traditionnelles et nourrissent ses propres compositions. En 2000 il crée Blok. Ce collectif (avec Julie Läderach au violoncelle) élabore un répertoire de musique définie comme inclassable... Ensemble, ils réalisent notamment de la musique pour l'image avec les ciné-concerts "Les Caprelles" de J. Painlevé (1er prix du concours Jean Vigo), "Octobre" de E. Eisenstein et "Tabou" de F. Murnau. Pour la compagnie Pierre Debauche, il compose et orchestre plusieurs comédies musicales. Il crée la musique de spectacles jeune public (Cie Karavanti, Cie des Baltringues), ainsi que la bande originale du film "La Part Maigre" de P. Kastelnik. Son intérêt pour les formes contemporaines l'ont amené à travailler l'improvisation avec Etienne Rolin (tournoi européen de l'improvisation libre à Poitiers - 2002), à participer à des spectacles de mime, et bientôt à collaborer à la création "Basculoscopie" de la compagnie de cirque Pipototal (2008). Lionel MAHE création lumière Formé au C.F.P.T.S., il a travaillé avec les metteurs en scène : Claude Bernhardt L’école imprévue, Daniel Bouvier, Michel Cochet La confession d’Abraham, L'anniversaire, Thomas Le Douarec Sentires, Olivier Letellier L'homme de fer, Bernard Murat L’affrontement, Nacéra Bélaza Le feu danse contemporaine. Pour le Théâtre National d’Alger il a éclairé Mme Butterfly et Rigoletto Il a assisté Philippe Lacombe et Jacques Rouveyrollis aux Théâtre Montparnasse, Théâtre Fontaine - Opéra Royal de Suède - STOCKHOLM. Il a réalisé un court métrage Terzo incommodo et participé à L’an 2000 ou presque rien, court métrage de François Ozon Laurent Gaudé Né le 6 juillet 1972, Laurent Gaudé vit à Paris. Une fois son bac en poche, il se décide à suivre des études littéraires de lettres modernes, jusqu’à la préparation d’une thèse en études théâtrales. Il demandera d’ailleurs que son sujet soit soumis à la direction de l’auteur et metteur en scène dramatique Jean-Pierre Sarrazac. Passionné par le théâtre, Laurent Gaudé se décide à vivre de sa plume. En 1999, ses efforts se révèlent payants avec la publication de sa toute première pièce, Combats de possédés, parue aux éditions Actes Sud à qui il est depuis toujours resté fidèle. Tout s’enchaîne alors très vite pour ce jeune auteur : sa pièce, traduite en allemand, est jouée à Essen dans une mise en scène de Jürgen Bosse. Sa seconde pièce, Onysos le furieux, est publiée en 2000, puis elle est montée dans la foulée en juin de la même année au Théâtre National de Strasbourg. Devant le succès grandissant de son auteur, Actes Sud édite en 2001 Pluies de cendres, sa troisième pièce créée en mars au Studio de la Comédie Française et Cris, son premier roman dont l’action se déroule dans les tranchées de la Première Guerre mondiale. En 2002, parution de deux nouvelles pièces : Cendres sur les mains et Le Tigre bleu de l’Euphrate. Laurent Gaudé revient un temps au roman avec La Mort du roi Tsongor qui reçoit le Prix Goncourt des lycéens 2002 et le Prix des Libraires en 2003. Travaillant à Paris, marié à une femme d’origine italienne, Laurent Gaudé prépare Le Soleil des Scorta, publié lors de la rentrée littéraire 2004. Ce roman épique, qui raconte la lignée familiale souvent malheureuse des Scorta, remporte le prix Jean Giono et le Prix Goncourt en 2004. Une première pour l’éditeur Actes Sud ! Le livre quant à lui avait rencontré le succès auprès du public dès sa sortie en librairie puisqu’il s’était déjà vendu à 80 000 exemplaires avant de se voir décerner le plus fameux des prix littéraires. En 2006 paraît le roman L’Eldorado, suivi en 2007 d’un recueil de nouvelles La Nuit Mozambique. En février dernier, toujours chez Actes Sud, est sortie sa nouvelle pièce Sofia Douleur. Fiche Technique SERVICES REQUIS : Deux hors pré implantation. (une concertation est souhaitable) Vous voudrez bien nous envoyer par mail, un plan au 1/50ème (format pdf) de votre salle, que nous vous renverrons compléter par nos soins. DEMANDE DE PERSONNEL : Un technicien spécialisé dans le son est obligatoire. De préférence : pupitre lumière à droite et console son à gauche. Selon les salles : - Deux ou trois techniciens lumière, dont un régisseur plateau qui assurera la machinerie pendant le spectacle. (1 effet) - Un technicien son LUMIERE : Un jeu d’orgue à mémoires séquentielles. (type avab PRESTO) 40 Gradateurs. (Vérifier les seuils des gradateurs avant notre arrivée) Projecteurs recommandé: 20 PC 1 KW. 2 PAR 64. CP 60 11 PAR 64. CP 61 16 PAR 64. CP 62 PAR 36. (fournis) Gélatines : - 114, 119, 132 Rosco - 201, 228 Lee Filters PLATEAU : Boite noire. 9 mètres d'ouverture minimum. 7 mètres de profondeur minimum. Hauteur des perches : 6 mètres minimum Pendrillons à l'italienne. Sol noir. Le décor se constitue de 7 tissus blancs (représentés par un sur le plan lumière) accrochés au grill et descendant jusqu’au sol. Un dispositif de machinerie permet de les décrocher pendant le spectacle. (Manipulés par un machiniste à votre charge) Prévoir un pied de micro pour accroche violoncelle en coulisse. (Embout d’accroche fourni). Une gueuse ou similaire : 8 KG environ. Eclairage coulisse. Quelques bouts de drisse et poulies en cas de besoin. Phospho pour quelques points au sol SON : *Diffusion stéréo en façade * 2 Retours (jardin / cour) en coulisse milieu scène *Deux micros HF fournis PLANNING TYPE : 09H00 – 10H30 : Montage scéno. 10H30 - 12H30 : Réglage lumière 14H00 – 15H00 : Fin réglages lumière / plateau 15H00 – 17H00 : Conduite. 17H00 - 18H30 : Raccords comédiens. Fiche Technique (suite) QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. Fiche Technique (suite) QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. EN TOURNÉE > LA SCAPHANDRIÈRE CREATION 2011 Théâtre de Récit et Images Tout Public à partir de 10 ans Mise en scène Olivier Letellier Texte et collaboration à la conception scénique Daniel Danis Collaboration artistique Cie Songes Mécaniques Scénographie d’image Ludovic Fouquet Régie, environnements image et son Didier Léglise Comédien Julien Frégé Photographies Krista Boggs Création lumière Lionel Mahé Régie Sébastien Revel SYNOPSIS Dans une petite ville, aux abords d’un lac de perles, Pierre, un jeune garçon, vit seul avec sa sœur aînée, Philomène, depuis la disparition de leurs parents noyés. Les pêcheurs nomment ce lac « La Loque » car il ne se passe pas une semaine sans que l’un des riverains s’y noie pour le reste de leurs jours, comme ils disent. Cette étendue d’eau recèle d’attraits, de trésors d’épaves, d’huîtres aux perles rouges … Pour assurer leur survie, Philomène s’engage dans le métier dangereux de cueilleuse de perles rouges. Pierre résiste à sa manière à ce système qui broie les individus, reste à l’école et construit avec ses « cheums » des cabanes dans les arbres. Chaque soir, Philomène revient enivrée de ses expériences sous-marines. Pierre se souvient des premières fois quand son père, puis sa mère revenaient de la pêche aux perles. Ça débute toujours ainsi : d’abord l’ivresse, et après on ne pense plus qu’au lac et on se saoule de ses allées et venues. Un jour, sur le tableau quotidien des manqués à l’appel : Philomène. Avec ses amis, Pierre invente une scaphandre-machine qu’il mettra à l’eau pour tenter de retrouver sa soeur… CREATION 2011 > LA SCAPHANDRIÈRE CALENDRIER PREVISIONNEL DE CREATION Printemps / Eté 2010 Recherche de partenaires et mise en route du projet. France, Québec. Ecriture du texte. Premières lectures en septembre. Du 16 au 26 octobre 2010 Résidence au Centre Jean Vilar, Champigny sur Marne (94) et à l’ECAM, Le Kremlin Bicêtre (94). Travail sur le texte et premiers essais techniques. Du 12 au 24 Février 2011 Résidence au Centre Jean Vilar, Champigny sur Marne (94) et à La Ferme Le Bel Ebat, Guyancourt (93). Recherche autour de la conception scénique. Du 16 au 26 Mai 2011 Résidence au Strapontin, Scène des Arts de la Parole, Pont-Scorff (56) Du 29 août au 3 septembre 2011 Résidence en région parisienne, travail sur le texte et le jeu d’acteur. Du 5 au 17 Septembre 2011 Résidence au Théâtre Simone Signoret, Conflans Ste Honorine (78) Du 3 au 10 Octobre 2011 Résidence au Théâtre des Feuillants, ABC Dijon – Bourgogne (21) Du 2 au 13 Novembre 2011 Résidence au Carré – Les Colonnes, Blanquefort - St Médard en Jalles (33) CREATION 14 et 15 novembre 2011 Le Carré - Les Colonnes, St Médard en Jalles / Blanquefort (33) Début de la tournée mi-novembre 2011 Reprise en région parisienne fin janvier 2012 Novembre Décembre 2011 22/11 > Pôle jeune Public, Le Revest (06) 24 et 25/11 > Théâtre de Grasse (06) 29 et 30/11 > Le Carré - Ste Maxime (83) 2/12 > Le Cadran – Briançon (05) 6/12 > Maison des Arts – Thonon (74) CREATION 2011 > LA SCAPHANDRIÈRE 2012 26 au 28/01 > Théâtre André Malraux, Chevilly Larue (94) 2 au 4/02 > ECAM, le Kremlin Bicêtre (94) 7 au 11/02 > Centre Jean Vilar, Champigny sur Marne (94) 14 au 17/02 > Théâtre de la Commune, CDN d’Aubervilliers (93) 23 au 25/02 > Festival A pas contés, Dijon (21) 08/03 > St Ouen l’Aumone (95) 16 et 17/03 > Théâtre Simone Signoret, Conflans Ste Honorine (78) 9/03 > Scène Du champ de foire, St André de Cubzac (33) 28 au 30/03 > Théâtre Le Strapontin, Pont Scorff (56) 4 au 7/04 > Festival Mythos, Rennes (35) Saison 2012/2013 Le Théâtre de Chaillot, Paris, octobre 2012 Festival Coups de Théâtre, Montréal, Quebec, novembre 2012 Le Grand T, Nantes (44), automne 2012 L’Hexagone, Meylan (38) et L’Espace 600, Grenoble (38) CREATION 2011 > LA SCAPHANDRIÈRE Production Le théâtre du Phare/ Olivier Letellier Champigny s/ Marne (94) c/o ICI MÊME – 57 quai de La Prévalaye, 35000 Rennes - T > + 33 (0)2 99 79 24 35 www.icimeme.fr Coproduction / partenariat Cie songes mécaniques Cie Daniel Danis, Arts/Sciences Québec Avec le soutien du Ministère de la Culture / DRAC Ile de France Soutiens sollicités Conseil Général du Val de Marne Ville de Champigny sur Marne CNC/ DICREAM Centre National du Théâtre Coproductions Le Théâtre André Malraux > Chevilly-Larue (94), L’ECAM > Le Kremlin-Bicêtre (94), ABC DijonBourgogne (21), Le Centre Jean Vilar > Champigny s/ Marne (94), Le Strapontin, scène des Arts de la Parole (56), Festival Coups de théâtre (Qc), le Carré - Les Colonnes > St Médard en Jalles / Blanquefort (33) Avec le soutien de Le Grand T > Nantes (44), Le Théâtre Simone Signoret > Conflans Ste Honorine (78), La Ferme Le Bel Ebat > Guyancourt (93) Contact production Production déléguée > ici même 57 quai de la Prévalaye - 35000 Rennes T > + 33 (0)2 99 79 24 35 – F > +33 (0)2 99 79 26 07 [email protected] / [email protected] - www.icimeme.fr Contact diffusion Agence SINEQUANON 27 rue Fidèle Simon - BP 164 - 44613 – Saint-Nazaire cedex T > + 33 (0)2 51 10 04 04 – F > + 33 (0)2 51 10 04 05 [email protected] - www.agence-sinequanon.com