Google Earth affine son rendu visuel avec de Google Earth affine

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Google Earth affine son rendu visuel avec de Google Earth affine
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 07/4
07/44 29 Octobre 2007
La pensée de la semaine
«A quoi ça sert d'être connecté à la terre entière si on n'a rien à se dire ?»
Georges Wolinski
Google Earth affine son rendu visuel avec des
des satellites
http://www.atelier.fr/medias-loisirs/10/18102007/google-earth-affine-rendu-visuel-satellites-35400-.html
Le géant de la Silicon Valley loue les services d'imagerie spatiale de Spot Image pour proposer une version améliorée de
sa planète virtuelle en ligne.
Google embarque des images très haute définition dans sa carte virtuelle en ligne Google Earth. La firme de Mountain View vient en effet
de signer un accord avec le prestataire européen de services satellitaires Spot Image pour enrichir la base de Google Earth d’images à 2,5
mètres de résolution, ce pour certaines zones géographiques. Cette qualité visuelle est déjà disponible pour des territoires d’Europe
occidentale situés notamment en France, en Belgique, au Luxembourg, ainsi que pour l’ensemble de la péninsule ibérique. L’initiative
baptisée "Un monde, une année avec Spot" intégrera ainsi une sélection de cinquante milles nouvelles images Spot à la carte virtuelle.
La haute résolution en temps réel Au total, ce sont les vues aériennes de près de 180 millions de km² qui seront mis à disposition
par Spot Image. Les trois satellites mis en orbite par cette société transmettront quotidiennement les informations nécessaires à la mise à
jour des zones concernées. Dans ce cadre, Spot Image prévoit de mettre à disposition environ 10 000 nouvelles images chaque
jour. "L’essor de Google Earth a mis les images satellite à la portée du plus grand nombre. En fournissant des services supplémentaires,
Spot Image souhaite faciliter l’accès à l’ensemble de ses images et les rendre plus simples d’emploi et plus faciles à intégrer".
Google lance une déclinaison mobile de Google Docs
http://www.vnunet.fr/fr/news/2007/10/18/google_lance_une_d_clinaison_mobile_de_google_docs
Après avoir mis au point des déclinaisons pour mobiles de Gmail et Google Maps, Google vient de mettre en ligne une version de sa suite
bureautique Google Docs, spécialement conçue pour les terminaux mobiles (téléphones, smartphones, PDA…). Petit bémol, il s'agit
uniquement d'un outil de visualisation des documents sauvegardés, sans possibilité de les modifier ou d'en créer de nouveaux.
Disponible à l'adresse http://docs.google.com/m, Google Docs Mobile est donc un outil de visualisation des documents créés avec la suite
bureautique gratuite Google Docs (ex-Docs & Spreadsheets), qu'il s'agisse de documents textes, de feuilles de calculs ou de
présentations. L'interface est épurée et les pages sont adaptées (en langage HTML) pour un affichage sur de petits écrans.
L'outil offre un avantage indéniable aux nomades. Mais certains regrettent qu'il soit encore bien loin de ce qui pourrait être offert
prochainement, si Google parvient à sortir un système d'exploitation pour mobiles comme cela est attendu…
Web 2.0 : Microsoft
Microsoft sort une bêta publique de Popfly
http://www.vnunet.fr/fr/news/2007/10/19/web_2_0_microsoft_sort_une_beta_publique_de_popfly
L'éditeur profite du Web 2.0 Summit à San Francisco pour lancer en fanfare Popfly, un outil de création de "mash-ups" pour néophyte.
Lancé en version alpha sur invitation début juin, le service en ligne Popfly est désormais accessible à tous. Enfin au plus grand nombre
puisque pour utiliser la première bêta publique, il faut au préalable s'enregistrer (avec un compte Windows Live ID ou Passport) et
surtout installer la nouvelle extension multimédia Silverlight (considérée comme la grande rivale à venir du plug-in Flash d'Adobe). Une
fois ces deux étapes franchies, Popfly offre un environnement de développement d'applications composites à la portée des néophytes, qui
ne nécessite aucune écriture de code ou programmation.
Présenté par Steve Ballmer en personne au Web 2.0 Summit de San Francisco, Popfly offre à tout un chacun la possibilité de composer
les "mash-ups" qui caractérisent le Web 2.0 et de les partager avec la communauté des "popflyers" (dans le "Popfly Space"). Un exemple
: une carte du trafic routier de la ville de Seattle a été développée, associant des données cartographiques de Virtual Earth à des
informations routières. A noter que les "Gadgets" ou applications composites ainsi créés peuvent dès à présent être intégrés au réseau
social Facebook ou au système d'exploitation Vista.
Silverlight en tâche de fond Utile au fonctionnement de ce service, le plug-in Silverlight permet au navigateur - quel qu'il soit - de
supporter de nouveaux formats multimédia (images, sons et vidéos), ainsi que des applications interactives riches (RIA).
Avec Popfly, Microsoft espère populariser les usages de Silverlight et "booster" son adoption. Et détrôner un jour le format Flash ?
Le cadre photo numérique qui reçoit les images par MMS
http://www.01net.com/editorial/362684/le-cadre-photo-numerique-qui-recoit-les-images-par-mms/
Le numéro trois français de la téléphonie mobile, Bouygues Telecom, va commercialiser au mois de novembre un cadre
photo numérique capable de recevoir les photos envoyées avec un téléphone mobile.
A ceux qui se demandent ce que peut bien recouvrir le vocable « objets communicants », le gadget dévoilé ce 18 octobre par Bouygues
Telecom apporte une réponse concrète. L'opérateur annonce l'arrivée prochaine dans ses boutiques d'un cadre photo numérique, doté
d'une carte SIM et d'un numéro de téléphone mobile en 06.
Connecté en permanence au réseau de Bouygues, il pourra ainsi recevoir directement les clichés pris et envoyés par MMS avec un
téléphone mobile, quel que soit l'opérateur. Une bonne idée pour partager avec ses proches, quasi instantanément, un voyage à
l'étranger, par exemple, ou une photo volée à une célébrité !
Baptisé de fait Cadre photo numérique MMS, il sera commercialisé €189 dans les prochains jours, à temps pour faire partie de la liste des
cadeaux de Noël, en particulier pour ceux qui n'ont pas de PC ou qui sont peu férus de nouvelles technologies. L'appareil n'a en effet
besoin d'aucune configuration spécifique : relié au secteur, il peut de suite afficher les images reçues sur son écran de 7 pouces et les
stocker sur sa mémoire de 64 Mo. Doté d'une connectique USB et d'un emplacement pour cartes mémoire SD, il pourra aussi jouer son
rôle de cadre pour les photos stockées sur le PC ou prises avec un appareil photo numérique.
425 milliards de dollars pour l'écosystème logiciel de Microsoft
http://www.journaldunet.com/solutions/breve/international/17784/425-milliards-de-dollars-pour-l-ecosysteme-logiciel-de-microsoft.shtml
Une étude IDC évalue à 425 milliards de dollars le marché de l'écosystème logiciel Microsoft, incluant les revendeurs, les intégrateurs, les
développeurs de logiciels et les partenaires technologiques qui gravitent autour de l'éditeur. Selon IDC, l'écosystème logiciel de Microsoft
fait vivre plus de 640 000 sociétés de par le monde, soit 42% des sociétés technologiques au total.
E.Leclerc en passe de devenir opérateur mobile
http://www.zdnet.fr/actualites/telecoms/0,39040748,39374648,00.htm?xtor=EPR-103
Après Auchan et Carrefour, l'enseigne E.Leclerc envisage de proposer ses propres offres mobiles. Selon le quotidien Les Echos, le groupe
de grande distribution serait en passe de signer un partenariat avec la société Afone, lui-même opérateur virtuel après avoir conclu avec
SFR au printemps dernier. Il ne s'agirait pas d'un accord de type opérateur mobile virtuel (MVNO), mais un accord de licence de marque
avec Afone, à l'instar du partenariat entre M6 et Orange.
Selon le quotidien économique, SFR pouvait difficilement signer en direct avec E.Leclerc, puisqu'il a déjà un accord MVNO avec Auchan.
Aucun détail n'a été communiqué sur les futures offres si ce n'est qu'elles seront à prix « discount ». E-Leclerc se positionnerait donc
comme Auchan et Carrefour avec des services de type low cost, c'est-à-dire à bas prix et sans valeur ajoutée.
Contacté par ZDNet.fr, E-Leclerc s'est refusé à tout commentaire. Il y a un an, le P-DG de l'enseigne, Michel-Edouard Leclerc, indiquait
déjà au magazine LSA vouloir développer ses propres offres mobiles. Il évoquait alors l'achat en gros de minutes de communication
auprès de plusieurs opérateurs mobiles.
Microsoft se plie aux exigences de la Commission européenne
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-microsoft-se-plie-aux-exigences-de-la-commission-europeenne-24350.html
Après trois ans, Microsoft satisfait aux exigences émises en 2004 par la Commission européenne. L'éditeur accepte enfin
de baisser la tarification de l'accès à ses protocoles de communications aux concurrents.
Il aura fallu attendre trois ans et une confirmation en appel le mois dernier pour voir Microsoft s'aligner sur les exigences de la
Commission, émises en 2004. Aujourd'hui lundi 22 octobre, le corps exécutif européen a déclaré que Microsoft avait fait des concessions
substantielles pour se plier aux exigences de la Commission européenne émises il y a trois ans.
Dans un communiqué rédigé par Neelie Kroes, commissaire européenne en charge du dossier anti-trust, la Commission explique que
l'éditeur de Redmond a finalement décidé de régulariser un point litigieux : l'accès aux informations d'interopérabilité ainsi que les
royalties perçues pour leur utilisation.
A la suite du procès de 2004, Microsoft avait dû d'abord verser 497 M€ d'amende pour abus de position dominante, puis garantir la sortie
d'une version de Windows sans le Media Player. A l'époque, la Commission avait également condamné Microsoft à publier les détails
techniques de ses protocoles de communications embarqués dans les OS serveurs de la marque. Mais les résultats fournis par l'éditeur
n'avaient pas satisfait la Commission, qui a jugé notamment « déraisonnables » les prix pratiqués pour l'obtention des informations
d'interopérabilité. Puis, agacée, avait condamné l'éditeur à une amende supplémentaire de 280,5 M€ l'année dernière.
10 000 € pour accéder aux données techniques Le présent accord vient ainsi mettre un terme à ce dernier litige, s'alignant
Microsoft sur les desiderata de la Commission. Primo, l'accès et l'utilisation des protocoles d'interopérabilité de Microsoft seront désormais
ouverts aux développeurs du monde de l'Open Source (des points les plus critiques pour Microsoft à l'époque) en toute sécurité.
Secundo, la tarification pratiquée pour l'usage de ces mêmes données sera abaissée à un prix unique de 10 000 €. Rappelons qu'en guise
de redevance, Microsoft demandait 2,98% des revenus dégagés par les applications utilisant les protocoles techniques.
« Je salue le fait que Microsoft a enfin accepté des mesures concrètes pour assurer le plein respect de la décision de 2004 », a déclaré
Neelie Kroes. Dans le communiqué, la Commission avertit Microsoft qu'elle aura toujours l'œil sur ses pratiques. « Microsoft a l'obligation
de continuer à se plier aux exigences de 2004, et doit ainsi faire l'effort de résoudre tout problème allant à l'encontre de ces décisions. »
Et de conclure : « La décision de mars 2007, comme confirmée par la Cour de première Instance le mois dernier, a créé un précédent qui
implique la surveillance de ses comportements futurs dans ce domaine et d'autres. Microsoft doit garder ça à l'esprit. »
Wimax devient enfin une norme internationale de l'ITU
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-wimax-devient-enfin-une-norme-internationale-de-l-itu-24348.html
L'ITU reconnaissant officiellement Wimax comme une technologie 3G, les détenteurs d'une licence 3G pourront donc
déployer du Wimax en sus de l'UMTS.
L'international Telecommunication Union (ITU), groupe radio (ITU-R) vient de statuer sur Wimax, la reconnaissant comme une
technologie sans fil du groupe IMT-2000 (International Mobile Telecommunications). En lui attribuant le 18 octobre dernier le statut de
standard international, l'organisme place Wimax sur un pied d'égalité avec les autres normes 3G déjà en place, à savoir le WCDMA, le
CDMA-2000 ou le TD-SCDMA. Cette normalisation est importante pour l'allocation des ressources de fréquence par les gouvernements car
de plus en plus de pays s'engagent sur la voie de la transmission radio avec la technologie Wimax, notamment aux Etats-Unis et en Asie.
Concrètement, aujourd'hui un opérateur mobile disposant des fréquences 900 MHz (GSM), 1800 MHz (GSM) et 2,2 GHz (UMTS) pourrait
utiliser ces fréquences pour déployer du Wimax. Ou, en d'autres termes, lorsqu'un pays autorise le déploiement d'un réseau 3G, les
opérateurs auront la possibilité de déployer indifféremment les technologues WCDMA, CDMA-2000 ou Wimax.
Officiellement baptisée IMT-2000 OFDMA TDD WMAN, le mode de transmission radio Wimax est la sixième technologie sans fil reconnue
par le groupe de travail IMT-2000. Nul doute que cette normalisation contribuera à un développement des réseaux utilisant cette
technologie, entraînant par la même occasion une redistribution des cartes entre les opérateurs. Les analystes sont notamment unanimes
sur le fait qu'elle devrait favoriser des implémentations en Europe où elle est encore peu présente et ainsi contribuer à une augmentation
des volumes de production, laquelle permettrait de diminuer les coûts des équipements dans le monde entier.
IBM et Business Objects étendent leur partenariat
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-ibm-et-business-objects-etendent-leur-partenariat-24356.html
Pour simplifier la mise en place des solutions d'analyse décisionnelle, IBM et Business Objects viennent de renforcer leur partenariat
portant sur des solutions conjointes.
L'accord porte, d'une part, sur la livraison par le fournisseur américain d'une solution décisionnelle BO « d'entrée » dans ses solutions de
datawarehouse basée sur DB2. D'autre part, Business Objects va revendre l'entrepôt de données d'IBM avec sa suite BusinessObjects XI
et ses applications de gestion de la Performance. Cette annonce intervient quinze jours après l'offre d'achat faite par SAP à Business
Objects. Une offre qui, rappelons-le, prévoit que le spécialiste français du décisionnel continue à fonctionner comme une entité
indépendante de l'éditeur allemand. Cette annonce commune sonne donc comme un vote de confiance de la part d'IBM.
Rachat de DoubleClick par Google: l'UE prolonge son examen initial
http://afp.google.com/article/ALeqM5hTgpVuiA3JrDYWa9qj80iYucLbBA
La Commission européenne a annoncé lundi une prolongation de son examen initial du projet controversé de rachat par le groupe
internet Google de la régie publicitaire en ligne DoubleClick.
Bruxelles se donne maintenant jusqu'au 13 novembre pour décider soit d'autoriser l'opération, soit de lancer une enquête approfondie.
Elle tablait initialement sur le 26 octobre au plus tard. La Commission a besoin de davantage de temps car elle doit examiner des
aménagements proposés par Google pour éviter des problèmes de concurrence, selon une source européenne. Cette procédure est
usuelle et ne présage pas de la décision finale de Bruxelles.
DoubleClick agit comme intermédiaire entre annonceurs et éditeurs de sites internet, en organisant le placement de publicités sur les
pages web. Google avait annoncé en avril vouloir le racheter pour 3,1 milliards de dollars.
Google fait depuis face à une vague de critiques contre cette opération. Les détracteurs redoutent un monopole sur le marché de la
publicité en ligne, dont Google contrôle déjà 32%. Microsoft en particulier argumente que l'opération va réduire la concurrence.
Les associations de consommateurs craignent de leur côté que la combinaison entre le premier moteur de recherche d'internet et la plus
grosse société de publicité ciblée en ligne menace la protection des données privées de plus d'un milliard d'internautes. Trois d'entre elles
ont demandé aux autorités américaines de la concurrence de bloquer l'opération.
IBM et Mediatek planchent sur un protocole 100 fois plus rapide que le WiWi-Fi
http://www.zdnet.fr/actualites/telecoms/0,39040748,39374719,00.htm?xtor=EPR-103
Transmettre des fichiers en mode sans fil plus de 100 fois plus vite que le Wi-Fi : c'est l'objectif que visent les équipes de IBM Research
et MediaTek. Elles travaillent sur un nouveau protocole de transmission, qui exploiterait la bande de fréquences des 60 GHz.
Les puces devraient ainsi être capables de transmettre des fichiers à raison de 2,5 gigabits par seconde (Gbits/s), contre 11 à 54
mégabits pour le Wi-Fi. Un fichier de10 Go serait ainsi transféré en 5 secondes.
IBM apporte son expertise en matière de signaux radio, tandis que MediaTek est spécialisé sur le traitement numérique des signaux. Les
deux partenaires espèrent présenter le fruit de leurs travaux d'ici trois ans.
Dans l'intervalle, des puces utilisant la bande des 60 GHz devraient être présentées, intégrées à des téléviseurs, au prochain salon de
l'électronique grand public, le Consumer Electronics Show (CES), par le fabricant de semi-conducteurs SiBeam. Ce dernier est l'une des
forces motrices au sein du consortium WirelessHD.
La publication sur Wikipédia n'est plus anonyme
http://www.atelier.fr/medias-loisirs/10/23102007/WikiDashboard,revele,identite,auteurs,Wikipedia,analyse,dynamique,sociale-35426-.html
L'encyclopédie en ligne s'est enrichie d'un outil d'analyse établissant le lien entre le contenu et ses auteurs. Objectif :
crédibiliser le site et proposer une information plus fiable.
Les auteurs d'articles sont désormais identifiables sur Wikipédia. L'encyclopédie libre en ligne vient de se doter d'un outil d'analyse des
dynamiques sociales prévalant sur ce portail dédié à la connaissance. Baptisé WikiDashboard, ce dernier permettra aux utilisateurs
d'établir le lien entre les diverses publications contenues sur le site et leurs auteurs. Un principe qui, selon Jimmy Wales, fondateur de
Wikipedia, contribuera à fiabiliser le contenu proposé et permette au site de gagner en crédibilité. Il avait d'ailleurs déclaré qu'il ne
recommandait pas l'utilisation de contenus issus de son encyclopédie en ligne pour des travaux de recherche "sérieux".
Un tableau de bord de la publication Comme son nom l'indique, le WikiDashboard se présente comme un tableau de bord affichant
diverses statistiques concernant les contenus présents sur une page de Wikipédia. Celui-ci apparaît en haut de l'écran et rend compte de
l'identité des utilisateurs actifs, c'est-à-dire des différentes personnes ayant contribué au contenu de la page affichée. Et pour chacun de
ces auteurs, il précise le nombre total de publications réalisées sur le site, le pourcentage de contenu créé sur la page ouverte ainsi
qu'une frise permettant d'indiquer la fréquence de ces actes de publication dans le temps.
Des mises à jour attendues Pour l'heure, le tableau de bord de Wikipédia ne couvre que les publications réalisées jusqu'au 16 juillet
2007. Les ajouts les plus récents pourront très prochainement être analysés via le WikiDashboard, précisent les chercheurs du Palo Alto
Research Center (PARC), à l'origine du projet. Un guide d'utilisation de cet outil d'analyse en ligne est d'ailleurs mis à disposition sur le
blog du centre de recherche. La création de l'application de Wikipédia intervient quelques mois après le lancement de Citizendium, un
projet concurrent de l'encyclopédie libre reposant sur l'identification des auteurs et la supervision du contenu par des équipes d'éditeurs.
WiMax : Cisco s'empare de Navini Networks
http://www.vnunet.fr/fr/news/2007/10/23/wimax___cisco_s_empare_de_navini_networks
Longtemps "frileux" sur le marché du WiMax, l'équipementier renforce sa position en s'offrant un fabricant texan de stations de base.
C'est officiel. Cisco Systems va prendre le contrôle de Navini Networks, un fabricant texan de stations de base, de modems et d'antennes
Wimax. Ce nouveau rachat, qui devrait être finalisé d'ici la fin du deuxième semestre, s'élève à $330 M. Il permet à Cisco d'investir le
marché émergent du WiMax, un segment sur lequel il s'était jusqu'ici montré très réservé.
L'équipementier réseau espère ainsi ajouter le support du WiMax à la technologie Wi-Fi, qui est déjà embarquée dans ses produits
d'accès grâce, entre autres, aux rachats de Linksys en 2003 ou d'Airespace en 2005.
A la différence des réseaux Wi-Fi "traditionnels", dont la couverture est limitée à quelques mètres, les réseaux WiMax (Worldwide
Interoperability for Microwave Access) devraient offrir une connexion "large bande" sur plusieurs kilomètres et faciliter la couverture des
zones dépourvues de réseaux haut débit. Navini s'est par ailleurs spécialisé dans le "beamforming", une technique de traitement des
signaux qui permet d'augmenter la puissance des signaux qui sont transmis par les stations, voire d'éliminer certaines interférences.
Offre destinée aux pays émergents Une fois l'opération finalisée, la plupart des 260 salariés de Navini rejoindra Cisco. Le groupe
américain offrira alors les produits Navini dans les marchés en voie de développement, dans lesquels les réseaux haut débit sans fil font
souvent défaut. En revanche, il n'a pas précisé si ses produits seront aussi offerts dans les pays "développés".
Aux Etats-Unis ou en France, des offres WiMax sont en cours d'élaboration. Outre-Atlantique, l'opérateur Nextel déploie actuellement un
réseau WiMax national, tandis que des groupes comme Bolloré Telecom ou Iliad/Free mènent actuellement des tests dans l'Hexagone.
Microsoft développe un minimini-cœur Windows
http://www.vnunet.fr/fr/news/2007/10/23/microsoft_developpe_un_mini_coeur_windows
Le logiciel MinWin permettra de créer des versions Windows sur mesure.
Microsoft a développé une version réduite de son prochain système d’exploitation Windows portant le nom de code Windows 7. Baptisé
MinWin, le logiciel n'est ni plus ni moins qu’une version épurée du noyau Windows qui occupe 40 Mo d’espace disque. Une version
complète de Windows Vista utilise 4 Go.
MinWin ne possède aucune interface graphique, ce qui oblige les utilisateurs à communiquer avec l’application via un serveur HTTP
intégré. L’application est strictement réservée à un usage interne, ce qui permet à l’éditeur de créer un système d’exploitation large
adapté à des tâches spécifiques.
A l’heure actuelle, Microsoft commercialise Windows pour une large sélection de périphériques, allant des ordinateurs de bureau aux
serveurs en passant par les décodeurs TV et les routeurs réseau. MinWin permettra à l’éditeur de se développer rapidement dans de
nouveaux secteurs, a indiqué Eric Traut, un ingénieur reconnu de Microsoft.
"Cela nous ouvrira les portes à de nombreux nouveaux domaines", a déclaré Eric Traut au cours d’une conférence à l’université de
l’Illinois à Urbana. Une vidéo de cette conférence a été publiée sur le site de l’université.
La taille de MinWin vient à l’encontre d’une vieille idée préconçue selon laquelle Windows serait un logiciel démesuré qui consomme
inutilement beaucoup d’espace, a-t-il ajouté. "Beaucoup voient Windows comme un système d’exploitation extrêmement imposant, et
cette perception est sans doute juste, je dois le reconnaître. Il est imposant. Il contient énormément de choses, mais le noyau et les
composants qui constituent le cœur même du système d’exploitation sont tout à fait rationalisés."
Apple devient le troisième vendeur d'ordinateurs aux ÉtatsÉtats-Unis
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39374750,00.htm?xtor=EPR-101
A la faveur d'une hausse de plus de 34% des ventes de Mac et de portables en un an, Apple se place se place sur la
troisième marche du podium des constructeurs sur le marché américain, derrière Dell et HP.
Pour la première fois, Apple est entré dans le top 5 des vendeurs d'ordinateurs aux États-Unis. Selon les derniers chiffres de Gartner,
datés d'octobre, la firme à la pomme s'est hissée à la troisième place au cours du troisième trimestre 2007, avec 8,1 % des ventes.
Il y a un an, précise Gartner, l'entreprise de Steve Jobs représentait 6,2 % de parts de marché, derrière Gateway (6,4 %). Apple passe
donc devant le fabricant américain, en passe d'être racheté par Acer. Il y a d'ailleurs de grandes chances qu'Acer reprenne la troisième
place au prochain trimestre, justement grâce au rachat de Gateway, indique le cabinet d'études.
Il n'empêche que la performance américaine d'Apple est notable ; au niveau mondial comme européen, la firme de Cupertino n'apparaît
toutefois pas parmi les cinq premiers dans les classements de Gartner.
Aujourd'hui les ventes d'ordinateurs représentent quasiment 50 % du chiffre d'affaires d'Apple, soit $3,1 Bn entre juillet et septembre
2007. Selon ses derniers résultats financiers, 2 164 000 ordinateurs Macintosh ont été vendus durant cette période ; un chiffre en
progression de 34 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Apple a principalement écoulé des portables, soit 1,3 million
contre 817 000 machines de bureau.
24 milliards de dollars de CA pour son exercice 2007 Le volume de ses ventes d'ordinateurs se place loin devant celles de l'iPhone
qui s'est tout de même vendu à 1 119 000 exemplaires au cours du trimestre, ce qui porte ses ventes cumulées aux États-Unis à
1 389 000 unités à ce jour. La firme à la pomme semble donc bien en ligne avec les prévisions des analystes qui tablent sur 2 à 3 millions
d'unités d'ici à la fin de l'année outre-Atlantique. L'iPhone a déjà généré plus de 120 millions de dollars de chiffre d'affaires.
Quant à l'iPod, il s'est écoulé à 10,2 millions d'exemplaires dans le monde entre juillet et septembre, ce qui représente une progression
de 17 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.
Sur son exercice clos le 29 septembre, Apple affiche $24 Bn de revenus contre 19,3 en 2006, et 3,4 Bn de bénéfices contre 1,9.
« Nous attendons avec impatience les résultats du trimestre s'achevant au 31 décembre, car nous entrons dans la période des fêtes avec
les meilleurs produits qu'Apple ait jamais eus», a déclaré Steve Jobs, P-DG d'Apple. Il table sur un chiffre d'affaires d'environ $9,2 Bn
pour le premier trimestre de l'exercice fiscal 2008.
IBM says it has a new way to profit from patents -- and wants to patent the idea
http://www.technologyreview.com/Wire/19614/?nlid=622
IBM Corp. says it has dreamed up a new method for profiting from its vast storehouse of patents. And by the way, the company wants to
patent the idea.
Beyond the circularity of the concept, IBM's application is notable because the company -- the world's top patent holder -- has been
campaigning to improve the quality of patent filings and reduce so-called ''business method'' patents.
''I think this is absolutely a business method patent,'' said Barbara Fiacco, a patent attorney with Foley Hoag LLP.
The new patent application was initially filed in April 2006, updated last April and published by the U.S. Patent and Trademark Office last
Thursday. It covers what IBM calls ''a system and methods for extracting value from a portfolio of assets, for example a patent portfolio.''
Specifically, IBM -- which collects more than $1 billion in patent royalties every year -- describes a new process for licensing patents.
Instead of smaller companies licensing technologies from patent holders like IBM in a plodding, one-by-one manner, IBM envisions a
more dynamic system with ''floating privileges,'' in which patents could be licensed quickly, as needed.
The application says this floating privilege, once purchased, could be activated by a patent-infringement lawsuit. In other words,
companies would buy the right to use a patent portfolio like IBM's as a legal shield for themselves -- ''just like purchasing a fire insurance
policy,'' IBM's application contends.
Alex Chartove, a patent attorney with Morrison & Foerster LLP, said IBM's proposal appears to be aimed at hindering ''patent trolls'' -- a
term often applied to small firms that buy up patents and aggressively wield them in lawsuits against other companies.
The problem for IBM, though, could be the greater scrutiny it and others have brought to business-method patents in recent years. In a
2005 ''friend of the court'' brief to the U.S. Supreme Court, IBM argued that patent law's scope should be ''fairly narrow, and limited to
technology,'' Fiacco said. In fact, IBM's brief acknowledged that some of its own patents ''might not satisfy this standard.''
One influential decision came last month, when the U.S. Court of Appeals for the Federal Circuit ruled against lawyer Stephen Comiskey's
bid to patent a system for conducting arbitration. The implication appears to be that it is unacceptable to patent a basic idea that doesn't
by itself transform something, without a technology that harnesses it.
Chartove said IBM's proposed patent for patent portfolios might fall into that category.
''It's not clear to me that there's a significant technological tie-in to the IBM application, at least in its present form,'' he said.
Because of IBM's vocal stance on patents, the company took some ribbing on tech blogs recently when an application surfaced in which
IBM sought to patent a method for outsourcing labor. Robert Sutor, an IBM executive for intellectual-property standards, responded on
his blog that the application would be withdrawn because it was not in line with the patent-reform drive.
This time, however, IBM wants to see the patent-portfolio application through. IBM spokesman Steven Malkiewicz said that while the
application does describe a business method, ''this is all only possible with technology.''
Les banques se déplacent chez les commerçants
http://www.atelier.fr/e-marketing/10/24102007/Bank,of,America,solution,stockage,automatisee,argent,liquide-35436-.html
La Bank of America lance une solution de stockage automatisée de l'argent liquide. Elle permettra aux commerçants de
créditer leur compte depuis leur magasin. Ce, sans déplacer physiquement l'argent.
Un système automatique de gestion de l'argent liquide permet aux commerçants de créditer leur compte à distance depuis leur magasin.
Le dispositif, lancé par la Bank of America, consiste en une caisse placée dans l'arrière-salle d'un commerce capable de stocker, compter
et sécuriser les sommes qui y sont déposées. L'appareil, relié directement à la banque, crédite ensuite le compte du commerçant, même
si l'argent se trouve encore physiquement dans la boutique. Principal intérêt du dispositif : permettre à des sommes en liquide d'être
légalement déposées dans une banque même virtuellement.
Simplifier la circulation des flux Autre avantage : éviter aux employés d'effectuer des transferts de fonds dangereux, puisque
l'argent reste dans la boutique. "Les commerçants doivent gérer régulièrement des sommes en liquide. Mais cette méthode se révèle
souvent chère, longue et propice à la fraude", explique Cathy Bessant, présidente de Global Product Solutions de la Bank of America. Le
système devrait donner aux directeurs financiers et aux comptables une vision rapide et précise de la totalité des transactions, réalisées
en liquide, en chèque ou par carte. Ce, dans de multiples points géographiques si le magasin fait partie d'une chaîne.
Un déploiement à grande échelle prévu en 2008 Les commerçants pourront aussi logiquement effectuer des retraits très
simplement sur leur compte en puisant simplement dans la caisse la somme dont ils ont besoin. Somme qui sera alors automatiquement
déduite de leur compte. En cours de brevetage, le dispositif est testé dans certains restaurants de la chaîne Chick-fil-A. Selon la Bank of
America, il devrait être officiellement disponible pour début 2008.
Google contribuera
contribuera au code de MySQL
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-google-contribuera-au-code-de-mysql-24382.html
L'éditeur suédois MySQL, qui fonde le développement de son SGBD sur du code ouvert, a tracé les grandes lignes de son évolution
jusqu'en 2009. A cet horizon, Google, qui vient de signer un "Contributor Licence Agrement", aura fourni du code pour enrichir ce SGBD.
oogle, qui utilise beaucoup MySQL, aurait de fortes compétences en matière de réplication et de gestion d'instances multiples. Elle
pourrait figurer dans une mise à jour de la version 6.0, attendue pour fin 2008. Cette 6.1 « googlisée » est prévue pour début 2009.
Google modernise
modernise Gmail en y intégrant le protocole IMAP
http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-google-modernise-gmail-en-y-integrant-le-protocole-imap-1758.html
Google vient d'enrichir à nouveau son webmail Gmail en permettant à ses utilisateurs d'activer le protocole IMAP (Internet message
access protocol) en lieu et place du POP offert jusqu'alors.
Si le protocole POP permettait déjà aux titulaires d'un compte Gmail d'accéder à leur courrier à partir d'un client issu d'un éditeur tiers
(Thunderbird, Foxmail, etc.), il n'autorisait pas une communication bidirectionnelle entre ce dernier et le serveur de mails. Avec l'irruption
de l'IMAP dans la sphère Gmail, des nouvelles perspectives s'ouvrent aux internautes. Avec, en premier lieu, la possibilité d'exploiter son
compte à partir de plusieurs points d'accès (PC de bureau, Blackberry, iPhone, etc.). Une fois les différents clients configurés, ceux-ci se
synchronisent automatiquement avec le serveur et affichent tous exactement les mêmes informations. Ainsi, un mail envoyé à partir de
Thunderbird sera uploadé sur Gmail et apparaîtra dans le dossier « messages envoyés » de tous les autres clients.
Le protocole IMAP permet en outre de télécharger un message en ne conservant que son en-tête, de classer ses mails par catégories et
de retrouver ces informations sur l'ensemble des applications utilisées, ou encore d'utiliser Gmail comme d'un espace de stockage pour
remiser l'ensemble de son courrier électronique (il suffit pour cela d'envoyer ses mails sur le serveur).
IMAP n'est, pour l'heure, qu'accessible à certains comptes anglophones. Google étendra cette possibilité à l'ensemble des utilisateurs.
Le fondateur de Kelkoo lance une « startstart-up academy »
http://www.01net.com/editorial/363220/le-fondateur-de-kelkoo-lance-une-start-up-academy-/
Cela aurait pu s'appeler la StarTac', mais le nom était déjà déposé par Motorola. Au final c'est une « start-up academy » qui ne dit pas
son nom. Le fondateur de Kelkoo et de Wikio, Pierre Chappaz a décidé de lancer un grand concours sur son blog. Un appel à
candidatures qui s'adresse aux apprentis entreprenautes. Avec à la clé une promesse de financement de leur projet.
Les règles du jeu (pardon, du concours) sont les suivantes. Les participants doivent poster sur YouTube, Dailymotion ou sur une autre
plate-forme de vidéos en ligne une courte présentation (2 minutes tout au plus) de leur projet, et envoyer le lien au fondateur de Kelkoo.
Pierre Chappaz et sa complice, la journaliste Catherine Nivez, sélectionneront les meilleures vidéos selon des critères classiques de
« business model », de « stratégie de développement », ou « d'expérience personnelle ». Jusqu'au 23 novembre, les projets les plus
pertinents seront diffusés sur Kelblog. Le nom du gagnant, celui qui décrochera le précieux parrainage et la promesse d'accompagnement
de son projet, sera connu le 1er décembre.
Le gouvernement favorable au don d'ordinateurs usagés aux salariés
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39374821,00.htm?xtor=EPR-101
La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche soutient la donation directe de PC amortis par les entreprises
à leurs employés. Une proposition formulée à l'origine par l’association Renaissance Numérique pendant la campagne
présidentielle.
Pour réduire la fracture numérique en France, Valérie Pécresse milite pour que les entreprises fournissent gratuitement à leurs salariés
leurs ordinateurs amortis et jugés obsolètes. « Il faut équiper tous les foyers d'ordinateurs. On est à 50 % de foyers équipés contre 70 %
en Allemagne par exemple », a indiqué la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, ce matin au micro de RMC Info.
Elle souhaite qu'« au lieu de donner à la déchetterie les ordinateurs amortis », une entreprise puisse gratuitement les « donner à ses
salariés, de préférence aux salariés qui ont des familles, aux salariés qui ne sont pas cadres ».
Une solution « simple, pas coûteuse et efficace », mais impossible à mettre en place aujourd'hui. Car ce type de don est considéré
comme un avantage en nature et tombe donc sous le coût des charges et impôts d'entreprise, a ajouté la ministre.
Une modification de la loi est nécessaire Valérie Pécresse reprend en fait une proposition de l'association Renaissance Numérique,
qui est, sur ce sujet, en étroite collaboration avec ses services et l'Elysée. Cette association s'est donnée pour mission de « réfléchir et
d'agir sur les grandes évolutions de la société liées au développement d'Internet ». Elle rassemble des universitaires et des dirigeants de
grandes entreprises françaises du secteur comme Christophe Paco (DG de Yahoo France), Mats Carduner (DG de Google France) ou
Pierre Kosciusko-Morizet (P-DG de PriceMinister). « Nous avions fait cette proposition lors de la dernière campagne présidentielle. Elle
avait reçu une réaction positive de l'UMP, du PS, de l'UDF comme du PC », rappelle à ZDNet.fr Erik Van Rompay, délégué général de
l'association. Dans son libre blanc intitulé « Internet pour tous », l'association propose en effet la « donation directe de PC usagés par les
entreprises à leurs salariés », à commencer d'ailleurs par les administrations publiques.
« Avec le soutien de Valérie Pécresse, nous espérons que cette mesure pourra entrer en vigueur courant 2008 ». Il faudra
d'abord modifier la législation afin que les sociétés puissent effectuer ces dons sans payer d'impôts et en s'affranchissant de toute
responsabilité sur le produit cédé (article 81 du code général des impôts et article L242-4-2 du code de la sécurité sociale).
Dernier point, elles devront transférer les éventuelles licences des produits installés sur l'ordinateur à leurs employés. « Cela est tout à
fait possible avec Windows par exemple. L'entreprise doit faire une déclaration à Microsoft. Nous avons d'ores et déjà une déclaration
type que nous pourrons fournir aux entreprises intéressées », précise le responsable de Renaissance Numérique.