Théâtre français de Toronto présente Un neurinome sur une

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Théâtre français de Toronto présente Un neurinome sur une
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE : du 28 octobre au 6 décembre 2015
SOURCE: Josée Duranleau | 416.652.7672 | [email protected]
Théâtre français de Toronto présente Un neurinome sur une balançoire
Lorsque la puissance de la parole compense la fragilité du corps humain ...
Toronto, ON - Le Théâtre français de Toronto accueille le retour de l’acteur primé et envoûtant Alain
Doom, dans une toute nouvelle œuvre auto-fictionnelle, Un neurinome sur une balançoire. Dans une
mise en scène de Joël Beddows, cette formidable histoire de survie sera présentée en français avec
surtitres en anglais du 2 au 6 décembre au Berkeley Street Theatre.
« Neurinome », c’est le nom savant donné à une tumeur au cerveau. Non, non, ne partez pas !
Inspiré de la véritable épreuve d’Alain Doom, ce récit chargé de beaucoup de résilience raconte l’histoire
d’un acteur atteint d’une tumeur cérébrale qui s’envole vers le « bout du monde ». Mais pourquoi donc a-t-il
accepté cette invitation pour Sudbury ? Réfugié dans le jardin d’un poète, qui s’imposera comme un mentor,
l’homme se balance dans ses souvenirs, de son enfance à ses traitements aux États-Unis. Il réalise
combien les plus petites choses peuvent avoir une grande influence sur notre monde.
Ce témoignage met en relief l’urgence de vivre, l’importance des rencontres et le travail de l’artiste. Entre
rires et poésie, Un neurinome sur une balançoire est un spectacle lumineux, léger et délicat comme un
pétale de coquelicot.
Un fait vécu. Une formidable histoire de survie.
Texte et interprétation : Alain Doom, Lauréat du Prix Théâtre Le Droit 2001; Mise en scène et conseils
dramaturgiques : Joël Beddows, Lauréat du Prix Théâtre Le Droit 2004 et du Prix John-Hirsch 2005.
Scénographie: Jean Bard; Costumes : Isabelle Bélisle; Environnement sonore: Jules Bonin-Ducharme;
Éclairages: Benoît Brunet-Poirier.
Une production du Théâtre du Nouvel-Ontario avec l’appui de L’Atelier et La Chaire en francophonie
canadienne (pratiques culturelles).
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UN NEURINOME SUR UNE BALANÇOIRE
D’Alain Doom. Dans une mise en scène de Joël Beddows
2 au 6 décembre 2015
Le Théâtre français de Toronto | Berkeley Street Theatre – 26 rue Berkeley, salle Upstairs.
Première : mercredi 2 décembre à 20 h | Représentations en soirée : du mercredi au vendredi à 20 h
Matinée le samedi : 5 décembre à 15 h 30 | Matinée le dimanche : 6 décembre à 14 h 30
Représentations surtitrées en anglais : mercredi et vendredi à 20h et matinée le samedi à 15 h 30
Billets : Adultes de 45 $ à 49 $ | Âge d’or (à partir de 65 ans) : 38 $ à 42 $ | Moins de 30 ans/artistes : 30 $
Tarifs spéciaux : « Payez ce que vous voulez » les mercredis soirs et billets « Dernière Minute » à 20 $ les
samedis soirs. Au guichet, une heure avant la représentation. Paiement en comptant.
Billetterie : www.theatrefrancais.com et (416) 534-6604 ou 1-800-819-4981
— 30 —
Le Théâtre français de Toronto
présente
UN NEURINOME
SUR UNE
BALANÇOIRE
Du 2 au 6 décembre 2015
Berkeley Street Theatre
Texte & interprétation : Alain DOOM
Mise en scène & dramaturgie : Joël BEDDOWS
©Lévy
L. Marquis
Lorsque la puissance de la parole
compense la fragilité du corps
humain ...
MOT DU DIRECTEUR ARTISTIQUE
Un Neurinome sur une balançoire… un titre qui peut faire peur dans un théâtre.
Je veux vous rassurer tout de suite. Laissez-vous charmer par l’acteur et ne vous
inquiétez pas! Pensez davantage à la balançoire et un peu moins au neurinome.
Quelques mots pour vous parler d’Alain Doom. Je le connais depuis plus de 15
ans. C’est un ami. C’est un artiste, un vrai ! Le talent qu’il a me touche à chaque
fois que je le vois jouer. Et voilà qu’il a décidé d’écrire et comme il est un
formidable conteur, ça marche. C’est avec un profond plaisir que je l’ai invité à
venir nous raconter cette singulière aventure qu’il a vécu. Mon père disait…
« On a le droit d’améliorer la vérité, ça fait de plus belles histoires à raconter. »
N’est-ce pas le propre de notre métier de gens de théâtre… de bien « raconter »
nos histoires?
Quelques mots pour vous parler de Joël Beddows. Je le connais depuis plus de
15 ans. C’est un ami. C’est un artiste, un vrai ! Le talent qu’il a me touche à chaque fois que je vois une de ses
mises en scène. Et voilà qu’il a décidé de travailler avec mon autre ami pour raconter le « Neurinome sur une
balançoire ». C’est une chance pour nous tous, que ces deux artistes se soient unis pour nous.
Quelques mots pour vous parler de Geneviève Pineault. Je la connais depuis plus de 15 ans. C’est une amie.
Une artiste qui est directrice artistique du Théâtre du Nouvel-Ontario. Qui a décidé de produire ce spectacle
pour notre plus grand bonheur. Ça fait bien des années que je dis que le théâtre se fait entre amis. C’est aussi
pour ça que tous les soirs, autant que faire se peut, je vous reçois en amis.
Bon spectacle… mes amis!
Guy Mignault
SYNOPSIS
« Neurinome », c’est le nom savant donné à une tumeur au cerveau. Non non, ne partez pas!
Inspiré de la véritable épreuve d’Alain Doom, ce récit chargé de beaucoup de résilience raconte l’histoire d’un
acteur atteint d’un cancer qui s’envole vers le « bout du monde ». Mais pourquoi donc a-t-il accepté cette
invitation pour Sudbury ? Réfugié dans le jardin d’un poète, qui s’imposera comme un mentor, l’homme se
balance dans ses souvenirs, de son enfance à ses traitements aux États-Unis. Il réalise combien les plus petites
choses peuvent avoir une grande influence sur notre monde.
Ce témoignage met en relief l’urgence de vivre, l’importance des rencontres et le travail de l’artiste. Entre rires
et poésie, Un neurinome sur une balançoire est un spectacle lumineux, léger et délicat comme un pétale de
coquelicot.
Un fait vécu. Une formidable histoire de survie.
GENÈSE DU PROJET
Ce diagnostic, Alain Doom l’a reçu en 2002. Il décide en 2012 de se lancer dans un projet d’écriture qui
confronte le geste intime à l’acte théâtral, la biographie à la fiction. Dans sa pièce, Alain raconte une série de
souvenirs, ceux qu’il associe aux figures d’un père absent (le sien, possiblement), d’un poète mentor (Robert
Dickson, mais autrement) et d’un guérisseur bienveillant (le médecin qui lui a sauvé la vie, mais pas
complètement). Une introspection saisissante pour relater la disparition d’un héros, la fascination de la poésie
et la fétichisation de cette laideur qui l’habite à ce jour : une tumeur cachée quelque part dans son crâne.
L’ÉCRITURE
Ce projet d’écriture vise un mélange des genres, en confrontant le geste intime à l’acte théâtral, le jeu à
l’écriture, l’écriture scénique à l’écriture dramatique, le vrai au faux ou encore la biographie à la fiction. Joël
Beddows et Alain Doom se connaissent depuis des années, le premier en tant que metteur en scène, le second
à titre de comédien. Ils ont donc naturellement approché ce projet sous cet angle familier. Le travail d’écriture
ressemblait d’ailleurs aux échanges qu’ils avaient eus en montant la pièce de théâtre, Frères d’Hiver de Michel
Ouellette pour le Théâtre la Catapulte. C’est ainsi que leur complicité acquise les a logiquement amenés à
travailler ce projet d’écriture sur plusieurs niveaux en même temps.
RÉFLEXIONS DU METTEUR EN SCÈNE
Dans Un neurinome sur une balançoire, Alain Doom raconte une série de souvenirs, ceux qu’il associe
aux figures d’un père absent (le sien, possiblement), d’un poète mentor (Robert Dickson, mais autrement) et
d’un guérisseur bienveillant (le médecin qui lui a sauvé la vie, mais pas complètement). En fait, ce maître
récitant nous plonge dans une introspection saisissante pour relater la disparition d’un héros, la fascination de
la poésie et la fétichisation de cette laideur qui l’habite à ce jour : une tumeur cachée quelque part dans son
crâne.
Et toujours, il cherche un sens à ce qui aurait dû le tuer, mais plutôt, se colle à lui et à son imaginaire. Peu
étonnant que ce récit, tout comme l’existence quotidienne d’Alain, ait quelque chose de troublant : cette
biographie en lambeaux et cette existence en comptines en témoignent.
Manifestement, les mots d’Alain sont déjà un terroir riche en soi. Depuis le début de notre « trajet à deux »,
que ce soit en tant que conseiller dramaturgique ou en tant que metteur en scène, j’ai toujours essayé de tout
ramener à l’idée conductrice d’une prise de parole intime. C’est justement avec une approche à la fois
intimiste et évocatrice que je tenterai de créer l’univers scénique où pourront respirer des images choisies
avec autant de soin.
C’est dans une simplicité voulue qu’elles voyageront jusqu’à vous.
Joël Beddows
ALAIN DOOM – AUTEUR ET INTERPRÈTE
Alain Doom est comédien et pédagogue. Il a joué
dernièrement dans Frères d’hiver de Michel Ouellette
au Théâtre la Catapulte, sous la direction de Joël
Beddows. L’année précédente, il jouait, sous la
direction de Diana Leblanc cette fois, le rôle
d’Arnolphe dans l’École des Femmes de Molière au
Théâtre français de Toronto. Alain Doom est, depuis
2006, le directeur du programme de théâtre de
l’Université Laurentienne. Il a été critique littéraire à la
radio de Radio-Canada et membre du comité de rédaction de la revue Liaison. Il a notamment reçu le Prix
Théâtre Le Droit pour sa performance dans la pièce de théâtre Du pépin à la Fissure de Patrice Desbiens. Cette
création du Théâtre du Nouvel-Ontario, mise en scène par André Perrier, a remporté de nombreux prix
prestigieux, dont le Masque de la production franco-canadienne, et la Palme de la meilleure production
extérieure présentée dans la région d'Ottawa-Hull, décernée par le Cercle des Critiques de la Capitale
nationale. Ce spectacle a tourné pendant cinq ans à travers le Québec, l’Ontario et l’Alberta.
JOËL BEDDOWS – METTEUR EN SCÈNE
Joël Beddows est reconnu comme ayant un vif intérêt pour un
répertoire onirique, pour le développement dramaturgique et pour le
théâtre jeune public. C’est au Théâtre la Catapulte qu’il a signé les
mises en scène du Testament du couturier de Michel Ouellette
(2003), Cette fille-là de Joan MacLeod (2004), La Société de Métis de
Normand Chaurette (2005), Les Entrailles de Claude Gauvreau (2007),
Rage de Michele Riml (2009), Frères d’hiver, adaptation du récit
poétique de Michel Ouellette qu’il a adapté avec Marie Claude
Dicaire (2011) et La Fille d’argile de Michel Ouellette (2014). Il a aussi
été l’architecte principal du Projet Rideau Project (2010), production
regroupant cent artistes d’Ottawa Gatineau dans lequel il a signé la
mise en scène de Rebut de Sarah Migneron. Ses mises en scène du
Chien de Jean Marc Dalpé (Théâtre du Nouvel-Ontario, 2007), de The
Empire Builders de Boris Vian (Third Wall Theatre, 2008), Happy Days
de Samuel Beckett (Foyle Arts Centre, 2010), East of Berlin de Hannah
Moscovitch (GCTC, 2012), À tu et à moi de Sarah Migneron (L’Atelier, 2013) et Visage de feu de Marius Von
Mayerburg (Théâtre français du CNA, Théâtre Blanc et théâtre l’Escaouette, 2013) ont également soulevé
l’enthousiasme des critiques et du public. Depuis l’été 2011, il assure la direction du Département de théâtre
de l’Université d’Ottawa où il est également titulaire de la Chaire de recherche de la francophonie canadienne
(pratiques culturelles), ce qui lui permet de poursuivre des projets de développement dramaturgique et
d’exploration esthétique.
Scénographie - JEAN BARD
Costumes - ISABELLE BELISLE
Environnement sonore - JULES BONIN-DUCHARME
Éclairages - BENOIT BRUNET-POIRIER
Régie- JULIE GRETHEN
Direction artistique du TNO – Geneviève PINEAULT
Une production du THÉÂTRE DU NOUVEL-ONTARIO PRODUCTION avec l’appui de
L’ATELIER et de LA CHAIRE EN FRANCOPHONIE CANADIENNE (PRATIQUES
CULTURELLES)
EXTRAIT DE CRITIQUES PRESSE
« C’est beaucoup de lumière que fait entrer Alain Doom (...) avec humour, résilience, mais également cette sensibilité,
cette intimité forcée avec le propos. »
Fabien DEGLISE, Le Devoir
« Alain Doom décroche sans conteste la palme de l'inventivité résiliente. »
Maud CUCCHI, Le Droit
« La voix d’Alain Doom est douce et captivante. On se dit qu’on pourrait l’écouter des heures durant, tant son amour
pour le théâtre transparait dans son jeu. »
Caroline POLIQUIN, Mon(theatre).qc.ca
« Un tour de force : un comédien sur une scène dépouillée, en blanc et noir, qui tient en haleine les spectateurs par
la force de son jeu et l’intensité du texte. »
Lucie HOTTE, La Rotonde
« Un récit autobiographique et fictionnel, teinté de beauté et de poésie. Un récit touchant, humain et empreint
d’humour. »
Alexandre GRATON, Artichautmag.com