présentation Of thee I sing

Transcription

présentation Of thee I sing
OPERA BAROQUE - TOUT PUBLIC
LES F³TES DE
Of thee I sing
L'AMOUR ET
Je chante en ton honneur
DE BACCHUS
Les Fêtes d
L'Amour
et de Bacch
Comédie musicale de George et Ira Gershwin Coproduction Tutti Voce, Compagnie LaDé Musique de Jean-Baptiste Lully,
Participation d’une compagnie de danseurs Livret de Quinault à partir de textes de Molière
Contact: Delphine Bessat, 06-61-44-07-31
[email protected]
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Une coproduction
Avec le soutien de
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Après « L’opéra de 4’sous » de K. Weil / B. Brecht, « Une nurse très spéciale » d’après Mary Poppins, de Sherman and sherman/R.L. Travers, « la vie parisienne » de J. Offenbach / YY et en 2015 « les fêtes de l’amour et de Bacchus » de J.B Lully/R. Quinault (photos), Tutti Voce et la Compagnie LaDé proposent la comédie musicale « Of thee I sing », de George et Ira Gershwin. Photos de Fêtes de l'Amour et de Bacchus, mai 2014
Représentations:
*salle Odilon Redon à Verrières le buisson le 13 mars
*Centre Jacques Brel de Villebon / Yvette le 3 avril 2016.
Le spectacle réunira des danseurs (a priori la Cie Tandem Dance), les comédiens/chanteurs
et musiciens de LaDé et Tutti Voce sous la direction et mise en scène de Delphine Bessat.
A la première de Of Thee I Sing (Je chante en ton honneur), en décembre 1931, les critiques et le public l'acclamèrent pour son esprit et son exubérance. Avec un livret de George S. Kaufman et Morrie Ryskind, des paroles et une musique écrites par George et Ira Gershwin. ce fut, comme l'a dit le critique George Jean Nathan, “la comédie musicale satirique d'origine américaine la plus gaie et la plus réussie qui ait jamais été montée sur une scène des Etats-­‐Unis.” Of Thee I Sing reçut le Prix Pulitzer du théâtre au mois de mai suivant et fut représenté 441 fois, c’est-­‐à-­‐dire qu’elle tint l'affiche plus longtemps que n'importe quelle autre comédie musicale des années 30. Dans Of Thee I Sing, les Gershwin se lancent (à nouveau) dans la satire sociale, parvenant à un équilibre parfait entre polémique et divertissement. Le côté burlesque de la politique d'après-­‐guerre décrit par Kaufman et Ryskind—-­‐les stratégies de campagne insipides, les débats vides de sens et les scandales du gouvernement—fut adouci par une histoire agréable et des personnages sympathiques. L'inefficacité et l'étroitesse d'esprit de l'administration Hoover se prêtaient admirablement aux gags sur un Président adressant des mémorandums sur les jeux de poker et les spectacles de variété, et sur un Vice-­‐président abruti que ne reconnaissent ni ses concurrents aux élections, ni ses collaborateurs. Dans une rare intégration du livret et des chansons, les Gershwin mirent des scènes entières en musique, créant ainsi un opéra comique écrit en langage populaire, Le livret soutenait que l'amour pouvait constituer une force politique, mais il laissait aux chansons la tâche de le prouver ; les Gershwin s'en acquittèrent tellement bien en produisant des oeuvres si entraînantes que le public fut parfaitement convaincu. Trois chansons—"Love Is Sweeping the Country", "Who Cares?" et la chanson du titre—
capturèrent les éléments satiriques et romantiques du spectacle de façon si irrésistible qu'elles devinrent des classiques. Le livret et la partition piano-­‐voix de Of Thee I Sing furent publiés, mais toutes les orchestrations, sauf celle d'une chanson, furent perdues ; on sait que seule "Hello, Good Morning", orchestrée par George Gershwin lui-­‐même, a survécu. En 1984, Ron Spivak, alors éditeur musical chez Samuel French, Inc., découvrit les autres orchestrations (de William Daly et Robert Russell Bennett) dans un débarras de la société. 

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