Fédération Nationale SPELC 192 bis, rue de Vaugirard 75015
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Fédération Nationale SPELC 192 bis, rue de Vaugirard 75015 PARIS Tél : 01 58 10 13 13 Fax : 01 53 62 98 81 Courriel : [email protected] Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale 110, rue de Grenelle 75007 PARIS Le 12 mai 2014 Monsieur le Ministre, Nos demandes maintes fois réitérées de revalorisation des rémunérations des maîtres délégués trouvent un début de réponse dans le document préparatoire à la réunion du 13 mai 2014, intitulé fiche GT 13 et nous vous en remercions. Toutefois, elle n’est pas à la hauteur des attentes légitimes de reconnaissance des maîtres délégués des établissements privés sous contrat et n’est pas conforme au principe de parité qui doit servir de règle. Elle ne tient aucun compte des diplômes et passe par pertes et profits les services antérieurs. Le SPELC demande que le principe de parité avec les enseignants du public soit intégralement appliqué. Dans l’enseignement général du 1er et du 2nd degré, le SPELC demande la mise en place de trois catégories de maîtres suppléants : 1. La 1ère catégorie correspondant à Bac +2 (indice 321 à 620) 2. La 2ème catégorie correspondant à Bac +3 (indice 367 à 650) 3. La 3ème catégorie correspondant aux titulaires d’un diplôme de niveau 1 (indice 403 à 782) La très grande majorité des maîtres délégués du 1er et du 2nd degré sont titulaires d’un diplôme Bac +3. Ils doivent commencer, au minimum, leur activité à l’indice 367 qui est l’indice de départ de la 2ème catégorie des contractuels du public. Et comme pour les enseignants du public, la grille doit comprendre 13 échelons et non 8 comme celle des MA II. Nous demandons que soient pris en compte également les services antérieurs pour le reclassement des intéressés au 1er septembre de l’année scolaire à venir. Pour l’enseignement professionnel, l’expérience professionnelle doit être prise en compte comme il est de règle dans le public. Nous demandons enfin que les règles d’avancement de ces maîtres soient rigoureusement définies au moyen d’une circulaire afin que cessent les distorsions d’une académie à l’autre. Assurés que vous comprendrez le principe de justice qui fonde nos demandes, nous vous prions d’agréer Monsieur le Ministre, l’assurance de nos salutations respectueuses. Luc VIEHÉ Secrétaire général