Panorama SF - Institut de la Sainte

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Panorama SF - Institut de la Sainte
Avril 2015
N° 385
Panorama S.F.
Dans ce numéro :
Tielt commémore les premières attaques au gaz de la guerre mondiale
1914-1918
pages
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Une année différente
Notre expérience de la Semaine Sainte à Ixchiguán, San Marcos.
Expérience de mission à Uspantán
Retraite sur nos constitutions
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Maman Noëlla n’est plus là !
Wima II
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TIELT COMMÉMORE LES PREMIERES ATTAQUES AU GAZ
DE LA GUERRE MONDIALE DE 1914-1918.
La province de Flandres Occidentale a voulu commémorer les attaques au gaz qui ont eu lieu
pendant la première guerre mondiale. Un projet de participation du public, nommé
‘woordfront’* se réalisa à Tielt le samedi 18 avril.
En effet, c’est à Tielt, en 1915, que les Allemands qui occupaient la ville, ont entrepris et
donné l’ordre de la destruction massive par des gaz chimiques, des armées qui leur
résistaient. Déjà lors la première attaque, 1.150 personnes ont trouvé la mort.
Cet événement dramatique a été commémoré à Tielt par le ‘woordfront’. Au total 2000
personnes ont participé. Ils venaient de diverses associations, des écoles, il y avait des
volontaires et des personnes sachant déclamer des textes.
Les participants étaient partagés en quatre groupes, représentant la quantité de victimes de la
première attaque au gaz. Ils se dirigeaient vers la Grande Place par quatre itinéraires
différents. Ils criaient des slogans et étaient accompagnés par des fanfares. Chaque groupe
exprimait une émotion différente. Le groupe qui partait de Hulstplein exprimait la peur, celui
qui partait de l’école ‘De Bron’ exprimait la tristesse. De la Tramstraat sortait le groupe qui
exprimait la colère et de la Rue Ieper sortait le groupe qui exprimait l’espérance.
Les textes étaient de Saskia Decoster*. Ces cris exprimant les différentes émotions ont été
scandés par ces groupes au long des rues où ils passaient.
Entre les personnes qui scandaient ces textes, il y avait des personnes importantes : le
bourgmestre de Tielt et des villages voisins, le gouverneur de Flandres Occidentale, le
ministre président Geert Bourgois. Même Helmut Lotti, le grand chanteur, ami de Saskia
Decoster, marchait avec son groupe. Une fois que les quatre groupes arrivèrent à la grande
place, on compléta l’évocation accompagnée par de la musique adaptée.
Tout cela a été bien apprécié par les spectateurs de Tielt et les environs. Les textes scandés,
coupés par des moments de silence impressionnaient vraiment. Tout a été filmé par trois
stations de télévision.
Nous avons pu regarder tout cet événement entre 19 et 20 h à la télévision
Communauté de Zonhove
*Cris du Front
*Sasky Decoster : Saskia A. J. De Coster auteur belge néerlandophone née à Louvain en 1976
Comme le montrent les photos, ce gaz rendait aveugle.
UNE ANNEE DIFFÉRENTE…
Tout a commencé quand mes parents ont eu la bonne idée de m’inscrire comme élève, en
1968, au Colegio Belga au Guatemala.
Je suis née au sein d’un foyer catholique et j’ai grandi dans la pratique de beaucoup de
valeurs humaines et chrétiennes. La charité, la générosité, la solidarité à l’égard de toutes les
personnes, la noblesse sont des attitudes qui ont été pratiquées par dans ma famille. Toutes ces
valeurs unies à ce que j’ai appris au Belga, m’ont aidée à devenir la femme que je suis
maintenant.
Une des activités qui a marqué ma vie, pendant le temps d’école, a été l’expérience vécue en
participation à l’ ‘Operation Uspantán’ où j’ai découvert avec les sœurs Raquel Saravia,
Lucía et María José et plusieurs autres compagnes d’école, la réalité que vivait le plus grand
nombre des habitants de mon pays. Pendant l’année scolaire, nous nous préparions chaque
semaine en apprenant des choses de base de médecine, d’hygiène, de soins des enfants et
entretien de la maison, quelques recettes de cuisine avec les produits qu’on pouvait trouver
dans les hameaux (villages des zones rurales)… Nous apprenions aussi un peu de Maya,
langue indienne de la population de la région où nous allions. Quand le mois d’octobre
arrivait, nous partions vers les hameaux en apportant dans notre sac à dos, deux jeux de linge
de rechange, sweater, articles pour l’entretien personnel et beaucoup d’illusions et de souhaits
de pouvoir apporter aux personnes ce que nous avions préparé. Tout restait petit en
comparaison de tout ce que nous rapportions comme richesses intérieures au retour.
Les habitants des hameaux ont marqué nos vies. Ils nous ont donné un grand exemple de
persévérance, d’espérance, de force pour le travail, de foi, et avant tout ils ont semé en moi le
désir de revenir un jour aux hameaux et d’y travailler pour leur procurer une meilleure vie.
Mais, la vie se charge de nous mener par d’autres chemins…Ayant fini l’école, je me suis
mariée, j’ai cinq enfants qui m’ont donné la joie de trois petits-enfants…
Mais la voix de l’appel continue à se faire entendre dans mon cœur. Grâces à Dieu, j’ai eu la
bénédiction de trouver des ‘Ateliers de Développement Humain’ qui ne m’ont pas seulement
aidée devant les obstacles qui se sont présentés dans ma vie, mais m’ont aussi aidée à prendre
la décision de changer la direction de ma vie.
J’ai eu recours aux Sœurs de la Sainte Famille en leur demandant de me permettre de
travailler dans une de leur maison et pour ma grande joie elles m’ont proposé de vivre et de
travailler dans la communauté de Chiantla, Huehuetenango. Les sœurs y ont un Centre
scolaire adapté pour les jeunes filles indiennes. Le parcours scolaire va de l’école primaire
aux trois premières années du secondaire (basico) et ensuite les jeunes peuvent continuer
normalement dans d’autres centres scolaires pour terminer le secondaire et éventuellement
entreprendre de plus hautes études.
Je suis arrivée le 10 janvier 2014 et depuis lors, j’ai la chance de partager l’amour de Dieu
avec les élèves de l’école, les employées de la maison et les sœurs. Mes activités sont diverses
leçons de lecture, de calligraphie, de foyer, mettre certaines élèves au niveau académique et
participer aux travaux de la maison.
La vie de l’école n’est pas seulement étudier et faire des devoirs. Dans le grand jardin, il y a
aussi des caféiers qui ont besoin de soins et il faut faire la cueillette du café quand le temps
arrive. Pendant l’époque de pluies, on sème le maïs et certains légumes qui aident pour les
besoins de la maison. Au mois de juin dernier, nous avons commencé l’élevage des lapins.
Cela marche lentement, peu à peu ils se multiplient et cela va aider pour l’autofinancement.
Toute la journée, nous somme occupées à l’école : les élèves, les travaux de la maison, les
plantations, les fleurs, les animaux, etc… Je rends infiniment grâces à Dieu pour cette
occasion qu’Il m’a donnée de pouvoir partager la vie et le dévouement des sœurs : Gregoria,
Maruca, Odilia, Bertha, Higinia et avant tout de pouvoir servir et travailler pour la
construction du Royaume de Dieu ici sur terre.
En éduquant et en formant ces jeunes filles, nous aidons pour que le monde soit un peu
meilleur chaque jour !
Carlota Gil, ancienne élève du Belga et volontaire à Chiantla
NOTRE EXPERIENCE DE SEMAINE SAINTE Á
IXCHIGUÁN SAN MARCOS
Pour nous, quelle belle aventure que d’avoir pu aller à Ixchiguán San Marcos pour partager
pendant quelques jours la vie et le travail de sœur Juana María dans cette paroisse !
Dimanche, lundi et mardi nous avons participé avec joie à la retraite paroissiale des jeunes.
Nous y avons rencontré des jeunes désireux de vivre une expérience différente de la rencontre
avec Dieu en lien avec la réalité qu’ils vivent.
Mercredi après-midi, les responsables de la communauté de Julischín (ce que dans la langue
du lieu signifie : (Julis= trou et chin= l’arbre de Chinchín) sont venus nous chercher pour
vivre avec eux l’expérience forte du triduum Pascal.
Nous avons eu l’occasion de visiter des familles où il y avait des malades qui n’avaient pas pu
participer à l’Eucharistie dans laquelle l’onction de malades avait été donnée. La
participation des gens aux différentes célébrations était importante.
La communauté a été très accueillante avec nous. Plusieurs familles nous ont invitées pour le
repas et nous ont partagé leurs joies et leurs peines. Pour nous, cela a été très riche de pouvoir
vivre avec profondeur notre foi et affermir ainsi notre vocation.
Dimanche, nous avons célébrés avec eux, la joie de la Résurrection et l’après-midi nous
sommes rentrées à Ixchiguán. Lundi, nous avons eu l’occasion d’aller dans une autre
communauté de la même paroisse, Tuiladrillo, pour faire connaissance et rendre visite à la
famille de notre compagne de formation, Esperanza Nolasco.
Ce fut une expérience qui nous a donné de nous sentir plus motivées et avec un plus grand
désir de nous donner au service des autres !
Heureuses Pâques à vous toutes !
María Vianney Castro, novice et Vilma Cotojá, postulante.
EXPERIENCE DE MISSION A USPANTÁN
Du 28 mars au 7 avril, nous avons vécu la grande aventure de faire de la Semaine Sainte 2015
un temps différent à celui des autres années. Ceci nous a demandé de connaitre et découvrir
la nouveauté de Dieu dans le peuple, particulièrement dans la communauté du Palmar,
hameaux d’Uspantán où nous sommes arrivées dimanche de Rameaux. Une famille nous
attendait avec un délicieux diner accompagné de ‘tortillas noires’ (galettes de maïs fabriqués
avec du maïs noir).
L’après-midi, nous étions pleines d’enthousiasme pour accompagner la communauté dans la
procession du dimanche de Rameaux. C’est ainsi que cette mission a débuté.
Dans le courant des jours suivants, nous avons eu l’occasion de visiter et d’accompagner
plusieurs familles. Pendant ces visites, nous avons vécus des situations qui nous ont fort
marquées. Par exemple, nous n’oublierons pas la figure de joie et de reconnaissance des gens
quand nous avons partagés avec eux la Parole de Dieu.
Nous avons été accompagnées par plusieurs catéchistes, qui portent généreusement une
grande partie du travail de l’Eglise.
Malheureusement nous avons aussi constaté avec peine que cette communauté vit une grande
crise de foi et que des groupes de différentes églises non catholiques, font un grand tort à
notre l’Eglise.
Cette situation nous invite à vivre de façon plus radicale et plus profonde notre engagement
personnel. Nous ne le doutons pas, ‘Dieu fait route avec nous’.
Postulantes: Esperanza Nolasco
Dulce Hernández
RETRAITE SUR NOS CONSTITUTIONS
Nous, les Junioras (sœ urs de vœ ux temporaires) avec quelques autres sœ urs de vœ ux
perpétuels de la Région d’ Amérique latine, avons pu faire une retraite sur nos Constitutions
du 23 au 27 mars. Sœ ur Dora García nous a guidées pour ce temps de réflexion et de prière.
C’ était une expérience enrichissante. Nous avions eu l’ occasion de réfléchir sur les
Constitutions pendant le noviciat et dans d’ autres moments, mais cette fois-ci, étant donné que
nous étions peu nombreuses, nous avons eu l’ occasion de mieux les découvrir dans un
partage avec plus de confiance.
Nous avons commencé notre rencontre avec l’ Eucharistie intégrée avec la prière maya. Nous
avons été accueillies avec l’ encens et tous les éléments de notre cosmovision. Chacun des
symboles qui étaient représentés sur notre autel, nous invitaient à nous mettre en union avec
notre Créateur et Formateur.
Tous les soirs, nous avions l’ adoration et là nous partagions les fruits de la journée. Le climat
qui régnait était d’ écoute, de respect, et cela nous a aidées à nous laisser remplir des énergies
positives de chaque journée. Nous nous sommes aussi rappelés des sœ urs qui ont été et qui
continuent à être un témoignage pour nous.
Nous sommes très reconnaissantes pour ce cadeau qui nous a permis d’ aller à nos sources et
de contempler toute la richesse de la vie et la mission de chacune de nos Fondatrices, en
découvrant comment Dieu a fait route avec chacune et comment elles se sont laissé guider
par la grâce de l’ Esprit. Il n’ y a pas de doute, c’ est l’ œ uvre du Seigneur !
En plus, nous nous sentons motivées pour continuer à approfondir et à valoriser toute la
sagesse que contiennent nos Constitutions. En elles, nous avons reconnu que Dieu nous a
appelées et nous unit chaque fois plus à notre chère Congrégation. Ce qui continue à être un
défi pour chacune de nous, c’ est d’ arriver à vivre dans le quotidien ce qu’ un jour nos
Fondatrices et toutes les sœ urs qui nous ont précédées ont semé, pour que cette œ uvre de Dieu
continue à se projeter aujourd’ hui dans notre monde.
Nous remercions notre Région pour ces jours privilégiés dont nous avons pu jouir. Nous
sommes aussi très reconnaissantes envers Dora de nous avoir préparé une retraite si profonde,
simple, créative et pour nous transmettre tout l’ amour qu’ elle a pour notre Congrégation.
Que Jésus, Marie et Joseph continuent à faire route avec chacune de nous!
Dema, Reina, María, Régine, Natalia, Magdalena, Gregoria y María Vianney.
MAMAN NOELLA N’EST PLUS LA !
Fille de papa Nkomeye et maman M’ Bishegura, Mawazo Noëlla Nkameye est née à Kabare le
11/06/1940. Engagée au pensionnat Albert Ier, actuellement Lycée Wima, le 1er octobre 1953,
Maman NOELLA n’ avait que 13 ans. Elle a travaillé d’ abord comme servante à l’ internat où
elle assumait la propreté des chambres des élèves internes européennes. Ensuite, elle a
continué ce service dans le Lycée Wima jusqu’ à la fin de ses jours, le 28/11/2014.
Célibataire, maman Noëlle a eu une fille : Hortance, ancienne Lycéenne de la Section
Commerciale, mariée à un journaliste de la Radio OKAPI. Ils vivent à Kinshasa. Maman
Noëlla a reçu un Brevet de mérite en 2011 des mains de son Excellence Monseigneur
François Xavier MAROYI lors de la commémoration du Jubilé de Diamant du Lycée Wima.
Elle venait de réaliser 58 ans de service. Signalons également que lors du passage du feu Roi
Baudouin Ier au Pensionnat en 1955, elle était parmi l’ équipe d’ accueil de sa Majesté le Roi.
Toujours ponctuelle à son travail, elle était responsable de l’ entretien des bureaux, de la salle
des professeurs et des sanitaires. Tous ces lieux étaient toujours propres grâce à son travail.
Tombée gravement malade, elle a été hospitalisée plusieurs fois. Sa fille vint de Kinshasa
mais ce fut une joie de courte durée car Maman Noella nous quitta peu de temps après
laissant des milliers d’ amis et connaissances. Toute la communauté du Lycée Wima était
touchée : les sœ urs, les enseignants, les ouvriers et toutes les élèves. Après la messe dans sa
paroisse, le cortège funèbre s’ est dirigé au Lycée Wima pour dire adieu à l’ école. Ensuite il
s’ est dirigé vers la parcelle familiale où elle a été enterrée. Sœ ur Angeline a dit un mot au
nom de la Congrégation.
Que son âme repose en paix !
Les sœurs du Lycée Wima
WIMA II
C’ est avec plaisir que notre communauté de Wima II vient vous partager ses
découvertes et ce qu’ elle a pu réaliser sur le thème de la famille . Ce thème a été une
occasion pour chacune de nous de palper les réalités que traversent les familles
aujourd‘hui . Cela s’ est manifesté par le partage sur les situations familiales rencontrées
dans nos différents apostolats. Nous nous sommes rendues compte que plusieurs de nos
élèves sont marquées par l’ histoire familiale (parents séparés, orphelines de père et de
mère, problèmes dans les familles d’ accueil, celles qui ne connaissent pas les vrais parents,
grande pauvreté matérielle chez certaines). Le fait de les approcher nous a fait
comprendre leurs attitudes : agitations, impolitesse, tristesse, distraction aux cours… Cela
nous aide à les comprendre et à les traiter moins sévèrement. Nous sommes encore plus
attentives à elles. Nos punitions se sont changées en écoute confidentielle pour nombreuses.
Ce qui a été fait concrètement :
- Nous nous sommes reparties les élèves internes en situation particulière pour les
accompagner et les encourager.
- Les sœ urs responsables de l’ internant ont adopté une stratégie de les écouter plus
que les punir. Elles s’ entretiennent avec leurs parents.
- Nous avons visité quelques familles.
- La communauté a fait une démarche auprès d’ un bienfaiteur pour qu’ il supporte
deux élèves pauvres pour les frais scolaires.
- Chaque samedi est dédié à la prière pour les familles.
C’ est ainsi que nous continuons à être plus proches des familles. Que
Sainte de Nazareth les protège et leur procure ses vertus.
la Famille
les sœurs : Anuarite, Bernadette, Antoinette, Rose, Madeleine, Salomé, Monique.
• Décès :
Mercredi le 22 avril 2015 à l’ âge de 104 ans sœ ur Jozefa est entrée, très paisiblement,
au repos éternel. Sœ ur Magdalena étaient près d’ elle pour ces derniers moments.
Restée saine d’ esprit jusqu’ aux derniers jours de sa vie, elle n’ est restée au lit que
quelques jours et sans souffrir. Rendons grâce au Seigneur pour sa belle et longue vie.
•
Malades :
Clara Vanoverberghe a été hospitalisé pour un affaiblissement général causé par des
problèmes chroniques au coeur.
Martha Francisco a été opérée d’ urgence dans la nuit du le 24/04. Nous espérons que
tout va bien pour elle maintenant.
• Nouvelles de famille :
Pendant le séjour de sœ ur Emerence au Guatemala, sœ ur Natalia Ixcoteyac a prononcé
ses vœ ux perpétuels le 19 avril et la novice Maria Vianney Castro, ses vœ ux
temporaires.
Le 16 mai, nous fêterons le jubilé de 50 ans de vie religieuse de Sœ ur Erna
Vanderheeren et de Magdalena Vanmeerhaeghe.
Le 1e mai au Guatemala, les sœ urs ont fêté les 100 ans de sœ ur Fidelina Vasquez. La
date anniversaire était le 24 avril.
• Voyages :
Ce mois de mai sera marqué par divers départs et arrivées :
Dora García quitte le Guatemala le 7 mai et arrive à Bruxelles le lendemain,
Sophie Matabaro part en congé le 12 mai,
Emerence Mwambusa quitte le Guatemala le 14 mai et arrive à Bruxelles le
lendemain,
Lea Oosterlinck part en mission dans la Région Afrique, le 19 mai,
Rose Muderhwa quitte Kigali le 23 mai pour sa mission d’ Econome générale et arrive
à Bruxelles le lendemain.
• Remerciements :
Chères sœ urs
Les mots me manquent pour exprimer à chacune de vous en particulier ma
reconnaissance pour le soutien, les encouragements, l'
attention, les prières surtout tout
au long de mon parcours académique qui a pris fin ce 9 avril 15 par la défense de mon
mémoire. Que le Seigneur comble chacune de vous de ses grâces et fasse grandir
toujours en nous l'
esprit de famille. Merci beaucoup à toutes.
Rose Muderhwa

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