Du rififi au CE Lignes

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Du rififi au CE Lignes
N° 814 - 21 décembre 2006
Du rififi au CE Lignes :
Circulez, plus de questions à poser !
Soucieux de mettre en lumière tout ce qui
peut représenter un danger pour le respect
des instances légales et l’exercice de la
démocratie dans l’entreprise “à la pointe
du dialogue social ”, ALTER se devait de
réagir avec énergie aux faits graves qui se
sont déroulés lors des dernières sessions du
CE-OA.
Vous n’êtes pas sans savoir qu’un CE a des
règles de fonctionnement définies par le
Code du travail. L’un des points
fondamentaux concerne « l’élaboration
conjointe de l’ordre du jour » par
l’employeur et le Secrétaire qui le signent
ensemble.
Historiquement, la création des CE avait
pour but d’associer les salariés à la politique
économique de l’entreprise en leur
fournissant des informations voire en les
consultant pour avis. Cette cosignature
ainsi que la clarté des points de l’ordre du
jour sont par conséquent une prérogative
importante du Secrétaire et des Élus afin
de bénéficier de 3 jours minimum (délai
légal) pour prendre connaissance des
documents transmis par l’entreprise et
construire des propositions alternatives ou
sensibiliser le personnel. Ne nous privons
pas au passage de noter que si l’Accord
PNT 2006 impose 3 fois dix jours de
préavis avant une grève (Dispositions
générales), les salariés n’ont que 3 jours
pour réagir aux projets de la Direction...
Certaines stratégies de lutte syndicale de
retardement des projets néfastes pour les
salariés pouvaient passer par le refus de
signature de l’ordre du jour. Pratique
inconcevable pour le Bureau de l’Alliance
dont le Secrétaire aura toujours
promptement apposé son sceau sur chacun
de ceux exigés par la Direction, même les
plus contestables... « Heureusement », de
nouvelles dispositions ont été apportées par
la loi de modernisation sociale en 2005,
permettant à l’employeur d’inscrire
unilatéralement à l’ordre du jour certaines
consultations sans entériner la nullité des
délibérations ou être constitutif d’un délit
d’entrave.
L’usage voulait, à AF, d’accepter les
questions nées spontanément au cours des
débats. Même si la loi précise que seuls les
points à l’ordre du jour peuvent être
considérés comme valablement traités.
Nous devons au Trésorier adjoint de
l’actuel Bureau du CE-OA une remise en
cause fondamentale de cette saine pratique.
La Direction n’a même plus à faire le sale
boulot pour étouffer les débats autour de
ses pléthoriques “projets ” : Le Bureau
Alliance s’en charge!
Voici les faits : arguant d’une provocation
de certains élus au sujet de l’application du
Code du travail en séance, notre bon
« croisé » a enfilé son heaume et fait lever
haut les couleurs, partant en guerre contre
les impies. Plutôt que de régler entre 4 yeux
SES différents POLITIQUES avec
quelques élus, il a DÉCIDÉ seul
(comprenez sans avoir consulté les élus ou
demandé son avis à la Session) et sans
opposition apparente dans ses rangs, une
lecture de ce même Code aussi « sincère »
que celle de la Direction concernant le droit
de grève...
Dorénavant, l’intégralité des débats devra
ne concerner que les points à l’ordre du jour
(entendez EXCLUSIVEMENT). Les
points non “prévus ” seront repoussés aux
“questions diverses ” qui, comme chacun
sait, sont traitées après le départ des
intervenants, donc ils resteront forcément
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Le BSPN - 21 décembre 2006
Victoire ! La stabilité de planning est sauvée !
De notre envoyé spécial à la DRH...
Cette grande avancée sociale n’a pu être
obtenue que grâce à l’exceptionnelle
combativité d’AF Alpa qui a su mettre tout
son poids dans la balance pour obtenir de
la direction d’Air France cette
extraordinaire concession : écrire sous
forme de protocole d’accord ce qu’elle
pratique tous les jours depuis une à deux
décennies (à un petit siècle près).
Et pourtant, tout cela avait bien mal
commencé : on est passé à deux doigts du
drame. En effet, il s’en est fallu de peu pour
que cette affaire ne se solde par quatre jours
de grève autour de Noël !
C’est - rappelons-le pour les quelques
égarés qui n’auraient pas suivi, au jour le
jour et haletant d’angoisse, ce feuilleton à
rebondissement – un mémo PNT qui a mis
le feu aux poudres. Ce mémo,
opportunément sorti à la mi-octobre
quelques jours avant la grève d’ALTER,
avait brutalement provoqué le courroux…
d’AF Alpa qui, par ailleurs, expliquait
pourquoi il ne fallait surtout pas suivre le
mouvement de protestation en question !
Et pourquoi cette fureur ? Parce que ce
mémo amputait le droit de grève ? Que
nenni (c’est pourtant le cas, mais AF Alpa
s’en moque) ! Parce que la direction
prétendait remettre en question, en cas
d’appel à la grève et pour les non-grévistes,
la stabilité de planning. Dans un tract
incendiaire en date du 27 octobre 2006
intitulé “une remise en cause inacceptable
!”, AF Alpa brandissait donc une terrible
menace d’une audace insensée. Une motion
en conseil autorisant le recours à une
expertise extérieure ? Non, pire ! Une
éventuelle action en justice ? Non, encore
pire ! Une... une... on ose à peine l’écrire...
une grève de deux jours ! Et à Noël en plus
CE Lignes suite
sans réponse. Intéressante conception du
dialogue...
Gageons que notre apprenti sorcier
affirmera ne pas avoir voulu cette situation.
Comment peut-il vouloir imposer la
confusion entre la rédaction d’un ordre du
jour et l’animation des débats ? De quel
droit se permet-il de ne pas respecter luimême ce qu’il met en œuvre (les travaux
du CE du 19/12/06 ont abordé cette
évolution des pratiques sans que le point
ne soit à l’ordre du jour...)? Comment peutil prendre, par aveuglement idéologique, le
risque de paralyser une instance dont il se
refuse déjà à utiliser les quelques trop rares
pouvoirs (droit d’expertise comptable, droit
d’expertise technologique, ester en justice
pour faire constater un délit d’entrave...) ?
Sont-ce là des qualités de grand démocrate?
Est-ce cela que l’on attend d’un
syndicaliste? ALTER voit surtout dans cette
affaire une lamentable tentative de museler
certains élus et certains empêcheurs de
cogérer en rond.
Il n’y a qu’un gagnant dans ce triste épisode
de la vie syndicale. La Direction, trop
heureuse de l’aubaine, se fit forte de faire
respecter cette nouvelle lecture du Code du
travail avec le dernier zèle dès la première
occasion. Et avec l’hypocrisie qu’on lui
connaît, de se cacher derrière le risque
d’être taxée d’entrave pour balayer toutes
les protestations.
Concrètement, aucune réponse n’a plus à
être donnée au sujet de Cible Avion, des
externalisations, de la mobilité forcée des
salariés ou de Transavia (par exemple) si
l’ordre du jour ne les mentionne pas et ou
si ces points n’ont pas évoqués lors des
« Informations du Président ».
Quoi qu’il en soit, ALTER condamne avec
force ces errements personnels et
dangereux réalisés sur le dos d’instances
légales.
Élus du CE Lignes, ressaisissez-vous !
! Effroyable coup de tonnerre dans ce ciel
d’Air France qui est pourtant l’endroit le
plus beau de la terre !
Malheureusement, les faibles moyens que
mon employeur ALTER octroie à un
envoyé pourtant très spécial comme moi,
ne m’ont pas permis de filmer Jean-Cyril
Spinetta, halluciné et tremblant,
recroquevillé au fond de son bureau, les
yeux tournés vers les nuages menaçants,
pleurnichant entre deux convulsions
d’angoisse : “CAC 40, mon Dieu, éloigne
ce calice...”
Bien entendu, aucun observateur sérieux
ne pouvait remettre en cause la terrible
crédibilité de cette menace. Et seul un
observateur de mauvaise foi aurait pu
prétendre qu’il n’y avait pas qu’une
coïncidence de date dans le fait que le
signataire principal de l’accord PNT parle
de préavis de grève sur un autre sujet
quelques jours seulement avant une grève
contre l’accord PNT. Aucun, bien entendu,
ne se risquerait à parler de manoeuvre de
diversion...
Incroyable, mais vrai, le feuilleton qui
s’était, - il faut bien l’avouer - , mis à
ronronner doucement pendant quelques
semaines, a subi un nouveau
rebondissement le 15 décembre. Dans un
nouveau tract, AF Alpa, ne reculant devant
aucun sacrifice pour animer l’action et
usant sans aucun doute des dernières
technologies en matière d’effets spéciaux,
annonçait que, les négociations ayant
échoué, le tarif passait à QUATRE jours
de grève ! Et toujours autour de Noël...
c’est-à-dire là, maintenant, tout de suite !
Heureusement, tout est bien qui finit bien.
Le héros, AF Alpa, a triomphé des terribles
forces du mal. La direction, vaincue,
humiliée, annonçait le 18 au soir une
reddition totale. Elle acceptait de
contractualiser le principe de la stabilité de
planning.
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Le BSPN - 21 décembre 2006
Transavia :
“Bas coûts” ou “Coups bas” ?
La nouvelle filiale d’Air France qu’est
Transavia prendra son envol au départ de
Paris-Orly au mois de Juin 2007. Fort de
ses 4 Boeing 737-800 de 186 sièges
immédiatement et 10 B737-800 à l’horizon
2010 et de ses quelques 400 ‘’emplois”
crées (100 PNT, 220 PNC et 80 PS), elle
couvrira initialement 9 destinations
hebdomadaires pour 67 vols réguliers (15
destinations à l’hiver 2007/2008). Ces
destinations Méditerranéennes loisirs
Moyen Courrier toucheront la Tunisie, le
Maroc, l’Egypte, l’Espagne, l’Italie….
La création d’une filiale Air France visant
à concurrencer les Lows-costs existantes en
allant piétiner leur marché est une idée qui
peut séduire à priori, mais elle peut être
lourde de conséquences en forme d’effets
secondaires.
Le premier de ces effets masqués est
d’ailleurs déjà démasqué puisque le
périmètre est déjà amputé de
2 destinations : Marrakech (RAK) et
Naples (NAP). Ces 2 destinations
régulières effectuées en moyens propres Air
France seront effectuées par la filiale dès
l’été 2007. Nous allons donc, nous les PNT
Air France, déjà perdre 2 destinations !!.
Stabilité de planning suite
N’ayons pas peur des mots : cette histoire
édifiante mérite d’être racontée aux
générations futures. Peu importe que des
fâcheux prétendent qu’on n’est pas loin
d’être revenu à la case départ, que toute
cette mayonnaise montée à deux mains a
un petit goût frelaté de recherche frénétique
de virginité nouvelle en période préélectorale. Peu importe que le mémo PNT
qui a failli faire vaciller la major ne soit
nullement évoqué dans l’heureux épilogue.
Noël est sauvé et c’est bien ce qui compte.
En plus, ça montre bien qu’à la fin, c’est
toujours le gentil qui gagne.
En réponse à cette remise en cause totale
du périmètre de l’emploi du PNT, le conseil
d’ALPA propose un “avenant à la partie
‘’périmètre” de l’accord PNT 2006,
avenant destiné à protéger efficacement
l’emploi PNT Air France ”. A ALTER, il
nous semble que pour protéger
efficacement le périmètre et par là même
l’emploi PNT Air France, il faudrait au
moins simplement faire respecter la partie
‘’périmètre” de l’accord PNT 2006 et ainsi
limiter les coques filiales autres que Britair
et Régional à 100 sièges.
Prétendre protéger efficacement le
périmètre en faisant passer le nombre de
sièges maxi des filiales de 100 à 110 avec
l’accord PNT 2006, puis de 110 à 186 avec
un avenant, ne nous semble pas très efficace
en terme de protection de l’emploi PNT Air
France…c’est le moins que l’on puisse dire.
La conséquence est simple : des
destinations en moins équivalent à moins
de PNT MC nécessaires, donc moins de
passage CDB MC et OPL LC et moins
d’embauches OPL Air France. Les pilotes
demandeurs d’emploi seront embauchés à
Transavia aux conditions de l’aviation
loisirs MC et non à Air France, dommage
pour eux. Donc un déroulement de carrière
ralenti pour tous les PNT. En résumé, des
pilotes au chômage embauchés à minima
et des PNT Air France aux perspectives
réduites.
Un autre effet verra le jour en termes de
concurrence : si les Low-Costs font de la
concurrence à Air France, comment une
compagnie qui ferait de la concurrence à
ces Low-Costs n’en ferait-elle pas
également à Air France ? Le transfert des
lignes Marrakech et Naples n’en est-il pas
un exemple flagrant ? Toutes les
destinations qui sont desservies par le TGV
ne tomberont-elles pas dans la nasse de
Transavia sous prétexte de concurrence
TGV qui sera, même si elle existe déjà,
largement amplifiée et utilisée pour tout
justifier. Air France est peut-être en train
de créer l’outil qui lui permettra de
déréguler l’ensemble des règles PNT, avec
les conséquences sociales que l’on peut
imaginer…
Il s’en suivra alors un étouffement
généralisé de l’activité Moyen-Courrier
d’Air France au profit de Transavia et au
détriment des PNT d’Air France
(déroulement de carrière fortement ralenti,
réseau diminué…).
Il est important que chacun prenne
conscience du danger potentiel qu’il y a à
négliger l’impact de la création d’une telle
filiale. Tels que les choses se présentent,
tout le monde risque d’y perdre gros : les
pilotes demandeurs d’emploi parce qu’ils
vont être embauchés à minima, et les PNT
d’Air France parce qu’ils voient une partie
de leur activité s’échapper (le
développement du Long Courrier ne doit
pas masquer la réalité…).
Il est important que chacun prenne ses
responsabilités pour que les conditions
appliquées aux PNT d’Air France
aujourd’hui, le soient aussi demain aux
pilotes embauchés en France. Chacun se
souviendra des acquis de nos anciens, bien
mal défendus en leurs temps à l’heure des
créations des Bi-scale et autres heures
gratuites. Si nous travaillons actuellement
à des conditions encore socialement
acceptables (cela durera-t-il encore
longtemps ?), il faut bien se dire que ce
n’est pas venu par hasard et que nos
prédécesseurs se sont battus pour nous
donner un héritage convenable.
Nous nous devons de surveiller et de
défendre la pérennité de notre activité, pour
nous-mêmes et pour nos successeurs.
Pour que Transavia ne devienne pas l’outil
des coups bas…
Le BSPN - 21 décembre 2006
Ce TOKEN autour du cou :
Il vous sied comme … un fil à la patte!
Nous sommes quelques milliers maintenant
à partager ce secret confidentiel défense,
l’arrivée imminente et pour le moins
encombrante d’un système de sécurité
quasi absolu à l’informatique d’Air France!
Le TOKEN, l’invulnérabilité aux pirates de
l’Internet, le pare-feu inviolable contre “les
pêcheurs de code” en tout genre…bref la
“réponse globale de l’identification forte”
qui vous dispense de surcroît de mémoriser
un quelconque nouveau code d’accès,
puisque l’objet vous le fournit en temps
réel, de manière algorithmique, et
synchronisée avec le serveur central de
sécurité…vous n’avez plus qu’à l’associer
à un code “pin” qui vous est propre…et
facile à retenir, genre code téléphone ou
mieux celui de votre carte bancaire, vous
avez le choix…comme le dit la notice “tout
comme pour votre carte bancaire, votre
code pin doit rester secret…”. D’autre part,
toujours selon la notice publiée par
l’entreprise “pour des raisons de sécurité,
votre code pin ne doit pas être trop simple
à deviner. Evitez les combinaisons du type
0000, 1234”, il aurait alors été astucieux
d’ajouter à cette énumération les codes
d’accès aux portes blindées des cockpits
des avions de la compagnie…il parait plus
dangereux d’accéder de manière illicite au
centre de l’informatique de l’entreprise
plutôt que d’accéder abusivement dans nos
cockpits…chacun place la sureté sur le plan
qui lui est propre!
Nous avons tourné le sujet dans tous les
sens, essayant de lever le loup,- un flicage
permanent des agents? - un marché occulte
sans appel d’offres passé avec une
“start-up” de la banlieue ouest, amie, et en
mal de reconnaissance? Un avantage en
nature défiscalisable?
Rien de tout cela, le système “fini” du
TOKEN ne sait faire qu’une chose,
fabriquer des codes secrets renouvelables
toutes les minutes, sans autre application
possible, l’entreprise prestataire de service,
RSA secureID est leader mondial sur le
sujet, américain de surcroît, et déjà
fournisseur officiel de la moitié des
banques de la planète…quant à l’avantage
en nature, c’est surtout nos poches qu’il va
avantageusement encombrer…
Rien à faire, ce nouvel et abscons objet ne
semble répondre qu’à une seule logique,
celle de la paranoïa sécuritaire qui nous
environne dans l’occident moderne, en ces
temps brouillés…
L’avantage de la formule reviendra un
temps aux “fines braguettes” de la
compagnie qui, par ce truchement, pourront
toujours opposer le TOKEN et ses codes
éphémères à leurs épouses légitimes un peu
trop suspicieuses et un peu trop regardantes
à la véracité des plannings de ces
messieurs…maintenant sans TOKEN,
point de plannings ni de liste équipage à
disposition! Alors, la direction d’Air France
au secours des PNT menacés par les juges
des affaires familiales…peut être même un
accord secret avec AF ALPA!
Trêves de plaisanterie, la solution à cette
énigme vient peut-être d’une petite phrase
extraite de la lettre d’accompagnement qui
vous a été expédiée à votre domicile:
“Ce dispositif va permettre de mettre à
votre
disposition
d’avantages
d’informations (en français dans le texte)
à forte valeur ajoutée, dans des conditions
de sécurité optimales.”
Tout cela nous laisse extrêmement
sceptique,“davantaged’informations”,
franchement nous ne voyons pas bien de
quoi nous avons besoin, les casiers
débordant déjà, mais peut être ne sommes
nous pas loin du but en parlant de casier,
peut être que toute cette agitation annonce
les prémices de la documentation
électronique, et d’un protocole de mise à
jour automatique et sécurisé (doc sensible,
manuel de sûreté)…mais la compagnie
parle de “forte valeur ajoutée”: pour les
PNT ou pour elle-même? Nous sommes
malheureusement tentés de croire par les
temps qui courent, que ce pourrait encore
être du gagnant-gagnant pour l’entreprise
avec l’arrivée massive de l’autoformation
PNT par le biais des sites Internet dédiés,
ou le PNT validera sa prise en compte du
module par une signature dont
l’identification quasi certaine sera effectuée
grâce au TOKEN!
Bref que du bonheur, tout cela ne nous
inspire que de la vigilance quant à l’avenir
de cette nouvelle et brillante invention!!!
ALTER et la nouvelle année…
…selon la tradition.
Comme tous les ans, à l’occasion de la nouvelle, ALTER invite tous ses adhérents
et sympathisants à une soirée dans ses locaux de Vitry sur Seine.
le mardi 09 janvier 2007
à partir de 18h30.