Exercice Paroles de Poilus
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Exercice Paroles de Poilus
Exercice Paroles de Poilus Déplacer – Corriger l’orthographe- Recopier le formatMise en colonnes- Insertion d’un cadre de texte. Voici une lettre extraite de Paroles de poilus. Lettres et carnets du front (1914-1918) 4 1 3 2 Oh ! chère femme, la guerre est bien triste ! Je finis en vous embrassant de loin, ainsi que nos deux petits enfants. Ne vous inquiétez pas pour moi : je suis toujours plein de courage. Jacques. Le 06 octobre 1915. Ma chère femme, je dois vous dire que mon camarade Sébastien est mort. Il a été tué par un coup de canon. Il est ici, tout près de moi, à quatres mètres. Pourriez-vous l'anoncer à ses parents ? C'est bien triste mais c'était son tour aujourdhui, ce sera celui d'autres demin. Nous sommes tous lesjours au feu depuis dix jours, sans dormir. Frasibois se porte toujours bien. Vous pourrez donner de ses nouvelles à sa femme. Je viens vous donner un peu de mes nouvelles : je me porte toujours très bien pour le moment. J'ai bien reçu votre lettre et le mandat de dix franc, mais vous avez mal compris mon dernier courrier car je ne suis pas blessé. Les autres ont eu du mal mais pas moi. I VOUS TRAVAILLEZ D’ABORD SUR LE TEXTE " PAROLES DE POILUS" PROPOSÉ DANS LA FICHE ANNEXE. Commencez par enregistrer le texte dans « vos documents » 1°) Remettez les paragraphes dans le bon ordre et pour cela utilisez le glisser/ déplacer ou couper/coller . 2°) Corrigez l’orthographe en utilisant le correcteur orthographique (Il y a 6 erreurs) (Utilisez « Outils /Orthographe » ou icône – V ABC) Ne vous fiez pas seulement aux mots soulignés trait ondulé. N'oubliez pas de sélectionner ce que vous devez modifier ou de mettre le curseur au début de votre texte. 3°) Vérifiez que l'orthographe est vérifiée au cours de la frappe (Dans « Outils/ orthographe/ options) Les erreurs supposées sont soulignées d'un trait ondulé. L’icône "vagues rouges ABC" est apparente. 4°) Recopiez le format. Mettez en rouge l’un des mots corrigés. Mettez les autres en rouge en utilisant l’icône pinceau "Appliquer le format " 5°) Mettez le texte en forme. (Dans « Format/paragraphe ») (ou Clic droit /Paragraphe ...) - Retrait de 1 cm « avant le texte » + retrait 1ère ligne de 1,5cm. - Alignement : utilisez l’alignement « justifié » pour le corps du texte, la date et la signature « alignées à droite » – Ajouter un espace de 0,40 en dessous de chaque paragraphe et enlevez le saut de ligne ENREGISTREZ souvent VOTRE TRAVAIL II. OUVREZ UNE NOUVELLE PAGE (Faites un clic à la fin de la page 1 / Ctrl + entrée ) et inscrivez votre prénom sur la 1ère ligne de la nouvelle page. Amusez-vous …. 1°) Faites un copier/coller du texte . Ajoutez 1 ou 2 sauts de ligne à (Entrée) 2°) Puis mettez le texte sur 2 colonnes. (Utilisez « Format /colonnes/ 2 / Espacement 0,50 /Ligne séparatrice ») 3°) Enfin, créez un cadre de texte n’importe où sur la page et écrivez à l’intérieur: « Version en 2 colonnes » (Utilisez « Insertion cadre » ne changez pas les options proposées) Pour écrire ou modifiez le texte : n'oubliez pas l'option T en bas de page ! Vous obtenez ceci …. Version en 2 colonnes 4°) Placez ce cadre au milieu du texte en colonnes. Voici ce que vous obtenez : _______________________________________________________________________________ Le 06 octobre 1915. Je viens vous donner un peu de mes nouvelles : je me porte toujours très bien pour le moment. J'ai bien reçu votre lettre et le mandat de dix franc, mais vous avez mal compris mon dernier courrier car je ne suis pas blessé. Les autres ont eu du mal mais pas moi. Version en 2 colonnes Ma chère femme, je dois vous dire que mon camarade Sébastien est mort. Il a été tué par un coup de canon. Il est ici, tout près de moi, à quatre mètres. Pourriez-vous l'annoncer à ses parents ? C'est bien triste mais c'était son tour aujourd'hui, ce sera celui d'autres demain. Nous sommes tous les jours au feu depuis dix jours, sans dormir. Frasibois se porte toujours bien. Vous pourrez donner de ses nouvelles à sa femme. Oh ! chère femme, la guerre est bien triste ! Je finis en vous embrassant de loin, ainsi que nos deux petits enfants. Ne vous inquiétez pas pour moi : je suis toujours plein de courage. Jacques.