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La compagnie
La Fabrique des Artificiers
présente
Un Tartuffe
D’après Le Tartuffe ou L’Imposteur de Molière
Mise en scène :Vincent Brunol
Avec Alix Blumberg dite Fleurmont,
Aurélie Barrin, Flavien Bellec,
Liza Machover, Julien Varin et Raouf Rais.
Un Tartuffe
Résumé de la pièce
Rien ne va plus chez Orgon, riche bourgeois.
Sa famille traverse une crise grave… Depuis
qu’il a recueilli un pauvre étranger et s’en est
pris de passion pour lui, il délaisse sa femme
Elmire, insulte sa domestique Dorine et devient
religieux avec une ardeur soudaine et délirante !
Ce monsieur Tartuffe est décidément suspect et
imposteur aux yeux de tous ! Qui peut-il bien
être ? Que veut-il ? Et que lui trouve donc Orgon ?
Le rêve d’un théâtre
populaire
J’ai fait le rêve d’entrer par une douce effraction dans le cœur des spectateurs. J’ai fait le
rêve de mêler spectateurs et acteurs autour d’un
même cercle, assis sur les mêmes chaises. C’est
le théâtre qui vient humblement à eux… Une
bande, un groupe, un collectif d’acteurs et d’actrices joyeux, très joyeux – appelez-les comme
vous voulez – débarque. Ils vont jouer la pièce, raccourcie, coupée, taillée pour eux et pour leur
langue et leurs viscères. Ils viendront sans décor (ou presque) chez vous, à votre rencontre pour
raconter leur histoire. Les rôles vont s’échanger, les perruques vont voler, il y aura des chansons et les mots de Molière, mais aussi on va tenter désespérément de rire de tout et surtout de
n’importe qui. Ensemble.
D’après Le Tartuffe ou L’Imposteur de Molière.
Mise en scène : Vincent Brunol.
Avec Alix Blumberg dit Fleurmont, Aurélie Barrin, Flavien Bellec, Liza Machover, Julien
Varin et Raouf Rais.
Créé dans le cadre du festival On arrête pas le théâtre 2015 organisé par L’Étoile du Nord Théâtre.
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Un Tartuffe
Genèse du projet
Tout commence par l’invitation du festival On arrête pas le théâtre 2015 à créer et jouer une
forme « Hors les Murs » dans les structures partenaires du théâtre de l’Étoile du Nord. Les
contraintes étaient simples. Il fallait fabriquer une forme légère techniquement et adaptable
facilement afin d’être jouée dans le plus grand nombre d’espaces possibles. Le temps de la
représentation ne devait pas excéder une heure.
L’invitation de Julien Kosellek a coïncidé avec les attentats de janvier 2015 à Paris. Le Tartuffe
m’est apparu comme une évidence mais aussi comme une nécessité urgente. C’est d’instinct que
nous nous sommes lancés dans ce projet avec, comme unique contrainte, de le faire avec joie.
Nous avons donc créé Un Tartuffe au troisième étage de la bibliothèque Robert Sabatier à coté
du théâtre, le 30 mai 2015. Les représentations qui suivirent se comptèrent au nombre de
cinq. Nous avons joué successivement dans un foyer de jeunes travailleurs, dans une maison de
retraite médicalisée, dans une autre bibliothèque et dans un club du troisième âge.
Un Tartuffe est le reflet de notre volonté fervente et de notre croyance en un théâtre populaire
qui s’adresse à tous et à chacun.
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Un Tartuffe
La Compagnie
La compagnie La Fabrique des Artificiers est d’abord née sous un autre nom, L’Exhibitionniste éhonté, fondée en 2008 avec Élise Lahouassa. De cette rencontre et sous ce premier
nom, Vincent Brunol met en scène Hamlet (fragments) et Hommage à Patrick Roy, deux formes
courtes créées et jouées à l’Étoile du Nord, dont la première fut reprise au sein du festival
TRANS09 au Théâtre de la Bastille. En 2012 la compagnie prend le nom de La Fabrique
des Artificiers et invente une forme autour de la Prose du transsibérien avec Yann Argenton et
Mathias Robinet, spectacle créé à La Loge.
Parallèlement à ses activités, Vincent Brunol est assistant pour plusieurs metteurs en scène,
dont Jean Michel Rabeux, avec qui il travaille notamment sur une forme « hors les murs », La
petite soldate Américaine. De cette collaboration et de l’expérience qui en a suivi est né le désir
de faire sortir le théâtre hors de ses murs et de lui donner une place à partir de laquelle il peut
dire et proférer à tous et à chacun ses paroles.
Avec Un Tartuffe, la compagnie a le désir d’aller à la rencontre de tous les publics avec un texte
classique et une langue soutenue, mais en s’adressant à tous et à chacun.
On a même fait une profession de foi :
Les acteurs et artistes de la compagnie partagent une utopie, celle de confronter et de questionner les grandes œuvres du répertoire au réel.
La compagnie a volonté de faire un théâtre citoyen et engagé.
La compagnie a le désir de faire un théâtre partout où il n’est pas invité habituellement.
La compagnie est née autour d’un projet de troupe, d’idée de partage et de rencontre.
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Un Tartuffe
« En effet, d’où vient donc que tant de vrais hypocrites de la dévotion se soient assez reconnus
en Tartuffe pour craindre de se voir démasqués en même temps que lui ? C’est que le mensonge
théâtral montre la vérité des mensonges du monde ; c’est qu’il n’y a pas d’avenir, entre cour et jardin,
pour l’imposture. C’est que chaque spectateur se voit investi de ce don de voyance qui est l’apanage
des dieux et des rois. Ce n’est pas la vraie foi que Molière défend au cours de sa bataille de cinq ans,
âpre et vitale, ni même la vraie dévotion, ni l’ordre monarchique, non plus l’intérêt des familles
ou l’équilibre social ; ce n’est même pas, d’abord, la valeur morale et philosophique de vérité,
à laquelle on le sait bien sûr attaché.
C’est, une fois de plus et qui n’est pas la dernière, le théâtre. »
Étude sur Le Tartuffe, René Pommier
Note d’intention
Quand Molière représenta Le Tartuffe pour la première fois, il fut exposé très vite à une violente et longue censure. L’art a toujours été (et est toujours) l’affaire principale de la censure, et
les censeurs ont raison de s’en méfier car ils connaissent le vrai pouvoir de l’art et ici du théâtre.
L’art questionne, l’art véritable ne rassemble pas, il divise, il trouble et provoque, comme le
théâtre qui défait les masques.
Les censeurs de Molière sont les mêmes que ceux que nous connaissons aujourd’hui. Ils sont
violents et passent malheureusement à l’acte grâce aux bras armés des fanatiques.
L’art a toujours été, et est toujours, suspect
au yeux des religions, car l’art ne se soucie
pas des dogmes. Il est libre de dire, de rire
et de mettre au jour les secrets de notre
âme.
Nous avons plus que besoin, en ces temps
chargés de douleur, d’un rire cathartique.
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Un Tartuffe
Hors les murs Molière !
J’ai eu le désir de faire un spectacle citoyen et
populaire, c’est-à-dire engagé au cœur de la cité
et qui s’adresse à tous et à chacun. Quoi de mieux
pour réaliser ce projet que d’exporter l’événement
théâtral et de l’installer dans des lieux qui ne lui
sont pas ordinairement dédiés ? Quoi de mieux
pour rencontrer des spectateurs qui n’ont jamais
poussé la porte d’un théâtre, que d’aller chez
eux ? Et peut-être, c’est là l’utopie, de redonner
au théâtre sa place dans la cité.
Je me suis aperçu en observant les différents
publics rencontrés dans le cadre des représentations « hors les murs » que l’alexandrin de Molière,
malgré sa forme très figée et a priori difficile à
comprendre, génère une écoute et une attention
soutenues.
Nous avons vécu des situations déroutantes, qui allaient du spectateur sortant son téléphone
pour filmer la comédienne à 50 cm de lui à la rangée de fauteuils roulants du premier rang, en
passant par des saluts se transformant en danse endiablée avec les spectateurs.
Pensée pour le plateau
« L’acteur est le seul endroit où ça se passe et c’est tout. » Valère Novarina
Il nous a semblé, en montant Un Tartuffe, nécessaire de le faire avec joie, et on a eu envie, aussi,
de vous faire partager cette expérience au plus près de nous, physiquement. On a eu le désir de
mélanger acteurs et spectateurs et de faire résonner les mots de Molière aujourd’hui avec vous.
On a eu le désir de vous chuchoter à l’oreille des poésies et des chansons et que vous puissiez
sentir notre souffle dans votre cou, nos larmes devront vous éclabousser et nos rires vous
contaminer.
Bref, on ne veut pas vous épargner.
Le plateau est un espace rectangulaire de 4,5 m sur 2,5 m.
Les spectateurs sont disposés en tri frontal tout autour de cet espace.
Nous avons voulu un espace volontairement petit afin de favoriser la proximité acteurs et spectateurs et ainsi de renforcer le sentiment d’appartenance au même groupe, à la même famille.
La famille d’Orgon est en crise, et cette famille c’est nous, les spectateurs.
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L’équipe artistique
Parcours de l’équipe artistique
Vincent Brunol
Mise en scène et adaptation
Comédien, metteur en scène et pédagogue, Vincent Brunol est
titulaire d’une licence professionnelle d’encadrement d’ateliers de
pratiques théâtrales. Il se forme en 2004 au Cours Florent dans les
classes de Suzanne Marrot, Antonia Malinova, Marc-Henry Dufresne,
Christian Croset, Julien Kosellek ainsi qu’à l’Atelier théâtral de création sous la direction de Françoise Roche et Stéphane Auvray Nauroy.
En 2009, il co-fonde avec Élise Lahouassa la Compagnie de L’Exhibitionniste éhonté et monte plusieurs formes courtes au sein du Festival
À Court de Forme à l’Étoile du Nord. (Hamlet Fragments, Hommage à Patrick Roy et Hamlet Acte 2).
En 2012, il fonde la compagnie La Fabrique des Artificiers et adapte à la scène La Prose du
Transsibérien de Blaise Cendrars, spectacle joué à La Loge en décembre 2012.
En 2014, dans le cadre du festival On arrête pas le théâtre, il monte Un Tartuffe, adaptation de
Tartuffe, spectacle repris en avril 2016 à La Loge.
Au théâtre, il travaille sous la direction de Léon Masson, Jean Macqueron, Stéphane Auvray
Nauroy, Jean-Marc Galéra, Eram Sobhani, Élise Lahouassa et Léa Chanceaulme. Et il assite
à la mise en scène Julien Kosellek, Stéphane Auvray Nauroy, Olivier Tchang Tchong et
Jean-Michel Rabeux.
Il enseigne également au Cours Florent depuis 2012 en première et deuxième années du cycle
professionnel.
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L’équipe artistique
Alix Blumberg dite Fleurmont
Marianne et Damis
En 2011, elle entre au Cours Florent et en 2013, elle joue dans Lettres
Mortes, création de Stéphanie Aflalo au Théâtre de La Loge. Puis, elle
intègrera la compagnie Les corps Vagabonds dans une création de Flavien Bellec Hamlet/Peut-être/Ressucité.
En 2014, elle joue dans Le Songe d’une nuit d’été mis en scène par
Philippe Calvario au Théâtre de l’Odéon, dans le cadre du Colloque
Shakespeare 450.
La même année ont lieu la création de la compagnie Pull-Over, avec le spectacle Pull-Over mis
en scène par Marylou Rieucau, et celle du spectacle de Pierre Verney L’homme qui revenait un
soir, suivi de la création d’Œdipe, mis en scène par Flavien Bellec au Théâtre de l’Opprimé.
En 2015, Alix tourne dans le court métrage Ni vu ni connu de Lyes Salem dans le cadre des
Talents Adami Cannes. Elle jouera également dans une mise en scène de Vincent Brunol
avec Un Tartuffe pour le Festival On arrête pas le théâtre !
En novembre 2015, elle jouera dans la nouvelle création de Flavien Bellec Identités en création
pour le festival Acte & Fac.
En 2016, elle participera à la création de deux nouveaux spectacles de la compagnie
Pull-Over : Live and die together ainsi que Live together qui sera joué en Côte d’Ivoire à partir
du mois d’août.
Flavien Bellec
Cléante, Valère et Monsieur Loyal
Flavien Bellec s’est formé au Cours Florent, il y a rencontré Liza Machover avec laquelle il fonde la compagnie Les Corps Vagabonds en 2012.
Ensemble ils créent : Roméo et Juliette, Hamlet (en recherche), Hamlet-peutêtre-Ressuscité, Œdipe* et les Trois Sœurs. Il collabore régulièrement avec
Karim Morel (Ass. Westreets), Florian Pautasso (compagnie Divins Animaux), Manon Chircen (compagnie Nuit Grenadine) et Aurélie Barrin
(compagnie Les Animals).
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L’équipe artistique
Julien Varin
Madame Pernel et Tartuffe
Après des études d’histoire à l’UFR de Caen, Julien Varin s’oriente
vers le théâtre. Il intègre l’école Florent en 2002, puis le conservatoire
Francis Poulenc en 2005. Il aura pour professeur Julien Kosellek,
Cyril Anrep et Christophe Garcia, puis Stéphane Auvray-Nauroy. Au théâtre il travaille principalement sous la direction de Julien Kosellek, Sophie Mourousi et Vincent Brunol, mais également Raouf
Rais, Quentin Delorme et Amélie Gouzon, Patrice Riera, Luc Martin, Iris Gaillard, Florent
Dorin, Cédric Orain, Thomas Bouvet et Lola Joulin.
Depuis 2006, il participe de manière régulière aux manifestations créées à L’Étoile du Nord
(Paris 18e) par estrarre.
C’est dans ce contexte qu’en janvier 2012, il met en scène Anatomie Titus d’après H. Müller,
repris à la Loge (Paris 11e) au printemps 2013 et au Théâtre de Vanves (92) dans le cadre de
la 1re édition du festival Préliminaire(s). Il suit également une formation de pédagogue à l’école Auvray-Nauroy et intervient depuis
2008 au lycée Hanoï-Amsterdam (Hanoï, VN) et au collège Hector Berlioz (Paris).
Raouf Raïs
Orgon
Après des études de lettres à Toulon, Raouf Raïs suit le
Conservatoire de Paris avec Stéphane Auvray-Nauroy de
2002 à 2005. Il assiste ensuite à des stages avec Jean-Michel Rabeux, Sabine Quiriconi ou Fabio Pacchioni. Il joue
Phaedra’s love mis en scène par Patrice Riera au L.M.P, En attendant Godot par Benoît Fogel, La
pluie d’été de Duras par Lucas Bonnifait au théâtre de l’Aquarium.
En 2013, il suit la formation à la mise en scène du Conservatoire National. En résidence à
La Loge avec le Collectif Hubris, il crée et joue Happy together, Nova, Fusion et Gaspard.
En 2014, au théâtre de Vanves, il crée Les cowboys et les indiens et joue Affabulazione de Pasolini
mis en scène par Lucas Bonnifait, Anatomie Titus de Müller par Julien Varin et à La Loge
Encore une danse de Thomas Matalou, EPOC de Frédéric Jessua.
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L’équipe artistique
Aurélie Barrin
Dorine
Elle intègre les Cours Florent en 2009 et y suit
un cursus de 4 ans. Elle découvre la pratique théorique de la mise en scène en 2011 et monte, en juin
2012, dans le cadre des travaux de fin d’études, Il n’y
aurait peut-être pas eu de Lolita, création librement adaptée du roman de Nabokov, Lolita.
Elle (dé)monte On ne badine pas avec l’amour en 2013.
En juin 2014, elle co-met en scène Pull-Over, de Marylou Rieucau. En septembre 2014, dans
le cadre du 2e Festival OVNI, elle dirige On ne badine toujours pas avec l’amour ou La préparation
champêtre de mes funérailles, création collective autour du texte de Musset.
Elle joue dans La nuit la vie est moins pire de Benjamin Prioul (mise en scène de Sophie Mourousi,
Théâtre de l’Étoile du Nord), Mon vacarme fut silencieux de Manon Chircen (mise en scène de
Manon Chircen, Théâtre de l’Étoile du Nord) et Un Tartuffe (mise en scène deVincent Brunol,
rôle de Dorine, Théâtre de l’Étoile du Nord).
Actuellement, elle travaille à la mise en scène d’un nouveau projet, Après on arrête, une création
de plateau avec dix comédiens.
Liza Machover
Elimre
Née de parents latino-américains, Liza Machover obtient
une Licence de Lettres Modernes à la Sorbonne Nouvelle en
2010. Elle suit sa formation d’actrice au Cours Florent.
En 2012, elle fonde avec Flavien Bellec la compagnie Les
Corps Vagabonds avec laquelle ils créent Roméo et Juliette (2012) Hamlet peut-être ressuscité
(2013) et Œdipe* (2014). Elle joue au théâtre sous la direction de Philippe Calvario, Olivier
Tchang-Tchong et Vincent Brunol et au cinéma pour Thomas Woschitz (film sélectionné au
Festival international du film de Toronto) et Karim Morel.
En 2014, elle met en scène Las Mujeres… lauréat du Festival Impatience 2015 et représenté
au Théâtre National de La Colline. Actuellement en Master 2 d’Études Théâtrales, elle travaille sur sa prochaine création qui tournera autour de la question de la foi.
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Informations & Sommaire
Informations complémentaires
Le spectacle est disponible dans ses deux versions,
« hors les murs » et salle, sur la saison 2016-2017.
6 acteurs et un régisseur.
Un plateau de 2,5 m sur 4,5 m minimum pour les acteurs en version salle
et adaptable en « hors les murs ».
Le public est installé en bi-frontal ou en tri-frontal en fonction de l’espace.
Les chaises pour les spectateurs ne sont pas fournies pas la compagnie.
Représentations du 5 au 8 avril à 19h30 au théâtre de La Loge 75011 Paris
Contact diffusion : [email protected] 0681278018
Sommaire
Résumé de la pièce.............................................................................................................. page 2
Le rêve d’un théâtre populaire............................................................................................ page 2
Genèse du projet................................................................................................................. page 3
La Compagnie..................................................................................................................... page 4
Note d’intention.................................................................................................................. page 5
Hors les murs Molière !....................................................................................................... page 6
Pensée pour le plateau......................................................................................................... page 6
Parcours de l’équipe artistique............................................................................................ page 7
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