Plainte contre 3 officiers de police judiciaires de la brigade de Saint
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Plainte contre 3 officiers de police judiciaires de la brigade de Saint
Monsieur LABORIE André N°2 rue de la Forge 31650 Saint ORENS TEL : 05-61-00-23-08. Saint ORENS le 12 septembre 1999 Monsieur le Procureur de la République, TGI de Toulouse 31000 TOULOUSE. Monsieur Par la présente je sollicite votre bienveillance a ce que vous preniez en considération ma plainte avec constitution de partie civile, vous demandant de mettre en mouvement l’action publique devant le Tribunal, afin que je sois exonéré de consignation comme me l’accorde l’article N°88 du code de procédure pénale. Cette demande d’exonération, est faite, car je n’ai plus de revenu, suite a une détention abusive ( documents en votre possession. ). Demande d’exonération sachant que les délits reprochés sont d’ordre public. Je ne pense pas que je serais victime de l’article N°4 du code civil. La plainte que je dépose est contre : Monsieur VERDU, Vincent, officier de police judiciaire. Chefs d’accusations : - Faux et écriture de faux - Abus de ses pouvoirs, - Abus d’autorité, - Complicité de procédure irrégulière - Diffamation Monsieur FLICHY, Roland, officier de police judiciaire. Chefs d’accusations - Faux et écriture de faux - Abus de ses pouvoirs, - Abus d’autorité, - Complicité de procédure irrégulière - Diffamation Monsieur VIDAL, Henri, officier de police judiciaire. Chefs d’accusations : 1 - Faux et écriture de faux - Abus de ses pouvoirs, - Abus d’autorité, - Complicité de procédure irrégulière - Diffamation Monsieur GAVALDA officier de police judiciaire Chefs d’accusations - Complicité de Faux et écriture de faux Abus de ses pouvoirs, Abus d’autorité, Complicité de procédure irrégulière Diffamation Monsieur le procureur de la république, suite a une requête que j’ai déposée le 5 avril 1999 devant la juridiction administrative, contre des procès verbaux établis à mon encontre dans un dossier de permis de conduire, procès verbaux établis par la gendarmerie de Saint ORENS. J’ai saisi Monsieur LANZAC pour que celui ci me fournisse la décision attaquée, afin que je puisse la joindre à ma requête déposée devant le Tribunal administratif de TOULOUSE. Monsieur le Procureur de la République, c’est par la fourniture de ces documents que je relève les infractions d’ordre Public fait par des officiers de police judiciaire de la gendarmerie de Saint ORENS. Au vu des éléments que je vous fournis au dossier. Pour Monsieur VERDU, officier de police judiciaire : Celui ci s’est permit de rendre une enquête préliminaire à mon encontre au parquet de TOULOUSE, sur différents éléments faux, en date du 27 juin 1999. - N°1 : Monsieur VERDU constate et valide un faux procès verbal d’audition de mon épouse. N°01439/98 Ce procès verbal n’approuve pas les dires car il n’a pas été signé de mon épouse. Les dires de mon épouse sont faux, je n’ai jamais été au courant de la soit disante convocation du 4 juin 1999. Ce que mon épouse a pu dire devant les gendarmes, elle l’a fait certainement de peur, car a deux ou trois gendarmes, elle a été influencée psychologiquement, lui faisant dire quoique ce soit. La preuve, ils ne sont pas revenus lui faire signer le procès verbal, c’est que les dires ne sont pas exacts. 2 Mon épouse n’a pas besoin d’être dérangée par la gendarmerie, car celle ci, est venu assez souvent, assister à de nombreuses fois a des ouvertures illicites de ma porte de mon domicile, (ce dossier n’est pas a l’heure de ce jour.) Cette présence permanente de persécution, en tenue devant et autour de notre domicile, nous dérange et nous porte un préjudice moral envers notre voisinage. - N° 2 : Monsieur VERDU constate et valide un faux procès verbal, car celui ci mentionne : ( A ce jour et depuis le 5 janvier 1998, Monsieur LABORIE n’a pas déféré aux trois convocations, remises dans la boite a lettre) C’est faux ! Je me souviens, je me suis présenté, une fois avec ma déclaration de perte, ils ont refusé le document, je suis retourné à la préfecture, j’ai vu une responsable, celle ci ma répondu qu’avec la déclaration de perte, cela suffi, je me suis représenté à la gendarmerie, une seconde fois, en date du 10 février, 1998, attestation ci jointe de la gendarmerie, qui cette fois aussi, m’a refuser de faire mon permis blanc. ( attestation ci jointe) Donc les dires de Monsieur VERDU sont faux. N° 3 : Monsieur VERDU, constate et valide sur le méme procès verbal, N° 00342/98 : Une diffamation à mon encontre, devant les autorités de justices, sur des propos délibérés, abusifs, et diffamatoires au vu de la lecture du procès verbal. Il dit et donne une appréciation sur ma personnalité, je suis connu défavorablement des services de la gendarmerie. ? Il dit et affirme par écrit, que je me moque éperdument des services de justice, de police et de gendarmerie. ? C’est très grave de ces diffamations mensongères. N° 4 : Monsieur VERDU, abuse de son autorité, abuse de son pouvoir, complicité de fausse procédure, de fausses déclarations, Pour Monsieur FLICHY, Roland, officier de police judiciaire. N°1 : Monsieur FLICHY se permet de faire un procès verbal, avec son contenu, faux, sans respecter le contradictoire, sans que l’intéressée a signée, N° 2 : Monsieur FLICHY se permet de communiquer ce faux document, constituant une diffamation mensongère, aux autorités judiciaires. N° 3 : Monsieur FLICHY abuse de son autorité, abuse de son pouvoir, complicité de fausses procédures, de fausses déclarations, Monsieur VIDAL, Henri, officier de police judiciaire. 3 - N°1 : Monsieur VIDAL Henri, se permet de faire un procès verbal, de renseignement judiciaire, d’une manière délibérée, Par de fausses déclarations. Monsieur VIDAL dit que je n’ai pas déféré aux convocations de la gendarmerie, au vu de mon document que je fournis, ses dires sont considérés faux. - N°2 : Monsieur VIDAL se permet de porter un jugement sur ma personnalité sur de faux critère, me diffament devant les autorités de justices - N° 3 : Monsieur VIDAL se permet de dire, d’écrire et de communiquer, aux autorités de justices de fausses attestations. - N° 4 : Monsieur VIDAL se permet d’abuser de son pouvoir, d’abuser de son autorité, se rendant complice dans la procédure par de fausses Déclarations. Pour Monsieur GAVALDA officier de police judiciaire Au vu de sa signature et de l’apposition du timbre de la gendarmerie, Monsieur GAVALDA, se rend coupables des infractions qui lui sont reprochées. Monsieur le Procureur de la République, je vous fais part que au vu des dires qui ont été communiqués aux autorités, judiciaires, celles ci m’ont sanctionné, sur des éléments faux. Monsieur le procureur de la république, étant partie civile : - S’entendre condamner aux dispositions que le code pénal autorise. - S’entendre condamner ces officiers se police judiciaire a payer à Monsieur LABORIE la somme de 500.000 francs. - S’entendre condamner chacun de ces officiers de police judiciaire au paiement de la somme de 20.000 francs en application de l’article 475-1 du code de procédure pénale. - S’entendre condamner chacun de ces officiers de police judiciaire aux entiers dépens. - Condamner en toutes hypothèses l’ÉTAT français a relever et a garantir ces officiers de police judiciaire de toutes les condamnations qui pourraient être prononcées à leurs encontre suivant l’article 781-1 de l’organisation judiciaire. - S’entendre dire que le jugement soit assorti de l’exécution provisoire nonobstant toutes voies de recours. - ( sous toutes réserves) Monsieur LABORIE. 4