Haute-Normandie - Concours Talents
Transcription
Haute-Normandie - Concours Talents
Haute-Normandie Haute Normandie : 5 articles trouvés -- Tirage connu : 851436 exemplaires Date de publication Nom du média Support de publication Tirage 16/11/2009 drakkaronline.com CCI Normandie Internet NC 07/10/2009 Rouen Magazine Presse écrite 71000 13/10/2009 Paris-Normandie Presse écrite 60436 06/11/2009 Ma Région Haute-Normandie Presse écrite 720000 11/11/2009 France 3 Rouen TV NC Association Concours Talents - Revue de Presse 4ème trimestre 2009 http://www.drakkaronline.com/article83363.html - les CCI de Normandie 16 novembre 2009 Démolition programmée cances Planète va IRS rs TRE DE LOIS tres de loisi RÉSEAU CEN dans les cen Inscriptions VACANCES u 14 octobre PLANÈTE ns à partir d Inscriptio Palais des congrès LOISIRS CENTRE DE RÉSEAUX 2009 BRE 09 AUTOMNE BRE AU 4 NOVEM Du 26 OCTO Luciline Spectacle Expositions Supplément Concertation pour un nouveau quartier p. 6 Humour décalé à l’Université. p. 12 Familles du monde Planète vacances aux bibliothèques p. 17 Jean-Paul Viguier, architecte de l’Espace Monet-Cathédrale a souhaité que la bâtisse s’intègre dans son environnement. Espace Monet-Cathédrale Clap de fin Après 13 années de fermeture, le Palais des congrès va enfin être démoli. Un souhait largement repris par les Rouennais lors de la consultation publique de 2008. S 2 ur la façade actuellement, une image de la campagne, celle qui a inspiré Monet. Mais derrière l’image, toujours le Palais des congrès, debout depuis 1976… et fermé au public depuis 1996 pour raisons de sécurité. Dix ans après, à la suite du rachat de l’immeuble, un consortium de trois entreprises présente un projet immobilier. Mais le sujet émeut les Rouennais qui n’adhèrent pas à cette nouvelle configuration. Depuis, le dossier a avancé et aujourd’hui, la démolition du futur ex-Palais des la cathédrale (lire encadré p. 3). congrès est enfin engagée. Dans cette perspective, la Ville s’associe Logements, espaces commerciaux à l’État pour un améet espace public. nagement cohérent C’est dans ce vaste 49 logements des abords de la Caensemble dominé thédrale, centre haupar la stature impoet 2 340 m2 tement historique et sante de la cathédrad’espaces touristique de Rouen. le Notre-Dame que commerciaux La cour d’Albane béJean-Paul Viguier a néficiera notamment retracé les lignes d’un d’une profonde mutation pour de- nouveau bâtiment. Première nouvenir un véritable espace public, veauté, ce lieu de 6 675 m2 n’est un havre de verdure à l’ombre de donc plus un Palais des Congrès. À l’intérieur du bâtiment plus petit de 777 m2, 49 logements, 2 340 m 2 d’espaces commerciaux cohabitent, mais aussi un espace ouvert au public. « Il s’agit d’un local clos vitré, précise Jean-Paul Viguier, architecte de l’Espace Monet Cathédrale. Il sera accessible par un ascenseur » et permettra aux visiteurs de prendre un peu de hauteur pour observer la ville, la cour d’Albane restaurée et la Cathédrale. © Jean-Paul Viguier SA d’Architecture Discret et allégé. Une architecture plus discrète et plus classique que les précédentes esquisses le rendra à terme moins imposant vu du parvis de la cathédrale. Au premier plan, un premier volume en pierre de trois niveaux constituera le socle de l’Espace MonetCathédrale. La hauteur de l’égout du toit est à 15 mètres de haut avec une terrasse végétalisée, imaginée comme un jardin sus- Vue de la rue des Carmes. De là, le passage vers l’Hôtel Romé et son architecture Renaissance demeurera. pendu, apportera de la verdure à l’édifice. Derrière ce jardin, un second volume plus discret en métal et de la couleur des toits avoisinants constitue les trois derniers étages de logements. Réunions publiques : lundi 5 octobre et mercredi 7 octobre, 19 h à l’office de tourisme. d’Albane. Cet espace situé sur le flan nord de la Cathédrale et au débouché de la rue SaintRomain et de la rue Croix-de-fer sert aujourd’hui de petit parking. Dès 2010, le chantier entrepris permettra d’ouvrir l’espace au public. À terme, les futurs jardins seront divisés en deux parties. La première, encaissée entre la place et les murs du monument, sera accessible par la cour des Libraires. Elle permettra de découvrir l’ancien cloître. Un lieu autrefois habité par les Chanoines. La seconde surplombera ce premier havre de verdure. Ouverte en permanence au public, elle offrira de petits carrés de verdure arborés. Et pour que la végétation s’impose dès la fin des travaux, les arbres existants ne seront pas abattus. En attendant, les Rouennais pourront suivre le chantier. Il démarrera en 2010. Sa réalisation se déroulera comme une restauration du monument gothique. La renaissance de la Cour d’Albane L’Espace Monet Cathédrale s’inscrit dans un projet plus global d’amélioration du cadre de vie de la place de Cathédrale. En attendant que les trois promoteurs, propriétaires du Palais des Congrès, entament le chantier de la nouvelle bâtisse, l’État et la Ville se sont associés pour la restauration de la Cour La partie basse de la Cour d’Albane sera accessible par la cour des Libraires. © DR © Jean-Paul Viguier SA d’Architecture surtout alléger le projet. Les façades en pierre de la nouvelle bâtisse cherchent donc à se fondre dans leur environnement. « Son architecture ne cherche en aucun cas une relation particulière avec la cathédrale, précise Jean-Paul Viguier. Le nouveau bâtiment aura un aspect lisse et retenu, en opposition aux façades très ouvragées de la cathédrale voisine. Il présentera aussi une toiture en métal de la même couleur que les toitures avoisinantes. ». 3 © Agence Devillers Les travaux qui débuteront en 2010 donneront naissance à un quartier composé de logements, de commerces et d’équipements publics. Urbanisme Renaissance de Luciline Des expositions et deux réunions publiques. Le quartier Luciline passe par la case concertation avant d’entamer sa métamorphose. C ’est l’un des derniers quartiers rouennais à reconquérir : Luciline. Dix hectares à réaménager entre l’avenue du Mont-Riboudet, les quais de Seine, les Docks et la rue Jean-Ango. À l’instar des quais, l’endroit a eu son heure de gloire. En 1868, La Luciline est une usine de raffinage dont le pétrole servait de combustible pour l’éclairage public. Si l’ancienne usine d’Alfred Guérard a disparu, son nom a marqué ce petit quar- jusqu’au 31 octobre, n’est pas tier qui ne demande qu’à naître la première. En 2004 déjà, les et celui d’une rivière enterrée qui habitants avaient été invités ne demande qu’à reà se prononcer. Mais naître. Cette renaissan- Concertation les nombreuses moce débutera en 2010 difications intégrées jusqu’au dans un cadre déliau projet ont incité mité par le futur Palais la Ville à renouveler le 31 octobre des Sports, les Docks dialogue. Il s’agit pour 76, le Pont Gustave-Flaubert, les Rouen de recréer une petite ville quais et la halte de plaisance. La où l’immobilier de bureau côtoie phase de concertation, ouverte une majorité de logements col- lectifs, individuels, en location ou en accession à la propriété. À proximité, des activités économiques, des équipements publics, dont une école. Intégré au programme européen « Future cities – Urban Networks to face climate change », le réaménagement du quartier Luciline repose désormais sur une approche environnementale affirmée. Dans ce volet, l’accent est mis sur l’utilisation de la géothermie et de panneaux solaires, sur la construction de bâtiments basse consommation ou sur la gestion des eaux pluviales via la Luciline. Pour développer un quartier de 10 ha, l’équilibre social et économique est aussi indispensable. La construction de 1 000 logements, 40 000 m2 de bureaux et 20 000 m2 d’activités y contribuera. À terme, le quartier devrait accueillir 1 500 habitants et 2 500 emplois. Exposition • Jusqu’au 31 octobre • Mairie de proximité Pasteur • Docks 76 • Réunions publiques le 14 octobre à la maison de quartier Ouest et le lundi 19 octobre à la mairie de proximité Pasteur • 18 h En ville Opéra de Rouen Frédéric Roels a été nommé directeur de l’Opéra de Rouen lors de la réunion du conseil d’administration. Jusqu’à présent adjoint à la direction artistique de l’Opéra royal de Wallonie à Liège (Belgique), le nouveau directeur a pris ses fonctions officiellement le 4 octobre. 6 Journée mondiale À l’occasion de la 23e journée mondiale du refus de la misère, organisée le 17 octobre, des hommes et des femmes se rassembleront à travers le monde. Pour tout savoir sur cette journée qui coïncide avec le 20e anniversaire de la Convention internationale des Droits de l’enfant connectez-vous à www.17oct.org. Infractions Suite aux doléances de nombreux riverains, les polices municipales de Bihorel et de Rouen, en coopération avec la police nationale, ont opéré plusieurs contrôles de vitesse rues Jean-Texcier et du MaréchalJuin. Réalisé dans le courant du mois du juillet, ces opérations ont permis de constater 24 infractions à la vitesse. Journée Européenne sur l’importance de la prévention, le diagnostic et le traitement de cette maladie. La 6e journée européenne de la dépression se déroulera le 9 octobre, à 20 h 30, à la Maison des Associations (11 avenue Pasteur). À cette occasion, une conférence se tiendra sur le thème « la face cachée de la dépression ». Organisée depuis 5 ans par l’association France Dépression, cette journée vise à mieux informer chacun Normandie junior Le dernier numéro du magazine régional vient de sortir avec un grand dossier sur la préhistoire en Normandie. Et dans la foulée, la jeune maison d’édition rouennaise, déjà distinguée en 2004, recevra le 12 novembre le prix Talents 2009 des créations 7 les pathologies environnementales. Ou comment mesurer l’impact des modifications de l’environnement sur la santé. P lus de 400 millions de tonnes de produits chimiques sortent chaque année des usines contre un million en 1930. En 20 ans, les cancers ont augmenté de 50 %. L’asthme est passé de 3 à 7 % en 15 ans, tandis que 25 % de Français souffrent de maladies respiratoires… À la lecture de ces résultats, il est indispensable aujourd’hui de se poser la question sur les liens entre l’environnement et le développement de certaines maladies. À l’origine du 1er congrès national portant sur les pathologies environnementales en 2005, l’URML Haute-Normandie (Union régionale des médecins libéraux) a dé- le 1er janvier 2009 du soutien de Ferrero France pour 3 ans. Parmi elles, le Karaté club de Rouen. cidé d’élargir son champ d’action à l’Europe. « Il s’agit d’éveiller les consciences des professionnels de santé au fait qu’un grand nombre de maladies qu’ils rencontrent tous les jours peuvent être en relations avec certaines anomalies environnementales qui peuvent préexister ou avoir été créées par l’homme » commente Jean-Luc Martinez, président de l’URML Haute-Normandie. Les professionnels de santé feront le point sur l’état actuel des connaissances et pourront rassurer leurs patients en répondant à toutes leurs questions. Programme : www.ecep2009.com Le dossier du Karaté club de Rouen a convaincu le jury du concours 5 maillots pour l’enfance. By Señor Codo L Le 1er congrès européen sur les pathologies environnementales se déroule à Rouen. d’entreprise. Le 24 septembre, Normandie junior se voyait déjà remettre le Grand prix du jury des Trophées de l’innovation de HauteNormandie. Journée de la sécurité 7 La préfecture de la région Haute-Normandie organise la journée de la sécurité intérieure le samedi 10 octobre de 11 h à 18 h à l’espace des marégraphes. Au programme, des démonstrations et des animations (reconstitution de scènes de crime, portraitsrobots etc.) Grossesse accompagnée L’association Bien naître en Normandie organise un café-débat vendredi 16 octobre, de 18 h 30 à 20 h 30, au bar des Fleurs, place des Carmes sur le thème : « L’accompagnement e but de l’opération 5 maillots pour l’enfance est « d’encourager la pratique sportive des enfants de 5 à 15 ans et de promouvoir le sport comme un levier d’insertion et de cohésion sociale ». Le dossier du Karaté club de Rouen a convaincu le jury. Un concours important pour l’association rouennaise puisqu’il englobe une participation annuelle de 10 000 euros ainsi que le concours de salariés volontaires de Ferrero France. « Ce que le karaté m’a apporté, explique Eddy Poitrat à l’origine du projet, je peux maintenant le partager. » Et également avec des enfants en autour de la grossesse : suivi, examens obligatoires, etc. ». Ces réunions sont mensuelles et gratuites. La prochaine aura lieu le 20 novembre et parlera du projet de naissance. Rens. : www. biennaitreennormandie.org Art contemporain L’association Apac reprend ses conférences sur l’art contemporain. Le mardi 20 octobre, l’association difficulté. Le Karaté club de Rouen a pu ainsi démarrer des cours en liaison avec L’Institut départemental de l’enfance, de la famille et du handicap pour l’insertion (Idefhi) et la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ). Un travail « qui dépasse le sport » pour les professeurs. « Nous essayons de donner à ces jeunes l’envie de s’améliorer, de prendre confiance en eux, de se donner des objectifs… » Le bilan s’annonce d’ores et déjà positif. proposera au public une introduction à l’art moderne en explorant les chemins de courants picturaux tels le cubisme, le fauvisme ou encore l’expressionnisme. Les conférences se déroulent le mardi de 19 h à 21 h, à l’auditorium du musée des Beaux-Arts (entrée : 26, rue Lecanuet). Entrée : 8 €, carte de 6 séances : 40 €. Rens.: http://apac.rouen. free.fr Karaté club de Rouen, gymnase des Cotonniers, 02 35 33 22 01 Gare en expo Pour tout connaître sur le projet de nouvelle gare dans l’agglomération de Rouen, une exposition de huit panneaux dans le hall de l’Hôtel de Ville présente les enjeux, la géographie et les raisons d’une telle initiative. Jusqu’au 17 octobre. 7 13 OCT 09 Quotidien Prov. avec dim. OJD : 60436 113 BOULEVARD DE STRASBOURG 76066 LE HAVRE CEDEX - 02 35 19 17 17 Surface approx. (cm²) : 150 Page 1/1 Normandie Economie Validation des acquis La validation des acquis de l'expérience (VAE) est un processus difficile lorsqu'on Validation des acquis La validation des acquis de l'expenence (VAE) est un processus difficile lorsqu'on l'entame seul Aussi, la confederation des artisans Capeb Haute-Normandie a lance en collaboration avec la delegation académique a la formation continue et le reseau des Greta un projet d'accompagnement a destination de salanes(ees) et de conjointes collaboratrices de chefs dentreprise pour valider un BTS assistant de gestion Aujourd'hui, un groupe de 12 HautNormands est accompagne vers la VAE Ils bénéficient d'une aide pour la constitution de leurs dossiers et de reunions collectives d'échange avec les autres conjoints et collaborateurs Ces personnes seront accompagnées jusqu'à leur soutenance devant le jury de validation Un suivi sera spécifique sera propose a l'issue des resultats du jury A noter, enfin, que les chefs d'entreprise facilitent grandement la mise en œuvre de ce projet Au-delà de la validation et de la valorisation personnelle, ce groupe vit une experience humaine tres enrichissante Plus d'infos au 02 32 23 50 61 talents Un Rouennais pnme Dix entrepreneurs ont ete pnmes au palmarès national 2009 du concours Talents des boutiques de gestion, parmi 56 finalistes issus des sélections regionales Le lauréat de la catégorie « Talents developpement » est originaire de Rouen, et recevra son prix le 12 novembre a Bercy Jean-Benoît Durand, 39 ans, est le createur de La petite boîte, spécialisée dans l'édition de produits ludo-éducatifs regionahstes pour enfants II empoche un prix de 10 DOO 6, dote par le ministere de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi La Petite Boîte a démarre avec la creation de Normandie Junior, le seul magazine regional pour enfants En 2006, sous le label « Normandie Junior editions », l'équipe cree et édite des livres documentaires qui séduisent jeunes Normands et tounstes de passage Via le pôle Normandie Junior communication, la Petite Boîte réalise, pour des entreprises et de nombreux institutionnels, des supports de communication la encore destines aux jeunes carnets de visite pour les musees, posters educatifs, jeux, sites Internet Fort de ces succes en Normandie, JeanBenoît Durand part a l'assaut des autres regions de France en déclinant la collection « La Normandie racontée aux enfants » Originalité il entend va appliquer des methodes « industrielles » a un secteur habituellement artisanal Des mars 2010, 40 livres seront édites dans 10 regions Objectif atteindre 200 livres en France métropolitaine d'ici 3 ans www normandie-jumor com et www concours-talents com 4477156259B0E00602334904C304B5522D987C60805E910BFB3767D TALENTS 2207261200509/RLA/FPA/2 Eléments de recherche : TALENTS ou CONCOURS TALENTS : association et nom du concours annuel de la création d'entreprise, toutes citations w w w . h a u t e n o r m a n d i e . f r Journal d’information de la Région Haute-Normandie N°80 NOVEMBRE 2009 Evénement Actions Région Actions Région La semaine de la solidarité internationale La fête de la science édition 2009 Le travail au féminin : en finir avec les clichés La Région fournisseur officiel d'équipements sportifs 4 A vec 16 millions de licenciés et 26 millions de pratiquants réguliers, les Français démontrent leur engouement croissant pour le sport, quel que soit leur âge. C’est en effet un formidable outil social, d’intégration et d’émancipation collective, un moment d’apprentissage des règles de vie par le dépassement de soimême. Nous investissons massivement pour que l’offre sportive et les équipements soient nombreux et de qualité, sur tout le territoire haut-normand. Nous y avons consacré près de 25 millions d’euros en 2008 et en 2009. Nous soutenons directement 450 sportifs de haut niveau, une vingtaine de clubs et nous organisons des activités de formation envers plus de 150 équipes évoluant en championnats nationaux amateurs. Le sport, ce n’est pas seulement un match, c’est avant tout une belle aventure humaine. Nous accordons donc beaucoup d’importance aux équipements de dimension nationale comme la halle d’athlétisme de Val-de-Reuil qui sera bientôt inaugurée ou le palais des sports de Rouen et le grand stade de football du Havre qui sortiront bientôt de terre. Nous sommes aussi très attentifs à ce que chaque territoire bénéficie des meilleures prestations. Ainsi, la Région participe au financement des stades de Vernon, Dieppe et Préaux, des centres nautiques de Fécamp, Montville, Yvetot et Gonfreville, de la piscine d’Etrépagny, du terrain de bicross de Verneuil, et des salles de sport de Neufchâtel-en-Bray et Pont-Saint-Pierre… Votre envie de sport est grand, il est légitime que nous vous accordions les moyens de réaliser vos envies et vos ambitions. Cet ensemble d’équipements est aussi un bel outil de travail pour les milliers de bénévoles. Associatifs, professionnels, amateurs, spectateurs et supporters, il reste encore beaucoup de travail à mener. Nous poursuivons donc tous ensemble ! Bonne lecture à toutes et à tous. Journal d’information de la Région Haute-Normandie 5, rue Robert Schuman BP 1129 - 76174 ROUEN cedex 1 Tél. 02.35.52.56.00 - Fax 02.35.52.56.56 www.hautenormandie.fr 2 N°80 novembre 2009 ////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// Président de la Région Haute-Normandie ça se passe à la Région n Festival Chants d'elles : un café chanson à la Région nExposition de la plasticienne Ahaye nSéance plénière : une nouvelle conseillère régionale n Prochain forum régional du savoir le 26 novembre 5 Territoires n Une maison de l'Eau pour le pays du Roumois 6-8 Actions Région n Travail au féminin : en finir avec les clichés n Trois lauréats pour les trophées de l'Innovation n Une convention de partenariat n Les rencontres régionales de la création d'entreprise n Fête de la science 2009 9-11 Avec la Région, Dossier 15 Parcours il va y avoir du sport ! 12-13 Express régional Insolite, ludique, pratique... Alice Bobée et Lucas Hauchard, jeunes bénévoles au festival Du Grain à démoudre 16 Agenda Culture, sport, loisirs, nature... Directeur de la publication : Alain Le Vern Rédacteur en chef : Nathalie Lecerf Responsable de la publication : Pascale Feugère Rédaction : Pascale Feugère, Laure Voslion, Sophie de Santis et Sandrine Levallois Photo couverture : Marie-Hélène Labat Design graphique et réalisation : 02.35.812.612 Impression : CirclePrinters Services tél. 01.60.23.30.30 Tirage : 817 000 exemplaires Diffusion : La Poste/Mediapost Dépôt légal : à parution ISSN 1294-8578. Le journal Ma Région est diffusé dans tous les foyers haut-normands. Si vous ne l’avez pas reçu, signalez cette anomalie au service communication, 02.35.52.57.35. Fonds d’aide aux micro-projets de développement © Getty images La Région apporte son soutien à la réalisation de projets réalisés par des organisations haut-normandes (opérateurs ayant fait leurs preuves dans ce domaine et collectivités locales agissant en partenariat avec le milieu associatif) en faveur des habitants de pays en développement sur les questions économique, sanitaire, environnementale, sociale et culturelle et sur les besoins fondamentaux des populations les plus défavorisées dans le cadre d’objectifs du développement durable. Dossiers de demande disponibles à partir de la mi-décembre sur www.hautenormandie.fr solidarité internationale Contact : service Affaires européennes et relations internationales, 02.35.52.56.96 9 journées de réflexion... et d’actions Du 14 au 22 novembre, une autre façon de "vivre ensemble" fait valoir les atouts de la solidarité internationale. Repas équitables, villages associatifs, marchés solidaires, promotion de la paix, concerts, jeux, ateliers, fêtes interculturelles… Partout en Haute-Normandie, la semaine de la solidarité internationale incite les collectivités, associations, établissements scolaires ou culturels à se mobiliser pour un monde plus juste. A gir pour le développement durable, défendre l’accès aux droits pour tous, consommer équitable ou voyager autrement font partie de la besace du citoyen solidaire... La semaine de la solidarité internationale permet de sensibiliser le public aux droits fondamentaux et aux inégalités nord/sud, de l’accès à l’eau aux libertés d’expression, pour aller vers un changement en profondeur de nos comportements individuels et collectifs et construire des alternatives. Un forum le 12 novembre En Haute-Normandie, cette 12e édition est partout, de Duclair à Fécamp, de Rouen à Pont-Audemer, du Havre à Evreux, de Dieppe à Elbeuf... Le coup d’envoi sera donné le 12 novembre à l’Hôtel de Région avec un forum réunissant des acteurs haut-normands sur le thème "La crise alimentaire : quels enjeux ? quelles réponses ?". Cette manifestation prend tout son sens deux ans après les émeutes de la faim dans les pays en voie de développement et au moment où les producteurs de lait et de fruits et légumes français font face à de grandes difficultés. Un état des lieux de la situation mondiale et des exemples de programmes coopératifs menés en Haute-Normandie seront proposés lors de ce forum où participera, notamment, Olivier de Schutter, rapporteur spécial des Nations Unies pour le droit à l’alimentation qui interviendra en vidéoconférence depuis le centre des Nations Unies de Bruxelles. Le 12 novembre à 16h30 Hôtel de Région, 5 rue Schuman à Rouen, 02.35.52.56.00, entrée libre dans la limite des places disponibles. Réservation possible par courriel à [email protected] LE SAVIEZ-VOUS ? Aujourd’hui dans le monde, plus d’un milliard de personnes ne mange pas à sa faim et autant vit dans des bidonvilles. a la région solidaire La Région est aux côtés des acteurs haut-normands qui œuvrent dans le champ de la solidarité internationale. Cette année, 10 projets associatifs individuels et 8 collectifs sont soutenus par la Région dans le cadre de son dispositif Appel à projets éducation et développement. A Dieppe, le collectif Oxygène a travaillé autour des droits de l’enfant. A Pont-Audemer, le réseau d’initiatives solidaires propose des actions et des rencontres autour des problèmes de l’alimentation avec repas bio équitable et marché de produits locaux. Dans la région d’Yvetot, le collectif Caux Solidaire et l’Aneth organisent notamment une conférence-projection sur le Forum social mondial 2009 au Brésil. Au Havre, c’est l’accès aux soins en territoires occupés avec le directeur de l’hôpital de Bethléem qui fera l’objet d’une rencontre. Dans l’agglomération rouennaise, village associatif, sensibilisation autour de l’accès à l’eau potable, projection du film Welcome et pièce de théâtre autour de témoignages de sans papiers sont au rendez-vous. Journal d’information de la Région Haute-Normandie 3 L’incroyable carnaval 36 chants d’elles ! d’Ahaye P orté par l’association A travers chants, le festival Chants d’Elles souffle ses dix bougies et continue de porter le flambeau de son fondateur Yves Marie Denniel disparu il y a près d’un an avec une nouvelle série de concerts au féminin. Le 23 novembre, à l’Hôtel de Région se tient un café chanson retransmis sur HDR, la radio des Hauts de Rouen, ouvert à toutes et tous. Chansons et discussions sont au programme de cette émission, un peu calquée sur le principe de Sur le pont les artistes, une émission musicale retransmise le samedi soir sur France Inter. Dans le cadre du festival du Livre de jeunesse de Rouen soutenu par la Région, la plasticienne Ahaye dévoile son Incroyable carnaval. Du 27 novembre au 27 décembre à l’Hôtel de Région, ses femmes tout en courbes et en couleurs emmènent le public dans son univers carnavalesque. a Couettes en l’air, cheveux au vent, teinture bleu pétrole et petits personnages se câlinant sont autant de mini portraits se superposant, se chevauchant, se répondant sur des supports en bois aux couleurs chatoyantes. La peinture est l’une des facettes d’Ahaye, l’autre étant la sculpture. Faites de techniques mixtes, de papier travaillé, de tissu et de bois, ses femmes sculptées peuvent mesurer jusqu’à un mètre soixante de haut. Avec leurs longs membres fins et leurs poses désarticulées, elles ressemblent à des marionnettes sans fil au repos et paraissent raconter une histoire que tout le monde ne peut entendre. Femme animale ou femme toboggan, elles seront une trentaine exposées à l’Hôtel de Région. Pour leur répondre, des toiles moyen et grand formats ainsi que des bas-reliefs complètent le voyage. Du 27 novembre au 27 décembre, Hôtel de Région, 5 rue Schuman à Rouen. Du lundi au samedi de 9h à 18h. Entrée libre. Contact : 02.35.52.57.57 Café chanson : le 23 novembre à l’Hôtel de Région. Entrée gratuite à partir de 8h30. Contact : 02.35.52.57.57 Contact Chants d’Elles : 06.32.09.89.12 www.festivalchantsdelles.org ////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// Séance plénière Une nouvelle COnseillère régionale a Le conseil régional réuni en séance plénière le 19 octobre dernier a accueilli une nouvelle conseillère régionale qui remplace Estelle Grelier. Respectant la règle de non-cumul des mandats, cette dernière, élue députée européenne en juin dernier a démissionné de son poste d’élue régionale. Elle laisse sa place à Françoise Pasquis-Dumont, entraînant de ce fait une nouvelle composition de la commission permanente votée à l’occasion de cette séance plénière. Figuraient également à l’ordre du jour : les orientations budgétaires 2010, les subventions de fonctionnement allouées aux établissements scolaires publics relevant de la compétence régionale, les aides à la mobilité internationale en faveur des apprentis, le Schéma interrégional du tourisme... 4 N°80 novembre 2009 Crise économique ? Crise de valeurs ? Quelles perspectives ? Chaque jour, des termes vagues, flous et complexes sont censés nous éclairer sur les causes et conséquences de la crise économique. Le milliard est devenu la plus courante des unités pour "l’économie virtuelle" et la finance "mondialisée". La crise est, elle, très concrète. N ous pouvons nous interroger sur les perspectives qui s’annoncent pour notre vie personnelle et collective. Pouvonsnous agir ou devons-nous subir ? Existe-t-il des valeurs de l’économie ? Existe-t-il une économie des valeurs ? Un humanisme économique est-il encore possible ? Qu’en pensent les chercheurs? Pour aborder et répondre à toutes ces questions, Yoland Bresson est l’invité du prochain forum régional du savoir, jeudi 26 novembre à 20h30. Agrégé des facultés de droit et des sciences économiques, il est actuellement professeur émérite à l’Université Paris-Val de Marne et doyen de la faculté. Son dernier ouvrage s’intitule Une clémence économique au-delà du revenu d’existence. Hôtel de Région, 5 rue Robert Schuman à Rouen. Gratuit, nombre de places limité, réservation auprès de Science Action, 02.35.89.42.27. Retrouvez également les forums régionaux du savoir en direct sur www.scienceaction.asso.fr La classe de CP-CE1 de Thuit Anger en visite à la maison de l'Eau Territoires >>> Le château du Bosc-Féré Pays du Roumois l’eau, c’est la vie Parce que l’eau est une ressource rare et précieuse qu’il convient d’appréhender dès le plus jeune âge, la commune de Thuit-Signol vient de se doter dans le cadre du contrat de pays du Roumois, d’une maison de l’Eau. Un équipement unique en Haute-Normandie. ”Rappelons que ce projet est issu du contrat de pays du Roumois signé avec la Région et le Département. Il témoigne du bien-fondé de la politique territoriale du ”276“ qui permet d’impulser les investissements et de contribuer à l’aménagement de nos territoires“, ont souligné Alain Le Vern et Jean Louis Destans, présidents de la Région Haute-Normandie et du Département de l’Eure, lors de l’inauguration de la maison de l’Eau, le 3 octobre dernier, aux côtés de Daniel Lého, maire de Thuit-Signol. D e l’extérieur, on ne voit que de l’eau : un mur d’eau, des bassins, une mare, de l’eau qui serpente et ruisselle, des plantes aquatiques… Inaugurée le 3 octobre dernier, la maison de l’Eau de Thuit-Signol est logée dans un bâtiment enterré* où l’eau est un élément architectural à part entière. Récupérée et recyclée en permanence, l’eau est omniprésente. “La structure enterrée du bâtiment permet aussi de garder tout le cachet du château du Bosc-Féré et du parc, où la maison de l’Eau est implantée“, souligne Benjamin Lerisbé, le gérant du site. Une vocation essentiellement pédagogique Grâce à une scénographie soignée, mise au point avec l’association régionale CARDERE, spécialisée dans l’éducation à l’environnement, et l’agence de l’eau Seine-Normandie, la maison de l’Eau est un lieu d’observation et d’expérimentation à vocation essentiellement pédagogique. Comme l’explique Benjamin Lerisbé : ”Tout est basé sur les manipulations et sur le jeu : les enfants découvrent d’eux-mêmes les réponses aux questions posées : qui a besoin d’eau, comment fonctionne le cycle de l’eau, qu’est-ce qu’un écosystème, quels sont les principaux polluants qui affectent la qualité de l’eau, combien on consomme d’eau à la maison...“ Ecoles, centres de loisirs, classes vertes (le château offre des possibilités de courts et moyens séjours)… les demandes affluent et les groupes d’enfants se succèdent depuis déjà plusieurs semaines, encadrés par leurs enseignants ou accompagnateurs, et pilotés sur place par deux animateurs. A la sortie, de l’eau qui tombe du ciel à celle qui sort du robinet, l’eau n’a plus de secrets pour les jeunes visiteurs. ”Ils sortent de chez nous pleins de bonnes résolutions sur les gestes à faire et les bonnes habitudes à prendre, note Benjamin Lerisbé, et leurs parents n’ont plus qu’à suivre !“ PRATIQUE Destinée en priorité aux scolaires et parascolaires, la maison de l’Eau compte aussi développer des activités tout public, notamment à l’occasion de journées portes ouvertes. A suivre dans un prochain Ma Région. Contact : maison de l’Eau, château du Bosc-Féré, 27370 Thuit-Signol, 02.32.96.91.91 * conçu par l’architecte parisien Daniel Cléris. Coût total du projet incluant la scénographie : 2 217 096 € dont 643 000 € financés par le Département, 550 000 € par la Région Haute-Normandie, 210 000 € par les fonds européens Feder, dans le cadre du contrat de pays du Roumois. Journal d’information de la Région Haute-Normandie 5 © Ville de Thuit-Signol Légende photo du transport et de la logistique Voir une femme conduire un camion de 35 tonnes ou gérer les stocks dans un entrepôt logistique n’est pas courant. Les clichés ont la vie dure ! Selon un sondage réalisé en février 2009 par l’Institut PTC auprès d’un échantillon de 614 HautNormands sur les métiers du transport et de la logistique, 20% des personnes interrogées estiment que ce sont des métiers d’hommes, 51% jugent qu’ils sont dangereux pour les femmes et 46% que ces professions peuvent nuire à la vie familiale. Par ailleurs, 70% des sondés déclarent que les femmes sont très mal informées sur les carrières de ces secteurs. Alors, pour arriver à une meilleure mixité dans cette branche professionnelle, une campagne d’information sur les métiers du transport et de la logistique est lancée depuis début octobre en HauteNormandie. Cette campagne fait suite à un accord signé en septembre 2008 entre la Région, l’Etat et les professionnels du secteur. Cet accord qui court jusqu’en 2013 a pour but de favoriser l’accès des HautNormandes à ces nouveaux métiers, dès la classe de troisième, répondant du même coup aux besoins de recrutement de la profession par une offre de main d’œuvre qualifiée. © Agence PTC a Visuel extrait de la campagne d’information sur la féminisation des métiers du transport et de la logistique lancée début octobre Egalité et mixité Travail au féminin en finir avec les clichés Déconstruire le stéréotype selon lequel certains métiers sont faits pour les garçons (au hasard, garagiste) et d’autres pour les filles (par exemple, sage-femme), tel est l’enjeu du séminaire “Unique en son genre“, co-organisé le 20 octobre à l’INSA de Rouen par la Région Haute-Normandie et l’Etat. Une manifestation qui s’inscrit dans une politique plus globale menée à l’échelle régionale contre les discriminations. A nimé par le journaliste Adrien Hervais, grand connaisseur des problèmes liés aux discriminations, avec à ses côtés le président de Région, Alain Le Vern, le préfet de région et la rectrice de l’Académie de Rouen, le séminaire Unique en son genre a été l’occasion de présenter le résultat d’une étude de l’Université de Caen sur l’égalité hommes-femmes dans le système éducatif. Commandée par la Région et l’Etat et réalisée par la sociologue Clotilde Lemarchand, maître de conférence à l’Université de Caen, l’étude révèle notamment que les filles semblent davantage cadrées et surveillées tandis que les garçons seraient plus excusés et choyés par les adultes. Les filles sont un peu plus motivées que les garçons et la famille constitue un soutien fort pour les minoritaires en genre. Détail rassurant, la croyance des jeunes dans l’égalité de droit entre fille et garçons. Mixité : des solutions Valoriser les secteurs porteurs d’emplois encore peu mixtes, mieux accompagner les choix d’orientation au niveau du collège et du lycée, lutter contre l’isolement des filles et garçons qui font des choix atypiques, ce sont des leviers d’action qui peuvent favoriser l’intégration des élèves dans des filières minoritaires en genre. La Région a également mis au point un dispositif ”gagnant-gagnant“ : depuis quelques années, elle attribue une aide financière supplémentaire aux employeurs d’apprentis qui embauchent des jeunes dans les filières où leur sexe est sousreprésenté. Exemple, un employeur qui recrute une fille en BTS Maintenance industrielle ou un garçon en CAP Coiffure bénéficie de cette bonification. 6 N°80 novembre 2009 les prix de la vocation scientifique et technique aLe 20 novembre aura lieu à la préfecture de Seine-Maritime la remise des Prix de la vocation scientifique et technique qui récompensent des lycéennes en terminales scientifiques ou techniques pour leur parcours scolaire. L’objectif est d’encourager les jeunes filles qui s’inscrivent après le bac dans des filières scientifiques ou techniques. Un vrai défi quand on sait que seules 40% de filles se retrouvent dans ces filières. innovation : 3 lauréats Le 25 septembre à l’Hôtel de Région à Rouen, a eu lieu la cérémonie de remise de prix des trophées de l'Innovation. O RaPIDO rganisés pour le compte de la Région par l’agence régionale de l’innovation Seinari, les trophées de l’Innovation ont pour vocation d’encourager et de valoriser les projets de développement économique innovants en Haute-Normandie. Trois catégories ont été définies (Diversificationcréation, Collaboration PME-PMI/organisme de recherche, Coup de cœur) et 3 entreprises régionales ont été récompensées par la Région, sur les 22 en lice. Dans la catégorie diversification-création, qui distingue des projets créés à partir de sociétés existantes, c’est la société CAVAS, installée à Lanquetot, et son dirigeant Gilbert Fournier, qui ont reçu le prix. L’entreprise a mis au point des structures mobiles (type Algeco) équipées d’une barrière qui permet de comptabiliser et suivre les flux de visiteurs lors d’événements ponctuels et donc de sécuriser un site en fonction des besoins. La société SYSNAV montée par David Vissière en partenariat avec le laboratoire de l’Ecole des Mines de Paris, a obtenu pour sa part le prix PME-PMI/organisme de recherche. Grâce à un nouveau système utilisant les champs magnétiques et la gravitation, son invention permet de localiser une personne à l’intérieur d’un bâtiment. Une innovation fort utile pour les sapeurs-pompiers, la police ou encore les entreprises de sécurité. Enfin, La petite Boîte de Jean-Benoit Durand, spécialisée dans la création et la publication de livres pour enfants sur l’histoire et les spécificités régionales, est primée dans la catégorie Coup de cœur. A noter que La petite Boîte vient également de recevoir le prix ”talent du développement“ du concours Talents organisé au niveau national par les Boutiques de gestion. Contact : Seinari, 02.32.10.23.03 des salariés mieux formés a L’Etat, la Région Haute-Normandie et les partenaires sociaux* ont signé le 24 septembre dernier une convention interprofessionnelle de partenariat “pour le développement des compétences des salariés dans un contexte économique difficile”. Alors que la Haute-Normandie est particulièrement touchée par la crise économique et sociale, l’objectif est d’apporter une réponse globale et concertée pour aider les petites, moyennes et très petites entreprises à préserver et renforcer les compétences de leurs salariés dans la perspective d’une reprise économique. Concrètement, les signataires* s’engagent à : • mobiliser les dispositifs de formation pour permettre aux entreprises de développer les compétences des salariés durant les périodes de baisse d’activité ; • aider à la reconversion des salariés dont l’emploi est menacé ; • faire évoluer, grâce à la concertation, l’offre de formation en concordance avec les besoins des salariés et entreprises ; • favoriser l’accès aux dispositifs permettant de construire et sécuriser des parcours de formation tout au long de la vie ; • développer l’accompagnement et l’orientation des salariés tout au long de la vie. Jean-Benoît Durand, créateur de la petite Boîte *Signataires de la convention : Etat, Région Haute-Normandie, représentations régionales du MEDEF, de la CGPME, de l’UPA, de la CFDT, de la CGT, de la CFTC, de la CFE-CGC, unions départementales 76-27 CGT-FO les Rencontres régionales de la création et de la reprisee ZONES D'ACTIVITÉ Visite à Bourg Beaudoin a a Organisées du 16 au 20 novembre par et dans les chambres de commerce et d’industrie de Dieppe, d’Evreux, du Havre, de Lisieux et de Rouen, ces Rencontres régionales permettent aux créateurs et repreneurs d’entreprise de bénéficier sans rendez-vous de conseils et d’informations pour se faire aider dans leur parcours. Co-finançant l’opération, la Région aura un stand sur chaque site pour présenter aux porteurs de projet les aides régionales à la création/reprise d'entreprise. Le 16 novembre à la CCI de Lisieux, le 17 à la CCI du Havre, le 18 à la CCI d’Evreux, le 19 à la CCI de Dieppe et le 20 à la CCI de Rouen. Accès gratuit. www.normandie.pro/crea Le 28 septembre, Alain Le Vern et Jean Louis Destans ont visité le nouveau site de l’entreprise Dielna, sur la zone d’activité de la Maladrerie à Bourg Beaudoin. Fabriquant des aliments liquides pour animaux à partir de matières premières agricoles non utilisées par l’industrie agro-alimentaire, leader national pour l’alimentation des ruminants, cette entreprise emploie aujourd’hui 10 salariés et produit 35 000 tonnes (contre 600 tonnes en 1989). Son implantation à Bourg Beaudoin, doublée d’investissements important en matériel, doit lui permettre d’atteindre une production de 50 000 tonnes par an et de recruter 8 personnes. L’entreprise a bénéficié pour ses nouvelles installations d’aides de la Région Haute-Normandie et du Département de l’Eure (aide régionale à l’emploi, aide régionale à l’immobilier, aide régionale aux investissements agro-alimentaires). Journal d’information de la Région Haute-Normandie 7 Alain Le Vern en visite au CFA Interconsulaire de l’Eure Placée sous l’égide du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche, la 18e édition de la Fête de la science se déroule sur tout le territoire haut-normand du 16 au 22 novembre. Sous la houlette de Science Action Haute-Normandie, portes ouvertes de laboratoires, villages des sciences et visites d’entreprises sont au rendez-vous. C ette année, la Fête de la science s’inscrit dans le cadre de la célébration du 150e anniversaire de la publication de L’Origine des espèces, ouvrage fondateur de la théorie de l’évolution, et le 200e anniversaire de la naissance de Charles Darwin. Des célébrations autour du père de la théorie de l’évolution auront lieu au Muséum de Rouen, à la médiathèque de Pont-Audemer et à la bibliothèque de Sotteville-lès-Rouen. Quelques jours avant l’ouverture des festivités scientifiques aura lieu le lancement régional de la manifestation, le 12 novembre, dans les locaux de l’entreprise Thales à Ymare avec une visite des ateliers et des différents équipements. De la physique des matériaux à l’éco-toxicologie de Rouen, Le Havre, Evreux et Elbeuf avec la présence sur les sites des laboratoires de recherche qui proposeront aux visiteurs de découvrir les grands thèmes de la recherche en Haute-Normandie, de la physique des matériaux à l’éco-toxicologie. Installés au cœur des villes, les villages des sciences offrent en un seul lieu tous les domaines des sciences et des techniques, et la possibilité de rencontrer chercheurs et scientifiques sans qui cette manifestation ne saurait exister. Plusieurs visites d’entreprises sont également au programme de cette semaine comme la visite de la centrale thermique d’EDF au Havre ou l’ouverture du Centre d’information au public de la centrale nucléaire de Paluel et de Penly. Contact : Science Action Haute-Normandie 02.35.89.42.27 www.scienceaction-asso.fr L’INSA se recentre au Madrillet © Getty images Mais l’essentiel de la Fête aura lieu du 16 au 22 novembre dans les villages des sciences Lundi 28 septembre, Alain Le Vern a rencontré 125 jeunes du CFA Interconsulaire de Val-de-Reuil. A cette occasion, le président de la Région leur a présenté la carte Région, qui leur offre cette année un crédit supplémentaire de 30 euros pour leurs achats de livres scolaires. 8 N°80 novembre 2009 Jeudi 15 octobre a eu lieu l’inauguration du nouveau site de l’INSA de Rouen (Institut national des sciences appliquées), qui permet de regrouper l’école sur le campus du Madrillet (Saint-Etienne-du-Rouvray). Grâce à la construction de trois bâtiments en haute qualité environnementale et à la restructuration des locaux existants, l’INSA dispose maintenant de 41 000 m2 de locaux dédiés à l’enseignement, à la recherche et aux nombreuses activités de cette grande école publique d’ingénieurs. Coût total de l’opération : 42 ,8 millions d’euros dont 7 financés par la Région Haute-Normandie. dossier >>> "Nos politiques ont pour finalité d’améliorer la qualité de l’offre sportive et de faire de la Haute-Normandie un terrain de sport accessible au plus grand nombre, souligne Alain Le Vern, président de la Région. Nous avons fait beaucoup d’efforts allant dans ce sens ces dernières années et le nombre croissant de licenciés dans les clubs régionaux est un indicateur de réussite." 366 753 C’est le nombre de sportifs licenciés en Haute-Normandie, tous sports confondus (année 2007-2008). Journal d’information de la Région Haute-Normandie © photos : Marie-Hélène Labat L a Région Haute-Normandie est fortement engagée dans le développement de la pratique sportive sur l’ensemble de son territoire. Elle intervient sur plusieurs fronts : elle soutient les athlètes de haut niveau, construit et finance des équipements, accompagne les clubs et les ligues, encourage la formation et le sport en milieu scolaire. Ces actions concrètes sont renforcées par un partenariat entre la Région et les Départements de l’Eure et de SeineMaritime dans le cadre de la "démarche de coopération 276", initiée en 2004 par les 3 collectivités pour mettre en commun leurs moyens et gagner ainsi en efficacité. 9 Equipements sportifs : La Haute-Normandie médaille d’or Reuil est l'un des 4 équipements structurants réalisés avec le palais des sports de l'agglomération rouennaise, le grand stade de l'agglomération havraise et la future salle omnisports d'Evreux. Terrains multisports, complexes aquatiques, gymnases scolaires, pistes d’athlétisme, stades couverts... De nombreux équipements sportifs ”top model“ ont fleuri un peu partout en Haute-Normandie. Menant une politique volontariste en la matière, la Région s’est engagée aux côtés des acteurs locaux et a investi ces dernières années 20 millions d’euros pour que les Haut-Normands puissent profiter au quotidien d’installations sportives de qualité. a "La Haute-Normandie est aujourd’hui bien dotée en équipements sportifs, ce qui n’était pas forcément le cas il y a quelques années, observe Alain Le Vern. Notre collectivité a souhaité donner une impulsion aux équipements sportifs pour répondre à deux priorités : d’une part permettre à la Haute-Normandie de se positionner comme territoire d’accueil de compétitions nationales et internationales, d’autre part offrir la possibilité aux habitants de notre région de pratiquer le sport à côté de chez eux et dans les meilleures conditions. Ces équipements représentent en outre un facteur d’attractivité important pour la Haute-Normandie." Les équipements sportifs financés par la Région (mis à part les gymnases des lycées) sont inscrits dans les contrats de pays ou d’agglomérations, dont la vocation est de favoriser un développement harmonieux et structuré du territoire, à la fois en termes économiques, sociaux et environnementaux. Piscines : la Région se mouille ! La Région a notamment réalisé de gros efforts en matière d’équipements aquatiques. En 3 ans, elle a financé la construction de 7 nouvelles piscines : Gonfreville l’Orcher ("GD’O", ouvert en novembre 2007), Le Havre (complexe des docks Vauban, dessiné par l’architecte Jean Nouvel et ouvert en mars 2008) Montivilliers (février 2008), Fécamp, Yvetot, Trie-Château (près de Gisors), Dieppe (Les Bains, en service depuis 2006, avec bassin extérieur d’eau de mer)… A cela s’ajoutent les piscines d’Etrepagny et de Montville, refaites à neuf grâce au soutien de la Région. Tous ces équipements offrent à la fois des zones réservées à la natation, des espaces de jeux et des espaces de remise en forme. Le nouveau complexe aquatique de Fécamp 10 N°80 novembre 2009 © Marie-Hélène Labat La qualité environnementale : incontournable La plupart des équipements sportifs récents financés ou cofinancés par la Région (et tous les équipements programmés depuis 2009) doivent répondre à des critères de faible consommation d’énergie. Capteurs solaires (comme à la piscine de Fécamp ou de Montivilliers ou au gymnase Dransart à La Saussaye), chaufferie au bois collective (à Gonfreville l’Orcher), centrale photovoltaïque (à La Saussaye ou à Fécamp), font désormais partie du paysage. L’accessibilité aux personnes handicapées fait également partie des priorités. Ils ont ouvert en 2009 •Le stade couvert d’athlétisme de Val-de-Reuil •AquaVexin, le complexe aquatique de Trie-Château •Le gymnase Jacques Prévert à Pont-Audemer •Le gymnase Jean Moulin aux Andelys •Le stade intercommunal de Préaux (pays Entre Seine et Bray) Stade d’athlétisme de Val-de-Reuil Très attendu, le stade couvert d’athlétisme de Val-de-Reuil sera inauguré le 12 décembre prochain. Ayant pour vocation d’accueillir des compétitions de haut niveau en période hivernale, le nouvel équipement comprend un anneau de 200 m à 6 couloirs, avec aires de saut et de lancers, et gradins fixes de 1 000 places. Il sera également équipé d’une salle d’échauffement et d’une piste de 160 m en ligne droite permettant l’organisation de courses de 100 m ou 110 m haies en salle. Déjà en service •Le complexe sportif de Routot (contrat de pays du Roumois) •Le gymnase du lycée Lavoisier au Havre •Le gymnase de Lieurey •Le boulodrome couvert de Saint-Pierre-lès-Elbeuf •La salle de sport Jean Gachassin de Thuit-Signol •La piste d’athlétisme d’Eu •Les plateaux sportifs de la communauté de communes de l’Andelle •Le stade de football des Vertus (agglomération Dieppe maritime) en cours ou à venir… •La nouvelle salle omnisports d’Evreux •La piscine intercommunale de Cany-Barville •Le complexe sportif de Bourg-Achard •Le gymnase Dransart à La Saussaye •Le gymnase du lycée Augustin Hébert à Evreux •Le gymnase du lycée Anguier-Cayet à Eu •Le gymnase du lycée Aragon de Gisors •La piscine interrégionale de Saint-Rémy-sur-Avre/Nonancourt •Le vélodrome couvert à Grand-Couronne •Le gymnase du lycée Jeanne d’Arc à Rouen •Le centre aquatique interrégional du Tréport •Le complexe sportif de Saint-Ouen de Thouberville •La salle de sport d’Amfreville la-Campagne •La salle de sport pour le secteur de Saint-Antoine-la-Forêt •La salle de sport pour le secteur de La Frenaye Le palais des sports de l'agglomération rouennaise, un projet signé Dominique Perrault qui verra le jour en 2012 Palais des sports de l’agglomération rouennaise D'une capacité modulable de 3 500 à 6 000 places et d'une superficie de 13 000 m2, le futur Palais des sports répondra à l'attente des clubs locaux et de leur public. L'architecte Dominique Perrault signe les plans de cet équipement qui prendra place d'ici à 2012, entre l'avenue du Mont-Riboudet et la Seine, au coeur du projet Seine Ouest de reconquête des quais. Grâce à ses différentes salles, son plateau de 56 mètres sur 32, ses espaces d'échauffement, de musculation, ses bureaux, ses gradins amovibles, il sera homologué pour recevoir des manifestations de haut niveau dans diverses disciplines et accueillera deux équipes résidantes. BON À SAVOIR La Région soutient le sport tous les jours Le grand stade de l'agglomération havraise : conçu et réalisé par le groupement Vinci Construction/ SCAU/KSS/IOSIS, son ouverture est prévue début 2012 Grand stade de l’agglomération havraise Présenté le 9 septembre dernier, le futur grand stade de l’agglomération havraise, implanté sur l’ancienne gare de triage de Soquence, sera un nouvel emblème architectural pour Le Havre. D’une capacité de 25 000 places, il abritera l’équipe de football du HAC mais pourra aussi accueillir d’autres manifestations grand public. Entouré d’un parc paysager, le nouveau bâtiment sera conçu, réalisé et géré sous le signe de l’énergie positive : il produira plus d’énergie qu’il n’en consomme (une première en France pour un équipement de ce type). Ouverture prévue en février 2012. Financement Région : 25 millions d’€ sur les 80 millions d’€ que coûtera la construction du stade lui-même. Plus de 180 manifestations, grandes et petites, subventionnées (tournois, marathons, matches, rencontres...). 450 athlètes de haut niveau aidés (81 évoluant au niveau international, 300 jeunes espoirs). 51 conventions d’objectifs passées avec les ligues sportives régionales. 126 véhicules financés dans le cadre du dispositif "276, ça roule" (Région & Départements) pour permettre aux clubs, ligues et comités sportifs de transporter leurs joueurs et leur matériel. Plus de 150 clubs amateurs évoluant en Nationale soutenus. 80 000 jeunes haut-normands bénéficiaires du crédit "rencontre sportive" de 15 € disponible sur leur carte Région. Journal d’information de la Région Haute-Normandie 11 Anoribois a L'association Anoribois est le lieu de rencontre de l'ensemble des acteurs de la filière forêt-bois en Haute-Normandie : propriétaires forestiers, gestionnaires, exploitants forestiers, scieurs, papetiers, industriels du panneau, charpentiersmenuisiers, ébénistes. Soutenue par la Région, l'Etat et les syndicats professionnels régionaux, elle a pour principales missions de promouvoir le matériau bois, de développer et représenter les entreprises de la filière, de veiller à la qualité des formations dispensées par les établissements régionaux. Pour mener à bien ses missions, Anoribois organise plusieurs grands rendez-vous dans l'année, dont la Semaine du bois, les journées portes ouvertes dans les maisons en bois, le Salon des maisons en bois. Côté actualité, le 9 octobre lors du dernier Salon des maisons en bois à Rouen, Anoribois a signé avec l’Etat, la Région Haute-Normandie, la Région Basse-Normandie, l’ADEME et l’association Professions bois (l’équivalent d’Anoribois en Basse-Normandie), la charte Bois bûche. Celle-ci a pour objectif d’apporter aux consommateurs une garantie de qualité avec 3 critères : essences de bois vendues, taux d'humidité, volume. Les consommateurs sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à apprécier les vertus du bois comme combustible, et à s’équiper de poêles à bois, de chaudières collectives ou industrielles et de réseaux de chaleur fonctionnent au bois. Anoribois, 1 rue Georges Clemenceau 76230 Bois-Guillaume, 02.35.61.55.59. [email protected], www.anoribois.com A connaître Ma gare au quotidien Pour informer les voyageurs sur les services offerts dans les différentes gares de Haute-Normandie, la SNCF a créé en partenariat avec la Région HauteNormandie, une série de dépliants intitulés Ma gare au quotidien. On y trouve les horaires d'ouverture de la gare et du guichet, les lignes de trains et de cars, les tarifs et abonnements, le plan de la ville, des informations pratiques… Ma gare au quotidien existe déjà pour les gares de Barentin, Bernay, Conches-en-Ouche, Dieppe, Elbeuf-Saint Aubin, Fécamp, Gaillon, Serqueux, Yvetot. Disponible dans les gares concernées. Contact : Aléorégion, 0.825.000.276 (0,15 €/mn) 12 N°80 novembre 2009 Ouvrez l'œil s La Normandie se montre à Pari pour sa régional de tourisme de Normandie Voici les visuels choisis par le Comité s’aventurer à s cilien Fran et à inciter les Parisiens campagne d’automne 2009, destinée de la tants habi les bre, ovem mi-n ’à jusqu et re en Normandie. Depuis début septemb gares, les o, métr du oirs coul es tour à tour dans les capitale peuvent découvrir ces imag s. lettre aux boîte leur dans et net inter s les kiosques à journaux, sur leurs écran Contact : CRT, 02.32.33.79.00, www.normandie-tourisme.fr C'est malin La cité des Métiers... livrée à domicile ! a Le nouveau site www.citedesmetiershautenormandie.fr offre une ouverture directe (et à domicile) sur les services de la cité des Métiers de Haute-Normandie. Facile à utiliser, il permet d’accéder à une base de données complète sur les métiers (450 fiches métiers), les formations et lieux de formation, les offres d’emplois, la création d’activité (entreprise, association, profession libérale), la validation des acquis de l’expérience, la formation tout au long de la vie… Dans la rubrique ”Connaître les métiers et m’orienter“, on peut par exemple faire une recherche de métier par domaine ou par centres d’intérêt. On arrive ensuite à une ou plusieurs fiches métiers qui décrivent le profil demandé, les activités exercées, l’environnement de travail, les débouchés, le diplôme conseillé… Simple et efficace ! Le chiffre : le site a déjà enregistré 100 000 connections depuis sa mise en service en janvier 2009. Saveurs sauvages Thomas Bertoncini est depuis trois ans chef d’exploitation agricole dans un domaine bien particulier puisqu’il cultive et cueille des plantes et fleurs sauvages pour en faire des sirops et confitures. Il a d’ailleurs bénéficié pour installer son activité du dispositif Coup de pouce de la Région : "c’est ce qui m’a permis de faire les premiers investissements". Les quatre hectares qu’il loue à la commune de Montmain sont plus proches d’un charmant bocage que d’un champ de pommes de terre. Constitués d’une prairie, de haies et de bois, ces quatre hectares sont un jardin pour plantes sauvages et autres fruits des bois comme la mûre ou le sureau. Thomas Bertoncini y fait pousser coquelicots, bourrache, bleuets et quelques variétés de courges qu’il transforme en confitures et sirops maison 100% naturels commercialisés sous le nom de Saveurs sauvages. "L’idée est de ne pas faire pousser des plantes qui poussent seules justement, précise-t-il. La nature est très productive, on peut la travailler sans la compromettre." Pour le reste, il pratique la cueillette à l’orée des bois ou dans les prairies en friche. Il propose d’ailleurs des petites animations de découverte des plantes sauvages via l’association Savoir-faire et découverte et vend ses produits au marché Saint-Marc à Rouen le samedi matin, au marché bio du vendredi place Lelieur (toujours à Rouen), ainsi qu’au marché bio de Montmain le 1er samedi de chaque mois. L’occasion de goûter à la confiture de cornouille ou au sirop de menthe à grenouilles. Association Savoir-faire et découverte : 0820.820.186 ou 02.33.66.74.67 Saveur sauvage : [email protected] Frédéric Roels © Jean Pouget à la tête de l'Opéra de Rouen Haute-Normandie Depuis le 4 octobre dernier, l’Opéra de Rouen Haute-Normandie a un nouveau directeur. Agé de 38 ans, Frédéric Roels arrive tout droit de l’Opéra royal de Wallonie où il était adjoint à la direction artistique, en charge notamment des projets avec le jeune public et les jeunes chanteurs. De 1996 à 2009, il a également assuré des mises en scène pour le théâtre et l’opéra. © service communication de la ville de Pont Audemer / office de tourisme de la communauté de communes de Pont Audemer a Flâner à Pont-Audemer Envie d’une balade sans avoir à s'équiper de chaussures de randonnée ? Direction Pont-Audemer dans l’Eure. A utrefois surnommée Venise normande en raison de l’omniprésence de l’eau, la cité devenue prospère grâce au cuir puis à la papeterie, a gardé de nombreux vestiges de son passé dont de nombreux canaux et de charmants ponts. Les maisons moyenâgeuses à pans de bois côtoient encore d’élégants hôtels style Renaissance ou encore des demeures bourgeoises en briques ou en pierres. A découvrir été comme hiver. Place Maubert, au pied de l’office de tourisme, dirigez-vous tout droit en empruntant le quai François Mitterrand. Sur la droite, quai Félix Faure, vous pouvez encore apercevoir un barrage. Ici, François 1er avait édifié un port. Retour quai Robert Leblanc : franchissez la Risle et allez tout droit rue Sadi Carnot afin d’apprécier l’architecture des hôtels particuliers. Deux pauses sont recommandées rue de la République. Premier arrêt, église Saint-Ouen, édifice gothique flamboyant du XVe siècle qui n’a jamais été achevé. Admirez entre autres, le clocher roman à trois niveaux ainsi que les superbes vitraux réalisés par le maître verrier Max Ingrand. En sortant de l’église, plongez dans le Moyen-Age en bifurquant sur la droite, impasse Saint-Ouen puis ensuite rue de l’Epée. Le second arrêt rue de la République se fait plus haut, au n° 64. La demeure du XVIIIe siècle léguée à la commune par un républicain, humaniste et historien, Alfred Canel (1803-1879) est devenue un musée qui abrite le fonds ancien de la bibliothèque Canel (25 000 livres, documents et manuscrits). Ouvert en 1876, ce véritable cabinet de curiosités présente également des tableaux mais aussi des coléoptères, des fossiles, des herbiers et céramiques (tél. 02.32.56.84.81). Un petit creux ? Avant de partir, laissez-vous tenter par le Mirliton, spécialité pâtissière faite de crème praliné et de chocolat. Pour en savoir plus : office de tourisme, 02.32.41.08.21 ou site internet www.ville-pont-audemer.fr Journal d’information de la Région Haute-Normandie 13 Depuis 2004, nous gérons cette région avec deux volontés : la première est d’améliorer la vie quotidienne. Pour cela, nous agissons pour de meilleurs lycées, des trains plus rapides et confortables, des formations professionnelles qui sont utiles à ceux qui recherchent un emploi, mais aussi par la Carte Région par exemple, qui est une aide financière directe aux parents des lycéennes et des lycéens. Notre seconde volonté est de faire tout cela pour le meilleur prix possible. En clair, nous n’avons pas augmenté les taux d’imposition depuis 2005. Nous avons diminué l’endettement. Nous sommes, pour la deuxième année consécutive, classée comme la région la mieux gérée. Mais pendant ce temps, d’autres jouent les cigales en dépensant de l’argent qu’ils n’ont pas. La dette de l’Etat a augmenté de 230 milliards d’euros depuis l’élection de Sarkozy en 2007. Cela ne suffit pas, il va maintenant appliquer le même mauvais remède aux mairies, départements et régions. Après avoir inventé le bouclier fiscal, il veut maintenant supprimer la taxe professionnelle. Fausse bonne idée comme on dit ! Qui va devoir payer demain l’argent qui va manquer ? Vous et nous, nos familles ! Nous avons échappé pour l’instant à la taxe Carbone, qui n’avait pour seul objectif que de faire rentrer de l’argent dans les caisses de cet état dépensier. Echapperons-nous à cette idée absurde ? Même Alain Juppé le dit ! Poudre de perlimpinpin, la soi-disant réforme des collectivités territoriales, c’est pour cacher la misère, l’absence de perspectives et le manque de justice sociale. La suppression de la taxe professionnelle, c’est 125 000 000 euros en moins dans le budget régional, c’est à dire un manque à gagner de 400 euros par an pour une famille Haut-Normande de 4 personnes. Mais l’Etat va compenser vous dira-ton. Vous souvenez-vous de cette formule "l’Etat c’est nous" ? Finalement, il faudra donc bien trouver l’argent quelque part ! Ce n’est pas aux entreprises de payer, puisqu’ils suppriment la taxe professionnelle ; ni aux plus riches grâce au bouclier fiscal ! Alors à votre avis, qui va payer cette fausse bonne idée ? Quelles en seront les conséquences ? Vivons-nous tous dans le même monde ? Nous, ici, en HauteNormandie, nous aimons avoir les pieds sur terre, et savoir combien cela va nous coûter. Apparemment à l’Elysée, ils survolent et ils envoient la facture. Ce n’est pas ainsi que l’on travaille pour l’avenir. 14 N°80 novembre 2009 Le 8 octobre s’est ouvert le débat public sur le prolongement du grand canal du Havre. Souhaité par le Grand Port Maritime du Havre, ce projet est présenté comme une condition sine qua non au développement économique de notre région et devient, à la faveur du projet de Grand Paris, le maillon manquant d’un prestige européen et international de la France. Rien de moins… Report de la route vers le fluvial, optimisation des opérations portuaires et fluidification du trafic, tous ces objectifs semblent devoir remporter notre adhésion. Sauf que… Sauf que la lecture attentive du projet nous démontre qu’il s’agit avant tout d’une opération foncière, destinée à accueillir de nouvelles activités économiques, déconnectées de l’objectif premier d’un port, à savoir l’approvisionnement en marchandises du territoire. C’est la porte ouverte à l’installation de projets industriels polluants et peu créateurs de valeur ajoutée pour notre région : centrales à charbon, usine d’agro-carburant, etc. Ce projet a pour corollaire la destruction de zones humides remarquables, l’isolement de la réserve naturelle, coupée de son alimentation en eau douce, signant sa mort à moyen terme. Ce dans un estuaire qui a déjà payé un lourd tribut : 1 000 ha détruits par l’agrandissement de Port 2000. Et pourtant des alternatives existent, permettant un développement de bon sens des activités portuaires : l’aménagement du canal de Tancarville pour permettre le passage des convois de conteneurs à trois niveaux et la réalisation de l’écluse fluviale de Port 2000. Mais voilà, ces solutions sont ignorées, sous-estimées, méprisées. Sans doute parce qu’elles sont moins grandioses, moins coûteuses, juste utiles et réalistes. GROUPE COMMUNISTE Dans un contexte économique difficile, l’industrie automobile, fortement implantée en Haute-Normandie, connaît actuellement des difficultés importantes avec des conséquences lourdes sur l’emploi régional. De nombreuses entreprises, notamment les équipementiers, sont concernés. Le 6 octobre, un an après la venue de Sarkozy, le syndicat CGT de Renault-Sandouville a présenté, publiquement, son plan de relance industrielle. Ce projet conçu et présenté par les salariés d’un site qui emploie, aujourd’hui encore, 3 400 personnes mais qui est à nouveau touché par le chômage économique propose notamment : la fabrication à Sandouville du futur haut de gamme développé pace 5 génération, le développement d’une activité de conversion des voitures au GPL, l’implantation d’une filière de déconstruction et de recyclage, et ce dans l’attente de la fabrication du ou des utilitaires prévus pour 2012. Les conseillers régionaux communistes se situent clairement derrière ce plan de relance qu’ils approuvent. Aussi, renouvellent-ils leur proposition d’organiser dans les prochaines semaines des Assises Régionales de l’industrie automobile comme l’a, aussi, rappelé Véronique Blondel lors de la séance plénière du 19 octobre dernier. Le Conseil Régional, responsable du développement économique, mettrait ainsi ses moyens au service d’un projet industriel concret qui pourrait redonner dynamisme et espoir à une filière et à des salariés particulièrement malmenés. Consultez le site elus76.com. GROUPE UNIS POUR LA NORMANDIE Il y a quelques semaines, la filière Energie Haute-Normandie a été enfin mise en place et bénéficie du soutien de l’Etat et de la Région. Elle regroupe actuellement les grands producteurs d’énergie. Les élus du Groupe "Unis pour la Normandie" se félicitent de la création de cette filière qu’ils réclament depuis plusieurs années et regrettent qu’elle n’ait pas vu le jour plus tôt par manque de volonté politique de d’ambition pour notre région. Cette filière doit fédérer l’ensemble des acteurs publics, donneurs d’ordre, entreprises, chercheurs et organisations professionnelles du secteur de l’énergie qu’elle soit d’origine fossile (pétrole, gaz), électrique (nucléaire et thermique) ou renouvelable (éolien, solaire...). Elle deviendra ainsi une véritable filière Energie-Environnement associant la production et l’efficacité énergétique. Dans le domaine énergétique, la Normandie a vocation a occuper une place de premier plan en Europe. Cette filière suscitera de nouvelles activités, des formations spécifiques, des projets de recherche et de l’innovation. Elle valorisera les atouts de notre territoire dans ce secteur hautement stratégique. Hélas, il est à craindre que le profond désaccord au sein de la majorité de gauche à la Région entre les Verts et le président socialiste ne "plombe" une initiative capitale pour le développement et l’emploi dans notre région. Il est temps de sortir notre région de sa léthargie. GROUPE NOUVEAU CENTRE ET INDEPENDANTS En cinq ans, la Région Haute Normandie n’a pas relevé les défis qui lui ont été pro- la jeunesse dont le taux d’échec au cours des études et le taux de chômage sont supérieurs à la moyenne nationale : 4000 jeunes quittent la Haute-Normandie chaque année. Avec ou sans la crise, notre Région affiche un taux de chômage de 10,2% largement supérieur au 9,1% national, il lui a fallu attendre l’automne 2008 pour enfin prendre conscience de l’ampleur du désastre économique qui se préparait. Dans le domaine de la santé, avec un accès aux soins de proximité est de 8% inférieur à la moyenne nationale, on peut s’étonner qu’elle n’ait pas été une des premières à construire des maisons de santé, alors que plus de deux cents ont été créées en France, même dans des régions moins sinistrées que la nôtre (Languedoc-Roussillon). Face à un bilan plus qu’en demi-teinte, le Président Le Vern se satisfait d’avoir la région la mieux gérée de France, mais son action est paralysée par sa majorité, divisée en particulier sur les grands dossiers stratégiques (EPR, contournement Est de Rouen, aides aux entreprises...). GROUPE DES NATIONAUX POUR L’IDENTITE NORMANDE Une fois de plus dans notre pays, l’hypocrisie de la gauche s’est affichée sans pudeur. Pas un élu PS, PC ou Vert en vue qui n’ait organisé ou participé à la votation, sans valeur légale, contre le changement de statut de la poste. Quelques mois auparavant, ces mêmes partis se faisaient complices de Sarkozy acceptant que le parlement ratifie le traité de Lisbonne, ex constitution européenne, largement rejetée quelques temps auparavant par les français dans le cadre d’un référendum national. Or la privatisation de la poste n’a pour origine que les directives et traités européens. Notamment, le traité de Maastricht de 92 (gouvernement Beregovoy) et la directive du 15 décembre 97 (gouvernement Jospin) qui mettent fin au monopole public en matière postale. Quand au Traité de Lisbonne, il institutionnalise le fait que les Services d’Intérêt Economique Général doivent être soumis aux règles de la concurrence libre et non faussé et aux limites très strictes encadrant les aides de l’Etat… disposition qui ne peut être contournée que par un changement de statut, et pour un état ruiné, par une privatisation à terme. Pour sauvegarder les services publics dans notre pays, il fallait dire non au traité de Lisbonne. Toute autre agitation n’est que mensonge et trahison. © Marie-Hélène Labat © Heka agence p P P F es tiv al de cin ém a Ils veillent au Grain Le scénario ne dit pas s’ils sont tombés dans la marmite à bobines de film dès leur enfance et s’ils rêvent en noir et blanc ou en couleurs depuis leur adolescence. Quoi qu'il en soit, à l’heure où la cloche sonne la fin des cours, Alice Bobée et Lucas Hauchard mettent leur casquette de bénévole pour le festival de cinéma Du Grain à démoudre. Soutenu par la Région, le festival international du film qui se tient du 20 au 29 novembre à Gonfreville l’Orcher est mis en œuvre par 27 jeunes cinéphiles. Rencontres avec deux d’entre eux. a "Cette année, pour les 10 ans du festival, il n’y a pas de thème particulier. L’idée était d’aller vers une sélection variée et de bonne qualité pour toutes sortes de publics, que ce soit des road movies ou des comédies, bref des films internationaux qui nous touchent et qui possèdent de réelles qualités techniques", explique Lucas Hauchard, 18 ans, élève en première année en BTS audiovisuel au lycée Pierre Corneille de Rouen, option montage. Entré en tant que juré au sein du festival Du Grain à démoudre en 2008, il fait aujourd’hui partie de l’équipe d’organisation comme Alice Bobée, lycéenne en terminale Abibac au lycée Gustave Flaubert de Rouen. Leur rôle principal ? Visionner des heures et des heures de bobines pour ne retenir finalement que les cinq longs métrages et les cinq courts qui feront partie de la sélection officielle. Généralement récents et jamais sortis en salle, ces films commencent donc leur vie, pour certains, au Grain à démoudre, y trouvant un tremplin vers d’autres festivals, voire pour quelques-uns un distributeur ! A l’affiche de cette édition, Les amies qui t’aiment d’Alexis Van Stratum, L’année de l’Algérie de May Bouhada ou bien encore Tirador de Brillante Mendoza. 300 films à démoudre Trois fois dans l’année, les quelque 25 jeunes bénévoles du festival se retrouvent pendant une semaine pour visionner près de 300 films. Âgés de 15 à 25 ans et pour la plupart scolarisés au lycée Jean Prévost de Montivilliers en option Audiovisuel, ils ont également pour mission d’écrire aux réalisateurs et aux acteurs pour les inviter, de tourner de petits courts métrages et des clips dans le but de s’initier aux techniques du cinéma, de concevoir les différents ateliers... À tous ceux qui rêvent de passer de l’autre côté du miroir, tel le héros dans La Rose pourpre du Caire de Woody Allen, Du Grain à démoudre propose en effet une plongée dans les coulisses du 7e art. Faire de fausses blessures et des impacts de balle grâce à l’atelier maquillage, réaliser des cascades avec un professionnel, apprendre à créer des bruitages, des doublages voix ou des trucages, refaire une scène de Star Wars de George Lucas sont autant de rendez-vous proposés au public par Alice, Lucas et leurs camarades. "Notre équipe est un peu comme une petite famille. Il n’y a pas de chef, pas de concurrence même si les plus anciens sont davantage au parfum", souligne Alice. "Organiser un festival est motivant, poursuit Lucas. On concrétise ce que nous apprenons en cours, et dans ma branche c’est une expérience qui aide, une preuve de notre implication." Epaulés par des pros Les jeunes du "Grain", qui sont épaulés par des professionnels de l’audiovisuel, sont de tous les plans quand le festival ouvre ses portes. "Nous assurons la petite présentation des films avant leur projection, nous organisons les débats après, nous encadrons les ateliers qui sont animés par des professionnels, nous donnons même un coup de main pour les repas !", liste Alice. "Cette expérience me permet de faire davantage attention à ce que je pense d’un film, cela aide à affûter notre argumentaire. Et du coup, avec des copains du lycée Corneille, nous avons monté un blog avec des émissions de critiques de films…", conclut Lucas, décidément mordu du Grain. Contact : 02.35.47.12.85 [email protected] www.dugrainademoudre.net Blog : absolutezone.wordpress.com Une leçon de cinéma Si on ne fait pas forcément de la bonne littérature avec de bons sentiments, il arrive que l’on fasse de bons films avec de mauvais romans ou inversement. Le vendredi 27 novembre, à l’occasion de la journée des lycéens et étudiants du festival, une leçon de cinéma est proposée au moulin d’Andé autour de l’adaptation d’une œuvre littéraire au cinéma. Invité : François Bégaudeau qui a, entre autres, écrit, adapté et joué son propre rôle dans le film de Laurent Cantet Entre les murs. A ses côtés, Patricia Mazuy, réalisatrice et scénariste de films. La question de l’œuvre collective et de son intérêt artistique sera à l’ordre du jour le matin. L’aprèsmidi sera abordé le travail entre un écrivain et un cinéaste. Journal d’information de la Région Haute-Normandie 15 >>> Jusqu’au 29 novembre à l’abbaye de Jumièges Jusqu’au 6 décembre au FRAC Haute-Normandie, Sotteville-lès-Rouen, exposition (des) Accords communs >>> Jusqu’au 26 novembre Partout en Haute-Normandie Festival Automne en Normandie Théâtre, musique, danse. Contact : 02.32.10.87.07 www.automne-en-normandie.com La collection d’œuvres sur papier du FRAC Haute-Normandie fait aujourd’hui référence en France avec celui du FRAC Picardie. A voir, entre autres, Saïd Atek, Philippe Garel, Annette Messager, Nancy Spero, Kacha Legrand... Contact : FRAC Haute-Normandie, 02.35.72.27.51 - Abbaye de Jumièges, 02.35.37.24.02 >>> Jusqu’au 21 novembre, Yvetot, galerie Duchamp Le Petit Paris Exposition de Sophie Roger. L’artiste filme ou photographie lisant un texte généralement issu de la grande littérature, comme Les Bonnes de Jean Genet ou Une Chambre à soi de Virginia Woolf, puis en fait des dessins, sorte de trait d’union entre le personnage, le texte et son environnement réel et/ou fictif. Contact 02.35.96.36.90 - www.galerie-duchamp.fr >>> 10 au 29 novembre, Toute la Haute-Normandie Festival Chants d'elles Porté par l’association "A travers chants", le festival Chants d’elles souffle ses dix bougies. Au programme, 29 concerts, 29 spectacles jeune public, 1 exposition sur les 10 ans du festival (Hôtel de Ville de Rouen), 150 artistes présents dont Jane Birkin, Sophie Hunger, Anne Sylvestre... Contact : 06.32.09.89.12 www.festivalchantsdelles.org >>> 12 novembre au 23 décembre Rouen, galerie photo du pôle Image SPORTA >>> 7 au 15 novembre Le Havre, club de tennis municipal Tournoi international de tennis féminin - Tennis Contact : 02.35.47.17.05 >>> 11 novembre - Louviers Cross Carrington Contact : Elan athétisme Louviers, 02.32.40.33.09 >>> 15 novembre Semi-marathon de Normandie Départ à 10h du pont de Normandie Contact : 02.35.21.80.31 Tous ne deviendront pas des héros Exposition de Céline Duval autour de la photographie familiale et du film amateur. Après le 1er volet présenté jusqu‘au 7 novembre et intitulé Energie, ce 2e volet intitulé Construction évoque davantage l’homme qui bâtit, édifie, construit... symbole de son rapport au monde. Galerie photo du pôle Image, 15 rue de la Chaîne, Rouen, 02.35.89.36.96 >>> Du 6 au 15 novembre, Rouen, Le P’tit Ouest Noir d’encre Spectacle de la compagnie Top Dép’Art Autour de contes d’angoisse signés Guy de Maupassant, la compagnie Top Dép’Art propose une plongée dans une ambiance où se côtoient le sordide, l’effrayant, l’acide et le mordant. Contact : 06.84.53.77.24 [email protected] A LA CITÉ DES MÉTIERS de haute-normandieA Animations métiers • Du 17 au 21 novembre : Sciences & techniques : un métier pour vous ? Visioconférence "Avez-vous pensé aux sciences ?" (le 17) Mini-conférences, rencontres de professionnels, ressources documentaires & multimédia (le 18). Présence au Village de la Science du 19 au 21. Rencontres métiers • mardi 3 novembre à 14h, 15h et 16h : Industrie agro-alimentaire • mercredi 4 novembre de 15h30 à 16h30 : Hôtellerie-restauration • mardi 17 novembre de 14h à 17h : Transport & logistique • jeudi 26 novembre à 14h, 15h et 16h : Communication • vendredi 27 novembre à 14h, 15h et 16h : Bâtiment Ateliers • samedi 28 novembre, de 9h30 à 12h : Dispositifs d’accès à la formation des salariés • sur demande (groupes uniquement) : C ’est quoi entreprendre ? Informations et réservations : Cité des Métiers de Haute-Normandie, 115 boulevard de l’Europe à Rouen, www.citedesmetiershautenormandie.fr Inscription obligatoire (places limitées) sur place, par téléphone au 02.32.18.82.80 ou par courriel à [email protected] Vous regardez Rouen Métropole Région Haute-Normandie JT, édition locale, à 18h40 (30’) Au cours des informations locales, lancement du sujet par Dominique Hoornaert… lauréat Concours Talents organisé par les Boutiques de Gestion Reportage dans les locaux de Normandie Junior, interview de Jean-Benoît Durand sur son prix national Talents Développement, l’activité de la « Petite Boîte » et le projet de développement pour 2010. Sujet de 1’50 diffusé à 18h10, le 11 novembre