Les 25 bosses (partie Nord) 10 mai 2015 14,5 km – 25 participants
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Les 25 bosses (partie Nord) 10 mai 2015 14,5 km – 25 participants
Les 25 bosses (partie Nord) 10 mai 2015 14,5 km – 25 participants Le compte rendu de Francis S. et les photos de Dominique D. et Philippe R. Et une, et deux et trois et... quatorze bosses au menu des « Joyeux Pataugas » A 9h au cimetière de Noisy-sur-Ecole ce sont 25 d'entre eux qui ont répondu présent pour « bosser » sur le circuit des 25 bosses. Le soleil était là et les bosses prévues ont été parcourues dans la joie et la bonne humeur, l'objectif de la journée étant de se faire plaisir et de terminer sur une bonne note avec le pot offert par Corinne et Dominique pour leurs anniversaires. Il est temps, quand même de se pencher sur les définitions de « Joyeux Pataugas » et « bosser » car à l'ASPTT elles varient de celles données par deux personnes bien connues « le Robert » et « le Larousse ». A l'ASPTT le « Joyeux Pataugas » est un bipède de la famille des homos sapiens, sapiens qui ne se déplace qu'en groupe et en particulier le dimanche. Il fait également deux ou trois transhumances dans l'année. Il a tendance à se regrouper lorsqu'il fait beau, mais peut exceptionnellement braver les intempéries. Il est plus ou moins jeune, de corpulence passepartout et a la chevelure de couleur variée surtout chez la gente féminine mais tendant plutôt sur le blanc chez les hommes. Le « Joyeux Pataugas » est donc de nature joyeuse, jamais bougon, car comme dans toute réunion chez les Gaulois tout se termine autour d'un verre ou d'un banquet. Le « Joyeux Pataugas » est un adepte du « petit canard », potion alcoolisée dans laquelle il trempe un sucre souvent récupéré lors de son passage dans un Café. Le « Joyeux Pataugas » est sociable, il s'occupe beaucoup de ses congénères : un remontant pour un coup de pompe, une pommade pour une crampe, une entraide dans les moments et passages difficiles et comme ce jour une assistance auprès de « Petits Poucets » perdus sans cailloux dans la forêt à la recherche de leurs parents. Le « Joyeux Pataugas » est sportif, il peut marcher longtemps, escalader et surmonter toutes difficultés rencontrées sur son chemin. Il peut conjuguer le verbe « bosser » à tous les temps. Mais là aussi il y a divergence avec nos deux amis « le Robert » et « le Larousse ». Le verbe bosser, chez le « Joyeux Pataugas » veut dire avaler les bosses, et certaines fois jusqu'à plus soif, qui sont sur son chemin. Le « Joyeux Pataugas » peut aussi être fatigué, exténué mais toujours volontaire pour terminer en beauté ce qu'il a commencé. En conclusion le « Joyeux Pataugas » est tout ce que l'on aime... et quand on aime on ne compte pas, donc rendez vous dimanche prochain pour les dernières bosses du circuit et toujours dans la joie et la bonne humeur...