Untitled - Compagnie L`Envers du décor

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Untitled - Compagnie L`Envers du décor
« La Femme assise qui regarde autour »
Un texte de Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre
Au cours d'une nuit d'insomnie, une femme seule, chez elle, replonge
dans les souvenirs que lui évoquent les meubles, objets, photos, bijoux
autour d'elle. Ressurgissent son amour passé et les moments de
bonheur qu'elle a connu dans des clubs de jazz…
Mise en scène
Karelle Prugnaud
Musique
Jean-Raymond Gélis
Images, photographies
Ludovic Bourgeois
Création Vidéo
Karelle Prugnaud / Tito Gonzales
Costumes
Nina Benslimane
Avec
Xavier Berlioz
Ludovic Bourgeois
Jean-Raymond Gélis
Avec la participation de
Fabrice Pinet
© Ludovic Bourgeois
Créé le 6 février 2007
Théâtre de l’Union – Limoges
En partenariat avec la Cie du Désordre
Dans le cadre du festival
« Les auteurs vivants ne sont pas tous morts »
« A la lecture de ce texte, j'ai pensé à un livre de photos "la Casa Susanna",
autour du travestissement d'hommes tout ce qu'il y a de plus banal, qui
désiraient vivre des existences quotidiennes féminines.
C'est cet univers que l'on retrouve dans la mise en espace, avec Xavier
Berlioz, à travers des photos, diapos, films super huit de Ludovic Bourgeois
et des musiques composées et interprétées par Jean-Raymond Gélis »
Karelle Prugnaud.
© Ludovic Bourgeois
« La femme assise qui regarde autour » est un texte
que j’ai écrit à la demande d’Anne Alvaro dans le
cadre du Festival Hommage à l’Acteur de Pont-deClaix en 2004. C’est en discutant avec Anne et
notamment de ses lectures : Cendrars, Audiberti,
Virginia Woolf, Colette que j’ai commencé à imaginer
l’histoire de cette femme qui se souvient en regardant
les objets qui l’entoure. Trois sources d’inspirations
ont nourri l’écriture de la pièce : le Music-hall, le jazz
et l’appartement de ma mère.
C’est dans le cadre de la manifestation « Les auteurs
vivants ne sont pas tous morts » que j’ai découvert la
mise en scène du texte par Karelle Prugnaud qui m’a
épaté. En choisissant un homme pour jouer cette
femme assise, Karelle Prugnaud renforce l’humour et
la nostalgie du texte. En effet le jeu tout en finesse et
la grande maîtrise des codes du travestissement dont
fait preuve Xavier Berlioz exacerbent la féminité du
personnage la rendant tour à tour drôle, touchante,
angoissante et désespérée.
L’univers onirique que Karelle Prugnaud propose est
renforcé par les musiques de Jean-Raymond Gélis et
les projections de Ludovic Bourgeois ; on a le
sentiment d’être dans la tête de cette femme, aux
rayons souvenirs où la pudeur et l’impudeur se
mêlent, le vrai et le faux ne font qu’un, le masculin et
le féminin disparaissent pour laisser place à l’humain.
Cette proposition m’a réjouit car elle travaille sur un
délicat tissage entre le dramatique et le comique.
Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre
Le monde TransGenre: "CASA SUZANNA", une maison près de New-York
(extraits de LIBERATION du 15.07.2005)
C’est un vrai conte de fées. Au sens où les fées ont de grosses voix, chaussent du 45 et, bien que
souvent lancées dans des divagations de fillettes, accusent un important tour de taille. L’action se
situe à la charnière des années 50 et 60, aux environs de New York, dans une pimpant villa néo
géorgienne où, tous les week-ends, sous les auspices d’une certaine Susanna, hôtesse accorte, une
vingtaine d’hommes de tous poils se réunissent. Pendant environ dix ans, ces réunions intimes
furent photographiées par quelques-uns des participants pour des albums souvenir à usage privé.
Le temps passa, semblant refermer à jamais les portes de cet étrange paradis. Quelques
révolutions sexuelles plus tard, en 2000, le magazine new-yorkais NEST exhumait certaines de ces
images, et aujourd’hui c’est une sélection plus large qui est devenue un livre publié aux Etats-Unis
sous le titre CASA SUSANNA, qui apparemment est le nom de code de cette sidérante association.
(…) Page après page, année après années, été comme hiver, elles sont toutes les femmes
américaines de l’après-guerre. Les étoiles éternelles du glamour (Marlène, Greta, Rita…), les
vedettes d’actualité à l’heure où Jackie Kennedy allait imposer son style Park Avenue à toute une
génération, mais aussi bien les ordinaires, les banales aussi moyennes que la classe sociale dont
majoritairement elles semblent issues. C’est évidemment sur le terrain des femmes « normales »,
qui plus est saisies dans la routine de leurs distractions ménagères (taper le carton, jouer au
scrabble, tricoter, prendre le thé), que l’humour volontaire quand le fou rire est en train de gagner
les visages au moment du déclic, ou involontaire, fait l’effet d’un lance-flammes qui carbonise aussi
bien les arcanes de la féminité officielle, que l’identité masculine ou les lois de la famille. Témoin
cette carte de Noël où l’on pose en manteau rouge sang devant un sapin bleu. (…) Si on songe aux
images de Diane Arbus ou Nan Goldin, c’est que, à l’instar de ces deux photographes de l’Amérique
monstre, c’est le hors-champ qu’on voit hurler, gémir et pleurer en cette époque où le pédé rasait
les murs et où le travesti était considéré au mieux comme un monstre de foire. Bien que sûrement
elles en auraient été les premières surprises, ces femmes sont des pétroleuses qui incendient toute
forme de majorité, qu’elle soit sexuelle ou sociale. A ce titre, toutes ces dames d’exception, ladies
Macbeth d’un « queendom » ténébreux, sont ad aeternam d’actualité. »
Gérard Lefort. Paru dans LIBERATION, dans la rubrique « GRAND ANGLE ».
© Ludovic Bourgeois
Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre
Auteur
Né à Paris le 24 mai 1974. Après des études d'histoire il s'intéresse au
théâtre, et est admis à l'école du théâtre du Rond-Point dirigé par
Marcel Maréchal. C'est à son entrée au Conservatoire National
Supérieur d'Art Dramatique en 1997 que Hédi Tillette de ClermontTonnerre se met à écrire du théâtre. Poussé par certains professeurs
(Dominique Valadié, François Regnault, Marcel Bozonet), il monte ses
premières pièces avec des élèves-comédiens de sa promotion. A sa
sortie, il fonde le Théâtre Irruptionnel qui rassemble une troupe
d'acteurs autour de son écriture. Le Jeune Théâtre National accueille
sous forme de maquette la suite des travaux de la compagnie qui peu a
peu se fait remarquer par le milieu professionnel. Une série de
nouveaux textes sera donnée au CDN de Reims, au théâtre de
Sartrouville et au théâtre des quartiers d'Ivry.
Il crée en mai 2005 sa première pièce, Marcel B. au CDN de Bourges,
puis au Théâtre de la Cité Internationale à Paris. Marcel B est inscrit au
répertoire d'ANETH, a reçu l'aide de la DMDTS ainsi qu'un prix décerné
par Beaumarchais en 2004. L'auteur fut également lauréat du concours
des journées des auteurs de théâtre à Lyon en mars 2003.
Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre lit de larges extraits du texte dans le
cadre du Marathon d'auteurs au Festival Friction, au CDN de Dijon, en
mai 2003. Ces extraits ont été diffusés sur France Culture dans
l'émission Perspectives Contemporaines. Un article écrit par l'auteur et
qui fait suite à Marcel B. a été publié dans le journal trimestriel du
théâtre du Rond-Point en avril 2004 : Marcel B. au Rond-Point.
Par ailleurs, il est invité en résidence d'auteur au Centre National des
Ecritures du Spectacle à la Chartreuse d'Avignon où il écrit Pourquoi
mes frères et moi on est partis. La Comédie Française a organisé une
présentation d'un montage de ses textes, dans le cadre des Cartes
Blanches sur un auteur au Studio théâtre.
Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre est aussi comédien. Son écriture est
sans cesse en mouvement du fait de sa confrontation d'acteur avec les
grands auteurs classiques (Shakespeare, Goldoni, Molière, Caldéron...),
dans des mises en scène de Lukas Hemleb, Jean-Louis Benoit, JeanPierre Vincent. Il aime travailler sur les différentes formes
dramaturgiques du théâtre, pour y développer des thèmes récurrents :
la famille, le sens de l'histoire et l'absurde de notre société. Le fil
narratif est souvent ténu, elliptique et souterrain; La digression, l'àcôté, le futile sont eux mis en lumière. L'écriture se veut machine à
jouer. Elle s'appuie sur la ponctuation, les respirations-ruptures et sur
l'écriture en jeu ; c'est-à-dire la possibilité pour l'auteur d'écrire en
direct avec ses acteurs.
Karelle Prugnaud
metteur en scène
• Née en 1980, à Rennes, elle a fait des études de droit tout en
suivant un DEUST métiers de la culture à Limoges.
Parallèlement, elle a participé à des spectacles de rue en tant
qu'acrobate et danseuse avec la Compagnie" Chabatz d'entrar"
et Andrée Eyrolles (Festival Urbaka et « Les Gobeurs d'étoiles »)
• Puis elle s'est formée au théâtre à Lyon avec Georges
Montiller (Myriades) et avec le Compagnonnage, formation en
alternance (deux ans) avec Sylvie Mongin-Algan, Guy Naigeon, Elisabeth Maccoco,
Dominique Lardenois et aussi avec Laurent Fréchuret, Philippe Vincent, Oleg Kroudrachov
(Gitis de Moscou), Alexandre Del Perrugia... En 2006, elle participe à un stage au théâtre de
la Bastille avec Jean Michel Rabeux autour de l'oeuvre de Jean Genet.
Mises en scène : "Utaresia" (d'après différents auteurs dont J.M. Rabeux, C. Breillat, A.
Reyes), et "Un siècle d'amour" (d'après Bilal et Dan Franck), aux Subsistances à Lyon, en
2003, "Ouvre la bouche oculosque opere", d'après Jan Fabre à l'Elysée en septembre
2004, trois spectacles mêlant théâtre, vidéo, photo, musique et danse. "Cette fois sans
moi" de et avec Eugène Durif, au Théâtre du Rond Point des Champs Elysées en 2005,
"Bloody Girl", du même auteur, pour les chantiers contemporains au Quartz de Brest en
novembre 2005. Elle met en espace "La femme assise qui regarde autour" de Hedi
Tillette de Clermont-Tonnerre, en février 2007 dans le cadre de la manifestation "Les
auteurs vivants ne sont pas tous morts" dans le Limousin (CDN de Limoges, Brive, Guéret)
Elle met en scène la partie "A même la peau" du tryptique "A même la peau/
s'écorche/ La révolution" en février et mars 2007 (Théâtre du Cloître Scène
conventionnée de Bellac, La Fabrique -Guéret, Centre Culturel scène conventionnée de
Terrasson...) et va mettre en scène "La nuit des feux" d'Eugène Durif au théâtre de la
Colline en 2008. Elle intervient également en tant que metteur en scène auprès des élèves
de l'école nationale du cirque de Châlons-en-Champagne.
Elle est également comédienne : "La Double Inconstance" de Marivaux (Sylvia) mis
en scène par Dominique Ferrier, "Les Bonnes" de Jean Genet (Claire) mis en scène par
Philippe Guini, "Les naissances" mis en scène par Vincent Bady, "Ogriculture" par la Cie
du dérailleur, "Katchanka" de Tchekhov mis en scène par Françoise Maimone, "Point de
vue idéal" de Horowitz mis en scène par Philippe Said, "Thrennes" de Patrick Kerman mis
en scène par Sylvie Mongin-Algan, "Encore merci" de Sophie Lannefranque mis en scène
par Dominique Lardennois, "Un, deux, trois Meyerhold" de Vincent Bady mis en scène
par Guy Naigeon, "Je me souviens de Rita Renoir" de Vincent Bady. "Les Placebos de
l’Histoire" d’Eugène Durif mis en scène par Lucie Berelowitch au Théâtre de l’Est Parisien
en janvier 2006, "Ile noire" de JC Paillasson mis en scène par Mourad Harraigue à la
Comédie de Saint Etienne (avril 2006), "Le Misanthrope" de Molière (Célimène) mis en
scène par Françoise Maimone à Lyon (octobre, novembre, décembre 2006).
Elle a également participé à des performances, notamment pour le festival UPDATE à Lyon
(organisée par la Hors de, Nathalie Veuillet), pour un workshop franco /allemand/danois
autour du théâtre politique à Aarhus au Danemark...
Xavier Berlioz
Comédien
Il a joué :
Au cinéma sous la direction Valérie Guignabodet dans"Danse avec lui",
de Bernard Rapp dans "Un petit jeu sans conséquence", de Marie-Anne
Chazel dans "Au secours, j ai 30 ans !", de Ron Dyens dans "Nuit
d'amour", de Paul Clement dans "Je t'attends", de Regis Mardon dans
"Requiem pour un nuisible", de Juan Carlos Medina dans "Rage" Prix de
la mise en scène et de l’interprétation au festival d’Alcala de Henares;
Madrid...
A la télévision sous la direction de José Pinheiro dans "Commissaire
Moulin", de Simon Brook "La légende vraie de la tour Eiffel", d'Alain
Corneau et de Patrice Leconte dans des films publicitaires...
Au théâtre sous la direction de Karelle Prugnaud dans "La femme
assise" (Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre), de Helene Zidi-Cheruy
dans "Tenue de soiree" (Bertrand Blier), de Jean-Michel Steinfort dans
"Balade express", de Sebastien Azzopardi dans " Le Barbier de Seville"
(Beaumarchais), de Patrick Blandin dans "Les Palmes de M. Schutz"
(Fenwick) et , "Un air de famille" (Jaoui-Bacri), de Francois Bourcier
dans "Le Malade Imaginaire" (Molière) et "Le Cantique des Cantiques",
de Michel Didym dans "La Confession"... En 2006 il participe a un stage
intitulé « Corps d acteur, corps de texte » au théâtre de la Bastille,
(Textes de Jean Genet avec J.M. Rabeux) et rencontre Karelle
Prugnaud.
Jean-Raymond Gélis
Musicien
Né en 1955 à Tanger, au Maroc, étudie le piano sous la direction d'Alberto Pimienta et se
diplôme au Conservatoire de Tétouan. Etudes musicologiques à l’université de Provence
(licence et Capes).
De 1973 à 1979 études de Direction d’orchestre, écriture et harmonie sous la direction de
Pierre Vilette et chant au Conservatoire Darius Milhaud d'Aix-en-Provence, direction de
chœurs avec Christine Prost, musique électro-acoustique au Conservatoire de Marseille sous
la direction de M. Frémiot. Viole de gambe (médaille d'Or du Conservatoire de Strasbourg
en 1985). Perfectionnement en viole de gambe et musique ancienne à la Schola Cantorum
de Bâle, élève de Jordi Savall et Pere Ros.
Compositeur, comédien et musicien pour le théâtre depuis 1988, arrangeur, metteur en
scène, il est également directeur d’orchestres et ensembles, d’ensembles baroques,
directeur artistique dans la production musicale…
Ludovic Bourgeois
Comédien, photographe, plasticien
Après des études d’arts à Toulouse Ludovic Bourgeois s’installe à Paris au début des années
90. Il sera assistant des photographes JC Bourcart, Ludovic Carème, Denis Darzacq, Laurent
Monlaü pendant plusieurs années. Il collaborera également avec l’artiste Pierre Huygues à la
réalisation du long-métrage « Fenêtre sur cour ». En parallèle il travaille comme costumier
dans le cinéma et styliste dans la publicité et la mode. Ces expériences développeront chez
lui un goût évident pour la mise en scène, qui deviendra au fil des années une marque de
son travail de plasticien. Sa venue au théâtre se fera lors d’une rencontre avec le metteur
en scène et comédien Raouf Raïs et ensuite avec Eugène Durif et Karelle Prugnaud. Cette
rencontre de deux écritures (littéraire et photographique) aboutira à « A même la peau » de
Eugène Durif, m.e.s Karelle Prugnaud, et à « La femme assise qui regarde autour »de Hédi
Tillette de Clermont Tonnerre, m.e.s Karelle Prugnaud… Et prochainement à « L’espace du
dedans », une création théâtrale et photographique de Raouf Raïs et de Ludovic Bourgeois.
Expositions collectives
2002 /LE SYMPOSION/Paris
" Le corps dans la ville".
2002 /LE SYMPOSION/Paris
" Réminiscence".
2001 /ESPACE SAINT-MARTIN/Paris
12eme mois bis de la photographie.
" Décor urbain".
2001 /LE LABO TECHNO PLUS/Paris
Festival virus
" Insémination".
Expositions personnelles
2007 / Exposition Théâtre Sorano, Festival 20scènes
« Les Fantômes de nos mères… »
2000 / Exposition virtuelle sur Internet (www.atak.co.uk).
"Celluloïd Portraits".
1999 / Batofar /Paris
Festival Piratage
"Fin de Siècle" (durée : 75 min. format HI8)
Soutien du Ministère de la Culture, de la Ville de ¨Paris, et du Conseil Général d’Ile de France.
1998 / Galerie Chlorophylle28 /Sancerre
"Animal".
1997 / Jardin des Récollets /Paris
"Sans Titre".
1996 / LE NEO /Paris
"Golden Copule".
Le spectacle a été joué…
Le 6 février 2007 : Théâtre de l’Union (CDN de Limoges)
Le 8 février 2007 : Centre Culturel (Brive)
Le 9 février 2007 : La Fabrique (Guéret)
Du 16 au 22 avril 2007 : Théâtre Côté Cour (Paris, XIème)
Le 23 mai 2007 : festival de théâtre contemporain « 20scènes » (autour de Durif,
Jouanneau et Novarina) à Vincennes
La Compagnie l’Envers du Décor
Elle créé des spectacles écrits par des auteurs et compositeurs contemporains vivants. Elle veut
parler du monde sous une forme carnavalesque, joyeuse et noire en même temps. Parmi les
spectacles créés, nombreux sont ceux écrits spécialement pour la compagnie par Eugène Durif :
« Eaux dormantes », « Parade éphémère », « De nuit, il n’y en aura plus », « Cabaret mobile et
portatif ».
Plus récemment : « Filons vers les îles marquises » (1999) - créé au Théâtre de l’Union (Limoges) et
jouée au Théâtre des Fédérés (Montluçon), sur la Scène Nationale Jean Lurçat (Aubusson), au
Cabaret Sauvage de la Villette, Scène Nationale d’Orléans, Culture Commune de Loos en Gohelle,
l’Hippodrome de Douai, … - « Divertissement bourgeois » et « Clampins songeurs » (créations 2001,
notamment joués au Théâtre de l’Est Parisien) ; « Le plancher des vaches » (création 2003 aux Sept
Collines de Tulle et Théâtre du Rond Point – Paris) ; « Malgré toi, Malgré tout… dernier concert avant
rupture », spectacle musical créé en 2004 au Théâtre de Vienne.
En 2005 :
« Cette fois sans moi », d’Eugène Durif, créé en mai 2005 au CDN de Limoges (Théâtre de
l’Union) et joué du 10 mai au 19 juin au Théâtre du Rond Point des Champs-Élysées.
« Bloody girl – poupée charogne », créé dans le cadre des chantiers contemporains au Quartz
Scène Nationale de Brest (Nov. 2005).
En 2006/07 :
La compagnie participe au projet triptyque : « A même la Peau / S’écorche / La Révolution »,
porté par la Compagnie l’Envers du Décor et la Compagnie du Désordre (coproduction : Théâtre du
Cloître, Scène Conventionnée de Bellac, La Fabrique (Guéret) & Centre Culturel de Terrasson). Créé
le 9 février 2007 au Théâtre du Cloître.
Création de « La femme assise qui regarde autour », de Hédi-Tillette de Clermont-Tonnerre
dans une mise en scène de Karelle Prugnaud dans le cadre du festival « Les auteurs vivants ne sont
pas tous morts » organisé par la Cie du Désordre (Limoges)
Création de « Kiss-Kiss », performance théâtre cinéma, dans le cadre du festival de Bellac (juillet
2007). Texte de Eugène Durif / Réalisation, mise en espace de Karelle Prugnaud.
Reprise et tournée de « Les grenouilles qui vont sur l’eau ont-elles des ailes ? » : « Nos ancêtres
les grenouilles », présenté au Théâtre des Halles lors du festival d’Avignon 2007.
En 2008 :
Création de « La Nuit des Feux », de Eugène Durif, dans une mise en scène de Karelle Pruganud.
Coproduction : Théâtre National de la Colline, La Fabrique / Saison culturelle de la ville de Guéret,
Théâtre de l’Union / Centre Dramatique National du Limousin, ARCADI (Action régionale pour la
création artistique et la diffusion en Ile de France) / Théâtre du Cloître - Scène Conventionnée de
Bellac, Centre Culturel / Scène conventionnée de Terrasson. Avec la participation artistique du Jeune
Théâtre National et du Conservatoire National de Région (Montpellier). Création les 24 et 25 avril
2008 à Guéret, puis au Théâtre de la Colline du 9 au 29 mai 2008, festival de Bellac (Juin 2008)…
CONTACT
Cie L’Envers du Décor
31, av. Jean Jaurès – 19100 Brive la Gaillarde
T. 06 83 35 27 77
[email protected]

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