Dialogues des morts (texte grec)
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Dialogues des morts (texte grec)
ÎVELLES ÉDITIONS DE CLASSIQUES GRECS IMPRIMÉES EH GROS CARACTÈRES AOYKIANOV ATAAOrOI NEKPQN / I0GUES DES MOUTS DE J-UiJEN i:XTE « GHEi NOUVELLE ÉDITION CONPORUE Ai: TEXTE ADOPTÉ PAR L'iTNITERSI NOTES HISTORIQUES, GÉOGRAPHIQUES ET GRAMMATICALES EH FRANÇAIS précédée d'études préiiminaii SUIVIE T>"U2Ï LEXIQTJJh: r tous ;s nouveau contenus dans PAU M les Dialogues DÏTAXOY LTCÉÏ OANG. UT.ÉME Ud'/of 5 IBRAIRIE : Otiaua c; RUE 39003001374536 : de Thèmes d'imitation, par M. vol. in-iâ, cart» Thèmes d'imtiation. 1 vol. in-iâ, Rouzé, professeur agrégé de 1 fr. 50 c. cart. « 75 N, Digitized by the Internet Archive in 2011 with funding from University of Toronto http://www.archive.org/details/dialoguesdesmortOOIuci . AOYKIANOV AIAAOrOI NEKPHN > 3 r jikjie Envoi frathco MBKAiitit:. an reçu du prix en timbres-poste Recueil gradué de morceaux de littérature, prose et poésie exercices de mémoire), à l'usage des classes de grammaire; par M. MeynaL, agrégé de l'Université, professeur au Ijeée Louis-le-Grand. (Classe de cinquième.) Troisième édition, l vol. in-12. cart. 75 c. FENSLON. — Dialogues des morts. Nouvelle édition contenant une introduction et des notes historiques, mythologiques, géographiques, philologiques et littéraires; par M. Caroii, professeur agrégé de l'Université. vol. in- 15, cart. 1 1 fr. 80 c. JD3TINI Historiae philippicae ex Trogo Pompeio. Nouvelle édition imprimée en gros caractères, avec notes historiques, géographiques et grammaticales en français; par M. Hallberg, professeur agrégé de l'Université. 1 vol. in-12, cart. 1 fr. 25 c. Recueil gradué de thèmes latins Extraits des meilleurs prosateurs français), à l'usage des dusses 'Je grammaire-, par M. Georges Edon, agiégé de l'Ciiiversité, professeur au lycée Napoléon. 1 vol. in-1-2, cart. J fr. 25 e. Le même, latin et français; par le même 1 vol. in-12. \Sous presse.) Recueil gradué de versions latines, à l'usage des classes de grammaire; par M. Meynal. agrégé de l'Université, professeur au lvcée Loiiis-leGrand. t vol. in-12, cart. 1 fr. 50 c. Le même, latin et français, par le même. 1 vol. in-12, br. 3 fr. Recueil gradue de versions grecques, à 'l'usage des classes de grammaire. par M. Pessonneaux, agrégé de l'Université, professeur au lvcée Napoléon. 1 vol. in-12, cart. Le même, grec-français. In-12. 1 vol. br. 1 fr. 75 80 c. c. Evangile relon saint Luc (texte grec). Nouvelle édition imprimée en gros caractères, collationnée sur les" meilleurs textes, renfermant des notes tmmaticales, littéraires, historiques et géographiques, en français; une vie de l'auteur et une élude sur la langue et le style des évangélisies, avec une carte de la Palestine; par MM. Louis' Dumas, ancien professeur au lycée de Montpellier, et Al. Manon, ancien élève de l'Ecole normale, professeur au même lycée. 1 vol. in-12, cart. 80 c. on autorisée par l'Université. - XEN0PH0N. Anabase. U — Extraits texte grec . imprimés en gros ca- ractères, .;vec des notes historiques, géographiques et grammaticales en français, par M. À. Jacquet, professeur a<nége de l'Université. In-12, cart. 1 fr. go c, grec et français, par PLUTARQUE. le même. 1 vol. in-12, br. des hommes illustres texte 3 fr. 50 c. Extraits des vies grec), imprimés en gi os caractères, avec sommaires et notes historiques, géographiques et grammaticales en français, etc.; par M. Feuilleret, agrégé de l'I Diversité, professeur au lycée de Bordeaux. In-12, cart. 2 fr. Le même, grec et français; parle même. In-12, br. 4 fr. Cent exercices gradués de versification latine, par M. Rogier, licencié ettres. In-12, br. 1 fr. Le mime, suivi des corrigés et des développements; par le même. 1 vol. - in-12, br. Le* i /'< 2 •.' lévelopjtements seuls. In-12, br. fr. 1 fr. y AOVKIAXOY AIAAOFOI NEKPON DIALOGUES DES MORTS DE LUCIEN (texte grec) NOUVELLE KDITION CONFORME AU TEXTE ADOPTÉ PAR L'UNIVERSITÉ, AVEC DIS NOTES HISTORIQUES, GÉOGRAPHIQUES ET GRAMMATICALES EN FRANÇAIS précédée d'études préliminaires SI1VIE D'UN LEXIQUE De NOUVEAU lous les mois contenus dans les Dialogues AR DOCTULR Es M. LETTRE», DITAXDY IK S i - 7\ *BC TE DE D ' *C A DEMI B PARIS LIBRAIRIE CLASSIQUE D'EUGÈNE BELIN RLE DE Y.MGIRARD. N° 53 / Toutes mes éditions sont revêtues de ma griffe. FA .Pbps Soxnt-Cloa : . — Imprimerie de M rje V« Belix. ÉTUDES PRÉLIMINAIRES. VIE DE LUCIEN. — DES MORTS. HISTOIRE DU GENRE LITTÉRAIRE APPELÉ DIALOGUE: — APPRÉCIATION DES DIALOGUES DE LUCIEN. I. Vie de Lucien. Lucien naquit à Samosate, dans la Comagène, province de Syrie. La date de sa naissance n'est pas certaine. Ce qui est indubitable e qu'il vécut sous les Antunins, dans le 11 siècle de l'ère chrétienne, et qu'il mourut nonagénaire. Son oncle maternel était sculpteur. Sa famille voulut lui faire apprendre la sculpture elle voyait là pour lui une carrière toute trouvée. Mais des le premier jour le jeune Lucien brisa une table de marbre qu'on lui avait donnée à dégrossir faute impardonnable aux yeux d'un sculpteur. Aussi Lucien fut-il rudement battu. La ce mauvais traitement la lui statuaire n'allait pas à son génie lit prendre en horreur. Un songe qu'il eut, et dans lequel il vit la Science qui lui promettait de rendre son nom immortel, le détermina à quitter cette carrière et à embrasser celle des lettres. Dès ses premiers pas dans cette voie nouvelle, il rencontra plusieurs obstacles. Sa famille, dont il contrariait les vœux et les espérances, dut contrarier, à son tour, sa résolution de plus il était pauvre; et si la pauvreté est an stimulant pour l'étude, elle fournit t : : : ; difficilement les moyens d'étudier; enfin il n'avait reçu jusqu'alors c'était toute une éducapremières notions de littérature tion à compléter et peut-être à refaire. Son courage surmonta tant de difficultés. Il devint avocat et plaida devant les tribunaux d'Antioche. Mais son ambition avait grandi avec sa science et son talent. Il trouva plus profitable à sa fortune et à sa renommée d'aller de ville en ville et de donner, aans tous les pays où la langue grecque était entendue, des séances publiques de déclamation et d'improvisation oratoire. Il parcourut ainsi l'Asie, la Grèce et la Gaule, et séjourna longtemps dans cette dernière province, l'une des plus lettrées de l'empire. Il passa ensuite en Italie, et s'arrêta à Rome, dont les suffrages consacrèrent sans doute sa réputation d'habile et brillant sophiste. De Rome il se rendit pour la seconde fois en Grèce et vint chercher dans Athènes, où il se lia avec le vieux philosophe Démonax, les moyens de perfectionner son goût et de compléter ses connaissances. Alors, eu possession d'une fortune peut-être considérable et d'un nom déjà célèbre, mûri par les voyages et par l'étude, il se décida, vers l'âge de quarante ans, à écrire pour la gloire; et le but qu'il se proposa, ce fut de combattre sans relâche la superstition et la corruption de son siècle. Il obtint en effet la gloire qu'il avait rêvée. En outre, l'empereur Marc-Aurèle lui confia en Egypte d'importantes fonctions admi- que les : DIALOG, DES MORTS, tt ETUDES PRÉLIMINAIRES. vi mstratives et judiciaires. Là, ses ennemis l'accusèrent de n'être pa» aussi désintéressé que possible. Il écrivit, pour sa justification, une Apologie qui nous est restée. Fut-il disgracié? nous l'ignorons. Mais à L'avènement de Commode, Mis de Marc-Aurele, la faveur impériale vint encore une fois le chercher, et probablement pour toujours; car il mourut dans les premières années du règne de cet empereur, vers 192 ap. J.-C accabléde vieillesse, et pouvant entre, nom que voir, sur la fin de ses jours, cette immortalité de son la Science lui avait prédite au début de sa carrière. II. Histoire du genre littéraire appelé Dialogues des morts. Lucien est sans contestation l'inventeur du Dialogue des Morts. Cependani, aussi haut qu'on remonte dans l'antiquité, on trouve comme des germes de ce genre de fiction. Ainsi Homère (1) fait converser Ulysse avec les âmes de Tirésias, de sa mère et de quelques héros grecs par lui évoquées. Virgile ose davantage (2). Enée, son héros, descend aux enfers sous la conduite et la protection de la sibylle de Cuines, et s'entretient avec les âmes de guerriers troyens, surtout avec celle de son père Anchise. Apres Homère et avant Virgile, on avait vu le poète comique Eupolis (3) évoquer, dans les parabases (4) de ses pièces, les morts fameux auxquels il prêtait sur la scenedes conversations politiques. Dans les Grenouille* d'Aristophane, Bacchus se rend aux enfers; et devant ce dieu, à la fois dieu du vin et de la tragédie, les ombres d'Eschyle et d'Euripide débattent leurs titres poétiques et se disputent le sceptre de leur art. Enfin l'une des satires d'Horace (5) est un véritable dialogue des morts. Ulysse ne veut pas quitter l'ombre de Tirésias sans consulter ce devin célèbre sur le moyen de réparer sa fortune ruiuée par les prétendants de Pénélope. Tirésias lui conseille plaisamment de capter les testaments des vieillards, et lui enseigne tous les artifices auxquels on avait recours, au siècle d'Auguste, pour escroquer des héritages. Cette satire rappelle, à s'y tromper, plusieurs dialogues de Lucien, et notamment celui qui a pour titre Pluton et Mercure. Mais Lucien n'en doit pas moins être considéré comme le créateur et le père de ce genre de littérature; car, le premier, il le cultiva pour lui-même et en fixa, pour ainsi dire, les lois. En France, Boileau (6), Fontenelle et d'Alembert écrivirent des Dialogues des Morts. Ceux de Fénelon sont plus connus. On en compte soixante-dix-neuf, qui roulent sur les matières les plus vapolitique, philosophie, morale, poésie, éloquence, peinture même; mais la politique y domiue, parce que l'auteur les composa pour l'éducation du duc de Bourgogne, petit-tils et héritier riées 1. 2. le : rompant Faction Odyssée, ch. XI. Enéide, eh. TI. ment 3. Eupolis, d'Athènes, florissait vers >e siecie J.-C. au ve siècle av. j.-u. milieu du 4. La parai ase était cette par'ie de l'ancienne comédie où le p>ëte, inter- et en son , directepublic. s'adressait nom an 5. La oe du liv. II. 6. Boileau 1656-4744); (1G G57-1757,; — Fonlenellc — u'Alcmbert (1717-1785;. ÉTUDES PRÉLIMINAIRES. VII de Louis XIV (1). Les exemples y sont tirés de l'histoire grecque, de l'histoire romaine et de l'histoire de France, et les idées qu'on y rencontre sont à peu près les mêmes que celles qui sont exposées dans le Télémaque. III. Appréciation des Dialogues de Lucien. Lucien passe pour avoir emprunté à Platon l'art du dialogue. Sans doute l'art qu'il y déploie est grand; mais on peut, sans faire tort à l'imitateur, le placer bien au-dessous de son modèle. Son style, pour être correct, élégant et ferme, ne vaut pas, ce semble, il n'en a ni l'éclat, ni la souplesse; son attile style de Platon cisme est un atticisme de seconde main, une sorte' de pastiche heureux. Sa politesse est médiocre, son ironie plus amère que fine, son rire plus bruyant qu'agréable, ses intentions plus honnêtes que bienveillantes. Enfin l'on ne trouve pas chez lui ce je ne sais quoi de sain et de bienfaisant qui circule dans tousles dialogues de Platon. Au moment où il écrivait les Dialogues des Morts Lucien était évidemment en délicatesse avec le genre humain. Il lui voulait mal de mort. L'idéal de l'homme était alors pour lui un cynique, c'està-dire un gueux eu haillons, portant bâton et mendiant, ne voyant pas plus loin que ce bâton et en frappant indistinctement tout le. monde. On comprend que dans le cours de ses voyages à travers l'empire romain, Lucien ait dû être témoin d'une foule de turpitudes et qu ilen ait profondément gémi. Le spectacle de Rome, entre autres, ne l'édifia pas beaucoup, comme l'atteste son Nigrinus. Mais s'il était en droit, s'il lit bien de châtier sans miséricorde le vice sous toutes ses formes lâche amour de la vie, basse cupidité, sordide avarice, folle ambition, orgueil insensé, superstition grossière, charlatanisme de rhétorique et de philosophie, on a peine à l'excuser d'avoir méconnu et outragé des hommes tels qu'Aristote, Platon et Socrate. La sagesse, la science et la vraie vertu ne sont pas seules livrées aux aboiements irrespectueux de ses cyniques ; la noble ambition, la vraie gloire ont encore à souffrir de ses injustes attaques. Toutefois l'excès même de son zèle témoigne de sa bonne volonté; la haine vigoureuse qu'il ressent contre le vice absout presque ses méprises en expliquant ses fureurs. Voilà pourquoi ses Dialogues des Morts, au point de vue moral, non moins qu'au point de vue littéraire, sont dignes d'être mis entre les mains de la jeunesse les quelques erreurs qu'on y trouve, et qui d'ailleurs partent d'une bonne source sont faciles à corriger; au contraire, les vérités qu'on y rencontre sont innombrables, et nul ouvrage peut-être n'en reunit autant sous une forme aussi précise et aussi divertissante. A. Dita>-dy. : : : , 4. Le duc de Bourgogne était devenu l'héritier présomptif en 171 1 par la mort de son père; les Dialogues furent bliés eu 4712. TABLE DES MATIÈRES. Dialogue I" — — — — — — — — — — 1 II 4 III 6 IV 8 V 10 VI 13 VII 15 VIII 17 IX 19 X 20 XI 23 Dialogue XII — — — — — — — — — — 25 XIII 26 XIV 28 XV 32 XVI 38 XVII 43 XVIII 46 XIX 53 XX 56 XXI 59 XXII 63 ÀOYKIANOY AlAAOrOI NEKPQN DIALOGUES DES MORTS DE LUCIEN. AIAA0102 A'. — DIALOGUE pr I . Les rois Crésus, Midas et Sardanapale regrettent amèrement dans les enfers les biens qu'ils ont perdus. Le philosophe Ménippe répond à leurs plaintes par des insultes, et les poursuit partout de son rire vengeur. xroisos 1 , elaoïton, meniehos, miaas rat sapaanaiiaaoz. KPOI2. O'j ©épotuv, tov ituva waooutouvTa 7)U.etç * w n^ouTcov 2 , Mévnncov 3 toutovi ô<rrs acTOi/./aoy.sv eiç ÊTepov IIAOYT. Tl KP0I3. o° 'jy.a; ^sfvov Errct^àv vcjv LL£u.vrjtJLSVoi tcov , la 'erre. Ip^aÇevat, opiovsxpoç wv; tils pine, fille deCérès. DI\L. DUS MORTS. CTc'vwy.cv, ptiv ouTocrt s/.ei- toG /puciou, 3. lfsvnrcoç, Ménippe, philosophe cynique. On appelait cyniques, dans l'antiquité, des philosophes qui se vantaient de dédaigner les bienséances et professaient l'impudence du chien x&av, x'jvo'c). Ils foulaient aux pieds tout ce que les hommes recherchent d'ordinaire : la richesse, la puissance, le plaisir. Ménippe se lit un nom par l'ironie mordante de ses satires mèl de prose et de vers. C'est même de lui que les satires où règne un blable mélange se sont appelées Mé- IfXoÛTtov, Plufon, dieu des en- de Saturne et hère de Jupiter, de Neptune et de Jonon. 11 fer-, r, tottov. 4 avw, Mt'oaç Kco'^c:, Cn'sut, roi de Lydie, contrée de l'Asie .Mineure, fut célèbre pour ses richesses. Son nom même silie encore parmi nous un homme puissamment riche. Crésus se regardait comme le plus heureux dos hommes, se croyant pour jamais à l'abri des coups de la fortune. Mais vaincu il et pris par Cyrus (548 av. J.-C.) l'instabilité raison de qu'en reconnut des choses humaines, nul homme ne peut se dire définitivement heureux 2. Ixeîvov ttoi xaTa<7T7j<rov, t.v.c?; ow.('/'ov/.sv -/.al 1. sur r, 'cs. Mfôaç, Midas, roi de li grande Phrygie, contrée de l'Asie Mineure. Il eu coûta cher à ce monarque pour 4. \ DIALOGUE 2 Sap&zvshrcXoç l Si ty.ç i-i-c/à ry.x; y-uylC-yr èvwm Se xal riAOTT. BîE^. fca». ( s£ov€i$i£eij àvc^cà-o^a )tal 2 zaOapjAaTa x.ai Ti Taura 4 A.A7G7, t&v 6r cau- TptMpîfc, syco Se ttoa/.y,,- c:7>v, I. a'Stov 3 oacriv ri/.ooTwv. B^iffô (ô y-iy^nz ô).eÔpiou; ovTa;;oi: oux Kai K^odavovreç êti |/.épw7]VTai Xaïc» 5 TotyapoSv IIAOTT./'Aaa qpôv xàç M^vi-tts; Jj , dTTiTapaTTS'. icai vàp aÙToùç avcvvs:^ [àiôvai x.a/.co:. jà).Aa tôv avco. rcepisvovTat ivttuv aùrouç. ov /p*/i * Xu7rouvTai yàp où (A*//.pwv ctô- pouttevot. BIEN. Kal cù 6 pLwpaiveiç co ? n)/yJ7cov , du/)4/7]<poç cov toTç toutcùv GTevavuwHç; IIAOÏT. OùrtajAwç MEN. Kal co jAr.v, A.G<rjpia>Vj outcù • âXV xoxigtdi Auaôv, Kal $puy£>v, xal ytvwcxeTe co; avoir préféré les accents de la flûte à ceux de la lyre. Apollon, irrité de ce qu'il avait adjugé le prix du chant à Pan son donna des oreilles dane. Midas, élève du poëte Orphée, rival, lui ayant rendu service à Silène, et s'étant fait initier par lui aux mystères de Bacchus, le dieu dn vin, pour le récompenser, promit de lui accorder tout ce qu'il demanderait. vœu ment ridicule On exprima Midas , sait quel et com- Sons sa main, le pain se changeait en lingot l'eau et le vin formaient une rivière d'or dans sa bouche. Divesque miserque, « riche et pauvre en même temps, » dit Ovide, mourant de faim, il obtint enfin de Bacchus la permission d'aller laver sa sottise dans le Pactole qui , depuis cette époque , roula des paillettes d'or (V. pour ce qui est relatif à Midas les Métamorpk. d'Ovide, p. 154-159 de redit, de M. il fat oblige de se réfracter. ; A ubertin)* oùx av sÔeV/îcaiat Gracna- oôoè icducouivou 1. Zvpo7.v-i-'a).o; roi d'Assyrie. 7, evGsc llou: Sardanajiàle , , Ce monarque mena une si efféminée dans les premières années de son règne que, malgré l'activité et le courage qu'il déploya plus vie tard, son nom est resté comme le symbole du prince voluptueux. 2. Kaî, après un mot, a le sens de aussi, 3. même, comme et en lai. T. 'z-rj-i Gpscnvj construisez: tl cpotaw [cpAvcsç) TaÙTx ; que disent-ils disant] ces choses ?c.-à-d.: que dis>. ?• ils là À/.r^Ti , sous-ent. icpâyjurra : vraies, c.-à-d. la vente. choses des Xcnçto àviwv aJTO'JC, riï. à 5. 4. m.: je me rejouis chagrinant eux, c.- me plais à les chagriner, à les tourmenter. Cette tournure est parti- à-d.: je culière à la langue grecque et revient assez fréquemment. G. Kal 7'j, toi aussi. aoj, construisez : yivco-xsté ^oj wç , DIALOGUE yàp av *, a/.oAOjOr.TC'j l'/jTfi àv.cov, I. xai /.aTa^ojv, xara- y.al yeAôv. KPOI2. TauTa ftlEN. O'j/. icpoentuvétcGai OùWtSÇ, oùy uêpiç 2 ; KAA " EXciva u5piç y,v, a utiei^ â^io'jvreç , *ai EAcu8epotç TOC 6avàTO'J TO îtai T.V.Z'J-.'J.-t eicoieirs àvopaatv O'J êvtûu- U,VYlU.OV5UOVTgÇ. ToivapoCfo oiatougTS, TCavriov ejcsivow «©r.pYîLiévot. K.POI2. IloA/.wv yg, MI A. Ucou SAPA. tq [asv o Og-/;: oOSè vap y m y pot» où Èyw touotç tto'.c-.tc, m. comme à m. mt pas : r.-à-d. sachez que je ne cesserai TivSa âv ! Qoucsc^e uÀv tr,T£, pas <^, liMtGoaoH »juîv • l ine. partout où vous On Taûwt oO/ Èvw jy.i~;' venaient l'adorer. Au rapport de Xénophoo et de Platon, Socrate faisait toi-même, de la maxime : Co; le point de départ de toute la s - pensez irez. 2. ! itoVacwciç truvstpwv, vous tourmenter). 1. ! rate Toiauxavc oiawvJtîc 6Traoottsvov. ocv -7.'jto;j.ïvo-j, de moi 3 Oeol, xai y.ôyàlwv )tr/)pwtTfc)V s MEN. Eùys, outm rvûôi cz -jtov 4 ttgzttoi co o^p'.ç, s.-ent. :rt: Krr.u.iTtov, s.-ent. à<fmpT,aai, je suis prive, devant chacun des trois •'V;S xnfjiiâwv, xpusoû, vpuepr^. 3. | i : i. T6 TvwBi caurdv, te [proverbe] Commis-foi toi-même. Cetfc ace, qu'on attribue à l'un des sept sages de 1 sur le mnr du temple d'Api lion à Delphes. C'était un principe de te et comme un avis que le dieu donnait à ceux qui que Fénelon, dons son Té~ sait lémaque,Î2a\ aux enfers. | • La première ombre que v re ncontre'est celle de Na ce ros bopharzan, roi de Babylone, comme Sardanapale* et qui, comme Sardanaregrette lâchement les délipal ces où il vivait plongé. Deux es faisant l'office du Méuippe de Lucien, le tiennent enchaîné et l'accablent des plus cruelles msulîes. Ils lni reprochent entre autres choses d'avoir oublié qu'il ïèUmaqae, liv. xyiii). était ho y , | idre le fils-d'Ulj DIALOGUE II. fc AÏAAOrOS — B'. DIALOGUE U.^ Mercure réclame de Charon le prix de certains objets qu'il lui a fournis. La somme se monte à peu de chose; cependant Charon déclare ne pouvoir l'acquitter sur-le-champ. Satire courte mais vive contre quelques vices. EPMH2 EPM. foeiXeiç r/rr, XAP. aÙTÛv, Aoyiçwy-sOst , Srcwç , KÀI XÀPfîN». à , 3 ftopôfLéG, et ooîteî , ÔTroca p,oi kùQic IzCCoju.vj ti tvss! xutôv. u.r, Aoyia(6{i.e0a 1 w , Ecy.?/ a^stvov yàp ebpiaÔat ttcoi /.al œTrpa'Y'w.ovecTeûov. EPM. 'A.vjajpav évT£iAtftx.évfci Ê/.ou.ica tcévté Jpayixtov 4 xap. noTOoC 5 Xs-Yct;EPM. N?) tov 'AlôojVcV. 6 twv fKVTÊ wvrjcxu.7iv jcal too. , T:coTv;pa o^-Jo oêoAôv. XAP. I'. Jes 77ÎV73 opor/1/.aç /.a». oooAouç ouo. EPM. Kal zxecTpav bizlç too Urriau* TrevTfi oooActj; èyco XdTÉoaXov. XAP. Kat EPM. Kal 1. toutquç irpocTtôei. x'/ipov cb: ï:::~i/).zy.\ 'Evj-t,:, .Vora/rc, (Us de Jupiter messager de Juautres dieux, et des le père de piter ruse, lyre, le dieu la des vode la et ce Mai'a. Il était le leurs et des hérauts ; enfin , il était chargé de conduire aux enfers les âmes des morts. 2. Xapcov, Charon. Fils de FErèbe et de la Nuit. 11 était le nocher des morts auxqnels il faisait traverser les eaux du Styx. Le prix du passage était l'obole (environ quinze centimes) que les anciens mettaient dans la bouche des morts. 3. 4. El ôoxsl, sous-ent. aoi. lyj.yj.Coy, drachme, unité de monnaie chez les Grecs. Elle valait too (J/Caoïôiou T7. àvcW- d'abord 92 centimes; elle n'en valut e plus, vers le n siècle après J.-C, que 87, ou 17 sous et demi. 5. IloAAoJ.... la phrase complète Aiyî:; (xojJUTa:. ai-zr,-/ i/H) serait : icoXÂoû (àf.yup{o'j ) , tu dis (l'avoir achetée pour) beaucoup (d'argent), c.-à-d., c'est lien cher. , ATdonée , l'un des Piuton. Ce mol n'est pas sans analogie avec AîÎt,ç , A'or,-, lladès, G. "AïSwvéa noms de nom de Piuton très-commun chez les poètes grecs. Il n'en est peut-être qu'une forme allongée. 7. Tpo-torr.pa. Devant ce mot sousent. (.V/r,Ta;j.v, comme devant àxéerpav, xTjpo'v, y./.vjî, xaXtdotoy, qui viendront tout à l'heure. , DIALOGUE ( yora G"a;, xai vjAoi»; aV &è, xal xatao&iov ^payacov aTravTa <^jo lî. Ou tv;v Orapav 2770-//; 2 . *~-~XAP. Eùve, xal a; '.a raSra 3 (ovr'coj • icTiv 4 , et p//i ts, oXao r,y-â; «^AaGev 5 iv 1 * ~ .^» % > t » « Aoyiffjjwo. uots o o'jv tout aiuodcocTÇtv or,; ; EPM. TauTa / - - XAP. Nuv tw Oi > Epp5j, aouvaTov o> [JreVj r)c y.v Xoiuoç tiç yj ttoàc^o; xaTa-ay.y/, owpoouç Ttvàç.r, evscTat totô xïroxlpoa7 vai tw ev EPM. NOv ysv£c6at , to; •fiu.ïv 10 « y.à); yao. etpvfvYi , st -/.al bi t/iv ^lûv TcapaTeivoiTO —y.7\aiol oî tîoAAoi* vuv &c 1 «—vJavuv uttq y, vctGTepa* 2 x.y.1 k TY ç vuvaixoç, 4 rà <;xeA7| , v. aVay.ro; âV/TTActo. 1 ris ne n tou inrà • -jtto &v-ûoi • cou înrà XapbW, olaÔa co , oac7.aV.-;o y, • TflV y.axicrra euvoaevoç Eouwi. Nuv &' oXiroi. oj; tô , àyevvcT;, oùoè op>ioi ljc£tvoiÇ4.0i x.al Ta TrapeyCyvovTO , KvX-peloi a'rravTcç xai TpauaaTtat rraiôo; * Auieivov oStwc to oç/AY.y.a.rnlr.v à).A olot , av àrro toutcov ktcoAocuouu; 63a;, a<pmvo'3vTat EPM. 8 oùv èySi >ca8eooup.at XAP. Oux Igtw aAAwç 9 "' rà TCopOaeîa. xV/jOet ïuapaAovu,ôV.evov tcocy: ê^mot]— yàû aTravrec îtA21(7toi owTcav 13 ^tà yarl'j.y-y.ryssjG'.v e7Ti£ouA£uovT£ç aAATjÀOtç, cb; soueaçi. 1. Tk (txÉpr.) àvior-;-:^. c.-à-d. les fissures, les 7. 'Airoxspodvat. Devant ce v< s.-entendez ;j.£, auiquei vous ferez rapporter le part. rapaXoyiÇdjxsvov 2. A-Jo 6ca/;j.(ov i'-avra , même tournure qu'en français Je tout pour deux drachmes. 3. "A^.a TxjTa (ôv^trto, m. à m.: tu as a s choses dignes (du prix Nûv ouv èytb xaOsfioOjjLot, m. à maintenant ione je serai assis, planté, c.-à-d. me voilà donc réduit à. 9. OÙX eotiv i/>/.co;, s.-cilt. -o:tc-ai. "JSaxtv a ici le sens de: ii es/] que //es, ties) owverfes , ( ar- crevas?' ' : tu y as mis), c.-à-d.: tu as fait là un bon marché.' 4. Tsurâ sonv |mjv), ro//« ^omî (ce (icdvxa que ât tàvrjcrâ- acheté). AtéXaOev. Ce verbe se construit avec l'accus. de la personne, comme son correspondant latin laîeo , es j'ai 5. : ui, ère. G. 'AOpdbirç tivdç, sous-ent. ivOpciV- xou;. ( 8. m. : i7 est possible. JO. OToi,'j(ù't7s,c.-à-d.(lansquelétat. 11. Ttç, S.-ent. àvOcw-o; ~a: Yvg'rati. 12. E^woY.xcb; [xarôi) x^vyaoTépa, e»/îe [selon] /c veub'e, c.-ii-d. /e vciUrg e>î/îe. 13. "A-'jij-z;. Après ce mot tendez ïcapotytYvovTït ou efa» s. -en- . , DIALOGUE 6 XAP. riavj -j'àp TOpiTCoÔY)Ta Igti Tavra. EPAJ. Oùxouv ouo obcaiTÔv Ta III. B'y&î oo^aip.1 ow àf&apTaveiv, mxpojç ooc'j.o'v.sva rracà cou. AIAA0F02 T. — DIALOGUE III. Plusieurs jeunes gens cupides circonviennent le vieillard Eucrafe par d'hypocrites démonstrations d'amitié, dans l'espoir d'hériter de son immense fortune. Pluton engage Mercure à laisser vivre le vieillard longtemps encore et à lui amener ces jeunes gens le plus tôt possible ce que Mercure lui promet de faire. : nAOÏT.QN KAI EPMH2. l IIAOYT. Tov Xé'vci), tov yepçvTa oicÔa, tov tov irXouGiov Eùy-paTiîv •/.;.-? 2 w , 4 LTAOYT. 'Exetvav yiv, or':. 3 ; Ti oùv u Eppi, 5 *Crv svvcvr'/.ovTa Itêgiv à peëiw/csv è7Ci{xeTp:/)caç ê£y£ olov ts s y,v Xapivov tov 9' 7î^£iw x.al £Tt , vlov, /.al àstu.û)va 10 , yeynpaxoTa ttoioêç yiv oux etGtv, ot :ov &s ÔvîpGvTEç, TrevTàxio-j^uptoi EPAT. Nal, tov Stîtuwyiov ttocvu : l'açov, é~l 6 toîç TocauTa 7 , a.).)// jouç &é ys zoAax.a: aÙTOU, /-al touç aXXouç, îtaTaciwa- cov éçsçt.ç arravTa;. 1. Tov. Ce mot est répété trois fois à dessein. Pluton désigne ainsi très- expressément le personnage dont il parle à l'attention de Mercure. 2. EjxpâTYiv, Eucrate, nom imaginaire , mais s'appliquant parfaitement à un homme riche. R. eu, bien, un des plus beaux et des plus riches de la Grèce. Voilà pourquoi doute Lucien fait de l'opulent dait était Eucrate un S;-, yi, ni en. 5. Tî ouv, hé bien? Er.i, an delà, en sus de. 6. n eveotx 3 c.-a-d. le. '.-;j.'j -. toi . 8. cui | iww fe m îMe une un très-grand nomhre Le latin sexcenti, mille, le fran- - es. Eixwàviov, Je Sicyone. Sicyone était une ville maritime du Péloponnèse, située à une petite distance de de. Le territoire qui en dépen4. . 9. toTaOra, s.-ent. Evyî (xoûto) olov te cela tefois , cent, mille, sont des locations 3 A/.av. 7. beaucoup; v.yj-io), posséder. se peut, lit t DXsiw, sous-ent. eVïj. tjv, si tou- se pouvait. . ïft\. Xapïvov... A'i;j.cova, Charinus, Dàmon, noms imaginaires, mais qui semblent empruntes a des person 10. comédie. Ces ieunes gens hypocrites jouent, en effet, la comédie g 'le ieillard. . . DIALOGUE EPM. 'A.T07COV XV dO^ÊtS T1AOYT. rraôovreç 2 OùpievoGv, e-jyovTxi TOTOIOUTOV (pavôçw* dy Aa 5* x.y.1 ÔoTciv -\wJj:r, Ti; r}c r, ' a7roÔav£tv exeîvov, VOCOTVTOÇ , Kvopâv tcov c Aià TaO-y. . reloua 3 èotx&e, epcîoTai 7co^ù T'- yr}y tov IIaOïT. IoAcco; zaycov iv Oùxoiïl à avyoyTXTco' , tjçict zyxto; à-oOavovTô; 10 /.a-. ay.AAov twv diypYip.ivoi, oi o , y.~o 10. 'Ev ïotot, en forme ment de icpo7ijxov?s{ 11. Zcor v , s.-ent. Kal voroOvTo;, s.-ent. ocûtoj. Génitif absolu. '3:. 1I s. xoXoxefa -eut. è":.'. TOÙxcov 7. aCtoj. Ce génitif est gouverné itpo', de npocnctTCù?av. MoTTivèTt^avovceç, S.-ent. TqTç yyr' u.y.z: tvj yspovTo:. Posfguaiïl inhwverunt oj >.hns senis 8. i . ; Twv Ce gén. est le complément dn compar tîflCO^Ù ui/./.v;. 9. v£(ov. eux-mêmes, c.-à-d. 'iv.y.'j v.av, etc., i ti évtsç , lequel se construit pd{jxo /xai w , Jo/'i.^. pour Neveu d'Hercule, 'îo- fut il conducteur île son char et p quelques-uns de ses travaux. 11 é parvenu à une extrême vieille? quand deux s s'arrêtèrent sur son char, et ^enveloppèrent d'un nuage d'où il sortit plein dune jeunesse n velle. Ces deux astres étaient Hercule et Hébë. K ocxoV y.'xrxo : inoO av dvxâç, 1 3 . Ttov iv- fov. par xaxoî -flOTi 12. 'IoXewç^forme attique )»ao:, Ilcoor./.a, tov nfe'e, en espoir. après ri? C eAmoaw . c-à-d. d'après quel sentiment, pour- o. Çca7,v î3 e?i C. oi tô yypy.;, ôcnî^p y.~-/'.'.7:ovT3;. y.:'.;TCjTyv "2. Oôo'ev 9' v&cov pocxoyrat y.c-tov Ttov att. p. totc -v.Oovtï:, m. à m. Ti ykp Èxsïvoi car quelle cliose ceux-ci ayant sentie, To'.oj'iov, 3~sattÇc'.- xai oXcoç, y.iv x7FoouG£{/.evoç ovcico-o/.yOc'vTX ttao-jTOv 4. ï-\yy- Tvavoïpyoi ovt;:. IIoXXàoÈ zx- 7T£i<70V7at xeivoç eu utaXa ^taêouxo^et oùtoÙç 3. ptèv . EPM. . v.j.-ry û s VOVT6Ç l tt:o- -y.':»- yv pa«J7)' xai ô^caç, xOavaTOÇ, oi oè rrpy.TTLTo.Ty.v aùrou 7 , c)è, . tôjv Yprjuurnov y, 7 a:v (fouXeuovTat , £x£Î op,ax; 9epaTC£uo'j<itv, ev yi ôuuoç irjctavvouvTai x.Oy\axeia vàp dtxaioTctTOv. T( 7.a).7. rarov, §rij xai TOMtuTa eùvj^svoi, tû 7 1!!. - morts méchamment , dire, morts comme des méchants chants < ' 51 DIALOGUE 8 EPjI. A.uiXr,cov, 1 aÙToù;/.a6' sva IV. nAOjTcov gj »j.s7cAsucoaa'. -.'àp coi v$r - é; ?,;; éicrà Se, oiy.ai, BMTt. I1AOTT. RaTacrca. O 03 -apa-sy.ya çxa<rrov, àvri yi- povroc guOtç TrpojO^or,; yevoaevôç 2 . AlAAOrOi — A'. DIALOGUE IV. Un captateur de testament raconte à un parasite de ses amis comment, en voulant hâter un héritage, il imagina une ruse qui tourna contre lui-même et lui coûta la vie. KAI KAAATAHMTAHy ZfiHO$A]*TII2 Zlîrs vas 2ù Oc, . ta Ky'/j.'.or.'jJ.OY, 4 071 irapactToç oicÔa 5 * KTreirvty/iv, KaA. ïlaprjV, povra yào ttèv Gt7?o9v7Î<KCOVTi [Lot. To ZvivocavTÊÇ. co l^w j Àeiviou TîfXéov to»j ixavoû èv.oy.ywv Try.p-?,; 7.' OicOa Tt êyevçTO wv à—éOavsç t;(~j; , yàp Jtai à su.ov G Trapa&oEo'v eu itou IlTOtoowpov toi» yé— ; ZHN. Tov aTexvov, tov tt/.ouciov. w 8 es TaJroXXà rçoew cuvovra; KAA. IjaoI Te6v/î$ecôat. 'Eue! imà Kv.O* sva, 1. tes 9 'ÊxEtvov aùrov âet idspzTreuav, uurtcyvoujjLevov outres en , lat. o^è un, tes uns après singulos. G p. t a cause de l'esprit rude qui surmo: l'e dans Eva. 2. 'A/T. yépovtoç a^.: -ccoO/Ôy; tfus rursûs admodùm YEvotisvoç, ' x sene. 3. ZTJVO ~. : - : 1 Càllidémide; naires, comme Astvtaç Bto.-.v >poç l'tœjlore. U ; ." IÎ7.A- noms imagi, bïnïas, et . site DzpÔTiToç, parasite. Le paraétait en général un homme pau- vre, tuel. gourmand H , paresseux et spiri- vivait à la table des riches et payait son diner en bonne humeur et i; [jitjxigtov eire- en bons mots. Philippe, roi de Macédoine, en avait un nommé C qui jouait à sa cour à peu près le même rôle que jouèrent pi les fous à la cour de nos i6. 01-6-2. Construisez ol^Oa v&p . ...... OT'. A'.or'j-.or,:, 4. -cayaa to êtc* fflO flSV... 6. To mais mon 8' : a-£-VL-'T,V. s. -eu!. è;j.ov, affaire, mon îcpSyjia, aventure. 7. 'EyévETo , aor. 2 de yCyuopat, servant de parfait au verbe r.u-- Induisez par le présent de l'indicatif. r 8. Q. adjectif relatif la prép. crùv gouverne de ffûvdvcx 9. 'E-'jao-', tage, c.-à-d. en pour me mo;', à mon avan- laissant ses biens. . . DIALOGUE " :TO, 'JTTcO 7.7.\ IV. J TOV TlOttVOV VepWV Q É(,7) ETTlTOtto'v T!.V» , ( ôoôv ski tov /.">.? tov ave7cetora Û 77161V •/.•jy.»//.a, 6Toi[/.ov eyêiv fîClVEl ZHN. vo 077< oe 70070 7}X0[/.sv ixa)»a 6 TO : YeXaç ve ETaipco avôpi ïtti* ZHrs. 'AcTEia yàp 8 , Oc Tï 7T00Ç 77.077. , t/,v Htoio- û ElClVEV, l/iv oè EYCt) àv7 uTCOooTit'x.aîoç Zvjv^oavTeç o) lu/A iréocct Eîoei- Kaî uiv où» ; :/.av. KaAA'.or.y/'f^/; O vepWM 77£i70vôa<;. , J ; IÏ?<5tov y.cv 0-277.: -.y Or, r: :o; to atovtoiav 70 YeyeY/îp.&vov, èyeXa oijJLat, ô o tioyi <Dap«.flOCOV, IlTOtC EÎTâ È/.TaoV,v Èx£iu.7iv, vou VExpoç. Ti tooto duo , eygw, t/v tùv t:o U.EV £17.0'. :, Oc 70 3t©apLLOîCTOV ETTSOWXgV. guveiç, eî 7?apaoo£;ov ipeTv eoucaç, lyoucav to ©apixaxov, tAv KAA. T». Xoj(raw.evo6 étoiulouç x.'j)v'.za; C',a;.;l; oox, ' £LLOûiÀùVTa sç . xôtô 8 , xaî èmooDvài oùtô* toivuv l~i'. ;pa>UGXOc oeî II. q ETÇlfUCfc)^ 4<">pO? Tt oùv SY&veTOj Tvavoyap LAA. aoTtxa 2 sXe'Jôeoov £7rwu.o<7au.rjV â<p"flaew kùtov, 7ïotr|<7£i, , Yaa Œiapixaxov, Hptatxevoç èraioav râVicrà otvovoqv, OilTfiCrri owpw ÈEsupov. :ov ao7Ô; xa*£ cira : 017' ys c Q i\ oy 00 ; s tp y a c 7 7. t ZHN.IIay.v erôat'^xe ci /.al 11 oooà ce ty.v ettitollov yàp av coioià t^ç Aco^oVjo dXiYco 1. T'.Otovo'v, cTàa' 10 12 c'y:?;; 7:7.772- a<i<pa}i<77£pov, BpaouTEOov. Tithon, fils de Laomé- présent, a le sens d'un passé. don et frère de Priam. Aimé de l'Au- 6. AùrCxa [u£Xs,à obtint des dieux l'immortalité 7. Oùx rore, il à la prière de son épouse. Mais ayant oublié de demander aussi la jeunesse, il se de vivre éternellement décrépitude et s'estima heu- lassa dans la reux d'être changé en cigale. 2. \E-Eiox; 'z-x/px-x, aussitôt que. 3. AOto, s. -eut. cpïpaaaov. Aousdjisvot. On prenait ordinairement un brrin avant le repas. 5. "LToa-.v. Ce verbe, quoique au 4. drait pas, -il av, il 9. ru fau- ne convient pas de. râc, c'est que. Ti zpèç nura, s.-ent. 8. même. l'instant Sfia, s.-ent. sTtte ou 10. Tf,v È-ntrotiov, s.-ent. ô^o/. T 11. llxs, S.--?nt. 6 /.7.r,:o;. 12. A-.aT'?,; (ôÔoû) ?a rou/e gui porfc par le fe Xswoo'pou, peuple, grand chemin. ! -.1 - , DIALOGUE 10 AlAAOrOS — E'. Y. DIALOGUE V. Deux hommes riches étaient convenus que celui d'entre eux qui survivrait a l'autre hériterait de ses biens aussi souhaitaient-ils mutuellement leur mort; mais ils périrent ensemble dans un Gaufrage. Réflexions sur les effets pernicieux et la vanité des biens matériels. : KPATIÎ2 KPAT. tov tty'vj Moiciyov 2 KAI AIOrEA'HS. tqv wàougiov tov 7ïïXo'J<jiqv, cAx.aoa; eyovra; ' Kooivôou èjc ou avsy-.o; i-fivbi'jY.cç 4 ''Il , KPAT. 6 , « AptcTeav , oecTTOTïiv âcptelç twv /-al j/.èv 6 KpaT-r,;, Craies, de Thèbes, ca- le vit et l'admira. 2. Moîsiy/jv, noms , Mœrichus ; 'Apuxréaç, imaginaires. 3. KoptvOou, Corinthe,^ ville aj- îtat « II Lfc l TCûoa'jroOavot , 5. , si to ©avepôv Moipivov même pas o^è les liens sacrés Cette parole d'Homère 6 'Agi- du sang. : « En- Uve-moi, ou je t'enlèverai. » Iliade, ch. xxiii, v. 724. Homère met ces paroles dans la bouche d'Ajax luttant contre Ulysse. Lucien, en les mettant dans celle d'Aiïstée, joue sur le mot àvasfpw, qui, comme tollo en latin, présente un double sens, celui de soulever et celui d'enlever (faire mourir). 6. Tîvo; située à sa position et au génie industrieux de ses habitants, les richesses af- turel fluaient dans son sein: elle comptait plus d'un Mœrichus et d'un Aristée. 4. AveOio':. C'est à dessein que Lucien suppose que ces deux hommes sont parents. Il veut montrer par là ' l'or éîca- Moipv/o; me de jcàtjpou sve>ca s. sur l'isthme de ce nom, entre la mer de Crissa et la mer Saronique. Grâce la soif ÈTTO.c'vc'.V,' to'j êsçutoo ttovtcov de la Béotie, était un philoAtoyévijç, Dlogcne, né cynique. sophe à Sinope, ville d'Asie, sur le PontEuxin mer Noire), fut le maître de Cratès. Il vécut d'abord à Athènes, puis à Coiïnthe où Alexandre le Grand que TC^.ûu(7idç Ta; aiaôypcac pitale Aristée, — oaa:.; Ta; K-pa-niç; EÔepàiceuov cD.V/Tàou; Tepoc, ToXotiÔTai ovreç, 1. Aioveveç, iyo>G< r, ' w J Aîor. Tivoç svexa stiÔêvto , tov j AotGTeaç, toç wv, oç to 6u.Y)pixov èxeîvo EtCùôei avaeip 3 ne respecte rien, dis-tu £vexa, pourquoi, cela ? et cela? Car il que Diogène réponde à disait-il s.-ent. non pourquoi semble plus nala pre- mière proposition, qui est principale et interrogative, qu'à la seconde qui est subordonnée et affirmative. to tpavepôv 7. Ta; ôiaOïjxaç k; !t(6svto , ils mettaient leurs testaits au grand jour, ils se les faisaient voir. MALOCl'i: <77c'y.; TTpoaîcéXôoi gk>to5 s-! , cI'tc eiTe , tojv 7.770 Kat q IIvOioç kùtoç Motptyw apTt oè VUV AIOT. Ti 3 çz-to. ( Kat xo'Xaxeta. t9j ye XaXoaiCAV TfaiOeç to; àoT'. £••='** |/iv oï Texuai pourvoi to ll&XXov. uiv ApiGTea Tîapeive to xat rà xaXavra SXSIVOV 67C ** Taura . stcrrptov tûv âvstpaTbW 7.770 1! aXV/i^ouç uiweooaXXottevoi Èftepaireuov :vt£».ç * Y. 4 wore uiv -, à/./.-/. îcûoctoç, cm toDtov, 60067:6. ouv ircpaç èyeveTO, co K.paT«çj açicv. KPA.T. Ôvtoc ~ySj-y. fjteaov ' . , 6 trcï u.iae -'cj.Wj.z' ot oè xat ©pacux'Xéa 6 TrspiviXOov, ooi i; Eovoov.ov vetc TeÔvàctv A.u.<ptû xay- ou7*yê- à'v.oco ouoè Tf&nroTS TTpoiAavTeuoixé'vouç gutco v£V6cÔat AtaiFÀéovTeç vàp 7ov TTOpov itXflry&fd 7.770 8 Sucuôvoç i: Kippav tw 'iaram TcepnrecroVT^ç , -/.7.7a , avc- 8 7::;-- .77.V. JiiOr. Eô ETC0171COV. HfACÎç oè, 07rote iv tco ptw O'jOcV 70'.0070V SV6V00U(JLEV TCgpt S&V/fXît)V 1. Aùxoû. Ce génitif est gouverné XaXîafov icaïSeç, 7. Lucien aime à convaincre d'erreur les devins et les oracles. enfants frs 77C0 77073 « ccl'bre pour son courage. » par rcpd de icpoaicÉXSot. 2. 007= CYO) ' r.y.sv, ; des Chaldéens, c.-à-d. lés eus. Ce peaple était célèbre pour son hatronomie et dans la bite divination. 3. '0 HûOioç aOxo'ç, mc:iv',c.-h-<\. Heu! va tu m ignare mon les. (Yirs. Vythicn lui- Ta xcftavxa, le serpent Py- les balances. 5. Tefivâsiv, contr. 3 de xeOvdaoriv, p. pi. du part, de Eùvd(i.'.ov xa>. 9pa?oxXsa, Eu- pour csOvtîxowiv, dvifcrxcd. G. - '. imagi- naires, mais qui semblent choisis à dessein pour désigner des personnes honnêtes et dignes du bonheur qui leur arrive, car le premi s gui a de bom es m trs o el mil i Sixub>vo<, Slcyone; sur cette voy. la note 4 du Dial. m. KCppav, Çirrha, ville de Piiocide, au pied du mont Parnasse. 9. Tà-'j-,"., Hopi/r, nom de vent. Il soufiiait de l'Apulie, province italienne, qu'on appelait aussi Iapygie. Ce vent était favorable k ceux qui dit- lie passaient en Grèce. Ainsi Virgile se ren int à Athènes, son ami ice souhaite que tous les vents se taisent durant sa traversée, tous Mais il excepté Vlap, i Oi. 1. i, 3 t contraire à ceux qui de Sicyone, vers p r exemple, navig ville, thon. .'t. iv.v.Cj.) 8. te A pollon, ainsi surnommé pour sa victoire sur £n.\. ! I . i rha. . DIALOGUE 12 'AvticÔevti r,'j;ay//;v 1 cbroÔavtîv, V. w; jcV/jpovoiArfaauu 2 pàjcTUpiaç aÙTûO (etye àè Tràvu Jtaprepœv, ca y,£ voç) o'jts • , au, oijitai, s/, xotivou tt;ç irotvi- KpaT7iç, ÊTreÔujAr.ca; xXvjpo- co voaeîv aTToOavdvToç êuloO toc îtTflixaTa, xal tov 7Uiôov , TTjV «r/ipav yoivucaç' KPAT. Ato'yeveç* crac, /.al côv ÔspjAwv eyoûcav. tiuo Oùf^èv yap to'jtcov â$ei [agi aXV * oipe col, â à yàp iy p7,v 4 cure 'AvTicÔevouç sV.atigovo^v;èvw cou, ttcAXco fAsfCco /.al cetAVôrepa Tije IIcc, âpyviç. AI O r 3 /.al - T iv a TaOra g . KPAT. c r, ; 77a p y, ciav i^su? p 2oa>tàv, aÙT-apjcsiaVj aA'/iÔctav, Gepiav. Nr, Aia, |ii|£vripuzi z.al tqûtqv o la^e^afAevoç 5 tqv Aior. 7î7vOutov rcao AvTio0evouç KPAT. AAa oî /.al , col art rcXeico KaTaAwrcov» twv aX'Xoi -/i^sAou.v tgio'Jtcov jtT7][Aûfc- tcov, /.al oùoelç èSepaireuev r.p.aç, jcV/jpovopLvîceiv irpocoo/.wv* êç to ypuciov tw'vtcç eéXeirov. cïs AICT. Eïy.oTO)Ç' où &vOa yàp eiyov G av oé^atvTO tac Ta TOtauTCt Tcap* vjllwv, oieppuyjïCOTeç û~o Tpu<p7Îç, /aOaTTcp caOpà twv paXavTicov 7 eç aÛTOÙç î eOÔùç, /.al cooiav, • r, otéppei, tou oîov Tt 7cacyouciv ai to'j cocre et t:ots /.al Èu.£aAAoi t;; 7wapp7iciav, TcuÔf/.è'voç r, aAr/Jciav, èçèmirrev ouvap.£vou' créysiv où AavaoC auTat irapGévoi , Antisikcne, pîulofondateur l'école de athénien, sophe des cyniques et maître de Diogène. 1. 'Avciaôévr, ; i xaraXwccov , je me , ce ^soïa-j'e/js, tqv aya.it reçu, ayantlaissé, c.-à-d. d'avoir rmt, d'avoir laissé; tournure familière à h langue grecque. 2. KÂiripovoar^a.a'.. Le verbe xAT,povo{Jib) gouverne tantôt le génitif j (îaxTT.piaç) et tantôt l'accusatif [xinj- 6. Ouyàp eîyoylv0a,noJiÀfl6c6fl»l nbi reconderent,ils ri avaient rien j>owr jxaxa, plus bas) recevoir. , 3. Xoîvixaç, chénix, 7.Tàca8pàTwv>aAav::wv,comme mesure grecque de capacité pour les choses sèches. Il valait un peu plus d'un litre. 4. "A yàp è/pr.v, nain quod decebat (nos a nôb'is irivicem accipere). o. aUpLV7jjixi.... o:ao;;7.u.Evo; <rà ! ' ua'Opà pàAdtvcia. 8. Danaùs, roi d'Argos, avait cin- quante filles, qu'il marteaux cinquante bis de son frère Egyptus, mais en leur commandant de tuer leurs époux la DIALOGUE ETCavrXouaai. TiTw'jTrr.iAc'vov tt'/Jov 1 ovuçi xai TOV 0*1 43 To oè voudtov ôOo'jci OOx.oOv r ;x2Î; piv iÇouiev xâvraGôa tcv TCArô- * ; ôoOAov v.VyjGl XOp.U,OVTEÇ, Xat TOUTOU r}è /.ai ar.yar?, iouXaTTOV. 7ta<ry] KPAT. VI. àyû!. TOU 7TOp6(Z.é(i)Ç. 02 z AIAA01 DIALOGUE VI. La beauté ne mérite pas qu'on lui fasse de grands sacrifices. C'est un avantage périssable et qui ne nous suit point aux enfers. Là, laideur et beauté se confondent dans une commune horreur. MEMIH102 KÀI EPMH2. / M EN. IJou Çgvav7i<rov a-obAcyov, G^rdXij co: ;ao»., 77. fcTTi 4 jN'acx.'.cao; même xxXoï ol etoiv, , m Msvtinre deçia du mariage. percés. Kdvroûtbt, même ici (dans les fondateur de l'école cynique, disait en effet : « Les biens dont il faut faire provision sont ceux qui pourront surnager avec nous après un naufrage. » (Diog. Laërce, De Antisthène, vi, 1.) Le sage Simonide venait de faire naufrage, et seul ne s'inquiétait pas de sauver ses 1. enfers). Antisthène richesses. , Quelqu'un lui demanda : SimoDnle, tu ex opibusnilsuniis tuis? Mecum, inquit, mea , zi xgcÀxi , sunt euncta. (Phèdre, I. iv. Fable de M, Anbertin ) M, edit ymz tt)./,v w Ecy.v ; kcêivo kuto ëvoa o rajcwooç 5 xai 6 N::2'j: Toutes obéirent, excepté Hypermnestre, qui « glorieusement désobéissante envers un père parjure,» comme dit Horace [Oa. 1. m, 8) , épargna son époux Lyncée. LesDanaïdes furent condams, dans les enfers, à la tâche impossible de remplir des tonneaux nuit 3 us vÉ7)Xun ovra. EPM. Où xal 6 #è , jtai 3 tî ectti 'AyiAAeùç®, xal Sophocle a dit aussi a La piété suit les mortels au delà du tombeau; qu'ils vivent, qu'ils meurent, elle est im: périssable. » [Fhiloctête, v. 1442.) 2. Q; è-l xh SsÇict, un peu à r droite. 3. TaxivOo; Hyacinthe, jeune grande beauté, qu'Apollon tua par mégarde d'un coup de palet et changea en une fleur qui porte son nom. 4. Nrfpxiovoç Narcisse. Ce jeune homme, en se mirant dans une fontaine, s'éprit tellement de sa pro] beauté qu'il mourut de faim et de langueur sur ces bords dont il ne pouvait se détacher. Il fut changé en narcisse. (Voy. les Métamorph. d'Ovide, 1. m, iv, édit. de M. Aubertin.) 5. Ntpeûc, Nirée, le plus beau des Grecs après Achille. Il fut tué devant , homme d'une , Troie. C. 'A/'./.A-.-Jr, Ac/<&e,Gls de la Né- t DIALOGUE li Tuow xm 1 EAc'vr, 2 3 /.al Ar.'oa , VI. *ai ô'ao>:t7. aV/aîa /Allr, , TravTa. EN. Oatâ Ta ou.ota EPM. iLa^ouct, 7roXXa. K.<H? uwjv êxeîva ègtiv, à içàvreç oi icolirrat Oau- T/ ôarà, ôjv MÊN. bpûç yvowjv eYû>ye EPM. ôaû, xal /.pavta, twv aapxwv yuj&và, [jlovov cù ebucaç y«aTa<ppoveîv. EÀA^oç, /.al yàû «v xat c j : xat E-rcet Thétis Phthie. réide 1. âfujpt -ra gvOi] et Tupw, Tyro, de tosoutoi Mévwnre, Çôcav co ctvep.scryjTov ;7ça ovTa Pelée, roi et de de fille Ea£vt„ Hélène, femme deMéné- la ; yuvaTxa givau Ttç pAeiroi aitobebAïjxora beauté de la faiblesse et la Que sont devenus, la lai- fut prise et livrée Priam fut égorgé que villes villes sur On sait que Troie aux flammes, que le territoire d'Ilion. d'Achille, et Achilli détruit douze maritimes, et onze autres par les Pyrrhus, fils membres encore vivants de sa famille furent réduits en esclavage: tout cela pour Hélène. 0. 'A vejjLéTïjTov, pardonnable, sable. Le vers qui suit est tiré de s'écrie saint Basile, ces généraux, ces satra- pes, ces monarques? Ils ne sont nlus que poussière, ils ne sont plus qu'un souvenir. Quelques os, voilà ce qui reste d'eux. Penclie-toi sur ces tombeaux, et vois si tu pourras discerner le pauvre du riche.... la force neuvième année du siège vantait d'avoir roi « s 5. Le siège de Troie ayant duré dix ans, on peut juger combien de Grecs et de Troyens y périrent. Dès de Salmonée, 3. Aif&x, Léda, mère d'Hélène, de Clytemnestre, qui épousa Àgamemnoo, et des demi-dieux Castor et Pollux. 4. x,ai deur. » (S. Basil. 110:/.. >.oy. ut.) de Sparte. C'est l'enlèvement d'Hélène par Paris, fils de Priain, qui causa la guerre de Troie. . G T7jv eç pvai/.l ireXiw xpavov âX-yea iraff^eiv. roid'Élide. 2. EAAtjveç tô 6ire<iov TroXetç oèvaaraToi y£yova<Jiv 'aXa' oùx si^c:, Tc.yî' E/ivr, êffTiv. ai yiAia-. v^eç 5và touto STï'XTiptoÔTiorav papêapot, xxs TOffaurat £07,; £ia- -ràp ày . Erra v.-j.Gr,; -y,; &et£ov.og 4 ToutI tq xpaviov q MEN. EPM. pi Elire* Tr.v Homère le Ylliade (en. m, 150 place dans la bouche des vieillards, qui du haut de la tour des portesScées . contemplaient Hélène avec admiration et le Mercure de Lucien le répète assez ironiquement. : j DIALOGUE Trv Baoviv, A.vaioi os airavÔouvTOç icoç EPM. Où re, ayo///; et ar, 8ai>fz,*(,a), rjuvis- dXi'Yoypoviou xal oîhrtoç 7tovoCvt5<, ù lloi. Me'v «nre auut.©tXoGt><petv . ëmXe£au.£voç totcov evôa xv è&sV/îÇ, ueaurov. Xû>v a Eûp.7J, 77p7'yy.7.7o; Tcep» 5re uivroi avôêî Inivi. v.y.'/J.'.'j-j. AIEN. Oùxouv touto, ô ' 13 dVXovoTi ixùtw ooçei otu,op<pa xal êvet T7,v ypoiy.v, cav VII. Eyoo as tooç 7.a).vj; vêxpooç cot* xsîao xaxaba- r/jr, pUTéXeu- coaat. AIAA0F02 L'homme H'. — DIALOGUE VII. plus sage peut tenir en public de beaux discours contre la mort, mais au fond la mort l'épouvante. Le cynique seul n'a pas peur de la mort, parce qu'il a dédaigné la vie. le MESIIinpS KAÏ K.EPBEPQ2*. MEN. Ci coto; orr, % tt; 6i7cé pot, Tïpoç m. à ttovoOvt;:. n'ont $as s se doH/ianf de /a peme, c.-à-d. gu't7s se s'<7s aient, -2. les etc. Tv.oiojr-i-x/QvjvTo:. beaux vers de Malherbe Comparez : Et, rose, clic a vécu ce rfuc"vivent les [roses, L'espace d'un matin. {Ode à Duperrier sur_ la mort de sa et surtout ce fille.) passage de l'oraison fo- d Henriette "d'Angleterre par suet : « Madame a passé du matin ire au soir, ainsi que l'herbe des champs. Le matin elle fleurissait; avec quelles grâces, vous le savez le soir nous la vîmes séchée... » Kép6spoç, Cerbère. Ce chien : fucux, chargé de h guide •? - ziyJ. tyjç ^t-jvo; qttotô xaryfsi 77:0; uy.7; El aï, z'sr.zz'Vt 1. m. -j •-:.;: Kiç-.i <1qs 4 , (JOt, XUû)V koÙ oio; r v ô ^c-j/.ca- ( sixo; oi ce, &ecm ovto, enf' . it trois tètes et iàtj une queue de dragon; son cou était hérissé de serpents; et de sa gueule, comme de celle des vipères, dégouttait on noir venin. 4. Ilpèç -r,; Etvyo'ç, par h Styx. Le Styx était le principal fleuve des enfers. Les serments 'qu'on fais par lui étaient inviolables, non-seulement pour les nommes, mais encore pour les dieux. o. Skoxfdcrr.ç, SocnU, célèbre phi- Le premier il enseigna la morale comme une science, en lui donnant pour base la connaissance de soiIl se fit de nombreux enois, et finit par succomber sous leurs accusations calomnieuses. 11 losophe. fut condamné •COav. J.-C. a. Loire la ciguë, l'an DIALOGUE 46 /.TcTv [LOVOVj KEP. aTp£7TTfc> ecTcoctv : toOt ; , iy.yryy.i m 2 iov/.u XOU WOOCigCÔûft T. toîç too cioj tJToato'j tou yacttaToc, c'„coj aùro? oaxct>v o:y.'j.ùJ. rs/~y. X6>veiu xaTEG7?aaa tou rçoooç, ôinrep Ta t ÔlfôV , rry./Ta-y.T'.v , Eirei oe xaTEîwu/EV . tov £oepov, jmcygj eIoé •/.y.', w Mevwnre TTûQGCtMta 7?pO<7L£VCU -/.ai Ç 6 E^yEdOûtl >771XGJÇ :V. ooxôv, varov Xai y'/J.'JL Il TÛ VII. r : zi'yr, baa'AMZ y ( -y. IoutoG iraiota àdupETO MËN. OuxoGv tou 3caT£<ppov£i KEP. Ojx. • utMpicrr.ç t:: ' : à/./. . '-'- foç o )tat , iravTOtbi ' 3 ivsvîTo. zv6pct>7COç Jv, fcal oux ocày.' 4 : i~i'-iz àvaYScatov objto éaipa, XfltT£- DpQKTUVSTO, 0)C OTjOeV QWC OOCfûV 7b£t<70U.&VOC Q TT/IVTCO: -:..:/. , w; QamaTOvrat oï Beoctou. Kai : oXcoç, reps iravTwv V£ TOV TOIQ'JTGW EHSeW KV E/OlfÛ 5 , &&>Ç TOU GTOfUOU TOÀUTjpot /.ai avdpEioi' MEN. E*yw oè irôç KEP. Movcç, to yevuç Tcpo cou* oti aTracxv 1. Il avec sot Mevtimre, y./, à;*/.oç sbo;a; to3 vivouç 7, Ato- /.al v.y/) ôjOvj- '. s'agit des disciples et des amis - nte s'entretint S - . .y-ù:ô:/ji*rj.'. ava'yîcaÇo[ievot egiielte, dans sa prison le jour même de sa mort, et qu ça de consoler en leur prouvant l'immortalité de lame. 2. Construisez xdéyù Saxùv i les j ; èÔe^ougioi, y£)iavT£ç, oip.<o^£iv roxpa'yyEiXavTEç 8 aXV [xevotj Ta o evoouev, ÊAfiYyoç zxpibiiç*. : Ta 5' fv8o6ev (è<rriv) SXsy/o; à m.: ma>'s les choni-i'de dedans ( sont ) une pierre de tou te, e.-k-d. maïs on ne les 6. a/.r.o/:, m. . 6/«î (/xe lorsqu'ils sont enti 7. 'AÇtaK to j yévouç, m. k m. : es entré, d'une manière digne de ta ra- léX'Xovca et» tô> Kcavebp. L'effet de la ciguë était de glacer et de raidir ce, c.-à-d. en vrai cynique. les membres. Quand le froid avait gagné le cœur, le condamné mourait. Lucien suppose plaisamment que l'om- 8. OtyuàÇeiv xapayYeiXacweç. Les Grecs disaient également Xéyu ou -aysXXio ro'. oifuoÇeiv. Cherchez o .p: bre de Socrate était tout engourdie. 3. Dovtoûk ÈyÊvex», rn. km.: Il devenait de toutes les manières, c.-à-d. uwdCstv. 8 il - faisait mille contorsions. 4. Toj spàyjjwtoç, c.-à-d. tovj 6avâtou. il E.-£T.v iv ^roqu, je pourrais dire. . : • Lucien se trompe en prétendant que Socrate craignait réellement la mort, quoiqu'il affectât de ne pas la 9. craindre. Une telle hypocrisie eL^ie peur ont toujours été Wite^e l'âme de ce sage. telle DIALOGUE AIÂAOTOS //. — 47 VIII. DIALOGUE VIII. Charon a fait passer le Styx à Ménippe, qui ne peut pas le payer. Grande querelle; mais que faire? Charon est bien forcé de renoncer à son obole. XAPON, MERinnOZ KAI EPMH2. XAP. À/rcoôbç, w MEN. Boa, touto coi w*ov, XAP. 'A/rco&oç, MEN. Oùx. àv Xa€oic rcapà tou XAP. Eut;, oé tiç oooVjv MEN. El aèv gi rà iropfytÉÎa, xaToépare, Xa'pcov. àvO' cov es SigiuopÔLLgucauLgv qpT|U.i, »caî m . I'vovtoç. e/owj lut; aXXoç u.7) ! ti; oùx aida; iyto o« oùx , eyo). XAP. Kat y,v p^rtv avQû) ce, vvj tov iTXouTcava 3 [v.y.ii co , aTTOdàiç. ar, MEX. Kàvù tco 2 Eu^co cou r.vr.j/.v' OiaXucoi tq xpa- viov. XAP. Mx77,v MEX. O ûwxe oùv êîtyj tt£t:).2ux.w; EpirTiç ûrrèp tocoutov rcXouv cr. àîUoooTfù "£i/.ou , o: a 'aô j Tçapg— coi. EP3I. Ata, ova^av.v, [/.eXXoù vg xat ùircpgXTivgiv XAP. Où/. àisocmiGOiiai cou. MEN. Toutou -y g gvgxa v£to)a7,'ca$ to içopôp.sîov, wapa- {/.2vî 4 ' X-/; ttat.v 1. 'Aicdâoç... r à a a', o yc u:r t si syco, ttco; av Aacv.: gnare pugnam, etc.Bossuetaditanssi: Dormez votre somm> 4. Toutou -,'£ Svçxct.... m. à ni. Tct 7:ow0'j.îïa} àvô'cov, p. 4vrt wv, m. à m.: donne,. .ta péage con/ïc teguei..., c.-à-d. paie... te prix .moyennant , : lequel... a.tyauf Joignez oou à xpavîov. 3. Construisez i&oôv avec îr$ *e«Xeuxûç, et comparez les expressions latines analogues vitam, pu- Wme tiré pour rivage, attends- '2. : ; pour j j ?e cela la moi le c.-à-a. si c' , as tiré /a oargue sur eeJa gue rivage, tu peux m' /it barque sur DIALOGUE 18 XAP. MEN. TOÛTO , à -'J oj/. r/jsi; co; /.ou.l,£'.v Hdfiv put, KTUoOavetv u.^ VIII. elyov ov/. $é. ; Tl oùv; i/cr.v rj\à : XAP. Movoç oùv aCiy/fasi; 7cpouca MEN. Oj 7Tpoîxa, co peÀTtCTe" cuvera Aabopt.7)v, T'flç -/.C0777; ôsov TCET£À£uxsvat ; îcat vivTAr.Ta, /.al yàp exAohov ulovoç twv aX- /.al 00/. ST'.^aTÔV. X<«)V XAP. O'jôàv raura àirooouvai es o£i Ta r:opOas~a tcooç 2 tov oooàov * yàp Osai; à/VXoj; yevscrÔai. 3IEN. Oùxouv avayayé 3 as aùOiç sç tov ptov. XAP. Xaci£v Aéyeiç, tva tou Aia/.oo MEN. XAP. ov 4 êirï toutw vapà irpoaÀab&j. êvovAsi oùv. M-/) AcTçov Tt sv MEN. /.al rcAioyàç Ossu/yj; , mfpa tîj Osàsi; et è'y , ciç. ExaT/jç to ^£Î- /.al ty;; tvov XAP. Oia oè ÏI06&V' /.al toutov t/aiv. co Epp.9], eAaAei rrapà tov 7CÀouv, tov *uva Tjyayeç j twv i-'.oa.Twv àrrav- tcov xarayeAcav, /.al £77'.g/.cotttojv, /.al uovoç xocov, oiacd- LOVTWV £/.£ .VCOV ! . Construisez.... à>ç (tjv) 8éov xo- 1. j.le./ [ô6oXdv). 2. '. OuôiVTaûra àaxl -cô: x'a-opau. pas- sage. 3. 'Avâya^e, impér. aor. 2. act. de àvâyio; traduisez-le comme un impératif présent. 4. Aiaxoù, Éaque, fils fie Jupiter. père dePéléeet aïeul d'Achille, réc sur l'île d'Égine et déploya tant de justice dans S'>n gouvernement qu'il mérita d'être établi juge dos morts avec 5. per et Rhadamanthe. Tt,: 'E/.'/tt,- xb Seïtcvov, le SOU- d'il' aie. Od aux pauvres, tous les mois, à nouvelle lune. Cette fête se nommait la fête des Hécatésies. Ménippe n'avait pas eu le temps, parait-il , de manger soji souper. Il l'offrait à Charon, ainsi que des. lupins et d'autres choses encore, en échange de l'obole. Mais Charon ne voulait que l'obole et n'admettait pas d'équivalent. Il faisait passer le Styx au méchant muni de ce viatique , mais il laissait sur le rivage le pauvre honnête homme qui n'avait pu s'en pourvoir. Les railleries de Lucien contre te fable de l'obole sont donc parfaitement motivées. è/.îivtov (im6tf6. OiiMoÇdvrcov tûv) , gen. absolu. l'époque de x; 7.a, ce/a n'a pas de rapport Minos fraient appelait ainsi un re- pas ordinairement compose d'œufs et de fromage que les gens riches of- — la dialogue: EPM. Ayvocîç, Xflcpow, oTTOîov â'v^pa iuiropôjuuoaç;* co uiXsi aÙTÔi axpiêûc, xoùîevôç :v; n ix. Outoc écnv • 6 MÉvnnroç. KAP. Kal M EN. u.r.v av ae ttots... "kaJaùi Av XcÉê^ç, Û p&TlOTts AIAAOrOZ — 0'. av Xa£ot**. Stç £è OUX 1 DIALOGUE IX. Ce dialogue rappelle tout à fait le dialogue IV. Un captateur de testament voulait enrichir sa famille avec le bien d'autrui; c'est le contraire qui arrive, et sa famille est ruinée. KlfHMflN 1 KAI AAMNIIHI02. O KNII. Touro ëxeîvo 3 to t/; ftapoituaç* AEOVT0C » . AAM. Tt â yava9tT6ÎÇj , KNII. IIuvôavT] o v.y-yj.ùsj'.-y. aysiTv AAM. rito; KNH. DCieTO. /,,/.y.; TravTa, i; o>; Kvr.'y.tov; KYOvaxTca: t». Tafia rraczAiTTcov tout KtaipovouAV «xouortoç 8avarw Eoo;: èpou^o[X.7|V 5 . 6, 07j xaxeîvoç oùx [/.oi TO (pavepov 7 tcovu icXougiov. aTSXVov ovra, èôe- , ar/ko; zry Geparatav Xal crooov tout' eivai, Dsadai otaal; £v EXEtvco xaTaXiXonta râfià xàxsivoç Cyjmgz'.i, xaï tx aura îrpa|eie. 1. Aie 8% oùx iv X£6oiç, maifl ht ne me prendras pas deux fois parce qu'on ne passe le Styx qu'une seule le dit' "du proter6e,c.-à-d. cotfâ o«. e 4. O -iiZ'Jjz tov Xéovxa, [eïXe ir On a ne voit poiut deux dit fois le rirage [morts. îles fatofc a oaii Racii ete n, se. v Kv/'xuv, Cnêmon; Aa;xv.--o:. . - IlaoaXixwv toûrouçl 0O4 ï6ovXo|XTjv a/ [taÀ'.cTa s^siv tafia p. Ta t ayant' è;j.'a xt *EiA •avàTcp, dans l'attente de sa 6. HermoZaùs, plus bas. itmisez toGro bceîvo à--V pr.Jia) XT,; ry^o uiv.r, <.ea màttC . 1 . . : u fepl te dire, tej 5. .mie TKpi av BvévETo; EpuoXaov tov etcs ù xaTgGOOi<70Eiç o aÔ^ioç, ou; , Xurra oâmuov veopoç tov 7. . Bsdlai O'.-,'.0r//.v.r iç Tû {pavepov} v la note 7 dudial. v. s~- DIALOGUE 20 AAM. Tt ojv K>*H. O 7i s— lttc'jovto; otm oùtoç ptèv Ecv/j/.ao; lyei vuv fcflti cooiGixa ptovov 4 5 EJNH. Eouca * Taaà, wgttôo aXXà Jcaïauxovae tov aXtea* , pu tic cogtô uuvreÔetxac. erai>To5 3caTot out- deXéotTi 3 <n>v%%?a<nca<raç. Xabpaç xaï to acyxurrpov tû AA3I. Où êv&Ypat^s toT; éauTOu youvaçvcu obr&Oavov , tou Tévouç iyta 2 • èxeîvoç'; 8-fi ouxoioa' Gvy.y.:.;, X. ciiuo^co Tûtvapouv 6 . AIAAOrOI — T. DIALOGUE X. On n'emporte aux enfers ni sa beauté ni sa puissance; et quant à la magnificence des tombeaux, elle est moins propre que l'éclat de la vertu à éterniser la mémoire des hommes c'est ce que le : cynique Diogène prouve au roi Mausole. AIOrE>"H2 KAI Aior. Ci. Kxp, etci ri i MAT2. Kal ibaLGikzvGa im T7J Rapiaç piva Ttvi Bact>.eta aTCaGTjç, ptèv 1. Tïxeîvoç, s.-ent. fepaÇs. ToOtéyouç 2. Itv.tte-ovto:, gé- nit. absolu. Tw ôe^san. Ce dat.est gouverné préposition ffbv renfermée dans le participe auyyjxxatxr^âaau;. 4. Construction pleine: (EyyxercaCKâzac, où (JUJvov apciG*cpov xal oé3. par la Xsap , i/.V. a xai, rfe. 5. TEo'.xa, j'en G. ai' frmi On ne peut guère gue sans se rappeler dre si connu le r«r. ce dialovers de Phèlire : Aaiittit meritô proprium, qui aliennm [apj etit. (Fai>. lib. nuà îravrwv i, A;. u,èv, toStvca-eu 9 ïjp$a oè xal 10 , oc-- Aj&ôv Maûaiùkoç, Mausole, roi de Cacontrée de l'Asie Min. Sa femme Artémise lui éleva après sa mort (353 ans av. J.-C; un tombeau si magnifî* que qu'il passa pour une des sept merveilles du monde. Le nom de mausolée, que nous donnons aux monuments de -enre, n'a pas d'autre origine. 8. Ka{, s.-ent. jiéydl tppovw. 9. Sivcrasû , Sinopim. Diogène était de Sinope, ville de Paphlagonie, sur le Pont-Euxin. V. la n. 1 du dialogue y. 10. "Or, moi qui. 11. AuScJv èvÉwv, quelques Lydiens f c.-à-d. une partie de la Lydie. 7. f ;j.v. (ppoveîç, - ? - 8 MÀT2QA02 7, rie, DIALOGUE à/'t'j'j Ta toXXoc t?,; xal fAsva;, y.al sTTc'or.v, ' xal xaXoç r.v, X. •21 Iwv:a; xaTacrpe<poiA£vo; ' -oyiy.v.: èv xapTepoç* to ^£ U.8YMITOV, OTi £v A/V.y-asvacsw" pivYJaa rry.'xaf-'-O:; lyw êrcucEuiEVOV, xàXXûC oux r.y.'z/.ov âc7)GX7)U.6VOV tov eixa<ju.éva>v 4 3 , tuooi tic àv cy^icoc. 6 :'./.), :; TO KXpi>OC- , OIOV OOOï VSttV otxaicoç ortn oùoè outcoç £Ç xaXXurTou to\j Où aoxû -:. «VOpÔV iTTTTtoV XStl Xtôou , VEXp a).//,; tpuTOtc uiva £ttI IVS'.V AIOT. Erl Bafft>£ia or,;, xal t<3 xaKkfii, xat t<5 ty; Bapet toG Tatpou 6 : MA.Y2. AIOT. Nr, Ai 'A A a EXEIVY), O'JTS 7} , to , £7:1 to'Jtoi:. Mauccole x.a>v£ , quts icyùç Iri t, cot aOCOr, TOXpEGTlV. El YOUV Ttva £"Xo{(A£Ôa oixa- GT7,v eùiAOpoiaç Trio»-, oux syto eittew Tivor evexa to cov ' xpaviov 7rpOTurr,Ô£iï] av tou eu.ou' oaAy.xcy vas à'xoco xaï YutiLva* xai touç ôoovTaç qiaouoç irpo(Datvou.ev, xat tov: OaAov/j; â©7)p7itf,£0a, xat Ty; Sîvac 3t7roGe<nixcouis9a Taooç, xat ïfftoç £Î£v 9 oî EmoEixvucdat xat <piXoTt|JL£Î(76at irpàe aÙTOîç 1. MiArîxou, 3i'/m', ville célèbre de contrée de l'Asie Mineure. 2. 'Â/iUcapvatfnp, fl nasse, cade la Carie, et patrie de l'hisd Hérodote. c tj èrr.T/.r ;:ivov Hà£xov le ?.. . qu'aucun autre mort n'en a un gui Z'cen grandeur et en beauté. i. "Itz-ojv xoû àvopwv , et:., géa. êôrf ç*j <5è 5è3 touç E/vouc, PeXtigte, co gène plutôt que Ménippe de confondre l'orgueil de Mausole. Le cynique que la vraie grandeur d'Alexandre n'avait étonné était Dieu propre à rabaisser la fausse grandeur du Carien. Voir la note i du dial. v. • 7. du Oùx ïyui Voir zlr.t'.y. la note 5 vu, p. 16. Voir au sujet de ces idées dial. 8. la. le d, etparticulièrem 5. (èx) Xtèoo. 6. Diogène résume les motifs que croit avoir ^O tk&uteXsTç ÈxEÎvot Xiôot, A.7.txapvaG<j£UGt uiv t»; ouf ti ptEva oixo^opiTipia ie, q©- Mausolede la s'enorgueillir, ur préciser la question , ou pour nner au roi de Carie le moyen de reprendre s'il s'est trompé.' C'est avec raison que Lu rgé b!o- m. note 4 de la p. 14. 9. 'Irco; elsv èt:ioîîxvut6ou -. seraient - c.-à-d. dignes d'être la m tournure française: à montrer. c , m. à à mi ;^p. cela est à voir, 99 dialocll: x. coy opto o n dhroXauetç ocuroQ, tcX^v aâ/./.ov r/xcov àyôo(popeïç MA.T2, oùv *A.vovT|Ta AlOr. O'//. tcorijxoc, or,;, ot; T7)"XtxouTOu; Xtôotç irieC,o[JLevoç. âxeïva rcavra yàp oîpuâçerai, ^aiuoveîv Ôeto ; x.al icoTtiAo; il Û7rèp yr.ç, oiç eo- è> àwYévïîÇ oè xaTaysAacîTa». aÙToû*. - u.àv la.s'Xev • i ttk •-jT^vautôc aÙToG tùv K:il asv cv AMxapvacGbi sca? éauTou uirà 'ApTEiMciar, ~ r ô &s, toQ où va:. MaufTioXoc » y.îavvvx:vo.- ri Taoov wvewatoTaTe" - > vao lhoï toOto p/À Maucow.o: *ai Aiovévr.ç: eçtoci |/£V trrco ei Jtat âoe^ffi^ç ' cwaxTo: r et îcat kutw toutou x.aTa/.sO/jLTTov, 1 , * xaTecxeuacu-evov i o A-.ovfv.-:• t Ttva Taoov eyei, oùx oiàev 2, avopo; i » aovov àè toÎ; âpwtoiç fJebçwîtwç fiiov Kaowv âvo oa7w0^fi>o£CTaTe 5 3 tou cou êatOTepcâ ywpud xarscnteuac-fxsvov. 1. Tr,- fuvaixbç xal 48sXot,ç. Les Cariens permettaient le mariage en- sœur. Diogène avait ordonné qu'on jetât son corps dans un fossé, mais ses amis L'ensevelirent avec honneur. On dressa sur sa tombe une colonne surmontée d'un chien. Il mourut à Corinthe Tan 323 av. J.-C. âgé de 90 tre frère et -2. ans. 4 To": ir.'rTO'.;, o'.'x gens de bien. 4. Bfov 'iîCior/.'o:. Voir la note 3 du dialogue vin. —'ï'vt/.ot^o'- Diogène 1 . ? où& tt;:: Gyr.AOTîç'jv, f/.v73|/.aToç, xai iv co [Jg- compare la hauteur morale de sa vie à la hauteur du monument fané] (u.vy;;xitoç) de Maus'ole. 5. ^Q Kapwv àvosa—ooons": te. pfas senile , c.-à-d. prisabk des Cariens.' La Carie foui, d /e sait ; beaucoup d'esclaves. M quoi Diogène, qui avait été luiesclave à Corinthe, adresse-t-il un reil reproche à Mausole? n'avait été esclave que de corps, dis que Mar.sole. bien que roi, iV été d'esprit et de cœur. I 3. * - :'il DIALOGUE Al vv>ioi ue peut donner \ — v. 1 II. aucune l>onne - r "... - t 1 t. Téba . k. • - . erent \ et 1 ville n perdit . il erra snr U - nt dix ans. Ses eui- - la rai- ts ; . : Il: 1 ment elle le tour- » . ATAM. que lui; forte 1'::. AIWM. . haine contre - K\\ AT KM àlkl À- M DIALOGUE haine est pins lis celle U meule jusque dans les enfers A. I 13 . il aut- - qu'il consul! la •inée. - fable mer l'ombre - irri yjax, dit - ix une ' - tourna d s.» ((M; - -- xi. s . '.) - en fréf l'ani mie au - . sans eombet, car _ le? ment d'une uoW* j* ' iti! _ I for- . do Y T. .:.; ---- ?ion. Les Latins - • •• dis - - 24 AIA2. Nai, raye voxAta, toO à|teiYouç pi 3 «vet|aou" xivouveuovra yfi 9 oucsia s ye o^ca. Kal xaTaxexâçÔat aoiT7)v 6 TOiyapoûv, ArAM. S'jyyvcov.r, li , w TpCdCt G—'pivsv rra pi twv o&x av fruvaipiv TOUTO i3 12 3 6ecov. Nal 5 , âueivwv o-Aa. yswate, t^v Bêriv 7 , xareOcro aÙTa 'jttcg pu v;, 10 . ôç KVTeitonfÔY] pvoç. ou -/.al r.pov exâcTOç to- âXV jeaT£$txa«7£v* où Osai; Tov youv bàuccéa pà oùyi juceïv tâvr totxûra. (tj£(ouv) 'Avrl/.oO. Achille 6. était cousin et kùttî (toi Â&ivâ Ateuo, 2 e p. s. de lïmpér. prés. d'ctlndopuii-îdiuxt. Télamon étant tous 7. d'Eaque. fils 3. 'A{i£tvo'jç,p/us 0£7'.v, la néréide Thitis, mère d'Achille. ôroresetnonpas le 8. cou- 9. rage. 5. Ijretv toc co iroAAajciç eçtaca tôv $puvûv w kyappov, ou^ mcdleurs. Ajax n'estimait que 4. ttoVj élClTaTTOl. d'Ajax, Pelée et deux , OtXflHTtttîÇ. Xéyeiv Ti 1. aAAoi 77a- xaî htçaniGê cou, xai raGra, 7?ap« êircî AIA2. Oi^a iyw ^Ttç 2. oî y] aTgçv, et, avOcco-o; wv, wssyôyj odç7jç, '^oigtou ïwpa-y|wtTOç, ouveueiv êyw ôv aAAa tûv 'O^ucesx, * ûpT; t,v sovopav tôv ottàwv raoaàioMvai, ovvyeveî •/.}//; O'jV. pi yap âyôva, xai Trapc/coor^y.Ts ûttct ovti, (pé'pouca iç tq xolvov AIA2. - 4 6 £è Aialptat)' , ArAM. Aitiô oeov TOittBtà 1 xat ê7rtT7)âetoT£poç 8IÇ10U eivai, 8 XI. ovteç, airekwcaôe tôv kOàuv- tcov DIALOGUE Asov, au lieu de. Te, quoique. 10. 4>spo'J7a....aÙT<£, lesmild' elleconcours , c.-à-d. : s'avisa c O 81 Aaéprou, s. -ont. uîtfc. même au ^puywv, tes Phrygiens. La Troa- de, etc. — de s'appelait aussi petite Phrvgie. Un jour entre autres Ulysse seul au milieu des Troyens qui le prèssaient de toutes parts, allait succomber quand Ajax dit Homère, « accourut, portant son bouclier, sembla, , , j , ' 12. "Hti?. C'est Minerve, qui fit triompher Ulysse. Allusion à ce vers d'Homère na 7.5e; SlTsûwv Sly.aca-. sailIaVXàç 'AO/vn. : , [Odyst. : xi. 546.) ble à une tour , et se tint près d'Ulysse; les Troyens effrayés se disper- 13. Mt, o'j/1....o>/. âfcv 8uva(jjLT)v, je ne pourrais pas ne pas.... Non pos- sèrent ça et sim non. la (Iliade, xi, 485-487). DIALOGUE AiA.voros XII. DIALOGUE iir. XII. Tantale aux enfers se plaint de ne pouvoir pas boire et d'être tourmenté par la soif. Mais comment une ombre pourrait-elle boire, et comment peut-elle éprouver un besoin de ce genre? Les autres ombres ne boivent pas, et elles n'en sont pas plus malades. MENiniIOS KAI TANTAA02'. MEN. Tt v.Aasi.;, w TavTaXs ; r ti heoutom 6ouc7], lin ( tt, Xtu.V7] é<rra>çj TANT. t)Ti, tûMevimte, ccnoXcaXa tnro tou otyouç. BIEN. O&tcaç A ia y€ à ç 'j ç a y. evoç xo D.r, tt TANT. Ovoèv ôçsXoç ccoaa»., irpoaevEYXdti /.al ooepov to YEtXoc. /.al oià Tepacxiov Tt *yàp oê7) [tèv sv Àuota va.TO cj àc, * tto'j •/) ». p to; tû çrcàv ToOmciv: où Teôûcirrai , aùro Hv u.z. va , ty;v YEipa *yàp Bpg^ac où oOavco oùfc oi£' , uejqu. atzc TavraXa. tb , to o&'iroTExai àcJ- SaxTuXaw oiappuèv ~w; ow r, çsuyet vàp eiicê ffûfw £/-•?" ÔXX' sxetvo oitÈP /.al iceiv^v /.al , /.ai ; CToiiaTi tcov r, i 6mxu^at[Ai et ti ihxgyciç v'j//( TANT. Tout yuvr.v 2 auQ&ç rxiroXeticei MEN. p.ot, yc metv, s—'./.'Jya; y.r, éirewàv irpociovra aWir-yJ. Ootoc, OTTO);, wç gcoyoç ei, £-». O'.'vwv.:, y; v. ou|mv Mv- mvoiç; xoXaGir ecti, to oVIt.v uuau 77, v ccoua oôaav. 3IEN. AaXk toOto lÙv cjtoj mcreucottEV, 1. TdtvrorXoç, Tantale, fils de Jupi- régna sur la Lydie ou la Phrygie. Ayant servi aux dieux son fils Pèlops à "manger, il fut préeiDité dans les enfers et condamne au supplice d'une faim et d'une soif éternelles. L'eau d'un lac lui Venait jusqu'au menton, et chaque fois qu'il se penchait pour en boire, cette eau disparaissait sous la terre. D: beaux fruits, tels que des poires, des grenades, des pommes, des ligues et des olives, pendaient au- sttcI wrbç tco chaque fois qu'il étendait la main pour les saisir, le vent les élevait jusqu'aux nues. dessus de sa tète, ter, (Homêr 2. Où , I . çp8àvw Stoppuév et xi. o- -2-593.) &péÇaç à-0Aî'.-:i. xoô A j'aie mouillé... s' écoulant à _int que travers... elle laisse... 3. zl o;, r y-j/r;, toi l'cme,c.-k-<\. mais m. m. nais à toi qui n'es qu'une âme. , 2 plus DIALOGUE 26 oOv av. to ^eivov eVrat; toO itOToS CMwOÔavr.e hài'.y. p.v; £' Ti ofyei xoào^eg&xi. Xllï. OpOco; [ilv Aiyetç' >caraotXYiÇj to iTT'.O-jasTv MEA 7 xt ooîcsiç, axpaTOii vavrtov Totç ûtto tcov Tuovôaç, [7-01 ve ÊÀAefcopoi» ix. , vr, ' ttotoO oeî- tou- A»,a, offTtc àuttgjvtcov xuvôv oéo^vitévoiç 7î£- to Trapoêr.uivoç. Mévwwics, àvatvoâat rrieîv' [LOVOV*. ©appet, co 5 Tai tcov vexpôv eu, ô' oOv [xiâoç 77,; tb; à).v;0to; to uo(i>p, ocAAa Tnv Sitlav o'j MEN. toûto xal TAA'T. Oùàè tov IXXéoopov, YgVOtTO stsoovio'ttov. ar.ôèv oeottevov. , ù TavraÀe, Ar,ccT; ; . ëtç -/.al tt'.sTv ^so\a; oùy ôç(o yàp aXXov p.cTx ; toûtov aoYjv, î OavaTOV évreSôev TANT. r, TavTaAe, coç ovts cpj, àouvarov yap* KaiTOi • xaTaO'////;; ôiytoT- G , outê «Aaoç où irit- 772770;, iofrirga tou uoaroç oùto'jç oùyîhtou.£- VOVTOÇ. AïA.voros ir. DIALOGUE XIII. Certaines cens dans l'antiquité se tuaient pour se soustraire à la monotonie de l'existence, comme s'ils ne devaient pas rencontrer dans les enfers une monotonie plus grande encore. Ce sont eu\ que raille Lucien dans la personne de Chiron. MENinnos kai BIEN. Hx.ouffa, (ô Xciccov, xeip^>; \ co; Ôeo; tov £7wiôup.-/î<72uz; GMroÔaveîv. ^.Q^ bien certainement. à/.r.OÔj:, 2. EA7»s6o'poy. VéUébore, plante à laquelle les anciens attribuaient la \ertu de guérir la folie. Elle croissait ' d'Anticyre , ville de de Corinthe. aux environs Phocide, sur le golfe 3. "077'.:. toi 4. révoixo p.o'. u-dvov, puissê-je seulement eu a<: 5. Construisez tcov ^v/.z,îot avec à/./.o:. 6. Ov è/. za:r//.ï,: o.yw-:, condamnés à avoir soif. 7. Xsbxàv, Chiron, fils de Saturne, moitié dieu et moitié cheval. Savant dans tous les arts, il futle précepteur d"une foule de héros, tels que Pelée, ne son£ pas La Fable ra conte qu'il mourut pour s'être blessé avec l'une des llèchcs empoisonnées d'Hercule. C'est donc assez gratuitement que Lucien le représente comme ayant mis volontairement un terme à son existence. Achille, Hippolyte, etc. DIALOGUE XEIP. tout' {xouottç, AV/)Ôyi wç ôpa;, efôavaTOç MEN. ifroii XEIP. Oux, ÇcovTa opav to y,v to yàp Méviinre cà ài&oov Xaiwv tcov flWTaî, Oavâroo eowç eayev, àvepaGTOJ TOÎç to'j iqyoD[iai elvat d[JW)iwv , 7i"Xiou, cpcoToç 3 axoXouôouvTa SaTSpov 6aT£pw OO yap TO TSpTJVOV oO 6 Xeyetç, XEIP. Oux eivai, 7i fléei*, 7rpoeVj|i.£voç o7}[/.otixov 8 àXXà aÙTa ù rôioôç, Iv hxoto) • "Opa, Ojx.:. ër., les eÇTfe Y$Ù • tcoi/.i).ov âel, ti xai «bre- wpai oè ai al Sxocgtov &v£irX7]<rôr,v • £v 2 &<nrep , youv kùtwv. 5 , o),;co aoou Si 7rc5<; ; tj yàp tôOTi[ua Sujrîiv, twcvj ev ocot! bxncep ava>, GCTcAcT; TOUTtoV àîTaVTOJV i ©épeiç, 7 aA/\w;TS 9 QÙaè £<7Lt£V. xai Èç 10 . i comme oùxén. uns aux autres. On peut rapprocher de ce passade les paroles suivantes de Sénèque : « Quoi toujours les mêmes choses? se réveiller, avoir faim, se rassasier, avoir froid, avoir chaud? Bref, toutes les choses du monde n'ont point de fin: elles se fuient, elles se suivent, et sont liées les unes aux autres par un enchaînement qui recommence sans cesse. La nuit chasse le jour, puis le jour chasse la nuit; l'été se ! Tpoor,; , MévtTnre' 2. ('Hv) éÇ^ç Sxaorov... Bdrspov BaTépto, se succédaient à la file connue 3. eyioye Xsipcov, uw) ïteaiîhiicrïiç <7£ai>TÔ>, à) * enchaînés l ; x.al £v to> u.eTCKï£eîv viîtgiç to aùrd coi 6 Xovoç WepMJTTJ 1. cpcoç tioii Xsipcov Ta to 0OT£ 77£LVYV 06t, gÊaV MEN. £71 Y,V zal to 7Tpàyp.a ou^ev éy st to oV/'oopov, , /.al OÙX 7,7. MEN. EO à<p aÙTâ iv tco * iyù &£ sÇuv * Ta ywvo|/.sva arravTa "/.al OVTa àôavacia;. MEN. Oùy oùy xal TeSv/pta, Msviinre "EpCO TTpOÇ G£ OÔX aCUVÊTOV cbco^otueiv tt;; y.al w eivai duvap.evoç. Tiç &£ ce XEIP. 27 XIII. termine dans l'automne, l'automne finit dans l'hiver, et l'hiver dans le printemps. Tout passe pour revenir après.» (Sénèq. Epit. àLucil. xxiv.) 4. Ev T(j> auTtp àet, dans le même toujours, c.-k-d. dans l'uniformité. 5. 'EvtÛ) u.-:TaT/îIv, dans le changer, c.-à-d. dans la' variété. 6. 'A<p' ou (/pû'vo'j), depuis que. 7. "Hxsiç, présent ayant le sens d'un passé. 8. Construisez yàp r, toonjiCa : (à'T\ -pàvaa; nàvu ÔTrjitOTixdv. 9. "ÀaAoj; it, surtout. 10. Eç t5 aùrd aoi 6 Ao'yoç weptor^, DIALOGUE 2* XE1P. îlcoç toutjb BIEN. OtI, 'fqç TWV El pyevCTQ coi irpotâtopèç ; £v TCO 1 , XIV. pLCt) TO OJJ.OIOV £t\ Y.*'. Ta'JTOV xai ivraOôa oftota ovra rpocxopTJ ôu.oia>c Sw vêvoito, >cal oeriaei iieTaboV/jv ufiTeîv riva icai <7s évreGÔcM iç zXXov ptav, orcep, o .y.ai, aouvaioy. ; XEIP. Ti o^v av TraOoi BIEN. O-cp, oiuLai, 2 t-.ç , w MévtTnre ; gai (paci, cjvstqv ovra cepéaxEaOai xai oYOTuâv toi: juapouai, xal u.7)oàv aÙTcov àoocr.Tov oïe- trÔat. AIAAOrOI LA'. — DIALOGUE XIV. Alexandre n'était donc ni fils de Jupiter, ni dieu, puisqu'il est mort; et quant aux biens dans lesquels il se complaisait, leur néant prouve que ce n'étaient pas de vrais biens. tfOTCNHS KAI A.AEEANAP02 AIOT. Ti touto, w A^içav^ce; T.i p x.y.'. y.v.s?: elvai 'j'.ov AAEE. Aïoyeveç ou rozpxdo;ov &è • ; cù oè *\ul'/,ojv 4 &c- et, avOpto- Id/euàeTO, aeywv Iccutou es $iXiin?0O àpa ïjoOa; S>iXwnvOU Suta^ij que ton raisonnement ne se retrouve au -. o.-à-d. que tu ne fo cercle vicieux vicieux. Un cercle un dont la concluraisonnement un est départ. Ainsi de point au revient sion combattre l'uniprétend Cliiron, qui formité, en fait l'apologie sans le savoir. Spotov xat -cô r èv tw i>itç> [icpayjtdTWv) taùrôv TÔr/ Construisez: El ~y.z opeç. bféyexà sot '2. T( ouv à', irai 01 t.ç. m. k m. ^ue sentirait quelqu'un ? c.-k-d. gue penser don TÉOvr.x.aç xal cj, ôjv, KTûéÔavov. AIOT. Ojxoûv 1. . airavreç; AAEE. Opâç, à •7:0; 3 ? 3. 'ÂXi£<r/8poç,AZear«idrele Grand, où *yà: av èreGvTjxetv, A[/.u.(«>voç fils de Philippe et d*01ympias, roi de Macédoine, naquit l'an 356 av. J.-C. Il succéda à son père en 336, battit Darius roi des Perses au Granique, 334, à Issus, 333, à Arbelles, 331, et s'empara de ses Etats. Il poi jusqu'àllndeoù il vainquit Porus,326, et mourut à Babylone, en revenant sur ses pas, 323. y 4. nom A;J.;j.cov . Ammon ou Hammon, de'j'upiter chez les peuples de Libye. Alexandre, après la fondation d'Alexandrie en Egypte, 331, alla consulter l'oracle de"ce dieu, dont il se fit proclamer le fils. DIALOGUE 6JV. NGV OGCO <^£ BXeyov epTJTat aÙTÔv ovx i|»euooç AAEH. W.( 71 ^i/.x.a 7. Q T« TTcây 7.7.77. èv£V6TO y 7, V >'- Atoveveç 7 7 A S Xo ITTttÇ Oùjc Qi&a, 772 ol 7.'j77,: 5 7. o> 4 , 7) w ayo'/jaTav uot, TTOA^Ol ' itoïggov, 8cov eivai tô vou.u,ovt£ç. A-ràp TOT DtU 77. V AU.U.(t>VlO)V 77ÛO- . TCOOÇ , 3; Oi TCOV '!>*". l Aior, A/.V/ to Ç7.vOGc OUoèv OT'. XIV. êitîs u.01 yàf !\"> £- Û7TÊ- tivi rr,v , J Atoveveç • où yàp e<p9aca '' ImcxTr II c> va).à;, co TOUTO ULOVOV, OTt 777o0w{tX.(OV 7ov o^axTùT.tov &î?&oco/ta. 117.7, v <xk~kk -ri ; AIOT. Ti vào xXXo, ac7î. c= 7-.y.ziù:r/y'j-y. -};j drar/iv aipou[/.£voi evtoiftè xaiTOÎÎg , âveu.v7ÎcÔY|N o .7. ; 7, ëtcoiei âpynv fcoXasteuovTSÇ 6 , xat G7C777,yov s—l 700; E7,7.7' 7, x.7.1 ttcq- (îapoapo'jç, awoejcaGsotç 7 rçpocroOévTeç, xaî vecoç oùco- oou.ouu.svoi, &al 6ôovteç. aaa' i\t,î fx.ot, icou es oï Maxeoovgî Kïaijtotv; v AAEH. E7i iv B7?o)vCovi 8 XEiaat toityiv TÔuipav Tau. 1. Lucien suppose à tort qu'Alexan- dre était ladupe desprètresd'Ammon. st au contraire par son ordre que ceux-ci le déclarèrent fils mourut sans avoir eu blir le loisir d'éta- solidement ses affaires... » (Disc, sur l'Hist. univers. de Jupi- Part. III, v.) 5. Il£pS(xxa,Perdtccas, l'un des pins ter. 2. Alexandre se fit passer pour un dieu moins par vanité que par politique. 11 suivait en cela l'exemple de son père Philippe qui plaça sa statue parmi celles des douze grands dieux. Plus tard César et Auguste firent remonter leur origine jusqu'à Jupiter, aïeul d'Enée, dont ils se disaient descendus. 3. . Où yàp I;6a7x ïr^zv'r^jii v. n'aipas eu le temps de prendre des mesures à ce sujet. V. la note 2 du Dial. xn. 4. Bossuet dit aussi « A l'âge de trente-trois ans, au milieu des plus vastes desseins qu'un homme eût jamais conçus, et avec les plus justes espérances d'un heureux succès, il r.zp\ aÔTTiç, car je : habiles généraux d'Alexandre. En lui remettant son anneau, ce prince semblait le désigner pour son successeur. 6. KoXaxe'jovceç... ahovj.r.'oi.Ces Eàat.veç pluriels se rapportent à contenu dansTïAAdç On dit de même en latin: Magna pars vulnerati aut occisi (Sali.); et en français Un bon ' . : nombre furent tués ou blessés. 7. Toùç 8u>5sxct Ôîo'jç, les douze grands dieux. C'étaient Jupiter, Neptune, Mars, Mercure, Vulcain, Apollon, Vesta, Junon, Cérès, Diane, Vénus et Minerve. Yoy. la note 2 de ce Dialogue. Ba6uXwvi, Babylone, capitale tle Babylonie, puis du vaste royaume Assyrie. Alexandre voulait en fa 8. la 1. DIALOGUE 30 { T'y ' 2 ûmcrjfveÎTai de TLxdke^JzXoç 6 ÛTCacTCtCT^ç, r rj):r;» àrro tcov ftopobaiv tojv £V TTOGlV 3 yj , r-y.'-r -T'yv ijraya'YMV VjTTTÎcoV Aior. AI/; Il).7,v oùvàp Seulic ' wCkaxnùf ccXX* À.)i^avîps, ôpoov oo TaOrà çuXoocaÇj tov, x.al icas tcots ÀlYU- eç elç tcov at- a «yevÉ- cAttiV/-,;* l///j 7cape>.6dvTwv ~w; <rou, tmvXi- 8 où vàp • ©epétç, ôfroTûw èvvovi- aTTOAiTTcov wptcat, eT&>u.aTo- vtîç x.al &ira<nci<TTàç, jcat caTGa—aç, xaiypucov TOèoG- irpocxuvoûvTa , xal Bxow.wvx, Ta LLEYaXa O/pia 10 , 6 Ocipiv r, Kipospoç EÙxaTa<pooVïjTOç. Exeîvq Euoaiuoviav Ottco 6ÔV7] 5 tcov airaç oiair^EUTavtcûv to Eiaw tou trroiMou Ataîcoç, oùo koqu en x.al &v ùQeioTars, [asv, oe ve iQoeiwç xv [/.aôotuu irapà f77îc ocr/)V jIvouoiv ii.-i'f-fsr.v. kvs^eîv Ttva >taî èç ù.'jS):}^ ô wç yEvoipîV , r'v OsOJV. cOat; v.vr.v Ixeî Ôa<|/Eiv y.3, uuopaivovTa , xai C£ XIV. x.al Ttjr/jVjXaioo^av, )tal BstXTpa®, >caiTO£7tt<77jfJiQV eivat EÇs^auvovTa otaoeoeuivov xatvia àeuxtj r/jv XEcpaÀTjv* de son empire. Il y mourut, empoisonné, dit-on. 1. TpfrtTiv Y,(jiépav taùniv, voilà 6. "Offipiv, la capitale ou Osiris, le 7. A{{ivt)v, capitaines et des gardes d'Alexandre. Il devint roi d'Egypte, où il fonda une dynastie, qui dura près de 300 même de Cocyti tristique , 'Avouwv, Anubis, dieu égyptien, représentait avec un corps d'homme et une tête de chien: d'où l'épithète de latralor, que lui donne 5. qu'on Virgile. Alligat <:u)v (côVj.a, corps). : Q1105 circumliinus niger, ettlcforniis r a lus î 2ns. (ôvtiov) èv îtoct(v, m. a m. des troubles étant dans les pieds, devant h s pieds, c.-k-d. des troubles qui rembarrassent maintenant. 4. fiivr.v èxe"-. Alexandre , deux ans après sa mort , fut transporté à Alexandrie, capitale de l'Egypte. Son corps fut déposé dans un cercueil d'or massif, yu temple appelé Soina Soleil, lac, c.-à-d. le Styx. le 8. Virgile a dit 2. IlToXe|i.aIoç, Violentée, l'un des Tojv 0opu6b>v , l'une des plus grandes divinités égyptiennes. aujourd'hui trois jours que 3. 1 et , novics {Georgiq. 1. [arnndo oa L 5 [un dn 1 1 1 - : î I i Styx in ter fusa [exerce t. IV, v. -578-481.) 9. Bâxxpa, Bactres, capitale de la Bactriane, province de Perse. 1 0. Ta u.";x/.a OtipCa, les lions, les éléphants. 11. Ai<x8e5suivov (xaxît) xtjv xs<pa>.y,v ta. via \zj/.r m. à m. cem* (selon) t , la tête d'une bandelette blanche, c.-à-d. le front ceint d'une bandelette blanche les rois d'Orient). La même (comme tournure existe en latin Vittis et : sacra reAïmitus (Yirg. Mn. tempora ^Uuro. I. iv, v.81.1 DIALOGUE iroc t7jv ce Q u.wîu.7)V coyô; 'A.ptTTOTéÀ7;ç 77. 777.: a Tr : 70/7,; AAKZ. O t .7 jy.cv ïovTa; Tt - wv 7,7773 £77a:/)£oo-£ rai/Ta Aurret Ù oaxpuëtç, 2 31 •j.y-y.z Quoi ; tauTa OieaOat [îcoa-.a eîvai, y//, coepoç 3 àTravT&w ixeîvoç xoAaxav È7rtTpwrr<>4 iacov ri Ta Asio"707£Aoo: 6toÉvat,' Ô77. • oia èè èir>eTiAev 777.0' èp-où, • wç oè >caTevp^To ttOU, 77, 773 cl TTaiOciav OlAOTlV.ia ScOTCSUCOV, X7.1 STRXIVÔV, |jiv 3; Ta; to y.a/.Ao:, touto [tlpoç ov Tavaôou, o>; /.al XeXauxa aÙTOU 77; ctvaÔoTç, " *' èxeivoiç èç à xaT7]piôtx.7)<7<d Ltixpto V A.àa' oicOa k k ôpaceiç ; » co; stt! [/.«Ytaxoi; ve eu/rcpocrôev. ' a/.o; ù à/.Aa toûto ve 7.770- T1).7,v 70 AuTretaôai, co<ptaç, i éiroOiiaouat. apn aicr^uvoiTO xat outoç Xau.6av«v. roV,;, ov/; AïoyeveÇj avÔp&ncoç xat tc^vittiç 5 . AlOr. KÛTl tov 7TA<>ûtov' x.alyàp au xaï 77.07' àyaOov 77ca.;£i; /.a! TÔyeiT' Bivat, co; ',-, es ; 'Eu.s ixovov ! Où '. sa77S77oc777,v.c'vov y. XIV. i k y as 1 coi 77,; A0777; Eireï ev7ao0a ye EAAioopoç où (puerai, cô £è xav 70 A7O7; uocooyav^ov èm<nca<7au,£Vôç irte* xai 77oXXaxic. Oô'tco vàp àv 7?au<7ato 70?; A.piGTOT£Xour àyaOoiç àvicoasvo; 6 1. m. à IIpf<pup(Sa m. agrafé Kal yàp xat KàsÎtqv . £;i-î-op-T,;j.£vov , manteau de reoètu d'un manteau (selon) un pourpre, i.-à-d. de pourpre attaché avec d /Vs. 2. 'ApupcotéXT,*;, Aristote, Van des plus grands philosophes grecs. Il naquit k Stagire en Macédoine, l'an 384 av. l'âge de scii J.-C. el mourut en 3-22. à 02 ans. Philippe, admirant sa honorant son caractère, lui confia l'éducation de son fils. 3. '0 co'jo'ç... sage! lui qui était... Eus i&ovov ëasov xà 'ApKTTO4. téXooç elSévai, m. à m. iaisse-mot i savot'r /es c/toses èict d'Amfote, c.-à-d. n'exige pas gwe je t'apprenne ce qu'était Aristote. 0. Lucien fait dire à Alexandre des choses que ce prince n'a jamais dites j 7 xaï oùôtçirte, sxsivov ôoeo, xaï ni pensées. Aristote ne mérite aucun de ces reproches; et les calomni dont Lucien l'accable ne font de tort qu'à leur auteur. 6. O0tg> yàp àv TcacjQaaâ... ivuô[xevo:, m. à m. car ainsi tu cesserais peut-être t'affligeant, c.-à-d. de f af- fliger. 7. KXéÎTov, Clitus, général macédonien. Il sauva la vie à Alexandre au passage du Granique, 33 4; mais il eut l'imprudence dans un festin de rabaisser les exploits de ce prince et d'exalter Philippe outre mesure. Alexandre, ivre de vin et de colère, le tua de sa propre main; puis, revenu à lui, le pleura amèrement et lui lit faire des funérailles magnifiques, oïl. DIALOGUE XV. 32 K-aXXtcÔévïi 1 , xmaXkoMç ttoa/.vj;- enracatvro, xai ajxuvatvTo ce ALAAOFOS IE'. ijsi ai ôptjiôvTaç, biço&a- wv 3 lepaoraeaÙTOuç. Qgtetyim — DIALOGUE XV. Alexandre prétend l'emporter en mérite sur Annibal. Tous les deux exposent leurs belles actions et plaident leur cause devant le tribunal de Minos, qui adjuge la première place à Alexandre, la seconde à Scipion et la troisième à Annibal \ AAEIAA'APOS, AAEZ. ANa 7 ai 7 rr:ox.2x,sicr0ai E'j.z AAecavopoç Nv] kwiêaç f/.èv, syùàè, neveu et disciple d'Aristote. Ce philosophe, ayant refusé d'adorer Alexandre, fut impliqué dans la conspiration du jeune Hermolaùs, tramée contre la vie du roi. Alexandre le fit enfermer dans une cage de fer et porter ainsi à la suite de l'année, 327. Kal iXXo'-K / Qv ISpauaç, pour àvd ; • à/J.y. —s pi tivo; vào outoç àaî-'vwv Y£'Yev7i- wcjttsg aicavteç tcactv, oùy ï , plaçait lui-même, déclarant de tous les généraux s'il avait vaincu Scipion. 6. "O A.6j, ô Africain. Les anciens appelaient Libye l'Afrique en général ; ils appelaient Afrique la province où était située Carthage. 7. 'A/./. t'A Set irpoxexpfoOoa :o'j). c 8. O (olôç] $&fcitotf. il se qu'il se mettrait au-dessus i toû- à topa-jà;, des choses que tu leur as fait souffrir. Èyco 5è, 'Etéct; (ôSôv) |ktôtÇe. On dit de même en latin ire viam. 5. Au dire d'un ancien historien romain, nommé Claudius cité par Tite Live (liv. xxxv, c. 14), Annihal donnait le premier rang à Alexandre, et le second à Pyrrhus, après lequel lexandre. > Kapyr^ov-o:* 4. : -o/./.oôr, et beau- coup d'autres, comme Parménion et son fils Philotas, qui périrent tous les deux victimes de la jalousie d"A- TU tzoetvcùv . Tupoeopiaç* owict 1. K-a/.A'.rOivr,, Caïlisthéne, T 6 Aia, Êvooqoi vs ày/vOTcGoi ciÔai GTpaT7ivoi; £[/.ou 3. * serré; $iÀnrarou o AAEZ. nsc. 2. A'.S'j co OÙîcouv o Alivco; oix^GaTO). MIN. Ttveçâ' AAEZ. Ojto; . trou, . Ouu.6vouv, ocàX êui 7 . . AAEZ. AIlA7 M1NQ2 KAI iKHniQ>'. A?Ï>~IEA.S, 1 j j , DIALOGUE IV. toutou llovov, <xXkk ItCCVTftiV veyy-stv ! Oùjcouv " ilv éÀAaoa 6V£YxaiTÔ çcov/jv 4 to , È^eaaôov eç [xr/^èv àoy?,; 7 wv tco 11 £rcotr,(ja aoe^cpâ) , >tai ToaatfTaç iraXsic iTa^iav i^etpûNTafttiv, xaî Triç irpoùvo'JC7iç 13 , icoXewç 12 5à0ov *7j{û SievEYXslv (xarefc) toc tio}>é;r.a Ipya). Voy. pour cette tournure la note 1 de la page 30. 2. £ù ol... o A(6uç, foi l'Africain. 3. "Ev [ièv TOÛTO... tàvd^LÏJV 8xi ïzi[x:^o'j, j'ai du moins Ivraûfa gagné ceci (à être Africain) que j'ai appris là (dans ce pays) < 5. 'E; ipy/r,-:, • (Jt-é^pi , y.i- Ta u£- ve. dans Ze principe. icepi&xÀÀ<?U£VOi, sV7«»f entourés, ou environnés de puissance. 7. Ap/r,; est pris ici dans le sens de commandement. 8. Tô) iSeXcîp. Il ne s'agit pas ici d'Asdru'bal , fus d'Amilcar et frère d'Annibal, mais d'un autre Asdrubal, qui avait épousé la sœur du héros carthaginois et se trouvait ainsi son beau-frère. Annibal servit trois ans sous ses ordres. 9. Asdrubal étant mort assassiné, , xai ttjv tôv TCpoa<miMv xal togoutouç dhcsxTeiva 14 waT£ toÙç îaxTuAiouç aùrâv 1. Auvau.iv xaî «rapêàç, Ta irepiTÔv Hptoavov xicavra xaTÉ- opau.ov, xaï âvaoraTOuç p.ià; ^u.£paç 9 9, xatTOuçyeKeVrtoTipaç raAaTcov êxpaT7i<7a tûv âciceptwv eÎAov, xai 6 Eyco yoûv, u*T oAiyojv 6Çopu.vîcaç . yiGT<i>v r.v-coOr.v, apiGTOç îcpt,8etç 6. :?6piba'XXoj£evoi loTjptav, to 77GÛTOV urr/pyo; 4. "Oorot, èicaivou àçtooç oaco; èVt |**ya ovreç, outûv ouvau.iv ts a£tot ^o;avT£; âpyv;; ireiiVTiv oc Rp&To^ oùoè tout/] TCXéav o-jtoç <5<jTfi touto^ pux^wrca àè <l>r.al irpoeyaipTiffav, ^i' yaXaopv) c*j mèv touto 8 , uBl(vu;, wvajxr.v, oTtâvraOôaxas u-ou. elvai, ogoi èj ttjv éxaTeooç EinraTct tiipci Aeye. ANN. Ev tt;v lu/SJ yr.u.i <H£- Ta iteAé[ua. MIN. o Aiouç G^COOV TttVITpO pt.eotp.voic xiuo- Ànnibal fut proclamé général par les soldats d'une voix unanime. 11 avait 25 ans. 10. raA7.Ttov...Tiov l<nzzp((ùy, les Gaulois occidentaux, pour les distinguer des Gaulois orientaux, ou d'Asie, connus sous le nom de Galates. 11. Ta txr/dXa ôpr,. Ce sont les Alpes. Les anciens n'étaient pas d'accord sur l'endroit où Annibal effectua son passage. Il parait certain aujourd'hui que"ce fut au Mont-Cenis. 1-2. T?,- -poj/oJsr^TOAEco;. Il désigne ainsi Rome. 13. Cette journée est la journée de Les Romains Cannes 216 v perdirent soixante-dix. mille soldats, le consul Paul-Emile, deux , av. J.-C. questeurs, quatre-vingts sénateurs vingt et un tribuns légionnaires et une fouîe de chevaliers. Annibal ne perdit que cinq mille cinq cents hommes. 14. Tous fcxxrjXfouç aÙTÛv. L'an DIALOGUE XV. 34 y.îTzr.w., xal touç woT«|jto'jç ye^opwcat vexpotç. TuavTa £7r::/.;a, o-jtî "Aayxovo: uwç d /opta^o«.£VOç, i Éivan ïTp6clc^io'5|Àevoç, T7jyOÎÇ Te TOIÇ à).)/ avOperfrojç glvai CUVÊTWTaTOtÇ J Ttvx , xaTayeimCjOpievoç âvTe$6Ta^OW.€VOÇ, XaC G7C7.• CnrcxpéuyovTacç , xat tco ToX[AiQcavTi 7rapaotoovraç où Mvj&XJÇ sùO'j; êçérsive, ypr.ay'y.evo; O'jv svixtjg-ê Ts tt;v vixtiv. i)uÇi)éi 4 êv 'Iggco T£ xai ÀpoYJÀo»,; ixpaTYjffev, àTroTTàçTwvTraTpwcov sç éauTov, xat Ep.tat<pov£t &iatTOV 7 s'v um&xqv T7)V (TTOAm • xat, i-B'Àr, 7roofj- aeT£&i7fnî<>ev lie ï<njç 8 Tffëïra- c-'-TT/.suaavTcov TÎj Aibu7j, Tayéco; u7njxouca, xal neau était une des marques distincdu chevalier romain. Avec les anneaux des chevaliers restés sur Dessus, satrape de Bactriane. Ce prince, qir Annibal traite si durement, n'entendait pas, il est vrai, l'art de la guerre , mais il avait d'autres qua- champ de bataille Annibal put remplir trois boisseaux qu'il envova à Carthage. Le boisseau romain valait à peu près cinquante-deux litres, ou 4 de nos boisseaux. 1. ExpaTijYoTç.,. toiç suveTto-âto:ç. Annibal exagère. Ni Seiapronius qu'il battit à ta Trébie, 218, ni Flaminius qu'il battit à Trasimène, 217, ni Varron qu'il battit à Cannes n'étaient d'habiles généraux. Mais les bons généraux romains, tels que Marcellus, Fabius et Scipion, le tinrent eu échec ou le vainquirent. 2. Construisez : r.yi-j T.va Sitôxeiv le "OXsOpov, pour d/iGp'.ov, lités, et AapeTov, Darius III Codoman mérita d'être pleuré par 5. 'I77ô>, Issus, ville de Cilicie sur le bord de la mer; 'Ap6r;Xo'.:, Ar- Voy. sur ces note 3 de la page 28. bdles, ville d'Assyrie. batailles, la 6. Tcov (mœurs) de Tzar ptfriùv (è6côv), des ses pères, de ses ancêtres. Allusion au meurtre de Clitus. la note 3 de la p. 28. 8. Allusion au meurtre de Parménion, et au supplice de Philotas.Voy. la note 2 de la p. 32. 9. '£-' '-'rr,:, œquo jure, en demeurant l'égal de mes concitoyens. 10. Le sénat romain avait envoyé Scipion en Afrique avec une flotte et une armée considérables, pour forcer les Carthaginois à rappeler Annibal d Italie, où il se maintenait depuis 7. Voy. le , dernier roi de Perse. 11 monta sur le trône en 335 et périten 331, après la bataille d'Arbeïles, assassiné par il Alexandre. substantif mis pour l'adjectif. 4. , ^cTctts^-cto, tcov ttoXsjxlcov [AsyaXco tives 3. 6 5 toîç Gvp.7ro<Jtotç touç çcXouç x.al t?JV£Xap6avev 8 èVt ÔavaTw. Eyco £è r,p;a Tpwoç xai 77; ty;; T'jyjr.ç 6p|L7i. 'EttcIc^' xat TovoXeOpov 3 sxeîvov Aapeîov xuvetaOat îqÇiou, xai Xflfl &u6xsiv tcoiv iXéÇavopoç oè, -aTccoav apjr^v TrapaXaê&v, TTapy.rroA'j G'jts Gso; oaoAoycov, èrpa- TitoTa»; toi; [£<Z£tp*TaTOtç topwrXçxo|*evoç Apfxevtou; KalraOra j dix-sept ans DIALOGUE XV *at xaToottaoôelç, TÎvevxa c>- ïdi«T7)v ÈuiauTov irapéff^ov to irpavfJWt. Kat t7.jt yvo)[jlov(j)ç Kiraioeuroç icaioeittç W77T6P O'JTOC 2 , paJ/wdôv 3 , iraweuSelç, ptovn oè 77, û~' o'jt; y. , wv ApwTOTeXei :w xjjt.eiva»v or, al ; ïtaî by.rcov', ai outc goq>ictyj Taurx àyaO?, ^prjffaptEVOÇ. ©uejet à èyw A/.;;avôp'yj èVriv É'-oa^a (Japbaooç saAï.vix-?,; v?,ç 35 El è éVri eivat. xaXXta>v O'jtocI, thort ^laoyjtwtTt ty,v xeoa'Xy,v dteosoero Maxeoodt Ltèv rauta ni'rrl' icrwç gai otj ow pw^i toOtq. àaôivo)v £o£etsv àv vewaiou y.al ffrpaTYiyocoO avopoç, yvco^.r, 5 MIN. O eixoç r,v tu//, itXebv ïhrep t?, G , AAEE. [asv etp7)xev ttèv, 77, /.svpvjulc'vo'j. oux àycvvr, tov Vjyov, oùàs wçÀiouv uirèp aÛToO. l'j &è, Eyoviv , w AXé^avope, ts w Mtvwç, p.r.oèv'' itpoç ôpacuv* ucav^- vàp ^ o/ar, oioaÇat ce oioç itpoç rauTa avopaoCTG) ptèv àyco ;3a- ciXeoç, oloç oè oOtoç 7.7,777.; IvévsTO" oy.to; Oc opa eixxt ÔAiyov aùroG oiviveyxg, 6:, icpaypwtTa, îtas 7v;v 11 Homère. Sur Homère, teur passionné d'Homère. Il portait toujours ses œuvre? avec lui dans un riche coffret. Il savait par cœur 17liafa et une partie de 10 lyss 3. Paywocov, chantant à la manière rhapsodes, dédamant. Les rhatdes étaient des chanteurs ambulants qui faisaient profession de réciter en public des passages d Homère, d'Hésiode, etc. TxjTà choses è-7-.v (jercà) a... voilà les selon lesquelles, e.-à-d. voilà en quoi 5. Tfj yvcôur,, son génie. 6. Construisez : oJ:s i'o; r.xo; rjv A(6yv fèpstv). cov £Ti u.c77,/.0ov, v. les notes 1, 2, 4, 5, 6, du Dial. n. 2. Alexandre était un admira- 4. 9 ~y.zùJ]0)V i~\ ~v. ? àpyr.v TSTapxy|Asvïjv Toùc œoveae toO TCarpoç 1. "0«jL7ipov, vî'o; y.a7£77ov. zaï ' x-àTa 12 , ©oovîcaç t/.v 7.ÀprèsjxT,Ô€v sous-entendez i-;xpCvadBxL, ou cpâvai. 8. Construisez: ras y, '-f/;j.r, ::- t:v) IxavTj O'.oaçai as... 9. Néoçôv §xi. Alexandre m sur le trône à 20 ans. 10. Ty.v àv/Y,v TâTapaypivTrp dedans de son royaume, il eut à comprimer des dissensions ; au dehors, il dut étouffer, par de promptes mesures, une révolte presque gé de la Grèce, et soumettre les Thraces, les Triballes et les Illyriens. 11. Toi»; oovéaç«BOÛ icoxpoç. Phi- avait "été assassiné par noble macédonien, nommé Par. auquel il avait refusé justice peu temps auparavant. 12. Ki-7., pour xr. sl-ra. lippe un DIALOGUE XV. 3G EXkoLôa Gr.oa-.tov t-?; pOTov/jÔelç, oùx àya-àv xpyeiv s-'.v^ça; q^udGa, ôttoccov pïv, Tr,v à^u/sia 2 tt;v 1 GToaTY/yoç ùtc aùrûv yei- , Maxsàovcov àcyr.v ô jraTTjp xaTeXiirev deivov r.yr.caasvo; x.al xpatifcraip, oXiyouç 3 ayojv, ÊGÉêaXûv , Et tm i; ttsciéttcov, a)», -àcav «.vj âTCOVTfcW 'Aciav xal rpavixô 4 £xpaTr,Ga aeyaAv; uAyr^ xal Tr.v Au$iav labwv, xat [wvtaVjXat $puytav xal ô').w; Ta &> îtogiv 6 T£ s-'. 9 fltfl/eipoupvoç, y.aOov ptupiaoaç rcoAAaç crpaxoS Ivy.'. XfO'jç aycov. ujasiç 1772 qeou; 'julv ve- y.y~i-iy.iy.. $1}S( yoOv 6 -op'Oy-S'j; u.iy.z r/J.izy.; ÈtïÎ 7 ù Mtvwç, to qhtq toutou, ÊvÔa Aapsto£ 6 ûrapwive, Ïggov, irrl ôtapxeGat aÙToîç 7073 70 Gxacpoç, à/.Aa cveo*îaç àiarry;- y.r, aÙ7wv cay.sVyj; Toùç ttoaaov: tka-nr^eucai. Rai Taûra àti- 77Çy.770V Dtt»T0Ç 7TpOXtWUV£UO) V 9, XOtl TlTOtôGXSGÛâtl ° à£'.ÛV. ' Rai iva coi y.r, Ta G&>p.ai, ctÀÀa jcal sv Tuow n [J-i'/' : 1. Tf, 0r,Ca{(ov obrariLeta. ^ ivoôv Sur un faux bruit de la mort d'Alexandre, Thèbess'étaiî révoltée pour la seconde fois. Alexandre accourt, bat les Thébains, s'empare de leur ville, et la rase complètement, ne laissant debout que la maison de Pindare, l'un de ses poètes favoris, 335. 2. 'Ayantâv fipy_s*.v tôotov ottot:'. 6 xaxéXiîtcV. 3. 'O/iyo-jr &vû>v. Alexandre partit ~-j.-.';z, r sa grande expédition avec trente Ue fantassins et quatre mille cinq 's 4. cavaliers. Fpavixqt , h Gramque, petit fleuve de la Troade. Alexandre força le passage de ce fleuve à la tête de sa cavalerie. C'est dans ce combat Clitus lui sauva la vie. O. 6. en Ta cm' était /^cds, devant moi. EvBa Âaceloc ùxqiEive. Darius int combattre en personne à Issus. 7. H'jpidoiç -O/./.a: trcp:*Toû. -, In Da- selon Diodore de Sicile, éUiit à iv 'a cor. av.; y.aOov, xai tov 12 tur/p?- hxéavov tête de quatre cent mille ô'pov hommes d'infanterie et de cent mille chevaux. Amen, Selofl son armée montait à six cent mille combattants. 8. "Osouç..: vêxpoOç. Plus de cent mille Perses restèrent sur le champ de bataille. A 9. Issus, Alexandre chargea les Perses à la tête de son aile droi 10. Il fut blessé à la cuisse dans cetîe bataille. 11. Ta sv Tûpta. Tyr, colonie nicienne, métropole de Cartbage, l'une des villes les plus commerçantes et les plus fortes de l'antiquité. Pour la prendre, Alexandre fut forcé de , combler avec une digue on môle le du continent l'ile située, il s'en, empara détroit qui sépare où OVTCt) bi 7C03ÎV, ce Ta [///$è elle était un siéee de sept mois, 332. Ta èv 'Àp6ïiXoir. A ArUlin, Darius avait en ligne un million de fantassins et deux cent mille cavas 12. liers, dit-on. Alexandre le délit avec quarante mille hommes de pied et sept mille chevaux. . ,, DIALOGUE XV. ÊlTOiDffatttQV y.al /.al Iltopov lyiipiocrapL'/jv Ei ^è &' twv 77payu.a7o)v r.y.-jvay.r.v. 2 /.al tôtouTOV Tt tticttc'j- cp'jyr, 7:avouproTaTov r,v £^w PaçO.rJcov à-s'Oavov 4 wv, ?;apà ÏTpotHTia tco BtÔuvS 1 , /.y.Oarrcp O'jv T£*A£'J7aIov &è sv a£iov à/Opoù; Trspl ÊfAOU. To O'jto; l— — oy.a- 'j.z-y'/r, 6$oxouv toTç àvGpco-oi;, (nryyvûwrroi èmvoi, rrapà tô luvcOo; aavTeç ÈvucYica , cpO.o'j; £J êiCOi7]<7a, /.al to'j; /.al Seoç elXov, 2xu8a<; ^c, oûx eCy.*Ta<p60V7Î- touç av^paç, û—cpêà; tov Tavaïv Yta* /.alxoù; é/i'pavTa; aÙT&v apYjjç, /.al TOÙç t-?,ç 37 , ptiv &>[&araTOV /.al H; yàû ovtoc. èr, TON lTa"Atov, £w }>£y£iv oti g oux tcr/Jl, à a)» à ttoà— '.aTia: /.al ooXotç' vvaiiaov oè r. rcpoçaveç ouôev ïv.zyr.T^i vr.poa, /.al ' EttsI ^é tiot ùvetôics tt;v tou®^v, bùj£kri c^cci u.ot ooxeî oîa Ka-ur, £77o(ct £v 8 , toG -o/iao'j /.aipoù; 6 6au(&a<*toç /.a- to'j; 72 EcTvégia 8riOui?a0âv. Eyco&è et (/.Y), y/./.pà Ko âaa' xai Aiouyjv, , açtouava où/, /.ai t/. u.£yoi â'ào^s Fao eipwv , 67cItqv i/.ava vào â—o ttoaàôv /.al T6v Tdyertv. Il ne s'agit pas ici du Tanaïs, ou Do?i, fleuve d'Europe; mais de l'Iaxarfe, au delà duquel habitaient les Scythes asiatiques. tûv à faire des dieux de tous hommes où il éclatait chose d'extraordinaire. » quelque sur (Disc, ni,!, unie, partiel!, ch. 26.) 3. rkoMTta :w B'.6'jvcj>. La Bithycontrée &e l'Asie Mineure, gnée au nord par le Pont-Euxin. Pru- nie. 1 II, ii la cour duquel Anniltul aux Romains. s'était réfugié, le livra 4. \iJ)u.~iz iE'.ov •}•) àvOpo-ov CavoupvÔTxtov xai... '-J.-o'Jav; 5. 'C^drOTOv. Le reproche' de : / cruauté fail à i^i.Vj.. Annibal n'est pas fondé. \>\ j 310C1S. Mtvw;, $&&a£s a Êû Xéysiv 6xt ; j'omets de dire. omitfo dicere. 7. Scji |iov SI r îtpoîpcivè; o08sv, rie» (chez lui, de juste ni de /o>/'''. 6. En T.yr-ys.').- ihYi. Lesanciens,ditBossuet, «étaient accoutumés co TOtÙTà". 1. 2. Ilxsi to ;j.r;£0oç uiraYotAevoc: ùcsiva, u-jrorrrjGCovTa r/)r [*oi oçceottjv oy.oAoyojvTa. Elpr./.a. Su de, /.al si is 9 [/.s&aov b>ûu.7)G<Zj ri av [livcc £7Tpa;a, l7a).lav âvatLtwTc Aabcov les r^ô;a; latin 8. Év : K-,'-jr, ('apoue, ville d'Italie capitale de la Campanie. Les historiens anciens ont beaucoup reproché Annibal de s'être laissé vaincre par Capoue. Les historiens modernes lui ont rendu plus de justice. à les délices de 9. Mixpdc -% lent ï-r.iy.j. OOÇ7Ç, regar'•'. t'A, c.-à-d dédaignant l'Occident. 10. Alexandre ne se vante pas. Quarante ans plus tard, Pyrrhus, avec des forces bien inférieures aux siennes, obtint de grands succès en Italie. 11. ra8e£pcûv,GadVs, auj. Cad Lrémité sud de l'Es 3 •„ DIALOGUE XYL 8 SKHII. M'A Trpoxeoov, MIN. Ttç yàç -IvHn. -/.y.tticov , Kap^TiOOV« 3 yXZt xpaTvjcaç MIN. Ti 2KHTI. cÊlleivw 'A*/.2;avoçoj , y. ô ; /.aOcAtov 3 oùoè -*/.r.r: icov 4 (puyeiv /7.7avay/,a<7a; 2X311Tl«dV r^s ? uu Tprixo; A.vvi^aç, qùcfè odto; eù^aTouppovriTOç AIAAOrOZ IZ' — Avvibou aÛToy, èyco, a v£vu&7i%à>ç CO <p-ÇÇ, à' ojto;, ô: r:pô; AAs;av- A/.dÇavjco:, y.37 kutov iii\ ïosxûtcrôct) tou tïttojv eivat, [«iv Al, g^YVWJXOVa N'/] 2 A'.o-Jcov v.zyyj.y.iz v.iyy.:;. oùtt âvy.iV/'jvTo: j.'Jj.y-y.i f ta MIN. i:cî; 5TpaT7)YOç , IduaÇa, vur/icaç auTovxaï o; wv iroôev •>, aîtoucviç. oùv y.al eu îpcT;; àruLçaç. IIco; oOv opov êuoG &ati v.v; psXTiffrej el, co iTaAiojTr,; r,v • WCT6*pÔT0Ç • eIta, aoscà, ei t">v. DIALOGUE XVI. monarques puissants, savants, philosophes fameux, la mort convainc tout de vanité, anéantit tout. La vraie sagesse seule brille encore aux enfers. Héros illustres, MENiniIOZ, AIAK02 KAI <MA020<Ï>0I TINE2. MEN. Ta adou £V , :yJ.y.'.d>or l , ù padiov, pwcvôave. MévtTnrc, oncavm 5, oaa - ? c.-k-d. d'où -' 3. es-fti ef tpn - ? S >V Kav/7 ; ,o.y. Scipion a détruit Garttaage. Un bas il dira qu'il a vaincu il - i. v.:. tfivTQt Ouroac U£V oti Kipoepoç eotlv. 1. Mtj (5£xa£e) icpdTefxw... '>< èpeiçj I>'où étant di2. i: - TCeptTÎvijcai r.y.T.y.. AIAK. Où y.: w Aiaxè, IIpoç toC nXouTCdVOç, en Afrique '202). et Scipion Émilien, du précédent pur adopti qui détruisit Carthage (149) et Nnmance, en Espagne 133). petit-fils 4. Oùôè Zy.r~.ii-y/ v'iô, Et plus bas moi 7o: c5v, lut gui ] : n'est oùfè owpsa Lucien réunit donc en un 5. vainquit Annil 'A-x/tï (rspiTivéïo^at). i ,. DIALOGUE Kal jx. M EN. criXea 4 tov Tropôixeot toutov ewov, xai Ta; 'iSousveÙç 6 /.al ).7,co; v.îv 'A eaîpxxaç ëatfay. ' tov (ix- /.al to j; ù oVJsu-o'j; : Toùç (i.ot y a y. £ y. v or/ • ojto; èc t)ouGceuç Éitsitoe 'Ayf/./.-'j;- O'JTOÇ * eiTa A l'a;, xai xpuTTOt tojv Eaay/;(ov. ol w Baoal, vaaai epxXawt 'Eg'.vvj; ic^ctov /al Au>(/.7)07|{, 5, tàv [ixXtara toùç éirurquouç xùtôv. /.al AIAK. Oôto; MEN. vioii Ouja tout», xai ci, on TtiAupetç 3 rcaXat deî^ov, <îè 30 o; es oieiripaxK /.al , 2 xxt tov nuptçXeyéôovra , * Xiulvyiv XVI. tôv pa^orôuov Ta Oa'/ipe, ola aoi /.c- EppiTCTat «vveocra /.al xuop<pa, xoviç icavTa, toao;', àasv/ivà co; aXr/jw; XX priva. Ojto; 08, o> Aiacxè, tI; ègtij 8 AIAK. Koco; ^xvÎxvxttxào;* MEN. VVUVTa " 1 es, U cà gOto; ^è Kpolo-o;* lac /.aOapaa nupt©Xsfé8ovTa, rins du Coe.yte dans du Tartare. et se jetait partie la plus basse 3. HLa\ (ciiôot) la or. iciAcopelç z't I" à Salarnine par Thémistocle , t, EAAoç : [I Lib. - . K v Puis .. '. : j. . t y. . y. /:. : ; r.o a û 1-2. Kûpoç, Cyrus, S il. fils de Zi::r-, Xcrxès, v. 452.) ! tôv c Eaa/t-o-- i Cambyse fils terre teaux. On dit de même en latin jungere ftumen ponte, 13. A'.à.... txov ôpwv -/.:./. \ avait f.iit percer Pisthme qui jo le mont Atnos au continent, p J.-< 9. i fabl. 6. tgv. Xerxès avait j'oinf les <\êux rives de l'Hellespont par un pont de ba- fers l'an 399 av. tt Zsuyvûvtci II. : et (Perse. 8. at, ambra samns. (Horace, Od. iv, T, IG.) èi mânes et fahula lies. is C'niis r. ecppirce... Quoit c'est toi... que..! Ce mouvement E se trouve déjà dans le Dial.M -r. 'fÙAXi •/'?,£; 8l& TOÛTQ àzA^çtoOr,-av. 11. ^Q xd8otp(ta. Ainsi la Fontaine : \a-l-en, client insecte, excrément ie Idomênêe, roi de , Diomède, fils de Tydée, roi d'Étolie, qui blessa Vénus au siège de Troie. 7 77A21V et petit-fds de 10. E'.-ra-k... . 5ç, AïojnîSr.ç ; 0£ TtOV OPÔV (480). re. 1 O'.à truite /o;' : q EXXà; e<ppiTT8 £eu- , d'hommes. Il fut arrêté longtemps aux Thermopyles par Léonidas et vit smi immense Botte complètement dé- que tu... hellénisme, 8 qw\.. pour dire et 4. Tov ^xotXéa, Ze roi des enfers, Pluton. Ev.wj;. les Furies, Tisipbone, f/ (je sais) u E:c,;r,;°. .v. thon (icup, fea, «p/^eféOco, brûler), fleuve des enfers qui coulait à l'opposite icao aÙT<j> Cyrus par sa la envahit Grèce ai mère «sa, millions année de plusieurs une (du Sty\ Pyriphlégé. /•• /.al o tootoo; Miooç' sxeîvoç de EAÀr'cTTOVTGV, TOV 1/.&V 1. T-fjV /.i'r/r.v, 2. ô S* urcèp ElTa 12 èVnv de Da- J ouvrir un passage à sa flotte : DIALOGUE 40 Èm6uu.ouvra; Olo; AIAK. Mr^oaixtoç BwXet 1 vatxfTov ov. MEN. xa\ ô Kpoico; scr: <$i xarà èlIooÙ, TTaraçai uoi T.y'/ssj ($1 (ù XVI. Tov Sapàava- ! %opôr,£ irr-.T^côov. oia&pu^sic vào «ùtou to jcpavwv yu- • coi èmoeiEco xal tous eroao'je: Aia yc. ST-Si oOtoï coi o nûôœyopac 3 è<m. AÏAR. npâ>Toc 3 3IEN. Xaîce, ôj I1Y0. ]Sr, eu ye, MEN. Ouxiri ypuGOUço fMjpôY4 êcti cot: IH0. Ou y.al w , Xov o v; , av iri Msvitt-s. ri i\ cocodu/.ov » (70i ' k Êvet. MEN. Kuap.ôuç, I1Y0. A',:• vàp wc Èjceîvoç' tt^vts; eîclv MEN. 1. BouÀS*. —acà Try.û' 9 , vsxpotî: > i O'joIv tcov */.'/! ya^e** >£ où touto cô |*ovov* aA/.a AIAK. Oûtoç - k coi èoa>om.av < oè 2o)xov k » E£/j3ceo*tiogu 6 aùrotc HiTTaxoç , y. '. EjxaÔo^ oovitaTa. xuatto; xal >C£<pa"Xal Tv/.vftov ivftoios. . (dyj.r; Y,cà , 8 al ot y'/j.v.' ÏT.-y. Si osac. cb: Aa'jttv. outoi [wç] î~'.0£'.;o) 10 , A taxe, (o ? co'.. SoiKroôç 4. célèbre vers 384 av. philosophe, né à Samos J.-C, mort à Métaponte, en u.ovoi xal ©atopol tôv k 2. nuôayo'potç, Pytltagore, Italie, Eû?op6s, Euphorbe. Pythagore prétendait que son âme, avant d'animer son corps actuel, en avait déjà animé plusieurs autres il aurait été d'abord Ethalidès, fils de Mercure ; puis Euphorbe , guerrier troyen tué par Ménélas; puis Hermotime: puis un pauvre pêcheur. Ménippe rappelle encore ApoUon, par une allusion iro: nique à la foi aveugle que ses disciples avaient en lui. Toutes sespnroles éj-ùent des oracles. Dès qu'il avait dit une chose, elle était vraie: aù-ï ?»a, ipse dixit, U '' litre l'a d'.t. ; k i â Pythaeore •j.r:or. avait paru, disait-on avec une cuisse d'or aux jeux Ûlympi pes. 5. <vizz K<o, allons! que je voie. , ^û G. 3. "Atto / r, Aaa-/ ©êoê idto° II "fap. 4 k 7T/)pa Euoopos sryaBé. dj 7. Pythagore avait défendu à ses disciples de manger des fèves, sous prétexte qu> mé de la m • titre avait été for- que le corps humain. Construisez 8. BâS= : (>':: (£ .~''.V XJïjXOt Tj.} : '/.;.. ipzQov èv- x=cpa/iQÛ to/.^ojv 0'j6cV Îcov. Les quatre autres sages sent Bias, Cléobule, Périandre, Chilon. 0. : uisez 10. Ttôv a>.7.cov, ù . Ôpoî. : Oîîxo: :'i.j~ rj'. jio'vot y.-r. •ïv.y DIALOGUE O a/}.tov. Ta?: 0X05 i^vOr./.wç, tÎ; AIAK. EaweSoîcWte * /. w , BffTttl Méviiïîre, tf{M2ç6o; shro t?.; c y.T? p (SeVcum, va^coicou 12 6V sbaXe ; a; avàÇiov ovt«. afi ID.vjv £771V T:oA)>a MEN. 4 . O Zar/.paTT.ç 5 -! /.pr.-^'v à dèj ou* covy.tôv Aiaxi • iuoS , ; /.al naXxp$OU<; r/.ôTvo; Xvîpst 7 . Oixcoç ê€o\Aou.Y,v i&eTv ccjtov, AIAK.. Ooà; tov oa).a/.:ov MEN. /.al ttoa/.v; àVX' ou$év es 70 coo'.çy.a AIAK. Ms7a Néarapoç 6 Ta tOçoç, acùraîç cbr/ivôpa/.coGev cotop'/Or,: vàfl TeOvsoj; a07. &ç . TaOra • goutov ; : xoc'j^a 2 7:a0o>v ti EMn. M Xa'YY Àia tiç, ô Mêvitt-ô MEN. 00 pic Ai', aXXà y.evo^oÇta, /.al TO0T6 ; itaocov. MEN. toù; 4f os tncodoO àvy'-Ac'jj;, ôcrrep 6yxpu<pw^ xpro;, o o/:y/.-y.vrj.'.; Aitv/;; XVI. A-avTs; ©aXaxûOi el 7701» èvOade êgtiw. ; icavrov àv ewj cogts itaiv* TOUTO TO VVtoûlGLLa 1. 'EjxrîSoxAT,;, Emp&ocfej d'A- grigentè, en Sicile, florissait vers le milieu du v e siècle avant J.-C. Passionné pour l'étude de la nature, il descendit dans le cratère de l'Etna, sans doute pour y étudier le volcan, et ne revint plus. C'est ainsi que, plus tard, Pline l'Ancien périt victime de si in amour pour la science lors de la grande éruption du Vésuve (79 après Lucien suit ici la tradition J.-C). commune, qui représentait Kmpédocle comme victime, de sa vanité. Horace avait déjà dit : Dnm Dius immoi'talis liabcri nnlentem cupit Empedotles, [giJus fri- JElnum c.-a-d. dans quel sentiment, 3. 'ATrr,v0ûâxco7î ( [Art. poêl. 4G1-40G.) 4. tîOvîw; 'E-.fcop:x9r^ convaincu par Tî zaOcûv, qu'ayant ressenti, <x'j-y.'.; , tu fus mort. Empédocle était descendu dans le cratère avec ses sandales d'airain; mais le volcan les ayant rejetées ou vit bien qu*il n'avait pas disparu de la terre d'une manière surnaturelle, fait le d'être , commeil aurait voulu le faire croi;vselon Lucien et Horace. 5. StoxpcxTTfiç, Socratc. Sur ce philosophe, voy. la note 3 de la p. 15. 6. Nésropoç, y'ettor, roi de Pj noXapiSouç, Palaméàe, Héros babiles et roi d'Eubée. ingénieux ils , qu'hommes d'action. 7. At.ssï toi -0A>.â, 2. ) xpificfeiv. étaient plutôt orateurs Insiluit. pourquoi? cùv radoter. il ne fuit que . DIALOGUE Wl. >! A1AK. Tèv Ayr.). n'.'i.ui BIEN. Kal toOÔ o[aoiov* SOKL. EifÀ Ctt:'.:, f) M I \ . k . mi. \. y g 'i.y'i '. t<5v W'i'i'i'»'. 2 oyYJaaTa aura !<•' ICOXXOÙ; MEN. iwpeocaç, SvxAta Tupavvou; :v ©i^offoçetv Xlyoufft, vecov SOK. M '/A'/ 'A /.Va v/t : c /. ta powtapwtTa >cai cciravreç* yàp M _'/-.--:; (•) , ffip.oî (UaTaiTo ei tecy* /.y. tiç, KKpot îtopa;WC. olo$ y,/: Twcpà o!t/.<xi, A/ptàrtir- crût Scpaireoeiv èVcaaÔcov. 2QK. [IJûWaoO îè Tt CppoVO'jTtV MEN. Euoamwv, «SwxpaTeç, àvSpwTroç ; Tv/' yoOv os r.'/.itzz • oiovrat àvopa yeyevvjtfflai, 6au|/<a<7tov -'/vTa tyvMXôvat, •/.y.-. raOta /.7'. TdÉyg toi et tvV (oet yàp, otp^xt, / Xéyeiv) oO$àv ito<£wc*« IK wovtoto 7rpaypwi veiav jtetao, i. --/ x( 2. ^ ,,, /, e ici ;i ' 'lit m 11 travaux de romaine : h t n 8, i rêne, ville jouait i effort de I uiv, 84). En même a quelquefoi le d'il 1 1 < le ih d'aati e li Àlhalie, , •'.-, que m lunté m ein ai v»- i kri tipp, de C d Afrique Ce philosophe le le bonne r i né , vei I à ' 10 ' av. av. il fut maître t dci plus onduite fut toujours Loin de le i i comme le, Lucien, franchise a D .i . n< philo- '<>:) i Socrate et flatter .i en n to a pures, ei d accord ave» i an illui tre E| ine Si cipie de \n 'i que ''"i vivait «J.-C, ,i : .i ophe grec mort etc. 1 ite . de toute l'armée momento lu wrlen | 1 n si il H/ £to>v, Vluton, i\. : I. "" il \\.\ jrXvjffiov ^[/.<5v /.v-v- c. ; ' i, Liv. I 7 oi même i ( ' ' fram i " de D I ^rchimède moindre le i un 'AVVa . plaisir, iége lificaretw n,, le guc leun allure ni n ntôl 7 3 ./,>, I,,, û«e faîf-<m kv 'A8ïi >v.-; ' Aka Live eîvat si ooxtu et \ //,/,.- ,/ KxùauT&c fyaaxov T#uTa wpo^ . -• celui-ci il n V déplut a ez par ancien pour i i comme lit * - elai , i / V to cura i pdYp&Ta) en s .-entend, xard, du motn o03 KoA taOra "'". buoij/ué tunesti 6. 7. Quand Soi d - '/ tyard. l&fta, > eJ n t : uct que wn. f. - • - - " HAK. K AMAOTO2 " — 1/ DIALOGUE XVII. philosophes radotent ; les ne h perdre d'un instant à fautr les pa réjouiront aux enfers tond se consolent ; Us les autres y pleureront. - jw h AlOrESHS KAI ITOAYA -_.- AI' --. - . > mû c'est f« je ae mû rira , b jt -W d une ignorante coause Lacien le donne k tas enseifaait -'.-> • \ ..-•-. : attend' la ter. •s. plaUkh mo- aâa H m pré- - nts. . s'emfnit i motn piter et se Le- kU mort de son tans «a eosbut, U p ! Bjoarir tagea entre firêsjaer u.<*. JsdeJa- se reedre 3* ' qae sa* i iniinittf r. estploteat . hû-ntèa* eux l'iasur dépend de fr y ixuwu «Berne sjsaati M DIALOGUE xaTayeyçXaGTat, Exsl vov. to 1 770/.Ù . — Txuda oè où [/.aXtcra T''; £v o^ao'.ooAw yàp T.y/jG'r, cau£vov [XaXflaxol xât 3 , ri oitwyrîç âyewetç £^t, [J.£— xîiv.svov, y) toov s-x xaOac- Tt TOIOUTOV. [/.aXtGTflE, ÔTTOtQÇTLÇ £GTt TTJV w yÂx ^ • TOUTOUÇ ©&OGO(DOl>Ç ; TpibcoVtov l'ywv uroXuôopov, j avéaw àva77£7CTaaévov 7701x1)/// Atoyeveç. 'bTTioç 5s eîoû 4 0<}/tV AlOr. rlpwv, çaXaxpoç paxwov xal :av yjxEiv Oiov.iov T£ ttoa/.mv, xal eïirou euoot IIOA. A/a' âiuayyfi^ô TauTa, xîwayri ivo> vSv* — Ev- aùrfii'xat ttcocôtl, hj—l:rr TpiooM ExaTr.ç osktvov 2 iv T7J CIO'J 777, xal êx W-owjç atffiffiauç, tôv avw.» Taôra Xey€ Tr.v , 7,v 7&oug£ou$, xal çaTochraç, xal to'j; oiaY'.vcoTxo'/.swj;" xal OTt u.v7îttsvot yO.wç yglôv, xaôaTreo Tarceivoùç xal o'jtco goi Iti ô o"aw; oi࣠toc iuto. t«jv ptovj j-oa(:o: ooa; &7ir£toàv Tupawouç svôxôs ttoaIw ttacuo sirive^açop-s- rixeiv yàp t/.èv XVII. xal Talc ËmiCTuvatç t&v , tx aei, xal Tro'XXà tou; £771<7XC077T£'.. IIO A. Paotov îuosîv xiûo y£ toutwv AlOr. .BbuXet 5 â\a£dvaç . xal tcûoç ocutoùç êxavo'j; £VT£i/>03[Aat ti to'j; <piXoGo©ouç; IIOA. Aeye AlOr. To xal 1. 77£ol 7wv • où paçù [A&v yàp o'j^k toDto. 6 o^w,7rauGâo*8aiàÙToTç7râpeyyua>,'«poyfft oacov " IpiTouGt, xal Construction pleine: xal , àX>//;/.oi;, 4. 'Qrrolo;... (xorçît) rr,v âkkv. (to-j- to 10 (pTipxt fv) 7roA'j (-01), e£ soutenf fit as dû ?e dire. 2. 'E-z-aTr,: Sshcvov. Vov. la note 5. Bp'JAei (a>ç.) èvTîi/.toaa*.. Cornp. .la même construct. note 1 de la p. 40. At.co'jîi èct^ous'. , cpuouotv, 6. icotoûot, o'.Sdoxo'jcn, sont des participes prés. act. au dat. pi. masc. s'accordant avec aùroïç. 7.Twv oacov, l'ensembledcs choses, 5 du Dial. Mil. 3. 'fi!6v lv. xocOapofoo, ?m œ»/" Je purification. Les anciens employaient souvent des œufs dans leurs purifi- , cations. nisi sf conium luslraverit on'i, Juvénal (Sat. VI, 518). Après la lustiation, on déposait ces œufs dans les carrefours avec le souper d'Hécate. xspaTà oùouctv 8 monde entier. 8. KÉpaTa ç'jo'jj-.v. Ce mot vient du fameux. argument attribué au stoï- le dit 1 cien Chrysippe par Diogène Laërce: , - DiALor.rr wii, îcpoxodsiXou? v.y\ 7COtoi><7t ' ô^a- ta\ TOtaOrg snropa icojT/v , ' k 4o f r i GXOUGl TOV VOUV. IIOA. A.AA £7.3 y.y.y/j-?, AIOI 1j os oiuuoCeiv otjtoiç rra: . IIOA. Kal Taûra, AlOr. ToT; yùXz TaoTy. oïj'couci. civy.-. Aio-'cvô:. y—y.-".'ù.C>'i. rcXooGtoie 777.0 r. ov7a; v.tov /;/.:• v y.37 AlOr. 'AAAy « Tt. co ô'v.-./.y.Ty, Tova. O'jtô xpàvia r, oXiyov 6 x.y.l vjv.vy. i \ r, 3 "/-al EvaoboXc YG7] » ; irpos i/.sivov:. toTç x.y.AiT: ye *a\ layytXAÇ X&'YS, BfeX.y.l ly.v'jy, ÂaiZACEVCO * TtO 77y.Aa 7T7 , xoû.7), ouTSTa vapoirà 1 îtapTsaot xXXoc Twxvra u.£a r, u.*Tv r, r, 07. / . icjOrv.y. 6icl roG ttoocwitou ct . IgtIv, wtiLoi r. tov 7 ûucom ©uXar- u.a7cctoi, rJuvTtOévreç j ouç 'YlXXco 7S 7(0 KoOlvOlCt), '/jLtTv ©tX/raTON no"Auoeux.tov, à--/- r)è, co IIOA. EtoricsTai xaiTaura ::y.o >.eve. slloii THuapeiGÔs âauToùç, XaYtCoixsvot TOÙç TOXOUC, ti ô£ ; ù TaXavra 2 èmTaXaSrroiç c'y àîWdsUTOV ivxa 77; 7 rjv'a; aÙTÔv. Mtrr TST3 x.y.l , uiXava vsupa eu- îcqviç, ©ad. toj fcaXXouc. k IIOA. Où ya).277-jv oùdè TaOra eilrèiv wûoç toik; x.y.AVj; îcyuco'jç. x.y.l AlOr. KaiToîçwWjGtv 7 , ù kl rtoùx gbeé£aXe<;, toûrct î/r.; taôèoùx ziCc6aXsç, • xépaxïâpz y.£:aè/e:;. ju'on n'a pas perdu, o« l'a: or, tu i pas perdu de cornes; donc tu as des cornes.. t. KpoxoSztXo'jç a enlevé TO*.oÛ7t. Un Autre crocodile gwi un enfant promet à sa mère lui rendre si elle dit la vérité. Aussitôt il lui demande s'il le rendra ou non. Quoi que dise la mère, le crocodile lui répandra qu'elle se trompe et gardera T enfant. Quintilien Instit. orat. I, c. 10) appelle ce genre de sopbismes : 2. V.GO 90 Ode 1. I, iv, 15) : brevis speni nos votai inciioarv long» ni. et celui-ci, de la Fontaine (1. XI. ( N itaj somma fahl. t; Quittez : long espoir et les va^es pen- le c<. M s-; •/./.'.;> MégiUe, Corinthien célèbre pour 'sa beauté. Aifioçévo> Ban tthlètesyracusain qui avail . . remporté le t»rix aux jeux Neméens. complément 7. ToT; -£vt,7:v. m se trouve après *l parenthèse. g. Aa/cov. Pollux était né à Sparte. direct de XéfSj TdXovxx. fr. Oj;, vous que. *Eva tôoXriv, allusion à 1* que les morts devaient à Charon. 5. Comparez, pour l'idée, ce 4. ceratinas et crocodilinas ambiguitates. c. Le talent valait x.y.l 3. d'Horace sorte de sophisme. de. le Ax/.cjv 8 f-jToXXol o sigi la 3. DIALOGUE 16 tô irpdtypum, or^ôofjLgvot [«fre ^axpweiv, pwjT Trap Kal otXTetpovTÊç tt.v oncopiav), Xeys fcfltt ^nrajcrap^voç oip.ca£eiv, .çoTiy.iav, jcai 07i o^ovfcft vouç aÙTÔv. XVIIÏ. Tyjv svtocOdoc Toùç eacî* irXouciouç où^èv shtsi- ' Aa/.E^avAov-'v.: iaoO èirtTtaTjGôv, Aeycov r^à toT: coiç Taura, et&OKEÎ, èx.'ÀeXuoftai stùtouç 8;. IlOA. Mr,oèv, w AtoYÊveç, wept Aax£oatu.ov((dv Xevs* où à de ttco: touç yàp àvéçoptaî ye AlOr. TOUTQUÇ 'ÉCCG(OU.£V - 1 sît:ov* eforcvEyxov wap AIAAOrOS : , 7 v.'/js/jz içr.cOa, a7rttyy&A<5. COt OQKSl' où $è,' ôîç' 1*00- £77£i v Èp.oG to-j: Aoyouç. III'. — DIALOGUE XVIII. Beauté, richesse, puissance, force, vraie gloire, réputation usurpée, tout s'évanouit à la mort. Le masque tombe et l'homme se présente nu devant le tribunal de Minos. EPMH2 KAI 1NEKP0I XAP.QX, XAP. A/CO'JaaTS ioç zyzi up.iv opaTS, to axoupiôiov ^fiLiv, cb; xà TTollà 6 Tpa-rrév • E3Ca<JT0Ç. , xal, 'jy.cT; HV TawïfoTiTe • r,v x.al Tparr?; eVi cU tocoutoi a<Aa AIA<ï>OPOI. Tarpay^aTa 5 Mucpov . 'j-oaaOcov £<7ti, xaî o^tappe? Sarspa 7 , r'x.57£, oïvjifGeTai aaliTTa 07uoffot veîv oùx TKpi- 770A),à 6m<pepoit£voi OÙV pLETOt TOUTttV £plê7)T£, ^£^ia /.al wiv p.7) 'J-TTfiGOV (/.£- Èiït(JTa<yÔe. NEK. IIw; oùv 7rotY}cravT£ç eùttaot^gl^v XAP. Eywûjuv opacco. rujtvoùç èmëaivçtv ; 1. Kal 8xi fttovxai... Cette pro- position subordonnée dépend de /.£ye tout aussi bien que les propositions infinitives Saxpûetv, xfyu&jzvt. Dis-leur de., et que... Le latin et le français présentent en poésie quelques exemples de cette construction. 2. Toùç èxeï -ao-jtîo'j:, les riches de là-bas, les riches de la terre. Sparte à cette époque était en pleine décadence. 4. Construisez cwcévryxev wap1 3. : èuoû ypv), toc, t.z- xolrç X<fyouç (tû'jto'j:) oT; ttcg- Oï; pour o'jç. Voy. note 3 de la p. 32 un exemple d'une semblable attraction. eIieov. 5. e Qç e/ô:. quomodo vobis qtid état sont ûjiïv xà xpdypaTa, (sese) res habeaut, en vos affaires, c.-à-d. quel danger vous coure:. 6. (taxa) rà ~oAÀà (pépi)), de foutes parte. 7. d°. i-lOâTîsx l'autre. (jxépifi), d'un cc'féou DIALOGUE WIIL ciTTa TaoTa icavra avxalouTU cfreÇavro xai tx U7I d".)>o; 7j, t/.v maç to âlwO TOUTOU lAeXrfcEl &£ êicï t/.ç y/.'oVj; KaTaXiicovraç m to TTopÔiutov. Soldé, ( dn-iz EittitXa, i Epy.?., xÙTâv, pc.7)06va -y.zy.oy/i'Z Jy.i ' iaoa'.; ^ o; KV àrrooaAcov, 772:-/ E<p7)V, xico£a6pav egt&ç, diay:va>(7X£ aÙToùç, xai y.rjj.yj- oavs, youvouç èmêaiveiv âvayxav,<av.. EP3I. EoXeyeiç" xat ootco to; £oti Ms'vitttto; efyidYe, "A"XV xat to BcbcTpov F | EPM. ' 777.: s'y s BaOsTav, y. O cxotty,; XTcavToç, XAP. EPM. Xacy.o).3co; /.ai tiç âirpâ- 7m'pa ' to ètci Epy/?, tov Tpibcava oè i . w MIvwctts, âvopôv y.ç.TTS, xat tov xuoepwiTrjV so' ô'!/ 77.00, m; t.'./ stt*.- x.aAo; à' outoç, tu; icrij 4 6 Mevapixoç 6 , Eifeppcaroç. et. Embaive 710YI. O t/.v -/.oy.r.v tojv Tuapetôv ÈpuÔ7)u.a, >taî to oÉqulgl euÇ.wvoç * ù a'/., 8 ouroolxal to àiaôr.y.a, oe TTjV ô' 7Uop- f&OGupôç, Ttç wv Toyya- o 8 ; AAMïl. EPM. Aav.rr.yo:, Tsaokov Ti oov, co Aap.7UiYe, T6 à-6 toutou (xpdvouj, doré- navant. -2. A.AÀ -"tov, Loou r ~rça ol~zz- mais voici gue... soient jetés, e.-à-d. tiens, je jette 3. r, A.ito4u6t Toivapouv to x.aAAo;, xai tt.v E/si xaAwç ' woù lit k iro'-wv Ey.oa-.vs, îrpoeopwcv l. Oùroot le tt.v /.lavr.v àirsppiaftcov * oùo èxouuaa, sô veiç . ; MEN. ipupiôa 7rocnoo{i.ev EO icoubv, faisant bien, c.-à-d. 9 Tupavvoç. TOOWJTa 5. 'O Meyaç'.xc'ç, de M gare était située entre Corinthe Athènes, à quelque distance du golfe de Corinthe. G. (To icpôvjia] g^si xaXûç, bene (se) naoet, ces! 6ien. c O j'ai bien fait de 7. XapiidXeiiK, forme attique pour Xapjio'Xao;, Caarmoiaùs. Charmolaiis, etles personnages qui viennent après lui, Lamp :ltas , Damasias , Craton , sont sans doute des personnages ima- 8. Ti: 4. ; ginaires. sycov 772:0'.; (s/uv ty.v icop9'jp(8z. ûv tj-;/ av£^ , qui te tTC tu étant ? c.-à-d. qui es-tu? IVàwwv, les Gelons, habitants ville de Sicile, colonie rhoGela, de dienneet Cretoise, fondée vers i' G05 av. J.-C. 9. r DIALOGUE 48 AAMI7. Ti oùvj Èjyj^v, XVIII. yujivov y;x£iv T'Jçavvov to Epi/.-/;, " > Kvoca: EPM. Tupœwov pLÈvoùoatUdÇ,vexpov^£LLaXa* wgtc 7.770- roûra, 6 ou AAMn. ïoou uoi ô ttXoûtoc?.. âiwspptirrai. ri EPM. Ka o'iiav • 1 . tov tOoov Kicoppiyov, Bapvfcst AAMII. vào to Aau.n^e, xat tt.v unrea- rcopOpLeTov cuveuLicecovra. xXXà to Ojx.oOv to otaoY)(ta ebccrov p.e â'yôiv */.al T7tv £©£GTOt^a. EPM. AAMII. Eiev. Ti EPM. Rai îtat tt,v t*/)V raûra aos:. en: irœvra vàp xai tbu.oir/;Ta, 0P*pjV ; xat AAMI7. EP3I. à). Xa îtai OùoaLLÔç, wç dpâr. âovr/.a. xa! avo'.av, 77, v uopiv, *rijv Tavra a©eç. loou ao. ibiXoe euy&ii 2u oi EjJLbaive ïigij* o sûavuçj o TroÀucapxoç, tiç • r " £' c *7 AA3Ï. Aay.aTi!a; EPM. 6 âÔ-Xirnfc. Nai, èoucaç * oioa yecp os, ttoaat//. .: in Ty.î; 1 raXat- trrpaiç idtov. AA3I. Nal, EP3I. Où bfibAvjLLevov C&CC, à Epu.v; *yuu.vov, à» * AA3I. Ioou Trapade^at 7.'jT7.;, c77c'. r U.0V0V 'j77c3 Jclc 7.77o':£'.VOV, "/uavôv ovra. 2 . ttcc».- xaTaouaeiç to o/.a- 'AA/.7. Xfltl TOÙ: CTc- 77. X.7 S'j'."A7.T7.. fcfltî toi vupLvoç, p.£ rocauToc capxaç BeXticte, ojotô Kiroouut TOV ET£pOV ïTOoa CaVOUC 70UT0UÇ à/./.x • to; oca;, âXv;6c5ç etttt - •/.::•. tcoiTac'oç toîç kXXoiç vexpotç. EPM. OuTfoç atieivov tzbstp7J EÎvai' » 1. Les athlètes étaient renommés pour leur fainéantise et leur voracité. Dans un fragment de son Ay/o- Euripide leur reproche d'être laves de leur mâchoire et de leur /y:?/?, tre : ô,07s £u6aive. i Kai où k 2. Tôv s-çspov itoSac.... pied seulement. 'Et:co:, |idvov, comme «n a?/er en latin, a le sens de ï'ttB des de»x: par conséquent il peut signifier un aussi bien que auto. DiAi.oiai; xyiii. t&qOtgv ôè, tov k k Ta 7cov ttcovovcov ooçav, xat Koârcov, xat xTTO.Ôep.evo^, co xai ty4 v Tpuçyjv.' îrpoceTt,» 7. ;-.('; 7. eî 7707a u.Tioè k » |9 Ta èvra'ota XOU.&.' a 7 7. -/.y-yj.'-z • xat o-, ttx^g ' k ( k Yc'vûÇ., 7 ttoXiç âv£xif]pu££v eùgpY£T7iv, ors Tac tôv àvopiavfwv âîriYpaŒaç* 7.703, em t/,v i;.x;.a^(::v o: col d'ywoav, )iye' papuvfii Xal xat uiyav Ta&ov ârrt yàp xat TaiÏTa j*v7|m.qv£uo- 7.3V7. KPAT. Ojv ôotuu excov 7.3v, ûC7roppnyw oe * ; EPM. Baba t. Tratov touto 2u oè ô éyoûaqç ©Éofitr 2TPA. Oti 37 L 7.7, 73 ),'.; Yap avxatrx- ti • ti pooXei; , 7, ; Esy-r, xat 7,0(773077, Èvtx'/iaa, co ¥ 70 Tporaiov yr,çv 4 » 3v f 3 077).CùV 0£7i<7Sl. il»'' . MEN. 2 70V paG'JV TtÇ 3771V, , w <I>'J.070oo'; 7iç, Y^vOÎa 'J770 7C0 4 • k EPM. Karadou O irrr.cx.w;, ô XaÔ£t«.£VÛÇ 3 J 77C'J-'C0V7. Xttl 70070V * Ô'd'cl scptaQtav, xat Bptv, 7.3V 77, V oXaLOVfiiaV XOIJU^Sl k xat xsvooo£tav, xat £p<t>T7j<7eiç 7.7.77.'.0~0Viav 7.7A7. k k 770A/.7,V ' oOloo;, xat [Ltxpo'XoYta^ -/.-xi ! , le ç étant (ûrv) 7.7.1 7.V7.'.7'/ I sur , 3. { ï>povT(8ci)v, ses réflexions, l'homme absorbé dans xaÔnasvot; c.-à-d. ses pensées. -côv 007. àîù.à xat ÔTktYOV , Xat 4 I 0V7L7.V, ~à6otai; car gwc bA twv 7.7.C0V âicopouc, Nti A17, xat Ypuçtov ye 7007I, xat •pourrais-je faire? 2. 7.7.1 » ! 77.07'. QGTiV 0£ , ' - xat Ao'yoo; àxavOtooetç, xat Èvvotaç ttoaottaoV.oo; yap âv Y7.Û 770AA7 ttûôtov, sixa xat (777,7.7. k 1. T- sVitôv k 70 to Z30, 077V 7 00777.6 S '.7.V OE, Cy*/(- 17.7.71(0 7X.3770 7.3V a. • 7T7'V77.. Y2 700 7.770 1 Eppwî, 7.7.àaov èà yoV,:, xal 73- paTEMCÇ 7.37703. 'ÏÎ773 a7C0àU50V '/.y.\ ÔS 0070; (737.V0Ç xat ppfivGuoafiyoç , 6 toç ôopû; tpf OVTtOlOV rça- 7, aoou Yap Etprïwi, t t 7.7.70;, /.al 7.3. EP3I. Ac3;'j-3g r * Xat 0003V ti tq tcj- BaOôv œtà- j I I 7.7.1 op*'7,V ? xal TpUflMJV , ycova , /e aya/t.' laissé descendre sa barbe épaisse, c.-ù-ii. celui qui laisse descendre su?* sa poitrine une ba épaisse. Bam Cf. l'expression latine promf/j'erè. DIALOGUE 30 xaî aaA'y.xiav (oo Kal 70 :/.'jTaJ. otcaOai aaeivw yap as, As7\7,6c tcov oaaojv eivat aaAa xat gt à'oOoo tyeûooç aè âycov Èu.€at7jç, XVIII. 7;sp'.,>cpoVr£!.; xat tov tuçov, xaî to , 1, erfe 7ravTa TaSrra ôj:, ircvTTixovTôpoç oeçaiTo avcêj TrôCot <ï>IA. ÀxoTi9eu.ai towuv aura, éirentêp outw xeXeueiç. MÉN. ÂAA7. xaî £:ar. Sapov tov TooTov 77to-'tova w: ôpaç* ts ôvra xaî XaGiov, aTroOeo-Ooj, Ttrevre avûv 2 co Tp£- yô: etcî T0o/\ayiGTOV. EPM. Eo Xevetç. AttoOoo xaî tootov. Ral-Tiç 6 âiroîtsiptov scTatj <ï>IA. EPM. xwv. arcoxwbEi aÙTOV, êirîxo7rM MEN. OuXj w twv oÙTOori, V/.étov ttéàczov Msvtincoç t*?î âXXà Epijwi, àva^aOca Trpiova jjloi vcaflnj*yt- YCTiaocaevoç. âvaooç ygVj'/j- TEGOV Vaû 70070. EPM. C) 77£*A£x.ii!; MEN. Eo*f£ 3 7\si ixtxpov ' àv6poo77ivoj7£po; ââéXomai xaî EPM. MaXtGTa' xev, oùx w yàp vov àva-c'or.vaç. Boo- 7t5v oooocov; ô-èp to asTOj-ov yàp xaî Tauraç oio' s©' ô'tw ^axpueiç, l'a or, G'. ixavo;. 4 y.aOapaa âvaTeivwv 5 éauTo'v. xaî rpoç , £?:•?) p- T: tooto; xaî â-oosiAta;; Davarov ^' oo v. MEN. Ev £7i 70 Sapu7a70V otûo p.),r,: G é'ysi. EPM. Ti, to MaviTrra; MEN. KoAax.aav, tb Epav;, 77o)^à £v tw fJt<a ( y cvîti— a£OTaay.v aoTto. 1. Kal to c'e^oc à'j.sîvto eIvck a/.Xtov, e£ Ze pense?'... c.-k-d. pinion que tu mieux vaux twv e£ Z'o- que les otw, autres. 2. Mvwv. La mine était à la fois poids et une monnaie. Comme A3G grammes; 92 fr. C8c. monnaie, elle valait sur cette construction, la note J de la page 40 et la note 5 de la pape 44. 1 7 4. 'Ava-rstyiov éaurôv oùx olo es un 3. Bo'j)»si(6)!;)... àf£/.(oa-y.i. la Yoy. note 11 de page 39. <;. Yoy. redressant je ne sais pour- 5. "£2 x-ie-apaa. poids comme se quoi. T-ô aàA7,ç, K.-à-d. i7 emporte à il a sous Vaisselle, la dérobée. WALOGl'E MA. Ooxouv xai to DtXurrov, 7rappYi<riav, jcat Xwra* 1, EPM. M^oaLLÔç rrwp ri : cj xat PHT. co REpiodOOÇ, Bapv] tcov Xoycùv. 77./.A7. 6Y6i. flore ^ue 2 Ta 7.77o--3'.7, àvAtofj.sOa, to âvxuptov âvEOTraoOo) icopôtAeu, to <à 7.77-.- 'Hv' îoou àïTOTtOeiiat. KPM. Eu ôuve, Kal > /.al TTac'.Tf^:'.:, /.a: -/.vT'/jc'ac'.:, 'ïy.zov.z'.G'j/j'jc, /.y.: vg xal p7ju.aTG>v 7r,v TO^yjTr.v tcov > pavroXoYtav, xaî •////>:/ irpoe tÔv XXTairX.ouv /zv/z'.-j.y. 7.77o0vj , 7 '^/.y.z. aX^à xas eye Taura. ovTa , XXI '1); K7ro8où ty.v eXsotepiav, xai to vswaîoV, xat tov vouv twv ocXXan piovoç TTavu e'joopa w Mévnnre, xai où, M XVIII. Lf.aTaioi tiaXtOTa o /.al , Eu Trr.oaXtov. ' rnv xiroêaôpav îrsfaoôv to Iotwv, ev- #ra8(«>uev*. <pi'Xo<TO<poc au, o Ti oiaco^eTg, y^T'.c-j: ton 77(ô- vo>va oeoTwpLevoç: ( MA. t)Tt ù , Epir/L âôavaTOv âaviv ttv dwyr,v ûirap- ME\. *FeOoeTài* ZÀXavàp EPM. Ta TTOÎa; 3JEX. Ors ebixs Xuraîv «ôtov* u.7)X8Tt oencv7)GEt iroXureXri $et7cva toùç veguç 6sv ic7.777.7wv sirt croana àpvuptON T7J . xat lwX'/iLeTat' Tj.j-y. XU7TEI OCÙTOV. «MA. ^ j : MEN. pt.7)06voç Tlco: 6 ; 5 , A/lx, TtVÛV tOT7T3p ô Mevwnre, ôè, 7.770 EPM. Nat, w o: EOTceuoa 31 c'v. 77773 4. sous-ent. itiQ(d|i£v, Tap on T V 7 comme s'il y avait Mtrave a/.Aa lotxs Xuicéiv sàro'y, 'T^f autre <:/<ose jUi l'afflige. tov ôavaTov, xaXiogevroç etci oùx , «cdOov. Mror.'j.(ôr, AOe s'adresse à Charon. Ej âiroOavcav; rr.Ç Ï0(')V70jV; 1. 3. à'/ Or. y.cTaçO Xo'ywv, où xpauvr' tiç axaucTai, 2. eO-V.,co;j.ev./v- oùx I 7.o nfoç, comment 5. ché évoç ys y «coi» • (le a), av. serais-ie fi- ! KaXéeavTtK pr)fevdç. On dit en que Ménippe, devenu usurier à Thèbes, se pendit pour échapper aux railleries que lui attirait cet infâme ii. effet trafic. DIALOGUE 52 inyJhiuias covsaOo'vt:;, acrjAcVoi ysX&gi rajcvreç ty.v i; •v.:v, XVIII. £-1 tco \y.'j-iyyj OavaTw, " y. al •/, yovv; auToO cuvÊ^eTgti rpoç tôv 'yuvscucôv, /- a .770 tôv -alcHov ($aAXeT«t âoÔovoiç toTç T ?- aratiova, Meoyvà ovxa, ôuouaç '« Xtôoiç* aXXoi AiocavTov tov p7]Topa ixaivoucHi ëv 2t3cuâvi Ao'yoo; oiççiOYTa ptafftou 'j.r'-r.z A 7. y. 70J ÊTTt r,7jy{av oè MEN. 7. KpaTfcm irr*. 7007to. Kal, -3 OÊ OOôVv;, y.3?7a'. Oùoau.<5c, McV. 77773, 0<Z&ÛU£i CO à"), a à/.ooV/; saol, îcaï 377 7wv y.uvwv EPM. rewaoaç ci, , X.7.0 , as7' àXivov w Mévimcc. 'Aaa u.c. , i—i\ 7.y-y-.î-~Jïj- ûiv ocmre irpoc to oucacT'/iptov. soOsTav v.yj.vi riiLEiç. buLeïç 3 Aa- /. tôv îtopaxwv TU7vT0«.&vwv toZctztbpqïç. ôtcotccv cuvs^ÔovTec 6a7rTa>Gi TvCôïovtsç A-.a ye, tiovoç. wpuoaivùiv Qt/tTwrrov èjceCvrjV èViTacptouç ', vv; ifè èçapyst 700 Ogy'voo cùvYi/vat^iv 2 x.iù'/.WJGO. 7: 7.. /.aV.cTva ' è*yw m xal ô ttocOv.co; a.A/.oo; [À373- Aîo^o'v-s^y.. MEN. oov eti E'ji^oêît£, •/-'/'. y.v.-yA'.y.y.i uiÀAfTe; co Epu.7j TCflcvrrwç ô éxoctgu 1. Tv Eixvtôvi, à Sicyone. Voy. sur cette ville la note 4 du Dîal. m. -2. Ces femmes Sî»v yjvaiÇCv. étaient sans doute des pleureuses à _ ges, chargées de relever par leur deuil mercenaire la pompe des funé11 y en avait chez les Romains comme chez les Gr< es. On en railles. plus haute antiquité. xxiv. v. 720-723) Dans on voit autour du corps d'Hector des chanteurs qui soupirent des airs lugubres et des femmes qui gémisla VJliade (en. sent. -/.al 'À^lç. Ti oixacÔTjvai oevjVei* oaclv etvat (iapeiaÇj 7poyoô: Xidtaiç*. AetyÔvicÊTat de trouve des iwpotw^ev oè ' (Jtoç /.al 7 ÈxeCvqv . [ôoôv] Belav, suivant cette route et t là 7a; yu77a;, %at oh&piêâ£. 3. JI^oTdvre^ x.al - marchant vous. Cf. la note 4 de- page 32. 4. Tpojrpùç, v'j-a-, X(8ouç. Allusion aux supplices subis dans les enTifye et Sisyphe. fers par ixion Ixion était attaché à une roué qui , tournait sans ces-'' le foie de Tityc était la proie toujours renaissante d'un énorme vautour logé dans s : Sisyphe au haut d'une montagne un lourd rocher qui poitrine ; obait toujours. roulait 1 DIALOGUE AIAAOrOS XIX. — 10'. S3 DIALOGUE XIX. il lui reproche la facilité l'uilippe rabaisse les exploits de son fils de ses victoires, le meurtre de ses amis, son abandon des mœurs : macédoniennes, ses mésalliances, sa témérité tention d'être adoré comme un AAEZANAPOS KAI <MA. NîN hIv, et surtout sa pré- dieu. co 'A'AEÇflevopf «MAIIÏIIOS. oux as kapv,; , 1, où oux iuxtç uîoç ftvat yàp av É*TeôV7'/.£i; ys'voio wn Ay.y.covo; yg , ôv. AAEH. Oùo aÙToç AtuuvTou p.ov s; uîo'ç 2 £'.v.'.' r.yvoc/jv, aAA sogcair/rv to u.av7£ua.a, Ta 77payaa7a owjXévo^ <PIA. llto: "j.i^'iiz; y 77^730, w: j'iakstco'J tou co ; r pr.c.y.ov èooxei 701 70^70- aX O'I» oî ypytet- c .'/a .. tov 6ÇaiWtT7)8?)<yoa£vov ôtto twv TcpoofrîT»* AAEH. wç TO -y.zi'fi'-") giv:j- • (jaooacoi Y-.y-i-ïAyr.Gy.v v.i*. scaioùoelç Sri âv6to*raTO, biou,evoiôsw «.ayecÔat* cocts £aov gxpairoov aÙT&v. 4»!A. Ttvwv cV.ça7/,7a; cuve âçtoj&gytini avop&v, 0; Sei- Xotç âeï vjv/.viyfjr,:, 7o;a:-.a, îcai KEVrapsa, jcàiygppaotijuiva £rpo£gêA7)U£voiçj /.al <I>or/ia>v, Eàà~/;v&>v xal AÔvi vatto v îtoateîv Eoyov t;v /.al to ' 'A:/.>:c)ojv 5 j Bouotôv 6 , rôwXiTUcov,xal 1. OOx âv... sTvai, fu ne saurais plus ?ucr gue ?u es mon /?Zs. (ufoû) *A2. T16î ^lAtirro-j to ji-jvTO'j, /i/s de "Philippe, fils lui-même X. 0. de l'Attiqne, avait pour capitale Thèbes. *<oxs<ov, les PAoctâiens. La Phocide aussi dans Grèce centrale, au X. 0. de la Béo- d'Amyntas. 3. <Q; est explétif. 4. Ka—7:AiY7>,7âv tiî, tic; elle avait me Dirent avec effroi, me redoutèrent. L'aor. pass.,a ici la signilicat. moy. 5. EpYov f,v , était ç.-à-d. était difficile. tin hoc En. vr, une De même en opus , hic labor 129). est G. Bo-.(otô)v, les Béotiens. tic, affaire, la- (Vira. La Béo- contrée de la Grèce centrale, au — 1 pour capitale Elatée. Philippe fit raser les vingt-deux viik; de la Phocide en 346. 7. 'Apy.ictov, les Arcadiens. L'Arcadie était située au centre du P< 6£TTaAr;v, la Tliessalie loponèse. au X. de la Grèce. ïTXsfov, les Éléens, habitants d'une petite contrée du Péloponèse. Mavnvéwv, les habitants de Mantinée, ville d'Arcadie, célèbre par la victoire qu'LpaniinoQ- — — — DIALOGUE XIX. ; l îi--yj:};> vt,v otîwOV, toj; H/.suov ixovTKrr&ç, /.al to y.y.\ Movtivecov Tce^Tacrtxov , 7 Bpaxaç, î 'iXXupiGuç, x.al 7, ïlaiovaç jreipcoaacî&ai, raErra y.syay.a. Mtj^oov Se, xal Ilsp- (jàv.xaiXaMaicov, xal vpucoœopwv oùxoiaOa w: Tcpo go»j sxpaTTjCav. oùa yjj.v., -:•// •>, pi'jptoi yeipaç i; ot '2xu0at 7] toùç tiiv /.y.-. T7,v pie Kaî ouuoç ;. ca xwîïOTS. 7 titqu y.-rj.'.'j.ojz: v.y.àv -:->: 3 svr/.a — g •i.i-y.i'j aetTTvauvTa ./ . xaT(eoaX<t>y, 7 aoi, êffloveu- y.YTs. 2u aè, y.avoov', t£$ x.cà rèpoocuveî- Cléarque dans son camp et le tua (403). L'Athénien Xénophpn le remplaça dans son commandement, et du ige ï cette immortelle retraite, dont tiates, peuple habitant au ces, — il fut plus tard L'historien. Alexandre ne 3. — rite : la dit ici que vé- la politique de son père fut tou- jours Jiabile, mais rarement honnête. 4. EV/.-r.va: icapéXoâov. Voy. note 10 de la page 3o.' o. note : auroque;fnlgetarmisetopulentia,etc 2. Mùpiot, tes dix mitte. Treize mille Grecs sous la conduite du La< démonien Cléarque aidèrent Cyrus ie Jeune contre son frère Artaxerxès II Mnémon. Après la bataille de Cunaxa où Cyrus périt (401 av. J.-C. Tissapherne, général d'Artaxersès, attira cbçûijetç yàp y-.-rr^cùi Èiraivecrat y'/:.'iy)y. barbare et belliqueux , N. E. de ta Macédoine TKXu pioûç, /es IUyriens; ils habitaient les 'côtes de l'Adriatique, a TO. de la Macédoine. Dafovaç, fes Tœviiens, tribu belliqueuse de la Macédoine. 1. Xpuoosdp'.oiv ivGpwraov xal àêpwv. Voy. dans Q.-Curce le discours de Charidème à Darius (1. III, c. n) Hic exercitus) nitet purpura . E).7.r,va; * ;•-<; Kal tous . ti&ùon opÔAv 9 ïr.ihvj. îeai remporta suriBpâxaç, fes TA en363. vt/taç, àftpaTOuv jcao&Xaêov 4 ÔTiêatouç Se igwç ràç ca: -:a;i'.: y.yzsoov-x.rv ràç où aia<mf- &TCo<ryou.evoç sd'eucaayjV, -yJj-y. rravra. TO.sTto; paai. u.£TevÊouç, -y n tco qoo%ti(o ateXacraç, caç, oTi èraivcav, irarep, xal oî Ivotav iXé- 10 iujlsvoç ÈTTUopjc*/; <MA. Oida ovcù, , - y.ji rjji. oçiftarov c-:-/;-/ oèj , âveXfjovTeç £),6ew ÙTvOULeivavTfùv ye oavreç oùx EÙJWTa<ppov7)Tov aCiTÔv, O'ja RXeapyou aîT-/ 1 to Toçeup.a sçixvéurôâi, oe'jvovto)v; AAKI. A.XV caç 2 iêpwv scvÔpto—(ov xai I , i a de la u.£-r,/ 6ov. t MstoÇù Voy. p KXéïroç , CUtus. Voy. de la page 31. 6. 7. - 8r 6ato*jç...... 1 Bsiirovôvrct , note au 1 m d'un festin, en latin inter crniandutu. Kâvôuu, sorte de tunique à 8. manches en usage chez les Mèdea et les Pers s. 9. Ttdpxv ôpO^v, la tiare droite. Le DIALOGrE qHol% vtto Moxçoovwv, IXeuôeowv àvopôv 7WIVTWV VS^OeOTaTOV, îtv [Asvouç ôVa à"/./.'/ &|JLl[*.oQ "/jçiouç* , TtoV VeVWO)£/ivO)V T7. cuyxaTaxXetœv BTCpaÇaç, Xéouci avdpaç 2 , xal yajxovç Tôtàfoovç «.ovov dtxouagç, 3ti t-?; *. xat, T Kcj 7: ") :•-•- 1 jnjfvsça | toO Aa aÙTOu xat tôjv O-jyaTc'pojv : XIX. ../.,: ÏT.i'j.ù:rJy(^ • xal |nj- :/-,; paciTvtxà ; Taura*. AAEE. To <pi>.oxivouvov ^s, w rareo to sv ^Huapaxaiç ttocotov xaOaXacGat , ci; o'jx. txatveîç, '/.a! to evto£TÔ3 xst- youç 5 , xal ToaauTa Xsrosîv Tpayu-ara; «MA. Oùv. èitaivâ touto, à \Xe£avoos* ov/ Xôv oify.at sivai xat Trrpto<yxe<j6aî icote tqv TTpoxivouveueiv toO crparoO gtoc G'jvsoscg. • 6*Tt jatj xa- paftiXIa*, xai aXX' ori cot vè Totoyrov ^xi- 0£oç «yàp eîvat ooxcov, itots tpw6ei7)ç, xac et BXéwoiév es ©opa^viv tou itoXéttou ixxou.tLoa.EVOv, xmjûetv 7 ravra yeXwç yjv8 peofjbevov, oiatOwOvTa iir» t<j» TpauaaTt , opwGi toîç • seul pouvait xai 6 'Ài/.uî.mv la porter de cette m. 1. Ta (I8*i) twv vîvixTjuévwv. 2. Callistbene et xal votiç Lysimaque. Voy. snr Callisthène la pote 1 de la i> 32. Lysimaque, disciple de ce philosophe, ayant osé plaindre le sort de son ami, Alexandre le fit, dit-on, enfermer dans une cape avec un lion. .Mais, lui, tua eette bête féroce en lui enfonçant dans la gueule sa main enveloppée de son manteau et en lui arrachant la langue. Après la mort d'Alexandre (323), Lysimaque devint de Thrace. :i. Allusion aux mariages d'Alexandre avec Roxane, fille d'un satrape; tyra, fille ainée de Darius; Barsine, l'une des femmes de ce prince. La polygamie était en nsage chez les rois de Macédoine. 4. Aussi quand Alexandre mourut fut-il pleuré de la mère de Darius. (|tâ>oo|iàiVTiç ^ey- 5. IJpwTov -/.aOàAa-Gr.. Non-seulement Alexandre sauta le premier dans l'intérieur du fort, mais il y sauta seul. Dallait périr quand trois de ses généraux accoururent et lé protégèrent de leurs boucliers. C'est là que Ptolémée mérita le surnom de EcùTTÎp, sauveur (du roi). G. Philippe n'était pas sans avoir reçu lui-même quelques blessures. Ainsi au siège d'Amphipolis une llèehe lui avait crevé l'œil droit. 7. Cet argument est mauvais. Les dieux de l'antiquité, pour être immortels, n'en étaient pas moins vulnérables et sujets à gémir et à crier. Dans Vénus et Mars sont, Diomède ; leur sang coule; ['Iliade, blessés par Vénus pleure, cris d'e et Mars remplit de douleur tous les palais de - P >- lympe. " 8. TaÙTa cela eût été -'é^toç f,v, SOUS-ent. av, un sujet de rire pour DIALOGUE XX. 56 1 ycTo , /.al opwv tov toC Atûg ïeîv BTCfo : 70Ô: rfjV c'.vy.'. H rrpoor.Tai koXoxsç. ol tiç où* av èv&a<rev, ulov Ac'.rroyjyo'jvTa, Ocoptevov tôov piv yàp, aitôre wt lupoGiro'.r.Giv £X£iV7jv Tâfonpwfç, oûx oÏes tt/aV/j; tmxepTOuiûuvTaç, opôrtoç twi vexpov ToûÔeoù âxTaoNqv /.cl-Acvov, jiuoâvra îi$7] or.xoTflt* /.y.Ty. tùv votiov tJ«u.«T<ov àicavrcav to y c/tvaov, ô 207;, A/i^av-jps, to y./.l paoïto;. ttoa'J îcgcv (j£ taTpûv /.al i^oj- AAÀto; 72 ; six TOWTp. zpaTciv 77; oo;r.; àor, ceT-o twv xaToaBouuiawv s * ^ràp êoox£i êvoeèc îhto ÔeoG yivecOoi o*qxqûv. AAEI. Oj raGra IIpa/.A2? /.al ©covoOctv oî avôpwjço». ivay.w./.ov AtovuGCj) jIoOVOV ÈXÊtVTIV 4 , OVÔ Iuaû. stXX' tccoi TtÔ&fiÇGi ;as. RottTOi £72 pou ùteivfdv Xooovtoç, &y« 77, v ulovo; ÈystpwcaixrjV. on Tavra w; 'MA. Opâç /.A2~ îtaï Aiovucrw rçapaeaXXëiç seauTov AAiiavosE, oùoè 7Ôv 7joov 70 v?: /.a-, 07] ulo: Ay.y.covo; 'Asyst,;, oç v2/.cô: wv AIAAOrOS ; Kal Hpa- où/. aio-yov/; , à yvwgtî Geauràv, Kirou.aÔYi<r/). /.al 5 . K'. — DIALOGUE XX. aux enfers regrette d'avoir préféré la sloire à la vie; cl les sages observations d'Aoliloque, sou ami, ne peuvent adoucir sa peine. Acljillc AXIAAEÏ2 KAI AWTIAOX02 AjNT. Ola 1. "H /.£•;•/ £to', 77pc;jr.v auSûvra Le corps ï\- .->.',-/. rfra. fioi) v.-i: d Alexandre jours à Babylone sans sé- pulture. r 3. A/."/.'o: 6ou{iivtov. ts xat D'ailleurs dont tu Aiext aisément parla, /' la gloire de tes a tûv xaTopcet avantage icre . | Ty./ 4. . Aopvov beaucoup de Èxstvr.v, . 'AviXXso, irpoç tov Ooixrcéa coi 21- soss-ent. iv. Nêxp&v 2. 7 6 quelque distance de l'Indus et tellement liante que les oiseaux n'v pouvaient atti priv. et. ôf-<:-. oiseau). Hercule et Bacchus avaient échoué devant cette place. Alexandre, leur émule, s'en empara, dit-on. 0. K%\ (tuvtjç yot, vsxpôç ûv; et ne comprendras-tu pas enfin que in es mort? cette fa- Aoraos. C'était une citadelle à 6. A/T'./.o/o-. Antiloque, fils de Nestor, roi de Pylos. Ce héros, un DiAi.or.n-; xx. 1 2 fotvaTOU TO8ÔI TOfl OTflTKi $acxaXotv àuooTv, Xsipawo; ts /.al <I>olv./.o; yàûj ÔTTore sV/;ç fJotifocÔOH «rapoupoç Tcovà/.V/icwv, a (TgivTÔv vs/.stov jxr, 4 . (SiOTOÇ tto/.'j: TauTa aèv TGV rir.Asco; $£ uîov*, • aTravTwv, TOTOEtvà -vjtgj toi pi <r/ûVn, /.al évavTtoTr,; TOpoc Tcpoe&ou tov i^ETa c/.cov AXIA. O -ai ivraOOa 9 cov, /.al, t?.; oiao'^wov, lero: ty om- les gouvernement du j des Dolopes et l'éducation de son Achille. Phœnix suivit son élève au I&vaiov y. sapaûSa, bâtât*!.' T [ '0%J'7'7Ï. J /-.'. T:OTr 'to"./.'», u [tî] piotoç no'/.j; t'r. iort, glo- qui a x.r/Ovr. xol pour èveev- : 7. 'EÇôv, an lieu de. 8. 4»0(oLVct8t, Fhthiotide, peti de la Thessalièan temps de la gui de Troie. Achille régnait sur Pbthiotes. 9. Twv BvraûOa, PéïaJ des eAoscs ici, datjs ?es en/î T6 pfXt ov èxsivtiJV ôrro-C'-O'/ meilhurc de 'ces deux choseSj à savoir la gloire ou la •r,v, gucMc ftart /a vie, 8g££piov, ptou. Je i'uis dit-on, on beaucoup [il ;ms sai jou:s suivis d'une longue [méinoîi i'. choisi tcapo'jpoç Lùv, ftt;Tevé{i» â'/.Ao 'Avoçt -ai' iy./.TÇ'). Va, ne nu ucèv otTOStpo; Iri t£>\ r-ent., 10. Dans l'Odyssée (xi, v. 488-49-2) l'ombre d'Achille dit à Ulyss ;. Bo'jXoip.'qv tw Biw . . jjlv., ev rieux Ulysse; f(limerais mieux, $m\ U laboureur, être aux gages d'un aui chez un homme jeu. favorisé dus qui n'aurait pas granit moyens i'ej r fcxis « e, que di /'.; mort a détruits. 5. Ilfpa TOÛ xaXcoc lyoVTqç drfâ de.e gui esî co)immt/e, p/«s jue de raison. G. La proposition infiniti li riv.ïcor ulrfv c bitt 3. Xeiotovtfç tô xat «K'v.v.o:, C/<<Sur Chiron voy. la ron e( note 7 de la page 26. Phœnix, fils ù 'Amyntor, fuyant la colère de son père, se réfugia auprès de Pelée, qui OtJ croi <Ï>Ôiwtuh 8 paai^xusiv, t?, XI. Mr, y.cx'xov to psÀTtov èscsivcm ottotsiovàv"^ ctyvoôv bres des morts, celle d'Achille s'entretint longtemps avec lui. Voy. sur v tte évocation i, u_, o da le 7i- ÉçcuToG oiavostffôai, tto/.at; ai- NécTOpoç, à.AAa tots non à foi. Lorsque Ulysse évoqua lui confia :y,v àyaOr,; ooÇïiç 6ava*rov, toi, et I toovtwv stvac- Ttva <tpuv«, o«t- xà TOeTOpavueva des plus jeunes, des plus beaux et des plus braves de tous ceux qui se distinguèrent devant Troie, périt en défendant son père. Ami d'Achille e1 de Patrocle, il fut dépose dans le même tombeau qu'eux. 1. Lot sfpritctij ont été dites par -1. Hxpooar^ TOV O'-Ao/.'.vôuv'jTaTOv èÇov 7 âxAsû; tooAotoqvuw iv or, ! 0'.- uiv Ôtireveiv Traça' tivi â'yevv*?) y '* p././/>vr, Siyi, ouv Aov, /.al TOepa TOC y.a7.o>ç à'yovTo; vew âvaçta TOW to; y.-cvvr, /.al ï r, - Ou peu de (Racine, ïphîginie, bcI. I, se. 2 ) DIALOGUE XX. 58 70 du<7T7jvov yçetvo oo^gpiov 7?pD£ît(JU*v toG wjpu w; èxeivn r/)r, 2 àvoj ^j/cadiicouçi x.x'aao; sx.sîvo, à 1 uîv àvc-josAr,: [£6Ta , vexpôv A.v7i).oy£, ouT6 u.sOa xrcavTe$ ûtto tîo aoTto dXXi\kfù\ o ui<péûOVT£ç ouzgi v.c, oi»T6 3 £r.; TauTa AWT. O/xuç Êooçe /-i ' voiç k • «.era «.wtpov oe r r Taora yàç â-avTa;'. Octô • ' |i ttîgI ai êcu.ev otas r x.otvama toO TTpa^fxaTor, Opa; tov Hcax.Asa x&l a/.Aoo;0y.oy.a7Toô: xvdpaç, oi , . > • i 5*è k vov aoTov 7ve7wov0évai. pov 4 'O&jggsÙc «©tHeTai itavroe. *epei T x.al T.y.zyjL'/rrjM xcàfi ' iaOXo; x.al X.YiXXa5; co k i 9 àx.pi- froreua '(wv. àiccOvriaxeiv r ? • i$è , osa; îwv ËTaiptevoGoi i A/./.oj; T3 . 6 rravTco; k i 8 puq ti oov av ti; 7ûa0ot, 00-73'.°. T7J x«t où^êv x.al oîtwv Ayaiwv (kp&icçuQuaiv «myopia ^è x.a/.ô; xet- y.A/.-y. Tcwcdv vexpol &s- oi tcov aviâ, xal zyÔoiiLat oti w.e TCaoecTtv Loaxa ôuioioi, xai vsxpoç oy.oio;, «r/Acv . otc [xaXttrra oi ei x.al icy-j; r, cvv- «^à duumu.wr xat outs to <^£ *ai oare ' , Nu* [Jiou. oox. pw; [i.0- tov Ms/ia- x.a t , to /.al av, oipiat, oe- é àvcAOcîv C'/'.vto eï , 7 aoToô:- tl;3 âvairéad/eie , DvjTeuaovTa; , hou àoioi: txvopaGiv. à/.Ar'ûoi: k i Le pauvre en :a 1. 'Exîîvy,, SOUS-eilt. sa cabaDe où Je cliaa Tay. )v/:o'.;'.. ÀUusiofl aux font chanter plus les exploits d'Achille et immortali 2. couvre [le ; I [Louvre X'en defend pas nos rois. (Ode à Dnperri .ire . IsTjyopfa àxpiê/fc, égalité Dans les enfers, connue le dit Properce (Eleg. in. 3), on ne disting plus le riche Crésus du mendi Iras LydasDalicfaîo nnndistnt Crœsasablro. 4. Voici le vers d'Homère auquel : empruntée cette - Est sujet à ses lois, Et la gartle qui veille aux barrières du .t i -\-j.f citation xatxôç -r-j.ï, : S. Comparez encore Malherbe De murmurer contre 5."Xoo;i ty, ouest, Ddvrtûç. TX/Tco: _ î - 7. I a de la m< la seule Oui nous mette en repos. a.) Ms^éotypov, lléUaqrt,ffl& d'Œ ou de Mars et d'Àlthée. célèbre .i î :erhe C tnt pour : [scii 9. Pins bas, . ù<: [ti. naturu, iture a vers perdre pa- hors de propos Vouloir ce que Dieu veut est /fîade. IX. y. 549.] ' elle et Il est LcrdXôç. r//-. jcoù les : > : prit part à gonautes et tua le i '• s h DIALOGUE AXIA. r, tôv Tcapà tov W.V7ÎLL71 1 GTOV . ETaipucY] uiv Ei ^s XX*. TCapaiveci»; /; âvia* (Jiov iaè 6è oùx oi$' ' Ol{Jl.ai oè xaî or: cm; £/.'/- 'jV.ÔjV ôtioÀOYgtTe, tocutti yeipous ia-'z, y.yjf «eu- u»y| viav koto 7cà<j^ovreç« ANT. O'jz, à/.A toS Xeyctv doô{jLev. ÔÊôoxTat -ico~'/.v J r,y.lv ô ày.sivvj;, voep àvcM' :"/.; tpéoeiv, xai âvejçecÔat jeat , r yéXttTa 0<pXw|A£v 3 , /.al uij , ùc AvO^.sS' to c'mç-co c-j r TOiaura EUYoaevoi. ; y/ ; AIAA0r02 KA A . — DIALOGUE XXI. mort, chacun regrette la condition, quelle qu'elle soit, qu'il avait sur la terre le pauvre lui-même regrette sa pauvreté. la : AlOrEISHS, Â>TIS0E]SH2, Aior. AvtigScviç oùx aicip.ev eùÔè x.al KPATHZ KAI KpaTZiç KaOooou 4 , ttjç IITftXOS TI2. cyo/.r.v ayo{/.ev , yevotTO, touç ovraç à Amcojxev, oaxpuovtaç |/.èv y.GsOr.vy.'." Aiovevsç. Èviouç &è Kai vàp av aurôv iroifiij to BeauLa fil uceTeu- eiri Tpayr,- flou ôpav, tov; otjtgSv [aoaiç ti TCeotitaTTjffovTeç, o<Lotx.svoi touç xaTiovraç, oioi Tivéç eiai, xat ti êxoiotoç ANT. 5gté KaTLoVraç, xai, wôoOvroç toj Eotiou, optwç âvTtoawovTaç, zal utctiou: 7.0V âvrepeioovTaç, oOoèv oeov. KPÀT. 'Eyù 7,7.77,1 iv. y. a 7 y. voifr 77, v xal oiviWao^ai ûiuv à el^ov, ÔTC'jra doov. Aior. AvjfpGat, côKpaTr,;- Ibtxaç yac tw* ittpajcsva! TrayveXota. KPAT. Kai avToT: 5' Tuîôv 4. 7.v 2. zXÀoi uiv tcoXXos GU'YîcaTfiGaivov Âtuv gfrur/iuioi. lff«.7ivoo topos ëxairrov gouverné est 5 Te 6 ttaov'J'.o; 6 ousned* sons-entendu, :. I ii Tr: xaOo'Ôo'J. Ce patîentia ! :. Qui il qui il corr -' nefas. : o. S. MO. •. 6ok<ù\i=v, lcrjjL7|vcôwpo?, /. génitii IÙ JZ. :v r.v.:- . dialogue: xxi. GO Ttpbç, xâi Àp<?ax7)ç 5 Mr/ïia; O [ISVtOÇ. U.h O'JV Tpaùaa xal to VEowà, à xvsxccXeTto,7 yoipta, T.v:iizT t ouo oeucov, £ XflCl ôVrâ \L'j. oÎxetoç jaovo'j; YOUcâç T72VTC O 2 x.?.'. papcaputoV Ouiov, xal vjçîo'j tov î—ttov K.âTr7raoox7)v àç ttoXsiawv, &iq- aliTti , 4 ttay^/v; , ty,v pa- tcé*àT7] xgj -vàp ajXOOTEOOl ota- ulv vap k éLpcaxrc " k TfcpouiwE^opt//iîcaç, uttoôoc tt;v k i OCAÀWV llev * EV T7) £771 TCo A.ÛOC7i 7 i ûitoOelç oè • e O cjfrrrAo/.-?;. t? tgu Apcaxou tov Xqvtûv oux acs'Avo; TTpoçayOr.vat l/.là OIYJ'YEÎTO, 770 AO TCûV yTToaTaç &è 6 6pàE, Ai' l'viOV. ij^Oeto, xck '/lyavaxTEt irc^oç k £7r/fXaUVEV, 4 k zal TaOra, ciaXa; vij 0770 D'paXOÇ tWQÇ TTEÀTfltGTOO tov - i k xat Ta ttîc! Tar , tûv Otto Eirr/YSto zaï 6 MÏTTOÇ OtÙTW CUVETE0VTÎXEI tzqqç è7T£u.éuL<psT0 XULLOia TETTapa ULCÔ ÉOUTOO oyiv, s; to TTy.C3VT£C êauTM ' 'Apcrax/jç, YTjpatoç £ot], xai 5 ta irai^ta ta iv/i- xzl t?: ToAav.;, o; KtQaipôva û-csoaAAojv ëXeuSeoog; pa£i£o>v) ecrêvé oI{i.£i, Taîv v^Epoîv iv Ap- X}ûQvtf,ç 6 v.y.l i7rè©OV£UTQ "Vap ÙTTO Xy)«5TÔ»V EXeuofra, i; jtareXé'Xot'n'Et,' ' « -j-apyo;, IGJ&7) VOO bi ÛOÇ Tra:y. tcw Kitiaipâvat, T£j ' , airocrciETat (raptccav, aurov tî otaivEipst xat tov «nrov. « AJSfT. Ilcoç oiov te, vsaOat ijVJc'e, grande contrée d'Asie, capitale Ecbatàne. Constituée en royaume à la fin du premier em- pired'Assyrie (759 av. J.-C), elle fut plus tard" englobée par Cyrus dans spire des Perses '530). 'Apiié- — vioç, Arménien. L'Arménie , conti de l'Asie occidentale, s'étendait entre Caucase, la mer Caspienne, l'EuKiOaipâvot, re et le Tigre. le de la Béotie. , montagne 'EXs'jffïva, Eleusis, bourg de l'Attique, célèbre par le culte de Cérès c; de Proserpine. le — — I 2. ' r TT/.r.yv; touto ye- ; Mr.Sfaç, 1 KpaTTiç, pua E'/.fjHzyl-, Eleutliêres, petit de la Béotie entre le Cifkéron et Eleusis. 3. 'E; /"aço?i t6 (t.ôo;) ^opfiapixdv, à Za des barbares. 'k. AÙTcp datif gouverné par sùv de kTUV£T£0VirjX£t. , 5. 'Ajx'fdtepoi Z'.-j.r.-j.'A-n-,z , nomi- natif absolu, qu'on pourrait expliquer par l'ellipse de litsl ^crav. 6. DeATOKreoD, pdtaste, fantassin armé à la légère, portant la sréXTT,, ou petit bouclier sans courrok s fleuve d'Arménie, tellement rapide que Virgile pontem indignaUia a pu dire.de lui A s. [En. vin, T2S.) 7. ApdÇiQ, l'Araore, : DIALOGUE KPAT. ca-r.yv; ô A,vttcÔ£vfç.' ogùvyàp Pâtcra, MnfXflwvw eùeo- irpoêsS^ipivcç* ô(-):a; Je, T-.va /.ovtov ÈiretOY] t?, Xcffiv, 1 yovu dxXaoaç, oserai abuMti), £ç to ô Cl aicsxpouffaTQ Ty,v 7FpocooV/}v, xai t.-jScj'jV) au tov TTc/.Tr, TÎj r, t4« 3~c- <7api<JG7] xal Ttrrpcaaxei tov mctww ûiro to ctssvov, trwo Buprô cr oo:oTr,To; xal XXI. Apca/.r,; . Opâ; ocov ti iyivsTO 2 Kai rjÇtou rôO Kvopoç oj & 'HyavaxTci tou wrrcou y.â/.Aov to spyov. (ov Tttîç aeXÀotç, • M oteXauveTca éaurov ^lenreipavrar , xal a/ Xà ôy.o>; ôy.oT-y.o; xaTUvat. îttttcÙ;' £4 y 3 bfiOiTT.ç Q ftiftVrnç /.al wavu à-a/.ô; y,v tw iTOdô, /.a-, ouè êcravai yay.a-., o/^ orrco: pao^tn' Eduvaio. G HacyooGt kùto âreyvwç Mr.cW 5' TOJV 17777COV, (OGTTcG icotiiTi pao^i^ouctv. KaTaoa/.cov rài uloXi; xal oùdeuta u.v.yy.rl Kayto TtXeuGatui. Kal Traça tov to luopOueiov ivaoTuov • Aior. syco à 2 p./.a 2'j piv , ù 4 , ' é77tT7]rteuoç loaxpuov tî xal aoToT;. xal AvrieÔeveç, TOtoofaiv , SUol ^3 B/.c'lia: T; Ô ^avSlTT/.Ç, xalAau.nçô Axapvàv 6 77AouGio;6 ex cb; ttaoov. oî viv KpaT7]ç av 'il , ets pire avertis 6TUY£TE TCOV C'JVOoV.TTo'cWV Ilsipauoç aô$' àvc'y.i;a êaauTGV yoScav V l Aatuç icpoç pi/.T-.TTo; âocl; oi^LwÇovtaç aÙTOiiç, iwpoaopauùiv ttocOucTov, TTco/.aTiAaoov r/. a'yc*. §è, o-o'ts xxtt'siv, to-: àV/.oi;- à a a', ô oè SyôACOV. ANT. £-1 airobôai i-/,v Iouto* IxetTO, àvtcracrôat viOsAîv Epave,' ccpxuevor. aÙTOv exoatcev 6VW Oc , TCOV à/.avOloV STTlbaiVQVTEÇ à.XSO- £771 01 Tra'vTc: . ^evayoç Ropivôoû, <7'jyxaTv;2o-av 6 tov, xal [asv Ay'u.'.:, I. laçiT-r,, samse, lance de la longueur de 14 ou L6 coudées, particulièrement en usage chez les Ma- Cnv. cédonii L'A o. Àxav/av, A..•jrnanien % nanie, province de la Grèce cei traie, baignée par la mer Ionien. fournissait de rudes et vaillants ; 2. ']--'.,:, à Chi ! 4. HeipauÔç, le Pirce, porc d'Athè- nes. . gouverne à la fois £7tava: et V>o> - I DIALOGUE 62 too kouSoç •jttô éaurov sscoto: cbrofftpaÇfl^ £Aî- îTO ccicoôavûxv, ô àè Àativif, ot oy.çy.7./.«-j/ J*/- a-cCX.Ar./.Eva'.j ^s BAc-yia; 6 Xfltt XXI. botiXou ^é V8, àOîuo; aiiaw ô oj/co; âç vTT&pêo- ( A7v xax ) cttto; Erra xaiiceû BidiùÇj Kvexpivov ov tootuov airoôavûttv. Aattioi KiTUt>ffivco tov gwv yàû xàxstvoç, deov 4 *o<; 3 xampaTo), oy.oO * 2 y (ait. , )uzc tc-j- 8 2Ù ti atria tov oGaraç 6 )caT7JVOpei pjdèv toi; Epatra, trauTov odos iwicote cTpsca;, szaio; o yewatoç. » ï's'ji.yr.'i A/.acvav (©STévê <^£, cm O 6c frira à), av. oaxpu&v piv yyp BAg'lia; rroAAr.v oti à'voiav, t/,v icpoGTiîCOimt x/aycotvao'.:, i: puoceaflai ô [Ltrnçtoç vauiÇcûv. Daiqv i7.v.ys oôttivtd- Z8i yoûftxv teûtooatjv irap&cr/ov tots ctîSovtî:. Aa7. urouiua êgllev àrrooy.ô'rrsiv àe ycr, r«3 etci -o:sojOcv tooc zmtxvouuivouç. juXoi, xat -avT3: ttay.v Ltèv K7COG%6i?£lv y. a*. By.oy.-. tto/.ao: «ye, $âxpuovrsç, iidTj y. al tto».- tôv vsoyvâv tovtwv VTnruAV. A/.Aa xaî ot ttovu ysyv.pa/.oT;: ooupovrai. Tt ïcal touto: a:a ti c.at:ov aùrooç '„- ulev uevrot ÈicaÔEç, txotxa tt:o tcmv a/.Acuv, îQY&wi^au scùto£ — rilv rco!>£{&tot>ç toÎi^ (rrevaYuiàv yQTiWXia l'y cm v t.v.zv:jiz. /.a'- v.Ao/.ivrJvcM; iy.oToC; Oj/. ^ toj > iw£V7{xoyTasTiK wv, wtTtMtatoexaéTei veflcvMRtia otÔToç, TETTttfiaç Ôooao-j: /.a- utov* j- y.j-/j. ô: Ta/.avTZ EGWIV, ^ tq sbeûiêÉcraiov douvoi&evoç. Eyco s; Qavtov- ri [X Év o ; céyxvaxTEÏç, r.irou : : t t i) O UTO&OS. ô : . 2 j; y, cva Tt: yspc^v âv.y- 7 ; 5. sont un yeu moins de 5,561,009 b. - - Tfldjrra Qu&apaç. 1. - Toûtov où? t.. : ' 3. 1 ,-'-oo; (JeXtwte , 3M» Aior. Aaax ffarpamîç c.-à-d. toG o-javaxi. Ti^aitpuEiç, ty.aiaoOto; *iro- :-/.'.:. = I^fEt - :/re 060- les la'rmt'F et femme il TT^va-'uwv. Ce les plaiutes de la Arapécav xoû qu'il aimait et pour laquelle s'est tué. 6. *0âsaç, oyan? p?'i.s Zes devant?, c.-à7. SaTpdTnjç ti;, : t. ï70:c DIALOGUE O nTP.X02. Aior. Apx Ô£$E tooto. oov ÉVXouTEtç, à 770/. 1 770V Ta T £ V X O IITOXO-. 7. / £ .Ta àv.a ; <7£ to tto a/.t.v Tpuo/.v '. ; Oùdèv to'.ootov kXX Ta EWEvTfxovra **fiiov oè £'.yov, s: XXII. xtcooqv etï] v.sv rj àv.v. in xaXau.ou xat ôotuac dcito o77£pooAY,v 77tco/o: ôv, aTî/.vo: TE, ///'. ' icpoCETt yco- ào;, xat spujopov jAî'-oiv. AIOT. O E'.Ta, toioOto; ojv, IlTfiXOS. Na* • £-?,v yzp rçoù r!0c).3:; y,v to opôÇj xaî to TôOvava-. ^eivov xat qeuxtÉov*3 . Aior. ïlapaicatstç, ysôcov xai TauTO, TIÇ ET! XeVOt ICEpt vépcav, xat [£ctpaxt£U7i y.A'.xuot-/;; TWV ojv oapy.ax.ov ; V£0)V, Ô77o't£ A), a' kicudllev 770:6 yiw; TOU M ouaxetv tov Ga'vaTov etatv, ouç £/pr,v xaxwv ù r/) T7, A'./.O , w: - /;, y//; icpoç to Tt oôv xv ! jTV. Ç'.AO-OJO', tw tcov £v ytfp? xat Ttç H[£aç Ot:'.- OTiTOt coç aitttôpaatv fknAsuovraç, opcov TCept to gtojauw 6*- Xouptavouç. AIAA0r02 KB\ lP. là où ulocoo'tsco; 1. XXII. et le 3 KIPEÏ2 T DIALOGUE plus laid des hommes ne se distinguent plus l'un de l'autre dans les enfers. Le plus beau ?s — bri , , 0EP2ITH2 KAI MEN1IHI02. Al£V. 77770; OÛTOdt oY/.a'cc». ICOTSpOÇ £<mv. Ènrè. KaXd{i0u, c'est ù MsvtTnus, où xaÀÀtwv coi ooxô: Mais ne bouceons d'où nous sommes: Plutôt souffrir que mourir, proprement roseau, la canne delaligne, et ôpuiâ; le lil de la ligne. 2. To vsOvdvai geivôv xr. zvjxtéov. Malherbe : La morl a îles douleurs :uis à a mine nulle auire autre le C'ist la devise des . Cet et dont voici vers: les derniers ' I Le trépas vient tout guérir; . fab. 14 S.Nipeoç, ]V Voy, sur ce héros _«*« K <j n i, „ la P- 13 Dote ° Je *• ©s=--^.^ FAerSlfe, le plus laid Et le plus lâche des Grecs qui vinrent au siège de Troie. Il était brave en a paroles et assaisonnait ses raille qnilni attiraient ssii cl'injun 5 g de dures corrections, l'n jour Achille le tua d'un coup de poing. i ' I, -2. i - (Ode à Dïperrier.j épisode du pauvre, qui aime la vie quand même, rappelle la table de la Fontaine intitulée la Mort et le hommes. I.. Cf. Ésope, fab. [pareilles Bûcheron, EU— DIALOGUE 64 MEN. TlvcçOî XXII. ÈGTéjirpoTepov, t»tp-at, v.'j.'. yàp toSto yp-Jj cidcvat. NIP. Nipeùç /.al ©£p<TtT7;ç. ME>~. IloTspoç o0a&7;cd oùv o Ntpeùç, yàp toÇto Lv fc>r,P. ïTOTEpoç q 0eô<7iir7ic: /.al (Îv.aov. [JLEV710Y] EYW.QTl TOUT O'AV.o: Etat «TOI, /.ai ttjIucoîïtov ôta<p£petç, r.Av.v; Te t)p7,poç Bxetvqs OUÔcV â toçTaô; y. E777JVEGEV, Et»LU>p©GTaTOV TwpOGEfîwWV kit a.TT/.VTCOV • 6V», fcalu/eovoç, oùaèv ystocov tj oe,'- ù MêviTnrc, ovTiva ° tû - ^tsczctr. ^>pa TGV AyXsuaç l l ' k Xapoiroç, y.y.\ ouyj rat Otto y^v, w; otjxat, « J I o; xaXXiGTG^ KaXXanrç r,A- aAA7. Ta uèv oarâ oaota, to oè scpavtov tootti uajvov * coii lrjy.ro k MÈN. Aaa apa 2 , /.al Euw.opoôTepo'»» »v*îî. y NIP. Eue V6 Gô; ©O'O^ ^ C.AA * i oiaîtpivotTO aroo xoû ôepciTou îteaviou, ôrt suOpuiram to • o&a-iradvov yàp outo, xai owe àvo ccVÎ:; eyetç. NIP. Rat , Epou ''O'xr.ûov oroûbc tr/jv » » » r,v i , ' oirore cuvearpa» reuov toîç Ayaiotç. MEN. cy3'.;° • OvetpaTa X&yetç' èyw £s a Vasttw, xaî vûv [loi Exsiva aeot tots loaciv 9 NIP. Ojx.oov lywevTauôa BIEN. Outê aoou, /.al o'jtê EÙutop<poT£poc^ttu. jaev /.al $o£5ç lyw. Homère MevittîTc: euulopooç' iGOTiata va? è\ à'/.Ao; dit tovto bcavov. de lai : \.;-.'y:, Stp€Ùç, '('//'ade, il, 2. Xeipcov, pire, m, plus laid. Ne confondez pas jreîpw^ avec /î-.ccLv, de xe Vi "w*n. 3. È'j^y^, 8p». 4. Fin de vers d'Homère [il. - f - A;"/. air; tréi; '-; /.i'i.'i.'.rr-^; v. 219.) « son crâne s'en allait en pointe, et sur ce crâne poussaient quelques rares cheveux. » génitif a> oaotot a-avTc; 7 . 0EP. Eaoi 1. cl», -. . : 5. 'E-'o Xc^â«Otd âvi|p '>-' avaxro;. 'l Jllïnde, ii, v. 072-073.) 8è '"tt/xi^ i ;/.i:u xa; vOv i/-r. 01 oe «Jts bdJiv è/.etva (a Xé- à 0. VS ' I 7. Ev â'oo'j 5uo'-0( a-avr^:. Cette idée, et en généioltoutes celles de ce dialogue se trouvent déjà dans le Dialogue" VI. TEAOl. , LEXIQUE DES MOTS CONTENUS DANS LES DIALOGUES DES MORTS DE LUCIEN. B. Les iV. explications qui ne sont point donne'es dans le lexique le sont dans lus notes, et réciproquement. ArE A nombre, en : un quanti , AAH ignoble; lâche, vil ; faible île cœur. R. à priv., YEwât», engendrer. cette lettre vaut surmontée elle est de l'accent aigu, â. nom. "A, ace. pi. ncut. de oç, et A-j/.'.ctçcv, «. so;-gû$, i';, qui fl(//., R. à n'est pas pesant, léger. "Afxupa, a; Arpcâptov, "A&eç, cv, g. eu, atfj., qui n'a pas de quoi vivre, pauvre. R. à ait. A'yây/-., mou, A- a(h';, pour cv, -/i, â-jpp 5 , act. ttâvtà. ad]., bon, vertô : à-y?.- qui est bon, 6c v (-;à-,'y.a), ce A-j-aa-'avtov, 9. eve; (c) (D. xu). 'AfavaxTSto-û), /. r.sco, p. r,-p.vâxT^xa, s'indigner. R. ôtyav, , beaucoup, à-/0cy-7.'. , se fâcher. x.7., , 7??/. _/". viaw, p. «faim- à^-a-xô-.v-àv, aimer, êlre content de o« p. 'A-vewr';, ot*yXao'î, r'erro , p. iryvor./.* ne pas connai ignorer, méconnaîl tfaf.), pr/y. , pow, -j-vtûat, -s-.-- . - o/m, connaître. A-poxiTc;, cv, o. cj, inconri'i méconnaissable. M. R. V A -;;(•>,/. tfaryjtà. quer. R. à-f/j, près. "Afio,/. à;«, «or. 2 t;tcv, n//. îfyxfov, co;:duire, amener. p. r./a, a//, xjr/7.. ûvc; (ô), combat. R. cep». /. lasfAXl, f. 2 t;ip. pass. «fûvtaf&xt, corn- Afcovî^CL/.a'., [/.ai, R. irpv. AS'eXcpr', ri; (r,), sœur. R. £&\- ©0';. s. \^ù!o>>f. ÙM,aor. ).a, oh battre. si. Moyen, if x~âcaai-S>u.at m. R. à A-ycôv, Afa— aw-ôi Aglaé. R. *Ay/. w > P- vf/. y-' étrangler, sufTo- le bien, la vertu. trop (o-'". pers. '2 courageux , a;(r,), brillant. tre, e é tueux AfXaîa, délicat, — beau. sino. snl'j. aor. petite ancre. (rc), Apcs'to-fo, /. prit'., (5toç, vie. efféminé; m M. R. ancre. (r,), R. gfxupa. priv., (3apc;, poids. jà€po;, x, sv, oc/;., hameçon. R. (tô)i bras. i.y/,%1, o. 71 , Aoxsr,;, c-j l er 7)-p;si- îrnsXxx, annoncer. -; , g. sc;-cvi;, ru/j., A^sÀoc';, cù "A^r,;, eu Iv âîcu (c), (g), frère. les enfers (to'to») ; Iî ; Pluton a£eu i. • (toîtcv*, AIT ÀIP 2 dans R. à les enfers. voir Et^H», où , prii\ eT/.cv , ne voit l'on , tuer, détruire Moyen, — chauler. Ail, adr., toujours éç xeT, : pour 'Aôavacîa, aç R. y. priv. AÔivaroç, pén. eu, ad/., im- M. R. ou (ô), athlele. R. aOXoç, combat. 2 moy. gotdfusv, comprendre;' s'aanhnadverlere. percevoir de, . ^ . I. ou" prix (to*), rf ;r,\ ' IL **»"»• bon le> nom pf. /. At, nom vt. f. I. Ai, de 5, II. de oç, «. r„ to. S. III. A", interj., hélas! Aiaxo'ç, dû (ô), voj»*i. „ ^«i éca; l tr p«ss. «feg»- P^-TW^> P- J'°0«w rosy-a: , a-Tscuxi-cmai, /. aor. , 1 er f.rr.axy.r.v, rn> s * l'Egvpte. I. AirCa, ijpïjxa, t.;, cause, motif; km*, confr. cTafncnj, 2 e p. 5wo. de A^.x, *toç (tc), sang. ;,. a; — crime, accusation. II. r;# ( Kio^uvoftat, /. ai- vî ?- (pi voc.t», Pluton. /. t <jo), . nonte, taire - Egyptien. Aï&weûç, , aor I er P«*. #*<"•««, avoir honle, roug.r de. Aitew-w,/. ko», p. frwa, demander quelque chose a quelqu un , ri ttvi, ou -\t.%-A n- Eaque. (r,), r , . , <faœ&' rougir. Aia;,avroç, toc. Aîav, Ajax.R. a;. Aipîmoç, a, cv, adj., d'Egyp.-uttt oç, eu _ . V- sing. 2 r éSm honte,' déshon- '• , combat. nombre. A.;pç», * ^* Moyen, (5), ^ s/ ' «luvoûftot, /. pressé;— fréquent, nombreux, en grand ^ ;,., ' J* du combat. A'cc'cr, a, cv,adj., r su bj. a or. 2 Aicr/;jvw,/.'jvcj, taire ou' te, — Mn^ p> A^yv^r.: p^ tAflXoç, 5e A?0 6r _ ali malheureux. a, cv, «d;., r m p. , «oôéciiai), /. /orni. pass. de ifai'oôavoaai. A Vj>.cv, s. sentir, Oavaxoç, mort. , ^1 ni. pnm. -.<;.-/.•. yatoip.a.it aor. Minerve prolecXtavS, à: ï trace d Athènes. R. Aôr,vat. Afor**, W v (at, A henes. Wnien A .va.:, ou (0), A6X.7JTT1;, a-, V.acuai immortalité. (r,), y cv, mortel. "AÔ>4oç, aï 76 r/ÎOr, agréable. , r.yr.u.y.\. , prendre, er Aîp<*,/. à;û, p. £:/.%, aor. 1 enlever. yj;?., lever, élever, Moyen, désagréablement, avec peine. R. àr,&iç, 4c à Ar/îô»;, ot/f., puss. ci/.car.v, choisir, préférer. toujours, à jamais. priv. moy. aor. 2 /. ara, p. jpca, abscu.cv.,/. «xrcaftt, form. de p. priv., JûvaCroç, qui peut. ke&u, saisir — injuste. "A&zoç, cv, 9. eu, ac//\ R. à prw. , &umq, justice. 'A'V-jv-y.T::, y., cv, ar/j., incapable impossible. R. de; faible; y. — de ; choisir, élire; enlever du milieu des hommes (lollere è medio), prendre, se poînt. 'Aocj, p. (de l'imts. ëXu), f. 2 iA», aor, 2 AinâofMU-ûjiAt , /. scacuai, ac- , AKU AAH cuser, reprocher, se plaindre ou île, ri Ai7t.;, x, ev, m/j. auteur de. pr. ouria. qui est cause, , M. R. contr. aît'.ô), R. T-.vx. hnpér. ffairtoccu, Aïtvu, /.; r. Kl , m, montagne imprévu, soudain ttcc; to aî<pvî5icv à cet événement (-fàvax), inattendu. R. suçvdç, à l'im: proviste; à »rio. raître, K<pzvri(, Aîmvmç, cj, cv, g. dsuvw, pa- , imprévu. od;, AxxvOoioV,:, e;, a. £c;-rjç;, adj., AxéVrpa, ?.; (r,), aiguille. xsopat, coudre. A/./.£ô>;, , R. , sans hé- pauvre. R. à priv. , exact uaV. y./.cÀcj- accompagner. , sans poussière sans se couvrir de poussière — sans peine. R. àpriv., sans , pi/'f., , ; xovtç, ; AxptSa»;, ad?. exactement, parfaitement. R. abc , xacpuu, ÔxpOOfAOt, »l. /^ass. /?. 5. quj./.'/jti. pointe la en marchant des pieds. R. , pied, à/.;:;. ttcj;, — grand haut, extrême; :t7.:7:1 «0Gt,|a poin- des pieds occpcc ; ipiJ.coooct, de grands philosophes. (t,i, pointe. R. m. sur!, s. A/.wv, cv, cucfdt, g. comme R. lui, etc. t. cvr;:, nr//. rnoitus, maigre vo- priv., ixûv, lontaire. r. fanfaroanade, , jactance, ostentation, charlaAàa£«*v, R. xXa£«*v. fanfa- cv, 9. cv.:, </(//., ron, charlatan. A>.a-j.'îv:'r, r, cat. cv, arf/., facile a briser, faible piller, à qui lance Àxomornc, le javelot. R. ixovriÇca, lancer c5 (o), celui w- adj., i*;-zZ;, g. i;, tanerie. poussière. , déli- R. ôXamcÇo», dépouiller. A"/.-;c:, a. cc;-c-j; (rc), douleur, mal. le javelot. v eoç-cdc (tô), remède. R. guérir. Àx:'JGa7E,2 e «r/j. parfait. AXoÇgveûz, a: xXâpo;, sort, héritage. AxoXcu6î'a)-ô), /. t.ctw, p. à/.Eco, Axpt&fc, forcé, cv, g. cj, «fV/. 6r,*a, suivre, tu, Axmxiî, y; gloire. ritage, a. , s. pâyvuiu. mêler. te aaV., sans gloire, hon- "AxÀDpoç, A/.c;, cv, fiXca) m. (./.vjzv.j.r.i, "A/.ccr, a, cv, «<(/'., teusement. R. àpriv., xXeoç, AxgvitC, 1 "Axparcc, sur épineux. R. sucxvda. Àxapvav, av.; (T, Acarnanien d'Acarnanie en Grèce). iy.vny., — ipo/<r a/f. à/.r.x.',7. er p. Axocîrc^DTt, adv. épine. (t,i, er entendre, écouter ; entendre dire. Voy., obc&ûcuot,/. pjocuzi, Axp cachai, /. éternel. , R. aùôv, temps. A/.xv6a, a; i mélange, pur. R. i volcanique de Sicile. .àicr, a, cv, «(i/., aor. 'A/.vJm, /. euott, aor. d'iJ.-.TL'.u.y.'.. 3 Aàh';7.v£;c;,c'j, (c), à>.='£(j, p.p/. aor. 1 er hnpér. Alexandre. R. pousser, awnp, AXrifeia, a:, j, , vérité. homme. R. à).r.- d'x/.v'jio. Axcûcc:, cv,£. lontaire, é/.wv, mi, forcé. volontaire. «((/., R. à invoptw. A/./.Ot;, «ce. si??a. m. oh p/. R6U.. de \'jxH;. -;. g. Éoç-cûç, adj., vrai. AMT AAY 4 R. ipriv., Xr.Oco,Xavôavu,ca- f Aax, même cher. adv., véritablement.R. 'AXrOco.;, 'A{**toîî, ranl àXr.ôri;. A-/.'.su,', s'w; pécheur. R. aXç, [é), A>,^;v^^,sco;,at/>.,quiest d'Halicarnasse. *. . AXtzxpvxcrGo;, &y (r. ; tt i- Hahcar- , nasse. - , ; .. , aX» ff« f. /7 (duprim. . aor. l er^»<«, ait: êaXacra, aor. 2 r./.»-; atÇ. szXuv (du m/1 *«*«, part. aXoy;,prendre. -*L aor. 2etleparf.ontlesenspass. prwn. aXtoui), ^ A/.a' I. pour même; or: iXXà /.-A, Iija-jrveX û raÛTa,va, oui, je rai cette et àXX' fe- commission. ccc. 'A/.À7., ??o»j e/ />/. ?zc?(f. tfôXXcç. ÂXXïiXcu;, «ce. (/e A/J.vi>.o)v, p/. <?c'«. que sans nom. ; ; odj. récipro- les uns les au- mutuellement ~:c: à/.ï.r.Xcv;, les uns contre les autres. R. à).)/,: répété. "AXXoç, r,, c, arfj., autre ko,! rà : : aXXa, et le reste, e/ cœtcra; ens.-eni. y.xrà, et du reste, et — -y. pour d'autres raisons 5 5' gXXa, mais à propos. "AXXtùç, a(/t'., autrement; d'ailleurs. R. ôXXc;. 'AXo-;^:, ac/f., sans raison; — sans cause, sans Xc-;c;, motif. R. à raison. "A'/.'j-c;, cv, #. c-j, ad}., qui n'a pas ouquinecausepasdechagrin : -l â'/.u-cv.égali lé d'esprit, gaieté. a; R. ipriv., (r,), V'?^'«. pri»., jjutv- apprendre. ignorance. M. R. f> fe«ftfa|c« /• prHM *!^?" w )> P- »«-«?Tr,xa, fl0r 2 Tuôprcv, se tromper, « ' '/.j-r., chagrin. ' pécher . Aitas-rew, aor. Ç^ç }- 2 iw. du pr. p.â«*eivove ; -oe Ç -GUî, ou ' d iaSÎ wv . ., Wstvco, p> ', àueivova-ôcHi, ace. nom 0Ji ; acc e, muL L ,j e ^vcv, V :"* cv, y. eve; compar. , tfi^Mç, meilleur = ir- âu. £ .- : vaut mieux. -771), il 'ÂâéXsw,/. r,<T«, p. r u.ù.r?.%, négligèr$ ne pas se mettre en peine; être négligent. R. à pr., — t on a soin. uiXet, ÂusXx;, gcht. très, pm\, » , n^ a/./.a. 'AXkd t conj. t mais, cependant; II. , R. à grossier. ? w F*86»» ' /-% - - X,^ B*v g. icç-cû^ nrfj.,igno- h',', 3L{icc8iot, mer. . ensemble, avec ; en temps ; dès, dès que. o.dv., e;, eo;, p. «(/;'., négîi- M- R- 'Ay.éXcGOt, aor. 1 er imper, d'ini- Xsco. Âasvr.vo;, x, o'v, adj., faible; léger, fugitif. R. ipriv., asvc.;, cœur. Ap.iXXacaat-oy.at, y. sautai, lutter contre, rivaliser, R. ôutX- Xa, combat, "Ay.awv, cave; (c), Ammon. 'Aaaûvta, «3v(tx), fêtes en l'honneur de Jupiter Ammon. "Aaccçc;, cv, ^. cj, at//., infor- me, difforme, sans beauté. R. à pm\, accçri, forme. 'Aau^poç, a, 6w,aHj., obscur, im- perceptible; faible. pris ouï-., — Aa-j^ccv, obscurément : %u.j- ttpèvPXiirciv, voir à peine,, être presque aveugle. AN A ÀMA r A y ., vatvrc, o' p. pi. aor. 1 moy. U'àuù'H». Ay.j/ra;, cj l), Amyntas. Ày.-jvM, /. aor. -jv:-), I repousser, venger er R. awatyn, nécessité. AV7.-/.7.;::, a, w, nt//'., nécesî forcer. opt. re, inévitable, indispensable. R. élever conduire ; lever. R. ivâ, àVo. r.auva, If. porter du secours. 3/o?/., 7.y.jv,y.7.'.,/. «or. l ,r s. Avaotocftfii, — ger de quelqu'un, -v.i. avec le Aav', prép. ù 5 ou; gcn., autour, à cause, louavec l'ace, autour, chant ; avec le dat., sur, environ ; pour, à cause de, quant à, au- — — — — sang. R. ipriv., u.x, sang. dou- teux, équivoque, incertain teuï. R. Âocpt, Auupôrepo;, a, : »<(/'., R. l'autre, tous deux. un I g. deux, xoepeo, deux, les deux. tête d'une phrase, nc/j., dre, pren— emporter; — tuer. R. àvx, xîpéa. Av, conj. — En le subj., sign. vous venez. Gr,;, si si : xv z\- — Dans détruire, Moy.f m. loiis les v avec cïv, 7.I- negare t/e nec. Avxipéw, enlever, lever; et etcoc;, autre. "Aa'j'o, cuph., cienne négation, aiveux'., ferminaison de verbe, comme f&xXto, jeter. ov, v Avaivcuat, /. éaouai, rrop. ivçR. à/a, rmvofi.T,v, refuser. doti- être iv iu.cot€oXû) Eivaw, sans effusion de 'Avatu.coTÎ, orfi*., tour. A;/.sîcV/.c:, ov, g. cj, a<tj., en- — — ven- se ; /*. xva^âat*, aor. 2 rendre; répandre; gcyc&tv, donner, jeter. R. àva, 5îJwu.'., donner. 'Avâ'îo:, aor. 2 imper, du pr. enAr/z'vo, lever en haut; lever. R. cox, ôeipca, m. s. OVCÛUXt, m. hi-yj.-j.vi, JE» outre, se venger, — \va-;<o, défendre, ; 6 'Ava'.<r/;jvT(a, s. a; impudence, (t.), t/e le A,vat«xovTo;,çv, g. to, ad/., impu- lim- dent. R. à priv.ri cuph., xi- parf. de l'ind., le prés, ou les aor. de l'opt., l'inf. et le. part., elle équivaut ànolre condition- AvxxaX&w, appeler à haute voix, nommer. R. àvx, xxXiu, corps de la phrase, avec nel : ïaGc.î xv, driez, A va, s-!, vous vien- si. — En composition, elle mar- que mouvement de bas en haut : xvxgxîvîiv, monter ; ou réciprocité: xvxXap&oivEiv, repren- dre. honte. 3/o»/. y*, prép. qui régit l'ace, par. Avxo'.cco-ô) cr/juvii, , ÉaotfXL, KvaxaXEOuai-0'ju.at, m. Avax*;pûffau, p. i-/y.y.i/:r.z-y/y., àvr/.r.s'j/Or.v àvx, revivre. R. àvx , /. içto, aor. I er pasi. 'jTTto, proclamer. , y.r.zjd'jtù, Axxxatvtt, R. publier. ivô, p. /". s'informer, , 5. û?/. i'.Tj./Â/.y./.-j., interroger, dexptvu, juger, mander. R. àvx, examiner. Âvo/ya-ytôv, côix, o'v, aor. Ipart. vrer (Tavâ'Yu. Ava*pcâ^u, /. aaa), p. 'AvaXau.Sà/0), reprendre, recou- r.vxy/.x/.x, ; — prendre , enlever. R. ivx, /.aaozvw, prendre. , , AN A G ANE f. àv7iu'';o (du pr\m. à v ?. y. (-«), mêler. R. àvâ, aî- 'A.VflfU'vvutu, l ' * 5. lit. "jfVUttl, , # AvautuwKnu», kvxuyxm, y. rï^w, a or. 1 er xvév.n.Gy., faire ressouvenir xva- p. àvxu.ëu.yr.xx, : m, u.vnd«a je des citerai te exemples. R. àvâ, uvâa, faire souvenir. Moy., àva.y.'.'j.vr7/.cu.a'.,âva- u.vxcu.x*.,/'. r.Tsy.x'., p. pass. id. xvafxiu.w)uai, ressouve- se Kve^vr<a§7iv, de form. aor. 1 er nir de, ait'c face. sa//j. cv, ar(/\, 9. eu, sans antagoniste, sans concur- R. à prît'., w. euph., àvra"y«v.<miç, antagoniste. R. à indigne. euph., àî.sr, di- 6v, a. ou, 'Av-/£'.::, py'iv., v flc//'., gne. miea, persuader. R. àvâ, -eîOw, M. 5. Avxttel/.— w. Ev.dco, /". aor. 1 er en haut muijia, jeter voyer. R. àvâ, ; àvî'- — ren- tA'j.-v), en- voyer. Ava-nréijuJ/sia, da a :, aor. 1 er e, 0/)/. ou R. d. r, , cv, parf. p. pass. de non jÉLV&rrxTOç, cv, g. m», adj., stable; — détruit T.v.ïrj'j.'. g. âv7.q, roi. : xikcotxtgv renverser, détruire. , R. àvâ, néo., crâu , îarr.at placer. À.vxmv»,/'. cvw, aor. 1er àvrrst- un éten- âvKTetvetv laurov, avoir air hautain. R. àvâ, 7e;vo, : Avarpeir», p. pass., àtarérpap.p.7.:, renverser. R. àvâ, tse-co, tourner. jlcvx<pxivu montrer, découvrir. , R. àvâ, ©atvtdy*»!. s. J/o;/. , vy;v, er xvxjpaiyGfAae, p. àva- aor. 2 pass. àvsoâ- paraître. Avo;y., ace. f. d'irr.z. Av$païco£ov, co (to), esclave. àvr!;, à. m. homme, iroûç, pied, R. ??2. homme enchaîné par les pieds. AvJpaTKr&d&oç , s;, 9. êo^-obç, adj., qui a l'âme servile, vile. Av^pxai, f/af. p/. d'xi-i.j. Av£peîoç, a, Avxicetxwuju, 1 régner sur, , R. àvSsâ—ooV/. pr. Av7.-E7rT7.y.Evc;, fior. c-âco, tirer. AvâsGco, /. âc,w 77£'vr,va, AvxraîOco, /. sico, aor. 1 er àv£- éo/. — tendre. Àvayr*Y»vi<TToç, rent. R. àvâ, kXm»;, va, p. àvarÉTttxx, élever, aor. 1 er t., y.:, plein. Av^a-âoi-â), tirer en haut, retirer ; lever Pancre. R. àvâ, dre Avy.y.vâco, y. àvauiuvwnees. Avafunâa», du pr. tout plein. àv:'.-E7âco,/. xveircraaa, xsw, ouvrir, déployer. R. àvâ, irexavtwpi, le R. 5 cv, adj., viril, mâ- — robuste, — courageux. àvrï: Av£piaç, 0. avre; (0), statue. MR. 7n. s. Passif, xvxiterâvvoftat, être Av^vOjot,:, 0. Éoç-oô;, «dj., viril, déployé, ouvert. ^/af. par/, p. qui a un grand cœur. H. R. Ave/.x/.eîtc, 5 e p. s. imp. moy. AyaîrsVdiva, xç, é, p. mo?/. d'à- A -â-Àîojç, d'y.j7./.y.'/.io). Avî/.y; j^a, aç, •r;.';7.!'/w. a> ; ??. p/. a, odlj. o»., JCTjpÛffOW. s, aor. 1 er d'àvx- ANE Av/y.c.vcv, eç, imp. cfàvetxpîvu. pour ivnXuôa, p. i, 3Lv€XiîXu8*, a/f. m o?/. A-NI Avr,"x'w-ô jeune, rajeunir. jeunesse. d'x'iz/'-y.y.:. 2 AvgXAttv, aor. r,;, jfc.vdJcov, oôaa, s?<^j. id. (Tàvatpeu. ;ao//. AvEfu'aTOToç, :/, a. cj, aaj. .s/on. ac/. ?'d. , aor. 2 sn/'j. 1 rr l mo»., homme ; mari ; Latbu. AvO', p. xvr', cfep. une voyelle as- pirée. contr. 'AvOsî, d'xyOsV. , 3e p. s. prt 5. de ; d'y.'ty.u.':—i\>').\. AvO='w-b), /". fleurir. &vaiup.nî<JX(i). *Aveu.vT(icidTiV, r. er c'est /e vir oVs priv., v6p.£<jâû), s'indigner. aor. I . v... d'àvr.oxw. Avt!;, a. àvfyo';, in- , nocent, irréprochable. R. à Aveu-iEa, iv«, II. \rr.Zr,ni<j.-f;i ,^,x-'^nor aor. 2 par/., cv, y.TT. ., r,, M. , 2 r„ aor. Av-aO™, Xy&Xcatxai, ia/. rnifven;; r.^o). f. , 7 wh R. être en fleur, , x/Jc;, fleur. v AvOr,, con/r. d'xvOix, vent. x/r/w. jkvettoç, cj (ô), r. Ave;cl/.'/'., 1 no./'., qui n'a pas besoin de. R. x a. lécç-ecûç, i':, prâr., v eapn. besoin , i~:$ir,; sur, (=-•, , ^copiât, «(/j. peu , aimable, odieux. R, à />rù\ , ipaurrcç, aimable. 'A'^V/cu.?.'., remonter, revenirsur , — survenir Ja terre; gOxi c<5cv, : i-'izyi- refaire la roule, re- venir sur ses pas. R. xvx, -/cay.i, fjp- venir. x<j6u, p. i;np. Avscnraffo, d'àvxs—a'o). 'âverpairav, y.:, r, — pass. 2 élever, soutenir; R. «va, fjr,«, Ifoy. aor. 2 tenir ; , — , r.ac- fleur. [rrf), parfumé. R. retenir. i'Cw, «vexofMU, /. éÇofi.**, lever, sou- -l-iiT/yj.r:), ; ace. ou gén. sen- tir. R. humainement. âévdpuiroç. m. (Mb., A0;(O77'.x.(or, s. jlvdpâmyoç, r, adj. , qui cv regarde l'homme, humain. M. R. , 'a/jçci-c:, , homme. eu (g), e p. s. pr. inrf. dé r'r.xOv.v, xa'o, aor. 1 er pasî. chagriner, chagrin. attrister, désoler. R. dfcvia, Moy., KviaGuou-ôf&at, avoir. — endurer, supporter odoriférant, , ofvdoç, 'A-/)C(o-£'!(o;,af/i'., Avtâw-â,/. aor. 2 avsojrov, =;(o, R. ivri, /". àvôîoraixau Ar.x, p. xv.xV., 5 r.axv, aor. pass. cfàvarpeire*. 'Av 3 y/o, /. Moy., AvOct;j.îx:, ou, a(/j. cj, o. résister. umr.ui. *Av6c;, se; cv, — j'ai 'Av-p, roc. 5. d'y.rr,z. v enp/i. uneautre; qui a besoin). AvisxGTcç, on ace. Avôî<mrçu, opposer une chose à 'Astsmia*, v. àvaireîflu. 'Av377'.'^x;. 7i. p/. d'à-/ Oc;. trister. A/ :7 Tï. y/., faire lever. s'at- — L'aor. 2 et /e p. on/ /e sens d« moy. R. à;x\ l-rr/j.:. Moy., àvûrrzjiai, y. omarsI 'k'i&tyioç, cj (ô), Av£6)-j«ùç, uîa, d'x-r.îy.o niasc., ; — nom. cousin. c'ç, p. pa?7. î?2oy. àveco-fora, ace. 5. e/ arc. p/. h. oofAot, se lever, se relever. Ar.ôy.s yiao. 5v, parf. moj/. d*i- AKT 8 Av/îêa;, tu Avcia, a; 'Av&t"y», ou (; sottise. R. Moy., esprit. aor. I er àvs'uÇx Pass. moy., et 1 er àvio)- so;-vj; (ô) , R. y.pnv., v ew/j/i., —jadis ovt^u, liaut< n ace. iîeç, Anu- (c), " , , j y fengrafr, £ affaire des in- ,. , y „ , j. , . . formations contre quelqu'un. i> .p ., „ R. avrt, contre, ec, d après, ~./y „„ cT-y.iw, examiner. « > , t,^,,, Moy., avre^eraÇofiat, cror. i" pa.ss. àvTe^ràoôr.v se , porter partie contre, s'oppofcvTsÇïTaotoiç, Elaa, e'v, aor. 1 xiw, servir. r,; (y,!, hache. R. a-xo, - >. ', ' de avTi, tpEtdto, ur, appuver. R. au lieu de; à l'égard de; pour un; /T-.Saîvw, traire ; marcher en senscon- — sisler. R. lutter contre , fii/UCH. ré- •• , antithèse, op- ternie u.avT. de rhéto- àvri, T-Or.at, placer. combat, , ,. ad,.1* d, S ne (Je .;, , aor. l rr y.çi«o*»p.*M«*, juger digne, juwero), ~ croire J uste S er a P ro P os nC P3S reflI r î cslilll ^> penser. R. a;;::. i ^ ^'«P*. «««(«), > ~ dignité, titre. Tl . ^'-«v, ?™ fr «W*», - P«?rt. a a^w. dignement, d'une manière digne de. M. R. 'A:îw:, atit)., 'A^-yo-ye, atf. p. à-?.«;=, aor. 2 i m P- d'ind^u. Aîraja-ywv, outra, y.—'., ftJaîveo. c-Os/îtc, eco? position , ,. ' ' , àun seul cas legén.: kvt' Ixe'vou, à sa place. '. „ .; „./ A 5"'?' a "' , - ' * ]\T à cause: àvô' ivoç, . '' battu. er Via©, résister. R. f. ' i> \Ki-.i,prèp. [ ' . 1 • 7 aaj., digne —, combattre ou u être com- Afcioitavo?, ov, J o. eu, . Vrasefta, /". briser> >• pass. c/w or. V;Ts^..r>o,r,:,r„aûr.l er pasS. ^'^ v _ _ : ,.' a) 7>arf choses ceux d'en les , àvco, ^ v E Açio»-»,/\ :. £vco <« 'AÇlvd, -v >- - or sen- =~ G J/., inu _ tile.R. àprivt., veuph.^àoe- • <. stv-Xcç, es vivants. Xvw(fEXY ;? une voy. pour dcv. , Ta : d'en haut; ; hrt r,v, tine. être utile. Avco&s, ,. R. senlinc. la Avovïîtcç, cv, o. eu, arf/., inutile. IS aCC. , "Avo, aoY\, en haut, d'en haut; . ^ form. pass. \'nU(ù,f.r.otù,p.v-i-'/.r,y.7., vider aor. 2 àvEÛy/;v,f>. mot/. * a*e Anlislhéne. àvsVra,étre ouvert, s'cnlr'ou- uir er roger; lâcher d'obtenir. àytv^cu.cu, aor. , 1 àv7s-ciy0y.-;,revendiquer,s'ar AvnffÔsvy.Ç p. àvîVi-ua». àvTHr«s'cu.xi,/.xcf&^ aor. [tai, p. àvc'cava, aor. 2 ouvrir. R. àvsc, ciSw, S. X&t.v, son tour, rendre la pareille, R. àvrî, ttcUia, faire. :.'-/;., r./5'.y.v, W. folie, vo'c;, '„[;«, /". Annibal. (g), (y,), àpriv., AnÀ ov, aff. p. àrrx- Tf»v, ao?\ 2 parf. du m. 'kTaty^ùXa, f. eX5>, ao7\ àr7r,-'-;-= -' ./.a,p.à"."y."f £;/ / » , 1 er an " i avtîàcvcç, eu (c), ;>'.-•-. v.iw,f. Antiloque. r.oo, p. r.x.y., faire à noncer, rapporter. R. >.<•>, m. s., ?»o, de. i--~;ù.- — , . xno aiie emmener, mener Atcs^c*, à-:', ramener. R. AiraiSeuTo;, de, a-yw. w, #. ûv, a<//., sans instruction, ignorant, ai>. /e gtfft. R. à pnï\, irai&Ôu (iraîç, enfant XiMirs'u-û, /. lîdfl», p. -r—f./.y., réclamer, exiger. H. onro, de, demander. a-Ti'w, , > délicat, mou, faible. 'ArT7./0ca/.c'o)-w, /. (ôffto, aoj". 1 er à-r,v0pa/.w7x, réduire en char- bon. R. bon. bico, de, àvûsx;, char- 7». oti nom. el ace. pi. neut. d'oi-y.;. 'k~v:i-y.yibvi 'Attxç, de ious côtés , de R. à.-y:i-.y.yyj , /jeu d'où /e f/ic/. rien?. y-y.cy., O. sEirav, OIVTOÇ, tout ensein- ble, tout entier. R. à augm., (/fi?, p/. 2 d'y.— "Arr,- prés, et fut., a--.cv, ?'mp., àrrex, fOJips pn55é \ t:*.- ap.r,v, à-:', de, : s'en aller, sly.i, w, arc; 2« aller. p. p/. v ov, g. eu, aaj. , inespé- rimenté. ignorant. R. ypriv., -r.i'zy., essai. AlrôcXsiov, jç, e, imp. rf'à—cx./.îîa). ^7E6xpcu<ratiY)v. aw, ay-o, aor. 1 moy. er d'à-;x.p:j(o. iLvsxreivc, aç, s, — — [&at. AirEpfaaaoAai , aor. t/« aor. 1 er rf'i- iTC/.Têîvw. DUL, DES MORTS. 1 er iiifm* pr. p. poss. titrai, '.yx.'., d'à-oçil-Tw. 3 e p. due/, pn»/. bnpcr. pan. du m, AicsaxXxxevai, par/*, m/. d'%~i~ cncXnju. eu, êto, r. y.~iyj-). y-.vyvt.. '\r:iyz-r,ai, v. 'A-='-/w, s'abstenir. R. de, àiro, vyiù. «o? 1 . y.T.iyw.y.'., 2 f. àcpé£c- y.-iT/i\):c.-> s, ?.:, , Ht. s. r. otaravftpa- xéa. impér. "Amjiev, l re a; 'A-'ct-'x, d'y.~v.\j.\. p. p/. pres. mrf. fin défiance (r,), -, ::?. — per- R. à prie, wî<ms fidie. , con- fiance. v At:'.<7tc;, otjto, f. à-j'-co. A-s.:or, s. faire j Ain p-«£Çcp.ai, achever ; rendre. R. dfow, de, ÊffaÇc- "A-'.O-., R. m. àireiirâpjv, bavardage. R. Xrycç, parole, à u.a.-., cx.w. aller. (»ius.)« y.-. A.irepavro>j&"pa, a; (r,), loquacité, A~r.vOpâx.cocra, diipr. àtte'Oxvcv, sç, s, ao?\ "k-i'.u;., 1 à-:'--. y , er Mon., tout. 'A-asï.r, i\ /e pr. A-;.?:, iJ/oy. \-iïyi'.j.?:>, etorç, avroç, atfj., T.y.', àiro, Hé*G., ftr », dire, A7reppîopôwv, parts. partout, 9ev, /'o?j OOr. 1 er à-:~-x, 2 àimrrov, refuser. R. 'ATTïip'.y.A-y.i, "Amtvra, ace. 4. toutes «fircirvfyô. t aaj. ov, 2 pn^î. priu.,~izy.: (in, rapaîvw, finir. àvôc'w, fleurir. AiraX^ç, r„ Ûwp. 'Atte'-w [initf.) ( aor. /. t,ow, se défleurir, perdre sa fleur. R. à--', de, 'AitavdÉu act. tfàirrçépw. 'A-e-vXv.v, r,;, ij, aor. aor. instruire. , e flOT. I ' AvewptM t «t», ; 9 dule ; m, — M. perfide. "àtt-tî, 2e Airîtt, r,;, g. eu, ad}., incré- suspect, incroyable, R. p. p/. r,, c/'à-'.O-.. toy.îv, aor. 2 Slibj. d' y.~i:u.\ AicXoo;-gû;, â->.c.V,r;, àirXo'ev-àiv, simple, toujours le même. A-o, prép. à un seul cas, le gi-n. O : — , Ano Ano 10 — En de, par, delà part de. comp., point de départ, — gnement; éloi- privation, néga- par/. 2 (vi), échelle de vais- seau, pour descendre, de e aor. s. 7?. Airoîûca, àrsôBupn,/. er 1 er aor. Cgg), er dwréîuaa, dépouiller, se dépouiller de. R. i-o, m'a., 1 Â-ooaîvw, descendre. R. àiw, ^'Jb, revêtir. Patvtû. rejeter; A-:oaÀ>.M jeter, laisser tomber. Pv. à-r',', fiaXXca. Ars€aX<âv,6Û<72, dv, aor. 2 part. 3/o?/. , dupr. m. (*ai, A~o£â>, ^ àwo^ûoftai, , 6<ro- s. aor. 2 â>;, â>, d'à- Stti/j. îrçSwanAi. descente, sur- ..T.iZ-j.>J <.'.., £to: (-fi), tie. 1 du m. ?jjoj/. îi-mtôuoov, aor. gv, r,, , imper, acl. de tion. A->ro€a8p<£, aç 'kmivttô^wtoç A-o-Îwgw,/. A— côavéïv, R. Kiro€aîv«. 'A7ro€e€Xr,xwç,uta,ôc,acc. masc. 5. da m. î>if/. aor. 2 d'y.—ibrr- i>?/. <7/.w. déça, regarder de loin tourner les regards vers oa m, opt.,id. Asîodavu, pç, r., «*&/., id. Awoôatvwv, cûca, dv, a. o'v?e$ exenjç, cytoç, aor. 2pavt.,id. sur. R. <mco, f&iira, voir. AircôefAevoç, 0TO.,p.parl. d'àîTûêaXXw. à-ooi'o/.E- '.l-'.Z).i-o:,f. i'yco, p. — • er À77CG/.îy:v, aor. 1 A-cowat, 5 e ATroôâvciu.»., c.ç, impér. dupr. moy. 2 Air&ÔÉaôo», p. pi. aor. sit/'J. d'à-coy.'vto. wv A-o'^E'.a, yi aor. âso), 1 er y.-i^cO.'.'J.G7.,p. à'TTOiSVÎE'./.îy.y.a., R. craindre. ???. àwo, ^eiXiaw imper, dupr. =//.'j, A-c^eco, s'en falloir éloignéde; — de; d'àro'ÔGU. mourir, se mourir R. à-s, Win/M. Aîto'ôgu, p. dttr&Ôeco, ??zoî/. àno', tribuer. R. AttoÔ'::, drcd, Aircxeipa, jf. aor. 2 imper. aor. Eptô, xeipa, tondre. R. at- p. du m. fuite, éva- in/", (r,), R. à-:, -'.ô-'jto. — aor. 2 impér. dupr. 'ATîo^paciç, £«; 2e ; Jpa'cd, fuir. s. aor. 1 er 2 rrôpér. oueé- à-:', y.EÎpw, 5. )/?. A-Trocsp^aîvco, /. de, ava>, gagner. R. du profit à-:', scspi&ai- s. /.ae'.??., R. ; dupr. — fermer — 5 àiro, de, xXsiu, àiro, à-E- p. i-w.iv.'/.w/.y., exclu- Awoxvaîo), /. R. | ei aor. 'AïtoxXeko, /l tiçca, aor. 1 er re dbro, 3i$<opu. ATCoîoGvot, aor. 2 Aws'Sufa, être ; d'à-STi'Ory.-.. PT Airojcep^âvai, aor. l hif. être inférieur oV, il faut. A-oo $wu.i, rendre, payer R. — > sion. 3e p. périr. va, m. accueiîlir; adopter. à. d'àntmbnyti. àiïEîcspîava, retirer 5. \-'.iïv//M.y.:,f. Silcu.y.'., recevoir, Arrco — 2 par/. aor. &v, r., \-'/rrr.cr/.tù, amarre, cor- (toc), dage pour attacher le vaisseau à la terre: Xûeivobro'yEta, démarrer. R. 7.77:', yïj, terre. 'ArrcoY.À'.aco,- u enfermer. fermer. tourmenter. aî<ia>, xvaw, racler. 'Attox-c'-tco,/. &'<|/<a, p. àîrcxâcc aor. 2 pa&t. àmxs-Kr.v, retrancher, couper. R« à-;', jkxtm, couper. 'k-v/AitM, u:, i'.,f. du pr. , ATIO 'ATT-./.pî/y.jOai, ÀITO aor. i er mny. inf. àttc^ît; :'«,/. t.om, aor. de pirpuao, mesurer, aor. cpivcuat, /. cûucu, 1 er y-i/.z'.,iu.ry,aor.l cr deform. |w«. K7r£X9(ftv)v, répondre. R. *--.', k^ivc*, juger Arcxpoûa»,/. ouo», repousser. R. à-;', de, v. jtpouw, frapper. . 1" aor. a-, a,,, , , 1 kutoû, retiré de sa Xau«, «m, R. philosophie. * - , ,, . , ... ' ., .. , , ... -:/.'.-• A -.v, , - ~ 2 aor. . r ,. ////. d %-z- mosc. de g5<m, w, aor. 2 par/. :'.'.i-w/, p i^^tvx, -, dujn. m. dwro, oXXufti, R. ' ^L{«, 2 àrcXoûiuu, aor. 2 «îîoXwXa, périr, àTTcjX'.y.y.v, p. ^ ' j^ J R< ^ — embarras; indigen ^c - A - im difficile, emblr. R. à pri . arf : caW; sant; — pauvre. • nassaire ,• £o, Jjeter. „ ... 4 a--.-.;. tttco, , - " . Ii. - -, 7710. A-:7:.,:/, 2 e p. imper, du pr. ' , R cr aor. i é r!er. , Eicou.at, *"''> Clîw ' a ? iter - } 'A.7rea£attt«*us8a, P s. ' , *** < re p. pi. l d'x- MTOK, »<r*t, p. /e mard : *woffeciattfu.c8a cv (c), Apol- - : noos avons le i. mard. R. fciro, otjw'î, eamard. pCvxç, Âîro'cncXr.ju, /". être perdu. A-:ÀA(.;v, tovo;, r. 2 Slif- Skiroatûà**, /. tô™, rendre ca- s. lToy. > àiwXX'jj/.ai,/.l er *TC6XioefMu,/. : s TTCGEatfittfMU, XttoXXuu.i, perdre, détruire. t/u aor. t^ouaa:, étouffer. m • k. p/. v.tt-.vt:-, 1" . Aiccasiojflxt, /. ^etTta). y' 7 m, p. à— se x*, flor. 2 i-îV'./.r.v, se des - cher, dépérir. R. à-:. Ion. .«/ x, aç, 'ArTcp.'y.Or^r.. 2 £, e r. à-c'/./.'jy.'.. p. aor. I" mop. de >». 5. AwcaxcTïc'w, /. regarder rîc<a, loin, observer, épier. 'A-'.v.xvOx/co, blier. , f ,. A-sAit-o, /. st4/ù>,p. KîroXsXeiex, aor. 2 xttY/.-.-cv, abandonI.,;,-,, m laisser. i) ner, R. ocro, Xïur«, 7 ' iw £ ° U, r • . aoepta; que jai ?'///". -vew, souffler. ? le fruit ?6t. A-:-r.-o), /. «rrs- de : 5 n aWoXaûei; oô TC5, ^nd faut tu en retires; t:0t Ts tt,; er «rowàweuxa, eihaou ace. R. fr wvcttoo, p. «iroXsXaux* jouir ; retirer du bien ou du mal KircXÉXauxa 1 JLtcmws»,/. rJaw, «or. X*»<rt p. — aor. X-'.-Xsa), mettre à la voile, tir.R. à-s, tcXê», Dariguer. R. a-c, wrti- , fc™X*u«,/. i-., ue- il. jjp. 1er, A-:/.t£.v(o, tuer. 1 5. &ffepsTpJioQU, 5- - m. tpec*, ri- àicttcpcocjtoi, y. , m «P«b. , 11 désapprendre, ou- R. x-o, apprendre. »ïéo., ftav6âvu, meo-s'ea, R. à-;', regarder. 'Airoffraç, x-:c, tfiotçrnaï. otv, aor. 2 par/, AZE API 12 er mo?/. 'ÀïrGaTïiaofwu,^, z-y.\,f. 1 da m. \~cc'jy.Zo),f. a;o>, aor. 1 coy.|a 2 aor. , er DwrewpafGV égorger. R. à-o, cjoc^cù, A-:7'vâ;%; , aax, av, ao? par/, 5. >?i. - 1 . , er da pr. AîroTtôrfii, déposer, R. à-s- mettre bas. à-:', uôviui. 3/0?/. emporter. Airocpe'p©, R. àiro, m. , A-r/or, aor. R. suffit. — — : miers d'un Mars. État. er 1 dforéyoïjffé, il nég. v^pvi, , il ne faut plus, i! il R. A;/,:. Api<TT0TÉX7)ç, ec;-cu; (é),Aristolc. â£c; (6 Arcadien. , Apy.ï'v.c?, eu (c), Arménien. ApoâxTîç, eu (c), Arsace. Artémise. "Apn, s. oVice, faut, c.-à-d. cv, Aprepota, a; çepea, porter. J/o^/. super l. (Tàya&ç, le meilleur, excellent ; très-brave; homme de bien ot fyicroi, les pre- Apx.a'c, S. ??2. , ApîaT'.rr-o;, ou (o), Aristippe. ApiTTc;, r„ très-bon, (vi), à l'instant «t/y., ; — récemment, naguères tout ap-ri : tan- uiv... àsT». Si, tantôt... tôt. récemment, tout à Theure. R. aprt. Parfaitement. R. ôp-rtoç, par- 'Aprîwç, aaV., tout suffit. Aîrpa'mavÉfrrEpoç, moins embar- comp. de rassant, A-pa-yucov, cv, a. eve;, ad/., qui — fait. ne cause aucun embarras. R. "jà-proç, eu à priv., TTsà^y.a, Apuaau.=vc;, 19,0V, aor. 1 er part, A/TroSXeta, a; affaire. perte. R. (y\), àr;;'/\- Xuut. Apa, ApàfAevoç, moy. moy., et Ap'j<70)da:,v;, apa-ye, interr., est-ce vi, aor. ov, er 1 que? part, (fy.hoi. ApaÇrjç, Araxe, (o), ou fleuve "Ap&nXa, 03v Apûco, y. à.p'p'ç, v^, ov, adj., oisif, pares- seux. R. àpr., Apppicv, ou ouvrage. argent; Ép-yov, (tp), — pièce d'argent, monnaie. W'Ag/m, f. àziaco, aor. 1 er aor, l er Sid'j. p. vjpuxa, puiser, ûffio, prendre de l'eau. Moy., y.r'jvj.y.'., f. ûaouax, s. Asyaïeç, (Ta), Arbèles. TJTfitt, mo?/. de m. d'Asie. pain. (é), y.'.y., «Tov, adj., ancien, de Ap/vi, (t,\ jjç principe ; — commencement, commandement, domination, autorité, empire. riîc- "Apy/o,/. ptpg», aor. 1 er commencer; Spîjêt, i5pXa qu'un mander, dominer. R. rendre ami. àpécxopxi, /". àpsec- se le Moy. y aor. 1 er iqpeaagMiv, m. 5.; de p/?/s, être satisfait, se contenter de. p.a-., Ap'.dTî'y.;, eu (o), distinguer , exceller. aciarc;, très-bon. J/OJ/., R. àp-/v. àp;:;v.y.'., SflKppax,/. aor. l er r ;Eâu.r,v, commencer, ( se mettre à "Atreavoç, ov, , yen. o. ou, qui adj., n'inspire pas le respect Arislée. Aç'.cts'joj, /. s'jgoj, p. r.pÎTTE'j/.a, se ' p. — com- ca, p. «ipexa, plaire à quel- : où/. àc£u.ve; ttjv ctyiv, d'une physionomie assez noble. R. à priv., <j£u.v',';, vénérable. — , ATP g. cj, adj., sans dis- c, "Aar.y.c:, tinction ; \abvrr,;, ble. g. faç-oùç, adj., fai- h';, K. à wvc?, pnss. pria., aôe'voç, force, ov, ru/j., y;, lenl. R. Au, Aaoûpioç, eu awiv, aSdtç, nouveau, encore. A0;*vw, imp. y.-j^xvov, icrrr.u.'., établir. àotcîo;, a, agréable; civil, sant cv, nr/j., : à<57=Ï7., santes. R. citadin — lin, — ; Au tic ;/.£•. a, fit impruauvuip.1, com- comp. d'y.aoyjxz a</i\, plus en sûreté, plus sûrement. — sûr. a. eoç-oûç, adv., rf'aJTcç. sur-le- aussitôt, champ. R. aùrc';, comme mais; — au reste. Atî/.vc;, cv, 9. eu, ac/j., sans R. à 0, même, la; I. II. pror?. et adj., elle, — même; même, AJrcû, comme en- en- priv., -râcvov, 'Atï/vûç, adv., réellement, sans doute. R. à prit;., réjrvu, ar ^> lui- avec le, l'art., même. la adv. , illic il, elle-même, R. là. de xuto'î, ille. A'jtcj, p. ây.'JTCj. A'j/^'w,/. r.GOijp.vJ/r.y.x, se fant. van ter. A?' p. à-' (à-o), devant une voyelle aspirée. artifice. honteusement, ignominieusement. R. àprio., -r.y.r,, honneur. adi>. 'At-.vx, pi. il- lico c/e ille. AOtc;, r„ atfj. v 'Ar:u.fo;, kàvâ,Jem. II. le verser. fants. lui-même. à AC7Y;,/ém. iTcutoç. I. priv. y cnpâtXXu, ren- jVrâp, conj., c.-à-c/., qui se suf- ; s,-, R. à àp/.E'w.suflire, homme d'un AÙT'!/.a, 'AawaXsfîrèpcv, croître. — lui-même, aÙTc';, état finesse. prendre. XaçoXinç, croî- contentement modération, a;(r,;, de son sort ; tempérance. R. "à<7t;cv, eu (to), astre. dent. R. à priv., — ASptcv, aou., demain. plai- Âcjjvsrc;, cv, 9. vj,adj., augmenté, être u.t'., des choses plai- a.a7-j, ville, augmenter; Pass. , oe&Çg[uu, f. wfcr&ôaQ* aor. 1 er y.ùl-T.Ûr.v, p. vJir.- sans stabilité, inconstant, inprti/., /juÇr.oa, y.xi, "ÀâraToç, cv, 9. cj, orfj., qui est à «f tre. Assyrien. (c), de nt/r., er /. xao), aor. 1 p. vj\v/.'j., pari, 7,tu.£vo;. certain. R. 7.00-., A J;o», se réjouir, p. T>î:L(.y.v, xn'j.'/.:, joyeux, con- priv., -z\- tourner. TTw, nry-x, uiurquc. R. à ble, constant. — obscur, inconnu. R. à pur., 13 A4>E , "Atc— cç, cv, g. eu, adj., qui n'est pas dans son lieu, déplacé; — absurde. — R. à priv., rc-oç, lieu. *At:£77tgç, cv, g. eu, adj., qui peut être tourné j cher, tî ôter, enlever, nvoç, t'.v. ou arra- riva. R. dtaw, aîsï'co. Aoavw;, aaV., tout à coup. R. neut. de c^tiç." inconvenant; \'jy.'.zio), ne — immua- à priv., çxîvw, paraître. 'A<pap(iaxTeç, cv, ad/., qui n'est pas empoisonné. R. à priv., e>â:ux/.cv, poison. Açeteîç, ï'ca, pass. Év, d'x^'.r.u.i. aor. i er pari. 14 AXP A<DI aor. Dtyeôîpat, 1 er pass. inf. du m. a. èv, bvtoç, aor. 2 par/, evtoç, A'r £/.fc)u.ii, euroç* m. dî* «rat, aor. 2 •/,, 52</'j. 2e ut. d'à- oaîvw, paraître. pritr., oeç, A-r v-:£"7c, p. imp. aor. 1 s, comr. moy. A'jrçr.u.a-., pas5. da a?.-. er A'r ;:r,Tc;, on m. tfâfipplrro, rat, à prit'., çciÉo), porter. ady., follement, élourdiment. R. àpriv., ozvi, es- asôa, p. prit. A'r r,73.v,/. in/, 'Axaioç, a, d'àçlr.y.'.. /. £•., j?zd. dit m. abondant; "A<pôovoç, cv, adj., 'Xy'r^'j.y.'., — pr. pari, {'.yjii-zu.y.'., f. aor. 1 C: supporter avec peiêtre chagrin de, gé«., ne, oa ace. da/. envie. v>, adj., Grec. o'v, 7r£8c'aÔT)v, innombrable. R. à ^iw., »ôoAçietç, eîaa, ad/., insupporta- cv, Aflppoviûç, m. s-.;, R ble. 3e tfàaaipE'u. , subitement. R. à A<pv<A, adt-., cîr.y.'.. woç, , v aor. 2 imper. "A'^s;, s'to, rco, — aor par/., s'éloigner à-ccra: twv grarpâav. avant abandonné les coutumes de ses pères, de ses ancêtres. R. x-o, i<jt7,- WJO?/. d'yL' y.:zioi. r Aowa, ; : Bwa, fcfefc, éloigner Acpi<777,u.'., ; — fâcher, se s'indigner contre quelqu'un. R. àyjjcî, fardeau. d'i- (ùinxu. a, p. part. i.CM-fli.évGÇ, 71, d'à'r i- xvEcuat. > Ar ir,L(.', laisser aller, lâcher, lais- ser échapper. R. bwo, Ira.'.. Aoucvécpcu, partir, arriver, rendre. R. dwrd, bcvEojiuu. AuTçx'., 2 e p. Av!£:;j.a-., r, 5. "AxpvKrroç, à se cv, adj., p?-ir., xpi«rroç, â^piç "À-Xpi, adv. ou p. dî/pr. erai,f. du 'kyQoooçia, /. T^to, porter fardeau. M. R. et çcpEw, porter. 'A/;.>.>.:ô;,sw;, foc. eu (g), Achille. dei>. que — R. utile. a??e voyelle, conj., jusqu'à, qu'à ce que; m. inutile. si jus- longtemps ïyy-% oy, jusqu'à ce que. : B EAA BAI E : en nombre, cette lettre, surmontée de V accent aigu, £', vaut deux. Baëaî, inierj., ah BaouXcSv, ûvos 2 êokjv, ! ah î Rabylone, v. Ba&Çu, /. Iïw, /. 2 »o, p. (M?àîtxa, aller, marcher. Bâ^iojjta, axoç (to), marche, démarche, da pr. Baivto, prôit, v^y/., 3xw,/. mo?/. Pnoopai, aor. 1 er sër.sx, aor. mar- cher. Boôûç, (t,). p. fié&nxœ., aller, £Îa, 6, adj., profond, épais. BaxTJiptà, aç XTGGV, m. BâxTpa, uv (r,), bâton. R. pa- 5. (t<x), Ractres, v. Baxvpov, ou (to), bâton. R. V/:vcj, marcher. BaXôvrtcv, ou (to), bourse. BaX>.», f. fjy.'/M, aor. 2 ISaXcv, , BOT BEB peêXxxa p. lancer , — frapper. ; me; — i<ro), mœurs p. i/.a, aflec- des Barbares, imiter les Barbares. B. fSeto- R. fixe, sûr. p. fietfa», marclicr. [j:'o7.î., Bapëapifra, /. t'T les jeter , ia Be&uoc, solidement ; avec «(it-., certitude. R. (HtSaioc. Beëuaxc*;, otoç, p. ;>«rf. «V «cf. p'.OO). Bap€àpt*oç, y', «<(/'., o'v, barbare, M. B. de barbare. ô |j3>.t'.it3, mot bar- R. P&aç, bare, barbarisme. B. pas&x- qui lance Baoêapioixoç, oS (î) , > - Bapêapoç, eu (6), donné par les Barbare, nom Grecs à tout ce qui n'était pas grec. Bas ex, de pi. n. Bxsioi r,îw, p. /. , fkSâpwca, uvw,p. (jcoap'j-y-a — «ce. eî;, m. 5. lourd -jy, , éoç^ ace. pi. (3apsa;- — pénible — re; ; dou table. BftaiXéa, «ce. Baa-.Xeîa, a; s. rfe [ScmiXeuç. (r,), royauté, c/e BaoïXeuç, éoç, a», eu; (0), roi , prince, d'où er IZo.BaaiXs&u, y. HÛaw, acr. 1 aiXcuaa p. (JeëaoîXeuJca , ré, gner, gouverner, BaatXixo'ç, royal roi. ov,ad/.,du on de roi, qui convient à un R. — M. Bacni, r; géra. •/., • (ri), coloris. teinture, couleur, R. garera, plonger, p. pE&xcpa. Bi'ox'.c:, x, ov, aaj\, 7.- vie; biens, for- tune. (Jto;. Pto'ottai-cGuat , y. Lr «or. l è€t(oaap.Y!v. ûooftai, Btûvaij «or. 2 fay. «*» pr. supporter avec Bapuç, eût, 6, 5. éoç, î(a;, trait. woç, comp. d'yr Btferoç, où (6), Bilhynien. Bîoç, ou (ô), vie, d'où B. Moy., charger, accabler. B. fîapûç. Pass., (taçûvopuu, être chargé, accablé ; peine, ace. ! celui 0;;. vivre. rfe (Sapûç. Bscpûvb), y. cher o')70), p. fieêîttxa, y. aor. 2 £€uav (t/e (îtapu, iuus.), Bâpoç, s:; (to), poids, fardeau. ?'. mieux un le f ) : Biott-w, poids. Bâpn, contr. de Jjapsx, p/. mon ô .' 7/)','; trait, c.-«-«\ Bteroç, ou (ô), [jas-j;. charger, accabler. B. papo{ Bxçu, Ao^e BcXfUftV, cv, 9. -01. T OV, S7<p. (/'à- BcVriOTOÇ, t, Btttaeafau, /. ' i?îy. r?îo?/. p. du pr. opl. de /;/. «or. i er eoXeya, BXetcco,/. p. ftéëXeç*, regarder, voir. BXeyla;, ou (ô), Biepsias. syo), BXoaupoç, à, o'v, ad;., terrible voir, farouche. ;•. B:a, covlr. defyôas, impér. rf< Bcâo)-ô), y. -/go), y. V.v- ocpuxt ooj , . 1 er ??zo?y. iZvr.oz, p. ooVixa, crier. B&r<6ea>, y. ûr,<ra , p. qa», «or. lîsocr.Or/.-y. 1 , er è€or,- venir au secours, secourir. R. Par, cri de secours. Baw-toç, Bv.oj-t'Jç, de Béolie. Bo'oxw,y. t'to), w> (à), «or. Béotien. I e "" èêo'oxr.ca, p. fk€ooxvixa, faire paître. if oy., P»oxcp.at, se repaître. Bou€uv, »ve; BcuXet, stable, fer- 5 BXÉikOtsv, L /'. B'/j/.îj'.o, 'ô), V.'j/.r,, y. aine. v. e<6cû>, ^cuXouat. p. (këcOXEUXa, BPE Bon 16 de d'avis être èocuXeûgw t'es-tu décide? t.m% : comment Mon., — projeter; délibérer, Pou5.su ou. eu [tai, flor. 1 er , /. eûo-g- £€cuXeuarâu//îv, p. de /. pass. psooûXsuu.su, m. de er de f. pass. È£ouXr,0-/;v, PeocûXr,y.at p. id. 6goX.cc, s., erat,/. T.acu.ai, aor. Boû>.op.5tt, et, 1 ; , moj/. p. ps'- vouloir. Bpaftû;, eût, u, adj., lent. Bpa^ÛTspc;, a, plus lent Bosvôûcu.xi en nombre, cette lettre, surniontée de l'accent aigu, -y', BpÉcpo;, eoç*-ca»? (to), enfant. er lêpçÇa, f. i\<à aor. 1 aor. 2 eêp ».-/,& v, p. p=Cps-/a,p. , , moj/. Psëpo^a, mouiller. raXstTviç, Cadix, y. (toc), ou t (6), Galatc, Gau- f. e'ow, aor. 1 er e-pua, p. -ye^aV/îy-a, épouser, se ma- rier, d'oô râaoç, eu (ô) , pr. par/, de -ya as'a). ( rap, car, co?7/'., R. -vs, en effet;— mais. àpa. raarrlp, Tspoç OMrpG;(yi), ventre. rs, conj., certes, au moins, oui. (to), le fait, ce re-yèvYipivev, ou qui est arrivé, p. part, de -y!- vop.at. rE-popaxwe uîcc, , o'ç, p. part, de , s... "Ye-Yé- moquer, ; om ace; d'oà rire sant. EsXwv, wacc, tôv, eo?zfr. de Xacov, aouaa, occv, par/, de -ys-ye- Xa'w. wwv Gelons, p. (',[), R. 'vsXâw. menton, rsvê'aôat, aor. 2 m/, de -j-vouy/.. revvswïatg, ou (g), bien né; généreux ; brave. R. -yeyvâw, engendrer, TswaÏG;, a, ov, adj., de noble origine; généreux; Ts'/.m;, «tgç (g) , rire. , — — brave d'âme, ments. — tô yevvatîcv, : la la noblesse de force senti- M. R. revotu.rjv, c.o, g-.tg, aor. 2 op/. de rivoç, boç-cuç (to), naissance 3e réppov*, race 2e à;, — agi, p. wio?/. de -ytvopwci. reXaw-â) s^s'Xxaa, p. se •wvop.ai. *fr,5x.G/M. rénova, aç nxà, er Ts'vstov, ou (to), gùvtg;, conlr. de -yau.swv, s'gvtg;, 1 rire , reXwot., p/. -)'ây.Gt, tov (ol), noces. rauwv, Xâxa aor. EcXoig?, a, ov, adj., risible, plai- lois, p. Txu.é<ù r;.ai, de, dot. trois. i>n?{/ R. PpsVJo;, arrogance. BpiÇa;, aaa, av, aor. 1 er part. de Pps'y/o. Bps'cpv;, confr. de pps'çea, pi. de TEP : râ^sipa, wv % — être arrogant; , TEA T plus long. s'enorgueillir de. Bps'y/o Bsûv, confr. de poxcov, part, de pcâw. ; corxp. du pr, ov, — ef p. f. àaco, /. s. de moy. kgg- ; — gu d'osier. famille. (to), R . ; — -yîvcwai. bouclier, fait m rm ri'swv, ovtoç rvoiar., vieillard. o), er è- :- ûau, «or. 1 ,»<,*, jeter un pont sur, joindre par un pont. R. féçu-ô>,/. er - m rV,3«oç, â, ov, Vr, 7.;, xtc;-xc;-co; ? (to), rW.;, ro rj er de/, pass. M. Trejw^oi, p. vx, «or 2 moy. e^- p. ? vs.ar.v.nailre;— être, exister; devenir: s élever ; — provenu-; r — — - âgé être de, r v rtttMScett, 2^ p. p/. im/JÔ-. de rivMOXM, Yfvvwaacè, prmt. po'w, ratio*», aor. 1 er groaa, aor. 2 épeav, p. Ipco/.x, cons'areconnaître; naître ; — — percevoir de, dre, décider. ace; — résou- aor.lsubj. dupr. rvw6'.,pwTw, aor. 1 imper, du m. k _ r r ^- . « . / • ^ une voyelle. er pass. è^r,- doc, _ B-p< 2 Jl jgj^ ' -^ pÉteîW /I. ie, w ^., nu;^^.J} pouule — chauve. . , ,. . , du ,. « ; 7 Thn, voc. de yrm. du m. ruva-.xx, ace. rovaixewç, ?.. w, a«Ç., de ierame > efféminé. R. forn. DivaiÇ», dat. pi. de -|uv«. rûvouov, ou (rd), courtisane, de a. (t., rûy, de fàwug, mus. a-./.;;, tomme. vautour. u-:'; (ô>, ftéxpeev, eu Ax/.;ûcù, /. ûato,p. ux.x, pleurer. R. $obtpv> AoxrâXMÇ, ou (6), tyle. anneau, de doigt ; — dac- R. fcûcvufu, montrer, Axxeiv, gùgx, ov, o. oVr::, aor. 2 par/, de ffâxva. èeu/aatcç, eu (6), Damasias. mordre, piquer. larme. co „j ^ cer tes flor AàxruXoç, eu (o), Ax/.vu, nais, iïry.u, f. 8r&y.x: , aor. 1 er SSi&a, aor. 2 éSxx.cv, Aa/.pu, ^ AAM eu nombre, cette lettre, surmontée de l'accent cigu, 3"', Dam quatre. ^ôr.v, — p' vXTa , dut. .~ AAK p. £ê'£r/x, aor. 1 # en clVct . moms> cepe ndant. fltw j c (j) j Granique, Tuvri, à), A', p. £s, dev. »< enchanteur; , (-^ p / . p ^ r ace. : recon- "?•'"?'•>, -pwun, genou. ,~ ^r?m. -yfv», /. 1 ; aT; . , donc aor. •pwofuu, t,t:; ' vieillir. ritcji^i, y.pcax-., A dis- vcôâ/.o>. ^ âc*w, yr.zxnj. âaw, p. -Ye^? I\â>, ôç, marque charlatan, imposteur. vieil- lesse, d'o» /. R. , rvûor,, 2 e p. de -p;o><r.ax., adj., vieux. È^v^uv, moy. 7 3- whmxmj rvwptojMt, xtc; (t; tinctive. — naître. reçupœaat, fl o r 1 f- du pr. champ. Tr, ifÂî (r,i, terre; rr.sx, p. yr.;7.T'., otaf. de yr.zx;. poxflt, sentiment; (<), prudence. EL cx, pont. rr. r,; 17 (to), Axa-.;, t£o; (6), Damis. Aâ-J.v.--::, ou (é), Domnippe. 5. AHI AEI 18 Amov, ttvoç (é), Damon. àavao'çjOÛ As'.ttvsw-Ô),/. Danaùs. (o), R. £a- vs£w, prêter à usure. Aapôtoç, eu (é), Darius. cerAs, conj., mais; et; tes ; or ; en effet ; puis; Souvent enQn. oppotée à jiiv, d'un côté... d'un autre c j uiv Àévetç, I*yw — — — — — — — ; : $k 775ao-coj, toi tu dis, et moi je fais. de p. par/, pass. cv, Aslodai, prés. iw/, wjo?/. de îéc- tuu. AsiT-Oyc-oux'., evai f f. pass. r,, j.ai, y. <5V,o'w. AéXeap , aro; (to), amorce, pâ- R. ture. Ascjuto $eX«ç, ruse. 3e ouvre, aor. 1 er p. da m. pi. et *. opt. de Sîy^u.%:. côté droit qui rtt//'., o'v, du est rà $eÇtcc,à i~\ : la R. Sz'wj- montrer. fM, $et^fi>, Asoycou.s'voç, p. par/, pass. de. &eixvu{u. droite, du côté droit. $ocxv<o. As^vioj er è^-.- 1 Asotvcv, cj (to), souper, repas. ÂeÇto'ç, a, y,, ycw, ao?s Trvyja, p. wwc, souper, de Aave'.onî;, eu (6), usurier. Ac^yyusvcç, m. Asi£<o, r. /e Damoxène. AsjiôÇevog, cj (c), As'oaa'.,^. $m<toujxt,f. aor. 1 de f. pass. er ÊkéSut, a;, s... aert, y. £st$ci>, JsyOyo-say.'., AeSuvxt, inf. du m. br:i,p.id. 5eJén(AOt, prier, de- 5 e p. As'^oxrat, p. pass. de Je- s. yj<x>. As'r,, —2 subj. de §v.; e de p. s. AeViaei,/. de Sil. venait (y), prière. R. Sio- Aeî, y. t*nip. ; /. àsyc-si, aor. imp. iîéyjce, besoin de ; s^e-., il — eù$èv £gTjast, ment Ae'^'o), il il faut, 1 il er est s'en faut de : ne sera nulle- nécessaire. /. ziGoi, moy. $i$tx craindre. R. (sens du ae'oç, crainte. prira. Ae(x.vju.'., SéScixa., p. da/tw, /. p. prés.), SiSv.^y.y.'., AeiXo'ç, y, o'v, $6t£(d, montrer. craintif, timide. R. ou (o), Dinias. chose terrible, calamité, mal, n. de Aavo'ç, y, o'v, terrible; fâcheux; étrange. R. £e'oç, crainte. AeI^ov, aor. 1 er impér. de Sv./.rju.:. Aeivov, oû 4 — — ce con- lorsqu'il lité. £sooj, (to), peau, écorcher. Ascr-oryç, ou (ô), maître pote. \i/yj.y.i, f. $ilou.zi,p, às'^s-yaai, recevoir, — prendre, As'co, cuir. / £syo-co, ; — quer de, v. R. des- de f. pass, admettre; accepter. aor. 1 er i8ér,iy., man- SidJ.y.'.. Ay, adv., certes, donc, réelleor ; * encore ; ment; — — — même. AyGsv, ady., sans doute, Jéoç, crainte. Aewas, — S-"., p. ^s^éy/.a, avoir besoin, aor. 1 er è$ei|a, p. SéStiya, p. pass. avoir aùSbt îéov, sans uti- : Àeppx, arc; prier. de Ae'ov, ovroç, parf. ?2ea/. qu'il faut; As'ya-.;, scoj âsto, besoin. 8icj.y.'.. p.a-., mander, gén. R. id. I&eii- R. H, voir. 8ev, à sa- point dedé- part. Ayïo«-w,/. wcto,p. pa«S. &e$p«aravager, dévaster, dép.a-., truire (j'ai : $z8r,<àp.zi tov 7:û-j'(ova été ravagé quant à la bar- , AIA Ati on m'a coupé , barbe, la ennemi. .''•., m. s. que l; Sx, Xr,. ... R. ii- : . /'.j.v.:, sion ifli'.^x/.rt (è<m] Sri, est : f. — ; évident que, c.-à d., évisans doute, assu- rément. er «or. . . iàr- 1 X*>aa, p. wscx, rendre clair montrer, A/. y.; p. a S:xhr/.r, t.: terre, Cérès. n, '•', peuple, R. peuple. Sr.j.'.:, or./. a, populaire. p. «"o« disposer. — ; diadème. testament. . j . amollir. R. ^.7.. •J.r.-r.:, , R. partager, diviser. XtS 0:7.. qui con- «<(/•> vient au 3 ôpûirr», briser. Âtoipeca 7 •./.-.:. '^.7.0 . / $tsm(hr,ui, cas<er . -r., A'.â-îr.y.a, A-.^Oçô-Tto,/. - oh rece— , $Ut&£cuat, ceindre. x, ')ffj, lier, — faire voir. A/.ar'rr,:, t£::; H. <)}.. mère. 3 tnpla- p. p«\s. -'». - or/c y.a. fri«, 1 J»«- voir. demment, Ar.'/.-.'-. )>ass. snccéoV R. cer. il évident, "<(/"., clair, Ar> manifeste, certain, ùToû nor. 1:j.7.\, de f. v. . Sî8i-fu.zx, recevoir par est clair, ident. Ar.>.:•/;T•., :: : il , «or. 1* /, . de troif. or.. r, ;. idenl. .-\ <.-cni. A-.7. I A:7.'.T7., y.; J. I r. manière de vivre, , régime. AtaxptVOtur.V, MO, KTO, prés. opl. w<w», p. ^îoY.m/.x, rn. Ar.i'w,/. j. pass. de Atouptyo», distinguer, discerner. A.',;JO»r îiâ, I. R. &:x,prcp. à Sens; avec legé?i., par, a travers, le — long de 5 — après pendant ; 8:7. pendant gpovcu, quelque temps, quelque temps après. en, Posa., $MUcptvoueu, par 1 p. être ^taxéxptfxott, gué, - de vaincs espérances, ser. R. Jwt, fkxixoXét», amu- . . :, ner; — dre; — faire o\a, distinguer, discerreconnaître. R. o\x, «or -2 ata.fmya.ij a or. l'.xSiiïiu.ir.:, «, op^., ef ~2 ivf. M, dupr. p. porf. p«ss. , dialogue. R. 'j/.7., fendre, >.Jco, >.;- dissou- rompre. R. délier. /. T7w, diflerer tou- jours, tarder. R. usX).ct, être sur le point de, Six, toujours. i~x\, a U\, d'un côté à l'au- A AtaCYvewiV, à, discours, oué, entre. A'.7.'j.£/.}.fc), i, ; ne [1 — échapper A'.T.XJw, ^. b<m», p. paître. A-.?.- distin- «ce. R. ïia, Xavôotvw. Aix tromper par îtat- e/c. être aperçu l.\ .vr/.O.io) , f. ï,7w, /". S\s AiaXxvtcvc», être caché, le de. II. Six, ace. de er /.z&r.iyj.x:, nor. : —sivecl'acc, pour, touebant, à eause de — moyen ; o\z. xptv«*. tre, à -rri;, A'.7 de part en paît. H. xu.x, ensemble travers, tout. r.i-.'j.:.'. - vj'xx: , f. ««©* 20 AÏA AIE er de J. pass. Sursffa*, jienser. R. S-.-J., vcÉtft, m. t. y «or. 2 pari. 1 aor. 1 aor. er 1 &&«&», p. Xwxétab- p. pnss. <$<.7-i-y.- y.y.: y., aor. , t A'.XTTxpeîç, eût*, év, ?**«• A-.x—icxç, x-ïx, xv, aor. oa. I er part. Ep«, aor. 1 er 5u- rapo, aor. 2 &te'i?xpov, transpercer. R. &*, vsipe», percer. A:x-y.;xy.ïy:ç, aor. i er moy. de joindre ensemble, Aizxirrvufu, — construire. R. former; ^-.a, ficher. rrrrçryj.'., At%7tXEÛ<rat, aor. fct/, AixrcXsuaavTttv, g. pi. part, de acf. , —passer. R. o\â,-Xsw, ; naviguer. R. îia, Moy., TCGp6{&£Ûct>, ô:y.-zz aor. £J7:;j.7.:, m. 1 m. )'j.iù:y.?.'., f. &is7rop0a£U- de p/a», passer ». ; soi-même. A-.y.y/.iu, (oa, f. suffire à. R. p. répandre; pî'co, O'.a, iz-y.iu, m. — — s'échapper. , s. se R. couler, d'oà AiXfpoetç, slso., AiaamÉaatYTO, aor. 2 part. c'v, e 5 p. p/. aor. 1 er •l-.xs-xco-â),/. aco), p. àUaicaxat., aor. 1 er pass. Sus-zabw, tirer en sens contraire, séparer de force; mettre en pièces. R. o-.a, (j-aai, tirer. Moy., ^'.xt—xou.xi-ôiu.xi,/. — 772. AixîTr^x; , S. ourct, , (r) îfc p. pari. délai, retard , — temporisation. R. reëw, user, consumer. — remporter ; fc*, ; sur, valoir mieux, exceller , xaT GÙ$èvaAX^<Bv£ia<pepo*7eç, ne différant en rien les uns des autres. R. &ot, cpépw. R. &*, le s'échapper. s'enfuir, Aia<peû-yc«>, opeu-pa. aùj., différent; ov, — neut. pris suist., ce qu'il y A'.xç-j-yojy, cùgï, -z\, aor. 2 parf. dtaçsû-y». er m/, acf. Ai3o|ok, aor. 1 cte de a?/, dae/ de maître, pré- a. At^aoxbeXrç, do (ô), cepteur, de â£ta, aor. 1 er /. A'.<5x<jy.to, è&$x- p. fcSi&axsi, enseigner quelque chose à quelqu'un, |a, Tt t-.vx. Ai5Wi, îow, /. ^wcjw pr'tm. , p. Se&axct, donner, offrir, pré- senter. At£<*ot, 5e AtefféSèro, du pr. p. s. j«d. 5e p. s. plus -q. -p. pas;. de ïtx&'ca. AieXptÔGV, z;, i, aor. 2 de SiaXâv- faÉvM. xv, aor. 1 er x'— w, /. xçw , aux, pass. de AteXafraç, 1 er par?, de Siîarïjp. A:xrx<7ffw , cv, r, , , aor. 1 er ÈoW.x, aor. 2 s^cov, opf. rao?/. de ÛtCTCUCU, A:y~z'.or, AîSaraaXàv, àifiçxtKz Atappew, couler à travers; o-x, AiaTêrçfl*evos pass. £i$â<»c&>. ao>\ 1 er i»/î de A'.aç-/i£<73tt, txcktw, a d'important. R. ffuupéoti. s. c er o'.x, tasser, (/"om Ataçopoç, A.y.-:;0y.rjw, /. e-jcu, faire pas- fjao.r,v, : : 1 er aor. liKxkétd, f. ev<j»j «or. 1 er 5-.c'xrXsuoa traverser en navi- ser. — Aiaupépw, différer er 1 arran- ô'.i-iyha, ^a.$.s. ger, établir ; ordonner, sta-y. ^.xtîtx-j'uévx , tuer les choses établies. R. «fc l:::-i :.ztA,f. guant er A'.cÀaûvtJ , xv, îisXaea, part. aor. /". xsœ, aor 1 A10 l tr A02 SaiXcurc, transpercer. R. pousser. $'.%, È/.aùvw, prés, cl imp.; ouÇtévot — réciter, fui.; ffisÇiov, ?"»/*., , discourir; déclamer. R. travers, è;, de, -la-., pa?r «« A'.s;twv, oùerst, o'v, AteTrÉpxaz, ota/rreoâu. r. £•.%, à aller. /)r. ri co, arc, p. out- rcopdusûc*. Sté, imp. de s. S'.y.i- zioi. Auçpjy./.côç, pari, du 'j'y., o'ç, otc:, p. g. m. Aioui&riç, eoç-ou; Lr cv f OOT. i p«/7. ' A-.r.v/.çzy.ivo;, «h pr. A './-t] ai a a*., 7i, r,, rrctl, /. t//t m. er suhj. AvQ"rr,oa>[J.£i,7], flTOl, «or. I du m. aiwe-Yxo, a:, s, «or. 1 er Je &a- CÏ5(0. » A.rsr.ar/::, cv, p. ;)ar/. i), pa55. de oiatpétt. Aiian^u, séparer, diviser. R. faire (c Diomède. , de Zlû;. o. A-.-;;, conj.j parce que. R. o.a, i-.'.. Àtoçavroç, eu A:y-/, y.; £-.*, //. fois. soif, liffd», û"o« «or. 1 er È'h- p. pe^ttjrpt*, avoir soif. eldor. p. £:yâv, conlr. ait. de >j:iiv.t, inf. dupr. Aiyc:, ecç-cuc (to), soif. «M. p. ^:Çwc, co.»;?r. Je 2 e p. s. opt. de £•.- Aivf'jy.r, oujréctç, Aupûoi, conlr. de Sityzwai, 3 e p. p/. prés. Aumua, /. «*/< nr. »Çû», «or. er 1 êottftÇft, p. oVî(co-/^., poursuivre. A;-y.a, arc; (ro), ce qu'on croit — propos de faire ; avis, opinion, de — décret ; Aoxsca-û, /. <3V;<o quelquefois er oemia», «or. E'îoçx, p. p«,ss. , AumÇm, /. R. féai, atGo, juger, décider. d&foypuu, justice. Aûseuoç, a, cv, «</;'., juste ; M. R. tucautç, adu. Justement raison. Diophante, (i), deux (y.), dr.o-7-, a urrotu. ; — mé— avec R. ouuuoç. aJUUMtTM, 3 e p. de $ixxÇ«i. Aucooftipat, s. aor. 1 er itnpér. «or. 1 i/j/. pass. la justice, ICJTV.U.'., — (7720). A:y.xarr ;, où (6), juge. R. $ucâ£tt. Atc-y=vT.;, io;-ou; (p), Diogène. paraître, — sembler ; passer pour; penser u.cl TSTr,py,xÉvai dam, (je me semble) il me semble avoir observé; S&cxto u.c., il m'a paru bon, j'ai résolu de. : de ogxe'gv, p«rr. d« pr. ?je«f. A:/.Ôj, où Ton tribunal. R. grau*, iy.:, Agxcûv, conlr. er AucauraiptGv-, ou f-o), lieu è suc», R. Bacchus. Aip'vuffoç, ou (î), A :yt:i, 5 e p. s. t///p. de AirjfécfMU - cû(Adu , raconter. R. &ta, •/,-;£:•-».'/•., conduire. Air,-|'=Î7c, &UCB, , . route. A'.yxoj-ô), /. rend 2 imp. x, à Irarers A!;, ««"r., 5 e p. , rité. I • Ateirop6u.EU<Mtu.r,Y, A'.:pi-'. • ocooi, traverser en Battant. Aum, dursopôofuci). \:i—'j'Jyj.yjny., r. «0>-. lUfftt», dtu<xa,p. Attvryreîv, aor. 2 inf. rfe&uupépo. à. iz.y.:, AlOdeÛw, /. 21 e* conlr. de Scxéo». AqXg;, ou (6), ruse, fraude. A;;7., y; (y,), gloire. AoÇotuu t/« , m. estime, réputation, R. oWc*. û< , au , aor. 1 er op/. , AÏN 22 A:;a';icv, eu §6£ûvr,|xat âo';a. xoa, av, A:':a:, vaine gloire, (to), R. gloriole. AQP flo? - er par*, de R. £ûvmat. Aj: et Sûo) g. Sucwydal. S-ja: odj. mon., deux. A1-77V, /cr, ov, no"j., malheureux. R. Su:, part, qui marque difficulté, peine ; fonnp.1, «or. 2 faculté. sta, aç, s, éol. eiç, , , de $cxé«». /. e:, p. S-.ixvj.:. ou (to), javelot. R. îopo, lance. A;:, aor. 2 impér. de Apy./.wv, cvtc; àîdWt. inf. orÂvai, placer, être. serpent, dra- (d), I. gon. Apasco, s-.:, occjw, «or. drachme. cor. 1 er Aj\ 1 8\ju.\ , , f. Sufftt), S5o»a, aor. 2 f&>v, — — hâdv/.y., opt, de a-.TO, oûvcd er ïéouxa, p. pOM. J:''Îj:m.'., entrer dans ; revêtir; descendre. p. âjc. a-.o, ^ûo, deux. /?. p. ëfyauta, p. SéSçaxœ., fuir. Ajvatu.r.v, Aûw, II. Ajco, Jpau. ,/. de e Izy.yu.r., y,; (y,), Apao, /. woy puissance, force, Aûvotp.iç,ecix;(TÔ), d'O/'.ECi). Aopanov, er 1 pouvoir. è^uvr,<j*|jfc7iv, 1 . «or. , adj. niim., douze. R. deux, Svax, dix. Aûpov, ou (to), don, présent. R. 8<ju>, Aûvaaai, /. r.wj.y.: aor. de /. pass. i^rn.hrn, p. 1 , er id. donner. $18(001, &s», E EBA E ETK en nombre, cette lettre, surmontée de l'accent aigu, é, vaut cinq. : TEàXûJV, «;, 'ExVyConj. quiveul I. R. II. sî, le subj., si. ay. r,:, r,, aor. EfcUTCù, r;, cû 1 ; xcvrà dizaines. v. piooj. ta, imp. de e, e;, er s?d»j. «"a m. 'EocuXo'pjw, cj, et'., ûfy. defaù- sans 'E-pyoâaa, inscrire. R. dans, Tooca>a, écrire. /)ro?2. réjl. : ace. a'a pron. prim. o5, ol, I, même. — omettre. "EGaoîXeuffa, aç, — E-yé'yovetv, si:, 'E-yé-ypaitTo, permettre; 'E'j'éXaaa, ;; ;?. 'EtîX«v, aç, i\ fiy.sù.z-no. s, p. I», 5. pl.-q.- r . v. veÀctw. e, y.:, imp. du m. 'E-£v;ar.v, ou, etc. V. YCVGlugt. 'E'YÎvwcxiv, s, 5 £-;, plus-q.-p. de £•., pats, de ypâ<p< 'Ea.w-w, im;;. eïowv-«v, Eiasç-a;, eîae-a,/. enrà, «or. l ei "cta<7a, p. Etaxa, laisser; 3Xs'-&>. Xouoli, nom., de soi-même, soi-même, de soi, à soi, se rà IoûtgG (77ooc-;a'y.Ta ,, ses biens. R. I, soi, aÙTo'c, mar- EoouXeU(j(xu.ï]v,û), etTO, ?. ^cuXeuca. Eaaov, â-®, aor. impér. du m. Ey.Go>, les 'EcÎojv, coç, "EoXsttov, 'Eàv, inf. d'iy.o). de te et dix, °E€£g{aoç, septième que oi, i>. â>.fcr/.cù. mon., soixan- 'Eo'îsa/./.ovTa, adj. e:, e, 'E-v.ij^'.y.;, ou imp. dâftvc&oïCfA. [6-) 4 s. eut. asT;;. — LIA pain cnil sous la cendre. R. e'v, /.:Jrrrcj, cacher. wxii I i -w, c. OH /'/•/. (ao5, è-j-w, -j-e, Et£ûçy uta, uîo, contr. d'ior./M, ô e p. imp. de ïrik&tù: er 'ES'kùZx, aor. 1 *E£g'xguv, et v.;, "E^cçx, a;, "ESzxgx, ol;, vou&ai. de er imp. Je S'.yJtù. bon à manmanger. «rf/. î'Îco, f 'EÔeXrlay.'jj-^oor. l er 6eX«t, a;, op/. d'c'Oî'/.M. m. vou- de dupr. ifeûu»;, H. . le le convenable : il T.'U--i,p. adj., u, vnm., vingt. avec raison , , convient. R. v./.i;. moy. iv.y.z, ressembler, adv. , il Eùcei;,oVoç, p. pari, du pT.) t (s. EtXe, e p. s. — Lejut., — rend par le prés. ; î'ix.7.:, si ;sîy.x, si Ev.i:u.j.:,f. r.azu.xi, El Ss même, quoique, par aventure, par hasard, avec l'opt. Erre, si cependant. R. sî, fè*. et wou, Eî^eît.v, uç, r,, si si prés. op/. d'sfàw. Etôévai, p. EÎ&nxe'vat, p. i»/. de Eiâto, /. £V(jcli.x'., aor. 2 el'S'cv, il/.i-, R. trouver se sî>.e«, aor. rouler. 2 moy. deatsEw. après ce n'est ynoy ,v. eÎXov. EtXopQV, ou, s?;, d'ivi.i. mais sinon /•. près, versari. II, Ei,co7)j., si. etei; eixa comme adj. Etx.-Jrcor avoir coutume. que er de vingt coudées. R. ~?,yy;, coudée, cl s. imp. de Depot- E0o), p. 7?/oy. sicoOx, se e E'!/.:gxtty./;j;, comme y eî, btoé YX/.'.g:, "Eôvoî, se; (to), peuple, nation. p.ri, 1 d'oà "Eôvr,, pi. '2 eh bien, >oit. te j>r. vraisemblable, TTSÛto. I. TA, seraient, qu'ils est (e\m), vraisemblable, convenable. r/)ùx/.y., 3, soit, — tb; ifcco'ç ment, de bon gré, de 'Eôs5â-£j;v, ils fussent; E-//.:;, 'EôêÀcjc.:;, qui agit volontaire- 'ï/jù.iû,/. r.ao>, p. opt. (feîjrf, EÙCftopê'vG;, p. pari, pogS. Ittov, a;, a, r., R. du m., présenter au naturel. R. eum», ressembler. mtp. de «Su- dor.p. imp. de 'xw. v EôaÇa, p. ôairre». loir. ctfr,* P. pass. eftcacrpat, imiter, rc- <5fxû). t;, t;, ov, ger. R. p. oc/. Ei/.x^oj,/. a<jo>, «or. v E^y,v,r,?, par/, Eïr.v, r,;, r, v. . EoVm'-JAOÇ, oç, o. o'toç, ;>. o'ç, mate, de 5. Ei£v,a//. p. efviaav, 3' p. pi. d'ivre Siio/.a>. 1 r. e, s. c-jv, aor. e, 'E^jvajxr.v, 7yh) y <:xx, ait. sachant, connaissant. r. 5eï. 'E&t'./.vj, pl.-q.-p, y. fepr. e;, e, u. EtâqTa, «ce. imp. de $axpû<». s;, ;, ^ je MIS, je savais, je connaissais. certes. 'EÎôxpuov, moy. />. y. c^îciv (/'oh. moi-même, moi du EUgv, >, moins, eqwdttm, R. "E&t, M0O,Gio6a(p. je connais; da »î. êfioo, moi, je. YVttXSVXt, p. — voir; itjiws, p. fvwGMù. ». 23 E1II Eî>.ev, s;, s, r. a!p/co. Eûu,jf. lacfuu, ânp. jfv, être, II. Eu/.-., prés, e//., aor. 2 îov, p. mot/. w«, plus-q.-p. r!=tv, I. et;, s-., aller, venir. Elva-., i»/. efetpc I. er Etirov, arw, aor. 1 Etiré, aor. 2 imper.; Ei-sîv, aor. 2 in/.; impér.; EK 24 Ei-cv, aor. 2 o"et:w. e;, e, E*-ore, coft;., quelquefois, -si jamais. R. eî, E'-cj, cor?j., si R. si ttgté. ttcû, là, Et, EKn quelque part. dans quelque endroit. t /• è;ô>, p. parler. Eipuysai, a; "Exarepçç, a, 2 pass. cte dire ; ev, par* en- ; 0. y.iàr, ivo'ç, mm?., un, un seul; unique bis «ç, quelqu'un. EîrcaXXw, se jeter dans ou sur. R. ci:, ftâXXu, jeter. Eîreuu, aor. 2 eiçigv, pr&. i»/. : — venir , 5 e p. en-trer dans, en. pi. entrer; Etc. eiui II. gén. ou le dedans, en devers ? ;, eiom, le de- l'ace, dans, dans — ; : Eit dev. une voyelle, pour Eira, iufr., ensuite quoi ; Eùâôstv, — I illic c, r., elle; lui il, cV., y.y.'/.i(ù, 'ExxotuÇo, pron., celui-là ; — ce, cette ; — , le, la. ; 'r,}, assemblée. R. appeler. exporter ; emporter. xoiuCa. "Ex.A7.1c/, frnp. de x.Xaî&>. prim. >.r!6w , /. 'ExXavdâvu aor. 2 È^éXaôov, faire êxàTigo», £x, , R. oublier. sx., Xavârôu, ca- cher. Moy., ixXavdavciiai,/'. éVayî- aor. Gcy.y.;, rfe/. pass. 2 E^EÀaÔoW.v, p. ExXêATjauai, ou- d'oà *ExXEXîjadai, p. 'E/.'/. t'y:j'y'} y.:, de/, pass. m/. p. pas s. ExXrpGVGu.uax, iv.f. d'i/J:j(ù. p. x.Ar.povcu.=co. «'. i'Oto. £•.:, Et, ctos pl.-q.-p. (to), pris subs'.ant., la d'â'6o), le énerver. R. — ex, X-jw, délier. êlre énervé. '£/.u.7.6(ôv,sj(77.,:v. r?. d'ilubùi;, coutume. EiwOcô:, uîa, tç, p. moy. cff&u. *Ex. 'El, der. w??e voyelle;, prép. gui régit lir, — amol- Pass., ÉxXûooat, y. •jôriTCputt, p. ÈxXéXuaat, se relâcher; aV l'imp.). Eiùdo'ç, comme p. èxXÉXuxa, délivrer; eç, e, r. Ê'^O. Etaôa, [sans mou».). R. 'Ex.X-jw,/. ûaco, aor. 1 er é|éXuaa, dani. Eix<*i 'Exsûtcç, blier, d'v.u.i I. qui régit at/f. Etorû), R. Hécate. ille. R. cdj. i-.z-.i-u.: l'un des 'Exeiudv, g:, r:, iwp. de xeTu,at. 'ExxXdoio, 04 prép. oai récif l'ace, II. El;, y.îa, — chaque, et l'autre. celui-là, celle-là, cela ironie, raillerie. (r,), iç, odj. f cv, — Tun èxeîvoç, de c"pw. ivc'r, adj. f dv, s, 'E/.eî, aa**'., là du m. Etpuxa, dans, à, vers; sur vers; pour. (5. "E/.xttc;, 'ExaTcv, adj. ?ium., cent. , Eîot, point de départ, séparation, division, exclusion, excès. 'E/.arr,, r,; (r,), Eîp^acfAOt, r, Erat,/. Et? o;< ; marque du m. pa«. du m. Etçuuat, p. Eipupivoç, p. par/, pass. Etpwi), r,c (r, ), paix. R. à s, v. s'sti). EîpipcEtv, pl.-q.-p. I. ex deux; Etpvxa, aç, E ?? w ; — En cemp., chacun. ETp-jpc^L», offgt, aarat, y. Ip^â* — — de, de la part de par. gén., de, à partir aor. Ipart. de 'ExuxvQâvcd, apprendre à fond. R. Ix, u.avdavc<>. '£xop.iaz, aç, e, 'Ex.-îtttw, :w. i'. x-su-l^o). tomber de. R. ex, , EM11 BM y-r.av., t,V. ^7-io. y.;, parouv, £•.;, », imp. du m. :e^,adt7., tout du long, <fo même, moi-même. moi, rùto'ç, même. 11. 'Excfcucv, 'E/.cô v , où «tvw. e'/., «, w 9 , . ôvre :...,a<lj., qui agilvolonliers, librement. "EXoi&v, (, c, i\ Xau&avt». "EXâXouv, B15, s-., imp. de XaXsa. W, SU»* d' >.a/;j-:, le plus petit nombre. \D.^'',W,v, tmp. /xzss. ; "EXefOv, £;, £, imp. act. rfeXep». /^T-.r, = r,, "EXe'woç, eu démonstration, (6), preuve, (/'où '£•.^7/0, v.Ey/a, con- — découvrir, trahir. Hélène. (aî),Eleuthères,v. œv 'EXeuôspou, r.s (4), 'BXewÔeptx, a; liberté, (r,), de l v 'EXeuow, îvc« Eleusis,.?;. (r,), 'EXs©*?, bwtoî (ô), éléphant ; — ivoire. aor. ïinf. d'lpxo{*«. 'E.v.â;, fltôo* (r,), la Grèce: to 'EXX«k çwvT,, la langue grecque. Grec. *EXXy,v, tf»oç (à), 'E>."/.y,vix.:;, du m. *Eué, ace. d'iyû. "EueXi, y. 'Eu.eXiÇa, •j.ù.i'.. 5e p. aor l^rfejieXîÇw. 7.;, e, cotiir. 'Eutxtcpovet, ?mp. 5. ttèvAOAycvtt, c/e [uottasvéc». conlr. d' ij~u.k-j l.y.'.acij, imp. Oe 'Eij.a-'vco,/. *x, ». 3 e p. t u.'.u.i'.u.y.'.. er ir-u.v.evô, aor. 1 rester dans. vj.'j.i'j.i/r:/.*, II. SV, U.EVCO. Eue, 'Jvj.c'ç, y. t'y». d'E-ycovÊ. ota/. t„ la mon, ma, a'.//., eîv, le mienne. 'Euoù, g. d'i-xt ou 'EuicE&ucXifc , u'i;/.:';. écu; , Empé- cv, p. pa$s. (ôj 'Eu.TTcTrcç-r.u.Hvcç, rM part, (/'ia-cp-xw. 'l".v.->.x6w, /. '£XX*$, -c'.t:;, (r,), mer. Moy., itOU. espérance, at- tente. t., aor. 1 er subj. m. f iy.-x'/:r, K'j.y.:, aor. s., aor. 2 act. iho*. p.7.V fJ7.VC0. T.A7.-jTvJ,f.:, où,pro/i. iv'/7. 720 /n., </a£. R. 1 er f. T.ac- i/i~'/:r,ix'j.r^ d'où 'Eu-'/X'jy.u.i'ir,;, r, cv, aor. 1 er par/. rato, aor. 1 C! Èveir&ornKTZ, attacher avec un( agrafe, agrafer. R. èv, icopmn, d'èknïfa. "ïj.y/):->, t;, e, er £•/'- rassasier. , 'Ey-'^-aw-S), /. r,;, 1 remplir. èv, ttaxôco, '£.-•:>, f. î<K»,p. wXirow, espérer, attendre, de 'EXmç, îÎ6i aor. t.7(j, ÈuTCÉxXyjauat r„ v', «W^., grec. 'lv./.r,^-cvTc;,vj(ô),rHellespont. t>, aor.' 2 sn/'j. p/. ttXy.oo, p. IjAfféîrXïpca, p. pass. XéSopcc, oa (ô), hellébore. t.v, iv, docle. 'EXtoîv, (./g 2 e p. Eu.6f,T£, mien, iXsuQw, aller. 'E)-(™, paîvw. aor. 2 impér. d'ip.€aivtû /.Cr/J'., "Euci^e, *EXsu8sp«;, a, 6v, a (/y., libre. R. R. R. ( vaincre; "Btivn, ' 2 opt. de r, «or. r,ç, 'Ep^aivû», entrer. 5. s- •;<•), /j. /". £V, fji.tj.lu. 'Euêaivrv, imp.de mncum. e;, e, iwdô, II. 'EuëocXXu, jeter dans, verser. R, rtîvoj^. £vw. p. ixrsTducc^élen- dre. 25 sems S, •/i.c^acc. ôv, de moi-même, à moi- agrafe. "EuirocoSev, orf^., en avant, de£'; rô euuçooOfcv, en : \ a ri L avant. R. ev, -:;, devant (*çotîoi), qui est devant. — , EUE £0 'J F.!ST rpsjinttf., f.'^.y.:,aor. 2 - Ésapv iv- manger avidement, , avaler; dévorer. R. Iv, 9270, manger, d'où Eucmetûv , tOff», ov, aû>\ 2 par£. Euooivw, faire paraître. K. iv ipouvo, (/'où — pour, pur. dans; 'i ,ii. en, /7'.:'ty: : t, èv, fois ir:, - = v Evô = a: :a. besoin, (t.), manque, lébre. R. iv, èWx, neuf; E-.E-v.a'y.'v, opt. moy. de pu, pari. ivûv, /.-/, est IvEXgv, «or. 1 er 'sizo). àor. 1 er d'È-;- e. ira;?, bijm iv, L'unipcrs. il duto, evîjv, être dans ève<ra, /. ivs- tidv. f h cause de, revêtu desesarmes, armé. R. iv,ovtav, arme. s-.;, cûuevy s-., i/np. H. 'EvJtv.si, con/r. d'i-rïy'/.zi, 'Evc/'/.î'w-ôj./. y}w-, r.a», aor. P- evcdvay.x.o. , hnp. de er 1 èv«- troubler , importuner, ennuyer, acc. ou da*. R. èv, i/y.cç, trouble. 'Ev.aôOa, adv., m. s. que èvfa: qbceipoç r,v r&v ivraûda, j'ignorais ce qui se passait ici . "Evtoçigv, ou (to), sépulture; Ôarrr co, p. funèbres. R. Èv, rrraça, ensevelir. E'ETT/.r.^/.v, pari.; vEvreU«p.«t i ffèrrvétù. t).-;-. - tr ??î0î/. "Evrtdiajifiveç, U, ov, aor. I pour. Evsvacuv, vceu, — ornements permis. iv, M. R. (a"* c^/ers I. mé- esprit, penser, rf'oà *Ertùf,w i r,:, r,, aor. 1 er miy. con"Ewct*, oç (r.), pensée; 'E ^'?, "« El? wto, w, eu dedans; r?;.'., p. iwEvsiiftx, R. penser. diter, glorieux, ceo::a, gloire. ivlffopwtt, /. les dizaines. r.gco, "Evoir).GÇ,©v,<n#.» gué, "Evs-ypoujfa, a;, . marque 'E/v:so-â>,y. de dedans, de ./, dedans. *EvéoaXov, e:,e,gû>\2 t/'Èy.oaÀÀw. est des pam., qualre- l'intérieur. R. iv :,. fl^*., il que. jecture. "Ev&cdsv, ac/i\, R. quelquefois. est lorsque, il R. pénurie. *EvO::::. h. Évta, certains, vingt-dix. manque :;-cv5ç, qui avoir besoin, d'où j.a-., i\ v./.aw. s, (ci), ndt-., x.;v7x tov, !ffî]j. c?e de, incomplet, imparfait. R.È/, : ?vfer, Je. II. rouler dans son ^. e':, R. ici, là. 'EwevtÎxovtx, adj. vxjT-.âcd. J aç, èvc 3te, contradiction. , — où; èv, c/e il; 'Eviers, devant. rvt£, a;, a... 'Evy.-jTiwv, — ; sunt qui. tvxvrtoç, a, cv,af/j., contraire, opposé. R. là quelques-uns, quelques (personnes ou choses). R. er., p. evett-.. st, il est des gens qui, R. iv,auiXXa, lutte, à... R. 'Ev!, rfaf. hdpûJuw T^saai.ilsmecom- parent ici, "Evta, wv '£,ay. •.}.>.'.:,:/, adj., émule, rival: y.; orfp., 'EvàxSe, ad». , m. du m. acc. ivsiut. alors. r. Et; II. ... E.y., ' "E-/jy., r. "F./(/.r,ca, 'Eaçîivau, oor. 1 er inf. 'E' prép. qui régit le dat. taon 'Eve'otw, r. "Eve<m, «or. 1 er pass. d'h.- *ubj. r,, «toi, aor. 1 er moy. de *EvréÀXû>,/. e'aw, aor. 1 er ir-riw.x, . LOI I.EE rmroXxa, commander, en- p. — charger quelqu'un joindre; de quelque chose, tî nvt. R. iv, tùùuiù, faire, om giùjm, ordonner. Moij., u.a*., 00**. I e' m. tstoXa, I IvreXXcjMU, /. Èv re âu.r.v, 1 ./ là. marque point de flev ; port. dans, ^én. dans, en dedans. R. 'Evr:';, nefo., - v-vc;, .'":' Rxécestidc. . 'Eîr-y-r.ihy.:, p. inf. pat». d'i;y.—y-y.<>. dune manière adr., :r.:, dé- — avec conor- i/;-»,/. fi;»! avoir, te- nir. *EÇnox»(Jt.evoç, r,, part. pass. &v, p. d' fiy.r/Atù è:'./.:- p. de/. p«s.s. ;::;;«:, par- u.r.v, atteindre venir, R. à. i/.. ixvsouat, aller. Iv, sommeil. 2 fer. 'E^DCVEOftai-oûttacc, ûûa«,6v,aor. 2 part, d'ii- T.v.tôv, £/" * — lleurir ; tules. R. iif;i r)y;/.y., 'Eiv.Sïw, /. couvrir de pus- se ex, KvOfito, fleurir. 'E;?.— y-xv-C-}, f. x»«. «<^r. 1 er iij-y.rr.TJ. ïif-y.TCAy. , p. raco, m. -5., ex, R. qui nie. «((/'., J. ilxzyx, <?éH. om occ. R. •EÊovei&Çto,/ p. d'i%i~>-... souvent vailler avec soin, ner. R. ex, "Eceiut, sortir. — m. R. y.nx, d où flty, fiO) . 1 er par?. ocoxè», exercer. R. I. "E;a>, v I», eux» 11. s'avancer à cheval. R. iXxôvœ, pousser. eî, s, aor. 2 ='.;, et,/, d'ex». E;w, ad»., hors de, dehors. II. R. à/., ÎÇ. 'E:mc5Y.xm:, uîa, d'ï/.'j.y.u- "Ev./.a, r. e"/.w. ôâvw. *E^s'irMrrov, eç, s, Jmp. c/'s/.-[-tw. *EÇe't61VCV, EÇ, 3, f/07". , il, s. Èç, cpuuzo), 'ïilizy.r.ay.;, perfection- chasser de, chasser; *E£«Xaûvca, accabler d'ou- 'Eçssu.âw, se précipiter, s'élancer. tra- i^r'^x.r./.y., fou/, de reproches. R. ovsiJtÇw, s. 'E^acrxc'cû,/ r,7co,p. *Eçeopîaxu part. d'ïh'i), trages, ap;w, commencer, èx, oizyoi, m. 'Ecn'y-aÔcv, 5. m'était permis. ou, àpvécaat, nier. 'F.ixf/o), :ioïw, d'une manière absolue : \i. étant permis à moi. !|*ct, e.-à-d., vu qu'il m'est, qu'il part. "E^apvoç, JÇw^rx*, èx, — Ce mot Remploie i-a- cv,/. pass. vj, p. R. 7/?. d'où ;7.-a.Tr/JY,'7;y.-.v:;, riao, s'enfler, enfler. 'E;:v, h. , tromper, séduire. R. s/., . pari, d'iiy./) 'l.irr/if./M;, p. i,. songe. R. 'E^avôétd-û, y. Tia», p. ]• w 'EÇr.xserrî^ttÇ, dre. R. — de- , "or. 2. ;, :. <. tinue, de suite; — r;), ;eûpc R. 'EvTouçaw, faire ses délices de; insolemment avec agir quelqu'un. R. s\, rpu^pau. 'Evvirnov, 60 'l l de j/. f/'o« p. Iv- «. rreùteV, ad»., d'ici, 7v6« e/.cj- R. imaginer. 27 2 trouver, rf*ÈXT£lVû). inventer, il semble, c'r, — il p. p'<r/. «cf. "E;:/.e, îtniptrs., parait, il sied. (foi* 'Lz'./.m;, -j'%, bç, #. oto;,*.m«C iT;; : . 28 EI1E EI1I — semblable; vraisemblable ; convenable. *Ett', dev. une voyelle, p. i-'.. 'E~x-;u, amener, emmener. R. — 'Ezii-iz, conj., puisque réelle- ment. R. £-={, irép. adv., ensuite. "E-c'.rx, R. 'ErraXzomr.v, cj, £to, aor. Moxj., m. ir.x~zu.x'., f. p. £o; (r,), invasion, irruption, choc, de ac- i~x/.y., compagner de son chant; chanter. R. i-l, ££«. — jvtcXoûvu, avancer, se porter contre ; faire une irruption "E-?.6:v, v. irào^tt. "EîraiJeuaa, ar, a, Eraùvemu, aor. sur. tccu&Ûc». i-, 1 er m/, vexa, aor. i er peuss. louer. R. è— •, m. Iinpvédnv, m. 5. louange. R. ï-{, "Ewatvoç, eu (o), aîvê'a), s. — E-atpw, élever ; froncer sourcils. R. =-•, wp». /es "E~x/,conj. p. i~i\ àv, après que, quand. — — "EvrôxvrXoGffai, pi. fém. iMcapoupcç, eu (0 laboureur. R. , part. 'EisdaopjaiA, qu'un d'espoir. R. "EirefEvopwjv, vj, ère, aor. 'E-Ey.EAY.Or.v, v. £Tr'.;j.£>.î'cp.at. 'E-£u.£y.^oar,v, cj, ît:, "EtTcîCV, 771777W. t'. aor. 1 £-3637:, 2 e p. 'E~z î>. r jjy:r,'jx, 2 d èer d'à- 'E-sî, co?y'., après — que ; lorsque vu que. 'E-î'.-îav, av. — d'i- (TTÙ.'/.Oir. £77£çv;£ jT:,3 e p. , de 5. pl.-q ,-p.pass çsvc'jcj, 'Etta-cW.v, g-j. imp. moy. £ti, *Ein}X£OV&v,e$, s,imp. 'Ettt;;/.?., d'ïr.i'/.xtj'iw. àv. a.;, e, i\ que, depuis puisque. ; — — que; dès que. R. £-£•, ênrxtvéu. p. ffèipeûpu, d'oà Ettî, prép. :':, à 5 cai p. parf. : avec le gén., — Avecledat., dans, en, parmi ; à cause de, èt7 uvj : près de au sujet de quoi ? i-\ rpxvtxû, près ^tec l'ace, du Granique. après £77'.6'jy.EO). conj., après lorsque; <£s, s. ÉwmôîijM. x%, e, y. d'Èrr.- , sur, en, parmi. TTE'n'ar.v, i«^. e, £;, 'E-y.p/.oi;, uîa, •ETTs'eou, p. iwp. d*£- 77 ip, c'y. ipo a 7.1. 'EmpaeToç, cv, ad;'., aimable. R. Èsaw, aimer. 'E~iion, 5 e p. s. irop. d'i-:zzio). 'ETr/ivc^x, ïtryivcuai. £, ù.r:[- Ku, espérer. *E«W, R. £77£'!, aor. 2 d'ÈTT'.êzivù). aç, quel- i~l, cory., lorsque, puisque. f. moy. d'ir.tào), , £rr//.7rt/.a., nourrir faire espérer, d'È773C-vtO. xpeupec, terre. 'E-eoojx-7. £-(, IXo6vtt. *E^rEOT£XXcv, 'E-avrÀ £(>-?>, y. ï^a, verser, épancher sur; puiser, épuiser; remplir. R. èm, àvt/.e'u, puiser, d'oà 'V-.iZr;t, R. E-£>.-ï^oj, /. îao, p. ac{. de 'E~7.vrzca-û,f. i<3(ù,f. moy. (doux:, aor. 1 er irrhiax, p. i—ç- £77-, d*£- 'E-3A7.5'.:, 'E-z$o>, f. â(7w, aiv:;, 2 7?t>.au.oâva». xlzu.X'., s. è-l, t'.TX. ; : . ; — sur, vers, pour, par, ; È77 . 7;ay/,>.cv ùdeîv, le cou. pendant : pousser par — £n comp.y im mar- que arrivée au but, superposition, addition, excellence.. Eni monter sur, marcher R. foi, Paîvw, taciCaKw», 20 FIJI sur, s'avancer. de, reprocher. R. l-[, <fo« établi, placé sur. ly-rc, pûssager 5«r eu (o), »m vaisseau. r /. eûaw, aor. l' fcc«€cûXeuaa, p. eux.?., dresser des embûches. R. jiw, ffeo- *E-iocj).rjù), par des railleries 'E-(/.c-:;, eu (6), billot cfe c;/i- R. sine. de, se liai. R. rire o» de, ncc. moquer foi, è-î, -p- /.-.'—r-j, x,"jya, p. èiTucexoça, se pencher. sur, baisser la Moy.,i-:-;0.y.'.y.%<.,f. otOO- m. 5. — tête. R. £--, er part. m., r/V< 5. 'K-,>. ay .?avw av,aor. I s'emparer de; prendre, mettre la main sur. ' r. :-{ xauga Vûl . : È-- Ev-c, eut x.^tv, «fort», 'l.-ix.lyo.:, aura, TtpofMu, naître sot on après ; survenir £ç(mq- 'E-'.-pcu.a-., rouper. /. 6$«, aor. l*r='--- 'Eiroeûirrtt, }* w « (MU, cœur, (jrife, p. rtloy. reTcp.a, cou- per. tre. *E~q£>.â(o, •/ M être embûches d'un au- l'objet des | è-î, 'Emxep-rou.eu-û, /. r'a», railler, moquer de, plaisanter sur, ace. R. è-i. xecrculu, piquer Ts'y.vw, fai@K>Xsgopat, R. |mu, être étendu. Xsûto, projeter. Pas^., v.ï, f. tîacuxt, rire 'E-i/.i:<j.y.:, traîné en , y longueur. R. 'Enr^-.r, f; épigraphe, o') inscription, à), R. litre. -a- È-i, R r y êireXeÇaur.v, ajouter à ce montrer, démon- ***' * ^F ^ .; "Em^ea-M, /. da pr. •Err^W, " 161 „ 5 - a^W a, £77 E-T,- p. r.tïto, flor> f demander avec p. £— ETJIV.V.ST. désirer; — £-•!, ffouo;, "Emôui*T,àe'.a, , cœur, atç, er ; — îaire éo/. p. opf. ^. — ro;; fc{, as- r , u.\jcu.w. •' se , • i i j plaindre de, gch. e* ne. < . u.6aqpcaat. I > 5. ??i. t a J ouler mesurer en TOEG), U 0« > R. at- du pr. È-'./.3///.r.y.a, un /. sus. fjaniesu. R. é: tt£- ' , esprit. e, 1 jSltUHtXétt, /. ego, p. appeler er E-'.TETjar./.* être épris de. ai, »•;, ai, aor. 1 f. pa> a soin. *!«*"». ' J ^ w | instance. *ict, 6' cv, tïo?-. l er r., & (/e/> £ÛW> fe^aS,, on /».£•., £-•., tors», chercher. f. ^atù. aor. 'ETr'.O'ju.Eto-Ôj, ! /f .. W) dirc> choi _ pren dre soin de. R. . R. «"om w< Emeucûç, flf/i'., suffisamment, passablement. R. s--., eueu, être convenable. »_.,,,_ F _ ,..». rr./.a, sir, choï- - , a ^ndonner /. R j^ ^^^i-cCuai / rW» céder. R. Ett^v*:, aor. 2 m/, du pr. Tv77'.,r.7ê(0-C0, sjr# r. I" qu'on — surnommer; — 'Eïri/.Ecâasv::, donner en outre, a- a " J Eir-Xs^», «tat,/. É&ua'i.aor. a dit; ... m. jfoy., IwiXauëavcueu, écrire. f 'F--.0 3-v.rj lr ^rrsoaï. farf, crime "E^H"*? ****' ma, «v, aor. P ar '« y "B*wgv, W, î, ôwp. tfc-iwo. "Eiaov, e:, s, ». le m. 1 I 'E-'.cî/.e'co-Ô),/. r'cw. p. ÈTncSpxT- xx, se parjurer, faire un l'au\ , p Eni 50 serment. R. serment. \ Eni contre, i-[, c;/.::, aor. 2 part. c'v, Moij. tomber sur ou dessus. /. v £-'.->.a, e»v Trâ), mobilier, — bagage. R. meu- =-•.-}.='&), transporter par mer, c.-à-d., qu'on ce peut qaœ moveri transporter, possunl. 'EmitXaffai, aor. m. er 1 f»/. de — feint, faux. tre. 1 aoj*. er naviguer vers oh con- -rr/x, ?,; [% , R. pièce. ;?. I«î, plier, T.ï—.-yj-j., couvrir. K-.ipî'to,/. eûffca, couler sur; R. — couler. Iirî, p£c&, adj., marque. 'il-'^rr, fld». 'so?/s d'égal •. «oj*. I er reprendre, blâmer; recommander. R. £— axf,•', s'appuyer, d'où ^/. /; •>/.'., «or. 'r.rr'.'/.c-ï'j-'v. i~-. /j/.i—r,rs%. 1 er y. iw/. t,<hù. aor. 1 er p. l—iiy.i—ry.-j.. re- garder, observer; ner, visiter. R. — exami- à-î, c/.c-e'w, regarder. '£-.'. -/.'.ô --.), santer. R f. tôÇw, railler, plai- i— , 'Eîr».o~ff.ffâ(A£vc;, part, . 777! •;./,/, moy. ;;. er £-£- lirÉffrcXaj en- rtOr. 1 £>.Ô), f. — annoncer; — mander, ordonner. R. ffTeXXw,»!.*. £-•!, de t: , , .77e jo). troubler. R. iin.Tapâffcra», ?n.s. ffJt(01CTâ>', y;, mou. de ov, /?î. aofi S. 1er mander, rîWi funèbre. R. a77co, a/f. ordonner. R. =-•, £-î,07'r:7c),p.7£77.' r 'E-i7-/ ')£.:;, cv, ./. ) ensevelir. propre arf;'., à, commode, convenable. R. ham. "7.0V.;, 5., r/'o« ad». , . commodé- ment. tia-rifoui, mettre sur ou dans, Moy.f ssfj.su, der. i-l. -'.'ro:.. ï-'.-'.hi'j.y.:^ f. aor. 2 IirOe'uiqv, 'E7«Tt(Xiâ«^fd, rlro, y. ï-W.'.-r:1-j.. 'E- r: ir::- savoir, connaî- \E7-''77E'jcv, eç, £, m?/}, usftS'oç, — à égal. I"--.7/.tt:tm, wreo, voyer; y, 1 lia, îcrrap.at, se tenir. imposer. R. £•?}?. part), également; — R. tre. "Eîîtmd*Ei<»ç remarquable, distingué, célèbre. R. =-(, 'E7J''ffr,{i.oç, ov, a/L TO, *EiaTa<ptô5, ev, ad/.j itXeo). 1-ïtî, TTTÛffff», trî5u.a, W, m;p. ra-., Èirtffrr.ffci&at, E-ictTacffff ça , R. alïïuer. ff«, 'Eiarapaffffû>, att. octt«, /. a;co, av, affût, parï. de ;:-r-.->.ï'co, l 5. ffTCt»lTr*, orreiXa, enduire. £-•!, R. "AxaTo), d'où 'EiairXwrroç, dv, ad/., enduit ; aor. 'ElâaTOfJUU, /. 57racu.at - ûnftt ct ètte 7777.57- £-•. ", 'E-'.7T£/.>.W, £-'.7:Àa7(jto, ail. oerrt», 'E~:-'j.fjiy.;, et £-!, 7-a(ô, tirer. oiffofiou, p.r,v, ':-:-•. R. tirer. de bles; l èiretnraaa, traîner vers soi, at- -:-'./, gûoo, 'E-'.-'.-tu, âaw, aor. 'E-'.cttxio-c"', /. R. i-. m. s. blâmer, répriman- lia, tiuohi), ti'o» aor. 1'-' imper. ad;., raccourci, abrégé. R. â-î, TÉpwo, p. ???o?/. rércua, couner. 'EwTpss», permettre. R. i-l, t-pÉma, d'où 'E-'-z-.ivi, aor. I er hnnér. 'EirtTptTrroç, cv, ndj., digne d tre écrasé, scélérat. R. ï-[, '£-'.7'y.r.7',v, '£-(7:;;.::, 1 cv, rptêw, broyer. 'E-içtçipsâ, R. porter en sus ou sur, :-•, c;{:«. Moy. i-\- ii: t r j.y.'., aor. 1 er E2n EPI m. i—f:ii'/.7.[j:r:i, de plus, s.; "E;.:, i£o; après quelque b.ïiilcr mx«tv<d, chose, désirer avidement. cJ77., /.:'/)/./, 1 er «or. er tfÈiraaxE&i. 1 2 p. "EftX&ÛTci;, s. unp.der.'/.'.j- r. /c m. "EppoH&ott, coulr. d'ir.v.ivi, £•., ï'j:n er u.y.'.,aor. l E-:a;a, "Eirparrov, 'E— a, £ 1 l er 1 er épris 1 . , ÎWip . 3 : p. de /. pass. ac?". 1> travailler, E:vv/, cj action 5e • '£;":>. j 7 •., r! r-.vâ : ouvrage; 'Epivvuç, C r!, 'E;, p. £•;: i': , E<ni, 2 dispute. pi. ô y.:-Z;, demar. adj., sv, dam ;r. te, jusqu'à ce une autre fois. R. £, aor. î2 (/":': . p. EÎ;êâXXw. r .-ce. r y.'/n;, ;n. s. 'Eçe'&xXov, £;, t;i:<j.:, p«W. de disputer, se que- f;'.;, 1 — demander ; (r., *EçaG6t;, od»., chose, atTairo. da/. p/. p»T5. R. aor. £:co;. p. v.tivv.. e p. 5. /. bTrim I. (i'si'pco. iLy.^u, f. igo), Fu.'ic. f. £•!— y.G'J.— p. S./.; *Ep£tv,/. ïh/. reller. , R. £.;, — t'tw, _/. E«5 question. rfe rb), travail, , Epa>Tï)«nç, de, -"rnM:, v (ïïi-.:. s'informer. R. eiow, (7'ow ; - y'.'.yt.c,) aor. 1 er p. p/. d'izxo). (;. r x :•) - ger iocu.9.1, 'E::!, 3 e Y,;wTr,7x, p. r,;wTY./.7., interro- rie être p. venir, aller. aimer. £*;aw, F.:',7./.;r, 'Eo'YaÇc y. y. — •>;, . r. 677CU.VUU.'.. r,;aaO/.;, : . oupr. tfiçitû. wro; 'ô), amour, am .:, .-;v, dire, ace. oén. u.r.v, : :.-:/., 'Esaco-w, /. àcco, aimer. Pass., Èoâcuxi -ôuai, pa.ss. roi;. r.'.Jv/, £>.t>.j67., 'Escôs:, ; m/, *Epâv, ., R. , £l7fe)U.&CT3t(X«V. de ,/. t/'£t:'j s. sept. aor. (ûius.), oor. 2 m. imp. du m. num., a</j. *E-cj j.v.'.,f. aor. 2 1 «/r. iwottoû- v. —zy.nn.-i. s, £,;, . "EpX&uftl, mil*. y.7. È-cjv.:^âar,v, s, y.ç, . arc; (to), rouge, geur. B. ipuOpôç, >).<.. Mcy.,i-'. -j.-t-j p pass tx:, p. nys., rc.'J.y., 6», jurer sur une chose, aflirmer avec serment. R. i~ ., , 1 'F.-vj.vjy.-., : -r.z y.: /'jy. .. m. a:, n, imp. du v u.u.%1, <j;ai, Z.-.-iû. tt-.'.e'o. w, arc, -:.:. tj.u:c:>, i '|.-'.''.jv, £•.;, El (MO. ?mp. de II--,. ppsirov, I : 'i.-'.'r.Ta, a;, E, R. ri r-.va. zko. if. Hermol , *Èpoo, imper, du pr. pass. de nXaoo». e Mercure. . pj (é] "EpGfMU, f. ijoofAOi, «or. 3 y.r.v, interroger, question! vaav, «or. «... r.r, pari. '2 'Epy.v;:. ; i '-/.?.',;, :'•>, aor. *ETZi<ùpx.r,az. R. 'Y.yi.ixz, p. d'où £-(, yv.'.i(i, '[.-:/ y.soyj, dispute, querelle, (r/>, débat. apporter. l 31 "EçTpEiVjEîç, El, temps passe d'ï: *Eçi«v, part, du m. 'Et-eV.c;, a, cv, ad)'., du » chant, de l'occident. R. :?., soir. ~ ::-> E1T m ( EanaaaLa p. EYIÏ ble; iarr.y.x. EffTâvAt f p.éoTaxevflU,p.tn/.àel. imp.de "Eanpca, t). icrrr.ui. brave. v Etto),5'p. s. imp.tFttp.il, soit. 9. ôjtoî, ûsuç, c'jt::, de p. Icrroxoiç, par/, ècraxa. 'Earcôoi, i/rt/. ;?/. ni. ef n. du pr. f.7tco;, «<?», wç, R. R. Eô£at{Mdv, (c) ami. R. sty,;, "E-eÔYïixeiv, s-.;, m. s. s-., pl.-q.-p. R. de "ETsccr, a, cv, adj., autre, l'au- pre, — pi. /)/. d'éroç. nom. el ace. du m. I. "En, adi\, encore, en outre: eux. en, ne plus. esc, erc, i/ïîp. moi/, de aussitôt, tout d'abotd, in- EùOû:, eîa, "ETtfMxra, p. r., *Evc>.ar,c7., ar, a, 9. e'cç, 3':;, etaç, eùôS. f. Eù/.ar-v.^çcvr-::, cv, adj., R. mépri- xara^povsw, eu, mé- priser. T'.;j.ato. cv, adj., u, ad)., droit. II. EÙOÛ:, sable. tiÔïjjii. "Etcu-cç, eo, rompre. Eùôùvw,/. conir. d'î-io., 'ET'.^i'u.r.v, mou. R. fragile, continent. R. sùOûç. uvco, aor. 1 er eufavst, p. suOuv/.x, diriger sa course vers, de mo?/. 7e'c-&>. "Ersci, dar. 'Ett,, imp. rom- Eùôu, eùOûç, adv., en droite ligne; tre. de leste. ceinture. su, Çtivr,, 6;û-tco, sto, dispos, cv, adj., Euôpuirroç, cv, «c/j., facile à ôvT.a/.w. 'Etec-cW.v, eu, du bien, de ouvrage. eu, Ép-yo*, EûÇuvgç, compagnon, , adi\, heu— bienfaiteur. R. (c), eùse^sTsco, faire cv, af/y'., qui dé/,, note un ami, amical, de ou cv, 9. cvcç, Eue:- =?/.;, eu iratpoç. 'Eroupucoç, "Eralpcç, EÙ^xiucov. Eù£aiacv-a,a; (r,),bonheur.M. R. reux. R. eu, £at|uaw, divinité, destin. 'Eraîça, a: (r), maîtresse, courtisane. — Eùîaifioveei),y. r,a<d,êtreheureai. cw.w. e, r. 7.;, févcç, race. R. su, yjbrj.r., sentiment, d'où Eù-pwuovwr, atit'., avec douceur ; avec résignation. iytù. v. a;, e, "Effoica, brave. R. cv, flrfj., ru parlant des choses, raisonnable, juste. crrs'vu. 'Egtào'ç, t, cv, adj., "Ea^ov, , Eùvvwu.gùv, dela~r:j.:. "EffTEvev, eu, — généreux prêt, prompt. aor. 1 er ind. de TcÀaàm. EùxpâTr.ç, eu (c), Eucrate, EuiAopcpta, a- fc. beauté, de (r,), Euptopçcç, ov, adj., beau. R. si. v Etc;, ec; (tc), an, année. a; ?V r'< forme. , "Etses?., y. tsew. Eùvrî, "Etujtov, y. Tj-y/avo). Eùvc'a-.cç, eu (c), heureusement: très-bien. R. èfiç, Eu, adr., bien, eu u.â/,7., bon. R. (r ;, lit. Eù;au.r,v, aor. 1 Eunomius, er î eu, ^i. e;, g. sc;-eù;, adj., no- /j. d'Eu-/_cu.a*.. naviguer heureusement sÙTrXoetre, naviguez heureusement, bonne navigation, bon voyage. R. Eù-'/.ceo-c~j, f. f,tstù, : Eùve, inierj., courage! fort bien EùfEYVC, y;? eu, ttXc'c;, navigation. Efi2 I.'I'P Ebp>tv,ff0f. linf. de Bupîexa. r„ô p. s.aor. i Eupîmco, inus. £'J?w, f- r.atùt aor. 1 er eupiNM, aor. 2 eûsov, ;j. sCpïpta, trouver, d'où st at, îtcvcç, l aor. 2 op£. g.;, et, 4 m, at/j. fort, au, rovoc, Eiiœopëoç, cj Eûçcpo;, ad;., qu'on peut porter facilement; expédilif. R. su, C33W, porter. ov, instance. R. eù/y, prière. imp. de oâaxcft. Ecpe^psûa, /. BU<ra>, tendre des Eœaaxov, siège, comme sç' (èirt), à'tfpa, insidiae (in, se- dere). 'Eusly;, m. que s. i;y:. TEçearptç, [£oç ($), manteau. R. i-S ii-i\ sVwjai, se revêtir, sotâ?, ' Eçyv, 'Exeipcùaau.7)v, vêlement. r, v. cotuu, d'oii ïiç, "Eonçfo, a«. p. s'oy;. "Eoâara, v. aç, *EÇOV€UOW, s, 7-Ç, E//o, "Eopopàw-ô), voir. OCVE'JW. R. eV (èirî), 6Ç, e, imp. de <xyw, frnp. i?m.s. 2 e;w, aor. é't/.cv, avoir, posséder : ; bÏvgv, p. — f. ivyry.x, être avec wi adv., marque ; — on on de être disposé bien ou l'étal la disposition du corps l'âme mal. "Eywca, : v. ywvvuu.i. imp. de ys. 'Ey£'j(^'i/.r,7,c'j,s7c, I. w, ao>\ arc, moy. du m. "Eu, a. ou ace. 1 er d'ewç, aurore. II. 'Eo>, contr. d'iziù. "Ew6=v, «dy., dès l'aurore, dès le matin. R. sw;, aurore, ôsv marque point de départ. Efopa/.w;, tua, oç, a», p. co;a/.w;, p. par/, de ôoaw. 'Etôswv, a;, a, a», p. wptov, a;, a, contr. de tosacv, as;, as, imp. du m. I. Ew;, a. sa>, et eco?-cj; (in), l'aurore, l'orient. II. "E(ùç, conj. et ç>3''<j<j&). ; adv., jusqu'à — jusqu'à — en ; at- tendant. ZEY Z £«tpoa. yzr.. i'. ce que c:aw. "Eçoittov, r. ennemi. R. f, ©ôâvw. S, P. «©, e», haine. Êy.ôc;, "Expw, v l* r pajj. Owpact)-(,). 'E/ôp:';, â, ov, arf/., e;, s, embûches. R. c/g y, aor. y,;, 'Eys'jaâay.v, y, y. epouvu. r,:, de — EG/.ciuu, f. e&Ço|«ai, p. de /". pas?. £Jru.ai, prier, demander avec 'EoâvriV, J&pupafay, Euphorbe. (6), im/>. =, eç, ÀX77W. vigoureux. ton (qui a beaucoup de ton). II. TEçûXatrev, ïsubj.dum. r 33 ZH.V en nombre, cette lettre, surmontée de l'accent aigu, £', Zsûp'juu,/. Ceû£e», aor. 2 sÇtmv, p. tC,vy/jx, joindre. taza sept. Zsû;, a. aor. 1 er p. fÇnxa, vivre. Z£j, foc. de Zs'jç. Z-/o-û), /. y'<7«, £^y,<jy., A'.o';, Jupiter; — ZyXc'co-w, /. d. Ait, ace. Aîa, l'air. œaw, p. tâcher d'égaler; — è^m'Xwy.y., imiter. 6 jT . ZHT 34 R. tr.'/.t; Ir'/.èif.y. , ZCil émulation , d'où éo/. BW v.-ja p. Zoçoç, ou , Zwt',, r,; , , iTr./.ûsx'.y.*. , pu, aor. ?.•.;, I e* ténèbres. (é), R. tao. vie. r,), Zwv, û<ra, M. occuaa, aov, part. loâvT»? eoç-guç (6) , Zôvra, de £a«. Zf,v, (/or. p. tàv, in/, Zéno- , aor I T:oj-ôi,/. T.iw, . ; : . pr. Èaoâ/. i.v.-i -'-/_ : , verser de meilleur vin. Y Zâxjxv, acc.f. de J>,. recher- — demander. cher; comp. du cm ÇcapoTEQGV èÇTrTOffa, p. iXr-r.Kx, chercher, pur. dv, àrfj., ZupoTepcç, a, er 11. Çôv. ?'. Zapcç, a, ptiante. de f4'.<>',, conlr. ôjv, H HKO HAE H en nombre, celle lellre, surmontée de l'accent aigu, r,, plaisir. R. agréable. t.^'j:, *HStq, ad»., déjà. vaut huit. fém. de c/ î. 'H, II. avec volontiers, : rd. S, r., "È t férn. de dç, OU III. "H, coj?;. H'î.'7T'--r, — que ; comp. du m. 'hSï'uv, cv, o. ovoç, i. >i, supcrl. de i$ûç. çv, r,, (après un comp.). Kor,'j.y.:, 'H^vt!, V. 7jd«. r,: R plaisir, joie. (r,), r H, interj., est-ce que? eh V. 'H. ô ç p. 5. wwp. d'v.y.L I. VI. "H, 5 e p. prés. snbj. rfa s. 'H-ravaXTSl, 5 V 7./.T î' m. p. imp. d'i^x- s. -'cii--.. \'.i.v.:-'7j\}.'j\, 3 e p. 5. f. r'c&fjwcfc I er r<y<ffaur,v, 'Hoû:, imp. p. rf« /. pas?. croire, penser, garder comme. R. conduire. e p. s. da pr. ;, 2 aor. ofyo, refmp. .'7au.iv::, ov, lai. - i.: vie volup- R. îraoy/a, y,, ^H-yvo'guv, i/»îp. rf'àpcso). 'H"ycdvi^du.r,v, cj, et:, co??j., et 3 — ?mp. soit; d'à- - - — cor- rél. d'r.y.h, soit... soit. î:, adi»., ». c~7., 6, n. i;; v.-j.z, i'.z, y adj., agréable, d'où H5«, /. l e r £77., wwa, aor. r/.x, réjouir, Moi)., charmer q$cu.ai, id. vijy.ai, , t.sO/.v, léjouir se p. qoeuat, /. aor. 1 er de/, pass. "HôeXcv, aor. 1 er par/, da m. ;'.-:, . p. de; — se réjouir. •.;-/-•;, £•.:. imp. de tueuse, molles^:. v ;tw, sôuva- ro, a/r. p. exe, aor. 2 i: ;:'):•;, sentir, ei de =, fAT,v, (i) r;;.-/-., • 'HJu-xOi'.a, B-^EÎ-'rf«y. unecoijellc,p. rrr-~~'^, conlr. de ^ ; 'H&>vâu.7)v, Hfa'YOV, P. a-'^j. e ï ! v. agréablement ; — s;, h, "»p. d'=j 'Hïwv, ovo;(ci, rivage. îmij p/. 'Hxérwaav, 3 p. de jpua. nul"Hjaora, ad;;., très-peu ; lement. R. vU-.^t:-:, sap. dV,x.'/, doucement, peu à neu. ^H/.'-v, î;, i,imp. de reçut. — "Hxowov, rmp. rfaxe "Hxouira, -/:, :, ï'. fc »J. — HNE , moy. imp. », arc, 'H/.coo>u.7v, d'7./.z-i'. HX0 Hçtouv, eu:, cj, contr. — — d'i/.i^/oi. "HXtxoc, cj ; ad}., cv, que tel de TuXÛecÛTOÇ, du est : r,'/.:/. r, combien corrét. ; II. UÉXCUV, 'Hjis'v, <to, to, v. ir.'.7T*j.y.'j... certes, f/t/r., i H-cj, interr., est-ce que 'HpaxXÉDî-îic, d'i^t'y. î/»/p. R. ? M. R. THXoç, eu <ci, clou. (/ comp. certes. doute, assurément. R. y, certes, TTCj, adv. de lieu. v I. m. un uprèj TTr'c, "Hirou, par ftXtoç, eu (ô), soleil. III, j. — que, conj., ou; 'H-'.araa/.v, I. que. 'H;j.iÏ;, p/. - : d'-'t'J. «or. y,, y,/.'o. même, âge. .x, se traduit il nçtt. i\ "Httî:, qui (ô), âge. R. — d' imp. (fàÇlQU, </'oÙ Ci, 'HÇtttfav, r;, Eléen, d'Elidc. (o), r,, grand MÇ, 'JI;îw77., a;, £, r. /e *H>.Ôgv, £;, 6, ». eçy/.aa'.. même 1 TA60J 1 \\/M,f. r,i(i,p. ï/1., aller,venir 5 arriver. s'approcher; 'H>.3-7_:W,v, cj, £to, imp. pass. "Hàv.-.wtï.;, aor. "Hvr>.r,T7., a;, £, j.y. .. W 'H>.îr.;, ou 35 er XU.EAEG). conj., certes- — 9- B6U5-oSç, soit, II.TïH^v, l re p. pi. imp. d'ivv. I. ioc. Hercule S 'HpaxXi ô Hercule! par Hercule! R. T Hça, Junon, xXe'oç, gloire. £=;-£'.:, : r,ç, r,, i\ ipau. Hpi£avoç, ou(ô), Etidon, Pd,/Z. 'HçÎ7T£jc:x, a;, e, aor. 1 er i/'à- 'llpxaO/.v, r journée quelques JOUTS 'Hy.Epa, a!vf-n), jour, |X.s6' y,;;.5;^s, : ÇlffTî'JtO. après. aiterepcç, a, cv, ck ^ notre. R. t/j-eT:. "Hpûsçâoç, cv, à «f/j., à demi cuit, demi iyw, "HpÇ*, a;, £, y. a :•//<>. "Hsoj:, moç 5), héros. *Haaw, 5 e p. "Hçôa, liA. p. d'eepi I. p/. />?*p. B r,:, 2 p. de'xv III. rôti. R. rat, à moitié, "H'jG'mv, r. r.TTwv. er rtor. 1 pass. eçôr.v, faire'Hsjyj/, a; £q , repos, paix, tran- cuire. quillité 'HfuXXûvro, p. aevre 3 e imp. de àiuXXaou.ac. 'Ha'jvàu.r.v, I. soit. si, R. £•!, av, "Httwvj imp. xvî, voici il'r.riî, en pais, R. rav ô e p.s. (TOU- aç, £, rtorN4 er ^" '"• moin- cv, ait. p. r.çTtov, dre, inférieur, gcn. d'iiu.i I. yp. r,<rj^îav, TE CO. Hry,c77., II. "Hv, ace. f. de Sç, r, o. r III. Hv, l re o» 5 e p. 5. y.-jh" Hr£t, contr. v ci'ow £7.V-riv. : sans.jien dire. tranquiUe. v àij.'jvw. i.\ Hv, conj., p. pi. R. v;/.?., peu. : •/•/ $06, m. s. Hjçv.<7x, a;, s, i». , Hvî^HCX, V. Oc'ûtû. KyJ)'lu;r:/ ) cj, £tc, o:j\-j:uù. împ. d'àvOcuLx:. QSH ©EA 8 : en nombre, cette sur- lettre, montée de l'accent aigu, ©sy.Gxîu.r.v, f Qty-%;, cù(c), spectateur, (é), chambre à cou- Dieu. BsXnvu, Thaïes. (6), ©avare;, eu (é), mort. R. 6vrîoxa>, aor. 2 é'âavcv, mourir. ©avcôv, cùca, cv, aor. 2 part. 0éXcâ, ©î'a'-S, — du m. m. s. ©4«?, audace ; confiance; fermeté. (to), — ©sp[«.oç, m. flC(/-> s'élonner. . r,, t., o'v, oh. p. esaoroXo;, Thessalien. y-su, aor. vre. R. tàp«, chasse. ©ripiov, eu (to), s. 1 er bête farouche; ©tjâaopoç, w R. (c), (bip, trésor. er èâeaaôpsv, regarder, voir. R. 6.V., vue, d'oà de ©r-£Ûœ,/. eûaw, travailler à gages ; être gagé, salarié. R. bf,; ou 6r-£Û;, mercenaire. — de ©Eâoy.ai-ûy.at,/. accusa, aor. 1 — bête. ©r,T£Û(jojv, cuca, cv,/. part, 0ay='.v, /. in/, de 6âVrcù. (to), spectacle, Thébain. ©r.pâw-w, /. âcrw, aor. 1 er £8r,paca, p. Tefrnpaxa, chasser, chercher à prendre, poursui- <x«- m. , Thélis. ejçGatoç, eu, adj., da m. ©taya, arc; pass. TÏbîoy.xi p. bête, animal. ©xuy.âstoy.ai, 5ifiy ad)., légume. ©sttoXo'ç, merveilleux. R. ôauy.â'Cu. o'v, lupin, (é), ©s'ti;, tfrbç (r), eaujMtoioç, cv, adj., admirable, », de ©îfciTv;?, eu (6), Thersile. ©s'côoi, aor. 2 tnf» de rtônat. s. e«o|M«n»ç, ]\j # r, eu Ô£p«, chauffer. R. BoSua, admiration. Jl/oy., ÔaujAâÇoputt, /. remède; — R. ©xyy.se!>, f. "âaw, aor. 1 er £67.6y.aaa, p. reôauy-axa, regarder y.?.-., poser, ôs'aeve?, serviteur. — £T£çc;, autre. avec admiration, 2 TÎ6r,p.i, — ©âTepoç, a, cv, adj., l'un des deux, Tun ou l'autre. R. c, o. tcù, justice*, des soins à quelqu'un ; cultiver ; honorer. R. §epàmav, que Oaç- OîCO. eoç R. moy. droit. — aor. 0sia7;£Ûa), f. eugw, aor. 1 er èQepà~Eu<jx, p. TeOepârrsoxa, aor. 1 er pass. 6ÔepaTre6ôr,v, rendre È6ac- pxaa, p. Teôappwcflc, être plein de confiance, se rassurer, d'ow ©âp-jï'., p. by.îGit, impér. de riew, loi; 0ec;, eu (6), Dieu. ©epcwrcïa, a? (t,), soin, 0âps£'., impér. Qxoaia, f. grfëbikiù. (£), — guérison, 1 er 0=:,', établir, régler. inhumer. de &xàç£tù f f. r.cw, aor. sr /. de et, £•.;, m. s. i^? part, 0S7TTW,/. ôâiyo), aor. l er Ëâa<}7., aor. 2 £t*qov, p. TEraça, ensevelir, l M. R. R. Qsîc;, a, cv, adj., divin. cher. 0xat;;, ^to; aor. «ito, opt. 6', vaut neuf. ©x/.aac;, eu aie, erâoxa, inus. voûtât, 56 Da'vca, ôva'w, aor. 2 /. 6a- i'Ôavcv, p. t«- — — ©PT erni mourir. ©ôpuScç, eu (ô), trouble, tumulte. €>p;, a/.:;, odj., de Thracc, foma,p. rnoy. Pass., tçxnenpai, J. Wfbn scpai , p. rt&pupipuu , être Tc'6>aa, Oucrvé, corrompu. Oj-xt/:, Thrace. 9paouxXifci epvouç, R. téméraire, insolent. 0Jpa, a: Spâvoç, lions. -i'ïj/.x Ifoea, p. sacrifier, immoler, , mettre à mort. cheveux. 0:(;, <y. (r,), G;j77Tw,/. jyw,/. 2 uçû, p.-ir:rr a, rompre ; énerver. poil, rpt^oç de bi/. 0Jo>, /. Û7to, aor. 1 er lamenta- Bpîivo;, ou (i), pleurs, ; porte. (r,). 96<mv, #/'. audace. cœur, courage i), 80110c, colère. audacieux, 6, <û#., eî*, g. -{y.-, tt -y.;, lille. w Thrasyclès. écu; (d); 9*>ircûw,/'. sj^w, flatter, cares- — ser. I TVQ IKA I en nombre, cette lettre, surmontée de r accent aigu, [, : l ' m -^ a '" d,X , T I«6u.at-« , |er Fct,/«ou.ai,oor.l . ' ' * ffucrir, ace. moy. topér. médecin. 'Ior.pîa, a; (r,), lbérie, Espagne. *tôeîv, aor. 2 iti/". d'v.Soi. e "IcÎt,;, 2 p. s. aor. 2 subj. du m. laTpc's, cû (6), cj privée, vie propre tîioç, lùcusveu;, É»? que. R. r,;, *ï£<tv, "Ir,7=, mène une , Idoménée. — ôv, e r., suffisant , assez '\--uz, — convenable, d'où 1butv&{, fld»., suffisamment. pass. p. r r ei- Iolas. ='to: cavalier. R. fe- 6), cheval, d'où ttc;, 'l~yj.y.-/j.7., a;(r. N , combat àc'ie- val, charge de cavalerie. R. combat. "l-r-o:, tu (ô, cheval; Ti), — ca- valerie. ôc p " pi. d'trr.-j;.. (t.), égalité. égal, à-c; = "I<n;{u, propre à; nombreux; l0 . r mm que. «uty. les Indiens. (ô), jco, ffç y i|ai, 'Iav.r./'^opc;, ov, nJj., v * ace. d'iû/. 'io'vra, dum. sfd';'. » . (et), g> "Iaatoi, ifeïut II. Ixavéç, in-ju.:, loTTf&pMl, xç oor. 2 part. 2 p. p/. d*t«, «or. 2 o5oa, 'Ioaîw:, voilà ?>r:. i'. ûv ,"•*'//•, ei£g>, voir. r„ tM, a soi. o - _ I**, con/., afin R. particulier. ud»., voici, voila; 'I<5cû, "l£o>, qui (g), 111). ion, habi ' ... ïaaxi, aor. l« dix;;^., d'o« 'I^'.cÔtt,;, ; ,' ment.K. ' a J/., ov , ^ , ., /n/ss. iaaai. ixvauYiv, •* p. de/, y . ^ . dlllyrie. - , - û«»,f. VJG(Ù , supplier. •fc R. : parler. savoir. c-j (ô , Isméflo- dore. T l7;; e? reil ; foroç, r., cv, — adj., égal, pa- juste. 'Jaorcâatc;, o», ndj.. quiestd'un 6. I2T 38 égal, poids ??::, G7xsiç, ION R. équivalent. immobilité. pus, se tenir ferme, debout. Moy., Iconpia, 95 (t.), égalité d'honcondineur, de pouvoir; lion égale, de 'IdOTiac;, cv, «((/., qui jouit d'un aor. 1 — honneur égal. R. honneur. l<mov, R. hx-i, 2 e — blir; ' . fixer v „ 7?î07/., steti, ddv irj0i ç, , . w^ ^ T (r,) force, , également;— peut' ,t> (o), ' -, *?*. pals' et steteram. , • ,. Italien. Itahen > dlta ' . , aor 2 ^Tf. d Icov > Pass., krauai, /. ffTOÔwWer IffTfltftnv, p. earapat, aor. 1 *- »> d où Ilalie V|) iTaXtwTKiç, eu , i<wu£*em o.-p. ; ucç, être. R. ïaoç, égal. — arrêter. , ad/., fort, ropuissant, de ov, — ace. 6v puissance. p. p/. ' „ mât. '«rro'ç, 'Ïcr/Oç, d'ÏGVM. "fcroifu, prim. crâco, /. onâau, «or. 1 er ïerc,™, placer, étaIot3, p. ê<mi0apiv, m. 5. de rameau. eu (tô), voile buste îeoç, nfui, imîaouat, lz~y.u.y.<.,f. 'Ic/upo;, a, lavoç, où (6), Issus, v. v er ' 'I w,'(a, eepe II. a; (*) r Ionie* K KÂ0 KA0 K en nombre, cède lettre, surmontée de l'accent aigu /, vaut : Kaôc$oûfuu, /. 2 de vingt. x«7*, de», tme i'oye//e a^îrie. KaÔaips», R. ruiner. abattre, Kofietjwvoç, in/, de en sauter décorai aOXqMU. comme. R. (*ar«), a p/. n. de ^ 0:, ce ; t çs K^y.zu.y, sxc; (tô), ordure; - homme vil, sérable. R. xadaip», nettoyer. Kaêflwawç, — le cv, méprisable, miac/j!, expiatoire; neui. pris subst., puri- ficalion, expiation. R.x.aOaso'î, pur. OW3tÔ6V-«, /. ^/^^ ]e dans t „. >, Ra6( „, 0) m. a m. pour ce que r paw. par/, jwtfatfreto* K bas. W.v.y.h ^.yr.y.,, conj ov, p. r,, ^ rf e KaôâXaod», aor. 1" RaOaXXc^, wee' (y.y.7x), de xatinfu* kxÔcàojv, eùàa, ev, aor. 2 par*. («ara), s^e». 7T£3,' R. fÇouoi, s'asseoir. K-y.O', p. Krfra, BxadeÇoftflv, être, rester assis. Kà-;(ô, p. jcoî î^o). /.-/// imp. KdfteÇojiat, S „ P er ; d ou R ' Kaôtxofttvoç, Ka8i<m^t R. **Ô' *i, descendre . ' , ( ; x<* 7 *)> ov, — R . r frap- "**«» aor. 2 par/. — s'établir. fixer j icrçra*. (xaT«)i , ou (r,), descente. ' aO 1 (ïWTcé), ô&oç, chemin. Kâ6o£o;, R ^notei*. toucher "*' passer tt . . \ } Kceftuweojxat, ^ |es plaisirs< R. — , KAN Kzi, cc»j., encore. Keuvo;, — f neuf; même, et, aussi, nouveau flrf/'., /.x:- : et même, quoique. R. X.7.(, ItÉp. Kcupôç, ou (c), temps favorable, occasion ; circonstance , conjoncture, temps. K.7.'-;ç, covj., — Kdurot, covj., et — ; — ce- même; quoique. R. /.?.(, ou très mp. de çv, r,, xaxoç, plus méchant le ; — — , — lâche — ment ; Kx/.aac: , gluau KoXXei, vil, ; adv., Kax.ô>:, ; eu mécham- mal, (c) roseau , ligne f/e 'c) J Callidémide. K&Xioto, adv., très-bien, le mieux du monde, à merveille, de de xoXôç. cv, sup. beauté, t/e K.aXXo;, eoç-cuç (to), K5-.'ac';,x, cv, «(//'., — honnête. Kaput, a; t,), Carie. KacTscc':, x, cv, adj., fort, buste ; — beau ; — bon ; petite corde, y.a/.w:, Kàv, p. y.y.î àv, quoique. ro- puissant. R. xporoç, /.xçtc:, force. a, cv, oc//., K-y.c/r/îwv, cV. Kxçôv, Cartha- t/e g. pi. Carlhage. de kxc. . p. xaToé. , kx7x, prfp. (7!// régfc le gén. et avec le gcn., sur, contre, par nacra verrou, par derrière ; y.y-x xoppnç, sur la joue; arec l'ace. , selon, touchant, sur, quant à; près l'ace. : : — long de; en rien B*», chaque jour. y.7.7' v.x-.x /.xO' ; E?î si même ; : Ajus- camp., marque mouvement d'- haut en bas, perfection, soXaTo.o7.ivw, descendre; — plon- ger. R. y.xrx, Sx-vo. KaTotëccXXo), abattre, renverser — R. payer. /.7.7a, ; pâXXu. d'où c'v, aor. 2 pa?7. i?{/. c/e xxtx- êaivci). Kawp'fâuxanrai, 3 e KïTïAc/.xî'.aa-., quer de. R. Mot)., corde. et si, pendant le cO^'v, r,, Ky-7.^ù.xt-j-Co, rire K.cXo»£isv, su (to), R. sommet. tête, 5. Karaorvai, no?\ 2 m. — m. 7., Kx7xox>.cov, eûaa, yî, Ka/.A-wv, cv, #. cv;;, cornp. du ficelle. ou (to), /.a; lidité. &aXXtoOévi)ç, éc; (0), Callisthène. Kâ/.>.'.cTc;, R. 3 f/e y.a/.Àc?. K.aXXi&Qu&i)ç>GU vil. ; de; d'où — malheureusement. — — pêcheur. ctaf. — Caricn — homme K.xç7.v'.v, Ky.T Kaxo&ûpuavj cv, ft<(/'., malheureux, misérable. R. y.ay.:'.;, oWfuov, destin. Kofto'v, où* (to mal ; malheur, de Ko./.::,r', cv, ad}., méchant , mau; habitant de , 1 le plus lâche. vais fa-aûfa. (; Cappadoce, Capptdocien. Kx-jr,, r,: (•/.), Capoue, p. Kxc, açc; (é), qui e>l de Carie; ginois, xai ixetvoç. ;». Ka/.-.GTc;, OU la Kac/roc v.c:, toi, certe>. Kaxeîvoç, K-y.--y..îcV.r,; 31 manteau persan. (c), ) extraordinaire và raù-ra (&m), voilà du nouveau. pendant Kavjuç, uc; K7.v77.OO7., p. y.sù ov, r, KAT p. s. p. pass. = 77.'., *'. de, se le t mo- y.7.7x, -jiXa'w. /.XTX^i'/.xcu.x'.-ôiu.y.'. /. aaefutft, m. , 5. KaTa*mvt^ou.at. /. taeaai. vain- KAT 40 KAT R. xats, combattre. cre. KaTa$wsc£tt, aor. i tr condamner. R. , x.zrâ, fccaÇtt, juger. KaTa^ueadOeiç, eîca, aor. e'v, 1 er part, pass. du pr. KaTa£txii, r,; (rv condamnation. R. /.7.Ta, oi/.r,, jugement. KaTMÛvu plonger enfoncer profondément, submerger. R. , , , /.7.T7., $ûvu, Sùrû, entrer. KxtgC&b, aaco , chanter aux de quelqu'un , l'é- /". oreilles tourdir par ses y.y.Ta, chants. R. a^t), chanter. Ka-aôcu, Ka77.77Ey.lco, r.;, d'oÙ aor. 2 impér. moi/, de kxtotîO^m. KaTadpacuvcu.su, avoirde l'audace, faire bonne contenance.R. xxtoî, Opaouvcpu, s'enhardir. aor. t„ eT i SUbj. K%7 x- i-~/.ir/.y., 7.:, s, p. de Kar 7.77}. Eco, aborder au port, river. R. K7.77.77}.T77C0, Of£. vanler, R. ar- XSITflé, 77AEG). T,77CD, frapper de X.7.7X, épOU- terreur. —'/.r.osoi. K7-7.-'/.r,c;-r.'j;, g. oou-cû [4)i tra- R. y.7~7.~'/.i(j). KarapacuLou-ôaai , f. voguai , maudire, faire des imprécations contre, gren. R. /.7.75c, àpsccuat, prier, d'où jet. KaroépaTSç, xaTccôeor», p. KxTXTrsaTTtj, faire descendre. R. X.7.7t!, 77='y.-fc), a'cw, ^". xareiix%9% ifttytÇoaai, maudit, ad/, cv, scélérat. r>«, aor. 1 er x.7.7/,;^ij.r,77., p. v.7.-.c.yhj:(;/.7. y énumérer, compter. R.xaTa, xpi0ui«, m. 5. 4 K7.77.p'.6i/.Ecù-5>,/\ KaTSMEip.su, /ai. Xcîoopat, être -Voy ,x.7.77.; .O j.=;u.a .-c j u.Xt, , . , , i : coucher,secoucher,s élendre. /'n/. pass. de KaTax£xo<pôat,p. K.7.77.y.;— co,/". cyco, <20r. 1 er JCXT£/.;ya, p. xèxcxpa, couper en morceaux. R. x.-y.râ x.otttw, , couper. /". f.GOuat, ??(. s. préparer, consfaçonner. R. /.7.7a, K.*ratnc£uofÇ«, truire; — ffxsuottù», faire. Raracrûot^w, f.iatù, p. v/.7.,aOT. er 1 pass. xxt£cocp''o6ïiv, tromper. R.x.7.7â,<î:o'.^co, imaginer. aor. 1 er «»TîV.jya, se pencher regarder en bas. R. xxtcé, x.j- K7.77.7:y.a6 = ;:, etao, ~w, m. K.7.7a7T77., cotiir. KaToxfom», /". jyco, ; Ka-cù £'-w, — — s. laisser, abandonner; laisser par testament. R. x.aTx, aîÎttcû, laisser, d'où Ky-aXsAC.-x, aç, z,p.moy. ,m. S. KaTotXiîre, 2 e p. impers, du m. K7.T7./.'.T7tdv , cO<ja,'Jv,aor. Ipart. du m. aor. /". aaco, aor. 1 er •axtcîsy.x 7y.,forcer, contrainx.y.râ, à/.y.y/.7^w, m. KaTavxYxxczç, 7.77., ?.v, aor. parf. act. du pr. 1 S. er 1 er du pr. de /.y-xG-y.z, prés, impér.; K 7- a 7777.7:7, aor. KaTâcnrstb», tirer ner. R. x.7.7x, K7-a77r.7-.v, aor. 1 er impér. de en bas, entraîc-70), tirer. 1 er impér. de y.y.h'.^rr.-j.:. er xa> f. é<J»«, aor. 7E77pEy7., O'Or. - /.7.7E77p7.'J:v, 1 Kja.Ta.arçétfta 1 KaravaycaÇtt, dre. R. pari. pass. e'v, p. x.7.7E77pE^7., renverser, bouleverser. R. X.7.7K, 773 = ^0), tourner. Moy. x.7.7X77:Eyc a2C•., t /". KO KAT éfauUfUor. m. l er xaTeffrpe(J/ocp.Tiv, s. déposer KaraTtOru.'., meltre. R. de — ; placer, uômt. /.y-y., cursions ravager par des in; 77. j.-j.-i-y. xaxtôpa- : pev, je ravageai tous ces pays. R. Ky.raçco ='w, épouvanter. R. TOC, È;- 'â'^cy.7.-., /.?.- Kocrowpoêrioac, ewa, a», aor. 1 er e1" KaTaoscvEoj-ôjj/. t.ctMj «or. I /.a.Tsc/pc'vr.ax, mépriser, occ. oî* oé«. R. xata, çpova», penser, d'où mépri- a(/j., c'v, KaTxypacy.y.i, abuser de penser, dal. R. — ; dé- y^r.- Ka-roéj 2 de KaTz'oa/.cv, eç, e, aor. êaXXo. KaTEotx&aa, aç, X.7.-7.- xara^ucaÇu. e;, K7.73/W, de 5 p. aor 2 moy. s. /cy.TaTÎÔr.iu. i KaTîOsy.d'jvc'u.riV, cj, eto, imp. de xaTa9pa<rûvou.ai. KaTEiXét*, /. R. riffû>, 3 e p. /,3-a, eîàem, rouler. KiXT£t(ii, c-y.'. R. descendre. /.7.7a, II. KaTE/.-jya, a.ç f ]La?eXiXGMreiv, moy. de 1, v. et?, xx-auçuirro). Et, pl.-q.-p. moy. de KXT£px,o{&ai. KaTE>.'.-cv, £r, e, x.7.- a:, e, aor. *a77.-H/.77(0. 1 er de R. arrêter. conir. dexar»'ydp£e, a<>>". lia**, 1 er accuser, blâmer. r.x.y, KanjUiv, '.!-/.• £•.;, = -. , ». xetreuu et II. 5 e p. contr. de z.y.-r,zy'.i-z y rmp. de xarapsécuai. e er K<rrr,pi8p.r,<iti>, 2 p. s. aor. 1 moy. de xaTaptOue». Kartevai, f??/. de xxr£i{u, d'où s. cj77., ov, aor. 2 par/. KaTopOcôuevoç, m, pass. de cv, prés. K7.7C3Ôctd— a>, /. x 7.7ÛcO ci g y., p. wcu, aor. avoir tiew, du tox.7., par/, 1 er réussir, sucrés. R. xazd, :":- dresser. , XXTCpÔ0CU.Xl-CÛUUX(, réussir, en parlant des choses. <>7.', ~y.'.,f. xeîaopkXl, être couché, étendu par terre; être enterré. T7./.EΗ (0. K7.7i'-c;;.y7., imp. de xx- s. x.aTa, rihppeûu, parler. KelfAOt, aor. 2 de x.?.0- nnp. de s. Moy. Y.y,~xKV.-(ù. KareXr.Xuôevat, p. m/, de É'yw. p. y,77., Karuâvj envelopper. er aor. 2 de r., retenir, Kartipâix), Ky.T£Ô£TC, 1 E,aor. 2 de/.y-i/n. tÇj Karïj'Yopct, 2 de aor. e, xaeraTOÉyco. e aor. K7.7E/CX7C, 5 e p. E KctT&pa[AGV, part. KarecppdvH, conir. dexaxvpovnt, ô° p. 5. imp. de x.7.77.', R. e, y. :/, p. x.y-7.<j/.vjy.'Co). KaTïrYope»-», y*, y.xi. xarec, «rrrifu. x.7.77, sable, à dédaigner. tr.i- R. x.7.77. tttxoj. K7.7iT/cv, pnjf. dj< pr. taTacppovyiToç, r,, i KuTéerrnv, »ç, CpOoEW. er 1 faire. K7.7;G/.iJ7.'7 u.£v::, pass. de — faire; façonner. KctTsattotace, a:, e, rpéytt. x.7.77., v.y-y.-i.-f.n'j'i. KxTEp-jà'rcy.x'.,/. xTcy.7.'., aor. vailler, s. aor. 2 p«S5. y,, xgT6tp^cLaat|M)V) Moy., xoxaTiôeuat, m. Kar-y.Ti =/m, Ky.-i-'/.yr-r,/, y,;, 41 Keîoxt, y. /e pr. Keïgc, prés, imper, du m. — 1 KOP KAE 42 e Kexptdk», 3 p. de /.pîvo). p. impér. pass. s. ocv, aor. er 1 I er éjato, aor. 1 '/.vjgx, y.ïv.ïj.vjv.%, ner ; exhorter K&tïâop, upe; KLEvc&cÇta, a; er Ixé- ordon- — deman- /i. aor. er Celtibérien. y.sv::, vide, îo^at, corne gument cornu, ; — ar- captieux, so- phisme. 5ava, gagner. R. œp^oç. (6), Cerbère. R. yj.r,:^;, héritage, moy. vivcv.x, distri- p. buer. KX-4foVop.iîsdupu, ai;, ai, aor. 1 er opf. dupr. K/.yçcvcayo-E-.v, /". a; KXijôGvofiia, eu , KecpotXatov, eu (tc), le principal, — sommaire. R. cave ry xoî'/.r. X; r a.>.a'.cô'jV,:, s?, KetpaXii, r; (y,), Kev^ïjpiv&ç, pass. de Kr;::, queur. R. (to), proclama- , Kiôouptâv, âvoç KivaSpa, a; puanteur. vain- Kr,çXHS<j(à f parf, -;.'.'/.'. pass. fi), Cilhéron, m. odeur de bouc, K'.^o jve'jco,/. cJ70), aor. 1 er Ixrv- îuca, p c-j/.a, courir risêtre en s'exposer; ; que — danger, de Kîv&uvcç, ou c, risque, péril, danger, hasard. Kiisa, o5 (yj, Cirrha, K/.'/îw, a», /."/.au, y. ao?'. 1 er commun. communauté de , société, participation. participera. /cotveovew, aor. otacû, er ÈxoXôtaa# KcXaxeîa, a; (y,), flatterie, de KgXoxeuc», /. ô'j^to , aor. 1 er IxoXaxeusa, Ko*Xoi,oueoç rr/.a, p. flatter, (r,), punition, châ- timent. R. xoXoÇe», punir. chevelure. Kcaî^oi,/. [ffcj^ aor. 1 er ixop.'.ffz, Ko'p.71, y,; (y), — wa, porter, apporter ; emporter. R. Kcpiu, avoir p. soin. poussière, cendre. Kovtc'ç, gù (6), croc v. -/.Àa-jcto, ÊxXauaa,p. xéxX&uxa, — longue Kcça;, fc. de batelier; pique. oexcç (ô), KopîvÔioç, eu (ô), Cléarque, flatteur. (g), Ko'Xaotç, eu; Kc'v.ç, £co;(y,\ pleurer. K>.:'xpy',r, r. cajoler, de publier. (r,), yi'-'J., p. suça, punir, châtier. cire. , R. /?. condans le creux, cv, adj., KoXâÇtd,/". — procîamaliondu /.î /./.:> . de/. par?, -/yj.'.'yj:.. arc; Kr.p'ryjMt, r', Kcivwvîx, a; biens, tête. cv, p. r., où (ô lion; Kctvo'ç, ad/., principal. héritage. main. la 1 lêle, d'oi * — ; ov, «dj., creux de héritier. Cnémon, 6>vo$ (g), ïi, : succession, (6), K'/.yçcç, ou (6), sort KgîXoç, du m. 2??/. 'y,i, M. R. héritage. KrÂuojv, Ki'poî;:;, ou r a>.r', faire — ritier. M. R. Kip$oç, se; (tg), gain, profit. Kspoatvc», /. xvô, no?'. 1 er i/.iz- x.E- sV/.syz, KX*ipGvopi«a-û, /. -/-ao), aor. 1 er ysa, hériter de ; être hé- K/.y.scvcV.ç ; 1 dérober; — p. xécXeça, ve'l/.w, gloire. l'important Clitus, à la dérobée. vaine gloire, (y,;, K:':ac, a?:: (to), ; 5. (ô), R. gloriole. ; m. der. R. keXi», part. impér. de KtAïJo), /. p. (6), X'aî'ttto), /. s'yo), Kétaûott^ 7.a%, KsXeuoov, «or. — Kâsîtc;, ou a, Corinthien. cv, corbeau. de Corinlhe^. — hur KPE KooivOo;, ou (ô), Corinthe. ou xo^pa, mâchoire ; K:::r., tA — Kopufc, >+ — folie. sauvage. K/.vjîv:;, », xal où^evo'îj Kpavîov, cj (to crâne. R. , 'tôle. Kparepo'ç, a, puissant, gri '/iîw — — ; ttoii b, KoaiTEU-», y. expâ-ni<r«, p. fort a.-//'., c'v, /./.y., aor. , être I er maî- le xéxpixx, juger cratère d'un volant. R. vuou, X£p<xci). fcûàco, Xparr,;, r.ro; (ô), y.izy.i- mêler. er o/)/. er pari. Kpotriiatoç, aéra, av, nor. I K;xt'.(îtc;, prhn. ov, s?(/). y,, xpau»;, formé du c.-à-d., fort, très-fort, le meilleur. Kparc:, se; Koau-rfl, force, (6), Craton, (r.), meur. R. grand ;, K: m»v, a. : quis, ce qu'on possède, : cla- y.z /.:-:, fort, plus - 1 tri-f : acquérir. OU (c), pilote . . R. . x.j- ou ou cercle [o), èv : xuxXtt, tout autour, a 1 un- COlipe. r,', KJy.o'.:/, ou (tc), vase. R. barque. Kuva, «ce. 5. (/e » Kv.<::, •/, ;v, de chien nique. R. xûuv. ; — cy- Kùpcç, autorité. ou S Cyrus, , re, cette lettre, sur- l'accent aigu, //. chien; philosophe cynique. K'joyj, Kttxûb», /*. ex. p. (c), xuvo's g. «or. 6<ra>, I er — ;.-. pleurer, se lamen- x/.y., ter. ou -'ië. t (t.), y..;, rame. AAB >.', vaut trente. " 5- o£;vxo, gouverner. KC/."/.::, Kû-r, xpeuatùv. nom' a» p' session, bien. R. xreccftou, p. Kûvstcv, montée de — xtc; (to), ce qu'on a ac- AAB A CréSUS. , Kj:::, puissant. = (- — accuser; //. xpoÇca, crier. c-à-a*., plus z, Kûpioç,6u (é), maître, seigneur. K::[<77(jv, ov, aff. y.zi.~oyi } ov, o. fort, £/.;•.•. puis- cri, comp. du prhn. ; er argument captieux. Kr/!;j.7., R. r.; ou 1 K'jvi'.v, a. p/. (/e xucav. (to), sance. Kzj-vvi, «vos part, K.pcxoïeiXoç, eu (c), crocodile; KuXtL, ueo; 1 er tour, en cercle. datés. Kpaniaaiui, xiç, ai, aor. c/e xpareu, (/'oà 1 condamner. y.i/.-rry.y.:, commander, dode; miner, gcn. ou ace. Kparnp, npoc (ô), grand vase ; tre aor. .•,£>, f, K:c*t;, /.a;?., nor. it, pass. de Kpivco, ;). Crachin. [to), le , v.~.y., critiquer, Kpaveicv, ou — pantou- base; 1 cliaussure. 11e, Kptdttç, K:t-.v:;, ou (ô), olivier r>. i$o$ 'r/ ; joi:e. orgueil; , tétc y.; (r,), — r,; wç, 43 aor. 2 mf. de Xat/.€âvû). Aâêcifu, Axe:*;, Aâ€a>, otç, :•., aor. 2 opf. oVjj?. ex.:; (ô), r,; , ).au.€avct>. r, , loup marin. aor. 2 If*/;/. aV , AH A 44 j% '.'. • . :v , A VII aor. 2 pari, , Laê'rtc, lu aor. 2 su&f. de I. . e 5 . p. 5. :.•!. . démonîeris. - p. cor. I er . | parler; '/.i~;.i~/:r:/.7., — babiller. -7., pr'xm. '/.r.Zu.f. :: :;, tu : er I '/:rj)&, aor, 2 E>.r.c7., être caché ; — er f>.Ei7., p. /. Xeî&o, nor. cor. 2 I/.'.ttsv, n:o?/. /.5/.C.-7., p. 1 er ÉAaèa, XiXEicpoc, laisser, p. aban- donner, d'où A-.:-'.l-jy{fo, v.z'-j. f. ».. :::. 1. -., rfaf. w, A:-?;':, t, tomber en âme. _-'. de Xstav. oc//., w, r, - -: ' : floj., . blanc. iple. R. >.:û:, cuplc, osa», p. orter. . A II. pau. | :.; //., . Lé la. >.s/.v;:- calculer; >.:-;:;, — compte, : mpte, calcu'. . «rai, nor. r,, A:-::, parole; d), eu — compte. R. a..-.::, eu : — XÉ-yca, er su/y. raison; dire. peste, fléau. . nor. A: u de 1 : 1 er pari, ' Xcuca, aor. 1 er IXcuaa, p. ÀsX&uxz, baigner. : If : 11 xî y. XcûocuA! er ?. 1 iXcuîjâfA^v, se baigner. Au ::. :.: v la Lydie. Au£o;, cù (d), de Lydie, Lydien. t:), le Lycée. bu er iA"j~Et,-â), y*. t,7w, aor. I er aor. 1 p<. îTSOtt, p. Y./.7., attrister, chagriner, èXuî /". : ' ". . . , , : lion. . ad;., qui porte le pc /". . mince, mai- flaet. .-. - . Xavèzvb). 1. p/. . Li- iacuai, aor. 1 er sV.- p. de ï.v, ;.y.'., 0, défaillance. R. la pierre, rocher. , da m. 1 de d'oà -iy., dire, parler. . (c;, ô), faim. réfléchir. R. couvert de poil, aor. .,/*. "/ï;<o, - y. ajuu, compter, velu. . . - Kir.-.;. ,,, ndj., Ar/rrc-j, m r: : oubli. hj, ci 6 r~. ha?.!. être oublié. m occ. lang, marais. Aiiw'ç, cacher; — /.EÀr.Ox, se y.), h. Xxcu, f. >.7.y.?xvo. Libye. la bye, Libyen. v.- Lampîs, h. Lampichus, . piller. ETttt, 0. r,, ,::. -. A::)::, eu moj, 71. Aï/1: y.:.-., aIj.vï, rira. aor. atl. part, prés. brigand, voleur.. R. XxtÇcuai, :- /.v. 1 m. de Xnpstt. gcn. -/-:. Bdj., qui dit des cj, Ar.poùoz, dal. pi. prendre, semparer ce, saisir, rado- niaiserie, , niaiseries, radoteur. Atêûï), r; aor. 2 &.a€ov, p. fiai, : Ar.TTrl;, cû (î), no . Aï:::, II. .les Lacé- . Ar;:.;, eu fi. radoter, niai- i5oc*, tage. ,-, ad». , secrètement, -. furtivement. R. secret (XoctOavo, Xt'Ow, cacher . Léthé, le , Ar:£(v-i, /. ser, de tin vi. a». 77. . de Jsbç, moy. râpe- : -, A 1 -: : ' :. triste. v : tristesse, . : .. R. Xôïtïj. < , chagrin. ad}., affligeant : , 9 Arn Aï2 Aurraw, A'Jcaao), ait. X'jrratiwo, f. viau, avoir la rage, être enragé, au R. pr. ef aufig. >.y<jar,, v. le pr. Aûo>,/. 6a», aor. rage. «5 XeXuxa, délier; 1 er — ftu««, ; . lâcher. M MIT MA?J M : en nombre, celte ratil sur- lettre, monic.c de l'accent aigu, u.\ quarante. avec ?/<•#. •/;.(, «ie c où V7.1. u.à Aïa, oui, par Jupiter; cù uà A(x, non, par Jupiter; se?//, u.à, nie ton: — jours; l'ace, qui le suit est r^ï p«r ou.vup.t 5.-C7H., je jure, je prends à témoin. Mâô&tu.i , c.;, ci «or. 2 opt. de , pixvOavu. 2 MatvcpLat, y. où4oai, aor. eu. R. u.à/.y.s gv, ac/j., w. , MeoceSovixo'?, Mxxsouv, m. fl((/., o'ffi, fort; — ex: oui ov, «d/\, MocXvi, 7iç — MaXôxy.o;, mou, plus possible; Sri aa'/.'.ara, le — le plus, surtout : plus possible. MxXXov, comp. du m ., plus, d'autant plus; plutôt u.ôXXgv plus que, plutôt que. r, — Mave';, itaa, de : «or. 2 par/. p«55. e'v, — us ov, ttORT». y. par/. deManlinée. devin. (tj), vain travail, de wove;, tra- cv, at(/'., frivole; — vain, inusot, d'où Môtysv, ad»., en vain. MaûoruXrç, eu Mr//„ r,; May/.aa (r,), 1 . Mausolc. combat, bataille. (ô), belliqueux, eu, ad/., , er /". u.y.yr,. iavj.y.i et «iGFCu.au, p. de/. combattre se battre avec. M. R. Me, «ce. a"è-|W. grand; Ms*rst, ?/. de u.î'-j-a; £u.xYjr,Grocu.Yiv, u.e{£flt£yiu.at, — d« m.; — , pris «di»., grandement renient. BlsfâXa, p/. w. ad»., m. 5. Me^âXti, p-e-yocXci, Me'-yav, «ce. u.aîvcu.ott. ni A!., yj, ad./*., (6), MoTatoç, a, «or. I u.aXxx.oç. dy, y. vi, f/e MaraioftGvîft, a; paw. aisselle. Mxaioto, s«p. de u.àXa, le effé- lâche. (r,), diction, Mavreûcpat, /. EÛsopat, oor. 1 er èpAVTtuaàu.r,v, consulter Toracle. R. u.xvti;, devin, d'où aguerri. R. mollesse, de (r,), BIoXzxo;, miné; Mavrtou.ee, ard{ (tô), oracle, pré- Mr.y.u.cç, Ma/.az!?., aç EL folie. u.aîv.uat, être furieux. lile; — assurément appren- vail, e/ 5. assurément. ii, fureur, (ri), MôvTtç, su; précisément, p.aXa, xxt Mavîa, a; peine inutile, IMacédonien. MaÀa, «dt\, beaucoup, trémement; — /. «or. 2 connaître, concevoir; découvrir. Mavreoffo'jxtvo;, heureux. aûf/., d. p/. o'v&î, — dre; Mxvriveoç, ou, s. o'v, •/,, , de fureur, être furieux. Mcotapioç, a, p.aOoj, u>r,8u, uadiiaeuai, a- p. aû».y.va, être saisi vr,v, u.y/ir.iM fuaOcv, p. fjwu**dr,xa, ti a, aûV. afform. — MavOavw, prim. 5. ; — tiè- pr*« pe^âXeo, »/i«5c. d?* d« m. m. — USA 46 Hryopixoç, Ms-piç, MET K, grand, ei'où MeVeOcç, ec;-c\>: (to,, â/.c-j , o. aÀc-j 5), Mégille, Ms-jicrro;, /., cv, on le a'Xr.ç, , grandeur. MfjiXXcç très Mégare. adj., de •/,:•;, otXl»', sup. fc. uE-yx;, (/e plus grand. HêO',p. u.ctx, HetÇttj p. p.E^cvx-:x-<o, ace. m. et/, on HsîÇuv, comp. a. ever, pté-yaç, s. p/. r. de irrâr. c/e Mstpaxeùcuça, yj, agir en jeune HeipaxiGv, i-y.\.f. euceu.ai, homme, de eu (to), jeune homme. R. ptetpaÇ, w. s. MetpaxCoxo^ eu (ô), jeune enfant; jeune esclave. M. R; — humeur Kg (r,) , noire, mauvaise humeur, ac%r/ù.[y. , R. ces de mélancolie. «. atvoç, noir, ÏSiXava, «ce. «ce. p/. n; o?f 7/o?h. r». .s. u.e'ax;, bile. //->.•/,, e< ave;, o. aivr,ç, ave:, adj., noir. MsXea-Ypp;, ou (c), Méléagre, _/". p. on 5 Mmiracç, impers.; u.sXT;<m, p. moy. — lusXs, y.vj.i/:r;/.i, il est à soin, on y.i/-\, je >.-.: i?»/?. //. ucl. u.i'j.r'/.i, soin, a se soucie me de : soucie fort peu. 5IsXi}<rst, r. eu (c), conj. dum. certes, Ménippe. cependant. , R. piv, tc(. Hspeç, se; MeV.;, part, partie, por- (to), ivpépei, à son tour. : médius, qui r., cv, nrfj., au milieu, du milieu. Meor&ç, r., adj., plein. o'v, Met', dev. unevoy., pour M&toc, prép. <pa réon /e och. /Vice. avec ai-ec ; legen., avec l'ace, après, — ; c/ — pendant, comp. , u.-.-.i. marque changement, mutaentre. £?i lion, passage. % (^), changement. R. p.ET<x@zAX<», changer. McTo^iai-a»-»,/. tjgw, changer son genre de vie. R. p.sTx, Îioîtïî, genre de vie. MetxScay;, ««a, eror. l ?r [ASTevor <ra, changer d'avis ; se repentir. R. aéra, vce'm, penser, dloà e MsTavc<ïi«nrre, 2 p. p/. «or. 1 er Mstxvcsio-û, /. c/e ffléXaç, guva, av, Ms'Xet, w. p. part. M est plus grand. <.'*, MÉprocc, imper, du m. év, part ., à la vérité, assurément, p. Je. lion P»'ée. rsu, r. u.vàcu.ai. 7-/.;, Miy.rr.'J.ir:;, r, Me'vtci, Uiédimne. rfet>. ime ro?/. as- cj (c), -Ms'']''.y.v:r, Mq&vqf&ai, — ( subj. Metoçû, adv., entre, au milieu, parmi ; pendant. R. u.etx', — Eûv, ait. p. ipjv, avec. MsTawrÉ.u'ïreu.at, /". ÉuuLcuat, aor. er 1 p.îrs— sy.yap.r.v, mander. /e p?-. R. aarâ, 77=y.-cy.x'., m. s. démembrer, deR. u.s'Xc;. membre. MeTaaxeïv, aor. 2 in/". depzrêyja. SAcXtÇa, /. (au, pecer. Sls'XXw, fr.zt-t, aor, I devoir, êlre sur «rec /e prés. o« er le /e s"p.sX>.7,7X, point de, /. -.-77., cv, part, dupr.; 7c p.sXXcv, les choses l'avenir. 5 e p. — futures, s. «or. 1 er de p.êraîtatTâtt. METsXs'jaouai, /. ni/". ; différer, tergiverser. Ms'Xl<ov, Mete-SV/t/^ev, f/e Mstev£ù<b, /. uorw, eve'&iv, revêtir nn (f«« antre. revêtir. R. lûtes jrci/.à». cor. //«[/// 2 lutau /?c?i p—y!. èy&jg», . MHH MfcTSvi^uv, j; MNH «or. j, du -2 y\i-i-i\j-'Aj:(:i, cj, ôto, pas >culcnient cela,... mais />r., rmp. mo?/. de u.-rx-z'j-^j.y.:. suivre, venger tcj -7-por UErnXd&v, de mon les assassins •j.etx, — pour- tous : (pevea; puni père. R. ai j à. MATHS, r.; H,r , ' — i m'j, v « toiroî, •' œi , . ' .' ULSTGC, non, ne... pas ; de peur que, ;jc. Mr.-r, p. u.rM, dev. une voy. Mnffapûç, adi»., nullement. R. ijw'î, quelqu'un, et j— pas même. Mr.îs, ni, ne., .pas R. pi, £:\ y./.oY/ , , «c//., nul, aucun, personne. R. [**- un. sis, Se'i Mr,ftv, ». /»., (/« rien-— pris nullement. «(/<•., die, eu (é), Mt'xeti, «(/*'., Mèdc. ' , y.-/i, cupli., h:, encore. ttoroî, r., '.-i, ' pcu (1{ . va , ns £ cllr Mriv, t.\ longueur. cependant; mais, certes : -.0 mr-v... , , yi?£ .^ c |, ose# Milol, 'r. », r. Wat, /'. 4 R. contrefaire. lcr ; _ de u yy ^ . Mi usWt-o5uat, imi- pitacç, mime, bouffon toc; (i), Mtas'tt-S, /'. Mi nos. «or. r.aeo, Mvi, à; (r), mine.' Mvâw,/. «aw, «or. -Vo//., u.xt, /;. r,ffx, «vn y.'. -ô> -.j.?. .,/.-. ysy^:- ^ïavr.axt (eu ù/. oôïjv, faire er ressouvenir. (aire y. vâc y. er 1 /. 2 de/, pass. tixi, I R. y.^::, haine. p. r./.y., hair. «•;)•. I er id. mention de; M/r.yy., y.T:: (ro), Mvriur., s h ^ u[i)i ; ffrf p 0ur p eu j c MiXiiTÔ;, eu uuxpov u.i-v. : « (! } / ;;, > ,; peu ^ . / /«/. iy.;r- — souvenir, d'où adj. su]\. 1res- long, de MXXSC, W5 dis- : • __ un ,, £ M ,!' et memini), ne... plus. R. m- i R. fu*£v«. K. peu, tiédie, d'où ad/., :•/, v - M da j>. y.i'j.;r y.y., de la .Aiedes Mèdçs, médique. Mf^cç, y. la (t.), oc; ixo'ç, r., Iï. souillé, scélérat. t Mr,$îa, commettre / Mtvu;, ^ [MiJeuCac «dj„ efc, (°>> ' ,' Mr., tufe., ne, Mr/H-!:, aï visage. ° ,. jusqua ceque, que, pendant que. tant "î "• de pli coiy., ..;, & rcm*^.«W,{w»> mmut.es. cours, TO, IlOnt. K. — souiller, <povc;, meortre. ;- **«* w , r, artifice, adresse. Miapoç, a, l M:t:Û, : orf^, modérément médiocrement. 11. uépev mesure. __, Msp , mère. machine; :;-.': , *;,/>'-»'- *lv *i demeurer. -y.sra, ofct-o, C'J OU ; -, "* meurtre, assassiner. tuAi. ni.àbi- u*ri rfs v> MsTooeE»-*»,/. iï«a, aller 1er ailleurs,changerde séjour. M£7tO7T0V, me g. rs'poî Mr,£*wQ, ***> cuisse. f Mifltt<pcvéû>—&,/. lËou, R/iastoc, é'/w. R. (o) voy., pour c/wj., ni, neoi<e. R. joi,T£. Mifirt, £p7/.y.x'.. AhrrXOcv, oor. vj Hr/r', dev. moyen, MtTe>w, partager, avoir part ; cependant. .Alr.pc;, McT£û^ou.at, faire venir; 47 — or; iX).â, non nir : ;v, de la monument. mémoire, souve- v,; r,), y, y.v,;.;j. souvenir'" rie. M. R. le -r:y. :.. iscs — MOT 48 MOT MvniA0w6tt, /. sûaw, m. que s. Mj^xw-Ô), /. M ou ;-;•.; ne ade., avec pei- u.î/.::, — ; Bfu^ôvra, p. à peine. Muptxç, âSo; (t,), myriade, nombre de dix mille ; innombrable : 7toX).àc u/jotâ'^a; <tt;x- — MG&pt£o$, eu (g), Merichus, a. MoXt£, i'. a:'-.i;. Movcv, ad»., seulement ; — tou- de Mcvovcjyj, nd<\, presque. K. seul, unique. cv, ac//., •£; Mupîoç, a, ble ou v. — immense. ; Mvrlie, , f. pava, être fou, exlravaguer beauté. R. a o>: d' {•/>. g. infini er jatr Mcopcûvb), /. xvm, aor. 1 forme, ligure: r,), ; innombra- ov, arij., — Mûpuo;, dix ad;., d'oà mille, en faut pour ne pas, laniùm non, r,, a. wv, Mûptci, ai, a, u.i- autant qu'il vov, où, eux-, où/j, Mcû, une armée innombrable, rc-j, jours. Mopcpr,, ace. 5. u.-j<5aov7x, par/. Met, dal. d'ilôt. Mrivoç, riaw, se moisir 3 se pourrir, d'où {/.vâcuxi. fou. N NH ISEK R«, adt\ oui, certes, vraiment pis oui. Nao'ç, où (0 , Napxtaaoç, ou Narcisse. x, o'v, NoO;, aoç, a^. ve»s (r,), R. vs'c;, (ôj, 'ô), m. ïfsëpos, où (0), faon, , E. »&s, p.7.'. t naître, et m. s. jeune uîcç, cerf. que-ii^. ad/. , IXeûôi», ?"n?/s. d"iy/;.~ aller, venir. — jeune homme. Nestor, h. (ô), Neûpcv, ou (tô), nerf, muscle. /". V£Û<7C7.7.t et VEUOOÛUAU nager. IS" s. nouveau venu, nouvellement arrivé. Jsir.'/.-j; ne; jeune homme. jeune, d'où veopo's, aa;., nouveau- né. -yivooai, NeVrttp, opo; avoir des nausées, Neav'oxoç, eu R. R. NîCO, Neavtaç, eu part. pass. 7 Neo-jvoç, cù, vais- seau, navire, d'où , acL Wéoç, a, cv, ad;., nouveau, jeu- clouer, et lfauna<»-M vomir. p. part. Nevucr.fiivoç, r„ ov, p. R. Trvrvufu, ficher, pentier. 0;, — d'où de-r./Aoiy adj. constructeur de vaisseaux, char- ïïaumrpxo'ç, et, a!, Nevucnxoç, uîx, temple. (6), adj., mort; subst. cadavre. Nexpo'ç, £co >./.•' tù-fe) , ^. yico), tirer les vaisseaux de fa ??ier sur le rivage. R. vous, att. vioS;, vaisseau, SXx», tirer, d'où NeuXxwnt;, asx, part. rs'îcôî, isr.. » (5), av, aor. I er att. p. va:';. par/, afftim. : w. A-*, — NOM oui par atteste Jupilcr, Ij'en Jupiler. de vaôç. jeune enfant, pr. dire , lîictlv Rfieç, n. pi. Ntpeû;, eu; (o), Niréc. HotwÇw,/. (tu, aor. 1 er Èv-u.'.n. p. './.a, croire, penser. II. v.- Zfmttoç, 6v, ac//\, vii IR. , , , comme parler, (in, infans fari). po;, No'pttMS, », ov, ad/., juste, de ( iûn. p. vaut. aor. 1 er Èvif. /wa, p. vevûapsa, vaincre; l'emporter sur, surpasser : TÔ vt/.àv, pris subst., la viet.coj, — de (r }, victoire. »j- ( aaa, av, aor. l' r par£. dev./.aw. lftxisaa;, p. r', o'v, ad/, blond; bril- •ant. 1 er êÇf- vàvr.ax, servir de cuide à des . .p. .. „ r' étrangers, a des holes. R. cevoç, . étranger, dtya, conduire, L l uu Zv>y.yr.w,aor. 1 er 1 er ivà- onaa, p. y./.y., être malade. R. vie;, maladie. g.pl. de 'tôar,;. II. Nooûv, part, de vcoé». >rôxrwp, at/y., de nuit, nuitamment. R. wÇ, nuit, KOv, ac/i;., maintenant. I. No'owv, Sewoç, eu, ac/j., étranger. Eép|»ç, ou ' vtvcpa, fHOJ/. HYH Smrp»-&,/. r,™,aor. . — coutume. ]N:g£o-(j, f.r.ao), CLOT. ZEN Savôo'ç, loi: , légitime, distribuer. Nr.ù;,p.vr,c;(if)) f toire; hum, H. Nrioo;, ou (r \ lie. Nîjwj, loi. No'fx&;, tu (ô) Ni/cxco-û, 40 ISÏ.N imper. Hevap';, ou (ô), chef des iroupes étrangéres soudoyées, E/ipdç, oV, oc, _..' Xcrxés. (ô), EuXov. ou aride. „ bâton, ad/., sec, .. bois, « (toj, , ... , Bowèx,*»fc ait. p. 2 e pers. s. aor. ouaossw. EuvoSowropoç, cj M. R. (ô), wmiïï&K, V pass. de V. ow6$ot- wopoç. O OAO OBO c I. O,r., ro, art., le, la, le; &U.ÈV...6 l'un, îs, lieu de ÔAaaoTcuJeGlsdeLaërte (Llyssc). II. "o, n. de 'OooXdç, eu fc, (o), x, i'. obole. "O-p, Wft* **p, <*d]., l'autre: obtiennent souvent fils: — lui. <> R. 6, *jé, -^ $^ j$6j He^. ced oui certes. ^ ^ R 'OSovraç, OC©, p/. p/. d'ôàcû;. lui, celui-ci, ; »«r«», a. — M . 50 — OKT 01. - — roule, chemin; . g e . d.pl -' . - : III. . r; (y. .: mu, se lamenter, ^éniir, pleurer : -\ otamt pourquoi déplores - tu Ion •j^w, f part, du m. T'./t : Olr, -2 ! p. domestique; ar//., — propre, le maison. domestique, serviteur, esclave, etc. M. R. sien. R. •:. '-/..:, sa o , y.t'j. habiter. Ol/.r.z'.j'.part. fut. ad. de Otxétt-û, /wt. -S*, /". tir, aor. »<w», p. construire. c<jûc, --•!- 1 ././.a, i H. er bâ- Oy. , . ' <. e ' < ;..-:, j.7.\, ctx, kcv, 0i;r, quel; - rpoç, il OÎoda, w, a'/j. — le sup. c/':îtrés-digne de pitié, déneut., pris dune manière très-pro- pre a exciter tôt, îm/). la pitié. ''.').y.'.. . tel p. corn que cfe : dôçrt ~^; ckjVts; ué ; est-il possible ? ::. y. -. aM. p. p. ct^aaAa, , '2 e p. S. d '.'v>'J.. m, adj. } d'osier. R. 6i- uùol, osier. OZjcum, pas*. T.a'-p ., aor. i 1 f. <.->iJh(.t, p. id. s'en aller, partir; 'OxXaÇtt, pitié. aJ/., — est possible; Sï/Tic. .7.:, plorable; ., £«r:i, Oîauïvo?, . - '.*':thi:i, suis capable u, je Mxcocfus- une maison, (fou Obu&iuxua., 7.7:; [to), bâtiment. ao/\ i e« :é», /". Epâ /.Tî-.;a, avoir pitié de, ace. Je. uomç, T ;-. se bâlir, se faire bâtir I Y — 0*5, d. p/. (/S : f. nacftsu, flor. écbanson. R. , f. posg.&nuai, croire, penser, s imaginer, o;-./. oJtt., comme, de même presque. R. mgj, tel. que; Owrre, 0. '-.'.:. r m, eu/ ;.. comment? dequelle façon ? R. '.•:;, ri. comment :./..-: tir. .17 i r.':r.'Z'.'j.'7.'.,a(jr. rotc-ç, 0.. eu de g. (fdouai. famille; pr. f. /e E77.'., y,. Otofieu-outoi, tf/ip. ûoiui t-au,r,n, f. .. — de Ùbtét Oi/cy/.'-r. i': p. o»;-- yjUè, verser. une toy. tfep. Z, V. f. s. Oivcç, eu (é), vin. c/"ou cîoç. r». e/e ctftct. -'y-'-, ,:ty.7.i. ! . m. y.%'., ., battre, va te faire promener. R. te - Oîx, p/. Xrvctv. Moy.. :. «s 5), Ulysse. no7a. pi. m. de i. II. O:, nom. pi. m. de :. III. 01 , interj., hélas! malheur à mgi hei mihi - I. gémir, se la- . aciiv., déplorer: vapula, va • prd. p/. envoyer quelqu'unpromener,e?</a^'n, dfuifyti son? d'où *0- '.'<.>.<>'-.<>. p. v£ja /". menter;— ; e 5 rwoxv, -•;. gémissement, , lamenta lion. R. ,dent. .j?.'.,p.def.p xx, f. . : ». Oiy.v., . '0£:-:.'. <t::, . /". m», r de f. <>/y.'j.7.'. périr. s'agenooiller, mettre un genou enterre, c/ \ tr par/. "O/.'/aa-/;, 7.77,7/, aor. l 'O/.TtJ, ac'j. num., huit. 'Oxrttxxi^exxsTTiÇ, k:,arfj., âgé de dix-huit ans. R. ô/.tu>, huit, wû, et, à s'y.*, dix, Ct:;, année. O.MO "Oacg;, eu o>T bonheur; (i), félicité, — richesse. 'OXilpio?, a,cv, a<lj., pernicieux; — pervers, i>.E/.o), '/.•jr., misérable. R. &Xperdre, d où v O/.i6;'.ç, eu (d) , — vaurien. a et d/.(-;cv ûk/u. fléau; 'Ou v/ £/.;:-, c, adj. t semblable aux autres morts. R. buAç, vexpos, mort. Oponpta, a; (y,), égalilé d'honneurs, de — peu: peu de temps après, dans peu; TcpiçôXi-jcv y.:'.-:, pour un peu de temps; c>.-trXeîcv, un pou plus. '.-/;-. ;-.'.;, cv, a'//., durée. R. 'OXxxç, de courte >XP 9V6»i temps. vaisseau marnavire. R. fou», c/.- otooe chand, y, 'Ofioù, ne/y., ment. "Q).eaç, à fait : scat entièrement, tout 5X«ç, en un mot. R. '()y.r, :•./.:;, r', s'v, «<7/.,d"Hùmère. "Dy.r;;:, 6U (ô), Homère. 'O'J-O.i(i-C-), f. rl-7'o, rtor. 1 er ûux- fréquenter, avoir p. r./.a, eoinmiTce avec. R. ouiXoç.assemblée. (r: , ail. R. BîTTtt, 'Ou.: ;':''/,;, loç, odf., parent. R. opsg, semblable, ysvcç, race. - a, dv, odf/., pareil. R. 5j*5ç, ïy.v.;:, semblable, prouve. R. aoV., semblablement, miMne manière. 'Ou.:îw;, la ap- qui su *~ r y/ tyufe, V'--'> frage. I. 0(aû;, «oV., m. II. "0{m*ç , r/»e s. conj. iy.-. cependant, , t- itelois. I. "Ov, ace. m. .s. 11. d'r-j i, >77., ; ". :;, y, </e . . UOT. 2 Opt. vioij. 'Ovaîy.r,;, I •/!</ 'Ovi'.'3'Cw,/. (7o>, «or. 1 er ùvst— outrager, insul- './.7., ter, </e opprobre. songes, rrcontes en Pair. R. yes; Svap, cfcà c've'.;::, songe. /f où ecî (to), "Ovi'.'î::, (rà;, — /. ïOû», rêVCI, voir en songe. R. -:>.ïw, être 'Ovî'.;'--r::/.E0j-f"j, versé dans. parf. «or. f. r.To, &fAoXrp)<M , p. jpca aor. *Ou.;>.c-|-'(o-ô>, reconnaître , 1 er avouer, convenir. R. éjAcç, >s'^w, dire. , 1 5. er a*c /. prim. i>-J.'>, d.c.zj., )•. — gagner. servir; .V BMr.v, 1 p<-(5s. 'Ovtvi^u, aor. de opinion, '<>/YT!'., 5'' p. p. p«ss. &uukat, voir. *Ou.iîo; même l-j.i;. qui est de 'Oyetpc77&X»6sîç, eîwz, év, aor. "Ouua, arc; et hon- ««"j., 'Ompaxx, »* SXoî. 'y.r.ax, la w»*, p. oifc., -y./',, ensemble. R. w, 'O(*o<(ngfoç, II. "Ov, *OXo;,u, '.j,adj., tout, tout entier: t; [).-.' aXcv, enfin, en un mot; r; 6>.gv, le tout, entière- jouit, neur. , traîner. /.x'Cw, qui fu/j., , d'un honneur ég dignité. R. ôuoç, , 'O/.r c/ '0|A<9nfiOÇ, un peu. , odj., petit; /, vi t Ij.-.z'i/ •-;•;, , — mort; S1 >y.-j.y.: } I er ojir.z-xy.T', retirer du -, f. ai<: V./.7., f. SvT.acux*, t. profil do, oéu. 0« «ce. 'OvcuôÇtt,/. •j.-j.ny., peler. aj'-o, aor. l' r • nommer, apR. Svouut, nom. p. «ta, "O'/T?., V'Tï;, Svtc;, f. &* I. — oio opr 52 m. "Ovri, d. du ; — ;âcvn,m.i, ou h d:y* £i' &py?i; nvâ, en vouloir à quelqu'un. lion que 'Ovrw:, adv., réellement, en effel, véritablement. "Ovjç, u^o; (d), ongle, griffes, upeÇa, p. de sol*dats pesamment armés : le ncui. prissuùst. : bataillon de soldats, etc., d'hoplites. R. r, cv, adj., } — soldat, etc., de c-Àîr/,:, arme. (r:), "O-'/.cv, ou a, ètt-. ; com- est-il? "Opr,, p/. 'OpOcr, cv, adj. (corr. ïï, 0-CT7.V, p. éïTOT XV, m. ' 5. OUe , ' quand: quand même: supposé que tu lorsque, 1 — , puisque; 2roV ISâL6t$, 'OçOcû:, adj., droit, ov, bien ad*., juste. — ; juste- ment, avec raison. R. i-Mz. 'Ocî^co, /. îcco-ôi, aor. 1 er ûp az, p. pass. £>z<.r>'j.y.\, terminer. R. borne, d'où aor. 1 er i'n/*. cçcç, 'Oz'-.nv.'., 'Osww-w./.-wo), aor. 1 er âsara 3tj p. Tiïatf s'élancer, se precipiter avec impétuosité, de 'O-'JTEic:, a, cv, adj'., lequel des deux. R. rcoTêpoî, c, qui des «or. er deux? "OîTrcttatt, c-icp-ai, /. b><{<c£u.Yiv, 1 p. pass. çOr,/, voir. R. f'jy, ùiro';, œ- œil. *0-w;, couj., comment, comme ; afin que, de manière que om à; — que : cjv c-co;, il V>;à:, 2 e p. 5. »irf. ou Opuisc, a; r . 'Osatj-w, p. regarder, examiner voir : Spot de ; ww? *Gz--r„r.z f. (i,), a'-îw c/ clirTGftat. colère, indigna- ^ impétuosité ( (r,), ; — «*«* ., Oréte. (ô), *Opoç, eoç-co;, "Opcç, ou . , . »»j**™» ' Opsiïr,ç,«i II. hinie de pécheur. _ . ri (ô), montagne. borne, limite ; frontière. 'Op7E&o.a.i-oûtt«t t /". r.Gzu.y.i, aor. er ebp-/,T;aâai(jv,danser, sauter; l — trépigner de joie. '0câ>, t\ opaa>, d'où 'OpwuLsv, cortir. p/. de ôsacuEv, l re p. ; 'Oc-wv, ôvtoç, pr. pu/7, du ne. 'Opâ<n, confr. deôpâcuot, 5* p. p/. v prends garde que... ne (dde ue), ' ou sit£g. Éws'x/.'y., ; é Unj egsor n'est pas que, loin de. "Opa, co//îr. de epae ,impér.; - ' p. wira, poil. z-o>-y., er id. tou.u.xi,flor.t — ^^ I. voulusses. o.r,, d"c:;c,-. r,, ' de roccç, aussi grand, autant;, que. 'O-cV, p. gjreta, rf«». "»ie voy. le pa55. àps'yjhîv, désirer, gén. mtu «tec ou interr.: c-cîc; ri; alors — pré- t 'corr. de aûj. cv, tcîc:, tel), quel, ment ïbnmç, tendre ; er ^'oy-> cpEfcu^, /. s";:y.-/'., aor. 1 er ùpe£xp.Y)v, î'd. de f. dcz;~iz. u. 'Q-'/.:r:/.zz '0-c"c:, ey^a, 1 senter. '0^uîpabtat,(i)v(ct),Oxydraques,p. "0-H5, izijnu.i,/. e;u, oor. 'Of>s<y», serres, . : v/y.'i du/, p/. pré», pu/7, du m. 0;, f„ ô,pron. rel., qui, lequel, avec u.i-i et £ê', laquelle; à©' cù, d'où, l'un... l'autre — : d'après ce que, puisque. "O«ioiç, t^cç (ô), Osiris. "0<7s;, li, cv, adj. (corr. de az; ou tsooùto;) , -i- corni;ien . . OTA grand ; — ; que tcogùtov.... : que. ct.v, autant... *0;?:;3, r,-io, Z~iz, m. que s. 1%. 'Ocra, conlr. fifoorsa, pi. de n, S g. cJT'.v:-, quand tôt»), lorsque, cte, est lorsque, il : f<rm des est il "O rt, que; II. "On, n. de qui, ce ï :-<.:. — pourquoi, en co7ij., en ce que la raison "Otm, sV OjO , Oùx, quoi. quelle oti, pour laquelle roT'.v., d. pourquoi ? I. 06, g. de £;. II. Où dev. ime co7is., «dr., — plus, ne... donc, c'est que est-ce pourquoi CUV, TO. ; euxeû? iXXa, : au moins, au reste. R. &ux, 5. est ? de Sçtîç : non dev. aspirée, : ftw cela, à'/J.x mais), au reste, au surplus; cj von, non en vérité Où£\ p. cô£e, dev. une voy. OùJ^y.w;, adv., d'aucune manière, nullement. R. àu.z;, quelqu'un, et — ne. non ; pas même, neque : iùSi cJT.r pas même . lui-même; si. «ce. pi. 77i. OÙTi, non, ne... pas pas /). :/, R. c-J, 9é. QÙ^Eutôc, cù^evo'?, nul, au- cun, personne. R. tù^s, eî;, un. Où£év, n. d« pr., un rien ; pn's «di\, en rien, en aucune — OJîev;';, v. tùAftîç. pourquoi. m. fldr., ni, ne... même. pas cj, ré. p. ci n, Ouït;, g. Ojt:ç, en rien, de b&TtvGf, R. personne. qu'un. aCrr, aucun adj., cù, tïç, -vj-z, , queltoutou, g. ry/j-r;, TCÛTOU, pro7i., ce, Cet, cette, ce ; — celui-ci, celle- ci, ceci. OÙTGoC, «ff. p. WTOÇ. OCtco, c'jtw; dtv. une voy., ainsi; — 0>/, O 0/{, si, tellement, à v. cj tel point. II. ail. p. cjy OCBEtXfl», chose. c'est cela étant. 05et, dat. pi. du R. wv, n'étant donc, de ".:. O'JTa, r.:,/i:m. de wv I. Ofiç, CXm, O-jÉi, ni, et ne, et lov, OÙGta, a: Ct.\ possessions, biens, fortune. R. eîuû I. cj/. mj co7ij., R. c>/ (non-seulement rf [ACV, aspirée, ado., v:';, ne... pas encore. R. cùx,fn, encore. dev. wie voy. Et, eu. OJ/.cjv, Oov, ; taxe voyelle oW r. Oùxért, ce que, parce que, -.'. : ait. p. ÔTfo ni R. bùJe', fctocc, autre. p.'/j-i, dev.une voy.aspi Oûusvouv, non certainement. R. cas où... I. Pun ad}., ni cv, l'autre. r:nvcç, cuTtvoç, qui, quiconque. R. ô;, ne, quelqu'un. "Q-y.-i, p. l~i à/, avec le sul>j. } m. s. que "Otï, co7ij. avec Cmd. (corr. de TTtÇ„ quelque façon. OJ^ÏTi;::, a, rrsov-cûv, tou-cû [to), os. t ;, Où&tira, adv., pas encore, ne... pas encore. R. cô<Îî, ttw, en /. Ï.ÎW, p. ÙCMtXtSXX, «or. 2 wcpeXcv, devoir, d'où "OçeXcç, s:; (to), utilité. 'OoâatXu&ç, où u.a:, «or. (o), 1 er œil. R. mctc- pass. tMfêl , voir, d'où 'OfOetç, pa.î5. aîca, év, nor. I er port . 54 OTO 0<ï>P "0<p).r,ax, ?.t:; (to), dette, de. R amen- voir, être condamné à. sourcil; 'Ofpûç, ûéç, (-/,), sommet orgueil. — ; '0?:y;, contr. tffypûoç, ace. p/. "O^ 2e p. «./. d'cVrcua'. "Oy-.v, arc. de de- "0?}.u,/. t.tw, p. ftpXnxa, I. II. oçeîX», devoir, d'o?i 1 ., — "Oy.:, eu; (r,), vue, aspect, de 'Oicuat, ç, a«. et, v. otttg|mk. n HÀÀ IIAP pleinement Ila-pY&Xoio;, cv, ndj., ridicule. R. rràv, tout à fait, féXotoç, risible. aor. 2 op/. da Ila6:'.u.'., Hotdcapsv, l ie p. 7 ., adj., tout à fait rière. tout à s?d'j. da m. ; su T.xbuy.i-) (soyons heureux), qu'un bon vent nous pousse. noâcâv, W0O, cv, aor. 2 par/. du m. Tly. ar- grand, très-grand. m. aor. 2 />/. — en fois; naau.s-j's'Or,;, eç, 2 inf. de ic&ayjè. IladEÎv, aor. une seconde voc. de Tsaiç. fait, us-;e8c:, navépupoç, ravagé, désert, tout à fait ad/., cv, H&vctfcXià, a; R. plète. armure com- (y,), ttxv, c-Âcv, Ilavcj p-joç, cv, R. m. rràv, Es-ycv, R. irat^euw. n.x:oij')i .;,z~.<jy., h, aor. I er part. Bavrséicaoi truction. : pnss. de âs'jcra, aor. prendre, ri s-rra-'- instruire, ap- nvcé (tq'J, 1 er R. waE;. petit enfant, de Péons, p. ndXca, cidj., autrefois uizdkax qui (oVreç), ceux existaient : autrefois, les anciens, d'où IloXatoç, â, cv, adj., d'autrefois, ancien. Tlyj.y.io-r.ç, gû (c), lutteur. R. xdkn, lutte, d'où IlaXaîffToa, aç (tj), lutte. IIaXa{iridr,?,£o;-ou;(o),Palaniède. TIaAiv,ady.,de nouveau, encore, 777.;, cv, aae reavrantaee. que -avreo;. fia; p. Traça, dev. une voy. Kvfd, prép. à 5 cas : avec te 9én., de, par, de la part de; Ilavroj;, , une voy., sans excep- adj.,de toulgenre, varié. R. -à;. Havrcç, mârrav, 0. ttS;. IIxvj, (c de*', fait, généralement. R. Havrctoç, a, IIxï; (c, n), enfant. ov iv y. -rràç. Trà;. nai£oç, o. de fSfxioyeç, ef adv., tout à tion, p. cj/.x, Ilai&ÎGv, eu — trompeur. ouvrage. Barras, rcavreç, -jravTt , e-jcco, arme. adroit; cidj., Ilaiîeia, a; (»), éducation, ins- xi&eû a>,y. R. dévasté. T:àv, ssr.acç, désert. artificieux, fourbe, Ily.yïx;, irat&Eç, v. le II R. Tràv, grandeur. m. m. s. s. 1 , — avec le dut., àcôléde,chez ; près, auprès., — avecl'acc, — au delà de, près de, pour. En comp., Traça marque Taction d aller à côté, de passer outre, de s'avancer au loin. IlapaSaXXw, comparer. R. napâ, BâÀÀw. 1 . riAP iiap nap7.-p£').a;, a.ax, xj, aor. 1 cr pari, de ïlaptt-ffùXa, prescrire, abandonner, cer ; — annon- n7.pa-av,aaV.,m.s. que R. rrapa, rràv. Il7.:7.-£a7:w, permet- R. —xzx, ifttXktù. IIy;a-|'î/'.ao.t, survenir; s'avancer, s'approcher. R. -xzx, Ire. — Tlxzxiïiïx.:, aor. 1 er Uxzx T.--.:, -.j (î parasite, qui mange souvent chez les au, tres. — rrapa, cTcÇa, opinion. £w; flapaîvEitç, iauTov, z s'y IlapaTi'vw,/. péruva, aor. 2 «or. o'v, recevoir, rra- irapcTavcv, ger. R. -apà, /j. r*iv«*, tendre, 0170, pr. opt. d'oà 010, ^xzî/mzy.ix, p. 2 aor. 1 céder, f./.x, abandonner quelque chose à quelqu'un. R. -xzx, pren- recevoir par succes- R. /(.>:; Iïapeyyûa, imper, de t.xzx, }.aaoàvo>. , laisser — ).î(rtto, TTa:aX'.-tôv, napï-j'—jâoj-û), /. de frustrer. côté , "pr.y.z R. Traaor. 2 îocfiat, aor. er cuva, c'v, peXVn c ay.r.v, tromper -apaXcpÇeoftat tî, tromper en quelque chose. R. -apa, Xo•p£c{&«, raisonner en sa faveur. ITapay.ï'vw, rester auprès, attendre. R. -xz x, u.î'vw, rester. Tlx.z r. , consolation. R. rrapa, u:/iii'j.x'., dire. Hapamua», déraisonner, radoR. -xzi, sraîw, frapper. — i~ :-ii<j:r;i y t : Uxzx.u.jblx, x: remettre , — par/. 7. y,7co, — p. -x entre les exhorter, mains, livrer; «af. oa ace. ; commander ; annoncer. R. rrapa, è--paco, mettre dans la main. a"oà, napaXo^cwa'.,/. ter. er aller. omettre; t. I pass. « ça, «or. étendre, prolon- T.x.zx-.i-x:/.x., </e n?.27.).c(-(o ev"), Ylxz7.yoyziiù-î-i, f. y,7a), 0J7a, , de -x- rrapa, aùvew, louer. [IapgXcrii&xva /'///". <•> lIxpaTE/tîar.v, ment, instruction. R. llapa).ac()v, R.-y- se montrait. il pa, oxtuâÇu, façonner. avertisse- (t,), er prépa- p. a/.a, , 1 composer :mtpeoxsûo{ rer, R. —a; a, otôuuu. Dapâ^c^c, 6v, adj., incroyable, étrange, extraordinaire. R. sion. vivres. bîtcç, UxzxT/ih, aor. 2 nxpa9c$a>fu, livrer, donner ; transmettre par succession. — R. -7; 7, mept axeûxaa impir. de ovrcç, pnr/. c7e Qapa£t£cu{, ; ren- passer, faire ; voyer. R. rrapa, -•>.-&. Efapa&r^cp», recevoir,adniettre. R. — 7.p a, ^r/cy.7.:. Hopa£t£ovxi, m/*. ; dre t.x.- Ylxzxn/.ux^bi, f. Kott, aor. tVJ.M. par/. 55 imp. de -xzx.- U.X'.. Wxzi^ihri, aor. actiïiofàu llap3'î:T£, 1 er pass. de -x- :. 2 e p. U;.ziS(>y.x, x;, pi. -. de rrapEOo,.. aor. 1 er ; Ilaos&dv, aor. 2 de -xzx^'.hjj.:. e Ilapei, 2 /'. s. prés, de --j.z-.vi:.. Uxzi-.x. x; j), joue. x' :rx ace. S. Ht. p. peut. Uxzi:', , r mou. de rcaoaXauoâvb). I. Flapstui. f. 777.: i7. ''.a ., 1 être \ rup 56 - tut .5-ter à: — pacaf— arri- I. H. 1 - n?' 777.- . I. part, de înip. e, I. dev%- .h, aor. 2 - ni:, -7.77. aor. 1. part. de ~z . -7.7-.:. entier arfj. f : loul . :.:. : nzr., : lr,ut, - ivrk pi en 7. - 7;. - --. -. ' 77 avec liberté - laquelle on parle, franchi R. -7.-7, en face, Ho,, dû : c/af. /,/. d'où tout, ou 7/ï. n. : H« alleraudelij. ., - moy.- - - yr.'l £-7.0:v, p. "' p. 5. ï fiïO»/. p. de : -- .'y p. pr. a " - • -. .or. i . n?: . c/e procurer tir 1er, montra ~ - ln . je 7-?, £, a or. aV -7.-. -. ! I **Xt f. inf. T aor. 7.v, part, de Uxrov*7St$, f. :, | -6.- Eai J] 7.7=1.7.;, 1" de c/or. ri poarrait-ofl] - n^:z:r, aor. z, q UC . - que • -,jp. . miment? pourquoi? memom- la faculté. ; - - : rtiealier.R.s»- nais, on a ^ : — — ; . %, éprouver une teavJon, un tenlimeatqaeleoaque, être affecté de m ou d"aulre: éprouver J. : z - — porter; -- - : y. , aor. y., T7.17., - p. xi'-,, aor. - j-*- 1 frapperai 7.-/_7., bruit. 7.1. «p. IJ7.Tr.:. dt- I. " JJ: n. f. ry.ve l* \\-j..-, n;éirie des phrases, - -%- II«ic du père, des //.. ' -.7.- p.xxz, habiter pn . p. $. nor. l" _ . . -:.: -. pr. i f. Uv.jz-.y.i*'.:^ r.,-.,, ' f _ i -'7/, terme dt rhétorique. :-.: , rendre égal. .-T7.. w, a Je ité . nembn : Darp<M^ 'e. • • : pr fj. r:-;.-, <r moy.; f. moy., f_ pari. moy. de -. 77., f. - p. .- 7.J/.7., mettre fin à, faire cesser. proverbe. in. P.. Moy. ;-»-7--., aor. - :, r r f. ~7.iz:È-avffxttjo», /?. . 4e j. pats. -•-!.. POU. de p adj., épais, uni. R. - m/, de zùim. plat. **. - .7., ;iélOD. i: Tii-: cheville du ni"; m,?., p. mf. motj. du , de -: pied. >m,f. ilm, aor. per- -., . . mf. de f. as», au*. avoir fa: m. R. . n :»f', - j. - ace. t'y P réc. /. mf. de szcfc*. . en&n f. part. moy. du m. : n. armé à dai tasic : — M. R. ta légère. . ad}. y de pel- pats, du rer : — — f.-r. . - autour de : — al- - If. ->, être assidu au- favoriser ; — hono- quelqu'un i —a, suivre. tourner vert : traiter ou mil. :. bataillon de peltasies, de R pr. - I . n p. part, ler ça et là. le neui. pris suùst., • - , peltasle, sol- . a !a fin. — - - prit — 1er petit bouclier. . - — — . prep _ cas : arec le gin. y de, pour : arec Ca autour, en, touchant. 3u#, entourer, ceindre, environner ; re flanqué , de ch ». hache. n ; , . dal. pou. I'erdieeas. faim. diyr. adc., 1 . in. --'*. suader. conlr. de - p. part. -,adr. 9 aa delà, outre, pins n, d'où '. - - = p. part, 4i . ni. - T- instruit, safant. ni- - a<//\, MH X2*}f&«», — R. -:; élit bouclier. -.-•-.. i: . /attacher, être a pauvre, indiirent. *lre dans lu. conduire autour, montrer en détail. R. , d'où . gence. n : - .a, adj. pi. nwrt., . au nombre de cinquante milinqfo le. R :., dix mille. idj. i, - aor. 2 de placer* autour ; placer en faitour, revenir an même . n. - vaisseau - à cinquante ran iquanle,i: sant le : point. R. eu, ramer. . Dr- , p. part. - — . num., cinq, - p. . - '.'-.- Bys, cacher eu II IIET 58 R. couvrant de toutes parts. acr. 1 Ilepîffcetvev, nepipiévM impér. de R. «spt, attendre. , 1 nepivcéu, embrasser dans son esprit, méditer. R. «ept, voie», • — sembler; Moy., penser, rf'où aor. cùwt, av, l' r TUMoÇ) période, R. rhétorique. /. de o£©5j "£-!, IUpuraréco-û, /. r.a», p. Y./.a, se promener autour. R. - = pî, ~x- T6W, f/'oÛ CJJ7-, CV, /. »<»**. ïî-lV.-y.TY'TCOV, oûaa, Ilepfïreffûv, o'v, oor. 2 part. de parmi iaurôicepiiRirray, tombant en contradiction avec soi-même. R. ~ec(, wwrrw, d'où : IL Ileoiiûirro, çs, '(,, pr. subj. riEii-cbr-cç, cv, ad/., très-désiré oïl désirable. R. tteçî, sodée», désirer. TIsç'.aGo?, — /en. pris subst., superflu, l'excès. R. tteçI, wr/e term. flept<rrô, r.:,x, ac/j. èm&afAriV, 1 m. s. gouvernail. eu (tc), Pélee. 6), Ili&afievoç, r,,cv, aor. 1 er par/, Tir,?*, aç (y,), besace, sac. II!e, aor. 2 impér. de ïlté^o, /. s'a», aor. p. ex.'/, presser ; — frir, sïsa, neciToaireiç, évtoç, ev, p. évroç, aor. 2 part, de; er ^ éiJ/M, aor. 1 TTêrenverser ç'.ETp-ya, p. E<p« dessous. R. ttîs!, sens dessus n=c'.TÇc'-o), . , tcé-oj, tourner. ÏIÎET7.'., 5 Yi'Mç, ou e p. (g*, de tcivca. 1 er È-Usa, faire souf- rrivw, -'.vj.-j;., ». le m. tonneau. II'VM, prïWI. Itî», TTSCO, /. TïlOfMU, aor. 2 ê'-'.cv, p. i?éir»xa, boire. nÎTTTto, prim. -=tc), /. dor. tte— 2 Eirsaov, p. tttoj/.'/., tomber. TJurreûaa;, Bwa, av, aor. oguu.su, aor. c), Illraacv, aor. Perse. 1 er IIi<rreuw, /. euff», aor. 1 trrcuaa, p. E-j/.a, ser fier ; — se ?tï- 1 er impér. de Wi-Amy.'.,prim. 7&xd»,f. aaw, er croire, à : s-(- pen- tgigûtg'y -\ wepî iu,cù, ayant de moi une semblable idée. R. xî<m$, foi. eu niTT'/./.:;, où (c), Pillacus. n>.â-'.cç, ou, ndj., oblique. IlXcrçctv, ojvc; (c), Platon. IIXsZgv, ji. de tt/.eîcov ; — pris ade, plus que, davantage, gén. IIXttova, Ileptrroç, ait. p. repiaco';. nifar,;, cj tourmenter. aor. 2 inf. de TT'.cTTE'jcavTE; aor. 2 sw6/. ac£. de wepuaryifM. EÏoT,s, 7T7.ÇC— itrôfvup.at, y. er par/, de ad;., superflu, cv, r', inutile; arec — construire, bâtir. nr.AEJ;, soç H'.cîv, rhc-î—cd, tomber dans ou le 1 ; moy. de — r'.p'jut. roule. I. aor. u.a ., UnS&tcv, pari. ou (r^, hrérava, déployer, n£'r :oy,a£vc;,r,, cv,p. par/, pass. de ccoeco. ' „ * —it rirpuiu, pnm. zï;tw, /. ~r ;w, asaor. 2 fira^ov, ficher ; - tiévu. IUpcvcnaiç, AE ouvrir. tcdî, xp'jTTTw, cacher. er aor. er du ?w. ; — pris ad»., plus, davantage. de woXû;, très-nombreux ou très-grand, le plus nombreux ou le plus II>.sÏ7tc:, *ap. irréf. , noA grand d : no.v la irXeîarei, ma- IIXeÛo, sync. et cotitr.p. lùsuvtt (cx-co). comp. de r.'.nombreux , plus IIXctMv, cv, 9. oveç, plus grand. nXs'cv, p. irXetew. ÏI/icr, a, cv, a<(/., plein, rempli. DXeûaoLtut, a-.:, aor. j.<. y IIaeo),/. tuât», aor. 1 cv i er opt. de e'-àeugx, — p. -i-y.ïj/.y.y naviguer ; passer la barque de Cbaron) tco&ùt&v t7=-aîjx.o); ayant un fait UXe'»;, (iu. plaie, (*)), blessure. aor. 2 7:'/xGGtû f i'-Xx-j-cv, frapper. multitude, fou- ID.t.Oc;, se? (tc), le. R. n>.rv, wXxv bormis excepté, moins que, à si u.x, que cependant, ce n'est ; : si icXw iXXâ, mais cependant, au reste. IlXypcw— â>,/. wcu, aor. 1 posa, p. um., emplir, i~'/:r,- rem- plir. R.T7>./,;r,;, plein. de nXr.aîcv, n. itX»<rtoç; proche près, : oîcv, les parents, les R. voisins. nXc'o;-cO; , oa gation, trajet durant la : (ô), bien à quelqu'un qu'un — c-. xcXvi- amis, les naviga- Traça tcv~àcOv, traversée. R. ttXeo>, ; Moy. et j'ai bien aor. 1 er part. llc.yax;, xsa, av, aor. l or par/. acf. y,, cv, ; aor. 1 er imper, acl. Ilcîrccv, y,:, ll.-.r-r.;, cj (ô), — — auqui exécute — faiseur; celui ; poëte. R. -c.e'w. IIc./.'./.c;, y,, vers cv, otfj., di- varié, ; — de diverses couleurs, bigarré. quel a, cv, ac/j., qui? quel? Ie? Ilotâv, contr. de iroteuv, par/, de IloXei^ contr. de Xeotç, n. -r.-i'/.n^ ou ace. pi. IIoXsuucç, cv, adj., LlXcûotoç, a, cv, adj., riche. riche, de ^BIXoÙTOç, ou (ô), richesse, d'où Pluton. ou de IIc>.'.;, IIcXXx, sw; ». ennemi (r,), ville, iraXûc; — c/e la Etat. prti : ?à ach-.. mXXs, plupart du souvent, atf»., quemmeut. R.-cXXx, /e ?x : guerre. cj (ci, plus souvent, ncXXax.-.:, ira- iraXiç. iraXÉfua, l'art militaire, ricXEu.c:, temps. du m. ; y,,aor. 1 er sw/<j. acf. Dctiioe», m. Ilc'&a, ace. s. cteiçoûç. bien, l'ait. d'oà IIXoùç, y. le (c), qurl- à irauopai^ovfMU , /. «or. I er faouieâfurv, ri&ir,aâj*evoç, le nXcuTcov, tove; du m* z.x/.ôj; , lîacu.xi, au pr. t',7m, être xa— : tu irotâv, faisant ; avec raison, beaucoup, souvent naviguer. nXcjT3td-â),/. agir du mal faire iraieêv, IIXcOv, ace. IIo£s, duel l'aire, e2 -\rj. icoutv, faire iretéa». pli* t.ù.%;, près. o'ou-cû . mmwnxa, IIcïgç, er arfu., p. leur; plein. ~>.e'c;, adv., .' en quelque endroit quelque part. IIc.-'owj,/. no»,aor.fM forantes, 0t. 5., irXcûv aussi long trajet. p. irXe'cç. nXy.pi, tk R. : comment ? Dot, MtV,, fc»< </e îtXe'wv, ?i. ni. adv., d'où IIc'Osv, Xûç, du IIc-îc;, g. s. jeure partie. oj /.•.; fiv- ind nombre. ricXXy',, iroXXCt, ». IÏGXX«i,a.dinn.; ttcXj;. — pris adv.. aie* vu verbe de prix, bien cher — nop 60 nPA du m. ; -—pris adc, beaucoup tzc'/jm kXemw;, beaucoup plus nombreux. du m.; ÎIc/.j, n. pris nrfy., beaucoup ; où iroXù dwro&ovrà, ne s'en fallant pas de beaucoup ; irofià t::àj, beaucoup. IIoj>.).â), cher. R. d. : — Iî:/.'jO£ weuç, boç-c*;, r. ï: c , Pollux. Doàd&uuc?, eu (70), petit Pollux, cher Pollux, dinàn. d'aminé. de trous. IIc>.'j5j;;:,cv,af(/., plein R. 6j;a, porte, ITca'jv, ace. s. de n&pOpucv, cj (ro), péage. Efopcç, cj (6), passage, chemin ; trajet ; moyen. R. tteî- — — pw, p. wÉwcpa, percer. Iloppodcv, adr., de loin. R. arejpp<o, en avant. IIcsousî;, (£0; (r,), robe ou manteau de pourpre. R. irop<p6pa, pourpre. nom, xaoj/. adc, quand ? IIots, adv., un jour, une I. Il ors, TTc.'/.ù:. très-comtrès-embrouillé; très-artificieux. R. srXsxà-, p. II. moy. QoTEpoç, a, t.ïtù.'.v.'j., plier, et iroXu, o. — — • : part, le grand nombre. cv, «d/., EIc>.j!77.px.cr, impôt, dépense. ou adj., cv, qui dure longtemps. R. Xpovcç, temps. vit ttoajç, — se fatiguer. R. irovos, travail. (t.), misère ; — mé- chanceté, scélératesse. R. tt:vnpsç (-o'vc;), misérable, méchant. conir. ÏIcvcûvtêç, r?. p/. de icevsetv, de ttovscvte;, pr. pa?7. de deux IIct:v, IIcpOusIcv, ou (to), bateau, bar- que de Charon, de éttç (é), 0», ad;'., des breu- (to), boisson, vage. R. I. lequel ? où reivtt (tom>), boire. où? en quel endroit? jtoô TTOTé a;x È7T1 OÙ est-il donc? llcù, ode>., adv., quelque part II. II06, en quelque façon batelier, no- ; — — appa- ; remment. Ilcù;, g. iro&o'ç (d), pied 5ïç, par le pied ; vant to pieds les du affaires ; — action, rcD -:- : moi, de- ï-> h wooi, les moment ITçâ-'Lra, btoç (to] 'qu'on soi). , chose, affaire exploit. R. IIpoc^E'.e, éo/. p. jtpatçat, 5 aor. 1 er op/. IIpâ£t;, ea>; 1 action ; e d'où p. — s. af- de faire, npâa<rw, er (t,), ; -pa<7<j&>, p. pas?. iréicpx*jpiai, faire, atr. bÉttw, açw, aor. _/". ETTpaça, p. T.i~z%yv., agir, faire TTCVEû». D&pOfACtfç, tantôt... tantôt. trouve devant DûvÉca-w, /. y,o», aor. 1 er £-:'— v7iax9 p. -r.\-ii:y.t., travailler; ÏTcvr.pta, a; ; fois, répété? : très-char- nu, quia de l'embonpoint. R. iroXûç, îx:;, chair. ïlcXureXxç, éç, fldj., somptueux, magnifique. R. iroXûç, tikoç, ITca'j/p'.'v.;:, — enfin — autrefois; ttoa/.oj, beaucoup, nombreux, fréquent ; grand considérable cl tcgXXu, la plu- r;, où, fleuve, rivière. (s), c=j R. icïwç, action de boire. pliqué, rrc/./.r., de «oûç. d. p/. IIcTaas;, et ttcàû;. IlcXûifcXcxcç, cv, adj., UO.ù;, chemin, d'où Tre'pcç, : y.ijZ>% repârreiv, faire bonnes affaires, être ri îT£7rpa-yttÊ\f«Tiv{j de quelqu'un. de heureux ; les actions "PO npo Mo)j.,-zx<jGcu.x:,f. aor. 1 er -a, m. tlparru, â;:;j.a-, (irpaÇapwv, p. ttî-zxs. devant pnîf. ll-'-fj, convenir, être convena- </« tt; tl } nptsuEvcç, *, ev, pr. pari. lî:i-i, «(/r., avant, auparavant; 0« avanl de o» que icptvîi, : avant que. np'wv, cvc5 (o), scie. n&o, pr^p. r/w ;t'^/7 /e gai., devaut, en avantavanl: ïrpooeD, avant lui :• upo èucû, — ; nies prédécesseurs. IIpcatpEco, tirer dehors. irpo, xlottù. 7:poxip£c<iat-cû(x.«, i)(rcu.ai, cor. 2 ïcaottXo'u.r( v. aimer mieux préférer, — ; choisir. s'en aller le premier- — s'en aller de. R.irpd,airet{u, r. E'.y.'. II. IlpogureXôciut, «, nor. 2 o/v. :•..;, IIçcy.-Esycua'., s'en aller le pre- — mourir avant -y.'j.-ù/)'.: avanl •/:'7.y.'., i'. xùtoû, lui. irpo, , _ npcetXour,v, eu, bto, i K. -;:,;•;/•. 2 de irposwe». II:- :y.,>"avancer. «oj-. npczXouEvcç, 2 de nor. cv, r., II. lïp ts'iro, dire d'avance. R. -:-.', e"-(o. IIpccTipav, a:, e, m?/>. de -z-.-.- II;:r/_c>, R. s'il ïtso, ; />/. '.te, : e-! s'en al- à-;';— LTuerftv, imper, de icpcoCTEtut. IIso3MC&dixvct{u, c.;, c, dominer. II.-;., :/<>. er nor. e Dpce^wpTîaav, 5 p. pf. I de T;:yo> OEtt. Ilpcûex, od»., gratuitement. R. don. n:ciw,r,:, r,, t-;y.vi...aor. 2$itbj. «e -p'.E .;.-., d'où npcïwv, cOca, o'v, «o» npcxaTaXau.6avA>, se vanec de, «ce. R. XauCxvw, d'o» 1 fpyou.at. IIsG2lR0t, Îtw rJpcxaréXaêoi», e;, «o?*. 2 opl. de IIpcxExpîodsu, p. e, - . 2 pmv. d"a- saisir jrpd. /.y-d. oo~. £. i/?/. pntt. «t* T.y.v.y.itù. mourir le premier, précéder au tombeau. npcâoTEtc», eu (rd), faubourg. R. Ijpoa'jroôvr.orx*», — :;', à^T'j, ville. npoëoÂXw, jeter devant, présen-;o', PâXXw. c5aor. 2 ïrpGs€à).ou.uv, por- J/oî/., rrpooa'/./.caa'., /. p.a-., - ;». cv, «dj., manili éfidenL R. Rpeiç, </e R. aïeul, ancêtre. ,:v.7.-., iriw. ri::a-E-.p.'., ter. | rzoocuoitù. Moij., îait K npcJooia, a; (11), trahison. R. *pc&i$uû', tr.iliir. npcsogût, a; ft droit dV.-uperla première place, préséaoce. R. ïtpo, iftpa, si«- Dpccûrcv, R. j naître. n^6S%kcç f n, mier; :Vj ( acheter, i-::j.u.?,-i '°ù f. r> (i), - , ^ imp. Uz'.xu.y.:, ; pr. nprjovoç, tu R. ^ présenter soi, opposer. Uy.^ïZ/.r.u.i/r^ ^ r. rcpaaa*», Die. 1er 61 premier aux dangers, s'eiposer en combattant à la tète de. R. IlpotivSuveûtt, s'exposer le irpa, xiwiycûc». IIpcxpivo), préférer. R. npo, /.:!•/«. npcu.*vTEÛ6fMU, apprendre d*ar> vance par les oracles ;— : , 62 npo iipo R. dire. ropo', jiavTsÔGuat, cob- sulter l'oracle. II;c;'.;j.r,v, scro 3poç,fHr^0. àôcas:gén., pur, au nom de; aai., à, vers auprès, en outre, outre ; ace., vers, auprès, pour, par à, rapport à, contre Çwr.v y.?.- — — : : R. wpo;; recevoir. Moy., wpoîwfiau, /. aoftat, »i, erat, m. 5. promettant une vie heureuse; T-i irpoç Toûra or,: que dis-tu jrpo'çetpu. ; — npoçâff»; amener, apporter ; approcher, présenter. R. ttoo':. a*yw, d'où goût. R. ÏIpGçaxfôjvcu, «or. 1 pas?. i?j/. regarder. R. ïqpo'ç, tion. y; R. choc, irrup- (r,), 7T3c'; p. fij.'/JA», ? moy. fSéëcXa, jeter. Iî^o^c/.âco-â), /. y'gm, «or. R. OGxéo, penser. ~so',-, Iîi:-,5'sau.wv cùbcf, , er attendre, espé- îïpoçe^o'xïiffa, rer. 1 c.'v, aor. 2 par/, de tcocçtos^m. ri;o;îo>.îya aç, , z y aor. 1 de R. wpo';, EILU II. — adorer. R. IIpGçXâ&ô, aor. aor. 2 Sfdyj. de n;c;Xau.Savw, recevoir en outre. R. y,:, r., ~:^';, >.xu.Savt>. regarder, ïlpoç&pauo, wpo'ç, voir. R. opio. Jïy.zv^cu.x:, y, EToe, /. de irprç- qui sert au pr. npGçirciEcuai-GÛu.at, /*. y-rcy.z'. Tein- 7rpGÇ£XG».'!fi6Vxu.r;v, dre, simuler, contrefaire. R. en outre, ew; IIpG^icGcïjo-tç, IIooaraTr.r, gu lïDGçéTstt. r., wpôç, /.o- rcotst», faire, d'où ITpGÇctirwv, cjg-x, ov, aor. 2 pari. ïlpogevg-jxti), r,:, aor, 1 er yoro, vém, adorer. TTso'ç, nsGÇî-.-sTv , «or. in/. de dé- le irpGÇEXôvriGo, p. irpopcejcuvTjxct, se j>rosterner devant, t/a/. on «or. 1 er Hoo^y.-., s'avancer vers. on la satiété icpôç, xo'poç, rassasie- zt.-'sj.'j.'., er de pa»-f. ment. ace; ITis:.^o>.r', wpdîf,- qui rassasie, ilpcçxopviçj s;, aaj., qui cause 2 «o?-. c'y, ÏIpGçxuvstt-êb, /. er en- iV.u.t, voyer. Ilpcçiav, cûsa, à cela? w.oij., Uy.: .r,u.'., f. icpcpiau, admettre, xaoivt ~zz: iatiTcùc Tt8evT£ç, se riç::o>.='-(o, imp. de etc, , llsorisva'., pr. j»/. 2 std>j. tecteur. R. c (y,), , feinte. défenseur, pro- ippo, tomtM, srao,, placer. np&çs'iwa, parler à, dire.R. irpo'ç, E77GJ. npGçnôet, pr. impér. de npoçen, orfy., en outre, encore, qui plus est. R. irpo'?, fn, r». 5. e IIpOÇïïYETffi, 5 p. s. vnp. pass. de inii», IIpGçu6y,u,'., ajouter. R. npoçi05«i), -/,';«, concerner R. p/. pr. d. /. ; — srpo'ç, v./-co iTpc^aasTli, i*. ? par/, de convenir appartenir aller. 7rpo;îr,u.t, f/'où à, à. wp«'ç, tî- 6r,y.'.. IIpGçcpepo, approcher, IIpGçnxGUoi, tt;c;t'.- de 7rpGÇTt6np«. npGçriôet;, aïaa, e'v, parf. de 6eo>, R. ^por, îlp'JçwTTcv, porter à. os'ooj. cj ;'tc), visage, face, figure. R. -s:;, cty, œil. — auparavant; premièrement, d'abord, de npo'repGv, arf»., c iipo nos w,adj n n:;7s:::, a, — premier, antérieur; ou IïpôJTcv, premier. R. tsï, comme \mor de prœ. apOTtpÂodat t p. xtadai, jn/". p. aV estimer plus que, QpoTifxâu préférer à. K. wpo, tumu». r nsoT'.y./.Oc'r.v, r,:, r,, aor. l' ûpt. pass. du pr. 63 adr. } pre- -;-~J>-v), mièrement, d'abord, le Dpcttoc,*, cv, a(/;'., le c/c premier. KpO, COm}>. BpOTtpœ, v/p. 11. , ri7c2;v, eu (to), aile. IItv/Îojso;, mi se précipiter le Y\y/j-ii'.z'j.xo>. premier sur. K. wpo, IItt//.;, È-î, i:, Tbrfi, Ma, av, part. aor A' act.de -y-j-.i\'.-r ij.y.{ù. Prusias, (6), vjny., cv, tlodjyjtût, part, de nûfaç, p. irpoe^uv, l' tt:c_/". avâ), aor. aor. 2 itposqMtvGv, montrer en avant, montrer d'avance. R. t.oo, çam», faire voir, a" où tfe TIstçav/i;, 3;, a Jj., évident, clair; 77çc = //o;r,Ga, s'avancer; xcw, aor. f. — réussir. .^ l Il<V;.x, — ktoî r 1 n jeunesse. j>a^tov, n. a, P(fâu,ç t Paàïco; , peine. baguette. de att>., Pyri- (4), ' [to'), boisson. 11. -'- — aoV., quelquefois; quelque part;— jamais, sans nég. R. w», quelque part, un jour. K0T8, Ilœsc;, eu (c), Porus, Ilœ;, adv., ment //. comment? de manière? ~û; tcjto cr/; quelle : com- dis-tu cela? PAK PxV.m, f. ex, d'où bellement, sans ev, ailj., facile, mes , PAA (x), interro- boire. vco, 77-Jo), nw-cr= guère, dernièrement. ô), qui est de la première jeunesse, adolescent. K. t^côtc;, premier, P⣣c-, eu -i-j^j.-j.:, ov, wvc; (ô), barbe. ,r «,, li Iliwr.v, ac/t\, avant-hier; t'a phlégéthon. p. icoxe^eSptlxa, ^(ops'w, aller. a"un demander, questionner. nop'.<pXe-feô»v, qui prédit l'a- venir, de vin. R.içpo, vru'.dire. r.Sr,, f.pass. ger, franc. ITfwOT.or,:, [4),fond garder la porte, être portier. R. sûX*, porte, wpa, soin. nuvOavcp.at, poét. mééopuu, /. KEÛOOfMU, aor. 2 :'TTjO;;.r,v, p. i«pnv«, , Pythagore. Pythien. (0), etc. IIfl04pflÛvtt T np&y^wpeoj-cb mendiant. mendier. rij'AcopEto,/". tItw, r — PtoléUN af/j., eu, aoj'., Il-jfîaxv, î'v:; /i. irpce^t». Ilpotpirnjç, eu (ô), Pîœdorc. , (v, fesse. r,: Ilwfaytfpaç, co T Tlsvjsiaî, eu c'v, ri, TCTf-^To), 11. ôpp.xw. np:j-3£'.:;Ar,'Ty.:, î IlTOtefUCMC, OU [é) f pat<76>, aor. ier èp: renouveler la santé. R. qui se porte mieux, d'où Peua», y.;, ç, aor. 1 er 510*7. pxï'.v, frâxtcv, ou (roi, vieil habit dé- 64 PAO haillon cfairé, m. poécoç, — ; pièce. R. vi-^f. s. —-prisadi?., ?i. de potttv; plus facilement. Pà:v. l'x^JEcj./. aor. l tr Vho,f. ché des poésies d'Homère que chantaient les rhapsodes; composition de vers héroïques ; rhapsodie, r>/re rfe toute l'Iliade ou de chaque c/ww< séparé. R. parcra», coudre, ù&ô, chant. — 1" âfioeoe*, couler:— s'écouler; dire. R. béa. Pwrr»,/. pty«, aor. 1" Ipp«}*e, aor. 2 âppicpov, i ppwxx, jeter en bas, "par terre! Pûwup, û«, rm». i o«, /. Sû Gt0> ;;>. ( aor. 1 er fppaaa, Pau., Èppâoôr.v, avoir facile. pourri, vieux. Sardana- vigueur, p. Ippomat, porte bien; pi.-q.-p. se' porter bien je me [é), 2:a-aw-5 der le sarisse, longue pique. 2â:;, [tq), 2«Tpocwr<ç, eu (: 27."jt;'v, g7.'jt:j, , chair. satrape. v. ffEouTcu. 2é, ace. cte fû. vénérable; — — majestueux; orgueilleux. Seuvoç, w, 2;-/.s/.ïx, ov, «(//., a; (r.), ov, «c/j., é'co;, y. camus. eCi (d), °'x.» . . ;, " ou (tô), petite Sxacpcç, s:; (rô), barque. barque, R. cr/.x- -tco, p. êgxckpo, creuser. 2/.:"/.:-:, de ecç-ojç Sxsiro, /. cacher. (roi, jambe. e^co, couvrir, voiler, rite. 2cî, c/a/. de Si- Zuo-rcôv, cen/r. deeitaTzds.lv, in/. û'e R. Sxûôr.ç, eu (d), ov, Stvurau;, nope. gar- taire. Sicyone, t\ adj.,de Sicyone. 'V.), r', er Sxarécav, ovos (é), Scipion. Sxs'tgç, ou (d), ténèbres, obscu- Sixuwvtcç, 2. y.:'.;, 1 la Sicile. Sush&y, ô)v:ç 7., silence, se Iv.ù.iv.-t,, p/. 7;?, ûi,pron. rcfl., de toi-même. R. ou, aùr::. Seaurtû, r,ciù,aor. /. , ,<ruMrri, silence. i g». (77.:/.:; la : ioiuftr.act, p. cccr.û-ry.x, palc. Y,', er SOT :v, ad/\, r,: de 1 èppttjasv. j7.va-7.Ac:, eu 2âpi<T0X, aor. peâvrouxu, SKI t., p. Êppaxa, fortifier. Ps<av, pâov, 0. 0V05, cornu, inég. 2xp dégoutterde. ftoss.,pÉfifuu, pTrrwp, :::; (é), orateur, rbélear. — Safipoç, pencher, se por- peudtt, nor. — a^ içpot- héroïques, chantcren vers héroïques, d'où Pa-fM^îa, a; (v, morceau delà- de padioç, plus =Ç w , p. p. wea, faire des vers v-77.. - f ter vers. P-.--7.,adc.sup., très-facilement. r.^co, >- p 2o'/.uv, 2oç, cm, g. (d), orov, ic lien, S:-j. ois c/e «vos la Scythe. Solon. n<7j., tienne. de zit on (le ton, ta; R. orj. ou. — . ITM 2TP 'v, sagesse. R. «rçoç, X< p(a, a; R. a?:?.?;;, armée, conduire, d'où — R. ruse. expédient; (to), ftôcpit», v-.,-.,...^. Ti imaginer, [ô), "»**• ;,r,cv, denl: vain discoureur, - ao<D«, les philosophes. '' / .rr - diligence. se hâter, taire (77., dissension, t/f 1 - pru- sage; arfy., c» * larr/j.-., • .. — • , su p- porter. soupir gémissement, où (6), de . un a ^ | - 2riw>' «v», m. ZTfipeu,/. É9«», s. M. R. y!<î(o,». po«. r.xx, p. er Ècrépexa, Èar£:r,v-7.'., a*r. id. ÈcTEsy.^r.v, priver, frus- aucpây aTcpouuevot, prirésde biens de peu de valeur. trer M „ en0ral R< Itoxtôç, où (ô). armée. « ; 2tu ^« j : , V- W« fel x- J -J, nro/J, lu, toi. ^y,^.;, K. même do arf/. . nab e. R. (ovr) cjv, -nvetaxu, »' i ass ?' P «P*»^»» aflW » *Tau« pardonner. : (to), poitrine, i;r;:v//, ou descendre enZu^pearxbaivM semble, avec. R. c; [«6v). xraoxtw, V. [Jxwu. 2nyta.zx.nlsm, f. eia», enfermer ensemble, avec. R. cjv (afr), étroit. / g rt , ZTtwtÇ»,'/. *Ç«, «or. 1" in**x£x, gémir, soupirer. R. cri- poi- ***!«»• **ï*j acx, av, Zu^xxTxaTïâoxç, 1 er part. aor. c?e en bas, an 2o*pcaTa<n5aU», tirer fond ensemble, avec. (w*)» wwaowflM». R . «*] l'jy.%7ÎGy.:rst,imp. cfo ou-pcft?» trail. couronne. R. Zts'çxvo;, 6u (©), irrevtt, ceindre. moy. équiper. (to), petite bouche, ouverture, entrée. St^xtt.^sw, /. - armée, aV ec. R. a-j*; 77, les «m, «or. 1 er commander une armées, être gêné- <T. >jv), xars-.u:, i\ tlw.ll, cToù So^xaTreaav, Stoux, arc; (ts), h-uche, gueule; -ouverture, (Tom Zrsjfaev, «i batvc». Zuror-suti, descendre ensemble R. ns/Xw, îo-ù.z, envoyer, SrâXeî, ou (•), Hotte. - 1( * ZnwrvuoV. vo'; „ vr timen ttxw. ». ecte/x, contenir; p. , ( -, néral. â Zoçumfe, 1 a ,jj V/> convient Viéral, qui d'où v b rai. sage. loV.ffoa, ar:,- B5 /). s t ô'p.pL lîetaxv, ^ " IttWuxftSâv«, prendre ensemble, aye ^ R roXj ^ . c ry> >>XJJL _ Ç£m x.JU -\{yMt semble. 1SM< f m TÎ. nouer. =; (t)> joindre en- dota p. or». kX«- S$0 2YX CG Moij., ouiurXÉxoiMU, /". éÇo- Zuvstgç, R. moy. cua77î-).cx.x, p. , R. tin. cju. (suk • — — ; — pris impers. est il utile, o-j'j.- r i- r,ysci--:jHr:i en , aux venir mains. Suvôvtjgxm <rju. il avec... R. ouv, au* pa- à q... conjointement JcjcêT. commerce ; — avec. R. cûv, , ctjv, 6vr!<r/.to. aor. 2 par/, de o'v, oûvEaitt. 2j;o'.^ot-op'or, o-j compagnon (ô), éfowto'p&s route, -o'oo:, passage , voyageur. ctjve- lôvetut, être ensemble, avec avoir mourir ensemble comprendre, concevoir, sentir. R. ouv, I7,at. Sjv'r.v, y,:, r.... Ecrav, m?p. dupr. (5&>'ç, S'y/.t:,aor. 1 er g-j-ji^zI-, bon 2 subj. de de voyage. R. cuv, impers.), imp. v. P. ovucpÊpa). aor. 2-jvîr.y.:, 26v, prép., avec, dai. 1-j-i'v.v.v. cûv, eyw. /,, s. , avec. R. QMAGaGCpSU. (G'J'*/, — presser; 5 R. r>;, <rm- de ?>?2p. contenir Suvtciv, 0O0-7., pher ensemble, avec. R. intelli- compren- a'jv(r,a'.. philoso- 2m<piXo<roflp£G>, y. r'^co, raît s, retenir. 2-jvf:, 2 e p. avantageux, importe. R. trau. (oûv), ipsp*». Pass., avu.oiociu.zt, aor. 1 er il — Irrcri/frctj SuppÉpo, porter ensemble. avec se mesurer avec ; être psi, 2u*££«, Trou, rrî/co, , boire. utile e:, ÇESû). banquet, fes- ou [rô) 9 bon dre. S'JVê'çepcv, aa pr. Stmiromcv, — sens prudent ; gent. R. awiTtUA, venir aux y.7.1, se mêler, en mains, êlre aux prises. SofMrXczfl, r; (t.), mêlée, combat. ad/., plein de o'v, iî, SuvTs'ôcix*, y.r, p. s, ; du Suvrïtetç, Ettra, ev, pr. part, 2ùvriÔT}u.t disposer, , composer. R. ouv, . Suvcâr, o'jgx, o'v, arranger, riônut. pr. par/, de au»- E'.a:. 1. I Suvstpca, Epw, débiter. R. buv. /*. aor. 2 Euvsiç, ="77., Év, 2uv£Xàu.ëavov, e:, s, a*e Tj/'r.v.i. m?p. oY' c-j>- >.7.y.Çy.vw. , o'v, aor. 2 pnrf. où , 0-7.. o'v, ensemble, avec. R. tomber <rjv, = y. p. r». E/. venir au même endroit, se rassembler, se réu- iy.iy/;.yj.:, nir. I. 3 e p. s. pl.-q.-p. ouvOvuiorxcd. »£(rrpfltT6Ucv, orpateûfi). aor. e-, e, m?p. f/e trj- 1 er auv- en- faire c'jy.a, semble une expédition, faire la guerre ensemble, avec. R. p. <7J7, C7S7.7EÔtO. ijo-707.7'.wr/;:, ou (ô), 7/,:, compagnon <j70 7.7. .'Ô, soldat. 2ç>âXX«, /. aXSj , supplanter , renverser, abattre. Pas?. ffcpâXÀcjxa». , ao; 2 - , i<7<pàX7jv, . p. è\jcpaXu.7.i, tic pas réussir dans <rûv, ëoyou.a.1. ETrV/ry.E'., de 2tj R. ejo-co, d'armes. R. mi (oûv), de auvécyouxu. 2'jvew.îreawv r G'J CÔ73C, FéXBtt'J, , EarpaTsuast, p. olo, dire. > 2 j<r:s5.7E-j«,/. ; — se 2»eî?, a. arçrâw, p/. de Sçîat, da/. da pr. SfC^&OTïjÇ) r,?;: tromper. de soi. o-j, r;, impétuosité. R. (wc&po;, impétueux. — rxo a; ïyifr.y., radeau, de Z/.s&ov, oc/c., près; à barque, petite (r,), peu près. p. — presque, R. I/o, aor. 2 oy/tv, ttfytà, d'oii ittf. posture, altitude -y. c '- r'> aor. server ; er ira sauver. 1 — lo/.zx-rr.;, ; — Sêpa, i>- K. "^ ($)) loisir, Sun to;-CU( (;', xtoç(to), corps, £«(jaTGÇÛXaç, li- — habillement, parure. gure; t:;./.*-., sain et sauf. i/ru.x, arc^'ro), manière d'être; — ccô™, «or. 1 er fowoa, «touxo,/. I er />.isv. mlr,- I'/.'m, /. voir, tenir à 2/„îîv, c xmi du corps. 7./.-.: </' (6) g., , It. . •!- der. repos. T TEA TAÏ TàfaOsv, p. to à'yaOoy. Taùrdv, :,p. rà-ys. Ti-yaOcj , ;;. toû àyoSoS. Tâepoç, ou Tamx, a; R. bandelette (r,), : toi- via Aeuxri, bandelette blanche, turban. R. tsivm, espèce de tendre. zx àÀXa, />. -x Tàu.ct, p. les autres, du tx/j.x, et au reste. y.j\ : mes i[j.x, biens. Txïtsi V.'; (, , (o), , o'v, Tantale. ad;., bas; - . en désordre. Taùô', p. rrjra, (/a\ uuevojj. tf - 77.077., c/t'i'. î/rtt wo/i aspirée. d. flrfi'., fcm. de par là; cùtoç; — de — cette ro?/. eo;-gv>: (to'), toit. gu|>oi, 7.7777.'., />. ; g/.«. TîOvîw:, p. TiOvr./.cô:, du ni. Tâtoixa, xç, s, p. nef. t/n m., TiOvr./.cô:. uîx, dç, p. a/r. f/« ail. par'. m. Tv.//.;, îc; (7-J), pris ma- mur. Texjxaïpc(*at , fior. 1 |miv, er ir: conjecturer. R. 7. signe. nière. Taurî, que. TitoiÇiatci,/. inf. pass., forme pirée. Ty.ùV, p. Tavnp, Ts, et, covj. qui répond au latin TeOvàvat, p. xvn.\, inf. de Tsdvaa, sync. p. tsÔvt.xx, v. hxzy.iv.,}). 7S7x':://x, trou- b!er, mettre tiès-promptcmeiil. de ftxirro. , 1 Tsrxcpa, enseve- lir. TeOauuot, humble, petit. Taoâaaa f//f. oÎtt», /. a£w, go? er /). Taxée;, ad»., vile, pron. ment. R. ~x;y;, prompt. Ta^iara, pi. n. de vix}<mç t sup. /)m <;</r., ti èsde zx/y;; Try&ç, Tâvxïç, eo; (s), Tanals. TâvraXoç, tu tombeau, tombe. (sj, tairra», vile, TàXnJtii, p. ToràXridîî. reste p. raùro. — TotXavrov, eu (to), talent. TaXXa, fîff. p. 77.077.. TaÙTo'.p. tô swto (icpâ-yua), la même chose /.7.7a 77.J70, en : même temps, ensemble. , T£>.= J77.Î:-:, la (in, pris TsXoç, a, le w, adj., qui esta dernier; — ade, entin, de esç (to), lin: — perfec- , TOI TI0 t>S — mort lion; t='/.c; : -;:: rc Beixx, poser, 7;';.;:, — £s ou t&sç, enfin. a, Tîpâcrri:;, cv, a</j. prodi- , gieux, merveilleux. R. Pass., te':?.:, prodige, fable, d'où (r,), imposture. Tsprrvcç, t., cv, ad;. , agréable, T:;7.7Eta, a; — TspiTtt,/. T3;yw,«or. l £T3 :ya. ( charmer. réjouir, .I/o;/., TepiroAii, x; -/',], TCvov. Tirasse;, a, g. wv, d. Tsasxpart, arf/'. num., quatre. •.',, p. z-j, par t. pass. u, './.p. , Ttaaco-û, /. yrr., art, 1 er i?//. a. pass. de si I. er irt- — — Moy., Ttuup£0{MU - wuai m. s. T'.vâ, a-j7r., gûto, adj., tel, si rwa, 1. T(;, j». Ttç, I ef II. P. e//., 7' 9. rtvoç, ??., pro?j. btdéf.f quelque, queiqu'un ; certain , un ; — — on. (r), toge, robe Ion- âgé. R. tx- aussi grand, turcs, Ttç, m. et f. ri, n. 0. tv/c;, prôn.înterr., qui? quoi? quel? II. lequel ? etc. TiTpewx», prim. rpcM», /. «icw, p. -hzoy/.z inierr., t:;, pron. quelle chose? quoi ? ri 7a èv \hi:n.\%\ comment vont les T-, ». 1 tstÎ{mp6x, — artifice. grand; — >'./.::, aor. honorer, p. combler dhonneurs, de prix; Ttur,, r; (x), honneur; honorer. R. tÎw, peine. TKAttpéto-ô, /. y.tcj, «or. I er èt:ptwaTjffa, p. rET.atiprjsa, punir, châtier; tourmenter. R. R. ts- gue des Romains. Tr.XixsÔToç, t.cco, /. ^ffcaai. eu (0), fourbe. Tr.oswcç, ou s. enfanter. 7t/.7w. Tzyv.rr,; Èfts- (ô), Tithon. prim. 73'y.w, /. reÇto-GttiZi, aor. 2 irzxvt, p. moij. rérwia, par t. pass. T37T7.:£;, a, a//, p. 7É7<ja2cr, aor. m. drvsfiai, z'.viu.z: , f. ÈOwâar.v, «or. 2 nui?, ope», lever. de TpuTKtc». 1v/h-7:iy.'., imiv, : Tl/.tw, de Taoa<77w. Tï7p-j:7T.y.sV-r, 1 p-vax, rspxc{wu, se réjouir. m. s. que -iz- TsTapa-ypivôî, er aor. placer, mettre — exposer. ; Ti0*>W;, eu len.,prissubsi., charmant: plaisir, agrément, de cr établir de , «or. I er p«*s. izzû'ir:*, blesser, Te'-;, »?. de z-i. Tme, m. rf«o#e. Te-, ado. affirm., certes, donc: Athènes? que faitcependant, Athènes? —pris ade, pourquoi? comment? en quoi? Tcutôs, pi. n. de -z\izoi. T«oàV, da\ une roy., pour II. Té, n. de ri?, pron. indéf., Tctoâra, de 7: .:Ù7:;. quelque chose, un peu. T».*aa, a; (t.), tiare, coiffure des Tsrzp, Toi^stpcôv, co»J., don,". or donc, ainsi donc. R. 7c!, Perses. e &ùv. Tiôiaot, a//, p. ntelat, 3 p. p/. -jffltp, affaires à on — à , Tz\-r/i\p-^.r^i,dat. f.de-z'.i^i. Tsôei, p. ttde-n, pr. knpér; de prim. 6;«, /. frnau, aor. Itoyea, aor. 2 Sh;v, p. té- TiOeiÇ, eîaa, îv, pr. part, l'.'rfj.:, f" : T&évuv, cohj., donc, or donc. .:!, vûv, à R. présent. Tet9$fc, s&e, w*e, ad}., celui-ci, — . TPA TfO ceci;— tel, celle-ci. R. telle. rctc£, Si. Ts.ojT:;,ajTr,,oj7o,aJj'.,tel,telle: retour* (s. -eut. y.v-%), sous ce rapport, pour cela; Ta^= -r. ou quelque chose cela. R. rotoç, wtqc. ti retcôro, comme . i,purt. père, paient. TonjÎmvi Q. pl" 'ïi/.'A, w (4), de- y/.ij;. r moy. l'argent. R. tuct«* 1 p. TÎTC/.7., produire. — avoir p. rtroXuvixx, oser courage de. ; — TcXutnpôCi ». i>,adj., audacieux; p.aoj, — Terme. R. toX- d'où aax, av, aor. I er part. To«dt, ace. j. de 5£e. Tc£âpt&, p/. n. de 7'4ap'.ov. 'I'.) u.r,-j7.;, TcÇâptw, cu(t&), petit arc. de l'arc. i/jry.;, Tcagûrog, aûrn, kûctjv, cas de adj., r .j70, — si grand, si nombreux tant. R. toi;;, si prand. vj7o:. To'73, arfy., alors ceux et ror* ; : , d'alors, d'autrefois. Tcû6',p. TeùXaty^irrov, p. ro ï't.j./:n-v*, aor. 2 ft*6/. p'/ I surc — blr>- a7c; (70), COUp; l'y/.j'j.y., R. plaie. , : » , d'où TpaUftOTtOC, OU (d), blessé. Tpa/X/.oç, vj '6 COU, , $01 aor. 2 irpoi: p.737pcç/a, tourner, agiter; lnciiner,pencher;-renverser. £'yw, /". .]/"/. rpsireusu, m. tyeuat, /". de plu* se tonrnei s. ; Tpsve». inus. foÛM». hziivi.%: /". opaucûuxt, aor. 2 topaucv, p. £e£pau.r,xx, p. poet. Js'îpoei y.7., courir, accourir. Tp86),/.Eerw ( cror.1 M àrpEax,p.T8- 7; e/.x, trembler, craindre, a ce. Tptxxvrrx,a.AUf?i.,50.R. 7;£"; trois, xorrx marçtie dizaines. Tpîêow, tro;(&), vieux manteau. Tptëtmov, eu Tpîoîoç, eu (tîI), d'où S. carrefour. (ij), TOct;, trois, vîtim m. ô&ç, chemin, R. tri (très via;). TptToç, r.,vt,adj. % troisième. R. trois. nom. pf. de 0;-;. au Tpoirxtcv ou rp&«9Ù£v,trophée.R. moins. Ts •-//:, mettre en fuite. Tps'raç, cj fi), manière. R. rpirrw, changer. Tpeçii.îj; r. ,nourrilure t aliment, tpsir», Tcùvav7tsv,p. 70 ivavricv, n. (/'iv- pris subst., le contraire; adi\, au contraire. To5t\ p. toôto, Jet', «ne roy. non -.r;,-?., . Itlty. acf. retire», rpaî;, rwrodey. une voy. a$p. avrîcç, de '2 haillon. R. rpi&», user, Tir;:;, cj (à), lieu, place. Tcooûtx, I';a- r„ (lor. ( T'4î'ja7.,7-c;(7Ô),trait,iléche.R. 7:;3Jco(7'.;cv,arc), tirer Tpa-M, t.;, de Tûtn vers, avoir recours à. le intrépide; , iro», TcXaa, r.; (r,), audace; impudence, courage, d'où er ToXucmi-û, /'. ï,îm, aor. 1 irù.u.r.nx, TpemtÇ*, y.; (r, table. Tpaxtofst, oor.Stn/. www. rpûe», blesser, usure, intérêt de O'J — vivres. R.rpé*ç«», nourrir. COUfTOie qui rame. R. rj T:'-rrto7T.p, y;;;; (&), a.?/;. attache Tcurt, a//, p. 7VJ7C. Tc j7:,7Cj7c:;,7Cj7cv casa't > , 1 ouro; TOOTSVÎ, a/f. p. TCÛT6V. Tour*», rcÛTÛv, ras de TV.-//,';, '-Jr:;. la vaisseau. eS 5), roue. lî. courir. 8 - J s to xrn "o j-xco-w,/. vItu, aor. 1 er êtcj-r.77., p. pass. ya, p. TtTpTrr.y.v.:, ;o'^aco-a),/'. T.cw, «or. 1 er ÈTiûr r.7a, ' dans dans (r,), délices, mollesse, volupté. R. Opuim», p. rsrpuopa, énerver. pcwvuaa, m. rpuOecnv, aor. tyran. 1 er ètj- sard, être ; — — par ha- 1 Tyro. (r,}, adj., aveugle. c'v, r', sort, T'r/y.u.:, TV/ûv, commun. aor. roi, etc. hasard, cas fortuit ; fortune, bonne ou ^ : tj'Ico, xôpoc, autorité, mauvaise. R. wflywta, aor. 2 lrouver > d où "ux&v, obtenir, avoir ï. er wk- T'y//., r.;(i), en partage Tu-^ooKa é'yuv (je me trouve ayant), je me trouve avoir ; Tux&âaa tec-coplaisir R. Tuçoç, eu (6), présomption, arrogance, insolence. Troven. se trouver, être — ; TÙp<o, ooî-ovç Tjo'a:;, (6), de Tûpoç, eu (r,),Tyr. opf. pass. de Ty^ra'v», prim. Tcûx«, /. wuÇouuxl, oor. 2 nugev, p Tirùyr,- Tûirrw, /. cr régner, roi, s., pavoç, maître, Ti7jû(7/.oi. un ] eu (6), roi, prince Tupawoç, Tpoqpâv, contr. de Tpocpoav, port. rferpuçat». >.r., e-jgw, aor. T-jpav/Ew, /. ricœ, aov. 1 er fcu- 1 fjorl, r; y.x, TjÇcy.-y.:, s. pawEUini être gouverner, e* mol- la de Tpwç, »d$ lfoy.,TUirrc|i.ai,/. Tupawefa», /. vivre TETp&qnoxa, p. les délices, tesse, frapper. m. trouer. ! tet-jcç*, battre, oûffa, Tu, - 2 opf.; . parf. irf. c'v, de da/J. s. r,, 6, to, d'c>7, dae/ m. ou n. II. Tcô, étu- ao» t-.;, ci, Y tue rnA 'YaxtvOc;, du (g), Hyacinthe. "Yëpiç, ew; (t,), injustice, trage ; — — ou- insolence, gance. 'T- lt,.-, e;, adj., sain ; 5 arro- — raisoneau. »p, o. So\xros (ts), pleuvoir. 3<o, "YÔXoç, eu (éi, niaiserie ; S. — ba- (ô), fils, YXflotTÉw,/. enfant. kow 9 aboyer. Tj.e":, ho???, p/. de g'j. Y-', p. 6-e, dcr. ?o?e uoy. ï-â-p, soumettre, réduire. R. i-'.. ' J-'-,f- bÇg4uzi, s. 'ïïmocgûg), écouter obéir. R. "ïwap^oç, utco, eu (c), avec docilité, àxouo. lieutenant ; R. 6-e, à://-;, — chef. Y-xeyu,/. xeeo, aor. 1 er v~i^x, être. R. yro, xeyu, commencer à bil. otto, m. gouverneur. nuble. Ytoç, cû May., >~'^[J «5tre. (o),armédubougarde, satellite. R. 'ïjraffirtarn;, cû clier ; — ûîto, à<7~i:, 'ï-E:o:y.y.'., û-E'.^e'y.r.v ' -'. /. , bouclier. Eiffooat, aor. 2 soupçonner. '. susnicarL R. nu X, Vilo ïtKOUÀ S, V. 7.Ç, r.aévoî, /,'•', sèment, arec mépris. R pau. y«r/. />• Sirrcpai, voir, despii de ûrr&^upEtt. dédaigne ou occ. K. Ï7re?cpaci>- ». 'V-iTTTr.^acVy e;, aV OTTC- -, ÎJWJ». priser, o» ;i. », voir, njcc pour, touchant 3 "Trop, pré/). ; yen., sur, le — avec 'ï-eicI'y., l'ace, '\-i't -:')f.<j.: — R. sur; — ?m fleuve, etc. mo//. 3/oy. R. V: j-f:, &7tEp€aXXGuai , mettre , /:, «or. r, I de û-ircTapâaa». /'i(\s. et: cj, 'ï-rr/-iri[>.-r;i, passer, remporter franchir. o» poser , 'V-ETapâ/Or,/, 'JTTi'p, !'j7.!vQ. 'ï-c;oa>J'.w, hauteur, déarrogance, r. dessus. R. bm'p, ntaju. addition, etc. [tasser (t,;, uircpoirruc»:. 'ïrapa, a; (y,), hypère, corde de vaisseau; câble. H. :j-iz. Tmp&uv», a; m.. le pr. v. mépris, daio, — en par-dessus, au-dessus ; comp.fbmo marqus supériorité, excès, ! , flOT. :2 er «V j-a- c/e «or. a: './.cuoa. 1 U7TOX£U». 'im^nrat, 5e p. de 'jTTE'.'îcay/.. /. aor. 2. s. sn4>/. » •j-i^o^uv, oX«i(MUj oor. 2 ?». s. 2 de umpoatvw. 'ï-£2oc"/.t,, ri; (r,), perbole : oh si; excès SNIft. ; 'ï-3p^r,iwç,(i), ace. »v, très- flrf/., accablé d'années. R. L-e'o, y/.pwv, vieillard. 'îirepeiot», /. z'.izu.y.: aor. 2 , âanpeûYov, regarder de sa hau- teur, mépriser, rejeter. TireoexxCv», payer pour qu'un, yen. R. 'j~c'3, quelsV., t-m, . s/», tox**, avoir. ïim f prip. à 5 c«5 par, par avec : moyen le de, part de, de, à cause avec le y., de de ; la — le dat., SOUS, par, à cause avec l'ace, >ous, dans, en, auprès. En camp., &*o marque fraude, soumission, de; — — diminution. titué. R. c/., ov, Orff"., Sa>>.c), &ire, subsjeter, placer. •j-H) -'jo),J. •jtw, aor. 2 j hriSuv, revêtir, se couvrir de; se mettre sous. R. fa ^Jvco, Su», entier. 'Yiro£u(u. s'v, aor. 2 par/, ûrr îîTÎOr.a .. 1 p. p/. «or. 2 suoj. — . 'Y-cOs!;, EÎaa, de uTrspsîo». 'YrTiV.-v.:;, ov, ad}., — trop lourd — ; gueil. R. 1, 'ï-oo:).ïy.7.î',:, payer. 'X-izbv.;, Btwt, 'ïirepîd j-.iT/yj.-f. t j-e;oc>.y.v, 2; promettre. R. 0- : — hy- à l'excès. R. uirépj pôXX», p. moy. pi€oXa, jeter. de f. •j-'.Tvr/r.- j'j.'j.:, p. de f. pass. UirsoyjfifJUtt, aor. I e* ifif. •j-sa/.sOr.v, aor. 2 •).-;.:, 'V-4poa:, àax, bw, oor. vieux, : '\-\r;/-éi:y.y.:-: jtte':, trop gros tumeur, orgueil. 'ïtte;:"'./.^:, aau-, aor. 2pa>(. ; plein d'or- fycaC, s'v, de ûir<m(hu»i, d'où dédaigneu- 'Y-s'Osc.;, eu; composition système. — (t,), ; sujet d'une — argument ; — -•1 - ,, ÏMH YilO a??., *Tircu.£iva;, aor. <xv, 1 er Moij., •J-'vT(Gc u.7.•., l par/. de Orccy-o.'., *YmuJmù 9 f. er 1 tvw, aor. 0~ aor. 2 y. ut;o- sug- ûîreôeu.viv, EUEiva, p. 'J-ca£L/.Evr.x.a, soutenir j sapporler, souffrir ; gérer, fournir, produire. 'Y-c-.^>w, sccliapper, sesquiver. R. û-o, opeû-ffo. R. *Ï7rnc;, a, ov, adj., couché sur — — demeurer. attendre, attendre. •j-s, u.ô'vw, le trembler ou de peur. R. 0-o, "Yoteçcv, n. deGcrspc;, pris adv., Tmiacû), M. plus lard, après, ensuite. R. d'où Û77ST=sc.;-'j"£pc; "TTraaaflpc;, cv, adj., pourri, ver- moulu. R. m. utto, G?.ôpo'r, 'Y-;<77ar, àcra, àv, aor. 2 de uird, ûctcoo;, comp., plus en des- s. part, sous, inférieur. 'Yo', p. 'j'S'.^-r.u.'.. 2 aor. "TiTOG^cuivoç, de par/;, a», bler un peu. R. owo, 'ÏTTortOr.a-, jeter trou- kttcd, ; — soutenir le choc. à, R. i'(77r,u.t. Oiro, dessous placer résister 'Yi-O.it, r, ov, adj., haut, élevé -zy.oy.aao). sous, placer en dessous. R. bue, unevoy. asp. îiïto, d*>u. 'Tçtgrujjtt, 0— '.Tyvî'cu.a'.. 'TTTSTacaa'Tto, arrière. R. 6-o',commesupinusdesub. 'riîroimîffcfi»,/. r,;o), se cacher dos, renversé en ècp' Lyr./.cO R. r'.br.n.:. (to'ttcu), : en haut. hauteur. iiy'v:, <i> $EP 5>at5po';, a, ôv, adj., brillant; yif, gai, — de 4><ttY«, /. avôj, aor. 1 er l'çr.va, $aauaxov, remède. $a<ri, 3e sent — on fyy.'jY.w, luire, briller. <Pti$ou.aLi. ; (to), de p. p/. 2 l'çavcv, p. nê&c&pui, montrer, faire voir; neuf., ao?\ eu ©eîorcuat, f. Èç>âv7iv, p. îr£cpa«|Mti, a??, grâce, gén. R. '^y.oy.7.'., raître, se 3/ot/., m. ; — pa- montrer. cpcuv&u.tu, s. <î>a}.a/.po':, oc, s'y, «favspd;, â, c'v, adj., chauve. apparent, adj., rw ©avecw, en apparence; è;to ©cwsco'v, en plein jour, au grand jour. R. oaîvcj, d'où $avrvat, cor. 2 in/, pass. clair, manifeste : vt — did'où épargner quelqu'un, de; — lui faire epei$<â, gne. 1 er aor. s'abstenir épar- — impér. de oe'îco; pris allons! courage! çà donc ! eh ! $î'çc, /. cuuat, ; dire, dire souvent. iccc'.Taar.v, être montré ils Gptjtu, dit, dit-on, Pass.f qpaîvcuat, /". 2 oxvrler ocu.a», aor. 1 Ê<PavÔr,v, aor. 2 tté- poison adi\, iyuo, vtbuùyj. c'iaoi aor. 1 aor. 2 y,'i-;/.y. > f rivîy/.ov, porter, emporter. <ï>3pw, itius. cioi, er Moy. t epéacuai, /". ptasuat er p. nvexa, a», evriw/a, aor. 1 r,vî-x.mr.v, ter,1 m. obtenir s. et : rr/ïcv remporvri-/.% i — — ( cn. l'avantage, j avoir oby.:, 4HXo'cro<poç, ev, adf/., oûpÂt, #•674», /. çEJicax'. aor. 2 ?<puw», p. moi/, irsorcuy» ou irra, fuir, s'échapper ; éviter oci., fuir, rfa icarp&a, patrie : cperaiv être exilé de sa de qu'on doit 4>8UXTc'o;, a, &v, m//., fuir, éviter; •î'-jicaai, — exécrable. 7j, /. cyIio), aor. i èavioTX, inoy. aor. éçàji.r.v, -2 èV*r»,aor. dire -, — ambition ; R. ç tXoç, Ttari, honneur. renommée, bruit, de çâ», (y,), ardeur pour. /»j»f. cr fttXontuet, k; r. oE'jva). £T7.-., ^r/Ar,,*;^,), «l'/v.î, R. ftXoc, wç**j sa^c>se. ^tXcrtiucpuu-oDiMU , /". w:a7.'. briguer les honneurs; iuf. pas*. (ptXcnftcîofat, être vanté, (/'où ; qui s'adonne à la philosophie, philosophe. cr — 73 0>PI <1>1A , 2 — pré- *îXTaroç, «, ui,sup. deytkoç. w <i"!>-p:v, charme pour (to) /<dre aimer, philtre, breuvage enchanté. R. tKàcu, aimer. QXuxTatvo, r,; (t.), tumeur, pustendre , affirmer, (/'où e ampoule. K. tpXû* , 2 p. s. pr. ind. tule <!>•/;, 2 e p. t.pr. bouillonner, produire des bul<t>8sûtt, /m/s. çOaco, /". çOacw, les. r aor. I* eç0a<ia, aor. 2 èadip, $o€scà,/. nau, aor. l er è<po€r,aa, /). Écpôfluca, prévenir, de vanp. îKcpo&nx*, effrayer. H. çc~ frayeur. cer; faire le premier, d'où ;, r $0z<r*$, aaa, ov, aor. i' part. Pas*., çoëc'ouaccûtMU 9 /. er er £<t>bi'fîiu.oL'. ;:u.at, aor. 1 rtdïi<FotMK,aor. 1 éWrohrvy p. f. £' 0î- çay.r.v, WEÇo'fcijuai, craindre, redouter. /j. 7/îOj/. eçÔcym, r <ï>r,;, , — y ( p.def. pass. 1er; — , par- <t>tâ}.r.,r.ç i 'r, r,\ , baiser. R. tàXtmcoç, eu Phlbiotide. folvtÇ, objet d'amour çi'aew, ; aimer. d), «dy\, Leneut., pris snl'si., témérité, bravoure. R. ç(/.s;, wv£uvo;, danger, le péril, /. mot/, du ctt.-., •./.:; (é), Phœnix. 0>:'.?âw-û, /. r.ao, rior. 1 er |ç«- Philippe, qui aime la vie. R. oi>.c-, ami, îwr, vie. «JhXgxivÎuvoç, ev, ar/j., qui brave ov, r,, pr. fiole, bouteille. <M/.r.u7., stTo; t-J), «r-.'/.^'j'.ç, 4>o&ôaottat, crier. 4>6:wr:;, ."c: — Écpôe-yuat téméraire. mora, p. ireçarwa, aller, aller et venir, aller souvent. toveu;, eu; (6), meurtrier, de er èçttveu«ftoveûft»,/. eô<k*, nor. l ca, p, nscpoveuxa, tuer, de *oyoç, cj (ô), meurtre. <l>cl-.;, ri, 6v adj., qui a la tète f pointue. $opa$cv comme (i'ow en bravant le danger, témérairement. <1>{>.:;, r,, ov, adj., ami, chéri. 4>tXerôps'tt, /. t.tw, s'adonner à la philosophie, philosopher,de 4>iXs90<pta, '..; (r), amour de la sagesse, philosophie, de , 4>iXGXiv$uvca;, adv., paa», de odp. , en portant, étant porté. R. c;qpspt*, porter. <T:zI<o,/. ace», aor. aor. 2 Écppa^ov, dire; «I^ac?.;, er f<ppao'a, p. iréçpaxx, — ordonner, d'où aaa, av, nor. Optocre», G/r. ' l er pn?7. inw. ç;(/.w, er éçptÇ», p. *• I îtth. /. i^w, aor. l — , *ÏA 7-i — avoir frémir; çp-.x.a, <t>fi2 reur de. <I>;:vsu-«, hor- <bjG-i,dat. de *ûai*, sw; (x), nature, naturel: fxovj -?; çycêt /yr.Gy.y.va; à--?— ^ ï!iw, /". aor. i<paoy%<rx, penser avoir p. mvpmxi, dans son esprit, pensée;— ^ sentir: |«xpà çpovsîv, avoir des sentiments bas , être humble; çpcvew, avoir des senti- fii-ya ments élevés, --.v'.v, être fier. II. a •V^aor. 4>uYr„ x: , / • 7„ aor# 2 act., p. weçoa, sens pass. ou weM £. .- gj être produit, naître; êt re# Pass. oOsaai, aor. 2 È^r.v, p ^^ $*oxe6ç, - eo»? de (ô), ^éeo »--./.* **«. m («), wa Phocide, ph évasion; fuite, ciikfconrriifr, étant fugitif, , langage ; - langue, idiome. R. cpxp., <pa», M. R. d'où <fc»-™v, cûgx, vt.t aor. Ipart. iï>u>.âG5«, fl/L â-co, /'. a;co, parler. prendre sur &ilj surprendre un voleur. <I>*>?5"o-èô, aor.^ r eVJ>.aÇ*,p.îre«?6^7 a, garder, conserver, veillersur; — observer, oûew xà ife'pousser des sophismes. moy. 2inf. de y.-;.. x {^o, aor. I er &»u<wt, aor. 2 sœuv, p. wsyjxx, produire, engendrer, faire !_ p ary. , ' ©y^. Wj $ntWa par-y., *pov«M», r/ar. p/. m. e£ na<£. ou 3 e p.pr. ind.dupr. 0);cvti':, io:: pensée, médix, talion. M. R. .1.;,-,^, a? (x).Phrygic, de <]>;,;, o t;(d),dePhrygie,PhryT ? '- n , naître, pousser: esprit. . n'ayant pour 'aide que l'excellence de son naturel, (fe Of, , sa ocgm, m. ipâ&Sj le lumière. R. «potoç fjo), <!>&>;, O*. épier. f. s. X XÂP XÀA Xaîvto, /. xavcôusu, flor. 2 a/a-vov, p. xéyrwz, s'ouvrir, s'en- tr'ouvrir ; — bâiller. — forme imper, dus.; salutation, bonjour. X'y.r:ï, (i), Chaldéen. X'/y.37Tc':, x. alj.y fâcheux, pénible, désagréable. a evreç, sant. bouche béante — Le une chaussure pied. d'airain. aor. 1 R. faire ble. 5 ev, #. îvt::, inTr.;, gracieux, agréable, plai- chose plaigrâce, ??e»/., santé. R. y/ir.:, pass. Xa>.x.:-:jr, o£oç, r. tu, ad}., qui *oû$, <ïdi>., la Xowt£cu.ai t /. icejxat, ov, par terre, 0!i — abondamment. Xapûtç, nny., de Chaldée à a«to., humi. Xavâo'v, de er Xaipe»,/. xo», aor. I êyjxpxaa, «ur. 2 l/apxv, se réjouir... rfe XaXîaîcc, eu Xau.aî, er «'/. ijraptaâaxv, p. y.iyy.z'.-y.y.:, loûfjwtt, tfe/. faire plaisir, quelque chose d'agréaM. R. Xapîvoî, eu (ô), Charinus, /t. tar xon Charmolaùs,/i. ndj., agréable- j.ù.:(>:,<ji(i), ., — bleu, azuré. H. jouir, Xï:hv, < visage, aspect. -,i, oeil, Charon. covtc; (6), 0,7:'.: et Charops cj (o), XflcpciCOÇ, Charopus, o/< se ré- /.%••:<•>. s'ouvrir. 7 7.îvw, e:;-c-j; X«p, (il), rf. />/. \ oç .--.-lit-i-ôi, xtooi, main. r.ao), aor. 1 er B. créer. élire, yeîp, retvu, tendre la main ;jow donner son suffrage. w, nor. sîca, XttpoTcvndst;, 1 er parf. ;)as5. Xsîpcuç, 5^nc. m de eono*. eJ ouyzlz'.-iy.;, n. £«{- i/r main. nor. cu9Cu.su, piTiv, I. II. I cv, porfé à /.ax.:'; /. , lyetoucrsî- (mauvais), plus pire f J7.'., a, ;— inférieur, (ô), no?-. de yy.zzu. XEpcïv, 9. d»e/ «, i Chiron. cr ni >;*'•>. , ce donton peut — bien, richcfi — M. affaire. II. «"où Xcr.càaE/c-, r. w, cro)'. 1" wîoj/. aor. f. i7.5r.oîu.Euaa,p. «ypr.crmeuxx, Xfr.oip.Eut*, lûcu*, I être utile, e/e ad/, avanlageux. R. ycrT.;, usage. Xsta, a; (r.), couleur. XpTKP.u.o;,r., cv, r. m. , utile, S. temps, durée. d), Xsûoec;, E'r.,Eov,con<r. cû;,x,cûv, ad;., d'or, Xzjsx, v. R. y;j- fait d'or. inf. moy. </e yj'!;. fl(/j. X'.ïv.;, i/.c: (r,), cù (ô ci, chlamyde, chénix. l 17. ycJ7: Xsucrcepo'poç, cv, de l'or XcoXoç, II. •/, , des o'v, qui habits ypuco'ç, /". ;. flrfj., (pe'ptt, brodés porter. boiteux. ac/j., ywjH, porte tfO/\ I er î amonceler, éleraçcv y/ôcat, construire un tombeau. R. ycc-, monceau de terre. ver; — construire : Xcàpa, a; V,\lieu. place, endroit, er È'y_pr 1 7a, p.Y.i/zty.y., prêter. MoiJ.-/j*Av , et or. G7.,p./.i/o>/.7., niait., mille. ww, aor. pr. le Xsuci&v, eu (V,), Xwv.yy.-., , /". -/?-.: arpent; d'or. manteau. Xpâ'o-<~>, f.iui. Jt. il comp. rap- Xpuaoùç, c-:r, £7. XEtperi, kvoç X;'.poJ7'y.c gi\, XfJCT'.'ç, XEtpuv, XiXic4, e* ').'v. ut. 5. mauvais, s'appropri ce';. /y.y.z<).-j.-.--:J .1/0//., — Xpéwv « ,tn<itfc/.,oracle,dé€re1 du ciH. destin. Xcc'vc:, cj Xi\z'Âo-ô>, f. (««M, réduire en 'son pouvoir, subjuguer. II. yzî:, emprunter; user de; lervir, le on ace.pl. Xcc.x. à: 1. -/y.z bi-i igouffav r.v.p. rfe xiyj^r.tunt t user, chose; f. v/i\z'-Wr.G%, p. xe^etoflvo'wxa, : — Xçry.?., (to), lèvre. Xi-).'.:, f.pasi. tT l Tçx(imperi.),imfi.iyjpiï* t f.-;jpTï- //. ia, arec (to), gouffre, abîme. H. u.y.i,aor. 75 cl Xwcîcv, y.:.f.r.r:- Xhîî», eu [to w (s), . m. »., ffl. |. Je V TET TTX », adj., chauve. r„ •a'rj^MLatvTî;, te; phète. R. Tsi^o; devin, u-âv-n;, Moy.. faux pro- (£), et mensonge, fau s- S ac/j., '.'v, . mine sans poil. seté, f/« l'cûcî»,/. EJCtù, QOr. pas*. p. . aor. 1*' er 1 eÇt-jcraz'. aor. , Vs £t]/E»<7X, souffler. irf. Û nv nos I. Il, hurrj. ration, ô T 0, dut. II. III. Ï2, eu d'admi- et appel 3 "Oîvt:, e p. pi. imp. c I m. ou 77. tK&y. r,ç, r., de heure Sç, j BfEtjti I. — j fleur c- ïha!::, a, cv, acfj.. qui esl dans la fleur de Page ; ïèJupstuG?, su, et:, imper. cf&î»— — bewu ::l/.7.v. 3e "fiiTC, 1 ufara ïîpy^Xffatu.Trv, wÔtow efcôoco, cor. ef ù<yx. Socs, p. iMétt, tVJw,/. er î«?p. (f cî'-U. XI S. T3. p. er pois, wsaxi, aor. 1 Moi)., ù pousser avec violence, chasser. go?'. 1 I/O:, l'Océan. tocEflcvaç, dm (o\ imp. tf «00.21. I.Y>a:r, ou (£), épaule. 1 1 bu&, », c'v, cu/j. cru , . t'inf. ; ;vt7-, les sions ; tî :v II. *ïh, g. pi. de d'vTa, le vrai. -:?, r., S. 'Hvav.r.v, g:, t:, r. Îv:vï,;j.i. fendu», DKt^H. x:, h, r. i".>v;:a7.:-cùp.7.'.,/. <;>v7ca'xv-v, ccxuacv, ït — que afin ; — loi er obte- ci qi • que, pour que. adv., ainsi. .Qr-3; ? arfr., R. U)Ç, ": ** comme, ainsi qut-. u " f r0 .V-» P 0Kr Ï>te, co;;. MM9C i"« ??/. que, de manière a pourquoi, ainsi. : ; H — — ' ôvivy/J.*.. <", bctp, r. ûvsouacL. du m. œuf. n> x, cv. 'Qy.f:,', *o-:'. contr. -, l'opî. comme, de même sorte 'Oy^'arv, ou, et:, rmp. "ilrr.cx, Oî, E,r. 'î}v'-jy.7.'., . arec l'ivd., : nir. .. .::, r «cs«uaa,flOr. 1 — wpusajjL7 r 'fi;r\ acheter: : blement. biens, les posses- o» h\. afki pour, etc. : ù>; y.aâv, de faço» w; de descendre ; à... ; w; -ye, comme par eiemple;w; ixatOw;, bien vérita- , : Ta : dèsque; d tir, impitoyable , comme crudus, crudelis, d'où YWtt,;, tt:ç [«), cruauté. I. "Ov, ouox, w, pr. pnrf. étdyl I cruei er ^07?j. — en "flar.v, — . — «a&r.v, Ja". t- Yîpùw, /. Mt*, p. ko, 'rugir ; se lamen - BC LEXSÇCE at(/'., — paie. ' - • The La Bibliothèque Université d'Ottawa University dernière date volume après timbrée ci-dessous of Ottawa Date due Echéance Celai qui rapporte on Library la devra For failure to return a book on or before the last date stamped below there payer une amende de cinq sons, plus an will son pour chaque jour de retard. charge of one cent be a fine of five cents, for and an extra each additional day. k a 3900 3 00 13 7^5 366 ,J / i i CE PA 4230 D6D5 CûO LUCIANUS, SA CIALCGUES DE ACC# 1184330 • 4VJH L..'l ENVOI PBANCO AD REÇU DU PRIX EN TIMBRES- THEMES D'IMITATION SUE irr PRINCIPAUX AUTEURS ÉLÉMENT AIHES, LATINS Cette méthode, dontf le principe est Vimitation, se ti d'hui 'jila^ée sous un éminent patronage. A un âge où les élèves trouvent encore difficileraenj propre et le tour convenable,, il est très-utile de propos tation les textes qu'ils expliquent. Ce procédé a un double avantage à l'élève, il ol infaillible; pour le maître, c'est le plus simple et contrôles, l'imitation ne pouvant être fidèle, si le tei interprété. : LHOMOND. iniiisj — Epitome historla sacra, précédé des éléments très-sU usables aux commençants, sur les noms, les adjectifs et la] latins, et suivi de thèmes d'imitation, par MM. Hanquez si ne édition. In-18, cart. verbes 1 — De viris illustribus nrbls Rom«. Nouvelle édition, accompagné "taire grammatical, d'un dictionnaire revu avec soin, et augment roenîs géographiques, historiques et mythologirrues; par M. E. Thèmes à' imitation, par M. Rogier. In-12, cart. Tirnelil Nepotis opéra qne supersunt. Nouvelle nei'leur? tex f e?, avec des nn'.es en français; par mit-'iov., pc u v M. R-gier. 1 vu. :n-13. édition collât M. Brach, suivi -art. îabularum libri quinque. Nouvelle è*dition, avec des not La Fontaine; par M. Aubertin, suivie de Thèmes d'imitatio P. i«ûrl fions de 1. vol. in-12, cart. — HEUZET. Select» e profanis scrlptoribui historiœ. Nouvelle é notes et un dictionnaire des noms historiques et géographiques; p et Triaire, suivie de Thèmes d'imitation, parM.Rouzé. 1vol. in-12, — Fables ÉSOPE. (texte grec). Nouvelle édition, avec des notes e Clique, par M. Aniel, suivie de Thèmes d'imitation^ par M. Rouz cart. Corrigés des Thèmes d'imitation. In-12, br. Le jeun» helléniste, contenant les Fables d'Esope annotées et pr méthodiques destinés à faciliter l'étude élémentaire du grec pimitAtm ave? des 'notes grammaticales et uu lexique gre M. Ronzé. 1 vol. in-12, cï cices , — Extraits (texte grec), avec des notes et un lexique gr ÉLIEN. M. Chambon, suivis de Thèmes d'imitation sur les trente premie M. Dumas, agrégé de l'Université, professeur au lycée du Prince-j in-12, cart. Corrigés des thèmes d'imitation. 1 vol. in-12, br. — Dialogues des morts (texte grec). Nouvelle édition cot| avec des notes et un lexique nouveau; par M. Ditandy, s\ d'imitation sur les quinze premiers dialogues, par M. Rouzé. LUCIEN. officiel, cart. Corrigés des Thèmes d'imitation. 1 vol. in-12, br.