Dialogues des morts (texte grec)

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Dialogues des morts (texte grec)
ÎVELLES ÉDITIONS DE CLASSIQUES GRECS
IMPRIMÉES EH GROS CARACTÈRES
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DE J-UiJEN
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NOUVELLE ÉDITION
CONPORUE
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TEXTE ADOPTÉ PAR
L'iTNITERSI
NOTES HISTORIQUES, GÉOGRAPHIQUES ET GRAMMATICALES EH FRANÇAIS
précédée d'études préiiminaii
SUIVIE
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tous
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nouveau
contenus dans
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les
Dialogues
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RUE
39003001374536
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de Thèmes d'imitation, par M.
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Thèmes d'imtiation. 1 vol. in-iâ,
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75
N,
Digitized by the Internet Archive
in
2011 with funding from
University of Toronto
http://www.archive.org/details/dialoguesdesmortOOIuci
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Envoi
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an reçu du prix en timbres-poste
Recueil gradué de morceaux de littérature, prose et poésie exercices de
mémoire), à l'usage des classes de grammaire; par M. MeynaL, agrégé de
l'Université, professeur au Ijeée Louis-le-Grand. (Classe de cinquième.)
Troisième édition, l vol. in-12. cart.
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Dialogues des morts. Nouvelle édition contenant une introduction et des notes historiques, mythologiques, géographiques, philologiques et littéraires; par M. Caroii, professeur agrégé de l'Université.
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Historiae philippicae ex Trogo Pompeio. Nouvelle édition imprimée en gros caractères, avec notes historiques, géographiques et
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Recueil gradué de thèmes latins Extraits des meilleurs prosateurs français), à l'usage des dusses 'Je grammaire-, par M. Georges Edon, agiégé
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Le même, latin et français; par le même 1 vol. in-12. \Sous presse.)
Recueil gradué de versions latines, à l'usage des classes de grammaire;
par M. Meynal. agrégé de l'Université, professeur au lvcée Loiiis-leGrand. t vol. in-12, cart.
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Le même, latin et français, par le même. 1 vol. in-12, br.
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Recueil gradue de versions grecques, à 'l'usage des classes de grammaire.
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Evangile relon saint Luc (texte grec). Nouvelle édition imprimée en gros
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l'Ecole normale, professeur au même lycée. 1 vol. in-12, cart.
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on autorisée par l'Université.
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Extraits
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grec
.
imprimés en gros ca-
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lévelopjtements seuls. In-12, br.
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AOVKIAXOY
AIAAOFOI NEKPON
DIALOGUES DES MORTS
DE LUCIEN
(texte grec)
NOUVELLE KDITION
CONFORME AU TEXTE ADOPTÉ PAR L'UNIVERSITÉ,
AVEC DIS NOTES HISTORIQUES, GÉOGRAPHIQUES ET GRAMMATICALES EN
FRANÇAIS
précédée d'études préliminaires
SI1VIE
D'UN LEXIQUE
De
NOUVEAU
lous les mois contenus dans les Dialogues
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DOCTULR
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M.
LETTRE»,
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PARIS
LIBRAIRIE CLASSIQUE D'EUGÈNE BELIN
RLE DE Y.MGIRARD. N° 53
/
Toutes mes éditions sont revêtues de
ma
griffe.
FA
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Soxnt-Cloa
:
.
—
Imprimerie de
M rje
V« Belix.
ÉTUDES PRÉLIMINAIRES.
VIE DE LUCIEN.
—
DES MORTS.
HISTOIRE DU GENRE LITTÉRAIRE APPELÉ DIALOGUE:
— APPRÉCIATION DES DIALOGUES DE LUCIEN.
I.
Vie de Lucien.
Lucien naquit à Samosate, dans la Comagène, province de Syrie.
La date de sa naissance n'est pas certaine. Ce qui est indubitable
e
qu'il vécut sous les Antunins, dans le 11 siècle de l'ère chrétienne, et qu'il mourut nonagénaire.
Son oncle maternel était sculpteur. Sa famille voulut lui faire
apprendre la sculpture elle voyait là pour lui une carrière toute
trouvée. Mais des le premier jour le jeune Lucien brisa une table de
marbre qu'on lui avait donnée à dégrossir faute impardonnable
aux yeux d'un sculpteur. Aussi Lucien fut-il rudement battu. La
ce mauvais traitement la lui
statuaire n'allait pas à son génie
lit prendre en horreur. Un songe qu'il eut, et dans lequel il vit la
Science qui lui promettait de rendre son nom immortel, le détermina à quitter cette carrière et à embrasser celle des lettres.
Dès ses premiers pas dans cette voie nouvelle, il rencontra plusieurs obstacles. Sa famille, dont il contrariait les vœux et les
espérances, dut contrarier, à son tour, sa résolution de plus il était
pauvre; et si la pauvreté est an stimulant pour l'étude, elle fournit
t
:
:
:
;
difficilement les
moyens
d'étudier; enfin
il
n'avait reçu jusqu'alors
c'était toute une éducapremières notions de littérature
tion à compléter et peut-être à refaire. Son courage surmonta tant
de difficultés. Il devint avocat et plaida devant les tribunaux d'Antioche. Mais son ambition avait grandi avec sa science et son talent. Il trouva plus profitable à sa fortune et à sa renommée d'aller
de ville en ville et de donner, aans tous les pays où la langue
grecque était entendue, des séances publiques de déclamation et
d'improvisation oratoire. Il parcourut ainsi l'Asie, la Grèce et la
Gaule, et séjourna longtemps dans cette dernière province, l'une
des plus lettrées de l'empire. Il passa ensuite en Italie, et s'arrêta à
Rome, dont les suffrages consacrèrent sans doute sa réputation d'habile et brillant sophiste. De Rome il se rendit pour la seconde fois
en Grèce et vint chercher dans Athènes, où il se lia avec le vieux
philosophe Démonax, les moyens de perfectionner son goût et de
compléter ses connaissances. Alors, eu possession d'une fortune
peut-être considérable et d'un nom déjà célèbre, mûri par les
voyages et par l'étude, il se décida, vers l'âge de quarante ans, à
écrire pour la gloire; et le but qu'il se proposa, ce fut de combattre
sans relâche la superstition et la corruption de son siècle.
Il obtint en effet la gloire qu'il avait rêvée. En outre, l'empereur
Marc-Aurèle lui confia en Egypte d'importantes fonctions admi-
que
les
:
DIALOG, DES MORTS,
tt
ETUDES PRÉLIMINAIRES.
vi
mstratives et judiciaires. Là, ses ennemis l'accusèrent de n'être pa»
aussi désintéressé que possible. Il écrivit, pour sa justification, une
Apologie qui nous est restée. Fut-il disgracié? nous l'ignorons.
Mais à L'avènement de Commode, Mis de Marc-Aurele, la faveur
impériale vint encore une fois le chercher, et probablement pour
toujours; car il mourut dans les premières années du règne de cet
empereur, vers 192 ap. J.-C accabléde vieillesse, et pouvant entre,
nom que
voir, sur la fin de ses jours, cette immortalité de son
la
Science lui avait prédite au début de sa carrière.
II.
Histoire
du genre
littéraire appelé
Dialogues des morts.
Lucien est sans contestation l'inventeur du Dialogue des Morts.
Cependani, aussi haut qu'on remonte dans l'antiquité, on trouve
comme des germes de ce genre de fiction. Ainsi Homère (1) fait
converser Ulysse avec les âmes de Tirésias, de sa mère et de quelques héros grecs par lui évoquées. Virgile ose davantage (2). Enée,
son héros, descend aux enfers sous la conduite et la protection de
la sibylle de Cuines, et s'entretient avec les âmes de guerriers
troyens, surtout avec celle de son père Anchise. Apres Homère et
avant Virgile, on avait vu le poète comique Eupolis (3) évoquer,
dans les parabases (4) de ses pièces, les morts fameux auxquels il
prêtait sur la scenedes conversations politiques. Dans les Grenouille*
d'Aristophane, Bacchus se rend aux enfers; et devant ce dieu, à la
fois dieu du vin et de la tragédie, les ombres d'Eschyle et d'Euripide débattent leurs titres poétiques et se disputent le sceptre de
leur art. Enfin l'une des satires d'Horace (5) est un véritable dialogue des morts. Ulysse ne veut pas quitter l'ombre de Tirésias
sans consulter ce devin célèbre sur le moyen de réparer sa fortune
ruiuée par les prétendants de Pénélope. Tirésias lui conseille plaisamment de capter les testaments des vieillards, et lui enseigne
tous les artifices auxquels on avait recours, au siècle d'Auguste,
pour escroquer des héritages. Cette satire rappelle, à s'y tromper,
plusieurs dialogues de Lucien, et notamment celui qui a pour titre
Pluton et Mercure. Mais Lucien n'en doit pas moins être considéré
comme le créateur et le père de ce genre de littérature; car, le
premier, il le cultiva pour lui-même et en fixa, pour ainsi dire,
les lois. En France, Boileau (6), Fontenelle et d'Alembert écrivirent
des Dialogues des Morts. Ceux de Fénelon sont plus connus. On en
compte soixante-dix-neuf, qui roulent sur les matières les plus vapolitique, philosophie, morale, poésie, éloquence, peinture
même; mais la politique y domiue, parce que l'auteur les composa pour l'éducation du duc de Bourgogne, petit-tils et héritier
riées
1.
2.
le
:
rompant Faction
Odyssée, ch. XI.
Enéide, eh. TI.
ment
3. Eupolis, d'Athènes, florissait vers
>e siecie
J.-C.
au ve
siècle av. j.-u.
milieu du
4. La parai ase était cette par'ie de
l'ancienne comédie où
le
p>ëte, inter-
et
en son
,
directepublic.
s'adressait
nom an
5. La oe du liv. II.
6. Boileau 1656-4744);
(1G
G57-1757,;
— Fonlenellc
— u'Alcmbert (1717-1785;.
ÉTUDES PRÉLIMINAIRES.
VII
de Louis XIV (1). Les exemples y sont tirés de l'histoire grecque,
de l'histoire romaine et de l'histoire de France, et les idées qu'on y
rencontre sont à peu près les mêmes que celles qui sont exposées
dans
le
Télémaque.
III.
Appréciation des Dialogues de Lucien.
Lucien passe pour avoir emprunté à Platon l'art du dialogue.
Sans doute l'art qu'il y déploie est grand; mais on peut, sans faire
tort à l'imitateur, le placer bien au-dessous de son modèle. Son
style, pour être correct, élégant et ferme, ne vaut pas, ce semble,
il n'en a ni l'éclat, ni la souplesse; son attile style de Platon
cisme est un atticisme de seconde main, une sorte' de pastiche
heureux. Sa politesse est médiocre, son ironie plus amère que fine,
son rire plus bruyant qu'agréable, ses intentions plus honnêtes que
bienveillantes. Enfin l'on ne trouve pas chez lui ce je ne sais quoi
de sain et de bienfaisant qui circule dans tousles dialogues de Platon.
Au moment où il écrivait les Dialogues des Morts Lucien était
évidemment en délicatesse avec le genre humain. Il lui voulait mal
de mort. L'idéal de l'homme était alors pour lui un cynique, c'està-dire un gueux eu haillons, portant bâton et mendiant, ne voyant
pas plus loin que ce bâton et en frappant indistinctement tout le.
monde. On comprend que dans le cours de ses voyages à travers
l'empire romain, Lucien ait dû être témoin d'une foule de turpitudes et qu ilen ait profondément gémi. Le spectacle de Rome, entre
autres, ne l'édifia pas beaucoup, comme l'atteste son Nigrinus.
Mais s'il était en droit, s'il lit bien de châtier sans miséricorde le
vice sous toutes ses formes lâche amour de la vie, basse cupidité,
sordide avarice, folle ambition, orgueil insensé, superstition grossière, charlatanisme de rhétorique et de philosophie, on a peine à
l'excuser d'avoir méconnu et outragé des hommes tels qu'Aristote,
Platon et Socrate. La sagesse, la science et la vraie vertu ne sont
pas seules livrées aux aboiements irrespectueux de ses cyniques ;
la noble ambition, la vraie gloire ont encore à souffrir de ses injustes attaques. Toutefois l'excès même de son zèle témoigne de sa
bonne volonté; la haine vigoureuse qu'il ressent contre le vice
absout presque ses méprises en expliquant ses fureurs. Voilà pourquoi ses Dialogues des Morts, au point de vue moral, non moins
qu'au point de vue littéraire, sont dignes d'être mis entre les mains
de la jeunesse les quelques erreurs qu'on y trouve, et qui d'ailleurs partent d'une bonne source sont faciles à corriger; au contraire, les vérités qu'on y rencontre sont innombrables, et nul
ouvrage peut-être n'en reunit autant sous une forme aussi précise
et aussi divertissante.
A. Dita>-dy.
:
:
:
,
4. Le duc de Bourgogne était devenu
l'héritier présomptif en 171 1 par la mort
de son père; les Dialogues furent
bliés eu 4712.
TABLE DES MATIÈRES.
Dialogue I"
—
—
—
—
—
—
—
—
—
—
1
II
4
III
6
IV
8
V
10
VI
13
VII
15
VIII
17
IX
19
X
20
XI
23
Dialogue XII
—
—
—
—
—
—
—
—
—
—
25
XIII
26
XIV
28
XV
32
XVI
38
XVII
43
XVIII
46
XIX
53
XX
56
XXI
59
XXII
63
ÀOYKIANOY
AlAAOrOI NEKPQN
DIALOGUES DES MORTS
DE LUCIEN.
AIAA0102
A'.
— DIALOGUE
pr
I
.
Les rois Crésus, Midas et Sardanapale regrettent amèrement dans
les enfers les biens qu'ils ont perdus. Le philosophe Ménippe
répond à leurs plaintes par des insultes, et les poursuit partout
de son rire vengeur.
xroisos
1
,
elaoïton, meniehos, miaas rat sapaanaiiaaoz.
KPOI2.
O'j
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tov ituva waooutouvTa
7)U.etç
*
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n^ouTcov 2 , Mévnncov 3 toutovi
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Errct^àv
vcjv LL£u.vrjtJLSVoi tcov
,
la 'erre.
Ip^aÇevat, opiovsxpoç wv;
tils
pine, fille deCérès.
DI\L. DUS MORTS.
CTc'vwy.cv,
ptiv ouTocrt
s/.ei-
toG /puciou,
3. lfsvnrcoç, Ménippe, philosophe
cynique. On appelait cyniques, dans
l'antiquité, des philosophes qui se vantaient de dédaigner les bienséances et
professaient l'impudence du chien
x&av, x'jvo'c). Ils foulaient aux pieds
tout ce que les hommes recherchent
d'ordinaire : la richesse, la puissance,
le plaisir. Ménippe se lit un nom par
l'ironie mordante de ses satires mèl
de prose et de vers. C'est même de
lui que les satires où règne un
blable mélange se sont appelées Mé-
IfXoÛTtov, Plufon, dieu des en-
de Saturne et hère de
Jupiter, de Neptune et de Jonon. 11
fer-,
r,
tottov.
4
avw, Mt'oaç
Kco'^c:, Cn'sut, roi de Lydie,
contrée de l'Asie .Mineure, fut célèbre
pour ses richesses. Son nom même silie encore parmi nous un homme
puissamment riche. Crésus se regardait comme le plus heureux dos hommes, se croyant pour jamais à l'abri
des coups de la fortune. Mais vaincu
il
et pris par Cyrus (548 av. J.-C.)
l'instabilité
raison
de
qu'en
reconnut
des choses humaines, nul homme ne
peut se dire définitivement heureux
2.
Ixeîvov ttoi xaTa<7T7j<rov,
t.v.c?; ow.('/'ov/.sv -/.al
1.
sur
r,
'cs.
Mfôaç, Midas, roi de li grande
Phrygie, contrée de l'Asie Mineure.
Il eu coûta cher à ce monarque pour
4.
\
DIALOGUE
2
Sap&zvshrcXoç
l
Si ty.ç
i-i-c/à
ry.x;
y-uylC-yr èvwm Se xal
riAOTT.
BîE^.
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s£ov€i$i£eij àvc^cà-o^a )tal 2 zaOapjAaTa
x.ai
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4
A.A7G7,
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TptMpîfc, syco Se
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Kai K^odavovreç êti |/.épw7]VTai
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IIAOTT./'Aaa
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,
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toTç toutcùv GTevavuwHç;
IIAOÏT. OùrtajAwç
MEN. Kal
co
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A.G<rjpia>Vj outcù
•
âXV
xoxigtdi Auaôv, Kal $puy£>v, xal
ytvwcxeTe
co;
avoir préféré les accents de la flûte à
ceux de la lyre. Apollon, irrité de ce
qu'il avait adjugé le prix du chant à
Pan son
donna des oreilles
dane. Midas, élève du poëte Orphée,
rival, lui
ayant rendu service à Silène, et s'étant fait initier par lui aux mystères
de Bacchus, le dieu dn vin, pour le
récompenser, promit de lui accorder
tout ce qu'il demanderait.
vœu
ment
ridicule
On
exprima Midas
,
sait
quel
et
com-
Sons
sa main, le pain se changeait en lingot l'eau et le vin formaient une rivière d'or dans sa bouche. Divesque
miserque, « riche et pauvre en même
temps, » dit Ovide, mourant de faim,
il obtint enfin de Bacchus la permission d'aller laver sa sottise dans le
Pactole qui , depuis cette époque ,
roula des paillettes d'or (V. pour ce
qui est relatif à Midas les Métamorpk.
d'Ovide, p. 154-159 de redit, de M.
il
fat oblige de se réfracter.
;
A ubertin)*
oùx av sÔeV/îcaiat Gracna-
oôoè icducouivou
1.
Zvpo7.v-i-'a).o;
roi d'Assyrie.
7,
evGsc
llou:
Sardanajiàle
,
,
Ce monarque mena une
si efféminée dans les premières
années de son règne que, malgré l'activité et le courage qu'il déploya plus
vie
tard, son nom est resté comme le symbole du prince voluptueux.
2. Kaî, après un mot, a le sens de
aussi,
3.
même, comme
et
en
lai.
T. 'z-rj-i Gpscnvj construisez: tl
cpotaw [cpAvcsç)
TaÙTx
;
que disent-ils
disant] ces choses ?c.-à-d.: que
dis>.
?•
ils là
À/.r^Ti , sous-ent. icpâyjurra :
vraies, c.-à-d. la vente.
choses
des
Xcnçto
àviwv aJTO'JC, riï. à
5.
4.
m.: je me rejouis chagrinant eux, c.-
me
plais à les chagriner, à les
tourmenter. Cette tournure est parti-
à-d.: je
culière à la langue grecque et revient
assez fréquemment.
G.
Kal
7'j,
toi aussi.
aoj, construisez
:
yivco-xsté ^oj
wç
,
DIALOGUE
yàp av
*, a/.oAOjOr.TC'j
l'/jTfi
àv.cov,
I.
xai /.aTa^ojv,
xara-
y.al
yeAôv.
KPOI2. TauTa
ftlEN.
O'j/.
icpoentuvétcGai
OùWtSÇ,
oùy uêpiç 2 ;
KAA
"
EXciva u5piç y,v, a utiei^
â^io'jvreç
,
*ai EAcu8epotç
TOC 6avàTO'J TO
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T.V.Z'J-.'J.-t
eicoieirs
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O'J
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U,VYlU.OV5UOVTgÇ.
ToivapoCfo oiatougTS, TCavriov ejcsivow «©r.pYîLiévot.
K.POI2. IloA/.wv yg,
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r.-à-d. sachez que je ne cesserai
TivSa âv
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Qoucsc^e uÀv
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liMtGoaoH »juîv •
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partout où vous
On
Taûwt oO/
Èvw
jy.i~;'
venaient l'adorer. Au rapport de Xénophoo et de Platon, Socrate faisait
toi-même,
de la maxime : Co;
le point de départ de toute la s -
pensez
irez.
2.
!
itoVacwciç truvstpwv,
vous tourmenter).
1.
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rate Toiauxavc oiawvJtîc 6Traoottsvov.
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-7.'jto;j.ïvo-j,
de moi
3
Oeol, xai y.ôyàlwv )tr/)pwtTfc)V
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MEN. Eùys, outm
rvûôi cz -jtov 4
ttgzttoi
co
o^p'.ç, s.-ent. :rt:
Krr.u.iTtov, s.-ent. à<fmpT,aai,
je suis prive, devant chacun des trois
•'V;S
xnfjiiâwv, xpusoû, vpuepr^.
3.
|
i
:
i. T6 TvwBi caurdv, te [proverbe]
Commis-foi toi-même. Cetfc
ace,
qu'on attribue à l'un des sept sages
de 1
sur le mnr
du temple d'Api lion à Delphes. C'était un principe de
te et comme
un avis que le dieu donnait à ceux qui
que Fénelon, dons son Té~
sait
lémaque,Î2a\
aux enfers.
|
•
La première ombre que
v
re ncontre'est celle de Na
ce
ros
bopharzan, roi de Babylone, comme
Sardanapale* et qui, comme Sardanaregrette lâchement les délipal
ces où il vivait plongé. Deux es
faisant l'office du Méuippe de Lucien,
le tiennent enchaîné et l'accablent des
plus cruelles msulîes. Ils lni reprochent
entre autres choses d'avoir oublié qu'il
ïèUmaqae, liv. xyiii).
était ho
y
,
|
idre le fils-d'Ulj
DIALOGUE
II.
fc
AÏAAOrOS
—
B'.
DIALOGUE U.^
Mercure réclame de Charon le prix de certains objets qu'il lui a
fournis. La somme se monte à peu de chose; cependant Charon
déclare ne pouvoir l'acquitter sur-le-champ. Satire courte mais
vive contre quelques vices.
EPMH2
EPM.
foeiXeiç
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XAP.
aÙTÛv,
Aoyiçwy-sOst
,
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KÀI XÀPfîN».
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3
ftopôfLéG, et ooîteî
,
ÔTroca
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kùQic IzCCoju.vj ti tvss! xutôv.
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/.al œTrpa'Y'w.ovecTeûov.
EPM. 'A.vjajpav évT£iAtftx.évfci Ê/.ou.ica tcévté Jpayixtov 4
xap. noTOoC 5 Xs-Yct;EPM. N?) tov 'AlôojVcV. 6 twv fKVTÊ wvrjcxu.7iv jcal too.
,
T:coTv;pa
o^-Jo
oêoAôv.
XAP. I'. Jes 77ÎV73 opor/1/.aç /.a». oooAouç ouo.
EPM. Kal zxecTpav bizlç too Urriau* TrevTfi
oooActj; èyco
XdTÉoaXov.
XAP. Kat
EPM. Kal
1.
toutquç irpocTtôei.
x'/ipov cb: ï:::~i/).zy.\
'Evj-t,:, .Vora/rc, (Us de Jupiter
messager de Juautres
dieux,
et
des
le père de
piter
ruse,
lyre,
le
dieu
la
des vode
la
et ce Mai'a.
Il
était le
leurs et des hérauts
;
enfin
,
il
était
chargé de conduire aux enfers les âmes
des morts.
2. Xapcov, Charon. Fils de FErèbe
et de la Nuit. 11 était le nocher des
morts auxqnels il faisait traverser
les eaux du Styx. Le prix du passage
était l'obole (environ quinze centimes)
que les anciens mettaient dans la bouche des morts.
3.
4.
El ôoxsl, sous-ent. aoi.
lyj.yj.Coy, drachme, unité de
monnaie chez
les
Grecs. Elle valait
too (J/Caoïôiou
T7.
àvcW-
d'abord 92 centimes; elle n'en valut
e
plus, vers le n siècle après J.-C, que
87, ou 17 sous et demi.
5. IloAAoJ.... la phrase complète
Aiyî:; (xojJUTa:. ai-zr,-/ i/H)
serait
:
icoXÂoû (àf.yup{o'j ) , tu dis (l'avoir
achetée pour) beaucoup (d'argent),
c.-à-d., c'est lien cher.
,
ATdonée , l'un des
Piuton. Ce mol n'est pas sans
analogie avec AîÎt,ç , A'or,-, lladès,
G.
"AïSwvéa
noms de
nom
de Piuton très-commun chez les
poètes grecs. Il n'en est peut-être
qu'une forme allongée.
7. Tpo-torr.pa. Devant ce mot sousent. (.V/r,Ta;j.v, comme devant àxéerpav, xTjpo'v, y./.vjî, xaXtdotoy, qui
viendront tout à l'heure.
,
DIALOGUE
(
yora
G"a;,
xai
vjAoi»;
aV
&è, xal xatao&iov
^payacov aTravTa
<^jo
lî.
Ou tv;v Orapav
2770-//;
2
.
*~-~XAP. Eùve, xal a; '.a raSra
3
(ovr'coj
•
icTiv 4 , et p//i ts, oXao r,y-â; «^AaGev 5 iv
1
*
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«
Aoyiffjjwo. uots o o'jv tout aiuodcocTÇtv or,;
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EPM. TauTa
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-
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Oi
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Epp5j, aouvaTov
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[JreVj
r)c
y.v
Xoiuoç tiç
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ttoàc^o; xaTa-ay.y/, owpoouç Ttvàç.r, evscTat totô xïroxlpoa7
vai
tw
ev
EPM. NOv
ysv£c6at
,
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10
«
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,
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^lûv TcapaTeivoiTO
—y.7\aiol
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1
«—vJavuv
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2
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4
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,
v.
aVay.ro; âV/TTActo.
1
ris
ne n
tou
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•
-jtto
&v-ûoi
•
cou
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XapbW, olaÔa
co
,
oac7.aV.-;o
y,
•
TflV
y.axicrra euvoaevoç
Eouwi. Nuv &' oXiroi. oj;
tô
,
àyevvcT;, oùoè op>ioi ljc£tvoiÇ4.0i
x.al
Ta
TrapeyCyvovTO , KvX-peloi a'rravTcç
xai TpauaaTtat
rraiôo;
*
Auieivov oStwc
to oç/AY.y.a.rnlr.v à).A
olot
,
av àrro toutcov ktcoAocuouu;
63a;, a<pmvo'3vTat
EPM.
8
oùv èySi >ca8eooup.at
XAP. Oux Igtw aAAwç 9
"'
rà TCopOaeîa.
xV/jOet ïuapaAovu,ôV.evov
tcocy: ê^mot]—
yàû aTravrec
îtA21(7toi owTcav
13
^tà
yarl'j.y-y.ryssjG'.v e7Ti£ouA£uovT£ç aAATjÀOtç, cb; soueaçi.
1.
Tk
(txÉpr.) àvior-;-:^.
c.-à-d. les fissures, les
7. 'Airoxspodvat. Devant ce v<
s.-entendez ;j.£, auiquei vous ferez rapporter le part. rapaXoyiÇdjxsvov
2. A-Jo 6ca/;j.(ov i'-avra , même
tournure qu'en français Je tout pour
deux drachmes.
3. "A^.a TxjTa (ôv^trto, m. à m.:
tu as a
s choses dignes (du prix
Nûv ouv èytb xaOsfioOjjLot, m. à
maintenant ione je serai assis,
planté, c.-à-d. me voilà donc réduit à.
9. OÙX eotiv i/>/.co;, s.-cilt. -o:tc-ai. "JSaxtv a ici le sens de: ii es/]
que
//es,
ties) owverfes
,
(
ar-
crevas?'
'
:
tu
y
as mis), c.-à-d.: tu as fait là
un bon marché.'
4.
Tsurâ sonv
|mjv), ro//« ^omî (ce
(icdvxa
que
ât
tàvrjcrâ-
acheté).
AtéXaOev. Ce verbe se construit
avec l'accus. de la personne, comme
son correspondant latin laîeo , es
j'ai
5.
:
ui, ère.
G. 'AOpdbirç tivdç, sous-ent. ivOpciV-
xou;.
(
8.
m.
:
i7
est possible.
JO. OToi,'j(ù't7s,c.-à-d.(lansquelétat.
11. Ttç, S.-ent. àvOcw-o; ~a:
Yvg'rati.
12. E^woY.xcb; [xarôi) x^vyaoTépa,
e»/îe [selon] /c veub'e, c.-ii-d. /e vciUrg
e>î/îe.
13. "A-'jij-z;. Après ce mot
tendez ïcapotytYvovTït ou efa»
s.
-en-
.
,
DIALOGUE
6
XAP.
riavj
-j'àp
TOpiTCoÔY)Ta Igti Tavra.
EPAJ. Oùxouv ouo
obcaiTÔv Ta
III.
B'y&î
oo^aip.1 ow àf&apTaveiv,
mxpojç
ooc'j.o'v.sva rracà cou.
AIAA0F02 T.
—
DIALOGUE
III.
Plusieurs jeunes gens cupides circonviennent le vieillard Eucrafe
par d'hypocrites démonstrations d'amitié, dans l'espoir d'hériter
de son immense fortune. Pluton engage Mercure à laisser vivre
le vieillard longtemps encore et à lui amener ces jeunes gens le
plus tôt possible
ce que Mercure lui promet de faire.
:
nAOÏT.QN KAI EPMH2.
l
IIAOYT. Tov
Xé'vci),
tov
yepçvTa oicÔa, tov
tov irXouGiov Eùy-paTiîv
•/.;.-?
2
w
,
4
LTAOYT.
'Exetvav
yiv,
or':.
3
;
Ti oùv
u Eppi,
5
*Crv
svvcvr'/.ovTa Itêgiv à peëiw/csv è7Ci{xeTp:/)caç
ê£y£ olov ts
s
y,v
Xapivov tov
9'
7î^£iw
x.al £Tt
,
vlov, /.al àstu.û)va
10
,
yeynpaxoTa
ttoioêç yiv oux etGtv, ot
:ov &s ÔvîpGvTEç, TrevTàxio-j^uptoi
EPAT. Nal, tov Stîtuwyiov
ttocvu
:
l'açov, é~l
6
toîç
TocauTa 7 ,
a.).)//
jouç &é ys zoAax.a: aÙTOU,
/-al
touç aXXouç, îtaTaciwa-
cov éçsçt.ç arravTa;.
1. Tov. Ce mot est répété trois fois
à dessein. Pluton désigne ainsi très-
expressément
le
personnage dont
il
parle à l'attention de Mercure.
2. EjxpâTYiv, Eucrate, nom imaginaire , mais s'appliquant parfaitement à un homme riche. R. eu, bien,
un des plus beaux et des
plus riches de la Grèce. Voilà pourquoi
doute Lucien fait de l'opulent
dait était
Eucrate un S;-, yi, ni en.
5. Tî ouv, hé bien?
Er.i, an delà, en sus de.
6.
n eveotx
3
c.-a-d.
le.
'.-;j.'j
-.
toi
.
8.
cui | iww fe
m îMe
une
un très-grand nomhre
Le latin sexcenti, mille, le fran-
-
es.
Eixwàviov, Je Sicyone. Sicyone
était une ville maritime du Péloponnèse, située à une petite distance de
de. Le territoire qui en dépen4.
.
9.
toTaOra, s.-ent.
Evyî (xoûto) olov te
cela
tefois
,
cent, mille, sont des locations
3
A/.av.
7.
beaucoup; v.yj-io), posséder.
se peut,
lit t
DXsiw, sous-ent.
eVïj.
tjv, si
tou-
se pouvait.
.
ïft\.
Xapïvov... A'i;j.cova, Charinus,
Dàmon, noms imaginaires, mais qui
semblent empruntes a des person
10.
comédie. Ces ieunes gens hypocrites jouent, en effet, la comédie
g
'le
ieillard.
.
.
DIALOGUE
EPM.
'A.T07COV XV dO^ÊtS
T1AOYT.
rraôovreç
2
OùpievoGv,
e-jyovTxi
TOTOIOUTOV
(pavôçw*
dy Aa
5*
x.y.1
ÔoTciv
-\wJj:r, Ti;
r}c
r,
'
a7roÔav£tv exeîvov,
VOCOTVTOÇ
,
Kvopâv
tcov
c
Aià TaO-y.
.
reloua
3
èotx&e, epcîoTai 7co^ù
T'-
yr}y tov
IIaOïT.
IoAcco;
zaycov
iv
Oùxoiïl à
avyoyTXTco'
,
tjçict
zyxto; à-oOavovTô;
10
/.a-.
ay.AAov twv
diypYip.ivoi,
oi o
,
y.~o
10. 'Ev ïotot, en
forme
ment de
icpo7ijxov?s{
11. Zcor v
,
s.-ent.
Kal voroOvTo;, s.-ent. ocûtoj.
Génitif absolu.
'3:.
1I
s.
xoXoxefa
-eut. è":.'.
TOÙxcov
7.
aCtoj. Ce génitif est gouverné
itpo',
de npocnctTCù?av.
MoTTivèTt^avovceç, S.-ent. TqTç
yyr' u.y.z: tvj yspovTo:. Posfguaiïl inhwverunt
oj >.hns senis
8.
i
.
;
Twv
Ce gén. est le complément dn compar tîflCO^Ù ui/./.v;.
9.
v£(ov.
eux-mêmes, c.-à-d.
'iv.y.'j
v.av, etc.,
i
ti évtsç , lequel se construit
pd{jxo /xai w
,
Jo/'i.^.
pour
Neveu d'Hercule,
'îo-
fut
il
conducteur île son char et p
quelques-uns de ses travaux. 11 é
parvenu à une extrême vieille?
quand deux
s s'arrêtèrent sur son
char, et ^enveloppèrent d'un nuage
d'où il sortit plein dune jeunesse n
velle. Ces deux astres étaient Hercule et Hébë.
K ocxoV y.'xrxo : inoO av dvxâç,
1 3
.
Ttov iv-
fov.
par
xaxoî
-flOTi
12. 'IoXewç^forme attique
)»ao:,
Ilcoor./.a,
tov
nfe'e, en espoir.
après
ri?
C
eAmoaw
.
c-à-d. d'après quel sentiment, pour-
o.
Çca7,v
î3
e?i
C.
oi
tô yypy.;, ôcnî^p
y.~-/'.'.7:ovT3;. y.:'.;TCjTyv
"2.
Oôo'ev
9'
v&cov
pocxoyrat
y.c-tov Ttov
att. p. totc
-v.Oovtï:,
m. à m.
Ti ykp Èxsïvoi
car quelle cliose ceux-ci ayant sentie,
To'.oj'iov,
3~sattÇc'.- xai oXcoç,
y.iv x7FoouG£{/.evoç
ovcico-o/.yOc'vTX ttao-jTOv
4.
ï-\yy-
Tvavoïpyoi ovt;:. IIoXXàoÈ zx-
7T£i<70V7at
xeivoç eu utaXa ^taêouxo^et oùtoÙç
3.
ptèv
.
EPM.
.
v.j.-ry
û
s
VOVT6Ç
l
tt:o-
-y.':»-
yv pa«J7)' xai ô^caç,
xOavaTOÇ, oi oè rrpy.TTLTo.Ty.v aùrou 7 ,
c)è,
.
tôjv Yprjuurnov
y,
7 a:v (fouXeuovTat
,
£x£Î
op,ax; 9epaTC£uo'j<itv, ev yi
ôuuoç irjctavvouvTai
x.Oy\axeia
vàp
dtxaioTctTOv. T(
7.a).7.
rarov, §rij xai TOMtuTa eùvj^svoi,
tû
7
1!!.
-
morts méchamment ,
dire, morts comme des méchants
chants
<
'
51
DIALOGUE
8
EPjI. A.uiXr,cov,
1
aÙToù;/.a6' sva
IV.
nAOjTcov
gj
»j.s7cAsucoaa'. -.'àp coi
v$r
-
é; ?,;; éicrà Se, oiy.ai, BMTt.
I1AOTT. RaTacrca. O
03
-apa-sy.ya
çxa<rrov, àvri yi-
povroc guOtç TrpojO^or,; yevoaevôç 2 .
AlAAOrOi
—
A'.
DIALOGUE
IV.
Un
captateur de testament raconte à un parasite de ses amis comment, en voulant hâter un héritage, il imagina une ruse qui
tourna contre lui-même et lui coûta la vie.
KAI KAAATAHMTAHy
ZfiHO$A]*TII2
Zlîrs
vas
2ù Oc,
.
ta Ky'/j.'.or.'jJ.OY,
4
071 irapactToç
oicÔa 5 *
KTreirvty/iv,
KaA.
ïlaprjV,
povra
yào
ttèv
Gt7?o9v7Î<KCOVTi [Lot.
To
ZvivocavTÊÇ.
co
l^w
j
Àeiviou TîfXéov to»j ixavoû èv.oy.ywv
Try.p-?,;
7.' OicOa
Tt êyevçTO
wv
à—éOavsç
t;(~j;
,
yàp
Jtai
à
su.ov
G
Trapa&oEo'v
eu itou IlTOtoowpov
toi»
yé—
;
ZHN. Tov
aTexvov, tov tt/.ouciov.
w
8
es
TaJroXXà rçoew
cuvovra;
KAA.
IjaoI
Te6v/î$ecôat. 'Eue!
imà
Kv.O* sva,
1.
tes
9
'ÊxEtvov aùrov âet idspzTreuav, uurtcyvoujjLevov
outres
en
,
lat.
o^è
un, tes uns après
singulos. G p. t a
cause de l'esprit rude qui surmo:
l'e dans Eva.
2. 'A/T. yépovtoç a^.: -ccoO/Ôy;
tfus rursûs admodùm
YEvotisvoç,
'
x
sene.
3. ZTJVO
~.
:
-
:
1
Càllidémide;
naires, comme Astvtaç
Bto.-.v >poç
l'tœjlore.
U
;
."
IÎ7.A-
noms imagi,
bïnïas,
et
.
site
DzpÔTiToç, parasite. Le paraétait en général un homme pau-
vre,
tuel.
gourmand
H
,
paresseux
et
spiri-
vivait à la table des riches et
payait son diner en bonne
humeur
et
i;
[jitjxigtov eire-
en bons mots. Philippe, roi de Macédoine, en avait un nommé C
qui jouait à sa cour à peu près
le même rôle que jouèrent pi
les fous à la cour de nos i6. 01-6-2. Construisez
ol^Oa v&p
.
......
OT'.
A'.or'j-.or,:,
4.
-cayaa
to
êtc*
fflO flSV...
6.
To
mais mon
8'
:
a-£-VL-'T,V.
s. -eu!.
è;j.ov,
affaire,
mon
îcpSyjia,
aventure.
7. 'EyévETo , aor. 2 de yCyuopat,
servant de parfait au verbe r.u-- Induisez par le présent de l'indicatif.
r
8.
Q. adjectif relatif
la prép. crùv
gouverne
de ffûvdvcx
9. 'E-'jao-',
tage, c.-à-d. en
pour
me
mo;',
à
mon avan-
laissant ses biens.
.
.
DIALOGUE
"
:TO,
'JTTcO
7.7.\
IV.
J
TOV TlOttVOV
VepWV
Q
É(,7)
ETTlTOtto'v T!.V»
,
(
ôoôv ski tov
/.">.?
tov
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Û
77161V
•/.•jy.»//.a,
6Toi[/.ov eyêiv
fîClVEl
ZHN.
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oe 70070
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6
TO
:
YeXaç
ve ETaipco avôpi
ïtti*
ZHrs. 'AcTEia yàp 8 ,
Oc Tï 7T00Ç 77.077.
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Htoio-
û
ElClVEV,
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uTCOooTit'x.aîoç
Zvjv^oavTeç
o)
lu/A
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Eîoei-
Kaî uiv où»
;
:/.av.
KaAA'.or.y/'f^/;
O vepWM
77£i70vôa<;.
,
J
;
IÏ?<5tov y.cv 0-277.:
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:o; to atovtoiav
70 YeyeY/îp.&vov, èyeXa
oijJLat,
ô
o
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<Dap«.flOCOV, IlTOtC
EÎTâ
È/.TaoV,v Èx£iu.7iv,
vou VExpoç. Ti tooto
duo
,
eygw, t/v tùv t:o
U.EV
£17.0'.
:,
Oc 70 3t©apLLOîCTOV ETTSOWXgV.
guveiç,
eî
7?apaoo£;ov ipeTv eoucaç,
lyoucav to ©apixaxov,
tAv
KAA.
T».
Xoj(raw.evo6
étoiulouç
x.'j)v'.za;
C',a;.;l; oox,
'
£LLOûiÀùVTa sç
.
xôtô 8 , xaî èmooDvài oùtô*
toivuv
l~i'.
;pa>UGXOc
oeî
II.
q
ETÇlfUCfc)^ 4<">pO?
Tt oùv SY&veTOj Tvavoyap
LAA.
aoTtxa
2
sXe'Jôeoov £7rwu.o<7au.rjV â<p"flaew kùtov,
7ïotr|<7£i,
,
Yaa Œiapixaxov,
Hptatxevoç
èraioav râVicrà
otvovoqv,
OilTfiCrri
owpw
ÈEsupov.
:ov
ao7Ô;
xa*£
cira
:
017'
ys
c
Q i\ oy 00 ; s tp y a c 7 7. t
ZHN.IIay.v
erôat'^xe
ci /.al
11
oooà ce ty.v ettitollov
yàp av coioià t^ç Aco^oVjo
dXiYco
1. T'.Otovo'v,
cTàa'
10
12
c'y:?;; 7:7.772-
a<i<pa}i<77£pov,
BpaouTEOov.
Tithon,
fils
de Laomé-
présent, a le sens d'un passé.
don et frère de Priam. Aimé de l'Au-
6.
AùrCxa [u£Xs,à
obtint des dieux l'immortalité
7.
Oùx
rore,
il
à la prière de son épouse. Mais ayant
oublié de demander aussi la jeunesse,
il
se
de vivre éternellement
décrépitude et s'estima heu-
lassa
dans la
reux d'être changé en cigale.
2. \E-Eiox; 'z-x/px-x, aussitôt que.
3.
AOto,
s.
-eut. cpïpaaaov.
Aousdjisvot.
On
prenait ordinairement un brrin avant le repas.
5. "LToa-.v. Ce verbe, quoique au
4.
drait pas,
-il
av,
il
9.
ru fau-
ne convient pas de.
râc, c'est que.
Ti zpèç nura, s.-ent.
8.
même.
l'instant
Sfia, s.-ent.
sTtte
ou
10. Tf,v È-ntrotiov, s.-ent. ô^o/.
T
11. llxs, S.--?nt. 6 /.7.r,:o;.
12.
A-.aT'?,; (ôÔoû)
?a rou/e gui porfc
par
le
fe
Xswoo'pou,
peuple,
grand chemin.
!
-.1
-
,
DIALOGUE
10
AlAAOrOS
—
E'.
Y.
DIALOGUE
V.
Deux hommes
riches étaient convenus que celui d'entre eux qui
survivrait a l'autre hériterait de ses biens aussi souhaitaient-ils
mutuellement leur mort; mais ils périrent ensemble dans un
Gaufrage. Réflexions sur les effets pernicieux et la vanité des biens
matériels.
:
KPATIÎ2
KPAT.
tov
tty'vj
Moiciyov
2
KAI AIOrEA'HS.
tqv wàougiov
tov
7ïïXo'J<jiqv,
cAx.aoa; eyovra;
'
Kooivôou
èjc
ou avsy-.o;
i-fivbi'jY.cç
4
''Il
,
KPAT.
6
,
«
AptcTeav
,
oecTTOTïiv âcptelç
twv
/-al
j/.èv
6
KpaT-r,;, Craies, de Thèbes, ca-
le vit et l'admira.
2. Moîsiy/jv,
noms
,
Mœrichus ; 'Apuxréaç,
imaginaires.
3. KoptvOou, Corinthe,^ ville
aj-
îtat
«
II
Lfc
l
TCûoa'jroOavot
,
5.
,
si
to ©avepôv
Moipivov
même
pas
o^è
les liens sacrés
Cette parole
d'Homère
6 'Agi-
du sang.
:
« En-
Uve-moi, ou je t'enlèverai. » Iliade,
ch. xxiii, v. 724. Homère met ces
paroles dans la bouche d'Ajax luttant
contre Ulysse. Lucien, en les mettant
dans celle d'Aiïstée, joue sur le mot
àvasfpw, qui, comme tollo en latin,
présente un double sens, celui de soulever et celui d'enlever (faire mourir).
6. Tîvo;
située
à sa position et au génie industrieux
de ses habitants, les richesses af-
turel
fluaient dans son sein: elle comptait
plus d'un Mœrichus et d'un Aristée.
4. AveOio':.
C'est à dessein que
Lucien suppose que ces deux hommes
sont parents. Il veut montrer par là
'
l'or
éîca-
Moipv/o;
me
de
jcàtjpou sve>ca
s.
sur l'isthme de ce nom, entre la mer
de Crissa et la mer Saronique. Grâce
la soif
ÈTTO.c'vc'.V,'
to'j
êsçutoo ttovtcov
de la Béotie, était un philoAtoyévijç, Dlogcne, né
cynique.
sophe
à Sinope, ville d'Asie, sur le
PontEuxin mer Noire), fut le maître de
Cratès. Il vécut d'abord à Athènes,
puis à Coiïnthe où Alexandre le Grand
que
TC^.ûu(7idç
Ta; aiaôypcac
pitale
Aristée,
— oaa:.;
Ta;
K-pa-niç;
EÔepàiceuov cD.V/Tàou;
Tepoc, ToXotiÔTai ovreç,
1.
Aioveveç,
iyo>G<
r,
'
w
J
Aîor. Tivoç svexa
stiÔêvto
,
tov
j
AotGTeaç,
toç wv, oç to 6u.Y)pixov èxeîvo EtCùôei
avaeip
3
ne respecte rien,
dis-tu
£vexa, pourquoi,
cela ?
et
cela? Car il
que Diogène réponde à
disait-il
s.-ent.
non pourquoi
semble plus nala
pre-
mière proposition, qui est principale
et interrogative, qu'à la seconde qui
est subordonnée et affirmative.
to tpavepôv
7. Ta; ôiaOïjxaç k;
!t(6svto , ils mettaient leurs testaits au grand jour, ils se les faisaient voir.
MALOCl'i:
<77c'y.;
TTpoaîcéXôoi gk>to5
s-!
,
cI'tc
eiTe
,
tojv
7.770
Kat q IIvOioç kùtoç
Motptyw
apTt oè
VUV
AIOT. Ti
3
çz-to.
(
Kat
xo'Xaxeta.
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ye XaXoaiCAV TfaiOeç
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|/iv
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Texuai pourvoi to ll&XXov.
uiv ApiGTea Tîapeive to
xat rà xaXavra
SXSIVOV
67C
**
Taura
.
stcrrptov
tûv âvstpaTbW
7.770
1!
aXV/i^ouç uiweooaXXottevoi
Èftepaireuov
:vt£».ç
*
Y.
4
wore uiv
-,
à/./.-/.
îcûoctoç,
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60067:6.
ouv ircpaç èyeveTO,
co
K.paT«çj
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KPA.T.
Ôvtoc
~ySj-y.
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'
.
,
6
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u.iae -'cj.Wj.z' ot oè
xat ©pacux'Xéa 6 TrspiviXOov,
ooi i; Eovoov.ov
vetc
TeÔvàctv
A.u.<ptû
xay-
ou7*yê-
à'v.oco
ouoè Tf&nroTS TTpoiAavTeuoixé'vouç gutco v£V6cÔat
AtaiFÀéovTeç vàp
7ov TTOpov
itXflry&fd
7.770
8
Sucuôvoç
i:
Kippav
tw 'iaram
TcepnrecroVT^ç
,
-/.7.7a
,
avc-
8
7::;-- .77.V.
JiiOr.
Eô
ETC0171COV. HfACÎç
oè, 07rote iv tco ptw
O'jOcV 70'.0070V SV6V00U(JLEV TCgpt S&V/fXît)V
1.
Aùxoû. Ce génitif
est
gouverné
XaXîafov
icaïSeç,
7. Lucien aime à convaincre d'erreur les devins et les oracles.
enfants
frs
77C0 77073
« ccl'bre pour son courage. »
par rcpd de icpoaicÉXSot.
2.
007= CYO)
'
r.y.sv,
;
des Chaldéens, c.-à-d. lés
eus.
Ce peaple était célèbre pour son hatronomie et dans la
bite
divination.
3. '0 HûOioç aOxo'ç,
mc:iv',c.-h-<\.
Heu! va tu m ignare mon les.
(Yirs.
Vythicn lui-
Ta xcftavxa,
le
serpent Py-
les balances.
5. Tefivâsiv, contr.
3
de xeOvdaoriv,
p. pi. du part, de
Eùvd(i.'.ov xa>.
9pa?oxXsa, Eu-
pour csOvtîxowiv,
dvifcrxcd.
G.
-
'.
imagi-
naires, mais qui
semblent choisis à
dessein pour désigner des personnes
honnêtes et dignes du bonheur qui
leur arrive, car le premi
s gui a de bom es m trs o el
mil
i
Sixub>vo<, Slcyone; sur cette
voy. la note 4 du Dial. m.
KCppav, Çirrha, ville de Piiocide, au
pied du mont Parnasse.
9. Tà-'j-,"., Hopi/r, nom de vent.
Il soufiiait de
l'Apulie, province italienne, qu'on appelait aussi Iapygie.
Ce vent était favorable k ceux qui
dit- lie passaient en Grèce. Ainsi
Virgile se ren int à Athènes, son ami
ice souhaite que tous les vents
se taisent durant sa traversée, tous
Mais il
excepté Vlap, i Oi. 1. i, 3
t contraire à ceux qui de Sicyone,
vers
p r exemple, navig
ville,
thon.
.'t.
iv.v.Cj.)
8.
te
A pollon, ainsi surnommé
pour sa victoire sur
£n.\.
!
I
.
i
rha.
.
DIALOGUE
12
'AvticÔevti
r,'j;ay//;v
1
cbroÔavtîv,
V.
w; jcV/jpovoiArfaauu 2
pàjcTUpiaç aÙTûO (etye àè Tràvu Jtaprepœv,
ca y,£ voç)
o'jts
•
,
au,
oijitai,
s/,
xotivou
tt;ç
irotvi-
KpaT7iç, ÊTreÔujAr.ca; xXvjpo-
co
voaeîv aTToOavdvToç êuloO toc îtTflixaTa, xal tov 7Uiôov ,
TTjV «r/ipav yoivucaç'
KPAT.
Ato'yeveç*
crac, /.al
côv
ÔspjAwv eyoûcav.
tiuo
Oùf^èv yap
to'jtcov â$ei
[agi
aXV
*
oipe col,
â
à yàp iy p7,v 4 cure 'AvTicÔevouç sV.atigovo^v;èvw cou, ttcAXco fAsfCco /.al cetAVôrepa Tije IIcc,
âpyviç.
AI O r
3
/.al
-
T iv a TaOra g
.
KPAT.
c
r,
;
77a p y, ciav i^su?
p
2oa>tàv, aÙT-apjcsiaVj aA'/iÔctav,
Gepiav.
Nr, Aia, |ii|£vripuzi z.al tqûtqv o la^e^afAevoç 5 tqv
Aior.
7î7vOutov rcao
AvTio0evouç
KPAT. AAa
oî
/.al
,
col art rcXeico KaTaAwrcov»
twv
aX'Xoi -/i^sAou.v
tgio'Jtcov
jtT7][Aûfc-
tcov, /.al oùoelç èSepaireuev r.p.aç, jcV/jpovopLvîceiv irpocoo/.wv* êç
to ypuciov tw'vtcç eéXeirov.
cïs
AICT.
Eïy.oTO)Ç' où
&vOa
yàp eiyov
G
av
oé^atvTO tac
Ta
TOtauTCt Tcap* vjllwv, oieppuyjïCOTeç û~o Tpu<p7Îç, /aOaTTcp
caOpà twv paXavTicov 7
eç
aÛTOÙç î
eOÔùç,
/.al
cooiav,
•
r,
otéppei, tou
oîov Tt 7cacyouciv ai to'j
cocre et t:ots /.al Èu.£aAAoi t;;
7wapp7iciav,
TcuÔf/.è'voç
r,
aAr/Jciav, èçèmirrev
ouvap.£vou'
créysiv où
AavaoC auTat irapGévoi
, Antisikcne,
pîulofondateur
l'école
de
athénien,
sophe
des cyniques et maître de Diogène.
1. 'Avciaôévr,
;
i
xaraXwccov ,
je
me
,
ce
^soïa-j'e/js,
tqv
aya.it
reçu, ayantlaissé, c.-à-d. d'avoir rmt,
d'avoir laissé; tournure familière à
h
langue grecque.
2. KÂiripovoar^a.a'.. Le verbe xAT,povo{Jib) gouverne tantôt le génitif
j
(îaxTT.piaç) et tantôt l'accusatif [xinj-
6. Ouyàp eîyoylv0a,noJiÀfl6c6fl»l
nbi reconderent,ils ri avaient rien j>owr
jxaxa, plus bas)
recevoir.
,
3. Xoîvixaç, chénix,
7.Tàca8pàTwv>aAav::wv,comme
mesure grecque
de capacité pour les choses sèches. Il
valait un peu plus d'un litre.
4. "A yàp è/pr.v, nain quod decebat
(nos a nôb'is irivicem accipere).
o. aUpLV7jjixi.... o:ao;;7.u.Evo;
<rà
!
'
ua'Opà pàAdtvcia.
8. Danaùs, roi d'Argos, avait cin-
quante filles, qu'il marteaux cinquante
bis de son frère Egyptus, mais en leur
commandant de tuer
leurs
époux
la
DIALOGUE
ETCavrXouaai.
TiTw'jTrr.iAc'vov tt'/Jov
1
ovuçi xai
TOV
0*1
43
To
oè voudtov ôOo'jci
OOx.oOv r ;x2Î; piv iÇouiev xâvraGôa
tcv TCArô-
*
;
ôoOAov v.VyjGl XOp.U,OVTEÇ, Xat TOUTOU
r}è
/.ai
ar.yar?, iouXaTTOV.
7ta<ry]
KPAT.
VI.
àyû!. TOU
7TOp6(Z.é(i)Ç.
02 z
AIAA01
DIALOGUE
VI.
La beauté ne mérite pas qu'on lui fasse de grands sacrifices. C'est
un avantage périssable et qui ne nous suit point aux enfers. Là,
laideur et beauté se confondent dans une commune horreur.
MEMIH102 KÀI EPMH2.
/
M EN.
IJou
Çgvav7i<rov
a-obAcyov,
G^rdXij
co:
;ao».,
77.
fcTTi
4
jN'acx.'.cao;
même
xxXoï
ol
etoiv,
,
m
Msvtinre
deçia
du
mariage.
percés.
Kdvroûtbt,
même
ici (dans les
fondateur de l'école cynique, disait en effet : « Les
biens dont il faut faire provision sont
ceux qui pourront surnager avec nous
après un naufrage. » (Diog. Laërce,
De Antisthène, vi, 1.) Le sage Simonide venait de faire naufrage, et
seul ne s'inquiétait pas de sauver ses
1.
enfers). Antisthène
richesses.
,
Quelqu'un
lui
demanda
:
SimoDnle, tu ex opibusnilsuniis tuis?
Mecum,
inquit,
mea
,
zi
xgcÀxi
,
sunt euncta.
(Phèdre, I. iv. Fable
de M, Anbertin )
M,
edit
ymz
tt)./,v
w
Ecy.v
;
kcêivo kuto
ëvoa o rajcwooç
5
xai 6 N::2'j:
Toutes
obéirent, excepté Hypermnestre, qui
« glorieusement désobéissante envers
un père parjure,» comme dit Horace
[Oa. 1. m, 8) , épargna son époux
Lyncée. LesDanaïdes furent condams, dans les enfers, à la tâche impossible de remplir des tonneaux
nuit
3
us vÉ7)Xun ovra.
EPM. Où
xal 6
#è
,
jtai
3
tî
ectti
'AyiAAeùç®,
xal
Sophocle a dit aussi
a La piété suit
les mortels au delà du tombeau; qu'ils
vivent, qu'ils meurent, elle est im:
périssable. » [Fhiloctête, v. 1442.)
2. Q; è-l xh SsÇict,
un peu à
r
droite.
3.
TaxivOo;
Hyacinthe, jeune
grande beauté, qu'Apollon tua par mégarde d'un coup de
palet et changea en une fleur qui porte
son nom.
4. Nrfpxiovoç
Narcisse. Ce jeune
homme, en se mirant dans une fontaine, s'éprit tellement de sa pro]
beauté qu'il mourut de faim et de
langueur sur ces bords dont il ne
pouvait se détacher. Il fut changé en
narcisse. (Voy. les Métamorph. d'Ovide, 1. m, iv, édit. de M. Aubertin.)
5. Ntpeûc, Nirée, le plus beau des
Grecs après Achille. Il fut tué devant
,
homme d'une
,
Troie.
C. 'A/'./.A-.-Jr,
Ac/<&e,Gls de
la
Né-
t
DIALOGUE
li
Tuow xm
1
EAc'vr,
2
3
/.al Ar.'oa
,
VI.
*ai ô'ao>:t7. aV/aîa /Allr,
,
TravTa.
EN. Oatâ
Ta
ou.ota
EPM.
iLa^ouct,
7roXXa.
K.<H? uwjv
êxeîva ègtiv, à içàvreç oi icolirrat Oau-
T/ ôarà,
ôjv
MÊN. bpûç
yvowjv eYû>ye
EPM.
ôaû, xal /.pavta, twv aapxwv yuj&và,
[jlovov
cù ebucaç y«aTa<ppoveîv.
EÀA^oç,
/.al
yàû «v xat c j
:
xat
E-rcet
Thétis
Phthie.
réide
1.
âfujpt
-ra gvOi]
et
Tupw, Tyro,
de
tosoutoi
Mévwnre, Çôcav
co
ctvep.scryjTov
;7ça ovTa
Pelée,
roi
et
de
de
fille
Ea£vt„ Hélène, femme deMéné-
la
;
yuvaTxa
givau
Ttç pAeiroi aitobebAïjxora
beauté de
la faiblesse et la
Que sont devenus,
la lai-
fut prise et livrée
Priam
fut égorgé
que
villes
villes sur
On
sait que Troie
aux flammes, que
le territoire d'Ilion.
d'Achille, et
Achilli
détruit douze
maritimes, et onze autres
par
les
Pyrrhus,
fils
membres encore
vivants de sa famille furent réduits
en esclavage: tout cela pour Hélène.
0. 'A vejjLéTïjTov, pardonnable,
sable. Le vers qui suit est tiré de
s'écrie
saint Basile, ces généraux, ces satra-
pes, ces monarques? Ils ne sont
nlus que poussière, ils ne sont plus
qu'un souvenir. Quelques os, voilà
ce qui reste d'eux. Penclie-toi sur ces
tombeaux, et vois si tu pourras discerner le pauvre du riche.... la force
neuvième année du siège
vantait d'avoir
roi
«
s
5. Le siège de Troie ayant duré
dix ans, on peut juger combien de
Grecs et de Troyens y périrent. Dès
de Salmonée,
3. Aif&x, Léda, mère d'Hélène, de
Clytemnestre, qui épousa Àgamemnoo, et des demi-dieux Castor et
Pollux.
4.
x,ai
deur. » (S. Basil. 110:/.. >.oy. ut.)
de Sparte. C'est l'enlèvement
d'Hélène par Paris, fils de Priain, qui
causa la guerre de Troie.
.
G
T7jv
eç
pvai/.l ireXiw xpavov âX-yea iraff^eiv.
roid'Élide.
2.
EAAtjveç tô
6ire<iov
TroXetç oèvaaraToi y£yova<Jiv
'aXa' oùx si^c:,
Tc.yî'
E/ivr, êffTiv.
ai yiAia-. v^eç 5và touto STï'XTiptoÔTiorav
papêapot, xxs TOffaurat
£07,;
£ia-
-ràp ày
.
Erra
v.-j.Gr,; -y,;
&et£ov.og
4
ToutI tq xpaviov q
MEN.
EPM.
pi
Elire*
Tr.v
Homère le
Ylliade
(en. m, 150
place dans la bouche des vieillards,
qui du haut de la tour des portesScées
.
contemplaient Hélène avec admiration
et le Mercure de Lucien le répète assez ironiquement.
:
j
DIALOGUE
Trv Baoviv,
A.vaioi
os
airavÔouvTOç
icoç
EPM. Où
re,
ayo///;
et ar,
8ai>fz,*(,a),
rjuvis-
dXi'Yoypoviou xal
oîhrtoç
7tovoCvt5<,
ù
lloi.
Me'v «nre
auut.©tXoGt><petv
.
ëmXe£au.£voç totcov evôa xv è&sV/îÇ,
ueaurov.
Xû>v
a
Eûp.7J,
77p7'yy.7.7o;
Tcep»
5re uivroi avôêî
Inivi.
v.y.'/J.'.'j-j.
AIEN. Oùxouv touto, ô
'
13
dVXovoTi ixùtw ooçei
otu,op<pa
xal êvet T7,v ypoiy.v,
cav
VII.
Eyoo as tooç
7.a).vj;
vêxpooç
cot*
xsîao
xaxaba-
r/jr,
pUTéXeu-
coaat.
AIAA0F02
L'homme
H'.
—
DIALOGUE
VII.
plus sage peut tenir en public de beaux discours contre
la mort, mais au fond la mort l'épouvante. Le cynique seul n'a
pas peur de la mort, parce qu'il a dédaigné la vie.
le
MESIIinpS KAÏ K.EPBEPQ2*.
MEN.
Ci
coto; orr,
%
tt;
6i7cé
pot, Tïpoç
m.
à
ttovoOvt;:.
n'ont $as
s
se
doH/ianf de /a peme, c.-à-d. gu't7s
se
s'<7s
aient,
-2.
les
etc.
Tv.oiojr-i-x/QvjvTo:.
beaux vers de Malherbe
Comparez
:
Et, rose, clic a vécu ce rfuc"vivent les
[roses,
L'espace d'un matin.
{Ode à Duperrier sur_ la
mort de sa
et surtout ce
fille.)
passage de l'oraison fo-
d Henriette "d'Angleterre par
suet : « Madame a passé du matin
ire
au soir, ainsi que l'herbe des champs.
Le matin elle fleurissait; avec quelles
grâces, vous le savez
le soir nous
la vîmes séchée... »
Kép6spoç, Cerbère. Ce chien
:
fucux, chargé de
h
guide
•?
-
ziyJ.
tyjç ^t-jvo;
qttotô xaryfsi 77:0; uy.7;
El aï, z'sr.zz'Vt
1.
m.
-j •-:.;:
Kiç-.i
<1qs
4
,
(JOt,
XUû)V koÙ
oio; r v ô
^c-j/.ca-
(
sixo; oi ce, &ecm ovto,
enf'
.
it
trois tètes et
iàtj
une queue
de dragon; son cou était hérissé de
serpents; et de sa gueule, comme de
celle des vipères, dégouttait on noir
venin.
4. Ilpèç -r,; Etvyo'ç, par h Styx.
Le Styx était le principal fleuve des
enfers. Les serments 'qu'on fais
par lui étaient inviolables, non-seulement pour les nommes, mais encore
pour les dieux.
o. Skoxfdcrr.ç,
SocnU, célèbre
phi-
Le
premier il enseigna la
morale comme une science, en lui
donnant pour base la connaissance de
soiIl se fit de nombreux enois, et finit par succomber sous
leurs accusations calomnieuses.
11
losophe.
fut condamné
•COav. J.-C.
a.
Loire la
ciguë,
l'an
DIALOGUE
46
/.TcTv [LOVOVj
KEP.
aTp£7TTfc>
ecTcoctv
:
toOt
;
,
iy.yryy.i
m
2
iov/.u
XOU WOOCigCÔûft T.
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c'„coj
aùro? oaxct>v
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X6>veiu xaTEG7?aaa tou rçoooç, ôinrep Ta
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.
tov £oepov, jmcygj
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w Mevwnre
TTûQGCtMta 7?pO<7L£VCU
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VII.
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3
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zv6pct>7COç Jv, fcal
oux
ocày.'
4
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i~i'-iz àvaYScatov objto éaipa,
XfltT£-
DpQKTUVSTO, 0)C OTjOeV QWC OOCfûV 7b£t<70U.&VOC Q TT/IVTCO:
-:..:/.
,
w; QamaTOvrat
oï Beoctou.
Kai
:
oXcoç, reps iravTwv
V£ TOV TOIQ'JTGW EHSeW KV E/OlfÛ 5 , &&>Ç TOU GTOfUOU TOÀUTjpot /.ai avdpEioi'
MEN.
E*yw oè irôç
KEP. Movcç,
to
yevuç Tcpo cou* oti
aTracxv
1.
Il
avec
sot
Mevtimre,
y./,
à;*/.oç
sbo;a;
to3 vivouç 7,
Ato-
/.al
v.y/)
ôjOvj-
'.
s'agit
des disciples et des amis
-
nte s'entretint
S
-
.
.y-ù:ô:/ji*rj.'.
ava'yîcaÇo[ievot egiielte,
dans
sa prison le jour même de sa mort, et
qu
ça de consoler en leur prouvant l'immortalité de lame.
2. Construisez xdéyù Saxùv i les
j
;
èÔe^ougioi, y£)iavT£ç, oip.<o^£iv roxpa'yyEiXavTEç 8
aXV
[xevotj
Ta o evoouev, ÊAfiYyoç zxpibiiç*.
:
Ta
5'
fv8o6ev (è<rriv) SXsy/o;
à m.: ma>'s les choni-i'de
dedans ( sont ) une pierre de tou
te, e.-k-d. maïs on ne les
6.
a/.r.o/:,
m.
.
6/«î (/xe lorsqu'ils sont enti
7.
'AÇtaK to j yévouç, m. k m.
:
es entré, d'une manière digne de ta ra-
léX'Xovca et» tô> Kcavebp. L'effet
de la ciguë était de glacer et de raidir
ce, c.-à-d. en vrai cynique.
les
membres. Quand le froid avait
gagné le cœur, le condamné mourait.
Lucien suppose plaisamment que l'om-
8. OtyuàÇeiv xapayYeiXacweç. Les
Grecs disaient également Xéyu ou -aysXXio ro'. oifuoÇeiv. Cherchez o .p:
bre de Socrate était tout engourdie.
3. Dovtoûk ÈyÊvex», rn. km.: Il
devenait de toutes les manières, c.-à-d.
uwdCstv.
8
il
-
faisait mille contorsions.
4. Toj spàyjjwtoç, c.-à-d. tovj 6avâtou.
il
E.-£T.v iv ^roqu, je pourrais dire.
.
:
•
Lucien se trompe en prétendant
que Socrate craignait réellement la
mort, quoiqu'il affectât de ne pas la
9.
craindre.
Une
telle hypocrisie
eL^ie
peur ont toujours été Wite^e
l'âme de ce sage.
telle
DIALOGUE
AIÂAOTOS
//.
—
47
VIII.
DIALOGUE
VIII.
Charon a fait passer le Styx à Ménippe, qui ne peut pas le payer.
Grande querelle; mais que faire? Charon est bien forcé de renoncer à son obole.
XAPON, MERinnOZ KAI EPMH2.
XAP.
À/rcoôbç,
w
MEN.
Boa,
touto coi w*ov,
XAP.
'A/rco&oç,
MEN.
Oùx. àv Xa€oic rcapà tou
XAP.
Eut;, oé tiç oooVjv
MEN.
El aèv
gi
rà iropfytÉÎa,
xaToépare,
Xa'pcov.
àvO' cov es SigiuopÔLLgucauLgv
qpT|U.i,
»caî
m
.
I'vovtoç.
e/owj
lut;
aXXoç
u.7)
!
ti;
oùx aida; iyto o« oùx
,
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XAP. Kat
y,v
p^rtv
avQû) ce,
vvj
tov
iTXouTcava 3
[v.y.ii
co
,
aTTOdàiç.
ar,
MEX. Kàvù
tco
2
Eu^co cou
r.vr.j/.v'
OiaXucoi tq xpa-
viov.
XAP. Mx77,v
MEX. O
ûwxe
oùv
êîtyj
tt£t:).2ux.w;
EpirTiç ûrrèp
tocoutov rcXouv
cr. àîUoooTfù
"£i/.ou
,
o:
a
'aô
j
Tçapg—
coi.
EP3I.
Ata, ova^av.v,
[/.eXXoù
vg xat ùircpgXTivgiv
XAP. Où/. àisocmiGOiiai cou.
MEN. Toutou -y g gvgxa v£to)a7,'ca$
to içopôp.sîov, wapa-
{/.2vî
4
'
X-/;
ttat.v
1. 'Aicdâoç...
r
à a a', o yc
u:r
t
si
syco, ttco; av Aacv.:
gnare pugnam, etc.Bossuetaditanssi:
Dormez votre somm>
4. Toutou -,'£ Svçxct.... m. à ni.
Tct 7:ow0'j.îïa} àvô'cov,
p. 4vrt wv, m. à m.: donne,. .ta péage
con/ïc teguei..., c.-à-d. paie... te prix
.moyennant
,
:
lequel...
a.tyauf
Joignez oou à xpavîov.
3. Construisez i&oôv avec îr$ *e«Xeuxûç, et comparez les expressions
latines analogues
vitam, pu-
Wme
tiré
pour
rivage, attends-
'2.
:
;
pour
j
j
?e
cela la
moi
le
c.-à-a. si c'
,
as tiré /a oargue sur
eeJa gue
rivage, tu peux m'
/it
barque sur
DIALOGUE
18
XAP.
MEN.
TOÛTO
,
à
-'J
oj/. r/jsi; co; /.ou.l,£'.v
Hdfiv
put,
KTUoOavetv
u.^
VIII.
elyov
ov/.
$é.
;
Tl oùv; i/cr.v
rj\à
:
XAP. Movoç oùv aCiy/fasi; 7cpouca
MEN. Oj 7Tpoîxa, co peÀTtCTe"
cuvera Aabopt.7)v,
T'flç -/.C0777;
ôsov
TCET£À£uxsvat ;
îcat
vivTAr.Ta, /.al
yàp
exAohov ulovoç twv aX-
/.al 00/.
ST'.^aTÔV.
X<«)V
XAP.
O'jôàv
raura
àirooouvai es o£i
Ta r:opOas~a
tcooç
2
tov oooàov
*
yàp Osai; à/VXoj; yevscrÔai.
3IEN. Oùxouv avayayé 3 as aùOiç sç tov ptov.
XAP.
Xaci£v Aéyeiç, tva
tou Aia/.oo
MEN.
XAP.
ov
4
êirï
toutw vapà
irpoaÀab&j.
êvovAsi oùv.
M-/)
AcTçov Tt sv
MEN.
/.al rcAioyàç
Ossu/yj;
,
mfpa
tîj
Osàsi;
et
è'y
,
ciç.
ExaT/jç to ^£Î-
/.al ty;;
tvov
XAP.
Oia oè
ÏI06&V'
/.al
toutov
t/aiv.
co
Epp.9],
eAaAei rrapà tov 7CÀouv,
tov *uva Tjyayeç j
twv
i-'.oa.Twv àrrav-
tcov xarayeAcav, /.al £77'.g/.cotttojv, /.al uovoç xocov, oiacd-
LOVTWV
£/.£ .VCOV
!
.
Construisez.... à>ç (tjv) 8éov xo-
1.
j.le./ [ô6oXdv).
2.
'.
OuôiVTaûra
àaxl -cô: x'a-opau.
pas-
sage.
3. 'Avâya^e, impér. aor. 2. act. de
àvâyio; traduisez-le comme un impératif présent.
4. Aiaxoù, Éaque, fils fie Jupiter.
père dePéléeet aïeul d'Achille, réc
sur l'île d'Égine et déploya tant de justice dans S'>n gouvernement qu'il mérita d'être établi juge dos morts avec
5.
per
et
Rhadamanthe.
Tt,: 'E/.'/tt,- xb Seïtcvov, le SOU-
d'il'
aie.
Od
aux pauvres, tous
les mois, à
nouvelle lune. Cette
fête se nommait la fête des Hécatésies.
Ménippe n'avait pas eu le temps,
parait-il , de manger soji souper. Il
l'offrait à Charon, ainsi que des. lupins
et d'autres choses encore, en échange
de l'obole. Mais Charon ne voulait que
l'obole et n'admettait pas d'équivalent. Il faisait passer le Styx au méchant muni de ce viatique , mais il
laissait sur le rivage le pauvre honnête homme qui n'avait pu s'en pourvoir. Les railleries de Lucien contre
te fable de l'obole sont donc parfaitement motivées.
è/.îivtov (im6tf6. OiiMoÇdvrcov
tûv) , gen. absolu.
l'époque de
x; 7.a, ce/a n'a pas de rapport
Minos
fraient
appelait ainsi
un
re-
pas ordinairement compose d'œufs et
de fromage que les gens riches of-
—
la
dialogue:
EPM.
Ayvocîç,
Xflcpow, oTTOîov â'v^pa iuiropôjuuoaç;*
co
uiXsi
aÙTÔi
axpiêûc, xoùîevôç
:v;
n
ix.
Outoc écnv
•
6
MÉvnnroç.
KAP. Kal
M EN.
u.r.v
av ae
ttots...
"kaJaùi
Av XcÉê^ç, Û p&TlOTts
AIAAOrOZ
—
0'.
av Xa£ot**.
Stç £è OUX
1
DIALOGUE
IX.
Ce dialogue rappelle tout à fait le dialogue IV. Un captateur de testament voulait enrichir sa famille avec le bien d'autrui; c'est le
contraire qui arrive, et sa famille est ruinée.
KlfHMflN 1 KAI AAMNIIHI02.
O
KNII. Touro ëxeîvo 3 to t/; ftapoituaç*
AEOVT0C
»
.
AAM.
Tt â yava9tT6ÎÇj
,
KNII.
IIuvôavT] o
v.y-yj.ùsj'.-y.
aysiTv
AAM.
rito;
KNH.
DCieTO.
/,,/.y.;
TravTa,
i;
o>;
Kvr.'y.tov;
KYOvaxTca:
t».
Tafia rraczAiTTcov
tout
KtaipovouAV «xouortoç
8avarw
Eoo;:
èpou^o[X.7|V
5
.
6,
07j
xaxeîvoç oùx
[/.oi
TO (pavepov 7
tcovu icXougiov. aTSXVov ovra, èôe-
,
ar/ko; zry Geparatav
Xal crooov tout' eivai, Dsadai otaal;
£v
EXEtvco
xaTaXiXonta râfià
xàxsivoç Cyjmgz'.i, xaï tx aura îrpa|eie.
1. Aie 8% oùx iv X£6oiç, maifl ht
ne me prendras pas deux fois parce
qu'on ne passe le Styx qu'une seule
le
dit'
"du proter6e,c.-à-d. cotfâ
o«.
e
4.
O
-iiZ'Jjz
tov Xéovxa,
[eïXe
ir
On
a
ne voit poiut deux
dit
fois le
rirage
[morts.
îles
fatofc a oaii
Racii
ete n, se. v
Kv/'xuv, Cnêmon; Aa;xv.--o:.
.
-
IlaoaXixwv toûrouçl 0O4 ï6ovXo|XTjv a/ [taÀ'.cTa s^siv tafia p. Ta
t
ayant'
è;j.'a xt
*EiA
•avàTcp,
dans l'attente de sa
6.
HermoZaùs, plus bas.
itmisez toGro bceîvo à--V
pr.Jia) XT,; ry^o uiv.r, <.ea màttC
.
1
.
.
:
u fepl
te
dire, tej
5.
.mie
TKpi
av
BvévETo;
EpuoXaov tov
etcs
ù
xaTgGOOi<70Eiç o aÔ^ioç, ou;
,
Xurra
oâmuov
veopoç tov
7.
.
Bsdlai O'.-,'.0r//.v.r iç Tû {pavepov}
v
la note 7 dudial. v.
s~-
DIALOGUE
20
AAM.
Tt ojv
K>*H.
O
7i
s— lttc'jovto;
otm oùtoç
ptèv
Ecv/j/.ao; lyei
vuv
fcflti
cooiGixa
ptovov
4
5
EJNH. Eouca
*
Taaà,
wgttôo
aXXà Jcaïauxovae tov aXtea*
,
pu
tic
cogtô
uuvreÔetxac.
erai>To5
3caTot
out-
deXéotTi 3 <n>v%%?a<nca<raç.
Xabpaç xaï to acyxurrpov tû
AA3I. Où
êv&Ypat^s toT; éauTOu
youvaçvcu obr&Oavov , tou Tévouç
iyta
2
•
èxeîvoç';
8-fi
ouxoioa'
Gvy.y.:.;,
X.
ciiuo^co Tûtvapouv 6 .
AIAAOrOI
—
T.
DIALOGUE
X.
On n'emporte aux
enfers ni sa beauté ni sa puissance; et quant à
la magnificence des tombeaux, elle est moins propre que l'éclat
de la vertu à éterniser la mémoire des hommes
c'est ce que le
:
cynique Diogène prouve au
roi Mausole.
AIOrE>"H2 KAI
Aior.
Ci.
Kxp,
etci
ri
i
MAT2. Kal
ibaLGikzvGa
im
T7J
Rapiaç
piva
Ttvi
Bact>.eta
aTCaGTjç,
ptèv
1. Tïxeîvoç, s.-ent. fepaÇs.
ToOtéyouç
2.
Itv.tte-ovto:, gé-
nit. absolu.
Tw ôe^san. Ce
dat.est gouverné
préposition ffbv renfermée dans
le participe auyyjxxatxr^âaau;.
4. Construction pleine: (EyyxercaCKâzac, où (JUJvov apciG*cpov xal oé3.
par
la
Xsap
,
i/.V. a
xai, rfe.
5. TEo'.xa, j'en
G.
ai'
frmi
On ne peut guère
gue sans se rappeler
dre si connu
le
r«r.
ce dialovers de Phèlire
:
Aaiittit
meritô proprium, qui aliennm
[apj etit.
(Fai>. lib.
nuà
îravrwv
i,
A;.
u,èv,
toStvca-eu 9
ïjp$a
oè
xal
10
,
oc--
Aj&ôv
Maûaiùkoç, Mausole, roi de Cacontrée de l'Asie Min. Sa femme
Artémise lui éleva après sa mort (353
ans av. J.-C; un tombeau si magnifî*
que qu'il passa pour une des sept merveilles du monde. Le nom de mausolée,
que nous donnons aux monuments de
-enre, n'a pas d'autre origine.
8. Ka{, s.-ent. jiéydl tppovw.
9. Sivcrasû ,
Sinopim. Diogène
était de Sinope, ville de Paphlagonie,
sur le Pont-Euxin. V. la n. 1 du dialogue y.
10. "Or, moi qui.
11. AuScJv èvÉwv, quelques Lydiens f
c.-à-d. une partie de la Lydie.
7.
f
;j.v.
(ppoveîç,
- ?
-
8
MÀT2QA02 7,
rie,
DIALOGUE
à/'t'j'j
Ta toXXoc
t?,;
xal fAsva;,
y.al
sTTc'or.v,
'
xal xaXoç
r.v,
X.
•21
Iwv:a; xaTacrpe<poiA£vo; '
-oyiy.v.:
èv
xapTepoç*
to
^£ U.8YMITOV, OTi £v A/V.y-asvacsw" pivYJaa rry.'xaf-'-O:; lyw
êrcucEuiEVOV,
xàXXûC
oux
r.y.'z/.ov
âc7)GX7)U.6VOV
tov eixa<ju.éva>v
4
3
,
tuooi tic àv cy^icoc.
6
:'./.),
:;
TO KXpi&GTOC-
,
OIOV OOOï VSttV
otxaicoç
ortn
oùoè outcoç
£Ç
xaXXurTou
to\j
Où aoxû
-:.
«VOpÔV
iTTTTtoV XStl
Xtôou
,
VEXp
a).//,;
tpuTOtc uiva
£ttI
IVS'.V
AIOT. Erl
Bafft>£ia or,;, xal t<3 xaKkfii, xat t<5
ty;
Bapet toG Tatpou 6 :
MA.Y2.
AIOT.
Nr, Ai
'A A a
EXEIVY), O'JTS
7}
,
to
,
£7:1
to'Jtoi:.
Mauccole
x.a>v£
,
quts
icyùç Iri
t,
cot
aOCOr, TOXpEGTlV. El YOUV Ttva £"Xo{(A£Ôa oixa-
GT7,v eùiAOpoiaç
Trio»-,
oux syto
eittew Tivor evexa to cov
'
xpaviov 7rpOTurr,Ô£iï] av tou eu.ou' oaAy.xcy vas à'xoco xaï
YutiLva* xai touç ôoovTaç qiaouoç irpo(Datvou.ev, xat tov:
OaAov/j; â©7)p7itf,£0a, xat Ty; Sîvac 3t7roGe<nixcouis9a
Taooç, xat
ïfftoç £Î£v
9
oî
EmoEixvucdat xat
<piXoTt|JL£Î(76at irpàe
aÙTOîç
1. MiArîxou, 3i'/m', ville célèbre de
contrée de l'Asie Mineure.
2. 'Â/iUcapvatfnp, fl
nasse, cade la Carie, et patrie de l'hisd Hérodote.
c
tj
èrr.T/.r ;:ivov
Hà£xov
le
?..
.
qu'aucun autre mort n'en a un gui Z'cen grandeur et en beauté.
i. "Itz-ojv xoû àvopwv , et:., géa.
êôrf
ç*j
<5è
5è3
touç E/vouc,
PeXtigte,
co
gène plutôt que Ménippe de confondre
l'orgueil de Mausole. Le cynique que
la vraie grandeur d'Alexandre n'avait
étonné était Dieu propre à rabaisser la fausse grandeur du Carien. Voir
la note i du dial. v.
•
7.
du
Oùx
ïyui
Voir
zlr.t'.y.
la
note 5
vu, p. 16.
Voir au sujet de ces idées
dial.
8.
la.
le
d, etparticulièrem
5.
(èx) Xtèoo.
6.
Diogène résume les motifs que
croit avoir
^O
tk&uteXsTç ÈxEÎvot Xiôot, A.7.txapvaG<j£UGt uiv
t»; ouf ti ptEva oixo^opiTipia
ie,
q©-
Mausolede
la
s'enorgueillir,
ur préciser la question , ou pour
nner au roi de Carie le moyen de
reprendre s'il s'est trompé.' C'est
avec raison que Lu
rgé b!o-
m.
note 4 de la p. 14.
9. 'Irco; elsv èt:ioîîxvut6ou
-.
seraient
-
c.-à-d. dignes d'être
la
m
tournure française:
à montrer.
c
,
m. à
à mi
;^p.
cela est à voir,
99
dialocll: x.
coy opto o
n
dhroXauetç ocuroQ, tcX^v
aâ/./.ov r/xcov àyôo(popeïç
MA.T2,
oùv
*A.vovT|Ta
AlOr.
O'//. tcorijxoc,
or,;,
ot;
T7)"XtxouTOu; Xtôotç irieC,o[JLevoç.
âxeïva rcavra
yàp oîpuâçerai,
^aiuoveîv Ôeto
;
x.al
icoTtiAo;
il
Û7rèp yr.ç,
oiç eo-
è>
àwYévïîÇ oè xaTaysAacîTa». aÙToû*.
-
u.àv
la.s'Xev
•
i
ttk
•-jT^vautôc
aÙToG
tùv
K:il
asv cv AMxapvacGbi sca? éauTou uirà 'ApTEiMciar,
~
r
ô
&s, toQ
où va:. MaufTioXoc
»
y.îavvvx:vo.-
ri
Taoov
wvewatoTaTe"
-
>
vao
lhoï
toOto
p/À
Maucow.o: *ai Aiovévr.ç:
eçtoci
|/£V
trrco
ei
Jtat
âoe^ffi^ç
'
cwaxTo:
r
et îcat
kutw toutou
x.aTa/.sO/jLTTov,
1
,
*
xaTecxeuacu-evov
i
o A-.ovfv.-:•
t
Ttva Taoov eyei, oùx oiàev
2,
avopo;
i
»
aovov àè toÎ; âpwtoiç
fJebçwîtwç
fiiov
Kaowv âvo oa7w0^fi>o£CTaTe 5 3 tou cou
êatOTepcâ ywpud xarscnteuac-fxsvov.
1. Tr,- fuvaixbç xal 48sXot,ç. Les
Cariens permettaient le mariage en-
sœur.
Diogène avait ordonné qu'on jetât son corps dans un fossé, mais ses
amis L'ensevelirent avec honneur. On
dressa sur sa tombe une colonne surmontée d'un chien. Il mourut à Corinthe Tan 323 av. J.-C. âgé de 90
tre frère et
-2.
ans.
4
To": ir.'rTO'.;, o'.'x gens de bien.
4. Bfov 'iîCior/.'o:. Voir la note 3 du
dialogue vin. —'ï'vt/.ot^o'- Diogène
1
.
?
où&
tt;::
Gyr.AOTîç'jv,
f/.v73|/.aToç,
xai
iv
co
[Jg-
compare la hauteur morale de sa vie
à la hauteur du monument fané]
(u.vy;;xitoç) de Maus'ole.
5.
^Q Kapwv àvosa—ooons":
te.
pfas senile , c.-à-d.
prisabk des Cariens.' La Carie foui,
d /e
sait
;
beaucoup d'esclaves. M
quoi Diogène, qui avait été luiesclave à Corinthe, adresse-t-il un
reil reproche à Mausole?
n'avait été esclave que de corps,
dis que Mar.sole. bien que roi, iV
été d'esprit et de cœur.
I
3.
*
-
:'il
DIALOGUE
Al
vv>ioi
ue peut donner
\
—
v.
1
II.
aucune l>onne
-
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"...
-
t
1
t.
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•
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et
1
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il
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-
nt dix ans. Ses
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-
la rai-
ts
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Il:
1
ment
elle le tour-
»
.
ATAM.
que lui;
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1'::.
AIWM.
.
haine contre
-
K\\ AT KM
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À-
M
DIALOGUE
haine est pins
lis celle
U
meule jusque dans les enfers
A. I
13
.
il
aut-
-
qu'il consul!
la
•inée.
-
fable
mer l'ombre
-
irri
yjax, dit
-
ix
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-
tourna d
s.» ((M;
-
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xi.
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'.)
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-
.
sans eombet, car
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ment d'une uoW* j*
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?ion.
Les Latins
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24
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yswate, t^v Bêriv 7 ,
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où Osai;
Tov youv bàuccéa pà oùyi juceïv
tâvr totxûra.
(tj£(ouv)
'Avrl/.oO.
Achille
6.
était cousin
et
kùttî
(toi
Â&ivâ
Ateuo, 2 e p.
s.
de lïmpér. prés.
d'ctlndopuii-îdiuxt.
Télamon étant tous
7.
d'Eaque.
fils
3. 'A{i£tvo'jç,p/us
0£7'.v, la néréide Thitis,
mère
d'Achille.
ôroresetnonpas
le
8.
cou-
9.
rage.
5.
Ijretv toc
co
iroAAajciç eçtaca
tôv $puvûv
w kyappov, ou^
mcdleurs. Ajax n'estimait que
4.
ttoVj
élClTaTTOl.
d'Ajax, Pelée et
deux
,
OtXflHTtttîÇ.
Xéyeiv Ti
1.
aAAoi
77a-
xaî htçaniGê cou, xai raGra, 7?ap«
êircî
AIA2. Oi^a iyw ^Ttç
2.
oî
y]
aTgçv, et, avOcco-o; wv, wssyôyj
odç7jç, '^oigtou ïwpa-y|wtTOç,
ouveueiv
êyw
ôv
aAAa tûv 'O^ucesx,
*
ûpT;
t,v
sovopav tôv ottàwv raoaàioMvai, ovvyeveî
•/.}//;
O'jV.
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âyôva, xai Trapc/coor^y.Ts
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ovti, (pé'pouca iç tq xolvov
AIA2.
-
4
6 £è Aialptat)' ,
ArAM. Aitiô
oeov
TOittBtà 1
xat ê7rtT7)âetoT£poç
8IÇ10U eivai,
8
XI.
ovteç, airekwcaôe tôv
kOàuv-
tcov
DIALOGUE
Asov, au lieu de.
Te, quoique.
10. 4>spo'J7a....aÙT<£, lesmild' elleconcours , c.-à-d. : s'avisa
c
O 81 Aaéprou, s. -ont. uîtfc.
même au
^puywv, tes Phrygiens. La Troa- de, etc.
—
de s'appelait aussi petite Phrvgie.
Un jour entre autres Ulysse seul
au milieu des Troyens qui le prèssaient de toutes parts, allait succomber quand Ajax dit Homère, « accourut, portant son bouclier, sembla,
,
,
j
,
'
12. "Hti?. C'est Minerve, qui fit
triompher Ulysse. Allusion à ce vers
d'Homère
na 7.5e; SlTsûwv Sly.aca-. sailIaVXàç 'AO/vn.
:
,
[Odyst.
:
xi. 546.)
ble à une tour , et se tint près d'Ulysse; les Troyens effrayés se disper-
13. Mt, o'j/1....o>/. âfcv 8uva(jjLT)v,
je ne pourrais pas ne pas.... Non pos-
sèrent ça et
sim non.
la (Iliade, xi,
485-487).
DIALOGUE
AiA.voros
XII.
DIALOGUE
iir.
XII.
Tantale aux enfers se plaint de ne pouvoir pas boire et d'être tourmenté par la soif. Mais comment une ombre pourrait-elle boire,
et comment peut-elle éprouver un besoin de ce genre? Les autres
ombres ne boivent pas, et elles n'en sont pas plus malades.
MENiniIOS KAI TANTAA02'.
MEN.
Tt
v.Aasi.;,
w TavTaXs
;
r ti heoutom 6ouc7], lin
(
tt,
Xtu.V7] é<rra>çj
TANT.
t)Ti, tûMevimte, ccnoXcaXa tnro tou otyouç.
BIEN. O&tcaç
A ia y€ à ç
'j
ç a y. evoç xo D.r, tt
TANT.
Ovoèv ôçsXoç
ccoaa».,
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Tepacxiov
Tt *yàp oê7)
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SaxTuXaw oiappuèv
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TANT. Tout
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O'.'vwv.:,
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mvoiç;
xoXaGir ecti, to oVIt.v
uuau
77, v
ccoua oôaav.
3IEN. AaXk toOto lÙv cjtoj mcreucottEV,
1. TdtvrorXoç,
Tantale,
fils
de Jupi-
régna sur la Lydie ou la Phrygie.
Ayant servi aux dieux son fils Pèlops
à "manger, il fut préeiDité dans les
enfers et condamne au supplice d'une
faim et d'une soif éternelles. L'eau
d'un lac lui Venait jusqu'au menton,
et chaque fois qu'il se penchait pour
en boire, cette eau disparaissait sous
la terre. D: beaux fruits, tels que des
poires, des grenades, des pommes,
des ligues et des olives, pendaient au-
sttcI wrbç
tco
chaque fois
qu'il étendait la main pour les saisir,
le vent les élevait jusqu'aux nues.
dessus de sa tète,
ter,
(Homêr
2.
Où
,
I
.
çp8àvw
Stoppuév
et
xi. o- -2-593.)
&péÇaç
à-0Aî'.-:i.
xoô
A
j'aie mouillé... s' écoulant à
_int
que
travers...
elle laisse...
3.
zl
o;, r y-j/r;,
toi l'cme,c.-k-<\.
mais
m.
m. nais
à
toi qui n'es
qu'une âme.
,
2
plus
DIALOGUE
26
oOv av. to ^eivov eVrat;
toO itOToS CMwOÔavr.e
hài'.y.
p.v;
£'
Ti
ofyei xoào^eg&xi.
Xllï.
OpOco;
[ilv
Aiyetç'
>caraotXYiÇj to iTT'.O-jasTv
MEA
7
xt ooîcsiç, axpaTOii
vavrtov Totç ûtto tcov
Tuovôaç,
[7-01
ve ÊÀAefcopoi»
ix.
,
vr,
'
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tou-
A»,a, offTtc
àuttgjvtcov xuvôv oéo^vitévoiç 7î£-
to
Trapoêr.uivoç.
Mévwwics, àvatvoâat
rrieîv'
[LOVOV*.
©appet,
co
5
Tai tcov vexpôv
eu,
ô' oOv [xiâoç 77,;
tb; à).v;0to;
to uo(i>p, ocAAa Tnv Sitlav
o'j
MEN.
toûto
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TAA'T. Oùàè tov IXXéoopov,
YgVOtTO
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Ar,ccT; ;
.
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toûtov aoYjv, î OavaTOV évreSôev
TANT.
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•
xaTaO'////;; ôiytoT-
G
,
outê «Aaoç
où
irit-
772770;, iofrirga
tou uoaroç oùto'jç oùyîhtou.£-
VOVTOÇ.
AïA.voros ir.
DIALOGUE
XIII.
Certaines cens dans l'antiquité se tuaient pour se soustraire à la
monotonie de l'existence, comme s'ils ne devaient pas rencontrer
dans les enfers une monotonie plus grande encore. Ce sont eu\
que raille Lucien dans la personne de Chiron.
MENinnos kai
BIEN. Hx.ouffa,
(ô
Xciccov,
xeip^>; \
co;
Ôeo;
tov
£7wiôup.-/î<72uz;
GMroÔaveîv.
^.Q^
bien certainement.
à/.r.OÔj:,
2. EA7»s6o'poy. VéUébore, plante à
laquelle les anciens attribuaient la
\ertu de guérir la folie. Elle croissait
'
d'Anticyre , ville de
de Corinthe.
aux environs
Phocide, sur
le golfe
3. "077'.:. toi
4.
révoixo
p.o'.
u-dvov, puissê-je
seulement eu a<:
5. Construisez tcov
^v/.z,îot
avec
à/./.o:.
6.
Ov
è/.
za:r//.ï,:
o.yw-:,
condamnés à avoir soif.
7. Xsbxàv, Chiron, fils de Saturne,
moitié dieu et moitié cheval. Savant
dans tous les arts, il futle précepteur
d"une foule de héros, tels que Pelée,
ne son£ pas
La Fable ra
conte qu'il mourut pour s'être blessé
avec l'une des llèchcs empoisonnées
d'Hercule. C'est donc assez gratuitement que Lucien le représente comme
ayant mis volontairement un terme à
son existence.
Achille, Hippolyte, etc.
DIALOGUE
XEIP.
tout' {xouottç,
AV/)Ôyi
wç ôpa;, efôavaTOç
MEN.
ifroii
XEIP. Oux,
ÇcovTa opav to
y,v
to yàp
Méviinre
cà
ài&oov
Xaiwv tcov
flWTaî,
Oavâroo eowç eayev, àvepaGTOJ TOÎç
to'j
iqyoD[iai elvat
d[JW)iwv
,
7i"Xiou,
cpcoToç
3
axoXouôouvTa SaTSpov 6aT£pw
OO yap
TO TSpTJVOV
oO
6
Xeyetç,
XEIP. Oux
eivai,
7i
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7rpoeVj|i.£voç
o7}[/.otixov
8
àXXà
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ù
rôioôç,
Iv
hxoto)
•
"Opa,
Ojx.:. ër.,
les
eÇTfe
Y$Ù
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wpai oè ai
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Sxocgtov
&v£irX7]<rôr,v
•
£v
2
&<nrep
,
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5
,
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7rc5<;
;
tj
yàp tôOTi[ua
Sujrîiv,
twcvj
ev ocot!
bxncep ava>,
GCTcAcT; TOUTtoV àîTaVTOJV
i
©épeiç,
7
aA/\w;TS 9 QÙaè
£<7Lt£V.
xai
Èç
10
.
i
comme oùxén.
uns aux autres.
On peut rapprocher de
ce passade les paroles suivantes de Sénèque :
« Quoi
toujours les mêmes choses?
se réveiller, avoir faim, se rassasier,
avoir froid, avoir chaud? Bref, toutes
les choses du monde n'ont point de
fin: elles se fuient, elles se suivent,
et sont liées les unes aux autres par
un enchaînement qui recommence
sans cesse. La nuit chasse le jour,
puis le jour chasse la nuit; l'été se
!
Tpoor,;
,
MévtTnre'
2. ('Hv) éÇ^ç Sxaorov... Bdrspov
BaTépto, se succédaient à la file connue
3.
eyioye
Xsipcov, uw) ïteaiîhiicrïiç <7£ai>TÔ>,
à)
*
enchaînés
l
;
x.al £v to> u.eTCKï£eîv
viîtgiç
to aùrd coi 6 Xovoç WepMJTTJ
1.
cpcoç
tioii
Xsipcov Ta
to
0OT£ 77£LVYV 06t, gÊaV
MEN.
£71
Y,V
zal to 7Tpàyp.a ou^ev éy st to oV/'oopov,
,
/.al
OÙX
7,7.
MEN. EO
à<p
aÙTâ
iv tco
*
iyù &£ sÇuv
*
Ta ywvo|/.sva arravTa
"/.al
OVTa
àôavacia;.
MEN. Oùy
oùy
xal TeSv/pta,
Msviinre
"EpCO TTpOÇ G£ OÔX aCUVÊTOV
cbco^otueiv tt;;
y.al
w
eivai duvap.evoç.
Tiç &£ ce
XEIP.
27
XIII.
termine dans l'automne, l'automne
finit dans l'hiver, et l'hiver dans le
printemps. Tout passe pour revenir
après.» (Sénèq. Epit. àLucil. xxiv.)
4. Ev T(j> auTtp àet, dans le même
toujours, c.-k-d. dans l'uniformité.
5. 'EvtÛ) u.-:TaT/îIv, dans le changer, c.-à-d. dans la' variété.
6. 'A<p' ou (/pû'vo'j), depuis que.
7. "Hxsiç, présent ayant le sens
d'un passé.
8. Construisez
yàp r, toonjiCa
:
(à'T\
-pàvaa; nàvu
ÔTrjitOTixdv.
9. "ÀaAoj; it, surtout.
10. Eç t5 aùrd aoi 6 Ao'yoç weptor^,
DIALOGUE
2*
XE1P.
îlcoç toutjb
BIEN. OtI,
'fqç
TWV
El
pyevCTQ coi irpotâtopèç
;
£v TCO
1
,
XIV.
pLCt)
TO
OJJ.OIOV £t\ Y.*'.
Ta'JTOV
xai ivraOôa oftota ovra rpocxopTJ
ôu.oia>c Sw vêvoito, >cal oeriaei iieTaboV/jv
ufiTeîv riva icai
<7s
évreGÔcM iç zXXov ptav, orcep, o .y.ai, aouvaioy.
;
XEIP. Ti
o^v av TraOoi
BIEN. O-cp,
oiuLai,
2
t-.ç
,
w
MévtTnre
;
gai (paci, cjvstqv ovra cepéaxEaOai
xai oYOTuâv toi: juapouai, xal
u.7)oàv
aÙTcov àoocr.Tov oïe-
trÔat.
AIAAOrOI
LA'.
—
DIALOGUE
XIV.
Alexandre n'était donc ni fils de Jupiter, ni dieu, puisqu'il est mort;
et quant aux biens dans lesquels il se complaisait, leur néant
prouve que ce n'étaient pas de vrais biens.
tfOTCNHS KAI A.AEEANAP02
AIOT. Ti touto, w A^içav^ce;
T.i p
x.y.'.
y.v.s?:
elvai
'j'.ov
AAEE.
Aïoyeveç
ou rozpxdo;ov &è
•
;
cù oè
*\ul'/,ojv
4
&c-
et,
avOpto-
Id/euàeTO,
aeywv
Iccutou
es
$iXiin?0O àpa ïjoOa;
S>iXwnvOU Suta^ij
que ton raisonnement ne se retrouve au
-. o.-à-d.
que tu ne fo
cercle vicieux
vicieux.
Un
cercle
un
dont
la concluraisonnement
un
est
départ.
Ainsi
de
point
au
revient
sion
combattre
l'uniprétend
Cliiron, qui
formité, en fait l'apologie sans le savoir.
Spotov xat
-cô
r
èv tw i>itç>
[icpayjtdTWv)
taùrôv TÔr/
Construisez: El
~y.z
opeç.
bféyexà sot
'2. T( ouv à', irai 01 t.ç. m. k m. ^ue
sentirait quelqu'un ? c.-k-d. gue penser
don
TÉOvr.x.aç xal cj,
ôjv, KTûéÔavov.
AIOT. Ojxoûv
1.
.
airavreç;
AAEE. Opâç, à
•7:0;
3
?
3. 'ÂXi£<r/8poç,AZear«idrele Grand,
où *yà: av èreGvTjxetv,
A[/.u.(«>voç
fils de Philippe et d*01ympias, roi de
Macédoine, naquit l'an 356 av. J.-C.
Il succéda à son père en 336, battit
Darius roi des Perses au Granique,
334, à Issus, 333, à Arbelles, 331,
et s'empara de ses Etats. Il poi
jusqu'àllndeoù il vainquit Porus,326,
et mourut à Babylone, en revenant
sur ses pas, 323.
y
4.
nom
A;J.;j.cov
.
Ammon
ou Hammon,
de'j'upiter chez les
peuples de
Libye. Alexandre, après la fondation
d'Alexandrie en Egypte, 331, alla consulter l'oracle de"ce dieu, dont il se
fit
proclamer
le fils.
DIALOGUE
6JV.
NGV
OGCO
<^£
BXeyov
epTJTat
aÙTÔv ovx
i|»euooç
AAEH.
W.( 71
^i/.x.a
7. Q
T« TTcây 7.7.77. èv£V6TO
y 7, V
>'-
Atoveveç
7 7 A S Xo ITTttÇ
Oùjc Qi&a,
772 ol 7.'j77,:
5
7.
o>
4
,
7)
w
ayo'/jaTav uot,
TTOA^Ol
'
itoïggov, 8cov eivai tô vou.u,ovt£ç. A-ràp
TOT DtU 77. V
AU.U.(t>VlO)V
77ÛO-
.
TCOOÇ
,
3; Oi TCOV
'!>*".
l
Aior, A/.V/ to
Ç7.vOGc
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OT'.
XIV.
êitîs u.01
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TOUTO ULOVOV, OTt 777o0w{tX.(OV
7ov o^axTùT.tov &î?&oco/ta.
117.7, v
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-ri
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AIOT. Ti vào xXXo,
ac7î. c= 7-.y.ziù:r/y'j-y. -};j
drar/iv aipou[/.£voi
evtoiftè xaiTOÎÎg
,
âveu.v7ÎcÔY|N o .7.
;
7,
ëtcoiei
âpynv fcoXasteuovTSÇ 6 ,
xat G7C777,yov s—l 700;
E7,7.7'
7,
x.7.1
ttcq-
(îapoapo'jç,
awoejcaGsotç 7 rçpocroOévTeç, xaî vecoç oùco-
oou.ouu.svoi, &al 6ôovteç.
aaa'
i\t,î fx.ot, icou
es oï Maxeoovgî
Kïaijtotv;
v
AAEH. E7i
iv B7?o)vCovi
8
XEiaat toityiv TÔuipav Tau.
1.
Lucien suppose à tort qu'Alexan-
dre était ladupe desprètresd'Ammon.
st au contraire par son ordre que
ceux-ci le déclarèrent
fils
mourut sans avoir eu
blir
le loisir d'éta-
solidement ses affaires... »
(Disc, sur l'Hist. univers.
de Jupi-
Part.
III,
v.)
5. Il£pS(xxa,Perdtccas, l'un des pins
ter.
2. Alexandre se fit passer pour un
dieu moins par vanité que par politique. 11 suivait en cela l'exemple de
son père Philippe qui plaça sa statue
parmi celles des douze grands dieux.
Plus tard César et Auguste firent remonter leur origine jusqu'à Jupiter,
aïeul d'Enée, dont ils se disaient descendus.
3.
.
Où yàp I;6a7x
ïr^zv'r^jii v.
n'aipas eu le temps
de prendre des mesures à ce sujet. V.
la note 2 du Dial. xn.
4. Bossuet dit aussi
« A l'âge de
trente-trois ans, au milieu des plus
vastes desseins qu'un homme eût jamais conçus, et avec les plus justes
espérances d'un heureux succès, il
r.zp\ aÔTTiç, car je
:
habiles généraux d'Alexandre. En lui
remettant son anneau, ce prince semblait le désigner pour son successeur.
6. KoXaxe'jovceç... ahovj.r.'oi.Ces
Eàat.veç
pluriels se rapportent à
contenu dansTïAAdç On dit de même
en latin: Magna pars vulnerati aut
occisi (Sali.); et en français
Un bon
'
.
:
nombre furent tués ou blessés.
7. Toùç 8u>5sxct Ôîo'jç, les douze
grands dieux. C'étaient Jupiter, Neptune, Mars, Mercure, Vulcain, Apollon, Vesta, Junon, Cérès, Diane, Vénus et Minerve. Yoy. la note 2 de ce
Dialogue.
Ba6uXwvi, Babylone, capitale tle
Babylonie, puis du vaste royaume
Assyrie. Alexandre voulait en fa
8.
la
1.
DIALOGUE
30
{
T'y
'
2
ûmcrjfveÎTai de TLxdke^JzXoç 6 ÛTCacTCtCT^ç,
r rj):r;» àrro tcov ftopobaiv tojv £V TTOGlV 3
yj
,
r-y.'-r
-T'yv ijraya'YMV
VjTTTÎcoV
Aior.
AI/;
Il).7,v
oùvàp
Seulic
'
wCkaxnùf
ccXX*
À.)i^avîps, ôpoov
oo
TaOrà
çuXoocaÇj
tov, x.al
icas
tcots
ÀlYU-
eç
elç tcov at-
a
«yevÉ-
cAttiV/-,;*
l///j
7cape>.6dvTwv
~w;
<rou,
tmvXi-
8
où vàp
•
©epétç, ôfroTûw èvvovi-
aTTOAiTTcov wptcat, eT&>u.aTo-
vtîç
x.al &ira<nci<TTàç, jcat
caTGa—aç, xaiypucov TOèoG-
irpocxuvoûvTa , xal Bxow.wvx,
Ta LLEYaXa O/pia 10 ,
6
Ocipiv
r,
Kipospoç EÙxaTa<pooVïjTOç. Exeîvq
Euoaiuoviav Ottco
6ÔV7]
5
tcov airaç oiair^EUTavtcûv
to Eiaw tou trroiMou
Ataîcoç, oùo
koqu en
x.al &v
ùQeioTars,
[asv,
oe ve iQoeiwç xv [/.aôotuu irapà
f77îc ocr/)V
jIvouoiv
ii.-i'f-fsr.v.
kvs^eîv Ttva
>taî èç
ù.'jS):}^ ô
wç yEvoipîV
,
r'v
OsOJV.
cOat;
v.vr.v
Ixeî
Ôa<|/Eiv
y.3,
uuopaivovTa , xai
C£
XIV.
x.al
Ttjr/jVjXaioo^av,
)tal
BstXTpa®,
>caiTO£7tt<77jfJiQV
eivat EÇs^auvovTa otaoeoeuivov xatvia àeuxtj r/jv XEcpaÀTjv*
de son empire. Il y mourut,
empoisonné, dit-on.
1. TpfrtTiv Y,(jiépav taùniv, voilà
6. "Offipiv,
la capitale
ou
Osiris,
le
7.
A{{ivt)v,
capitaines et des gardes d'Alexandre.
Il devint
roi d'Egypte, où il fonda
une dynastie, qui dura près de 300
même
de
Cocyti
tristique
,
'Avouwv, Anubis, dieu égyptien,
représentait avec un corps
d'homme et une tête de chien: d'où
l'épithète de latralor, que lui donne
5.
qu'on
Virgile.
Alligat
<:u)v
(côVj.a, corps).
:
Q1105 circumliinus niger, ettlcforniis
r a lus
î
2ns.
(ôvtiov) èv
îtoct(v, m. a m. des troubles étant dans
les pieds, devant h s pieds, c.-k-d. des
troubles qui rembarrassent maintenant.
4. fiivr.v èxe"-. Alexandre , deux
ans après sa mort , fut transporté à
Alexandrie, capitale de l'Egypte. Son
corps fut déposé dans un cercueil
d'or massif, yu temple appelé Soina
Soleil,
lac, c.-à-d. le Styx.
le
8. Virgile a dit
2. IlToXe|i.aIoç, Violentée, l'un des
Tojv 0opu6b>v
,
l'une des plus grandes divinités égyptiennes.
aujourd'hui trois jours que
3.
1
et
,
novics
{Georgiq.
1.
[arnndo
oa
L
5
[un dn
1 1 1
-
:
î I i
Styx
in ter fusa
[exerce t.
IV, v. -578-481.)
9. Bâxxpa, Bactres, capitale de la
Bactriane, province de Perse.
1
0.
Ta
u.";x/.a OtipCa, les lions, les
éléphants.
11. Ai<x8e5suivov (xaxît) xtjv xs<pa>.y,v ta. via \zj/.r m. à m. cem* (selon)
t
,
la tête d'une bandelette blanche, c.-à-d.
le
front ceint d'une bandelette blanche
les rois d'Orient). La même
(comme
tournure existe en latin
Vittis
et
:
sacra
reAïmitus
(Yirg.
Mn.
tempora
^Uuro.
I.
iv, v.81.1
DIALOGUE
iroc
t7jv
ce
Q
u.wîu.7)V
coyô; 'A.ptTTOTéÀ7;ç
77. 777.:
a Tr : 70/7,;
AAKZ. O
t
.7
jy.cv
ïovTa; Tt
-
wv
7,7773
£77a:/)£oo-£
rai/Ta
Aurret
Ù
oaxpuëtç,
2
31
•j.y-y.z
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àTravT&w ixeîvoç xoAaxav È7rtTpwrr<>4
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777.0' èp-où,
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éiroOiiaouat.
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aicr^uvoiTO xat outoç Xau.6av«v. roV,;,
ov/;
AïoyeveÇj avÔp&ncoç xat tc^vittiç 5 .
AlOr.
KÛTl
tov 7TA<>ûtov' x.alyàp au xaï 77.07' àyaOov
77ca.;£i; /.a!
TÔyeiT' Bivat, co;
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y.
XIV.
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Eireï ev7ao0a ye EAAioopoç où (puerai,
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xav 70 A7O7; uocooyav^ov èm<nca<7au,£Vôç
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xai 77oXXaxic. Oô'tco vàp àv 7?au<7ato
70?; A.piGTOT£Xour
àyaOoiç àvicoasvo; 6
1.
m.
à
IIpf<pup(Sa
m. agrafé
Kal yàp xat KàsÎtqv
.
£;i-î-op-T,;j.£vov
,
manteau de
reoètu d'un manteau
(selon) un
pourpre, i.-à-d.
de pourpre attaché avec d
/Vs.
2. 'ApupcotéXT,*;, Aristote, Van des
plus grands philosophes grecs. Il
naquit k Stagire en Macédoine, l'an
384
av.
l'âge de
scii
J.-C. el
mourut en
3-22. à
02 ans. Philippe, admirant sa
honorant son caractère,
lui confia l'éducation
de son
fils.
3. '0 co'jo'ç... sage! lui qui était...
Eus i&ovov ëasov xà 'ApKTTO4.
téXooç elSévai, m. à m. iaisse-mot
i
savot'r
/es
c/toses
èict
d'Amfote,
c.-à-d. n'exige pas gwe je t'apprenne
ce qu'était Aristote.
0. Lucien fait dire à Alexandre des
choses que ce prince n'a jamais dites
j
7
xaï oùôtçirte,
sxsivov ôoeo, xaï
ni pensées. Aristote ne mérite
aucun
de ces reproches; et les calomni dont Lucien l'accable ne font de tort
qu'à leur auteur.
6. O0tg> yàp àv TcacjQaaâ... ivuô[xevo:, m. à m. car ainsi tu cesserais
peut-être t'affligeant, c.-à-d. de
f af-
fliger.
7. KXéÎTov, Clitus, général macédonien. Il sauva la vie à Alexandre
au passage du Granique, 33 4; mais
il eut l'imprudence dans un festin de
rabaisser les exploits de ce prince et
d'exalter
Philippe outre mesure.
Alexandre, ivre de vin et de colère,
le tua de sa propre main; puis, revenu à lui, le pleura amèrement et
lui lit faire des funérailles magnifiques, oïl.
DIALOGUE XV.
32
K-aXXtcÔévïi
1
,
xmaXkoMç
ttoa/.vj;-
enracatvro, xai ajxuvatvTo ce
ALAAOFOS
IE'.
ijsi
ai ôptjiôvTaç, biço&a-
wv 3 lepaoraeaÙTOuç. Qgtetyim
—
DIALOGUE XV.
Alexandre prétend l'emporter en mérite sur Annibal. Tous les deux
exposent leurs belles actions et plaident leur cause devant le tribunal de Minos, qui adjuge la première place à Alexandre, la
seconde à Scipion et la troisième à Annibal \
AAEIAA'APOS,
AAEZ.
ANa
7
ai 7 rr:ox.2x,sicr0ai
E'j.z
AAecavopoç
Nv]
kwiêaç
f/.èv,
syùàè,
neveu
et disciple d'Aristote. Ce philosophe,
ayant refusé d'adorer Alexandre, fut
impliqué dans la conspiration du jeune
Hermolaùs, tramée contre la vie du
roi. Alexandre le fit enfermer dans
une cage de fer et porter ainsi à la
suite de l'année, 327.
Kal iXXo'-K
/
Qv ISpauaç, pour àvd
;
•
à/J.y.
—s pi tivo;
vào outoç àaî-'vwv
Y£'Yev7i-
wcjttsg aicavteç tcactv,
oùy ï
,
plaçait
lui-même,
déclarant
de tous
les généraux s'il avait vaincu Scipion.
6. "O A.6j, ô Africain. Les anciens appelaient Libye l'Afrique en
général ; ils appelaient Afrique la
province où était située Carthage.
7. 'A/./. t'A Set irpoxexpfoOoa :o'j).
c
8. O (olôç] $&fcitotf.
il
se
qu'il se mettrait au-dessus
i
toû-
à topa-jà;, des choses que tu leur
as fait souffrir.
Èyco 5è,
'Etéct; (ôSôv)
|ktôtÇe. On
dit de même en latin ire viam.
5. Au dire d'un ancien historien
romain, nommé Claudius cité par
Tite Live (liv. xxxv, c. 14), Annihal
donnait le premier rang à Alexandre,
et le second à Pyrrhus, après lequel
lexandre.
>
Kapyr^ov-o:*
4.
:
-o/./.oôr, et beau-
coup d'autres, comme Parménion et
son fils Philotas, qui périrent tous
les deux victimes de la jalousie d"A-
TU
tzoetvcùv
.
Tupoeopiaç* owict
1. K-a/.A'.rOivr,, Caïlisthéne,
T
6
Aia, Êvooqoi vs ày/vOTcGoi
ciÔai GTpaT7ivoi; £[/.ou
3.
*
serré;
$iÀnrarou
o
AAEZ. nsc.
2.
A'.S'j
co
OÙîcouv o Alivco; oix^GaTO).
MIN. Ttveçâ'
AAEZ. Ojto;
.
trou,
.
Ouu.6vouv, ocàX êui 7 .
.
AAEZ.
AIlA7
M1NQ2 KAI iKHniQ>'.
A?Ï>~IEA.S,
1
j
j
,
DIALOGUE IV.
toutou
llovov, <xXkk ItCCVTftiV
veyy-stv
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"
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éÀAaoa
6V£YxaiTÔ
çcov/jv
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È^eaaôov
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àoy?,;
7
wv
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11
£rcotr,(ja
aoe^cpâ)
,
>tai
ToaatfTaç iraXsic
iTa^iav i^etpûNTafttiv, xaî
Triç irpoùvo'JC7iç
13
,
icoXewç
12
5à0ov
*7j{û SievEYXslv (xarefc) toc tio}>é;r.a Ipya). Voy. pour cette tournure la note 1 de la page 30.
2. £ù ol... o A(6uç, foi l'Africain.
3. "Ev [ièv TOÛTO... tàvd^LÏJV 8xi
ïzi[x:^o'j, j'ai du moins
Ivraûfa
gagné ceci (à être Africain) que j'ai
appris là (dans ce pays)
<
5. 'E; ipy/r,-:,
•
(Jt-é^pi
,
y.i-
Ta u£-
ve.
dans
Ze
principe.
icepi&xÀÀ<?U£VOi,
sV7«»f entourés, ou environnés de
puissance.
7. Ap/r,; est pris ici dans le sens
de commandement.
8. Tô) iSeXcîp. Il ne s'agit pas ici
d'Asdru'bal , fus d'Amilcar et frère
d'Annibal, mais d'un autre Asdrubal,
qui avait épousé la sœur du héros
carthaginois et se trouvait ainsi son
beau-frère. Annibal servit trois ans
sous ses ordres.
9. Asdrubal étant mort assassiné,
,
xai
ttjv
tôv TCpoa<miMv
xal togoutouç dhcsxTeiva
14
waT£ toÙç îaxTuAiouç aùrâv
1.
Auvau.iv
xaî
«rapêàç, Ta irepiTÔv Hptoavov xicavra xaTÉ-
opau.ov, xaï âvaoraTOuç
p.ià; ^u.£paç
9
9, xatTOuçyeKeVrtoTipaç
raAaTcov êxpaT7i<7a tûv âciceptwv
eÎAov, xai
6
Eyco yoûv, u*T oAiyojv 6Çopu.vîcaç
.
yiGT<i>v r.v-coOr.v, apiGTOç îcpt,8etç
6.
:?6piba'XXoj£evoi
loTjptav, to 77GÛTOV urr/pyo;
4. "Oorot,
èicaivou àçtooç
oaco; èVt |**ya
ovreç,
outûv ouvau.iv ts
a£tot ^o;avT£; âpyv;;
ireiiVTiv
oc Rp&To^
oùoè tout/] TCXéav o-jtoç
<5<jTfi
touto^ pux^wrca
àè
<l>r.al
irpoeyaipTiffav, ^i'
yaXaopv)
c*j
mèv touto 8 , uBl(vu;, wvajxr.v, oTtâvraOôaxas
u-ou.
elvai, ogoi
èj ttjv
éxaTeooç EinraTct
tiipci
Aeye.
ANN. Ev
tt;v
lu/SJ yr.u.i <H£-
Ta iteAé[ua.
MIN.
o Aiouç
G^COOV TttVITpO
pt.eotp.voic xiuo-
Ànnibal fut proclamé général par les
soldats d'une voix unanime. 11 avait
25 ans.
10. raA7.Ttov...Tiov l<nzzp((ùy, les
Gaulois occidentaux, pour les distinguer des Gaulois orientaux, ou d'Asie,
connus sous le nom de Galates.
11. Ta txr/dXa ôpr,. Ce sont les
Alpes. Les anciens n'étaient pas d'accord sur l'endroit où Annibal effectua
son passage. Il parait certain aujourd'hui que"ce fut au Mont-Cenis.
1-2. T?,- -poj/oJsr^TOAEco;. Il désigne ainsi Rome.
13. Cette journée est
la journée de
Les Romains
Cannes 216
v perdirent soixante-dix. mille soldats, le consul Paul-Emile, deux
,
av. J.-C.
questeurs, quatre-vingts sénateurs
vingt et un tribuns légionnaires et une
fouîe de chevaliers. Annibal ne perdit
que cinq mille cinq cents hommes.
14. Tous fcxxrjXfouç aÙTÛv. L'an
DIALOGUE XV.
34
y.îTzr.w., xal touç woT«|jto'jç ye^opwcat vexpotç.
TuavTa
£7r::/.;a,
o-jtî
"Aayxovo: uwç d /opta^o«.£VOç,
i
Éivan ïTp6clc^io'5|Àevoç,
T7jyOÎÇ Te TOIÇ
à).)/ avOperfrojç glvai
CUVÊTWTaTOtÇ J
Ttvx
,
xaTayeimCjOpievoç
âvTe$6Ta^OW.€VOÇ, XaC G7C7.•
CnrcxpéuyovTacç
,
xat tco ToX[AiQcavTi 7rapaotoovraç
où Mvj&XJÇ
sùO'j;
êçérsive, ypr.ay'y.evo;
O'jv svixtjg-ê
Ts
tt;v vixtiv.
i)uÇi)éi
4
êv 'Iggco
T£ xai ÀpoYJÀo»,; ixpaTYjffev, àTroTTàçTwvTraTpwcov
sç
éauTov, xat Ep.tat<pov£t
&iatTOV
7
s'v
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T7)V
(TTOAm
•
xat, i-B'Àr,
7roofj-
aeT£&i7fnî<>ev
lie ï<njç
8
Tffëïra-
c-'-TT/.suaavTcov TÎj Aibu7j, Tayéco; u7njxouca, xal
neau
était une des marques distincdu chevalier romain. Avec les
anneaux des chevaliers restés sur
Dessus,
satrape de Bactriane. Ce
prince, qir Annibal traite si durement,
n'entendait pas, il est vrai, l'art de
la guerre , mais il avait d'autres qua-
champ de bataille Annibal put
remplir trois boisseaux qu'il envova
à Carthage. Le boisseau romain valait
à peu près cinquante-deux litres, ou
4 de nos boisseaux.
1. ExpaTijYoTç.,. toiç suveTto-âto:ç. Annibal exagère. Ni Seiapronius qu'il battit à ta Trébie, 218, ni
Flaminius qu'il battit à Trasimène,
217, ni Varron qu'il battit à Cannes
n'étaient d'habiles généraux. Mais
les bons généraux romains, tels que
Marcellus, Fabius et Scipion, le tinrent
eu échec ou le vainquirent.
2. Construisez : r.yi-j T.va Sitôxeiv
le
"OXsOpov,
pour
d/iGp'.ov,
lités, et
AapeTov, Darius III Codoman
mérita d'être pleuré par
5. 'I77ô>, Issus, ville de Cilicie sur
le
bord
de
la
mer;
'Ap6r;Xo'.:,
Ar-
Voy. sur ces
note 3 de la page 28.
bdles, ville d'Assyrie.
batailles, la
6.
Tcov
(mœurs) de
Tzar ptfriùv
(è6côv),
des
ses pères, de ses ancêtres.
Allusion au meurtre de Clitus.
la note 3 de la p. 28.
8. Allusion au meurtre de Parménion, et au supplice de Philotas.Voy.
la note 2 de la p. 32.
9. '£-' '-'rr,:, œquo jure, en demeurant l'égal de mes concitoyens.
10. Le sénat romain avait envoyé
Scipion en Afrique avec une flotte et
une armée considérables, pour forcer
les Carthaginois à rappeler Annibal
d Italie, où il se maintenait depuis
7.
Voy.
le
,
dernier roi de Perse. 11 monta sur le
trône en 335 et périten 331, après
la bataille d'Arbeïles, assassiné par
il
Alexandre.
substantif mis pour l'adjectif.
4.
,
^cTctts^-cto, tcov ttoXsjxlcov [AsyaXco
tives
3.
6
5
toîç Gvp.7ro<Jtotç touç çcXouç x.al
t?JV£Xap6avev 8 èVt ÔavaTw. Eyco £è r,p;a
Tpwoç
xai
77; ty;; T'jyjr.ç 6p|L7i. 'EttcIc^'
xat TovoXeOpov 3 sxeîvov Aapeîov
xuvetaOat îqÇiou, xai
Xflfl
&u6xsiv
tcoiv
iXéÇavopoç oè, -aTccoav apjr^v TrapaXaê&v,
TTapy.rroA'j
G'jts Gso;
oaoAoycov, èrpa-
TitoTa»; toi; [£<Z£tp*TaTOtç topwrXçxo|*evoç
Apfxevtou;
KalraOra
j
dix-sept ans
DIALOGUE XV
*at xaToottaoôelç, TÎvevxa c>-
ïdi«T7)v ÈuiauTov irapéff^ov
to irpavfJWt. Kat t7.jt
yvo)[jlov(j)ç
Kiraioeuroç icaioeittç
W77T6P O'JTOC
2
,
paJ/wdôv 3 ,
iraweuSelç, ptovn oè
77,
û~'
o'jt;
y.
,
wv
ApwTOTeXei :w
xjjt.eiva»v
or,
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goq>ictyj
Taurx
àyaO?, ^prjffaptEVOÇ.
©uejet
à èyw A/.;;avôp'yj
èVriv
É'-oa^a (Japbaooç
saAï.vix-?,;
v?,ç
35
El è éVri
eivat.
xaXXta>v O'jtocI, thort ^laoyjtwtTt ty,v xeoa'Xy,v dteosoero
Maxeoodt
Ltèv
rauta ni'rrl'
icrwç gai
otj
ow
pw^i
toOtq.
àaôivo)v £o£etsv àv vewaiou y.al ffrpaTYiyocoO avopoç,
yvco^.r,
5
MIN. O
eixoç
r,v
tu//,
itXebv ïhrep t?,
G
,
AAEE.
[asv etp7)xev
ttèv,
77,
/.svpvjulc'vo'j.
oux àycvvr, tov Vjyov, oùàs wçÀiouv
uirèp aÛToO. l'j &è,
Eyoviv
,
w
AXé^avope, ts
w Mtvwç,
p.r.oèv'' itpoç
ôpacuv* ucav^- vàp ^ o/ar, oioaÇat ce oioç
itpoç
rauTa
avopaoCTG)
ptèv
àyco ;3a-
ciXeoç, oloç oè oOtoç 7.7,777.; IvévsTO" oy.to; Oc opa eixxt
ÔAiyov aùroG oiviveyxg, 6:,
icpaypwtTa,
îtas
7v;v
11
Homère. Sur Homère,
teur passionné d'Homère. Il portait
toujours ses œuvre? avec lui dans un
riche coffret. Il savait par cœur 17liafa et une partie de 10 lyss
3. Paywocov, chantant à la manière
rhapsodes, dédamant. Les rhatdes étaient des chanteurs ambulants qui faisaient profession de réciter en public des passages d Homère,
d'Hésiode, etc.
TxjTà
choses
è-7-.v (jercà) a... voilà les
selon
lesquelles, e.-à-d. voilà
en quoi
5. Tfj yvcôur,, son génie.
6. Construisez : oJ:s i'o; r.xo; rjv
A(6yv
fèpstv).
cov £Ti
u.c77,/.0ov,
v. les notes 1, 2, 4, 5, 6, du Dial. n.
2. Alexandre
était
un admira-
4.
9
~y.zùJ]0)V i~\ ~v.
?
àpyr.v TSTapxy|Asvïjv
Toùc œoveae toO TCarpoç
1. "0«jL7ipov,
vî'o;
y.a7£77ov. zaï
'
x-àTa
12
,
©oovîcaç t/.v
7.ÀprèsjxT,Ô€v sous-entendez i-;xpCvadBxL, ou cpâvai.
8.
Construisez: ras
y,
'-f/;j.r,
::-
t:v) IxavTj O'.oaçai as...
9. Néoçôv §xi. Alexandre m
sur le trône à 20 ans.
10. Ty.v àv/Y,v TâTapaypivTrp
dedans de son royaume, il eut à comprimer des dissensions ; au dehors,
il dut étouffer, par de promptes mesures, une révolte presque gé
de la Grèce, et soumettre les Thraces, les Triballes et les Illyriens.
11. Toi»; oovéaç«BOÛ icoxpoç. Phi-
avait "été assassiné par
noble macédonien, nommé Par.
auquel il avait refusé justice peu
temps auparavant.
12. Ki-7., pour xr. sl-ra.
lippe
un
DIALOGUE XV.
3G
EXkoLôa
Gr.oa-.tov
t-?;
pOTov/jÔelç, oùx
àya-àv xpyeiv
s-'.v^ça;
q^udGa,
ôttoccov
pïv,
Tr,v
à^u/sia
2
tt;v
1
GToaTY/yoç ùtc aùrûv yei-
,
Maxsàovcov àcyr.v
ô jraTTjp
xaTeXiirev
deivov r.yr.caasvo;
x.al
xpatifcraip, oXiyouç 3 ayojv, ÊGÉêaXûv
,
Et
tm
i;
ttsciéttcov,
a)», -àcav
«.vj
âTCOVTfcW
'Aciav xal
rpavixô 4 £xpaTr,Ga aeyaAv; uAyr^ xal Tr.v Au$iav
labwv, xat [wvtaVjXat $puytav xal ô').w; Ta &> îtogiv 6
T£
s-'.
9
fltfl/eipoupvoç,
y.aOov
ptupiaoaç rcoAAaç crpaxoS
Ivy.'.
XfO'jç
aycov.
ujasiç
1772 qeou; 'julv ve-
y.y~i-iy.iy.. $1}S( yoOv 6 -op'Oy-S'j;
u.iy.z r/J.izy.;
ÈtïÎ
7
ù Mtvwç,
to qhtq toutou,
ÊvÔa Aapsto£ 6 ûrapwive,
Ïggov,
irrl
ôtapxeGat aÙToîç 7073 70 Gxacpoç, à/.Aa cveo*îaç àiarry;-
y.r,
aÙ7wv
cay.sVyj; Toùç ttoaaov:
tka-nr^eucai.
Rai Taûra àti-
77Çy.770V Dtt»T0Ç 7TpOXtWUV£UO) V 9, XOtl TlTOtôGXSGÛâtl ° à£'.ÛV.
'
Rai
iva coi
y.r,
Ta
G&>p.ai, ctÀÀa jcal
sv
Tuow n
[J-i'/'
:
1. Tf, 0r,Ca{(ov obrariLeta.
^ ivoôv
Sur un
faux bruit de la mort d'Alexandre,
Thèbess'étaiî révoltée pour la seconde
fois. Alexandre accourt, bat les Thébains, s'empare de leur ville, et la
rase complètement, ne laissant debout que la maison de Pindare, l'un
de ses poètes favoris, 335.
2. 'Ayantâv fipy_s*.v tôotov ottot:'.
6
xaxéXiîtcV.
3. 'O/iyo-jr &vû>v. Alexandre partit
~-j.-.';z,
r sa grande expédition avec trente
Ue fantassins et quatre mille cinq
's
4.
cavaliers.
Fpavixqt
,
h Gramque,
petit
fleuve de la Troade. Alexandre força
le passage de ce fleuve à la tête de
sa cavalerie. C'est dans ce combat
Clitus lui sauva la vie.
O.
6.
en
Ta
cm' était
/^cds, devant moi.
EvBa Âaceloc ùxqiEive. Darius
int combattre en personne
à Issus.
7. H'jpidoiç -O/./.a: trcp:*Toû.
-,
In
Da-
selon Diodore de Sicile, éUiit à
iv 'a cor. av.;
y.aOov, xai tov
12
tur/p?-
hxéavov
tête de quatre cent mille
ô'pov
hommes
d'infanterie et de cent mille chevaux.
Amen,
Selofl
son armée montait à
six cent mille combattants.
8. "Osouç..: vêxpoOç. Plus de cent
mille Perses restèrent sur le champ
de bataille.
A
9.
Issus, Alexandre chargea les
Perses à
la tête de son aile droi
10. Il fut blessé à la cuisse dans
cetîe bataille.
11. Ta sv Tûpta. Tyr, colonie
nicienne, métropole de Cartbage,
l'une des villes les plus commerçantes
et les plus fortes de l'antiquité. Pour
la prendre, Alexandre fut forcé de
,
combler avec une digue on môle
le
du continent l'ile
située, il s'en, empara
détroit qui sépare
où
OVTCt) bi 7C03ÎV, ce
Ta
[///$è
elle était
un siéee de sept mois, 332.
Ta èv 'Àp6ïiXoir. A ArUlin,
Darius avait en ligne un million de
fantassins et deux cent mille cavas
12.
liers, dit-on. Alexandre le délit avec
quarante mille hommes de pied et
sept mille chevaux.
.
,,
DIALOGUE XV.
ÊlTOiDffatttQV
y.al
/.al Iltopov lyiipiocrapL'/jv
Ei ^è
&'
twv
77payu.a7o)v
r.y.-jvay.r.v.
2
/.al
tôtouTOV Tt
tticttc'j-
cp'jyr,
7:avouproTaTov
r,v
£^w
PaçO.rJcov à-s'Oavov
4
wv, ?;apà ÏTpotHTia tco BtÔuvS 1 , /.y.Oarrcp
O'jv T£*A£'J7aIov
&è sv
a£iov
à/Opoù;
Trspl ÊfAOU.
To
O'jto;
l— — oy.a-
'j.z-y'/r,
6$oxouv toTç àvGpco-oi;, (nryyvûwrroi èmvoi,
rrapà tô luvcOo;
aavTeç
ÈvucYica
,
cpO.o'j; £J êiCOi7]<7a, /.al to'j;
/.al Seoç
elXov,
2xu8a<; ^c, oûx eCy.*Ta<p60V7Î-
touç av^paç, û—cpêà; tov Tavaïv
Yta* /.alxoù;
é/i'pavTa; aÙT&v
apYjjç, /.al TOÙç
t-?,ç
37
,
ptiv
&>[&araTOV
/.al
H; yàû
ovtoc.
èr,
TON lTa"Atov, £w }>£y£iv oti g oux tcr/Jl, à a)» à ttoà— '.aTia: /.al ooXotç' vvaiiaov oè r. rcpoçaveç ouôev
ïv.zyr.T^i
vr.poa, /.al
'
EttsI ^é tiot ùvetôics tt;v tou®^v, bùj£kri c^cci u.ot ooxeî oîa
Ka-ur,
£77o(ct £v
8
,
toG -o/iao'j /.aipoù; 6 6au(&a<*toç /.a-
to'j;
72 EcTvégia
8riOui?a0âv. Eyco&è et (/.Y), y/./.pà
Ko
âaa'
xai Aiouyjv,
,
açtouava
où/,
/.ai t/. u.£yoi
â'ào^s
Fao eipwv
,
67cItqv
i/.ava
vào â—o ttoaàôv
/.al
T6v Tdyertv. Il ne s'agit pas ici
du Tanaïs, ou Do?i, fleuve d'Europe;
mais de l'Iaxarfe, au delà duquel habitaient les Scythes asiatiques.
tûv
à faire des dieux de tous
hommes où
il
éclatait
chose d'extraordinaire. »
quelque
sur
(Disc,
ni,!, unie, partiel!, ch. 26.)
3. rkoMTta :w B'.6'jvcj>. La Bithycontrée &e l'Asie Mineure,
gnée au nord par le Pont-Euxin. Pru-
nie.
1
II,
ii
la
cour duquel Anniltul
aux Romains.
s'était réfugié, le livra
4. \iJ)u.~iz iE'.ov •}•)
àvOpo-ov
CavoupvÔTxtov xai... '-J.-o'Jav;
5. 'C^drOTOv.
Le reproche' de
:
/
cruauté
fail à
i^i.Vj..
Annibal n'est pas fondé.
\>\
j
310C1S.
Mtvw;, $&&a£s
a
Êû
Xéysiv 6xt ; j'omets de dire.
omitfo dicere.
7. Scji |iov SI r îtpoîpcivè; o08sv,
rie» (chez lui, de juste ni de /o>/'''.
6.
En
T.yr-ys.').-
ihYi. Lesanciens,ditBossuet, «étaient
accoutumés
co
TOtÙTà".
1.
2. Ilxsi to ;j.r;£0oç
uiraYotAevoc:
ùcsiva, u-jrorrrjGCovTa r/)r
[*oi
oçceottjv oy.oAoyojvTa. Elpr./.a. Su de,
/.al
si is
9
[/.s&aov b>ûu.7)G<Zj ri av [livcc £7Tpa;a, l7a).lav âvatLtwTc
Aabcov
les
r^ô;a;
latin
8.
Év
:
K-,'-jr, ('apoue, ville d'Italie
capitale de la Campanie. Les historiens anciens ont beaucoup reproché
Annibal de s'être laissé vaincre par
Capoue. Les historiens
modernes lui ont rendu plus de justice.
à
les délices de
9. Mixpdc
-%
lent
ï-r.iy.j. OOÇ7Ç, regar'•'.
t'A,
c.-à-d
dédaignant l'Occident.
10. Alexandre ne se vante pas.
Quarante ans plus tard, Pyrrhus, avec
des forces bien inférieures aux siennes,
obtint de grands succès en Italie.
11. ra8e£pcûv,GadVs, auj. Cad
Lrémité sud de l'Es
3
•„
DIALOGUE XYL
8
SKHII. M'A
Trpoxeoov,
MIN. Ttç yàç
-IvHn.
-/.y.tticov
,
Kap^TiOOV« 3 yXZt xpaTvjcaç
MIN. Ti
2KHTI.
cÊlleivw
'A*/.2;avoçoj
,
y.
ô
;
/.aOcAtov
3
oùoè
-*/.r.r: icov
4
(puyeiv /7.7avay/,a<7a;
2X311Tl«dV
r^s
?
uu
Tprixo; A.vvi^aç, qùcfè odto; eù^aTouppovriTOç
AIAAOrOZ
IZ'
—
Avvibou
aÛToy,
èyco, a v£vu&7i%à>ç
CO
<p-ÇÇ,
à'
ojto;, ô: r:pô; AAs;av-
A/.dÇavjco:, y.37 kutov
iii\ ïosxûtcrôct)
tou
tïttojv eivat,
[«iv
Al, g^YVWJXOVa
N'/]
2
A'.o-Jcov v.zyyj.y.iz v.iyy.:;.
oùtt âvy.iV/'jvTo:
j.'Jj.y-y.i f ta
MIN.
i:cî;
5TpaT7)YOç
,
IduaÇa, vur/icaç auTovxaï
o;
wv
iroôev
•>,
aîtoucviç.
oùv y.al eu îpcT;;
àruLçaç. IIco; oOv
opov
êuoG
&ati
v.v;
psXTiffrej
el, co
iTaAiojTr,;
r,v
•
WCT6*pÔT0Ç
•
eIta,
aoscà,
ei
t">v.
DIALOGUE
XVI.
monarques puissants, savants, philosophes fameux,
la mort convainc tout de vanité, anéantit tout. La vraie sagesse
seule brille encore aux enfers.
Héros
illustres,
MENiniIOZ, AIAK02 KAI <MA020<Ï>0I TINE2.
MEN.
Ta
adou
£V
,
:yJ.y.'.d>or
l
,
ù
padiov,
pwcvôave.
MévtTnrc, oncavm 5, oaa
-
? c.-k-d. d'où
-'
3.
es-fti ef
tpn
-
?
S
>V
Kav/7
;
,o.y.
Scipion
a détruit Garttaage. Un
bas il dira qu'il a vaincu
il
-
i.
v.:.
tfivTQt
Ouroac U£V oti Kipoepoç eotlv.
1. Mtj (5£xa£e) icpdTefxw...
'>< èpeiçj I>'où étant di2. i:
-
TCeptTÎvijcai
r.y.T.y..
AIAK. Où
y.:
w Aiaxè,
IIpoç toC nXouTCdVOç,
en Afrique '202). et Scipion Émilien,
du précédent pur adopti
qui détruisit Carthage (149) et Nnmance, en Espagne 133).
petit-fils
4.
Oùôè
Zy.r~.ii-y/ v'iô,
Et plus bas
moi
7o:
c5v,
lut
gui
]
:
n'est
oùfè owpsa
Lucien réunit donc en un
5.
vainquit Annil
'A-x/tï
(rspiTivéïo^at).
i
,.
DIALOGUE
Kal
jx.
M EN.
criXea
4
tov Tropôixeot toutov
ewov, xai Ta;
'iSousveÙç
6
/.al ).7,co;
v.îv 'A
eaîpxxaç ëatfay.
'
tov (ix-
/.al
to j; ù oVJsu-o'j;
:
Toùç
(i.ot
y a y. £ y. v or/
•
ojto; èc
t)ouGceuç
Éitsitoe
'Ayf/./.-'j;- O'JTOÇ
*
eiTa A l'a;, xai
xpuTTOt tojv Eaay/;(ov.
ol
w
Baoal,
vaaai
epxXawt
'Eg'.vvj;
ic^ctov
/al
Au>(/.7)07|{,
5,
tàv
[ixXtara toùç éirurquouç xùtôv.
/.al
AIAK. Oôto;
MEN.
vioii
Ouja tout», xai ci, on TtiAupetç 3
rcaXat deî^ov,
<îè
30
o; es oieiripaxK /.al
,
2
xxt tov nuptçXeyéôovra ,
*
Xiulvyiv
XVI.
tôv pa^orôuov Ta
Oa'/ipe, ola aoi
/.c-
EppiTCTat «vveocra /.al xuop<pa, xoviç icavTa,
toao;', àasv/ivà
co;
aXr/jw; XX priva. Ojto; 08,
o>
Aiacxè, tI; ègtij
8
AIAK. Koco;
^xvÎxvxttxào;*
MEN.
VVUVTa
"
1
es,
U
cà
gOto; ^è Kpolo-o;*
lac
/.aOapaa
nupt©Xsfé8ovTa,
rins
du Coe.yte
dans
du Tartare.
et se jetait
partie la plus basse
3.
HLa\ (ciiôot)
la
or. iciAcopelç
z't
I"
à
Salarnine par Thémistocle
,
t,
EAAoç
:
[I
Lib.
-
.
K
v
Puis
..
'.
:
j.
.
t y. .
y. /:.
:
;
r.o a û
1-2.
Kûpoç, Cyrus,
S
il.
fils
de
Zi::r-,
Xcrxès,
v. 452.)
!
tôv c Eaa/t-o--
i
Cambyse
fils
terre
teaux. On dit de même en latin
jungere ftumen ponte,
13. A'.à.... txov ôpwv -/.:./. \
avait f.iit percer Pisthme qui jo
le mont Atnos au continent, p
J.-<
9.
i
fabl. 6.
tgv. Xerxès avait j'oinf les <\êux rives
de l'Hellespont par un pont de ba-
fers l'an 399 av.
tt
Zsuyvûvtci
II.
:
et
(Perse.
8.
at,
ambra samns.
(Horace, Od. iv, T, IG.)
èi mânes et fahula lies.
is
C'niis
r.
ecppirce...
Quoit c'est toi... que..! Ce mouvement
E
se trouve déjà dans le Dial.M
-r. 'fÙAXi •/'?,£; 8l&
TOÛTQ àzA^çtoOr,-av.
11. ^Q xd8otp(ta. Ainsi la Fontaine :
\a-l-en, client insecte, excrément ie
Idomênêe, roi de
,
Diomède, fils de
Tydée, roi d'Étolie, qui blessa Vénus
au siège de Troie.
7
77A21V
et petit-fds de
10. E'.-ra-k...
.
5ç,
AïojnîSr.ç
;
0£ TtOV OPÔV
(480).
re.
1
O'.à
truite
/o;'
:
q EXXà; e<ppiTT8 £eu-
,
d'hommes. Il fut arrêté longtemps
aux Thermopyles par Léonidas et vit
smi immense Botte complètement dé-
que tu... hellénisme,
8 qw\..
pour dire et
4. Tov ^xotXéa, Ze roi des enfers,
Pluton.
Ev.wj;. les Furies, Tisipbone,
f/ (je sais)
u
E:c,;r,;°.
.v.
thon (icup, fea, «p/^eféOco, brûler),
fleuve des enfers qui coulait à l'opposite
icao aÙT<j>
Cyrus par sa
la
envahit
Grèce ai
mère
«sa,
millions
année
de
plusieurs
une
(du Sty\
Pyriphlégé.
/••
/.al o
tootoo; Miooç' sxeîvoç de
EAÀr'cTTOVTGV,
TOV
1/.&V
1. T-fjV /.i'r/r.v,
2.
ô S* urcèp
ElTa
12
èVnv
de Da-
J
ouvrir
un passage à
sa flotte
:
DIALOGUE
40
Èm6uu.ouvra; Olo;
AIAK.
Mr^oaixtoç
BwXet 1
vatxfTov ov.
MEN.
xa\ ô Kpoico; scr:
<$i
xarà
èlIooÙ, TTaraçai uoi
T.y'/ssj ($1 (ù
XVI.
Tov Sapàava-
!
%opôr,£ irr-.T^côov.
oia&pu^sic vào «ùtou to jcpavwv yu-
•
coi èmoeiEco xal tous eroao'je:
Aia yc.
ST-Si
oOtoï coi o nûôœyopac 3 è<m.
AÏAR. npâ>Toc
3
3IEN. Xaîce,
ôj
I1Y0.
]Sr,
eu ye,
MEN.
Ouxiri ypuGOUço fMjpôY4 êcti cot:
IH0. Ou
y.al
w
,
Xov
o
v;
,
av
iri
Msvitt-s.
ri
i\
cocodu/.ov »
(70i
'
k
Êvet.
MEN.
Kuap.ôuç,
I1Y0.
A',:•
vàp wc
Èjceîvoç'
tt^vts; eîclv
MEN.
1. BouÀS*.
—acà
Try.û'
9
,
vsxpotî:
>
i
O'joIv tcov
*/.'/!
ya^e** &gt£ où touto
cô
|*ovov* aA/.a
AIAK. Oûtoç
-
k
coi èoa>om.av
<
oè 2o)xov
k
»
E£/j3ceo*tiogu
6
aùrotc HiTTaxoç ,
y.
'.
EjxaÔo^
oovitaTa.
xuatto; xal >C£<pa"Xal Tv/.vftov
ivftoios.
.
(dyj.r;
Y,cà
,
8
al ot y'/j.v.' ÏT.-y. Si
osac.
cb:
Aa'jttv. outoi
[wç] î~'.0£'.;o)
10
,
A taxe,
(o
?
co'..
SoiKroôç
4.
célèbre
vers 384 av.
philosophe, né à Samos
J.-C, mort à Métaponte, en
u.ovoi
xal ©atopol tôv
k
2. nuôayo'potç, Pytltagore,
Italie,
Eû?op6s, Euphorbe. Pythagore
prétendait que son âme, avant d'animer son corps actuel, en avait déjà
animé plusieurs autres il aurait été
d'abord Ethalidès, fils de Mercure ;
puis Euphorbe , guerrier troyen tué
par Ménélas; puis Hermotime: puis
un pauvre pêcheur. Ménippe rappelle
encore ApoUon, par une allusion iro:
nique à la foi aveugle que ses disciples avaient en lui. Toutes sespnroles
éj-ùent des oracles. Dès qu'il avait
dit une chose, elle était vraie: aù-ï
?»a, ipse dixit, U '' litre l'a d'.t.
;
k
i
â
Pythaeore
•j.r:or.
avait paru, disait-on avec une cuisse
d'or aux jeux Ûlympi pes.
5. <vizz K<o, allons! que je voie.
,
^û
G.
3.
"Atto /
r,
Aaa-/ ©êoê
idto°
II
"fap.
4
k
7T/)pa
Euoopos
sryaBé.
dj
7. Pythagore avait défendu à ses
disciples de manger des fèves, sous
prétexte qu>
mé de la m
•
titre
avait été for-
que
le
corps
humain.
Construisez
8.
BâS=
:
(>'::
(£ .~''.V
XJïjXOt
Tj.}
:
'/.;..
ipzQov
èv-
x=cpa/iQÛ to/.^ojv
0'j6cV Îcov.
Les quatre autres sages sent
Bias, Cléobule, Périandre, Chilon.
0.
:
uisez
10.
Ttôv a>.7.cov, ù
.
Ôpoî.
:
Oîîxo:
:'i.j~ rj'.
jio'vot
y.-r.
•ïv.y
DIALOGUE
O
a/}.tov.
Ta?:
0X05 i^vOr./.wç, tÎ;
AIAK. EaweSoîcWte *
/.
w
,
BffTttl
Méviiïîre,
tf{M2ç6o; shro t?.;
c y.T? p
(SeVcum,
va^coicou
12
6V sbaXe ;
a;
avàÇiov ovt«.
afi
ID.vjv
£771V
T:oA)>a
MEN.
4
.
O
Zar/.paTT.ç
5
-!
/.pr.-^'v
à
dèj
ou*
covy.tôv
Aiaxi
•
iuoS
,
;
/.al
naXxp$OU<;
r/.ôTvo; Xvîpst
7
.
Oixcoç ê€o\Aou.Y,v i&eTv ccjtov,
AIAK.. Ooà; tov oa).a/.:ov
MEN.
/.al ttoa/.v;
àVX' ou$év es 70 coo'.çy.a
AIAK. Ms7a Néarapoç 6
Ta
tOçoç,
acùraîç
cbr/ivôpa/.coGev
cotop'/Or,: vàfl TeOvsoj;
a07.
&ç
.
TaOra
•
goutov
;
:
xoc'j^a
2
7:a0o>v
ti
EMn. M Xa'YY Àia tiç, ô Mêvitt-ô
MEN. 00 pic Ai', aXXà y.evo^oÇta, /.al
TO0T6
;
itaocov.
MEN.
toù;
4f
os tncodoO àvy'-Ac'jj;, ôcrrep 6yxpu<pw^ xpro;, o
o/:y/.-y.vrj.'.;
Aitv/;;
XVI.
A-avTs; ©aXaxûOi
el 7701»
èvOade êgtiw.
;
icavrov àv ewj
cogts
itaiv*
TOUTO TO VVtoûlGLLa
1. 'EjxrîSoxAT,;,
Emp&ocfej d'A-
grigentè, en Sicile, florissait vers le
milieu du v e siècle avant J.-C. Passionné pour l'étude de la nature, il
descendit dans le cratère de l'Etna,
sans doute pour y étudier le volcan,
et ne revint plus. C'est ainsi que, plus
tard, Pline l'Ancien périt victime de
si in amour pour la
science lors de la
grande éruption du Vésuve (79 après
Lucien suit ici la tradition
J.-C).
commune,
qui représentait Kmpédocle
comme victime, de sa vanité. Horace
avait déjà dit
:
Dnm
Dius immoi'talis liabcri
nnlentem
cupit Empedotles,
[giJus
fri-
JElnum
c.-a-d. dans quel sentiment,
3.
'ATrr,v0ûâxco7î
(
[Art. poêl. 4G1-40G.)
4.
tîOvîw;
'E-.fcop:x9r^
convaincu par
Tî
zaOcûv,
qu'ayant ressenti,
<x'j-y.'.;
,
tu
fus
mort.
Empédocle était descendu dans le
cratère avec ses sandales d'airain;
mais le volcan les ayant rejetées ou
vit bien qu*il n'avait pas disparu de
la terre d'une manière surnaturelle,
fait
le
d'être
,
commeil
aurait voulu le faire croi;vselon Lucien et Horace.
5. StoxpcxTTfiç, Socratc. Sur ce philosophe, voy. la note 3 de la p. 15.
6. Nésropoç, y'ettor, roi de Pj
noXapiSouç, Palaméàe,
Héros
babiles
et
roi d'Eubée.
ingénieux
ils
,
qu'hommes
d'action.
7. At.ssï toi -0A>.â,
2.
)
xpificfeiv.
étaient plutôt orateurs
Insiluit.
pourquoi?
cùv
radoter.
il
ne fuit que
.
DIALOGUE Wl.
>!
A1AK. Tèv
Ayr.).
n'.'i.ui
BIEN. Kal toOÔ
o[aoiov*
SOKL. EifÀ Ctt:'.:,
f)
M
I
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.
mi. \.
y
g
'i.y'i
'.
t<5v
W'i'i'i'»'.
2
oyYJaaTa aura
!<•'
ICOXXOÙ;
MEN.
iwpeocaç,
SvxAta Tupavvou;
:v
©i^offoçetv Xlyoufft,
vecov
SOK. M '/A'/
'A /.Va
v/t : c
/.
ta powtapwtTa
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cciravreç*
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M _'/-.--:;
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ffip.oî
(UaTaiTo
ei
tecy*
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tiç, KKpot
îtopa;WC.
olo$ y,/: Twcpà
o!t/.<xi,
A/ptàrtir-
crût
Scpaireoeiv èVcaaÔcov.
2QK. [IJûWaoO îè Tt CppoVO'jTtV
MEN. Euoamwv, «SwxpaTeç, àvSpwTroç
;
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yoOv os
r.'/.itzz
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6au|/<a<7tov
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Loin de
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Lucien,
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Socrate et
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s .-entend, xard, du motn
o03
KoA taOra
"'". buoij/ué tunesti
6.
7.
Quand
Soi
d
-
'/
tyard.
l&fta,
>
eJ
n
t
:
uct
que
wn.
f.
-
•
-
-
"
HAK. K
AMAOTO2
"
—
1/
DIALOGUE
XVII.
philosophes radotent ; les ne h
perdre d'un instant à fautr
les pa
réjouiront aux enfers tond
se consolent ; Us
les autres y pleureront.
-
jw
h
AlOrESHS KAI ITOAYA
-_.-
AI'
--.
-
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> mû c'est f« je
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pré-
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nts.
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kU
mort de son
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M
DIALOGUE
xaTayeyçXaGTat,
Exsl
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to 1
770/.Ù
.
—
Txuda oè où
[/.aXtcra
T'';
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T.y/jG'r,
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[XaXflaxol xât
3
,
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Tt TOIOUTOV.
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ÔTTOtQÇTLÇ £GTt TTJV
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•
TOUTOUÇ ©&OGO(DOl>Ç
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TpibcoVtov l'ywv uroXuôopov,
j
avéaw àva77£7CTaaévov
7701x1)///
Atoyeveç. 'bTTioç 5s eîoû
4
0<}/tV
AlOr. rlpwv, çaXaxpoç
paxwov
xal
:av yjxEiv Oiov.iov T£ ttoa/.mv, xal eïirou euoot
IIOA. A/a' âiuayyfi^ô TauTa,
xîwayri
ivo> vSv*
— Ev-
aùrfii'xat ttcocôtl, hj—l:rr
TpiooM ExaTr.ç osktvov 2
iv T7J
CIO'J
777,
xal
êx W-owjç
atffiffiauç,
tôv avw.» Taôra Xey€
Tr.v
,
7,v
7&oug£ou$, xal çaTochraç, xal
to'j;
oiaY'.vcoTxo'/.swj;" xal OTt
u.v7îttsvot
yO.wç
yglôv, xaôaTreo
Tarceivoùç xal
o'jtco
goi Iti ô
o"aw; oi࣠toc iuto. t«jv ptovj
j-oa(:o:
ooa;
&7ir£toàv
Tupawouç
svôxôs ttoaIw ttacuo sirive^açop-s-
rixeiv
yàp
t/.èv
XVII.
xal Talc ËmiCTuvatç t&v
,
tx
aei, xal
Tro'XXà tou;
£771<7XC077T£'..
IIO A. Paotov îuosîv xiûo y£ toutwv
AlOr.
.BbuXet
5
â\a£dvaç
.
xal tcûoç ocutoùç êxavo'j; £VT£i/>03[Aat ti
to'j; <piXoGo©ouç;
IIOA. Aeye
AlOr. To
xal
1.
77£ol
7wv
•
où paçù
[A&v
yàp
o'j^k
toDto.
6
o^w,7rauGâo*8aiàÙToTç7râpeyyua>,'«poyfft
oacov
"
IpiTouGt, xal
Construction pleine: xal
,
àX>//;/.oi;,
4. 'Qrrolo;... (xorçît) rr,v âkkv.
(to-j-
to 10 (pTipxt fv) 7roA'j (-01), e£ soutenf fit as dû ?e dire.
2. 'E-z-aTr,: Sshcvov. Vov. la note
5.
Bp'JAei
(a>ç.)
èvTîi/.toaa*..
Cornp. .la même construct. note 1
de la p. 40.
At.co'jîi
èct^ous'. , cpuouotv,
6.
icotoûot, o'.Sdoxo'jcn, sont des participes prés. act. au dat. pi. masc.
s'accordant avec aùroïç.
7.Twv oacov, l'ensembledcs choses,
5 du Dial. Mil.
3. 'fi!6v lv. xocOapofoo, ?m œ»/" Je
purification. Les anciens employaient
souvent des œufs dans leurs purifi-
,
cations.
nisi sf conium luslraverit on'i,
Juvénal (Sat. VI, 518). Après la
lustiation, on déposait ces œufs dans
les carrefours avec le souper d'Hécate.
xspaTà oùouctv
8
monde entier.
8. KÉpaTa ç'jo'jj-.v. Ce mot vient
du fameux. argument attribué au stoï-
le
dit
1
cien Chrysippe par Diogène Laërce:
,
-
DiALor.rr wii,
îcpoxodsiXou?
v.y\
7COtoi><7t
'
ô^a-
ta\ TOtaOrg snropa icojT/v
,
'
k
4o
f
r
i
GXOUGl TOV VOUV.
IIOA. A.AA
£7.3
y.y.y/j-?,
AIOI
1j os oiuuoCeiv otjtoiç rra:
.
IIOA. Kal Taûra,
AlOr. ToT;
yùXz TaoTy.
oïj'couci.
civy.-.
Aio-'cvô:. y—y.-".'ù.C>'i.
rcXooGtoie
777.0
r.
ov7a;
v.tov
/;/.:•
v y.37
AlOr. 'AAAy
«
Tt.
co
ô'v.-./.y.Ty,
Tova.
O'jtô
xpàvia
r,
oXiyov
6
x.y.l
vjv.vy.
i
\
r,
3
"/-al
EvaoboXc
YG7]
»
;
irpos i/.sivov:.
toTç x.y.AiT: ye *a\ layytXAÇ X&'YS, BfeX.y.l
ly.v'jy,
ÂaiZACEVCO * TtO 77y.Aa 7T7
,
xoû.7),
ouTSTa vapoirà
1
îtapTsaot
xXXoc Twxvra u.£a
r, u.*Tv
r,
r,
07.
/
.
icjOrv.y. 6icl roG ttoocwitou ct . IgtIv,
wtiLoi
r.
tov 7 ûucom ©uXar-
u.a7cctoi,
rJuvTtOévreç j ouç
'YlXXco 7S 7(0 KoOlvOlCt),
'/jLtTv
©tX/raTON no"Auoeux.tov, à--/-
r)è, co
IIOA. EtoricsTai xaiTaura
::y.o
>.eve.
slloii
THuapeiGÔs âauToùç, XaYtCoixsvot TOÙç TOXOUC,
ti ô£
;
ù
TaXavra 2 èmTaXaSrroiç
c'y
àîWdsUTOV
ivxa 77; 7 rjv'a; aÙTÔv.
Mtrr
TST3
x.y.l
,
uiXava
vsupa eu-
îcqviç,
©ad.
toj fcaXXouc.
k
IIOA. Où
ya).277-jv
oùdè TaOra
eilrèiv
wûoç
toik; x.y.AVj;
îcyuco'jç.
x.y.l
AlOr. KaiToîçwWjGtv 7 , ù
kl rtoùx gbeé£aXe<;, toûrct î/r.;
taôèoùx
ziCc6aXsç,
•
xépaxïâpz
y.£:aè/e:;.
ju'on n'a pas perdu, o« l'a: or, tu
i
pas perdu de cornes; donc tu as
des cornes..
t.
KpoxoSztXo'jç
a enlevé
TO*.oÛ7t.
Un
Autre
crocodile gwi
un enfant promet à sa mère
lui rendre si elle dit la
vérité.
Aussitôt il lui demande s'il le rendra
ou non. Quoi que dise la mère, le crocodile lui répandra qu'elle se trompe
et gardera T enfant. Quintilien Instit.
orat. I, c. 10) appelle ce genre de
sopbismes
:
2.
V.GO
90
Ode
1. I, iv,
15) :
brevis speni nos votai inciioarv long» ni.
et celui-ci, de la Fontaine (1. XI.
(
N itaj
somma
fahl.
t;
Quittez
:
long espoir et les va^es pen-
le
c<. M s-; •/./.'.;>
MégiUe, Corinthien
célèbre pour 'sa beauté. Aifioçévo>
Ban
tthlètesyracusain qui avail
.
.
remporté
le
t»rix
aux jeux Neméens.
complément
7. ToT; -£vt,7:v.
m se trouve après
*l
parenthèse.
g. Aa/cov. Pollux était né à Sparte.
direct de XéfSj
TdXovxx.
fr.
Oj;, vous que.
*Eva tôoXriv, allusion à 1*
que les morts devaient à Charon.
5. Comparez, pour l'idée, ce
4.
ceratinas et crocodilinas
ambiguitates.
c.
Le
talent
valait
x.y.l
3.
d'Horace
sorte de sophisme.
de. le
Ax/.cjv 8 f-jToXXol o sigi
la
3.
DIALOGUE
16
tô irpdtypum,
or^ôofjLgvot
[«fre ^axpweiv, pwjT
Trap
Kal
otXTetpovTÊç tt.v oncopiav), Xeys
fcfltt
^nrajcrap^voç
oip.ca£eiv,
.çoTiy.iav, jcai 07i o^ovfcft
vouç aÙTÔv.
XVIIÏ.
Tyjv
svtocOdoc
Toùç eacî* irXouciouç où^èv shtsi-
'
Aa/.E^avAov-'v.:
iaoO èirtTtaTjGôv, Aeycov
r^à
toT: coiç
Taura, et&OKEÎ,
èx.'ÀeXuoftai stùtouç 8;.
IlOA. Mr,oèv, w AtoYÊveç, wept Aax£oatu.ov((dv Xevs* où
à de ttco: touç
yàp àvéçoptaî ye
AlOr.
TOUTQUÇ
'ÉCCG(OU.£V
-
1
sît:ov* eforcvEyxov
wap
AIAAOrOS
:
,
7
v.'/js/jz
içr.cOa, a7rttyy&A<5.
COt OQKSl' où $è,' ôîç' 1*00-
£77£i
v
Èp.oG to-j: Aoyouç.
III'.
—
DIALOGUE
XVIII.
Beauté, richesse, puissance, force, vraie gloire, réputation usurpée,
tout s'évanouit à la mort. Le masque tombe et l'homme se présente nu devant le tribunal de Minos.
EPMH2 KAI 1NEKP0I
XAP.QX,
XAP.
A/CO'JaaTS ioç zyzi up.iv
opaTS, to axoupiôiov
^fiLiv, cb;
xà TTollà
6
Tpa-rrév
•
E3Ca<JT0Ç.
,
xal,
'jy.cT;
HV
TawïfoTiTe •
r,v
x.al
Tparr?; eVi
cU tocoutoi a<Aa
AIA<ï>OPOI.
Tarpay^aTa 5 Mucpov
.
'j-oaaOcov £<7ti, xaî o^tappe?
Sarspa 7 ,
r'x.57£,
oïvjifGeTai
aaliTTa
07uoffot veîv
oùx
TKpi-
770A),à 6m<pepoit£voi
OÙV pLETOt TOUTttV £plê7)T£, ^£^ia
/.al
wiv
p.7) 'J-TTfiGOV
(/.£-
Èiït(JTa<yÔe.
NEK. IIw; oùv 7rotY}cravT£ç eùttaot^gl^v
XAP. Eywûjuv opacco. rujtvoùç èmëaivçtv
;
1.
Kal 8xi
fttovxai...
Cette pro-
position subordonnée dépend de /.£ye tout aussi bien que les propositions infinitives Saxpûetv, xfyu&jzvt.
Dis-leur de., et que... Le latin et le
français présentent en poésie quelques
exemples de cette construction.
2. Toùç èxeï -ao-jtîo'j:, les riches
de là-bas,
les
riches de la terre.
Sparte à cette époque était en
pleine décadence.
4. Construisez
cwcévryxev wap1
3.
:
èuoû
ypv),
toc,
t.z-
xolrç X<fyouç (tû'jto'j:) oT; ttcg-
Oï; pour o'jç. Voy. note 3
de la p. 32 un exemple d'une semblable attraction.
eIieov.
5.
e
Qç
e/ô:.
quomodo vobis
qtid état
sont
ûjiïv
xà xpdypaTa,
(sese) res habeaut, en
vos
affaires,
c.-à-d.
quel danger vous coure:.
6. (taxa) rà ~oAÀà (pépi)), de
foutes parte.
7.
d°.
i-lOâTîsx
l'autre.
(jxépifi),
d'un cc'féou
DIALOGUE WIIL
ciTTa TaoTa icavra
avxalouTU
cfreÇavro
xai tx
U7I d".)>o; 7j,
t/.v
maç
to âlwO TOUTOU
lAeXrfcEl
&£
êicï t/.ç y/.'oVj;
KaTaXiicovraç
m
to TTopÔiutov. Soldé,
(
dn-iz
EittitXa,
i
Epy.?.,
xÙTâv,
pc.7)06va -y.zy.oy/i'Z Jy.i
'
iaoa'.; ^
o; KV
àrrooaAcov, 772:-/
E<p7)V,
xico£a6pav egt&ç, diay:va>(7X£ aÙToùç, xai y.rjj.yj-
oavs, youvouç èmêaiveiv âvayxav,<av..
EP3I. EoXeyeiç" xat ootco
to; £oti
Ms'vitttto; efyidYe, "A"XV
xat to BcbcTpov
F
|
EPM.
'
777.:
s'y s
BaOsTav,
y.
O
cxotty,; XTcavToç,
XAP.
EPM.
Xacy.o).3co;
/.ai
tiç âirpâ-
7m'pa
'
to
ètci
Epy/?,
tov Tpibcava oè
i
.
w
MIvwctts, âvopôv y.ç.TTS, xat
tov
xuoepwiTrjV
so'
ô'!/ 77.00,
m;
t.'./
stt*.-
x.aAo; à' outoç, tu; icrij
4
6
Mevapixoç 6 ,
Eifeppcaroç.
et.
Embaive
710YI.
O
t/.v
-/.oy.r.v
tojv Tuapetôv ÈpuÔ7)u.a, >taî to oÉqulgl
euÇ.wvoç
*
ù
a'/.,
8
ouroolxal to àiaôr.y.a,
oe
TTjV
ô'
7Uop-
f&OGupôç, Ttç wv Toyya-
o
8
;
AAMïl.
EPM.
Aav.rr.yo:, Tsaokov
Ti oov,
co
Aap.7UiYe,
T6 à-6 toutou (xpdvouj, doré-
navant.
-2.
A.AÀ
-"tov,
Loou
r
~rça
ol~zz-
mais voici gue... soient jetés,
e.-à-d. tiens, je jette
3.
r,
A.ito4u6t Toivapouv to x.aAAo;, xai tt.v
E/si xaAwç
'
woù
lit
k
iro'-wv
Ey.oa-.vs,
îrpoeopwcv
l.
Oùroot
le tt.v /.lavr.v àirsppiaftcov *
oùo èxouuaa, sô
veiç
.
;
MEN.
ipupiôa
7rocnoo{i.ev
EO
icoubv, faisant bien, c.-à-d.
9
Tupavvoç.
TOOWJTa
5. 'O Meyaç'.xc'ç, de M
gare était située entre Corinthe
Athènes, à quelque distance du golfe
de Corinthe.
G. (To icpôvjia] g^si xaXûç,
bene (se) naoet, ces! 6ien.
c
O
j'ai bien fait de
7.
XapiidXeiiK, forme attique pour
Xapjio'Xao;, Caarmoiaùs. Charmolaiis,
etles personnages qui viennent après
lui, Lamp :ltas , Damasias , Craton ,
sont sans doute des personnages ima-
8. Ti:
4.
;
ginaires.
sycov 772:0'.;
(s/uv
ty.v icop9'jp(8z.
ûv tj-;/ av£^
, qui te tTC
tu étant ? c.-à-d. qui es-tu?
IVàwwv, les Gelons, habitants
ville de Sicile, colonie rhoGela,
de
dienneet Cretoise, fondée vers i'
G05 av. J.-C.
9.
r
DIALOGUE
48
AAMI7. Ti
oùvj Èjyj^v,
XVIII.
yujivov y;x£iv T'Jçavvov
to Epi/.-/;,
"
>
Kvoca:
EPM. Tupœwov
pLÈvoùoatUdÇ,vexpov^£LLaXa* wgtc
7.770-
roûra,
6 ou
AAMn.
ïoou uoi ô ttXoûtoc?.. âiwspptirrai.
ri
EPM. Ka
o'iiav
•
1
.
tov tOoov Kicoppiyov,
Bapvfcst
AAMII.
vào to
Aau.n^e, xat
tt.v unrea-
rcopOpLeTov cuveuLicecovra.
xXXà to
Ojx.oOv
to
otaoY)(ta ebccrov
p.e
â'yôiv
*/.al
T7tv
£©£GTOt^a.
EPM.
AAMII.
Eiev. Ti
EPM. Rai
îtat tt,v
t*/)V
raûra aos:.
en: irœvra vàp
xai
tbu.oir/;Ta,
0P*pjV ; xat
AAMI7.
EP3I.
à). Xa îtai
OùoaLLÔç,
wç dpâr.
âovr/.a.
xa!
avo'.av,
77, v
uopiv,
*rijv
Tavra a©eç.
loou ao. ibiXoe
euy&ii
2u oi
EjJLbaive ïigij*
o sûavuçj o TroÀucapxoç, tiç
•
r
"
£'
c *7
AA3Ï. Aay.aTi!a;
EPM.
6 âÔ-Xirnfc.
Nai, èoucaç
*
oioa
yecp os, ttoaat//. .: in Ty.î;
1
raXat-
trrpaiç idtov.
AA3I. Nal,
EP3I.
Où
bfibAvjLLevov
C&CC,
à
Epu.v;
*yuu.vov, à»
*
AA3I.
Ioou
Trapade^at
7.'jT7.;, c77c'.
r
U.0V0V
'j77c3 Jclc
7.77o':£'.VOV,
"/uavôv ovra.
2
.
ttcc».-
xaTaouaeiç to o/.a-
'AA/.7.
Xfltl
TOÙ: CTc-
77. X.7 S'j'."A7.T7..
fcfltî
toi vupLvoç,
p.£
rocauToc capxaç
BeXticte,
ojotô Kiroouut
TOV ET£pOV ïTOoa
CaVOUC 70UT0UÇ
à/./.x
•
to;
oca;,
âXv;6c5ç
etttt
-
•/.::•.
tcoiTac'oç toîç kXXoiç vexpotç.
EPM.
OuTfoç atieivov
tzbstp7J EÎvai'
»
1. Les athlètes étaient renommés
pour leur fainéantise et leur voracité. Dans un fragment de son Ay/o-
Euripide leur reproche d'être
laves de leur mâchoire et de leur
/y:?/?,
tre
:
ô,07s £u6aive.
i
Kai où
k
2.
Tôv s-çspov
itoSac....
pied seulement. 'Et:co:,
|idvov,
comme
«n
a?/er
en latin, a le sens de ï'ttB des de»x:
par conséquent il peut signifier un
aussi bien que auto.
DiAi.oiai; xyiii.
t&qOtgv
ôè, tov
k
k
Ta
7cov ttcovovcov
ooçav, xat
Koârcov, xat
xTTO.Ôep.evo^, co
xai ty4 v Tpuçyjv.'
îrpoceTt,»
7. ;-.('; 7.
eî 7707a
u.Tioè
k
»
|9
Ta èvra'ota XOU.&.'
a 7 7.
-/.y-yj.'-z
•
xat
o-,
ttx^g
'
k
(
k
Yc'vûÇ.,
7 ttoXiç âv£xif]pu££v eùgpY£T7iv,
ors
Tac tôv àvopiavfwv âîriYpaŒaç* 7.703,
em
t/,v i;.x;.a^(::v o:
col d'ywoav, )iye' papuvfii
Xal
xat
uiyav Ta&ov
ârrt
yàp xat TaiÏTa
j*v7|m.qv£uo-
7.3V7.
KPAT. Ojv
ôotuu
excov 7.3v, ûC7roppnyw oe
*
;
EPM. Baba t.
Tratov
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2u oè ô éyoûaqç
©Éofitr
2TPA. Oti
37 L 7.7, 73
),'.;
Yap avxatrx-
ti
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ti pooXei;
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7,
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Esy-r, xat 7,0(773077,
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Y^vOÎa 'J770 7C0
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7.3V 77, V
oXaLOVfiiaV XOIJU^Sl
k
xat xsvooo£tav, xat
£p<t>T7j<7eiç
7.7.77.'.0~0Viav
7.7A7.
k
k
770A/.7,V
'
oOloo;, xat [Ltxpo'XoYta^
-/.-xi
!
,
le
ç
étant
(ûrv)
7.7.1 7.V7.'.7'/
I
sur
,
3.
{
ï>povT(8ci)v,
ses réflexions,
l'homme absorbé dans
xaÔnasvot;
c.-à-d.
ses pensées.
-côv
007.
àîù.à xat
ÔTktYOV
,
Xat
4
I
0V7L7.V,
~à6otai; car gwc
bA twv
7.7.C0V
âicopouc,
Nti A17, xat Ypuçtov ye 7007I, xat
•pourrais-je faire?
2.
7.7.1
»
!
77.07'.
QGTiV 0£
,
'
-
xat Ao'yoo; àxavOtooetç, xat Èvvotaç ttoaottaoV.oo;
yap âv
Y7.Û 770AA7
ttûôtov, sixa xat
(777,7.7.
k
1. T-
sVitôv
k
70 to
Z30, 077V
7 00777.6 S '.7.V OE,
Cy*/(-
17.7.71(0 7X.3770 7.3V a.
•
7T7'V77..
Y2 700
7.770
1
Eppwî, 7.7.àaov èà yoV,:, xal 73-
paTEMCÇ 7.37703. 'ÏÎ773 a7C0àU50V
'/.y.\
ÔS 0070;
(737.V0Ç
xat ppfivGuoafiyoç , 6 toç ôopû;
tpf OVTtOlOV
rça-
7,
aoou Yap Etprïwi,
t
t
7.7.70;,
/.al
7.3.
EP3I. Ac3;'j-3g
r *
Xat 0003V
ti tq tcj-
BaOôv œtà-
j
I
I
7.7.1
op*'7,V
?
xal TpUflMJV
,
ycova , /e aya/t.' laissé descendre sa
barbe épaisse, c.-ù-ii. celui qui laisse
descendre su?* sa poitrine une ba
épaisse.
Bam
Cf.
l'expression latine
promf/j'erè.
DIALOGUE
30
xaî aaA'y.xiav (oo
Kal 70
:/.'jTaJ.
otcaOai aaeivw
yap as,
As7\7,6c
tcov oaaojv
eivat
aaAa
xat
gt
à'oOoo
tyeûooç aè
âycov Èu.€at7jç,
XVIII.
7;sp'.,>cpoVr£!.;
xat tov tuçov, xaî to
,
1,
erfe 7ravTa TaSrra
ôj:,
ircvTTixovTôpoç oeçaiTo avcêj
TrôCot
<ï>IA.
ÀxoTi9eu.ai towuv aura, éirentêp outw xeXeueiç.
MÉN.
ÂAA7. xaî
£:ar. Sapov
tov
TooTov
77to-'tova
w: ôpaç*
ts ôvra xaî XaGiov,
aTroOeo-Ooj,
Ttrevre
avûv
2
co
Tp£-
yô: etcî T0o/\ayiGTOV.
EPM. Eo
Xevetç. AttoOoo xaî tootov.
Ral-Tiç 6 âiroîtsiptov scTatj
<ï>IA.
EPM.
xwv. arcoxwbEi aÙTOV, êirîxo7rM
MEN. OuXj w
twv
oÙTOori, V/.étov ttéàczov
Msvtincoç
t*?î
âXXà
Epijwi,
àva^aOca
Trpiova
jjloi
vcaflnj*yt-
YCTiaocaevoç.
âvaooç
ygVj'/j-
TEGOV Vaû 70070.
EPM.
C) 77£*A£x.ii!;
MEN.
Eo*f£
3
7\si
ixtxpov
'
àv6poo77ivoj7£po;
ââéXomai xaî
EPM. MaXtGTa'
xev, oùx
w
yàp vov àva-c'or.vaç. Boo-
7t5v oooocov;
ô-èp to asTOj-ov yàp xaî Tauraç
oio' s©' ô'tw
^axpueiç,
l'a or, G'.
ixavo;.
4
y.aOapaa
âvaTeivwv
5
éauTo'v.
xaî rpoç
,
£?:•?)
p-
T: tooto; xaî
â-oosiAta;;
Davarov
^' oo v.
MEN. Ev £7i 70 Sapu7a70V otûo p.),r,: G é'ysi.
EPM. Ti, to MaviTrra;
MEN. KoAax.aav, tb Epav;, 77o)^à £v tw fJt<a
(
y cvîti—
a£OTaay.v aoTto.
1.
Kal to c'e^oc
à'j.sîvto eIvck
a/.Xtov, e£ Ze pense?'... c.-k-d.
pinion
que tu
mieux
vaux
twv
e£ Z'o-
que
les
otw,
autres.
2.
Mvwv. La mine
était à la fois
poids et une monnaie.
Comme
A3G grammes;
92
fr. C8c.
monnaie,
elle
valait
sur cette construction, la note J de
la page 40 et la note 5 de la pape 44.
1
7
4. 'Ava-rstyiov éaurôv oùx olo es
un
3. Bo'j)»si(6)!;)... àf£/.(oa-y.i.
la
Yoy. note 11 de
page 39.
<;.
Yoy.
redressant je ne sais pour-
5. "£2 x-ie-apaa.
poids
comme
se
quoi.
T-ô aàA7,ç,
K.-à-d.
i7
emporte à
il
a sous Vaisselle,
la dérobée.
WALOGl'E
MA. Ooxouv
xai to DtXurrov,
7rappYi<riav,
jcat
Xwra*
1,
EPM. M^oaLLÔç
rrwp
ri
:
cj
xat
PHT.
co
REpiodOOÇ,
Bapv] tcov Xoycùv.
77./.A7.
6Y6i. flore
^ue
2
Ta
7.77o--3'.7,
àvAtofj.sOa, to âvxuptov âvEOTraoOo)
icopôtAeu, to
<à
7.77-.-
'Hv' îoou àïTOTtOeiiat.
KPM. Eu
ôuve,
Kal
>
/.al TTac'.Tf^:'.:, /.a:
-/.vT'/jc'ac'.:,
'ïy.zov.z'.G'j/j'jc,
/.y.:
vg xal
p7ju.aTG>v 7r,v TO^yjTr.v
tcov
>
pavroXoYtav, xaî
•////>:/
irpoe tÔv XXTairX.ouv /zv/z'.-j.y.
7.77o0vj
,
7
'^/.y.z.
aX^à xas eye Taura.
ovTa , XXI
'1);
K7ro8où ty.v eXsotepiav,
xai to vswaîoV, xat tov
vouv twv ocXXan
piovoç
TTavu e'joopa
w Mévnnre,
xai où,
M
XVIII.
Lf.aTaioi
tiaXtOTa o
/.al
,
Eu
Trr.oaXtov.
'
rnv xiroêaôpav
îrsfaoôv to Iotwv, ev-
#ra8(«>uev*.
<pi'Xo<TO<poc
au, o
Ti oiaco^eTg,
y^T'.c-j:
ton 77(ô-
vo>va oeoTwpLevoç:
(
MA.
t)Tt
ù
,
Epir/L âôavaTOv âaviv ttv dwyr,v ûirap-
ME\. *FeOoeTài* ZÀXavàp
EPM. Ta TTOÎa;
3JEX. Ors
ebixs Xuraîv
«ôtov*
u.7)X8Tt oencv7)GEt iroXureXri $et7cva
toùç veguç
6sv ic7.777.7wv
sirt
croana àpvuptON
T7J
.
xat lwX'/iLeTat'
Tj.j-y. XU7TEI OCÙTOV.
«MA. ^ j
:
MEN.
pt.7)06voç
Tlco:
6
;
5
,
A/lx,
TtVÛV
tOT7T3p
ô Mevwnre,
ôè,
7.770
EPM. Nat, w
o:
EOTceuoa
31 c'v. 77773
4.
sous-ent.
itiQ(d|i£v,
Tap
on T V 7
comme
s'il y avait
Mtrave
a/.Aa lotxs Xuicéiv sàro'y,
'T^f autre <:/<ose
jUi l'afflige.
tov ôavaTov, xaXiogevroç
etci
oùx
,
«cdOov.
Mror.'j.(ôr,
AOe s'adresse à Charon.
Ej
âiroOavcav;
rr.Ç Ï0(')V70jV;
1.
3.
à'/ Or.
y.cTaçO Xo'ywv, où xpauvr' tiç axaucTai,
2.
eO-V.,co;j.ev./v-
oùx
I
7.o
nfoç, comment
5.
ché
évoç ys
y «coi» •
(le
a), av.
serais-ie fi-
!
KaXéeavTtK pr)fevdç. On dit en
que Ménippe, devenu usurier à
Thèbes, se pendit pour échapper aux
railleries que lui attirait cet infâme
ii.
effet
trafic.
DIALOGUE
52
inyJhiuias covsaOo'vt:;, acrjAcVoi ysX&gi rajcvreç
ty.v
i;
•v.:v,
XVIII.
£-1 tco \y.'j-iyyj OavaTw,
"
y.
al
•/,
yovv;
auToO cuvÊ^eTgti rpoç
tôv
'yuvscucôv, /- a
.770
tôv -alcHov ($aAXeT«t âoÔovoiç toTç
T ?- aratiova, Meoyvà ovxa, ôuouaç
'«
Xtôoiç* aXXoi
AiocavTov tov p7]Topa ixaivoucHi ëv 2t3cuâvi
Ao'yoo; oiççiOYTa
ptafftou
'j.r'-r.z
A 7. y.
70J
ÊTTt
r,7jy{av oè
MEN.
7.
KpaTfcm
irr*.
7007to. Kal,
-3 OÊ OOôVv;,
y.3?7a'.
Oùoau.<5c,
McV. 77773, 0<Z&ÛU£i
CO
à"),
a
à/.ooV/;
saol, îcaï
377
7wv
y.uvwv
EPM. rewaoaç
ci,
,
X.7.0
,
as7' àXivov
w Mévimcc. 'Aaa
u.c.
,
i—i\ 7.y-y-.î-~Jïj-
ûiv ocmre irpoc to oucacT'/iptov. soOsTav
v.yj.vi riiLEiç. buLeïç
3
Aa-
/.
tôv îtopaxwv TU7vT0«.&vwv
toZctztbpqïç. ôtcotccv cuvs^ÔovTec 6a7rTa>Gi
TvCôïovtsç
A-.a ye,
tiovoç.
wpuoaivùiv Qt/tTwrrov
èjceCvrjV
èViTacptouç
',
vv;
ifè
èçapyst 700 Ogy'voo cùvYi/vat^iv 2
x.iù'/.WJGO.
7: 7..
/.aV.cTva
'
è*yw
m
xal
ô
ttocOv.co;
a.A/.oo;
[À373-
Aîo^o'v-s^y..
MEN.
oov eti
E'ji^oêît£,
•/-'/'.
y.v.-yA'.y.y.i
uiÀAfTe;
co
Epu.7j
TCflcvrrwç
ô
éxoctgu
1. Tv Eixvtôvi, à Sicyone. Voy.
sur cette ville la note 4 du Dîal. m.
-2.
Ces femmes
Sî»v yjvaiÇCv.
étaient sans doute des pleureuses à
_
ges, chargées de relever par leur
deuil mercenaire la pompe des funé11
y en avait chez les Romains comme chez les Gr< es. On en
railles.
plus haute antiquité.
xxiv. v. 720-723)
Dans
on voit autour du corps d'Hector des
chanteurs qui soupirent des airs lugubres et des femmes qui gémisla
VJliade (en.
sent.
-/.al
'À^lç. Ti
oixacÔTjvai oevjVei*
oaclv etvat (iapeiaÇj 7poyoô:
Xidtaiç*. AetyÔvicÊTat de
trouve des
iwpotw^ev oè
'
(Jtoç
/.al
7
ÈxeCvqv
.
[ôoôv]
Belav, suivant cette route et
t
là
7a;
yu77a;, %at
oh&piêâ£.
3. JI^oTdvre^
x.al
-
marchant
vous. Cf. la note 4
de-
page 32.
4. Tpojrpùç, v'j-a-, X(8ouç. Allusion aux supplices subis dans les enTifye et Sisyphe.
fers par ixion
Ixion était attaché à une roué qui
,
tournait sans ces-''
le foie de Tityc
était la proie toujours renaissante
d'un énorme vautour logé dans s
:
Sisyphe
au haut
d'une montagne un lourd rocher qui
poitrine
;
obait
toujours.
roulait
1
DIALOGUE
AIAAOrOS
XIX.
—
10'.
S3
DIALOGUE
XIX.
il lui reproche la facilité
l'uilippe rabaisse les exploits de son fils
de ses victoires, le meurtre de ses amis, son abandon des mœurs
:
macédoniennes, ses mésalliances, sa témérité
tention d'être adoré
comme un
AAEZANAPOS KAI
<MA. NîN
hIv,
et surtout sa pré-
dieu.
co 'A'AEÇflevopf
«MAIIÏIIOS.
oux as kapv,;
,
1, où
oux iuxtç uîoç ftvat
yàp av
É*TeôV7'/.£i;
ys'voio
wn
Ay.y.covo; yg
,
ôv.
AAEH. Oùo aÙToç
AtuuvTou
p.ov s;
uîo'ç
2
£'.v.'.'
r.yvoc/jv,
aAA
sogcair/rv to u.av7£ua.a,
Ta 77payaa7a owjXévo^
<PIA. llto:
"j.i^'iiz;
y
77^730, w: j'iakstco'J tou
co
;
r
pr.c.y.ov èooxei 701
70^70- aXÂ
O'I»
oî
ypytet-
c .'/a ..
tov 6ÇaiWtT7)8?)<yoa£vov ôtto twv TcpoofrîT»*
AAEH.
wç
TO
-y.zi'fi'-")
giv:j-
•
(jaooacoi Y-.y-i-ïAyr.Gy.v v.i*.
scaioùoelç Sri âv6to*raTO, biou,evoiôsw «.ayecÔat* cocts £aov
gxpairoov aÙT&v.
4»!A.
Ttvwv cV.ça7/,7a; cuve
âçtoj&gytini
avop&v,
0; Sei-
Xotç âeï vjv/.viyfjr,:, 7o;a:-.a, îcai KEVrapsa, jcàiygppaotijuiva
£rpo£gêA7)U£voiçj
/.al <I>or/ia>v,
Eàà~/;v&>v
xal AÔvi vatto v
îtoateîv Eoyov t;v
/.al
to
'
'A:/.>:c)ojv
5
j
Bouotôv 6 ,
rôwXiTUcov,xal
1. OOx âv... sTvai, fu ne saurais
plus ?ucr gue ?u es mon /?Zs.
(ufoû) *A2. T16î ^lAtirro-j to
ji-jvTO'j, /i/s de "Philippe, fils lui-même
X. 0. de l'Attiqne, avait pour capitale Thèbes.
*<oxs<ov, les PAoctâiens. La Phocide
aussi dans
Grèce centrale, au X. 0. de la Béo-
d'Amyntas.
3. <Q; est explétif.
4. Ka—7:AiY7>,7âv tiî,
tic; elle avait
me Dirent
avec effroi, me redoutèrent. L'aor.
pass.,a ici la signilicat. moy.
5.
EpYov
f,v
,
était
ç.-à-d. était difficile.
tin hoc
En.
vr,
une
De même en
opus , hic labor
129).
est
G. Bo-.(otô)v, les Béotiens.
tic,
affaire,
la-
(Vira.
La Béo-
contrée de la Grèce centrale, au
—
1
pour capitale Elatée.
Philippe fit raser les vingt-deux viik;
de la Phocide en 346.
7. 'Apy.ictov, les Arcadiens. L'Arcadie était située au centre du P< 6£TTaAr;v, la Tliessalie
loponèse.
au X. de la Grèce.
ïTXsfov, les
Éléens, habitants d'une petite contrée
du Péloponèse.
Mavnvéwv, les habitants de Mantinée, ville d'Arcadie,
célèbre par la victoire qu'LpaniinoQ-
—
—
—
DIALOGUE XIX.
;
l
îi--yj:};>
vt,v
otîwOV,
toj; H/.suov ixovTKrr&ç, /.al to
y.y.\
Movtivecov Tce^Tacrtxov , 7 Bpaxaç, î 'iXXupiGuç,
x.al
7,
ïlaiovaç jreipcoaacî&ai, raErra y.syay.a. Mtj^oov Se, xal Ilsp-
(jàv.xaiXaMaicov, xal vpucoœopwv
oùxoiaOa w:
Tcpo
go»j
sxpaTTjCav. oùa
yjj.v., -:•//
•>,
pi'jptoi
yeipaç
i;
ot '2xu0at
7]
toùç tiiv
/.y.-.
T7,v
pie
Kaî ouuoç
;.
ca xwîïOTS. 7
titqu
y.-rj.'.'j.ojz:
v.y.àv
-:->:
3
svr/.a
—
g
•i.i-y.i'j
aetTTvauvTa
./
.
xaT(eoaX<t>y,
7
aoi,
êffloveu-
y.YTs.
2u aè,
y.avoov', t£$
x.cà
rèpoocuveî-
Cléarque dans son camp et le tua
(403). L'Athénien Xénophpn le remplaça dans son commandement, et
du ige ï cette immortelle retraite, dont
tiates,
peuple
habitant au
ces,
—
il
fut plus tard L'historien.
Alexandre ne
3.
—
rite
:
la
dit ici
que
vé-
la
politique de son père fut tou-
jours Jiabile, mais rarement honnête.
4. EV/.-r.va:
icapéXoâov. Voy.
note 10 de la page 3o.'
o.
note
:
auroque;fnlgetarmisetopulentia,etc
2.
Mùpiot, tes dix mitte. Treize
mille Grecs sous la conduite du La<
démonien Cléarque aidèrent Cyrus
ie Jeune contre son frère Artaxerxès II
Mnémon. Après la bataille de Cunaxa
où Cyrus périt (401 av. J.-C.
Tissapherne, général d'Artaxersès, attira
cbçûijetç
yàp y-.-rr^cùi
Èiraivecrat
y'/:.'iy)y.
barbare et belliqueux ,
N. E. de ta Macédoine
TKXu pioûç,
/es IUyriens; ils habitaient les 'côtes
de l'Adriatique, a TO. de la Macédoine.
Dafovaç, fes Tœviiens, tribu
belliqueuse de la Macédoine.
1. Xpuoosdp'.oiv
ivGpwraov xal
àêpwv. Voy. dans Q.-Curce le discours de Charidème à Darius (1. III,
c. n)
Hic exercitus) nitet purpura
.
E).7.r,va;
*
;•-<;
Kal tous
.
ti&ùon opÔAv 9 ïr.ihvj.
îeai
remporta suriBpâxaç, fes TA
en363.
vt/taç, àftpaTOuv
jcao&Xaêov 4 ÔTiêatouç Se igwç
ràç ca: -:a;i'.:
y.yzsoov-x.rv
ràç
où aia<mf-
&TCo<ryou.evoç sd'eucaayjV,
-yJj-y. rravra. TO.sTto;
paai. u.£TevÊouç,
-y
n
tco qoo%ti(o ateXacraç,
caç, oTi
èraivcav,
irarep, xal oî Ivotav iXé-
10
iujlsvoç
ÈTTUopjc*/;
<MA. Oida
ovcù,
,
-
y.ji rjji.
oçiftarov c-:-/;-/
oèj
,
âveXfjovTeç
£),6ew
ÙTvOULeivavTfùv
ye
oavreç oùx EÙJWTa<ppov7)Tov
aCiTÔv, O'ja
RXeapyou
aîT-/
1
to Toçeup.a sçixvéurôâi, oe'jvovto)v;
AAKI. A.XV
caç
2
iêpwv
scvÔpto—(ov xai
I
,
i
a
de
la
u.£-r,/ 6ov.
t
MstoÇù
Voy.
p
KXéïroç , CUtus. Voy.
de la page 31.
6.
7.
-
8r 6ato*jç......
1
Bsiirovôvrct
,
note
au
1
m
d'un festin, en latin inter crniandutu.
Kâvôuu, sorte de tunique à
8.
manches en usage chez les Mèdea et
les Pers s.
9. Ttdpxv ôpO^v, la tiare droite. Le
DIALOGrE
qHol% vtto
Moxçoovwv, IXeuôeowv àvopôv
7WIVTWV VS^OeOTaTOV,
îtv
[Asvouç
ôVa
à"/./.'/
&|JLl[*.oQ
"/jçiouç*
,
TtoV VeVWO)£/ivO)V
T7.
cuyxaTaxXetœv
BTCpaÇaç, Xéouci
avdpaç 2 , xal yajxovç Tôtàfoovç
«.ovov dtxouagç, 3ti t-?;
*.
xat, T
Kcj
7:
")
:•-•-
1
jnjfvsça
|
toO Aa
aÙTOu xat tôjv O-jyaTc'pojv
:
XIX.
../.,:
ÏT.i'j.ù:rJy(^
•
xal
|nj-
:/-,;
paciTvtxà
;
Taura*.
AAEE. To
<pi>.oxivouvov ^s,
w
rareo
to sv ^Huapaxaiç ttocotov xaOaXacGat
,
ci;
o'jx.
txatveîç,
'/.a!
to evto£TÔ3 xst-
youç 5 , xal ToaauTa Xsrosîv Tpayu-ara;
«MA. Oùv. èitaivâ touto, à \Xe£avoos* ov/
Xôv
oify.at
sivai xat Trrpto<yxe<j6aî icote tqv
TTpoxivouveueiv toO crparoO
gtoc G'jvsoscg.
•
6*Tt jatj
xa-
paftiXIa*, xai
aXX' ori cot vè Totoyrov ^xi-
0£oç «yàp eîvat ooxcov,
itots tpw6ei7)ç, xac
et
BXéwoiév es ©opa^viv tou itoXéttou ixxou.tLoa.EVOv, xmjûetv
7 ravra yeXwç yjv8
peofjbevov, oiatOwOvTa iir» t<j» TpauaaTt
,
opwGi
toîç
•
seul pouvait
xai 6
'Ài/.uî.mv
la porter
de
cette
m.
1.
Ta
(I8*i)
twv vîvixTjuévwv.
2. Callistbene et
xal
votiç
Lysimaque. Voy.
snr Callisthène la pote 1 de la i>
32. Lysimaque, disciple de ce philosophe, ayant osé plaindre le sort
de son ami, Alexandre le fit, dit-on,
enfermer dans une cape avec un lion.
.Mais, lui, tua eette bête féroce en
lui enfonçant dans la gueule sa main
enveloppée de son manteau et en lui
arrachant la langue. Après la mort
d'Alexandre (323), Lysimaque devint
de Thrace.
:i. Allusion aux mariages d'Alexandre avec Roxane, fille d'un satrape;
tyra, fille ainée de Darius; Barsine, l'une des femmes de ce prince.
La polygamie était en nsage chez les
rois de Macédoine.
4. Aussi quand Alexandre mourut
fut-il pleuré de la mère de Darius.
(|tâ>oo|iàiVTiç
^ey-
5. IJpwTov -/.aOàAa-Gr.. Non-seulement Alexandre sauta le premier
dans l'intérieur du fort, mais il y
sauta seul. Dallait périr quand trois
de ses généraux accoururent et lé
protégèrent de leurs boucliers. C'est
là que Ptolémée mérita le surnom de
EcùTTÎp, sauveur (du roi).
G. Philippe n'était pas sans avoir
reçu lui-même quelques blessures.
Ainsi au siège
d'Amphipolis une
llèehe lui avait crevé l'œil droit.
7. Cet argument est mauvais. Les
dieux de l'antiquité, pour être immortels, n'en étaient pas moins vulnérables et sujets à gémir et à crier.
Dans
Vénus et Mars sont,
Diomède ; leur sang coule;
['Iliade,
blessés par
Vénus pleure,
cris
d'e
et
Mars remplit de
douleur tous les palais de
-
P
>-
lympe.
"
8.
TaÙTa
cela eût été
-'é^toç f,v, SOUS-ent. av,
un sujet de rire pour
DIALOGUE XX.
56
1
ycTo
,
/.al
opwv tov toC Atûg
ïeîv
BTCfo
:
70Ô: rfjV
c'.vy.'.
H
rrpoor.Tai koXoxsç.
ol
tiç où* av èv&a<rev,
ulov Ac'.rroyjyo'jvTa, Ocoptevov tôov
piv yàp, aitôre
wt
lupoGiro'.r.Giv £X£iV7jv
Tâfonpwfç, oûx oÏes tt/aV/j;
tmxepTOuiûuvTaç, opôrtoç
twi vexpov ToûÔeoù âxTaoNqv /.cl-Acvov, jiuoâvra îi$7]
or.xoTflt* /.y.Ty.
tùv
votiov
tJ«u.«T<ov àicavrcav
to y c/tvaov, ô 207;, A/i^av-jps, to
y./.l
paoïto;. ttoa'J
îcgcv
(j£
taTpûv
/.al i^oj-
AAÀto; 72
;
six TOWTp. zpaTciv
77; oo;r.; àor, ceT-o twv xaToaBouuiawv
s
*
^ràp êoox£i êvoeèc îhto ÔeoG yivecOoi o*qxqûv.
AAEI. Oj raGra
IIpa/.A2? /.al
©covoOctv oî avôpwjço».
ivay.w./.ov
AtovuGCj)
jIoOVOV ÈXÊtVTIV 4 , OVÔ
Iuaû. stXX'
tccoi
TtÔ&fiÇGi
;as.
RottTOi
£72 pou ùteivfdv Xooovtoç,
&y«
77, v
ulovo;
ÈystpwcaixrjV.
on Tavra w;
'MA. Opâç
/.A2~ îtaï Aiovucrw
rçapaeaXXëiç seauTov
AAiiavosE, oùoè 7Ôv 7joov
70 v?:
/.a-,
07]
ulo: Ay.y.covo; 'Asyst,;, oç
v2/.cô:
wv
AIAAOrOS
;
Kal
Hpa-
où/. aio-yov/;
,
à
yvwgtî Geauràv,
Kirou.aÔYi<r/). /.al
5
.
K'.
—
DIALOGUE XX.
aux enfers regrette d'avoir préféré la sloire à la vie; cl les
sages observations d'Aoliloque, sou ami, ne peuvent adoucir sa
peine.
Acljillc
AXIAAEÏ2 KAI AWTIAOX02
AjNT. Ola
1. "H /.£•;•/ £to',
77pc;jr.v
auSûvra
Le corps
ï\- .->.',-/. rfra.
fioi)
v.-i:
d Alexandre
jours à Babylone sans sé-
pulture.
r
3.
A/."/.'o:
6ou{iivtov.
ts xat
D'ailleurs
dont tu
Aiext
aisément parla, /'
la gloire de tes a
tûv xaTopcet
avantage
icre
.
|
Ty./
4.
.
Aopvov
beaucoup de
Èxstvr.v,
.
'AviXXso, irpoç tov Ooixrcéa coi 21-
soss-ent. iv.
Nêxp&v
2.
7
6
quelque distance de l'Indus et tellement liante que les oiseaux n'v
pouvaient atti priv. et.
ôf-<:-.
oiseau). Hercule et Bacchus
avaient échoué devant cette place.
Alexandre, leur émule, s'en empara,
dit-on.
0. K%\ (tuvtjç yot, vsxpôç ûv; et
ne comprendras-tu pas enfin que in es
mort?
cette fa-
Aoraos. C'était une citadelle à
6. A/T'./.o/o-. Antiloque, fils de
Nestor, roi de Pylos. Ce héros, un
DiAi.or.n-; xx.
1
2
fotvaTOU
TO8ÔI TOfl
OTflTKi
$acxaXotv àuooTv, Xsipawo; ts
/.al
<I>olv./.o;
yàûj ÔTTore sV/;ç fJotifocÔOH «rapoupoç
Tcovà/.V/icwv,
a
(TgivTÔv vs/.stov
jxr,
4
.
(SiOTOÇ tto/.'j:
TauTa aèv
TGV rir.Asco; $£ uîov*,
•
aTravTwv, TOTOEtvà
-vjtgj toi pi
<r/ûVn, /.al évavTtoTr,; TOpoc
Tcpoe&ou tov i^ETa
c/.cov
AXIA. O -ai
ivraOOa
9
cov, /.al,
t?.;
oiao'^wov, lero: ty
om-
les
gouvernement du
j
des Dolopes et l'éducation de son
Achille. Phœnix suivit son élève au
I&vaiov y. sapaûSa,
bâtât*!.'
T
[ '0%J'7'7Ï. J
/-.'.
T:OTr
'to"./.'»,
u
[tî]
piotoç
no'/.j; t'r.
iort, glo-
qui
a
x.r/Ovr. xol
pour
èveev-
:
7. 'EÇôv, an lieu de.
8. 4»0(oLVct8t, Fhthiotide, peti
de la Thessalièan temps de la gui
de Troie. Achille régnait sur
Pbthiotes.
9. Twv BvraûOa, PéïaJ des eAoscs
ici, datjs ?es en/î
T6 pfXt ov
èxsivtiJV ôrro-C'-O'/
meilhurc de 'ces
deux choseSj à savoir la gloire ou la
•r,v,
gucMc
ftart
/a
vie, 8g££piov, ptou.
Je
i'uis
dit-on, on beaucoup
[il ;ms sai
jou:s suivis d'une longue
[méinoîi i'.
choisi
tcapo'jpoç Lùv, ftt;Tevé{i» â'/.Ao
'Avoçt -ai' iy./.TÇ').
Va, ne nu
ucèv otTOStpo; Iri t£>\
r-ent.,
10.
Dans l'Odyssée (xi, v. 488-49-2)
l'ombre d'Achille dit à Ulyss
;.
Bo'jXoip.'qv
tw Biw
.
.
jjlv.,
ev
rieux Ulysse; f(limerais mieux, $m\ U
laboureur, être aux gages d'un aui
chez un homme jeu. favorisé dus
qui n'aurait pas granit moyens i'ej
r fcxis «
e, que di
/'.;
mort a détruits.
5. Ilfpa TOÛ xaXcoc lyoVTqç
drfâ de.e gui esî co)immt/e, p/«s jue
de raison.
G. La proposition infiniti
li
riv.ïcor ulrfv
c
bitt
3. Xeiotovtfç tô xat «K'v.v.o:, C/<<Sur Chiron voy. la
ron e(
note 7 de la page 26. Phœnix, fils
ù 'Amyntor, fuyant la colère de son
père, se réfugia auprès de Pelée, qui
OtJ
croi
<Ï>Ôiwtuh 8 paai^xusiv,
t?,
XI.
Mr,
y.cx'xov
to psÀTtov èscsivcm ottotsiovàv"^ ctyvoôv
bres des morts, celle d'Achille s'entretint longtemps avec lui. Voy.
sur
v
tte évocation
i, u_, o da
le
7i-
ÉçcuToG oiavostffôai, tto/.at; ai-
NécTOpoç, à.AAa tots
non à foi.
Lorsque Ulysse évoqua
lui confia
:y,v
àyaOr,; ooÇïiç 6ava*rov,
toi, et
I
toovtwv stvac-
Ttva <tpuv«, o«t-
xà TOeTOpavueva
des plus jeunes, des plus beaux et
des plus braves de tous ceux qui
se distinguèrent devant Troie, périt
en défendant son père. Ami d'Achille
e1 de Patrocle, il fut dépose dans le
même tombeau qu'eux.
1. Lot sfpritctij ont été dites par
-1.
Hxpooar^
TOV O'-Ao/.'.vôuv'jTaTOv
èÇov 7 âxAsû; tooAotoqvuw iv
or,
!
0'.-
uiv Ôtireveiv Traça' tivi
â'yevv*?)
y
'*
p././/>vr,
Siyi,
ouv
Aov, /.al TOepa TOC y.a7.o>ç à'yovTo;
vew
âvaçta TOW
to; y.-cvvr, /.al
ï
r,
-
Ou peu de
(Racine, ïphîginie, bcI.
I, se.
2
)
DIALOGUE XX.
58
70 du<7T7jvov yçetvo oo^gpiov 7?pD£ît(JU*v toG
wjpu
w; èxeivn
r/)r,
2
àvoj ^j/cadiicouçi
x.x'aao; sx.sîvo,
à
1
uîv àvc-josAr,:
[£6Ta
,
vexpôv
A.v7i).oy£, ouT6
u.sOa xrcavTe$ ûtto tîo aoTto
dXXi\kfù\ o ui<péûOVT£ç
ouzgi
v.c, oi»T6
3
£r.;
TauTa
AWT. O/xuç
Êooçe
/-i
'
voiç
k
•
«.era «.wtpov oe
r
r
Taora yàç
â-avTa;'. Octô
•
'
|i
ttîgI ai êcu.ev otas
r
x.otvama toO TTpa^fxaTor,
Opa; tov Hcax.Asa
x&l a/.Aoo;0y.oy.a7Toô: xvdpaç, oi
,
. >
•
i
5*è
k
vov aoTov 7ve7wov0évai.
pov
4
'O&jggsÙc «©tHeTai
itavroe. *epei
T
x.al
T.y.zyjL'/rrjM xcàfi
'
iaOXo;
x.al
X.YiXXa5;
co
k
i
9
àx.pi-
froreua '(wv.
àiccOvriaxeiv
r
?
•
i$è
,
osa; îwv ËTaiptevoGoi
i
A/./.oj; T3
.
6
rravTco;
k
i
8
puq
ti oov av ti; 7ûa0ot,
00-73'.°.
T7J
x«t où^êv
x.al
oîtwv Ayaiwv (kp&icçuQuaiv «myopia ^è
x.a/.ô;
xet-
y.A/.-y.
Tcwcdv vexpol &s-
oi tcov
aviâ, xal zyÔoiiLat oti
w.e
TCaoecTtv
Loaxa ôuioioi,
xai vsxpoç oy.oio;, «r/Acv
.
otc [xaXttrra oi
ei x.al
icy-j;
r,
cvv-
«^à
duumu.wr xat outs to
<^£
*ai oare
'
,
Nu*
[Jiou.
oox.
pw; [i.0-
tov Ms/ia-
x.a t
,
to
/.al
av, oipiat, oe-
é
àvcAOcîv
C'/'.vto
eï
,
7
aoToô:-
tl;3
âvairéad/eie
,
DvjTeuaovTa;
,
hou àoioi: txvopaGiv.
à/.Ar'ûoi:
k
i
Le pauvre en
:a
1. 'Exîîvy,, SOUS-eilt.
sa
cabaDe où
Je cliaa
Tay. )v/:o'.;'..
ÀUusiofl aux
font chanter plus
les exploits d'Achille et immortali
2.
couvre
[le
;
I
[Louvre
X'en defend pas nos rois.
(Ode à Dnperri
.ire
.
IsTjyopfa àxpiê/fc,
égalité
Dans les enfers, connue le dit
Properce (Eleg. in. 3), on ne disting
plus le riche Crésus du mendi
Iras
LydasDalicfaîo nnndistnt Crœsasablro.
4. Voici le vers d'Homère auquel
:
empruntée cette
-
Est sujet à ses lois,
Et la gartle qui veille aux barrières du
.t
i
-\-j.f
citation
xatxôç
-r-j.ï,
:
S.
Comparez encore
Malherbe
De murmurer contre
5."Xoo;i
ty,
ouest,
Ddvrtûç.
TX/Tco: _
î
-
7.
I
a
de la m<
la seule
Oui nous mette en repos.
a.)
Ms^éotypov, lléUaqrt,ffl&
d'Œ
ou de Mars et d'Àlthée. célèbre
.i
î
:erhe
C
tnt
pour
:
[scii
9.
Pins bas,
.
ù<:
[ti.
naturu,
iture a
vers
perdre pa-
hors de propos
Vouloir ce que Dieu veut est
/fîade. IX. y. 549.]
'
elle et
Il est
LcrdXôç.
r//-. jcoù
les
:
>
:
prit part à
gonautes et tua
le
i
'•
s
h
DIALOGUE
AXIA.
r,
tôv Tcapà tov
W.V7ÎLL71
1
GTOV
.
ETaipucY] uiv
Ei ^s
XX*.
TCapaiveci»;
/;
âvia*
(Jiov
iaè 6è oùx oi$'
'
Ol{Jl.ai
oè xaî
or: cm;
£/.'/-
'jV.ÔjV
ôtioÀOYgtTe, tocutti yeipous ia-'z, y.yjf «eu-
u»y|
viav koto 7cà<j^ovreç«
ANT.
O'jz, à/.A
toS Xeyctv doô{jLev.
ÔÊôoxTat
-ico~'/.v
J
r,y.lv
ô
ày.sivvj;,
voep àvcM' :"/.;
tpéoeiv,
xai âvejçecÔat
jeat
,
r
yéXttTa 0<pXw|A£v 3 ,
/.al
uij
,
ùc
AvO^.sS' to
c'mç-co
c-j
r
TOiaura EUYoaevoi.
;
y/
;
AIAA0r02 KA
A
.
—
DIALOGUE
XXI.
mort, chacun regrette la condition, quelle qu'elle soit, qu'il
avait sur la terre le pauvre lui-même regrette sa pauvreté.
la
:
AlOrEISHS, Â>TIS0E]SH2,
Aior. AvtigScviç
oùx aicip.ev eùÔè
x.al
KPATHZ KAI
KpaTZiç
KaOooou 4 ,
ttjç
IITftXOS TI2.
cyo/.r.v ayo{/.ev
,
yevotTO, touç
ovraç
à
Amcojxev,
oaxpuovtaç
|/.èv
y.GsOr.vy.'."
Aiovevsç.
Èviouç &è
Kai vàp av
aurôv iroifiij
to
BeauLa
fil
uceTeu-
eiri
Tpayr,-
flou
ôpav, tov;
otjtgSv
[aoaiç
ti
TCeotitaTTjffovTeç, o<Lotx.svoi
touç xaTiovraç, oioi Tivéç eiai, xat ti êxoiotoç
ANT.
5gté
KaTLoVraç, xai,
wôoOvroç toj Eotiou, optwç âvTtoawovTaç, zal utctiou:
7.0V
âvrepeioovTaç, oOoèv oeov.
KPÀT. 'Eyù
7,7.77,1 iv.
y.
a 7 y.
voifr
77, v
xal oiviWao^ai ûiuv à el^ov,
ÔTC'jra
doov.
Aior. AvjfpGat, côKpaTr,;-
Ibtxaç
yac
tw*
ittpajcsva!
TrayveXota.
KPAT. Kai
avToT: 5'
Tuîôv
4.
7.v
2.
zXÀoi uiv tcoXXos GU'YîcaTfiGaivov Âtuv
gfrur/iuioi.
lff«.7ivoo topos
ëxairrov
gouverné
est
5
Te 6
ttaov'J'.o; 6
ousned*
sons-entendu,
:.
I
ii
Tr:
xaOo'Ôo'J.
Ce
patîentia
!
:.
Qui il qui il corr
-'
nefas.
:
o.
S. MO.
•.
6ok<ù\i=v,
lcrjjL7|vcôwpo?,
/.
génitii
IÙ
JZ.
:v
r.v.:-
.
dialogue: xxi.
GO
Ttpbç, xâi Àp<?ax7)ç 5 Mr/ïia;
O
[ISVtOÇ.
U.h
O'JV
Tpaùaa
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VEowà, à
xvsxccXeTto,7
yoipta, T.v:iizT
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£
XflCl
ôVrâ
\L'j.
oÎxetoç
jaovo'j;
YOUcâç
T72VTC
O
2
x.?.'.
papcaputoV
Ouiov, xal
vjçîo'j
tov î—ttov
K.âTr7raoox7)v
àç
ttoXsiawv, &iq-
aliTti
,
4
ttay^/v;
,
ty,v
pa-
tcé*àT7]
xgj -vàp
ajXOOTEOOl ota-
ulv vap
k
éLpcaxrc
"
k
TfcpouiwE^opt//iîcaç,
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tt;v
k
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OCAÀWV
llev
*
EV T7) £771 TCo A.ÛOC7i 7
i
ûitoOelç oè
•
e
O
cjfrrrAo/.-?;.
t?
tgu Apcaxou tov Xqvtûv
oux acs'Avo;
TTpoçayOr.vat
l/.là
OIYJ'YEÎTO, 770 AO TCûV
yTToaTaç &è 6 6pàE,
Ai'
l'viOV.
ij^Oeto, xck '/lyavaxTEt irc^oç
k
£7r/fXaUVEV,
4
k
zal TaOra, ciaXa;
vij
0770 D'paXOÇ tWQÇ TTEÀTfltGTOO
tov
-
i
k
xat Ta ttîc! Tar
,
tûv
Otto
Eirr/YSto
zaï 6 MÏTTOÇ OtÙTW CUVETE0VTÎXEI
tzqqç
è7T£u.éuL<psT0
XULLOia TETTapa ULCÔ ÉOUTOO
oyiv, s; to
TTy.C3VT£C
êauTM
'
'Apcrax/jç, YTjpatoç £ot], xai
5
ta irai^ta ta
iv/i- xzl
t?: ToAav.;, o; KtQaipôva û-csoaAAojv
ëXeuSeoog;
pa£i£o>v) ecrêvé
oI{i.£i,
Taîv v^Epoîv
iv
Ap-
X}ûQvtf,ç 6
v.y.l
i7rè©OV£UTQ "Vap ÙTTO Xy)«5TÔ»V
EXeuofra,
i;
jtareXé'Xot'n'Et,'
'
«
-j-apyo;,
IGJ&7) VOO bi ÛOÇ
Tra:y. tcw Kitiaipâvat,
T£j
'
,
airocrciETat
(raptccav, aurov
tî otaivEipst xat tov «nrov.
«
AJSfT. Ilcoç oiov te,
vsaOat
ijVJc'e,
grande contrée
d'Asie, capitale Ecbatàne. Constituée
en royaume à
la fin
du premier em-
pired'Assyrie (759 av. J.-C), elle fut
plus tard" englobée par Cyrus dans
spire des Perses '530).
'Apiié-
—
vioç, Arménien.
L'Arménie
,
conti
de l'Asie occidentale, s'étendait entre
Caucase, la mer Caspienne, l'EuKiOaipâvot,
re et le Tigre.
le
de la Béotie.
, montagne
'EXs'jffïva, Eleusis, bourg de l'Attique, célèbre par le culte de Cérès
c; de Proserpine.
le
—
—
I
2.
'
r
TT/.r.yv;
touto ye-
;
Mr.Sfaç,
1
KpaTTiç, pua
E'/.fjHzyl-,
Eleutliêres,
petit
de la Béotie entre le Cifkéron
et Eleusis.
3. 'E;
/"aço?i
t6
(t.ôo;)
^opfiapixdv, à Za
des barbares.
'k. AÙTcp
datif gouverné par sùv
de kTUV£T£0VirjX£t.
,
5. 'Ajx'fdtepoi Z'.-j.r.-j.'A-n-,z
,
nomi-
natif absolu, qu'on pourrait expliquer
par l'ellipse de litsl ^crav.
6.
DeATOKreoD, pdtaste,
fantassin
armé à la légère, portant la sréXTT,,
ou petit bouclier sans courrok
s
fleuve d'Arménie, tellement rapide que Virgile
pontem indignaUia
a pu dire.de lui
A
s. [En. vin, T2S.)
7. ApdÇiQ,
l'Araore,
:
DIALOGUE
KPAT.
ca-r.yv;
ô A,vttcÔ£vfç.' ogùvyàp
Pâtcra,
MnfXflwvw eùeo-
irpoêsS^ipivcç* ô(-):a; Je,
T-.va /.ovtov
ÈiretOY] t?,
Xcffiv,
1
yovu dxXaoaç, oserai
abuMti), £ç to
ô
Cl
aicsxpouffaTQ Ty,v 7FpocooV/}v, xai t.-jScj'jV) au tov
TTc/.Tr,
TÎj
r,
t4« 3~c-
<7api<JG7]
xal Ttrrpcaaxei tov mctww ûiro to ctssvov, trwo Buprô
cr oo:oTr,To;
xal
XXI.
Apca/.r,;
.
Opâ;
ocov ti iyivsTO
2
Kai rjÇtou
rôO Kvopoç
oj
&
'HyavaxTci
tou wrrcou y.â/.Aov to spyov.
(ov Tttîç aeXÀotç,
•
M
oteXauveTca
éaurov ^lenreipavrar
,
xal
a/
Xà
ôy.o>; ôy.oT-y.o;
xaTUvat.
îttttcÙ;'
£4 y 3 bfiOiTT.ç Q ftiftVrnç /.al wavu à-a/.ô; y,v tw
iTOdô, /.a-, ouè êcravai yay.a-., o/^ orrco: pao^tn' Eduvaio.
G
HacyooGt
kùto âreyvwç Mr.cW
5'
TOJV 17777COV, (OGTTcG
icotiiTi
pao^i^ouctv. KaTaoa/.cov rài
uloXi;
xal oùdeuta
u.v.yy.rl
Kayto
TtXeuGatui.
Kal Traça tov
to luopOueiov
ivaoTuov
•
Aior.
syco à 2 p./.a
2'j
piv
,
ù
4
,
'
é77tT7]rteuoç
loaxpuov
tî xal
aoToT;.
xal AvrieÔeveç, TOtoofaiv
,
SUol ^3 B/.c'lia: T; Ô ^avSlTT/.Ç,
xalAau.nçô Axapvàv
6 77AouGio;6 ex
cb;
ttaoov. oî viv
KpaT7]ç
av
'il
,
ets pire avertis
6TUY£TE TCOV C'JVOoV.TTo'cWV
Ilsipauoç
aô$' àvc'y.i;a êaauTGV
yoScav
V
l
Aatuç
icpoç
pi/.T-.TTo;
âocl; oi^LwÇovtaç aÙTOiiç, iwpoaopauùiv
ttocOucTov, TTco/.aTiAaoov
r/.
a'yc*.
§è, o-o'ts xxtt'siv,
to-: àV/.oi;- à a a',
ô
oè
SyôACOV.
ANT.
£-1
airobôai
i-/,v
Iouto* IxetTO,
àvtcracrôat viOsAîv
Epave,' ccpxuevor. aÙTOv exoatcev
6VW Oc
,
TCOV à/.avOloV STTlbaiVQVTEÇ à.XSO-
£771
01
Tra'vTc:
.
^evayoç
Ropivôoû, <7'jyxaTv;2o-av 6
tov,
xal
[asv Ay'u.'.:,
I. laçiT-r,, samse, lance de la
longueur de 14 ou L6 coudées, particulièrement en usage chez les Ma-
Cnv.
cédonii
L'A
o. Àxav/av, A..•jrnanien
%
nanie, province de la Grèce cei
traie, baignée par la mer Ionien.
fournissait de rudes et vaillants ;
2. ']--'.,:, à Chi
!
4.
HeipauÔç,
le Pirce,
porc d'Athè-
nes.
.
gouverne à
la fois
£7tava:
et
V>o>
-
I
DIALOGUE
62
too kouSoç
•jttô
éaurov
sscoto: cbrofftpaÇfl^
£Aî- îTO
ccicoôavûxv, ô àè Àativif, ot
oy.çy.7./.«-j/
J*/-
a-cCX.Ar./.Eva'.j
^s BAc-yia;
6
Xfltt
XXI.
botiXou
^é V8,
àOîuo;
aiiaw ô
oj/co; âç vTT&pêo-
(
A7v xax
) cttto;
Erra
xaiiceû BidiùÇj Kvexpivov ov tootuov airoôavûttv.
Aattioi KiTUt>ffivco tov
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yàû xàxstvoç,
deov 4 *o<;
3
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*
2
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,
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8
2Ù
ti atria tov
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odos iwicote cTpsca;,
szaio; o yewatoç. »
ï's'ji.yr.'i
A/.acvav (©STévê
<^£, cm
O
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frira
à), av.
oaxpu&v
piv yyp BAg'lia;
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oti
à'voiav,
t/,v
icpoGTiîCOimt x/aycotvao'.:,
i:
puoceaflai ô [Ltrnçtoç vauiÇcûv. Daiqv i7.v.ys oôttivtd-
Z8i
yoûftxv teûtooatjv irap&cr/ov tots ctîSovtî:.
Aa7.
urouiua êgllev àrrooy.ô'rrsiv àe ycr,
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-o:sojOcv tooc zmtxvouuivouç.
juXoi, xat -avT3:
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By.oy.-. tto/.ao: «ye,
$âxpuovrsç,
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y.
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tto».-
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VTnruAV. A/.Aa xaî ot ttovu ysyv.pa/.oT;: ooupovrai. Tt
ïcal
touto: a:a ti c.at:ov aùrooç
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2
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7
;
5.
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un yeu moins de 5,561,009 b.
-
-
Tfldjrra
Qu&apaç.
1.
-
Toûtov où? t..
:
'
3. 1
,-'-oo;
(JeXtwte , 3M»
Aior. Aaax ffarpamîç
c.-à-d.
toG
o-javaxi. Ti^aitpuEiç, ty.aiaoOto; *iro-
:-/.'.:.
=
I^fEt
-
:/re
060-
les la'rmt'F et
femme
il
TT^va-'uwv. Ce
les plaiutes de la
Arapécav xoû
qu'il
aimait et pour laquelle
s'est tué.
6.
*0âsaç, oyan?
p?'i.s
Zes
devant?,
c.-à7.
SaTpdTnjç
ti;,
:
t.
ï70:c
DIALOGUE
O nTP.X02.
Aior. Apx
Ô£$E tooto.
oov ÉVXouTEtç,
à 770/. 1 770V Ta T £ V X
O IITOXO-.
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£'.yov, s:
XXII.
xtcooqv
etï] v.sv rj
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xaXau.ou xat ôotuac
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'
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E'.Ta, toioOto; ojv,
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•
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to opôÇj xaî to TôOvava-.
^eivov xat qeuxtÉov*3 .
Aior.
ïlapaicatstç,
ysôcov xai TauTO,
TIÇ ET! XeVOt ICEpt
vépcav, xat [£ctpaxt£U7i
y.A'.xuot-/;;
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770:6 yiw;
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Xouptavouç.
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lP.
là où
ulocoo'tsco;
1.
XXII.
et le
3
KIPEÏ2
T
DIALOGUE
plus laid des hommes ne se distinguent plus
l'un de l'autre dans les enfers.
Le plus beau
?s
—
bri
,
,
0EP2ITH2 KAI MEN1IHI02.
Al£V. 77770; OÛTOdt oY/.a'cc». ICOTSpOÇ
£<mv. Ènrè.
KaXd{i0u,
c'est
ù
MsvtTnus, où xaÀÀtwv coi ooxô:
Mais ne bouceons d'où nous sommes:
Plutôt souffrir que mourir,
proprement
roseau, la canne delaligne, et ôpuiâ; le lil de la ligne.
2. To vsOvdvai geivôv xr. zvjxtéov. Malherbe :
La morl a îles douleurs
:uis à
a mine
nulle auire
autre
le
C'ist la devise des
.
Cet
et
dont voici
vers:
les derniers
'
I
Le trépas vient
tout guérir;
.
fab. 14
S.Nipeoç, ]V
Voy, sur ce héros
_«*« K
<j
n i, „
la P- 13
Dote °
Je
*• ©s=--^.^ FAerSlfe, le plus laid
Et le plus lâche des Grecs qui vinrent
au siège de Troie. Il était brave en
a
paroles et assaisonnait ses raille
qnilni attiraient
ssii
cl'injun 5 g
de dures corrections, l'n jour Achille
le tua d'un coup de poing.
i
'
I,
-2.
i
-
(Ode à Dïperrier.j
épisode du pauvre, qui aime
la vie quand même, rappelle la table
de la Fontaine intitulée la Mort et le
hommes.
I..
Cf. Ésope, fab.
[pareilles
Bûcheron,
EU—
DIALOGUE
64
MEN.
TlvcçOî
XXII.
ÈGTéjirpoTepov, t»tp-at,
v.'j.'.
yàp toSto
yp-Jj
cidcvat.
NIP. Nipeùç
/.al ©£p<TtT7;ç.
ME>~. IloTspoç
o0a&7;cd
oùv o Ntpeùç,
yàp toÇto
Lv
fc>r,P.
ïTOTEpoç q 0eô<7iir7ic:
/.al
(Îv.aov.
[JLEV710Y]
EYW.QTl
TOUT
O'AV.o: Etat
«TOI, /.ai
ttjIucoîïtov ôta<p£petç, r.Av.v; Te t)p7,poç Bxetvqs
OUÔcV
â toçTaô;
y.
E777JVEGEV,
Et»LU>p©GTaTOV
TwpOGEfîwWV
kit
a.TT/.VTCOV
•
6V»,
fcalu/eovoç, oùaèv ystocov
tj oe,'-
ù
MêviTnrc, ovTiva
°
tû
-
^tsczctr. ^>pa
TGV AyXsuaç
l
l
'
k
Xapoiroç,
y.y.\
ouyj rat Otto y^v, w; otjxat,
«
J
I
o;
xaXXiGTG^
KaXXanrç
r,A-
aAA7. Ta uèv oarâ oaota, to oè scpavtov tootti uajvov
*
coii
lrjy.ro
k
MÈN. Aaa
apa
2
,
/.al Euw.opoôTepo'»» »v*îî.
y
NIP. Eue V6
Gô;
©O'O^
^
C.AA
*
i
oiaîtpivotTO aroo xoû ôepciTou îteaviou, ôrt suOpuiram to
•
o&a-iradvov yàp outo, xai owe àvo ccVÎ:; eyetç.
NIP. Rat
,
Epou ''O'xr.ûov oroûbc
tr/jv
»
»
»
r,v
i
,
'
oirore cuvearpa»
reuov toîç Ayaiotç.
MEN.
cy3'.;°
•
OvetpaTa
X&yetç' èyw £s a Vasttw, xaî vûv
[loi
Exsiva aeot tots loaciv 9
NIP. Ojx.oov lywevTauôa
BIEN. Outê
aoou,
/.al
o'jtê
EÙutop<poT£poc^ttu.
jaev /.al
$o£5ç lyw. Homère
MevittîTc:
euulopooç' iGOTiata va? è\
à'/.Ao;
dit
tovto bcavov.
de lai
:
\.;-.'y:,
Stp€Ùç,
'('//'ade, il,
2. Xeipcov, pire,
m, plus
laid.
Ne
confondez pas jreîpw^ avec /î-.ccLv,
de xe Vi "w*n.
3. È'j^y^,
8p».
4. Fin de vers d'Homère
[il.
-
f
-
A;"/. air; tréi;
'-;
/.i'i.'i.'.rr-^;
v. 219.)
« son crâne s'en allait en pointe, et
sur ce crâne poussaient quelques
rares cheveux. »
génitif
a>
oaotot a-avTc; 7 .
0EP. Eaoi
1.
cl»,
-.
.
:
5.
'E-'o
Xc^â«Otd
âvi|p
'>-'
avaxro;.
'l
Jllïnde, ii, v. 072-073.)
8è '"tt/xi^ i ;/.i:u xa;
vOv i/-r.
01 oe «Jts bdJiv è/.etva (a Xé-
à
0.
VS
'
I
7. Ev â'oo'j
5uo'-0( a-avr^:.
Cette idée, et en généioltoutes celles
de ce dialogue se trouvent déjà dans
le Dialogue" VI.
TEAOl.
,
LEXIQUE
DES MOTS
CONTENUS DANS LES DIALOGUES DES MORTS DE LUCIEN.
B. Les
iV.
explications qui ne sont point donne'es dans le lexique
le sont dans lus notes, et réciproquement.
ArE
A
nombre,
en
:
un
quanti
,
AAH
ignoble; lâche, vil ; faible île
cœur. R. à priv., YEwât», engendrer.
cette lettre vaut
surmontée
elle est
de l'accent aigu, â.
nom.
"A,
ace. pi. ncut. de oç,
et
A-j/.'.ctçcv,
«. so;-gû$,
i';,
qui
fl(//.,
R. à
n'est pas pesant, léger.
"Afxupa, a;
Arpcâptov,
"A&eç, cv, g. eu, atfj., qui n'a pas
de quoi vivre, pauvre. R. à
ait.
A'yây/-.,
mou,
A-
a(h';,
pour
cv,
-/i,
â-jpp
5
,
act. ttâvtà.
ad].,
bon, vertô
:
à-y?.-
qui est bon,
6c v (-;à-,'y.a), ce
A-j-aa-'avtov, 9. eve; (c)
(D. xu).
'AfavaxTSto-û), /. r.sco, p. r,-p.vâxT^xa, s'indigner. R. ôtyav,
,
beaucoup,
à-/0cy-7.'.
,
se
fâcher.
x.7.,
,
7??/.
_/".
viaw, p.
«faim-
à^-a-xô-.v-àv, aimer,
êlre content de
o«
p.
'A-vewr';,
ot*yXao'î,
r'erro
,
p.
iryvor./.*
ne pas connai
ignorer, méconnaîl
tfaf.),
pr/y.
,
pow,
-j-vtûat,
-s-.--
.
-
o/m, connaître.
A-poxiTc;, cv, o. cj, inconri'i
méconnaissable. M. R.
V
A -;;(•>,/.
tfaryjtà.
quer. R.
à-f/j,
près.
"Afio,/. à;«,
«or. 2 t;tcv, n//. îfyxfov, co;:duire, amener.
p. r./a, a//, xjr/7..
ûvc; (ô), combat. R. cep».
/. lasfAXl, f. 2 t;ip. pass. «fûvtaf&xt, corn-
Afcovî^CL/.a'.,
[/.ai,
R. irpv.
AS'eXcpr', ri; (r,),
sœur. R.
£&\-
©0';.
s.
\^ù!o>>f. ÙM,aor.
).a,
oh
battre.
si.
Moyen, if x~âcaai-S>u.at
m.
R. à
A-ycôv,
Afa— aw-ôi
Aglaé. R.
*Ay/. w > P- vf/. y-' étrangler, sufTo-
le bien, la vertu.
trop
(o-'".
pers.
'2
courageux
,
a;(r,),
brillant.
tre,
e
é
tueux
AfXaîa,
délicat,
— beau.
sino. snl'j. aor.
petite ancre.
(rc),
Apcs'to-fo, /.
prit'., (5toç, vie.
efféminé;
m
M. R.
ancre.
(r,),
R. gfxupa.
priv., (3apc;, poids.
jà€po;, x, sv, oc/;.,
hameçon. R.
(tô)i
bras.
i.y/,%1,
o.
71 ,
Aoxsr,;,
c-j
l er 7)-p;si-
îrnsXxx, annoncer.
-;
,
g.
sc;-cvi;,
ru/j.,
A^sÀoc';, cù
"A^r,;, eu
Iv
âîcu
(c),
(g),
frère.
les enfers
(to'to»)
;
Iî
;
Pluton
a£eu
i.
•
(toîtcv*,
AIT
ÀIP
2
dans
R. à
les enfers.
voir
Et^H»,
où
,
prii\
eT/.cv
,
ne voit
l'on
,
tuer, détruire
Moyen,
—
chauler.
Ail, adr., toujours
éç xeT,
:
pour
'Aôavacîa, aç
R.
y.
priv.
AÔivaroç,
pén. eu, ad/., im-
M. R.
ou (ô), athlele.
R. aOXoç,
combat.
2 moy. gotdfusv,
comprendre;'
s'aanhnadverlere.
percevoir de,
.
^
.
I.
ou"
prix
(to*),
rf
;r,\
'
IL **»"»•
bon le>
nom pf. /.
At, nom vt. f.
I. Ai,
de
5,
II.
de
oç, «.
r„ to.
S.
III. A", interj., hélas!
Aiaxo'ç, dû (ô),
voj»*i.
„
^«i
éca;
l
tr p«ss.
«feg»-
P^-TW^>
P-
J'°0«w
rosy-a:
,
a-Tscuxi-cmai, /.
aor.
,
1
er
f.rr.axy.r.v,
rn> s *
l'Egvpte.
I. AirCa,
ijpïjxa,
t.;,
cause, motif;
km*,
confr. cTafncnj,
2 e p.
5wo. de
A^.x, *toç (tc), sang.
;,.
a;
— crime, accusation.
II.
r;#
(
Kio^uvoftat, /. ai-
vî ?-
(pi voc.t», Pluton.
/. t <jo),
.
nonte, taire
-
Egyptien.
Aï&weûç,
,
aor I er P«*. #*<"•««, avoir
honle, roug.r de.
Aitew-w,/. ko», p. frwa, demander quelque chose a quelqu un , ri ttvi, ou -\t.%-A n-
Eaque.
(r,),
r
,
.
,
<faœ&'
rougir.
Aia;,avroç, toc. Aîav, Ajax.R. a;.
Aipîmoç, a, cv, adj., d'Egyp.-uttt oç, eu
_
.
V- sing.
2
r éSm
honte,' déshon-
'•
,
combat.
nombre.
A.;pç»,
*
^*
Moyen,
(5),
^
s/
'
«luvoûftot, /.
pressé;— fréquent, nombreux, en grand
^
;,.,
'
J*
du combat.
A'cc'cr, a, cv,adj.,
r
su bj. a or. 2
Aicr/;jvw,/.'jvcj, taire
ou'
te,
—
Mn^
p>
A^yv^r.:
p^
tAflXoç,
5e
A?0 6r _ ali
malheureux.
a, cv, «d;.,
r
m
p.
,
«oôéciiai), /.
/orni. pass.
de
ifai'oôavoaai.
A
Vj>.cv,
s.
sentir,
Oavaxoç, mort.
,
^1
ni.
pnm.
-.<;.-/.•.
yatoip.a.it aor.
Minerve prolecXtavS, à: ï
trace d Athènes. R. Aôr,vat.
Afor**, W v (at, A henes.
Wnien
A .va.:, ou (0),
A6X.7JTT1;,
a-,
V.acuai
immortalité.
(r,),
y
cv,
mortel.
"AÔ>4oç,
aï 76
r/ÎOr, agréable.
,
r.yr.u.y.\. ,
prendre,
er
Aîp<*,/. à;û, p. £:/.%, aor. 1
enlever.
yj;?., lever, élever,
Moyen,
désagréablement,
avec peine. R. àr,&iç, 4c à
Ar/îô»;, ot/f.,
puss.
ci/.car.v,
choisir, préférer.
toujours, à jamais.
priv.
moy.
aor. 2
/. ara, p. jpca,
abscu.cv.,/. «xrcaftt,
form.
de
p.
priv., JûvaCroç, qui peut.
ke&u,
saisir
—
injuste.
"A&zoç, cv, 9. eu, ac//\
R. à prw. , &umq, justice.
'A'V-jv-y.T::, y., cv, ar/j., incapable
impossible. R.
de; faible;
y.
—
de ;
choisir, élire;
enlever du milieu
des hommes (lollere è medio),
prendre, se
poînt.
'Aocj, p.
(de l'imts. ëXu), f. 2 iA»,
aor, 2
AinâofMU-ûjiAt
,
/.
scacuai, ac-
,
AKU
AAH
cuser, reprocher, se plaindre
ou
île, ri
Ai7t.;, x, ev, m/j.
auteur de.
pr.
ouria.
qui est cause,
,
M. R.
contr.
aît'.ô),
R.
T-.vx.
hnpér.
ffairtoccu,
Aïtvu,
/.;
r.
Kl
,
m, montagne
imprévu,
soudain
ttcc; to aî<pvî5icv
à
cet événement
(-fàvax),
inattendu. R. suçvdç, à l'im:
proviste; à »rio.
raître, K<pzvri(,
Aîmvmç,
cj,
cv, g.
dsuvw, pa-
,
imprévu.
od;,
AxxvOoioV,:, e;,
a.
£c;-rjç;, adj.,
AxéVrpa, ?.; (r,), aiguille.
xsopat, coudre.
A/./.£ô>;,
,
R.
,
sans hé-
pauvre. R. à priv.
,
exact
uaV.
y./.cÀcj-
accompagner.
,
sans
poussière
sans se couvrir de poussière
— sans peine. R. àpriv.,
sans
,
pi/'f.,
,
;
xovtç,
;
AxptSa»;, ad?.
exactement, parfaitement. R. abc
,
xacpuu,
ÔxpOOfAOt, »l.
/^ass.
/?.
5. quj./.'/jti.
pointe
la
en marchant
des pieds. R.
,
pied, à/.;:;.
ttcj;,
— grand
haut, extrême;
:t7.:7:1 «0Gt,|a poin-
des pieds
occpcc
;
ipiJ.coooct,
de grands philosophes.
(t,i, pointe. R.
m.
sur!,
s.
A/.wv,
cv,
cucfdt,
g.
comme
R.
lui, etc.
t.
cvr;:, nr//.
rnoitus,
maigre
vo-
priv., ixûv,
lontaire.
r.
fanfaroanade,
,
jactance, ostentation, charlaAàa£«*v,
R.
xXa£«*v.
fanfa-
cv, 9. cv.:, </(//.,
ron, charlatan.
A>.a-j.'îv:'r, r,
cat.
cv,
arf/., facile a
briser, faible
piller, à
qui lance
Àxomornc,
le javelot. R. ixovriÇca, lancer
c5 (o), celui
w-
adj.,
i*;-zZ;,
g.
i;,
tanerie.
poussière.
,
déli-
R. ôXamcÇo», dépouiller.
A"/.-;c:, a.
cc;-c-j;
(rc),
douleur,
mal.
le javelot.
v
eoç-cdc (tô),
remède. R.
guérir.
Àx:'JGa7E,2 e
«r/j.
parfait.
AXoÇgveûz, a:
xXâpo;, sort, héritage.
AxoXcu6î'a)-ô), /. t.ctw, p.
à/.Eco,
Axpt&fc,
forcé,
cv, g. cj, «fV/.
6r,*a, suivre,
tu,
Axmxiî, y;
gloire.
ritage,
a.
,
s.
pâyvuiu. mêler.
te
aaV., sans gloire, hon-
"AxÀDpoç,
A/.c;,
cv,
fiXca)
m.
(./.vjzv.j.r.i,
"A/.ccr, a, cv, «<(/'.,
teusement. R. àpriv., xXeoç,
AxgvitC,
1
"Axparcc,
sur
épineux. R. sucxvda.
Àxapvav, av.; (T, Acarnanien
d'Acarnanie en Grèce).
iy.vny.,
—
ipo/<r
a/f. à/.r.x.',7.
er
p.
Axocîrc^DTt, adv.
épine.
(t,i,
er
entendre, écouter ;
entendre dire.
Voy., obc&ûcuot,/. pjocuzi,
Axp cachai, /.
éternel.
,
R. aùôv, temps.
A/.xv6a, a;
i
mélange, pur. R. i
volcanique de Sicile.
.àicr, a, cv, «(i/.,
aor.
'A/.vJm, /. euott,
aor.
d'iJ.-.TL'.u.y.'..
3
Aàh';7.v£;c;,c'j, (c),
à>.='£(j,
p.p/. aor.
1
er
hnpér.
Alexandre. R.
pousser, awnp,
AXrifeia, a:, j,
,
vérité.
homme.
R.
à).r.-
d'x/.v'jio.
Axcûcc:, cv,£.
lontaire,
é/.wv,
mi,
forcé.
volontaire.
«((/.,
R.
à
invoptw.
A/./.Ot;,
«ce.
si??a.
m. oh
p/. R6U..
de
\'jxH;.
-;.
g. Éoç-cûç, adj., vrai.
AMT
AAY
4
R. ipriv., Xr.Oco,Xavôavu,ca-
f
Aax,
même
cher.
adv., véritablement.R.
'AXrOco.;,
'A{**toîî,
ranl
àXr.ôri;.
A-/.'.su,',
s'w;
pécheur. R. aXç,
[é),
A>,^;v^^,sco;,at/>.,quiest
d'Halicarnasse.
*.
.
AXtzxpvxcrGo;,
&y
(r.
;
tt
i-
Hahcar-
,
nasse.
-
,
;
..
,
aX» ff«
f.
/7
(duprim.
.
aor. l er^»<«, ait: êaXacra,
aor. 2 r./.»-; atÇ. szXuv (du
m/1 *«*«,
part. aXoy;,prendre. -*L aor.
2etleparf.ontlesenspass.
prwn.
aXtoui),
^
A/.a'
I.
pour
même;
or: iXXà
/.-A,
Iija-jrveX û
raÛTa,va, oui, je
rai cette
et
àXX'
fe-
commission.
ccc.
'A/.À7., ??o»j e/
/>/.
?zc?(f.
tfôXXcç.
ÂXXïiXcu;, «ce.
(/e
A/J.vi>.o)v,
p/.
<?c'«.
que sans nom.
;
;
odj. récipro-
les
uns
les
au-
mutuellement ~:c: à/.ï.r.Xcv;, les uns contre les autres. R. à).)/,: répété.
"AXXoç, r,, c, arfj., autre
ko,! rà
:
:
aXXa, et le reste,
e/
cœtcra;
ens.-eni. y.xrà, et du reste, et
—
-y.
pour d'autres raisons 5
5' gXXa, mais à propos.
"AXXtùç, a(/t'., autrement; d'ailleurs. R. ôXXc;.
'AXo-;^:, ac/f.,
sans raison;
—
sans cause, sans
Xc-;c;,
motif. R. à
raison.
"A'/.'j-c;, cv, #. c-j,
ad}., qui n'a pas
ouquinecausepasdechagrin
:
-l â'/.u-cv.égali lé d'esprit, gaieté.
a;
R. ipriv.,
(r,),
V'?^'«.
pri».,
jjutv-
apprendre.
ignorance. M. R.
f>
fe«ftfa|c«
/•
prHM *!^?" w )> P- »«-«?Tr,xa,
fl0r
2 Tuôprcv, se tromper,
«
'
'/.j-r.,
chagrin.
'
pécher .
Aitas-rew, aor.
Ç^ç
}-
2 iw. du
pr.
p.â«*eivove ; -oe Ç -GUî,
ou
'
d iaSÎ wv .
.,
Wstvco, p>
',
àueivova-ôcHi, ace.
nom
0Ji
;
acc
e,
muL
L
,j e
^vcv,
V
:"*
cv, y. eve;
compar.
,
tfi^Mç, meilleur
=
ir-
âu. £ .-
:
vaut mieux.
-771), il
'ÂâéXsw,/. r,<T«, p. r u.ù.r?.%, négligèr$
ne pas se mettre en
peine; être négligent. R. à pr.,
—
t
on a soin.
uiXet,
ÂusXx;,
gcht.
très,
pm\,
»
,
n^
a/./.a.
'AXkd t conj. t mais, cependant;
II.
,
R. à
grossier.
?
w F*86»»
'
/-%
-
-
X,^
B*v
g. icç-cû^ nrfj.,igno-
h',',
3L{icc8iot,
mer.
.
ensemble, avec ; en
temps ; dès, dès que.
o.dv.,
e;,
eo;,
p.
«(/;'.,
négîi-
M- R-
'Ay.éXcGOt, aor.
1
er
imper, d'ini-
Xsco.
Âasvr.vo;,
x,
o'v,
adj.,
faible;
léger, fugitif. R. ipriv., asvc.;,
cœur.
Ap.iXXacaat-oy.at, y. sautai, lutter contre, rivaliser, R. ôutX-
Xa, combat,
"Ay.awv, cave;
(c),
Ammon.
'Aaaûvta, «3v(tx), fêtes en l'honneur de Jupiter Ammon.
"Aaccçc;,
cv, ^. cj,
at//.,
infor-
me, difforme, sans beauté. R.
à
pm\,
accçri, forme.
'Aau^poç, a, 6w,aHj., obscur, im-
perceptible; faible.
pris ouï-.,
— Aa-j^ccv,
obscurément
:
%u.j-
ttpèvPXiirciv, voir à peine,, être
presque aveugle.
AN A
ÀMA
r
A y ., vatvrc, o' p. pi. aor. 1
moy. U'àuù'H».
Ay.j/ra;, cj l), Amyntas.
Ày.-jvM, /.
aor.
-jv:-),
I
repousser, venger
er
R. awatyn, nécessité.
AV7.-/.7.;::, a, w, nt//'., nécesî
forcer.
opt.
re, inévitable, indispensable.
R.
élever
conduire ;
lever. R. ivâ, àVo.
r.auva,
If.
porter du secours.
3/o?/., 7.y.jv,y.7.'.,/.
«or.
l
,r
s.
Avaotocftfii,
—
ger de quelqu'un, -v.i.
avec le
Aav', prép. ù 5 ou;
gcn., autour, à cause, louavec l'ace, autour,
chant ;
avec le dat.,
sur, environ ;
pour, à cause de, quant à, au-
—
—
—
—
sang. R. ipriv.,
u.x, sang.
dou-
teux, équivoque, incertain
teuï. R. Âocpt,
Auupôrepo;,
a,
:
»<(/'.,
R.
l'autre, tous deux.
un
I
g.
deux,
xoepeo,
deux, les
deux.
tête d'une phrase,
nc/j.,
dre,
pren—
emporter; —
tuer.
R. àvx, xîpéa.
Av, conj.
— En
le subj.,
sign.
vous venez.
Gr,;, si
si
:
xv z\-
— Dans
détruire,
Moy.f m.
loiis les
v
avec
cïv,
7.I-
negare t/e nec.
Avxipéw, enlever, lever;
et
etcoc;, autre.
"Aa'j'o,
cuph.,
cienne négation, aiveux'., ferminaison de verbe, comme
f&xXto, jeter.
ov,
v
Avaivcuat, /. éaouai, rrop. ivçR. à/a, rmvofi.T,v, refuser.
doti-
être
iv iu.cot€oXû) Eivaw,
sans effusion de
'Avatu.coTÎ, orfi*.,
tour.
A;/.sîcV/.c:, ov, g. cj, a<tj.,
en-
—
—
ven-
se
;
/*.
xva^âat*, aor. 2
rendre;
répandre;
gcyc&tv,
donner, jeter. R. àva, 5îJwu.'., donner.
'Avâ'îo:, aor. 2 imper, du pr.
enAr/z'vo, lever en haut;
lever. R. cox, ôeipca, m. s.
OVCÛUXt,
m.
hi-yj.-j.vi,
JE» outre, se venger,
—
\va-;<o,
défendre,
;
6
'Ava'.<r/;jvT(a,
s.
a;
impudence,
(t.),
t/e
le
A,vat«xovTo;,çv, g. to, ad/.,
impu-
lim-
dent. R. à priv.ri cuph., xi-
parf. de l'ind., le prés, ou les
aor. de l'opt., l'inf. et le. part.,
elle équivaut ànolre condition-
AvxxaX&w, appeler à haute voix,
nommer. R. àvx, xxXiu,
corps de la phrase, avec
nel
:
ïaGc.î xv,
driez,
A va,
s-!,
vous vien-
si.
— En composition,
elle
mar-
que mouvement de bas en haut :
xvxgxîvîiv, monter ; ou réciprocité: xvxXap&oivEiv, repren-
dre.
honte.
3/o»/.
y*,
prép. qui régit l'ace, par.
Avxo'.cco-ô)
cr/juvii,
,
ÉaotfXL,
KvaxaXEOuai-0'ju.at,
m.
Avax*;pûffau,
p.
i-/y.y.i/:r.z-y/y.,
àvr/.r.s'j/Or.v
àvx,
revivre.
R. àvx
,
/. içto,
aor. I er pasi.
'jTTto,
proclamer.
,
y.r.zjd'jtù,
Axxxatvtt,
R.
publier.
ivô, p.
/".
s'informer,
,
5.
û?/.
i'.Tj./Â/.y./.-j.,
interroger, dexptvu, juger,
mander. R. àvx,
examiner.
Âvo/ya-ytôv, côix,
o'v,
aor. Ipart.
vrer
(Tavâ'Yu.
Ava*pcâ^u, /. aaa), p.
'AvaXau.Sà/0), reprendre, recou-
r.vxy/.x/.x,
;
—
prendre
,
enlever.
R. ivx, /.aaozvw, prendre.
,
,
AN A
G
ANE
f. àv7iu'';o (du pr\m.
à v ?. y. (-«), mêler. R. àvâ, aî-
'A.VflfU'vvutu,
l
'
*
5.
lit.
"jfVUttl,
,
#
AvautuwKnu», kvxuyxm, y.
rï^w,
a or. 1 er xvév.n.Gy., faire ressouvenir
xva-
p. àvxu.ëu.yr.xx,
:
m,
u.vnd«a
je
des
citerai
te
exemples. R. àvâ, uvâa, faire
souvenir.
Moy.,
àva.y.'.'j.vr7/.cu.a'.,âva-
u.vxcu.x*.,/'. r.Tsy.x'., p.
pass.
id.
xvafxiu.w)uai,
ressouve-
se
Kve^vr<a§7iv,
de form.
aor. 1 er
nir de, ait'c face.
sa//j.
cv,
ar(/\,
9. eu,
sans antagoniste, sans concur-
R.
à
prît'.,
w.
euph.,
àvra"y«v.<miç, antagoniste.
R. à
indigne.
euph., àî.sr, di-
6v, a. ou,
'Av-/£'.::,
py'iv., v
flc//'.,
gne.
miea, persuader. R. àvâ, -eîOw, M. 5.
Avxttel/.— w.
Ev.dco,
/".
aor. 1 er
en haut
muijia, jeter
voyer. R. àvâ,
;
àvî'-
— ren-
tA'j.-v),
en-
voyer.
Ava-nréijuJ/sia,
da
a :,
aor. 1 er
e,
0/)/.
ou
R.
d.
r,
,
cv,
parf. p.
pass. de
non
jÉLV&rrxTOç, cv, g. m», adj.,
stable; — détruit
T.v.ïrj'j.'.
g.
âv7.q, roi.
:
xikcotxtgv
renverser, détruire.
,
R. àvâ, néo., crâu
,
îarr.at
placer.
À.vxmv»,/'. cvw, aor. 1er àvrrst-
un
éten-
âvKTetvetv
laurov, avoir
air hautain.
R. àvâ, 7e;vo,
:
Avarpeir», p. pass., àtarérpap.p.7.:, renverser. R. àvâ, tse-co,
tourner.
jlcvx<pxivu
montrer, découvrir.
,
R. àvâ,
©atvtdy*»!. s.
J/o;/.
,
vy;v,
er
xvxjpaiyGfAae, p.
àva-
aor. 2 pass. àvsoâ-
paraître.
Avo;y., ace. f. d'irr.z.
Av$païco£ov, co (to), esclave.
àvr!;,
à.
m.
homme,
iroûç,
pied,
R.
??2.
homme enchaîné par les
pieds.
AvJpaTKr&d&oç , s;, 9. êo^-obç,
adj., qui a l'âme servile, vile.
Av^pxai,
f/af. p/. d'xi-i.j.
Av£peîoç, a,
Avxicetxwuju,
1
régner sur,
,
R. àvSsâ—ooV/.
pr.
Av7.-E7rT7.y.Evc;,
fior.
c-âco, tirer.
AvâsGco, /. âc,w
77£'vr,va,
AvxraîOco, /. sico, aor. 1 er àv£-
éo/.
—
tendre.
Àvayr*Y»vi<TToç,
rent.
R. àvâ, kXm»;,
va, p. àvarÉTttxx, élever,
aor. 1 er
t.,
y.:,
plein.
Av^a-âoi-â), tirer en haut, retirer ;
lever Pancre. R. àvâ,
dre
Avy.y.vâco, y. àvauiuvwnees.
Avafunâa»,
du pr.
tout
plein.
àv:'.-E7âco,/.
xveircraaa,
xsw,
ouvrir,
déployer. R. àvâ, irexavtwpi,
le
R.
5
cv,
adj., viril,
mâ-
— robuste, — courageux.
àvrï:
Av£piaç,
0.
avre;
(0),
statue.
MR.
7n. s.
Passif, xvxiterâvvoftat, être
Av^vOjot,:, 0. Éoç-oô;, «dj., viril,
déployé, ouvert. ^/af. par/, p.
qui a un grand cœur. H. R.
Ave/.x/.eîtc, 5 e p. s. imp. moy.
AyaîrsVdiva, xç,
é,
p. mo?/. d'à-
A -â-Àîojç,
d'y.j7./.y.'/.io).
Avî/.y; j^a, aç,
•r;.';7.!'/w.
a>
;
??.
p/. a, odlj. o».,
JCTjpÛffOW.
s,
aor. 1 er d'àvx-
ANE
Av/y.c.vcv, eç,
imp. cfàvetxpîvu.
pour ivnXuôa, p.
i,
3Lv€XiîXu8*, a/f.
m o?/.
A-NI
Avr,"x'w-ô
jeune, rajeunir.
jeunesse.
d'x'iz/'-y.y.:.
2
AvgXAttv, aor.
r,;,
jfc.vdJcov,
oôaa,
s?<^j.
id.
(Tàvatpeu.
;ao//.
AvEfu'aTOToç, :/, a. cj, aaj.
.s/on. ac/.
?'d.
,
aor. 2 sn/'j.
1
rr
l
mo».,
homme
; mari ;
Latbu.
AvO', p. xvr', cfep. une voyelle as-
pirée.
contr.
'AvOsî,
d'xyOsV.
,
3e p.
s.
prt 5. de
;
d'y.'ty.u.':—i\>').\.
AvO='w-b),
/".
fleurir.
&vaiup.nî<JX(i).
*Aveu.vT(icidTiV, r.
er
c'est /e vir oVs
priv., v6p.£<jâû), s'indigner.
aor.
I
.
v...
d'àvr.oxw.
Avt!;, a. àvfyo';,
in-
,
nocent, irréprochable. R. à
Aveu-iEa,
iv«,
II.
\rr.Zr,ni<j.-f;i ,^,x-'^nor
aor. 2 par/.,
cv,
y.TT. .,
r,,
M.
,
2
r„ aor.
Av-aO™,
Xy&Xcatxai,
ia/.
rnifven;;
r.^o).
f.
,
7
wh
R.
être en fleur,
,
x/Jc;, fleur.
v
AvOr,, con/r. d'xvOix,
vent.
x/r/w.
jkvettoç, cj (ô),
r.
Ave;cl/.'/'.,
1
no./'.,
qui n'a pas besoin de. R. x
a. lécç-ecûç,
i':,
prâr., v eapn.
besoin
,
i~:$ir,;
sur,
(=-•,
,
^copiât,
«(/j.
peu
,
aimable, odieux. R, à />rù\ ,
ipaurrcç, aimable.
'A'^V/cu.?.'., remonter, revenirsur
,
— survenir
Ja terre;
gOxi
c<5cv,
:
i-'izyi-
refaire la roule, re-
venir sur ses pas. R. xvx,
-/cay.i,
fjp-
venir.
x<j6u, p. i;np.
Avscnraffo,
d'àvxs—a'o).
'âverpairav,
y.:,
r,
—
pass.
2
élever,
soutenir;
R. «va,
fjr,«,
Ifoy.
aor. 2
tenir
;
,
—
,
r.ac-
fleur.
[rrf),
parfumé. R.
retenir.
i'Cw,
«vexofMU, /. éÇofi.**,
lever, sou-
-l-iiT/yj.r:),
;
ace. ou gén.
sen-
tir.
R.
humainement.
âévdpuiroç.
m.
(Mb.,
A0;(O77'.x.(or,
s.
jlvdpâmyoç, r,
adj. , qui
cv
regarde l'homme, humain.
M. R.
,
'a/jçci-c:,
,
homme.
eu (g),
e
p.
s.
pr.
inrf.
dé
r'r.xOv.v,
xa'o,
aor. 1 er pasî.
chagriner,
chagrin.
attrister,
désoler. R.
dfcvia,
Moy., KviaGuou-ôf&at,
avoir.
— endurer, supporter
odoriférant,
,
ofvdoç,
'A-/)C(o-£'!(o;,af/i'.,
Avtâw-â,/.
aor. 2 avsojrov,
=;(o,
R. ivri,
/".
àvôîoraixau
Ar.x, p. xv.xV., 5
r.axv, aor.
pass. cfàvarpeire*.
'Av 3 y/o, /.
Moy.,
AvOct;j.îx:, ou, a(/j.
cj,
o.
résister.
umr.ui.
*Av6c;, se;
cv,
—
j'ai
'Av-p, roc. 5. d'y.rr,z.
v enp/i.
uneautre;
qui a
besoin).
AvisxGTcç,
on ace.
Avôî<mrçu, opposer une chose à
'Astsmia*, v. àvaireîflu.
'Av377'.'^x;.
7i.
p/. d'à-/ Oc;.
trister.
A/ :7 Tï. y/.,
faire lever.
s'at-
— L'aor.
2 et /e p. on/ /e sens d« moy.
R. à;x\ l-rr/j.:.
Moy., àvûrrzjiai, y. omarsI
'k'i&tyioç,
cj (ô),
Av£6)-j«ùç, uîa,
d'x-r.îy.o
niasc.,
;
—
nom.
cousin.
c'ç,
p. pa?7. î?2oy.
àveco-fora, ace. 5.
e/
arc. p/. h.
oofAot, se lever, se relever.
Ar.ôy.s
yiao.
5v,
parf. moj/. d*i-
AKT
8
Av/îêa;, tu
Avcia, a;
'Av&t"y»,
ou
(;
sottise.
R.
Moy.,
esprit.
aor.
I
er
àvs'uÇx
Pass.
moy.,
et
1
er
àvio)-
so;-vj; (ô)
,
R. y.pnv.,
v
ew/j/i.,
—jadis
ovt^u,
liaut<
n
ace.
iîeç,
Anu-
(c),
"
,
,
j
y
fengrafr, £ affaire des in-
,.
,
y
„
,
j.
,
.
.
formations contre quelqu'un.
i>
.p
.,
„
R. avrt, contre, ec, d après,
~./y
„„
cT-y.iw, examiner.
«
>
,
t,^,,,
Moy.,
avre^eraÇofiat, cror.
i" pa.ss. àvTe^ràoôr.v se
,
porter partie contre, s'oppofcvTsÇïTaotoiç, Elaa,
e'v,
aor.
1
xiw, servir.
r,; (y,!, hache. R. a-xo,
-
>.
',
'
de
avTi, tpEtdto,
ur,
appuver.
R.
au lieu de; à l'égard de;
pour un;
/T-.Saîvw,
traire
;
marcher en senscon-
—
sisler. R.
lutter contre
,
fii/UCH.
ré-
••
,
antithèse, op-
ternie
u.avT.
de rhéto-
àvri, T-Or.at, placer.
combat,
,
,.
ad,.1*
d, S ne (Je
.;,
,
aor. l rr y.çi«o*»p.*M«*, juger digne, juwero),
~
croire J uste
S er a P ro P os
nC P3S reflI r î
cslilll ^>
penser. R. a;;::.
i
^
^'«P*. «««(«),
>
~
dignité, titre.
Tl
.
^'-«v,
?™ fr «W*»,
-
P«?rt.
a a^w.
dignement, d'une
manière digne de. M. R.
'A:îw:, atit).,
'A^-yo-ye, atf. p. à-?.«;=, aor. 2
i
m P-
d'ind^u.
Aîraja-ywv, outra,
y.—'., ftJaîveo.
c-Os/îtc, eco?
position
,
,.
'
'
,
àun seul cas legén.:
kvt' Ixe'vou, à sa place.
'.
„
.;
„./
A 5"'?' a "'
,
-
'
*
]\T
à cause: àvô' ivoç,
.
''
battu.
er
Via©, résister. R.
f.
' i>
\Ki-.i,prèp.
[
'
.
1
•
7
aaj., digne
—,
combattre ou u être com-
Afcioitavo?, ov, J
o. eu,
.
Vrasefta,
/".
briser>
>•
pass. c/w or.
V;Ts^..r>o,r,:,r„aûr.l er pasS.
^'^ v _ _ : ,.' a)
7>arf
choses
ceux d'en
les
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£vco
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'AÇlvd,
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or
sen-
=~ G J/., inu _
tile.R. àprivt., veuph.^àoe-
•
<.
stv-Xcç,
es vivants.
Xvw(fEXY ;?
une voy. pour
dcv.
,
Ta
:
d'en haut;
;
hrt
r,v,
tine.
être utile.
Avco&s,
,.
R.
senlinc.
la
Avovïîtcç, cv, o. eu, arf/., inutile.
IS
aCC.
,
"Avo, aoY\, en haut, d'en haut;
.
^
form. pass.
\'nU(ù,f.r.otù,p.v-i-'/.r,y.7., vider
aor. 2 àvEÛy/;v,f>. mot/.
*
a*e
Anlislhéne.
àvsVra,étre ouvert, s'cnlr'ou-
uir
er
roger; lâcher d'obtenir.
àytv^cu.cu,
aor.
,
1
àv7s-ciy0y.-;,revendiquer,s'ar
AvnffÔsvy.Ç
p. àvîVi-ua».
àvTHr«s'cu.xi,/.xcf&^
aor.
[tai,
p. àvc'cava, aor. 2
ouvrir. R. àvsc, ciSw,
S.
X&t.v,
son tour, rendre la pareille,
R. àvrî, ttcUia, faire.
:.'-/;.,
r./5'.y.v,
W.
folie,
vo'c;,
'„[;«,
/".
Annibal.
(g),
(y,),
àpriv.,
AnÀ
ov,
aff. p. àrrx-
Tf»v, ao?\ 2 parf. du m.
'kTaty^ùXa, f. eX5>, ao7\
àr7r,-'-;-=
-'
./.a,p.à"."y."f £;/ / »
,
1
er
an "
i
avtîàcvcç, eu (c),
;>'.-•-. v.iw,f.
Antiloque.
r.oo, p.
r.x.y.,
faire à
noncer, rapporter. R.
>.<•>,
m.
s.,
?»o, de.
i--~;ù.-
—
,
.
xno
aiie
emmener, mener
Atcs^c*,
à-:',
ramener. R.
AiraiSeuTo;,
de, a-yw.
w,
#.
ûv,
a<//.,
sans
instruction, ignorant, ai>. /e
gtfft. R. à pnï\, irai&Ôu (iraîç,
enfant
XiMirs'u-û, /. lîdfl», p. -r—f./.y.,
réclamer, exiger. H. onro, de,
demander.
a-Ti'w,
,
>
délicat,
mou,
faible.
'ArT7./0ca/.c'o)-w, /. (ôffto, aoj". 1 er
à-r,v0pa/.w7x, réduire en char-
bon. R.
bon.
bico, de,
àvûsx;, char-
7».
oti
nom.
el
ace. pi. neut. d'oi-y.;.
'k~v:i-y.yibvi
'Attxç,
de ious côtés , de
R. à.-y:i-.y.yyj
,
/jeu d'où
/e
f/ic/.
rien?.
y-y.cy.,
O.
sEirav,
OIVTOÇ,
tout ensein-
ble, tout entier.
R. à augm.,
(/fi?,
p/.
2
d'y.— "Arr,-
prés, et fut., a--.cv, ?'mp.,
àrrex, fOJips pn55é
\ t:*.- ap.r,v,
à-:',
de,
:
s'en aller,
sly.i,
w, arc; 2«
aller.
p.
p/.
v
ov, g. eu,
aaj.
,
inespé-
rimenté. ignorant. R. ypriv.,
-r.i'zy.,
essai.
AlrôcXsiov, jç,
e,
imp.
rf'à—cx./.îîa).
^7E6xpcu<ratiY)v. aw, ay-o, aor. 1
moy.
er
d'à-;x.p:j(o.
iLvsxreivc,
aç, s,
—
—
[&at.
AirEpfaaaoAai , aor.
t/«
aor. 1 er rf'i-
iTC/.Têîvw.
DUL, DES MORTS.
1
er
iiifm*
pr.
p. poss.
titrai,
'.yx.'.,
d'à-oçil-Tw.
3 e p. due/, pn»/.
bnpcr. pan. du m,
AicsaxXxxevai, par/*, m/. d'%~i~
cncXnju.
eu, êto,
r.
y.~iyj-).
y-.vyvt..
'\r:iyz-r,ai, v.
'A-='-/w, s'abstenir.
R.
de,
àiro,
vyiù.
«o?
1
.
y.T.iyw.y.'.,
2
f. àcpé£c-
y.-iT/i\):c.->
s,
?.:,
,
Ht. s.
r. otaravftpa-
xéa.
impér.
"Amjiev,
l
re
a;
'A-'ct-'x,
d'y.~v.\j.\.
p. p/. pres. mrf. fin
défiance
(r,),
-,
::?.
— per-
R. à prie, wî<ms
fidie.
,
con-
fiance.
v
At:'.<7tc;,
otjto, f. à-j'-co.
A-s.:or,
s.
faire j
Ain p-«£Çcp.ai, achever ;
rendre. R. dfow, de, ÊffaÇc-
"A-'.O-.,
R.
m.
àireiirâpjv,
bavardage. R. Xrycç, parole, à
u.a.-.,
cx.w.
aller.
(»ius.)«
y.-.
A.irepavro>j&"pa, a; (r,), loquacité,
A~r.vOpâx.cocra,
diipr.
àtte'Oxvcv, sç, s, ao?\
"k-i'.u;.,
1
à-:'--. y
,
er
Mon.,
tout.
'A-asï.r, i\ /e pr.
A-;.?:,
iJ/oy.
\-iïyi'.j.?:>,
etorç, avroç, atfj.,
T.y.',
àiro, Hé*G., ftr », dire,
A7reppîopôwv,
parts.
partout, 9ev,
/'o?j
OOr. 1 er à-:~-x,
2 àimrrov, refuser. R.
'ATTïip'.y.A-y.i,
"Amtvra, ace. 4.
toutes
«fircirvfyô.
t
aaj.
ov,
2 pn^î.
priu.,~izy.: (in, rapaîvw, finir.
àvôc'w, fleurir.
AiraX^ç, r„
Ûwp.
'Atte'-w [initf.) (
aor.
/. t,ow, se défleurir,
perdre sa fleur. R. à--', de,
'AitavdÉu
act. tfàirrçépw.
'A-e-vXv.v, r,;, ij, aor.
aor.
instruire.
,
e
flOT. I '
AvewptM t «t»,
;
9
dule
;
m,
—
M.
perfide.
"àtt-tî,
2e
Airîtt,
r,;,
g.
eu,
ad}., incré-
suspect, incroyable,
R.
p. p/.
r,,
c/'à-'.O-..
toy.îv,
aor. 2
Slibj.
d' y.~i:u.\
AicXoo;-gû;, â->.c.V,r;, àirXo'ev-àiv,
simple, toujours le même.
A-o, prép. à un seul cas, le gi-n.
O
:
—
,
Ano
Ano
10
— En
de, par, delà part de.
comp., point de départ,
—
gnement;
éloi-
privation, néga-
par/.
2
(vi),
échelle de vais-
seau, pour descendre, de
e
aor.
s.
7?.
Airoîûca, àrsôBupn,/.
er
1
er
aor.
Cgg),
er
dwréîuaa, dépouiller, se
dépouiller de. R. i-o, m'a.,
1
Â-ooaîvw, descendre. R. àiw,
^'Jb, revêtir.
Patvtû.
rejeter;
A-:oaÀ>.M
jeter,
laisser tomber. Pv. à-r',', fiaXXca.
Ars€aX<âv,6Û<72, dv, aor. 2 part.
3/o?/.
,
dupr.
m.
(*ai,
A~o£â>,
^
àwo^ûoftai,
,
6<ro-
s.
aor. 2
â>;, â>,
d'à-
Stti/j.
îrçSwanAi.
descente, sur-
..T.iZ-j.>J <.'.., £to: (-fi),
tie.
1
du m.
?jjoj/.
îi-mtôuoov,
aor.
gv,
r,,
,
imper, acl. de
tion.
A->ro€a8p<£, aç
'kmivttô^wtoç
A-o-Îwgw,/.
A— côavéïv,
R. Kiro€aîv«.
'A7ro€e€Xr,xwç,uta,ôc,acc.
masc.
5.
da m.
î>if/.
aor. 2
d'y.—ibrr-
i>?/.
<7/.w.
déça, regarder de loin
tourner les regards vers oa
m, opt.,id.
Asîodavu, pç, r., «*&/., id.
Awoôatvwv, cûca, dv, a. o'v?e$ exenjç, cytoç, aor. 2pavt.,id.
sur. R. <mco, f&iira, voir.
AircôefAevoç,
0TO.,p.parl. d'àîTûêaXXw.
à-ooi'o/.E-
'.l-'.Z).i-o:,f. i'yco, p.
—
•
er
À77CG/.îy:v, aor. 1
A-cowat, 5 e
ATroôâvciu.»., c.ç,
impér. dupr.
moy.
2
Air&ÔÉaôo»,
p. pi. aor.
sit/'J.
d'à-coy.'vto.
wv
A-o'^E'.a,
yi
aor.
âso),
1
er
y.-i^cO.'.'J.G7.,p. à'TTOiSVÎE'./.îy.y.a.,
R.
craindre.
???.
àwo, ^eiXiaw
imper, dupr.
=//.'j,
A-c^eco, s'en falloir
éloignéde;
—
de;
d'àro'ÔGU.
mourir, se mourir
R. à-s, Win/M.
Aîto'ôgu, p. dttr&Ôeco,
??zoî/.
àno',
tribuer.
R.
AttoÔ'::, drcd,
Aircxeipa,
jf.
aor. 2 imper.
aor.
Eptô,
xeipa, tondre.
R.
at-
p.
du m.
fuite, éva-
in/",
(r,),
R. à-:,
-'.ô-'jto.
—
aor. 2 impér. dupr.
'ATîo^paciç, £«;
2e
;
Jpa'cd, fuir.
s.
aor.
1
er
2 rrôpér.
oueé-
à-:', y.EÎpw,
5.
)/?.
A-Trocsp^aîvco, /.
de,
ava>,
gagner. R.
du
profit
à-:', scspi&ai-
s.
/.ae'.??.,
R.
;
dupr.
— fermer —
5
àiro, de, xXsiu,
àiro,
à-E-
p. i-w.iv.'/.w/.y., exclu-
Awoxvaîo), /.
R.
| ei
aor.
'AïtoxXeko, /l tiçca, aor. 1 er
re
dbro, 3i$<opu.
ATCoîoGvot, aor. 2
Aws'Sufa,
être
;
d'à-STi'Ory.-..
PT
Airojcep^âvai, aor. l
hif.
être inférieur
oV, il faut.
A-oo $wu.i, rendre, payer
R.
—
>
sion.
3e p.
périr.
va, m.
accueiîlir; adopter.
à.
d'àntmbnyti.
àiïEîcspîava, retirer
5.
\-'.iïv//M.y.:,f. Silcu.y.'., recevoir,
Arrco
—
2 par/.
aor.
&v,
r.,
\-'/rrr.cr/.tù,
amarre, cor-
(toc),
dage pour attacher le vaisseau
à la terre: Xûeivobro'yEta, démarrer. R. 7.77:', yïj, terre.
'ArrcoY.À'.aco,-
u
enfermer.
fermer.
tourmenter.
aî<ia>,
xvaw, racler.
'Attox-c'-tco,/.
&'<|/<a,
p. àîrcxâcc
aor. 2 pa&t. àmxs-Kr.v, retrancher, couper. R« à-;', jkxtm,
couper.
'k-v/AitM, u:,
i'.,f.
du pr.
,
ATIO
'ATT-./.pî/y.jOai,
ÀITO
aor.
i
er
mny.
inf.
àttc^ît; :'«,/. t.om, aor.
de
pirpuao, mesurer,
aor.
cpivcuat, /. cûucu,
1
er
y-i/.z'.,iu.ry,aor.l cr
deform.
|w«. K7r£X9(ftv)v, répondre. R.
*--.', k^ivc*, juger
Arcxpoûa»,/. ouo», repousser. R.
à-;', de,
v.
jtpouw, frapper.
.
1"
aor.
a-, a,,,
,
,
1
kutoû,
retiré
de sa
Xau«,
«m,
R.
philosophie.
*
-
,
,,
.
,
...
'
.,
..
,
,
...
-:/.'.-•
A
-.v,
,
-
~
2
aor.
.
r
,.
////.
d %-z-
mosc. de
g5<m, w, aor. 2 par/.
:'.'.i-w/,
p i^^tvx,
-,
dujn.
m.
dwro, oXXufti,
R.
'
^L{«,
2 àrcXoûiuu,
aor. 2
«îîoXwXa, périr,
àTTcjX'.y.y.v, p.
^
'
j^
J
R<
^
—
embarras;
indigen
^c
-
A
-
im
difficile, emblr.
R. à pri
.
arf
:
caW; sant; — pauvre.
•
nassaire
,•
£o, Jjeter.
„
...
4
a--.-.;. tttco,
,
-
"
.
Ii.
-
-,
7710.
A-:7:.,:/, 2 e p.
imper, du pr.
'
,
R
cr
aor.
i
é
r!er.
,
Eicou.at,
*"''> Clîw ' a ? iter -
}
'A.7rea£attt«*us8a,
P
s.
'
,
***
<
re
p. pi.
l
d'x-
MTOK,
»<r*t,
p.
/e
mard
:
*woffeciattfu.c8a
cv (c),
Apol-
-
:
noos avons le i.
mard. R. fciro, otjw'î, eamard.
pCvxç,
Âîro'cncXr.ju, /".
être perdu.
A-:ÀA(.;v, tovo;, r.
2
Slif-
Skiroatûà**, /. tô™, rendre ca-
s.
lToy. > àiwXX'jj/.ai,/.l er *TC6XioefMu,/.
:
s
TTCGEatfittfMU,
XttoXXuu.i, perdre, détruire.
t/u
aor.
t^ouaa:,
étouffer.
m
•
k. p/.
v.tt-.vt:-,
1"
.
Aiccasiojflxt, /.
^etTta).
y'
7 m,
p.
à— se
x*, flor. 2 i-îV'./.r.v, se des
-
cher, dépérir. R. à-:.
Ion.
.«/ x, aç,
'ArTcp.'y.Or^r..
2
£,
e
r.
à-c'/./.'jy.'..
p. aor.
I" mop.
de
>». 5.
AwcaxcTïc'w, /.
regarder
rîc<a,
loin, observer, épier.
'A-'.v.xvOx/co,
blier.
,
f
,.
A-sAit-o, /. st4/ù>,p. KîroXsXeiex, aor. 2 xttY/.-.-cv, abandonI.,;,-,,
m
laisser. i)
ner,
R. ocro, Xïur«,
7
'
iw £
° U, r
•
.
aoepta;
que jai
?'///".
-vew, souffler.
?
le fruit
?6t.
A-:-r.-o), /.
«rrs-
de : 5 n aWoXaûei; oô TC5, ^nd
faut tu en retires; t:0t
Ts
tt,;
er
«rowàweuxa, eihaou ace. R. fr
wvcttoo, p.
«iroXsXaux* jouir ;
retirer du bien ou du mal
KircXÉXauxa
1
JLtcmws»,/. rJaw, «or.
X*»<rt p.
—
aor.
X-'.-Xsa), mettre à la voile,
tir.R. à-s, tcXê», Dariguer.
R. a-c, wrti-
,
fc™X*u«,/.
i-., ue-
il.
jjp.
1er,
A-:/.t£.v(o, tuer.
1
5.
&ffepsTpJioQU,
5-
-
m.
tpec*,
ri-
àicttcpcocjtoi, y.
,
m
«P«b.
,
11
désapprendre, ou-
R. x-o,
apprendre.
»ïéo.,
ftav6âvu,
meo-s'ea,
R.
à-;',
regarder.
'Airoffraç, x-:c,
tfiotçrnaï.
otv,
aor. 2 par/,
AZE
API
12
er
mo?/.
'ÀïrGaTïiaofwu,^, z-y.\,f. 1
da m.
\~cc'jy.Zo),f. a;o>, aor. 1
coy.|a
2
aor.
,
er
DwrewpafGV
égorger. R. à-o, cjoc^cù,
A-:7'vâ;%; , aax, av, ao?
par/,
5.
>?i.
-
1
.
,
er
da pr.
AîroTtôrfii, déposer,
R.
à-s-
mettre bas.
à-:', uôviui.
3/0?/.
emporter.
Airocpe'p©,
R.
àiro,
m.
,
A-r/or, aor.
R.
suffit.
—
—
:
miers d'un
Mars.
État.
er
1
dforéyoïjffé, il
nég.
v^pvi,
,
il
ne faut plus,
i!
il
R.
A;/,:.
Api<TT0TÉX7)ç, ec;-cu; (é),Aristolc.
â£c;
(6
Arcadien.
,
Apy.ï'v.c?, eu
(c),
Arménien.
ApoâxTîç, eu
(c),
Arsace.
Artémise.
"Apn,
s.
oVice,
faut, c.-à-d.
cv,
Aprepota, a;
çepea, porter.
J/o^/.
super l. (Tàya&ç,
le meilleur, excellent ;
très-brave;
homme
de bien
ot fyicroi, les pre-
Apx.a'c,
S.
??2.
,
ApîaT'.rr-o;, ou (o), Aristippe.
ApiTTc;, r„
très-bon,
(vi),
à l'instant
«t/y.,
;
—
récemment, naguères
tout
ap-ri
:
tan-
uiv... àsT». Si, tantôt...
tôt.
récemment,
tout à Theure. R. aprt.
Parfaitement. R. ôp-rtoç, par-
'Aprîwç, aaV., tout
suffit.
Aîrpa'mavÉfrrEpoç,
moins embar-
comp. de
rassant,
A-pa-yucov,
cv, a. eve;, ad/.,
qui
—
fait.
ne cause aucun embarras. R.
"jà-proç, eu
à priv., TTsà^y.a,
Apuaau.=vc;, 19,0V, aor. 1 er part,
A/TroSXeta, a;
affaire.
perte. R.
(y\),
àr;;'/\-
Xuut.
Apa,
ApàfAevoç,
moy.
moy.,
et
Ap'j<70)da:,v;,
apa-ye, interr., est-ce
vi,
aor.
ov,
er
1
que?
part,
(fy.hoi.
ApaÇrjç,
Araxe,
(o),
ou
fleuve
"Ap&nXa,
03v
Apûco, y.
à.p'p'ç, v^, ov,
adj., oisif, pares-
seux. R. àpr.,
Apppicv,
ou
ouvrage.
argent;
Ép-yov,
(tp),
—
pièce d'argent, monnaie.
W'Ag/m, f. àziaco, aor.
1
er
aor, l er Sid'j.
p. vjpuxa, puiser,
ûffio,
prendre de l'eau.
Moy., y.r'jvj.y.'., f. ûaouax,
s.
Asyaïeç,
(Ta), Arbèles.
TJTfitt,
mo?/. de
m.
d'Asie.
pain.
(é),
y.'.y.,
«Tov, adj.,
ancien,
de
Ap/vi,
(t,\
jjç
principe
;
—
commencement,
commandement,
domination, autorité, empire.
riîc-
"Apy/o,/. ptpg», aor. 1 er
commencer;
Spîjêt,
i5pXa
qu'un
mander, dominer. R.
rendre ami.
àpécxopxi, /". àpsec-
se le
Moy.
y
aor. 1 er iqpeaagMiv, m. 5.;
de p/?/s, être satisfait, se contenter de.
p.a-.,
Ap'.dTî'y.;, eu (o),
distinguer
,
exceller.
aciarc;, très-bon.
J/OJ/.,
R.
àp-/v.
àp;:;v.y.'.,
SflKppax,/.
aor. l er r ;Eâu.r,v, commencer,
(
se
mettre à
"Atreavoç,
ov,
,
yen.
o.
ou,
qui
adj.,
n'inspire pas le respect
Arislée.
Aç'.cts'joj, /. s'jgoj, p. r.pÎTTE'j/.a,
se
'
p.
— com-
ca, p. «ipexa, plaire à quel-
:
où/.
àc£u.ve; ttjv ctyiv, d'une physionomie assez noble. R. à
priv.,
<j£u.v',';,
vénérable.
—
,
ATP
g. cj, adj., sans dis-
c,
"Aar.y.c:,
tinction
;
\abvrr,;,
ble.
g. faç-oùç, adj., fai-
h';,
K. à
wvc?,
pnss.
pria., aôe'voç, force,
ov, ru/j.,
y;,
lenl. R.
Au,
Aaoûpioç, eu
awiv, aSdtç,
nouveau, encore.
A0;*vw, imp. y.-j^xvov,
icrrr.u.'.,
établir.
àotcîo;, a,
agréable;
civil,
sant
cv, nr/j.,
:
à<57=Ï7.,
santes.
R.
citadin
—
lin,
—
;
Au tic ;/.£•. a,
fit
impruauvuip.1, com-
comp. d'y.aoyjxz
a</i\, plus en sûreté, plus
sûrement.
—
sûr.
a.
eoç-oûç,
adv.,
rf'aJTcç.
sur-le-
aussitôt,
champ. R.
aùrc';,
comme
mais;
— au
reste.
Atî/.vc;, cv, 9. eu, ac/j., sans
R. à
0,
même,
la;
I.
II.
pror?. et adj.,
elle,
— même;
même,
AJrcû,
comme
en-
en-
priv., -râcvov,
'Atï/vûç, adv., réellement, sans
doute. R. à
prit;., réjrvu,
ar ^>
lui-
avec
le,
l'art.,
même.
la
adv. ,
illic
il,
elle-même,
R.
là.
de
xuto'î,
ille.
A'jtcj, p. ây.'JTCj.
A'j/^'w,/. r.GOijp.vJ/r.y.x, se
fant.
van
ter.
A?' p.
à-'
(à-o),
devant une
voyelle aspirée.
artifice.
honteusement,
ignominieusement. R. àprio.,
-r.y.r,, honneur.
adi>.
'At-.vx, pi.
il-
lico c/e ille.
AOtc;, r„
atfj.
v
'Ar:u.fo;,
kàvâ,Jem.
II.
le
verser.
fants.
lui-même.
à
AC7Y;,/ém. iTcutoç.
I.
priv. y cnpâtXXu, ren-
jVrâp, conj.,
c.-à-c/.,
qui se suf-
;
s,-,
R. à
àp/.E'w.suflire,
homme
d'un
AÙT'!/.a,
'AawaXsfîrèpcv,
croître.
—
lui-même,
aÙTc';,
état
finesse.
prendre.
XaçoXinç,
croî-
contentement
modération,
a;(r,;,
de son sort ;
tempérance. R.
"à<7t;cv, eu (to), astre.
dent. R. à priv.,
—
ASptcv, aou., demain.
plai-
Âcjjvsrc;, cv, 9. vj,adj.,
augmenté,
être
u.t'.,
des choses plai-
a.a7-j, ville,
augmenter;
Pass. , oe&Çg[uu, f. wfcr&ôaQ*
aor. 1 er y.ùl-T.Ûr.v, p. vJir.-
sans stabilité, inconstant, inprti/.,
/juÇr.oa,
y.xi,
"ÀâraToç, cv, 9. cj, orfj., qui est
à
«f
tre.
Assyrien.
(c),
de
nt/r.,
er
/. xao), aor. 1
p. vj\v/.'j.,
pari, 7,tu.£vo;.
certain. R.
7.00-.,
A J;o»,
se réjouir, p.
T>î:L(.y.v,
xn'j.'/.:,
joyeux, con-
priv., -z\-
tourner.
TTw,
nry-x, uiurquc.
R. à
ble, constant.
— obscur, inconnu.
R. à pur.,
13
A4>E
,
"Atc— cç, cv, g. eu, adj., qui n'est
pas dans son lieu, déplacé;
— absurde.
—
R.
à priv., rc-oç, lieu.
*At:£77tgç, cv, g. eu, adj., qui
peut être tourné j
cher,
tî
ôter,
enlever,
nvoç,
t'.v.
ou
arra-
riva.
R.
dtaw, aîsï'co.
Aoavw;, aaV., tout à coup. R.
neut. de c^tiç."
inconvenant;
\'jy.'.zio),
ne
— immua-
à priv., çxîvw, paraître.
'A<pap(iaxTeç, cv, ad/.,
qui n'est
pas empoisonné. R. à priv.,
e>â:ux/.cv, poison.
Açeteîç, ï'ca,
pass.
Év,
d'x^'.r.u.i.
aor. i er pari.
14
AXP
A<DI
aor.
Dtyeôîpat,
1
er
pass.
inf.
du m.
a.
èv,
bvtoç,
aor. 2 par/,
evtoç,
A'r £/.fc)u.ii,
euroç*
m.
dî*
«rat, aor. 2
•/,,
52</'j.
2e
ut.
d'à-
oaîvw, paraître.
pritr.,
oeç,
A-r v-:£"7c,
p. imp.
aor. 1
s,
comr.
moy.
A'jrçr.u.a-.,
pas5. da
a?.-.
er
A'r ;:r,Tc;,
on m.
tfâfipplrro,
rat,
à
prit'., çciÉo), porter.
ady., follement, élourdiment. R. àpriv., ozvi, es-
asôa,
p.
prit.
A'r r,73.v,/. in/,
'Axaioç, a,
d'àçlr.y.'..
/.
£•.,
j?zd.
dit
m.
abondant;
"A<pôovoç, cv, adj.,
'Xy'r^'j.y.'.,
—
pr. pari,
{'.yjii-zu.y.'.,
f.
aor.
1
C:
supporter avec peiêtre chagrin de, gé«.,
ne,
oa ace.
da/.
envie.
v>,
adj., Grec.
o'v,
7r£8c'aÔT)v,
innombrable. R. à ^iw., »ôoAçietç, eîaa,
ad/., insupporta-
cv,
Aflppoviûç,
m.
s-.;,
R
ble.
3e
tfàaaipE'u.
,
subitement. R. à
A<pv<A, adt-.,
cîr.y.'..
woç,
,
v
aor. 2 imper.
"A'^s;, s'to,
rco,
— aor
par/., s'éloigner
à-ccra:
twv grarpâav. avant abandonné les coutumes de ses pères,
de ses ancêtres. R. x-o, i<jt7,-
WJO?/. d'yL' y.:zioi.
r
Aowa,
;
:
Bwa,
fcfefc,
éloigner
Acpi<777,u.'.,
;
—
fâcher,
se
s'indigner contre quelqu'un.
R. àyjjcî, fardeau.
d'i-
(ùinxu.
a, p. part.
i.CM-fli.évGÇ, 71,
d'à'r i-
xvEcuat.
>
Ar
ir,L(.',
laisser aller, lâcher, lais-
ser échapper.
R. bwo,
Ira.'..
Aoucvécpcu, partir, arriver,
rendre. R. dwrd, bcvEojiuu.
AuTçx'.,
2 e p.
Av!£:;j.a-., r,
5.
"AxpvKrroç,
à
se
cv, adj.,
p?-ir., xpi«rroç,
â^piç
"À-Xpi,
adv. ou
p. dî/pr.
erai,f. du
'kyQoooçia, /. T^to, porter fardeau. M. R. et çcpEw, porter.
'A/;.>.>.:ô;,sw;, foc. eu (g), Achille.
dei>.
que
—
R.
utile.
a??e
voyelle,
conj., jusqu'à,
qu'à ce que;
m.
inutile.
si
jus-
longtemps
ïyy-% oy, jusqu'à ce que.
:
B
EAA
BAI
E
:
en nombre, cette lettre, surmontée de V accent aigu, £',
vaut deux.
Baëaî, inierj., ah
BaouXcSv, ûvos
2
êokjv,
!
ah
î
Rabylone, v.
Ba&Çu, /. Iïw, /. 2 »o, p. (M?àîtxa, aller, marcher.
Bâ^iojjta, axoç (to), marche, démarche, da pr.
Baivto, prôit, v^y/., 3xw,/. mo?/.
Pnoopai, aor. 1 er sër.sx, aor.
mar-
cher.
Boôûç,
(t,).
p. fié&nxœ., aller,
£Îa,
6,
adj., profond,
épais.
BaxTJiptà, aç
XTGGV,
m.
BâxTpa, uv
(r,),
bâton. R. pa-
5.
(t<x),
Ractres, v.
Baxvpov, ou (to), bâton. R. V/:vcj,
marcher.
BaXôvrtcv, ou (to), bourse.
BaX>.», f. fjy.'/M, aor. 2 ISaXcv,
,
BOT
BEB
peêXxxa
p.
lancer
,
— frapper.
;
me;
—
i<ro),
mœurs
p.
i/.a,
aflec-
des Barbares,
imiter les Barbares. B.
fSeto-
R.
fixe, sûr.
p.
fietfa»,
marclicr.
[j:'o7.î.,
Bapëapifra, /.
t'T les
jeter
,
ia
Be&uoc,
solidement ; avec
«(it-.,
certitude. R. (HtSaioc.
Beëuaxc*;, otoç, p. ;>«rf.
«V
«cf.
p'.OO).
Bap€àpt*oç,
y',
«<(/'.,
o'v,
barbare,
M. B.
de barbare.
ô
|j3>.t'.it3,
mot bar-
R. P&aç,
bare, barbarisme. B. pas&x-
qui lance
Baoêapioixoç,
oS
(î)
,
>
-
Bapêapoç, eu
(6),
donné par
les
Barbare, nom
Grecs à tout ce
qui n'était pas grec.
Bas ex,
de
pi. n.
Bxsioi
r,îw, p.
/.
,
fkSâpwca,
uvw,p.
(jcoap'j-y-a
—
«ce.
eî;,
m.
5.
lourd
-jy,
,
éoç^
ace. pi. (3apsa;-
— pénible — re;
;
dou table.
BftaiXéa, «ce.
Baa-.Xeîa, a;
s. rfe [ScmiXeuç.
(r,),
royauté,
c/e
BaoïXeuç, éoç, a», eu; (0), roi ,
prince, d'où
er
IZo.BaaiXs&u, y. HÛaw, acr. 1
aiXcuaa p. (JeëaoîXeuJca , ré,
gner, gouverner,
BaatXixo'ç,
royal
roi.
ov,ad/.,du on de roi,
qui convient à un
R.
—
M.
Bacni, r;
géra.
•/.,
•
(ri),
coloris.
teinture, couleur,
R. garera, plonger, p.
pE&xcpa.
Bi'ox'.c:,
x, ov, aaj\,
7.-
vie; biens, for-
tune.
(Jto;.
Pto'ottai-cGuat ,
y.
Lr
«or.
l
è€t(oaap.Y!v.
ûooftai,
Btûvaij «or. 2 fay. «*» pr.
supporter avec
Bapuç, eût, 6, 5. éoç, î(a;,
trait.
woç, comp. d'yr
Btferoç, où (6), Bilhynien.
Bîoç, ou (ô), vie, d'où
B.
Moy.,
charger, accabler. B. fîapûç.
Pass., (taçûvopuu, être chargé, accablé ;
peine, ace.
!
celui
0;;.
vivre.
rfe
(Sapûç.
Bscpûvb), y.
cher
o')70), p. fieêîttxa,
y.
aor. 2 £€uav (t/e (îtapu, iuus.),
Bâpoç, s:; (to), poids, fardeau.
?'.
mieux un
le
f )
:
Biott-w,
poids.
Bâpn, contr. de Jjapsx, p/.
mon
ô
.'
7/)',';
trait, c.-«-«\
Bteroç, ou (ô),
[jas-j;.
charger, accabler. B. papo{
Bxçu,
Ao^e
BcXfUftV, cv, 9.
-01.
T
OV, S7<p. (/'à-
BcVriOTOÇ, t,
Btttaeafau, /.
'
i?îy. r?îo?/.
p.
du pr.
opl. de
/;/.
«or. i er eoXeya,
BXetcco,/.
p. ftéëXeç*, regarder, voir.
BXeyla;, ou (ô), Biepsias.
syo),
BXoaupoç, à, o'v, ad;., terrible
voir, farouche.
;•.
B:a, covlr. defyôas, impér.
rf<
Bcâo)-ô), y. -/go), y.
V.v-
ocpuxt
ooj
,
.
1
er
??zo?y.
iZvr.oz,
p.
ooVixa, crier.
B&r<6ea>, y.
ûr,<ra
,
p.
qa», «or.
lîsocr.Or/.-y.
1
,
er
è€or,-
venir au
secours, secourir. R. Par, cri
de secours.
Baw-toç, Bv.oj-t'Jç,
de Béolie.
Bo'oxw,y.
t'to),
w> (à),
«or.
Béotien.
I e "" èêo'oxr.ca,
p. fk€ooxvixa, faire paître.
if oy., P»oxcp.at, se repaître.
Bou€uv, »ve;
BcuXet,
stable, fer-
5
BXÉikOtsv,
L
/'.
B'/j/.îj'.o,
'ô),
V.'j/.r,,
y.
aine.
v.
e<6cû>,
^cuXouat.
p. (këcOXEUXa,
BPE
Bon
16
de
d'avis
être
èocuXeûgw
t'es-tu décide?
t.m%
:
comment
Mon.,
—
projeter;
délibérer,
Pou5.su ou. eu
[tai, flor. 1
er
,
/.
eûo-g-
£€cuXeuarâu//îv, p.
de /. pass. psooûXsuu.su, m.
de
er
de f. pass.
È£ouXr,0-/;v,
PeocûXr,y.at
p.
id.
6goX.cc,
s.,
erat,/. T.acu.ai, aor.
Boû>.op.5tt, et,
1
;
,
moj/.
p.
ps'-
vouloir.
Bpaftû;, eût, u, adj., lent.
Bpa^ÛTspc;, a,
plus lent
Bosvôûcu.xi
en nombre, cette lettre, surniontée de l'accent aigu, -y',
BpÉcpo;, eoç*-ca»? (to), enfant.
er
lêpçÇa,
f. i\<à aor. 1
aor. 2 eêp ».-/,& v, p. p=Cps-/a,p.
,
,
moj/. Psëpo^a, mouiller.
raXstTviç,
Cadix, y.
(toc),
ou
t
(6),
Galatc,
Gau-
f. e'ow, aor. 1
er
e-pua,
p. -ye^aV/îy-a, épouser, se
ma-
rier, d'oô
râaoç, eu
(ô)
,
pr. par/, de -ya as'a).
(
rap,
car,
co?7/'.,
R.
-vs,
en effet;— mais.
àpa.
raarrlp, Tspoç OMrpG;(yi), ventre.
rs, conj., certes, au moins, oui.
(to), le fait, ce
re-yèvYipivev, ou
qui est arrivé, p. part, de
-y!-
vop.at.
rE-popaxwe
uîcc,
,
o'ç,
p. part, de
,
s...
"Ye-Yé-
moquer,
;
om ace; d'oà
rire
sant.
EsXwv, wacc, tôv, eo?zfr. de
Xacov, aouaa, occv, par/, de
-ys-ye-
Xa'w.
wwv
Gelons, p.
(',[),
R. 'vsXâw.
menton,
rsvê'aôat, aor. 2 m/, de -j-vouy/..
revvswïatg, ou (g), bien né;
généreux ;
brave. R. -yeyvâw,
engendrer,
TswaÏG;, a, ov, adj., de noble
origine;
généreux;
Ts'/.m;,
«tgç
(g)
,
rire.
,
—
—
brave
d'âme,
ments.
—
tô yevvatîcv,
:
la
la
noblesse de
force
senti-
M. R.
revotu.rjv, c.o, g-.tg,
aor. 2 op/. de
rivoç, boç-cuç (to), naissance
3e
réppov*,
race
2e
à;,
—
agi, p. wio?/. de
-ytvopwci.
reXaw-â)
s^s'Xxaa, p.
se
•wvop.ai.
*fr,5x.G/M.
rénova, aç
nxà,
er
Ts'vstov, ou (to),
gùvtg;, conlr. de -yau.swv,
s'gvtg;,
1
rire
,
reXwot.,
p/. -)'ây.Gt, tov (ol),
noces.
rauwv,
Xâxa
aor.
EcXoig?, a, ov, adj., risible, plai-
lois, p.
Txu.é<ù
r;.ai,
de, dot.
trois.
i>n?{/
R. PpsVJo;,
arrogance.
BpiÇa;, aaa, av, aor. 1 er part.
de Pps'y/o.
Bps'cpv;, confr. de pps'çea, pi. de
TEP
:
râ^sipa, wv
%
—
être arrogant;
,
TEA
T
plus long.
s'enorgueillir de.
Bps'y/o
Bsûv, confr. de poxcov, part, de
pcâw.
;
corxp. du pr,
ov,
—
ef
p.
f. àaco, /.
s.
de
moy. kgg-
;
—
gu
d'osier.
famille.
(to),
R
.
;
—
-yîvcwai.
bouclier, fait
m
rm
ri'swv, ovtoç
rvoiar.,
vieillard.
o),
er è- :-
ûau, «or. 1
,»<,*, jeter un pont sur,
joindre par un pont. R. féçu-ô>,/.
er
-
m
rV,3«oç, â, ov,
Vr, 7.;, xtc;-xc;-co;
?
(to),
rW.;,
ro rj
er
de/, pass.
M. Trejw^oi, p.
vx, «or 2 moy. e^-
p.
?
vs.ar.v.nailre;— être, exister;
devenir:
s élever ;
—
provenu-;
r
—
—
-
âgé
être
de,
r
v
rtttMScett, 2^ p. p/. im/JÔ-. de
rivMOXM, Yfvvwaacè, prmt. po'w,
ratio*», aor.
1
er
groaa,
aor. 2 épeav, p. Ipco/.x, cons'areconnaître;
naître ;
—
—
percevoir de,
dre, décider.
ace;
— résou-
aor.lsubj. dupr.
rvw6'.,pwTw, aor. 1 imper, du m.
k
_
r
r
^-
.
«
.
/
•
^
une voyelle.
er
pass. è^r,-
doc,
_
B-p< 2
Jl jgj^
'
-^
pÉteîW
/I.
ie,
w ^., nu;^^.J}
pouule — chauve.
.
,
,.
.
,
du
,.
«
;
7
Thn, voc.
de yrm.
du m.
ruva-.xx, ace.
rovaixewç, ?.. w, a«Ç., de ierame > efféminé. R. forn.
DivaiÇ», dat. pi. de -|uv«.
rûvouov, ou (rd), courtisane, de
a.
(t.,
rûy,
de fàwug, mus.
a-./.;;,
tomme.
vautour.
u-:'; (ô>,
ftéxpeev,
eu
Ax/.;ûcù, /. ûato,p. ux.x, pleurer.
R.
$obtpv>
AoxrâXMÇ, ou
(6),
tyle.
anneau, de
doigt
;
— dac-
R. fcûcvufu, montrer,
Axxeiv, gùgx,
ov, o. oVr::,
aor. 2
par/, de ffâxva.
èeu/aatcç, eu (6), Damasias.
mordre, piquer.
larme.
co „j ^ cer tes
flor
AàxruXoç, eu (o),
Ax/.vu, nais, iïry.u, f. 8r&y.x: ,
aor. 1 er SSi&a, aor. 2 éSxx.cv,
Aa/.pu,
^
AAM
eu nombre, cette lettre, surmontée de l'accent cigu, 3"',
Dam quatre.
^ôr.v,
—
p' vXTa , dut.
.~
AAK
p. £ê'£r/x, aor. 1
#
en clVct .
moms> cepe ndant.
fltw j c (j) j Granique,
Tuvri,
à),
A', p. £s, dev.
»<
enchanteur;
,
(-^ p /
.
p
^
r
ace.
:
recon-
"?•'"?'•>,
-pwun, genou.
,~
^r?m. -yfv», /.
1
;
aT; .
,
donc
aor.
•pwofuu,
t,t:;
'
vieillir.
ritcji^i, y.pcax-.,
A
dis-
vcôâ/.o>.
^
âc*w, yr.zxnj. âaw, p. -Ye^?
I\â>, ôç,
marque
charlatan, imposteur.
vieil-
lesse, d'o»
/.
R.
,
rvûor,, 2 e p. de -p;o><r.ax.,
adj., vieux.
È^v^uv,
moy. 7 3-
whmxmj
rvwptojMt, xtc; (t;
tinctive.
—
naître.
reçupœaat, fl o r 1
f- du pr.
champ.
Tr, ifÂî (r,i, terre;
rr.sx, p. yr.;7.T'., otaf. de yr.zx;.
poxflt,
sentiment;
(<),
prudence. EL
cx, pont.
rr.
r,;
17
(to),
Axa-.;, t£o; (6),
Damis.
Aâ-J.v.--::, ou (é),
Domnippe.
5.
AHI
AEI
18
Amov,
ttvoç (é),
Damon.
àavao'çjOÛ
As'.ttvsw-Ô),/.
Danaùs.
(o),
R. £a-
vs£w, prêter à usure.
Aapôtoç, eu (é), Darius.
cerAs, conj., mais;
et;
tes ;
or ;
en effet ;
puis;
Souvent
enQn.
oppotée à jiiv, d'un côté...
d'un autre c j uiv Àévetç, I*yw
—
—
— —
—
—
—
;
:
$k 775ao-coj, toi tu dis, et
moi
je fais.
de
p. par/, pass.
cv,
Aslodai, prés. iw/, wjo?/. de îéc-
tuu.
AsiT-Oyc-oux'.,
evai f f. pass.
r,,
j.ai, y.
<5V,o'w.
AéXeap , aro; (to), amorce, pâ-
R.
ture.
Ascjuto
$eX«ç, ruse.
3e
ouvre,
aor. 1
er
p.
da m.
pi.
et
*.
opt. de Sîy^u.%:.
côté droit
qui
rtt//'.,
o'v,
du
est
rà $eÇtcc,à
i~\
:
la
R. Sz'wj-
montrer.
fM, $et^fi>,
Asoycou.s'voç, p. par/, pass.
de.
&eixvu{u.
droite, du côté droit.
$ocxv<o.
As^vioj
er è^-.-
1
Asotvcv, cj (to), souper, repas.
ÂeÇto'ç, a,
y,,
ycw, ao?s
Trvyja, p. wwc, souper, de
Aave'.onî;, eu (6), usurier.
Ac^yyusvcç,
m.
Asi£<o, r. /e
Damoxène.
AsjiôÇevog, cj (c),
As'oaa'.,^. $m<toujxt,f.
aor. 1
de f. pass.
er
ÊkéSut, a;, s... aert, y. £st$ci>,
JsyOyo-say.'.,
AeSuvxt, inf. du m.
br:i,p.id. 5eJén(AOt, prier, de-
5 e p.
As'^oxrat,
p. pass. de Je-
s.
yj<x>.
As'r,,
—2
subj. de §v.;
e
de
p. s.
AeViaei,/. de Sil.
venait
(y), prière.
R. Sio-
Aeî, y. t*nip. ; /. àsyc-si, aor.
imp.
iîéyjce,
besoin de
;
s^e-., il
—
eù$èv £gTjast,
ment
Ae'^'o),
il
il
faut,
1
il
er
est
s'en faut de
:
ne sera nulle-
nécessaire.
/.
ziGoi,
moy. $i$tx
craindre. R.
(sens
du
ae'oç,
crainte.
prira.
Ae(x.vju.'.,
SéScixa.,
p.
da/tw, /.
p.
prés.),
SiSv.^y.y.'.,
AeiXo'ç, y,
o'v,
$6t£(d,
montrer.
craintif, timide.
R.
ou (o), Dinias.
chose terrible, calamité, mal, n. de
Aavo'ç, y, o'v, terrible;
fâcheux;
étrange. R. £e'oç, crainte.
AeI^ov, aor. 1 er impér. de Sv./.rju.:.
Aeivov, oû 4
—
—
ce
con-
lorsqu'il
lité.
£sooj,
(to),
peau,
écorcher.
Ascr-oryç, ou (ô), maître
pote.
\i/yj.y.i, f. $ilou.zi,p,
às'^s-yaai, recevoir,
— prendre,
As'co,
cuir.
/ £syo-co,
;
—
quer de,
v.
R.
des-
de f. pass,
admettre;
accepter.
aor.
1
er
i8ér,iy.,
man-
SidJ.y.'..
Ay, adv., certes, donc, réelleor ;
* encore ;
ment;
—
—
—
même.
AyGsv, ady., sans doute,
Jéoç, crainte.
Aewas,
—
S-".,
p. ^s^éy/.a, avoir besoin,
aor. 1 er è$ei|a, p. SéStiya, p.
pass.
avoir
aùSbt îéov, sans uti-
:
Àeppx, arc;
prier.
de
Ae'ov, ovroç, parf. ?2ea/.
qu'il faut;
As'ya-.;, scoj
âsto,
besoin.
8icj.y.'..
p.a-.,
mander, gén. R.
id. I&eii-
R. H,
voir.
8ev,
à sa-
point dedé-
part.
Ayïo«-w,/. wcto,p. pa«S. &e$p«aravager, dévaster, dép.a-.,
truire
(j'ai
:
$z8r,<àp.zi tov 7:û-j'(ova
été ravagé
quant à
la bar-
,
AIA
Ati
on m'a coupé
,
barbe,
la
ennemi.
.''•.,
m. s. que
l;
Sx,
Xr,.
...
R.
ii-
:
.
/'.j.v.:,
sion
ifli'.^x/.rt (è<m] Sri,
est
:
f.
—
;
évident que, c.-à d., évisans doute, assu-
rément.
er
«or.
.
.
iàr-
1
X*>aa, p. wscx, rendre clair
montrer,
A/. y.;
p.
a
S:xhr/.r,
t.:
terre,
Cérès.
n,
'•',
peuple,
R.
peuple.
Sr.j.'.:,
or./. a,
populaire.
p.
«"o«
disposer.
—
;
diadème.
testament.
.
j
.
amollir. R.
^.7..
•J.r.-r.:,
,
R.
partager, diviser.
XtS
0:7..
qui con-
«<(/•>
vient au
3
ôpûirr», briser.
Âtoipeca
7 •./.-.:.
'^.7.0
.
/
$tsm(hr,ui,
cas<er
.
-r.,
A'.â-îr.y.a,
A-.^Oçô-Tto,/.
-
oh
rece—
,
$Ut&£cuat, ceindre.
x, ')ffj, lier,
—
faire voir.
A/.ar'rr,:, t£::;
H. <)}..
mère.
3
tnpla-
p.
p«\s.
-'».
-
or/c y.a.
fri«,
1
J»«-
voir.
demment,
Ar.'/.-.'-.
)>ass.
snccéoV
R.
cer.
il
évident,
"<(/"., clair,
Ar>
manifeste, certain, ùToû
nor.
1:j.7.\,
de f.
v.
.
Sî8i-fu.zx, recevoir par
est clair,
ident.
Ar.>.:•/;T•.,
::
:
il
,
«or. 1*
/,
.
de
troif.
or..
r,
;.
idenl.
.-\
<.-cni.
A-.7.
I
A:7.'.T7., y.;
J.
I
r.
manière de vivre,
,
régime.
AtaxptVOtur.V, MO, KTO, prés. opl.
w<w», p. ^îoY.m/.x, rn.
Ar.i'w,/.
j.
pass. de
Atouptyo», distinguer, discerner.
A.',;JO»r îiâ,
I.
R.
&:x,prcp. à Sens; avec legé?i.,
par, a travers,
le
—
long de
5
—
après
pendant ;
8:7.
pendant
gpovcu,
quelque
temps, quelque temps après.
en,
Posa., $MUcptvoueu,
par
1
p.
être
^taxéxptfxott,
gué,
-
de vaincs espérances,
ser. R. Jwt, fkxixoXét»,
amu-
.
.
:,
ner;
—
dre; —
faire
o\a,
distinguer, discerreconnaître. R. o\x,
«or
-2
ata.fmya.ij a or.
l'.xSiiïiu.ir.:, «,
op^., ef
~2
ivf.
M,
dupr.
p. porf. p«ss.
,
dialogue. R.
'j/.7.,
fendre,
>.Jco,
>.;-
dissou-
rompre. R.
délier.
/.
T7w, diflerer tou-
jours, tarder. R.
usX).ct, être
sur
le point de, Six, toujours.
i~x\, a U\, d'un côté à l'au-
A
AtaCYvewiV,
à,
discours, oué, entre.
A'.7.'j.£/.}.fc),
i,
;
ne [1
— échapper
A'.T.XJw, ^. b<m», p.
paître.
A-.?.-
distin-
«ce. R. ïia, Xavôotvw.
Aix
tromper par
îtat-
e/c.
être aperçu
l.\
.vr/.O.io) , f. ï,7w,
/".
S\s
AiaXxvtcvc», être caché,
le
de.
II. Six, ace. de
er
/.z&r.iyj.x:, nor.
:
—sivecl'acc, pour, touebant,
à eause de —
moyen
;
o\z. xptv«*.
tre,
à
-rri;,
A'.7
de part en paît. H.
xu.x, ensemble
travers,
tout.
r.i-.'j.:.'.
- vj'xx:
,
f.
««©*
20
AÏA
AIE
er
de J. pass. Sursffa*,
jienser. R. S-.-J., vcÉtft, m. t.
y
«or. 2 pari.
1
aor.
1
aor.
er
1
&&«&»,
p. Xwxétab-
p. pnss. <$<.7-i-y.- y.y.:
y.,
aor.
,
t
A'.XTTxpeîç, eût*, év,
?**«•
A-.x—icxç, x-ïx, xv, aor.
oa.
I
er
part.
Ep«, aor.
1
er
5u-
rapo, aor. 2 &te'i?xpov, transpercer. R. &*, vsipe», percer.
A:x-y.;xy.ïy:ç, aor. i er moy. de
joindre ensemble,
Aizxirrvufu,
— construire. R.
former;
^-.a,
ficher.
rrrrçryj.'.,
At%7tXEÛ<rat, aor.
fct/,
AixrcXsuaavTttv, g. pi.
part, de
acf.
,
—passer. R. o\â,-Xsw,
;
naviguer.
R. îia,
Moy.,
TCGp6{&£Ûct>,
ô:y.-zz
aor.
£J7:;j.7.:,
m.
1
m.
)'j.iù:y.?.'.,
f.
&is7rop0a£U-
de p/a», passer
». ;
soi-même.
A-.y.y/.iu,
(oa,
f.
suffire à.
R.
p.
répandre;
pî'co,
O'.a,
iz-y.iu,
m.
—
— s'échapper.
,
s.
se
R.
couler, d'oà
AiXfpoetç, slso.,
AiaamÉaatYTO,
aor. 2 part.
c'v,
e
5
p. p/.
aor. 1
er
•l-.xs-xco-â),/. aco), p. àUaicaxat.,
aor. 1 er pass.
Sus-zabw, tirer
en sens contraire, séparer de
force;
mettre en pièces.
R. o-.a, (j-aai, tirer.
Moy., ^'.xt—xou.xi-ôiu.xi,/.
—
772.
AixîTr^x;
,
S.
ourct,
,
(r)
îfc
p. pari.
délai, retard
,
— temporisation. R. reëw, user, consumer.
— remporter
;
fc*,
;
sur, valoir mieux, exceller
,
xaT GÙ$èvaAX^<Bv£ia<pepo*7eç,
ne différant en rien les uns
des autres. R. &ot, cpépw.
R. &*,
le
s'échapper.
s'enfuir,
Aia<peû-yc«>,
opeu-pa.
aùj., différent;
ov,
—
neut. pris suist., ce qu'il y
A'.xç-j-yojy,
cùgï,
-z\,
aor. 2 parf.
dtaçsû-y».
er
m/, acf.
Ai3o|ok, aor. 1
cte
de
a?/,
dae/ de
maître, pré-
a.
At^aoxbeXrç, do (ô),
cepteur, de
â£ta, aor. 1 er
/.
A'.<5x<jy.to,
è&$x-
p. fcSi&axsi, enseigner
quelque chose à quelqu'un,
|a,
Tt t-.vx.
Ai5Wi,
îow, /. ^wcjw
pr'tm.
,
p. Se&axct,
donner,
offrir,
pré-
senter.
At£<*ot,
5e
AtefféSèro,
du pr.
p. s. j«d.
5e p.
s.
plus -q. -p. pas;.
de ïtx&'ca.
AieXptÔGV, z;,
i,
aor. 2 de SiaXâv-
faÉvM.
xv,
aor.
1
er
x'— w,
/.
xçw
,
aux,
pass. de
AteXafraç,
1 er
par?, de Siîarïjp.
A:xrx<7ffw
,
cv,
r, ,
,
aor. 1 er ÈoW.x, aor. 2 s^cov,
opf. rao?/. de
ÛtCTCUCU,
A:y~z'.or,
AîSaraaXàv,
àifiçxtKz
Atappew, couler à travers;
o-x,
AiaTêrçfl*evos
pass.
£i$â<»c&>.
ao>\ 1 er i»/î de
A'.aç-/i£<73tt,
txcktw,
a d'important. R. ffuupéoti.
s.
c
er
o'.x,
tasser, (/"om
Ataçopoç,
A.y.-:;0y.rjw, /. e-jcu, faire pas-
fjao.r,v,
:
:
1 er
aor.
liKxkétd, f. ev<j»j «or. 1 er 5-.c'xrXsuoa
traverser en navi-
ser.
—
Aiaupépw, différer
er
1
arran-
ô'.i-iyha,
^a.$.s.
ger, établir ;
ordonner, sta-y. ^.xtîtx-j'uévx ,
tuer
les
choses établies. R.
«fc
l:::-i :.ztA,f.
guant
er
A'.cÀaûvtJ
,
xv,
îisXaea,
part. aor.
/".
xsœ, aor
1
A10
l
tr
A02
SaiXcurc, transpercer.
R.
pousser.
$'.%, È/.aùvw,
prés,
cl
imp.; ouÇtévot
—
réciter,
fui.; ffisÇiov,
?"»/*.,
,
discourir;
déclamer. R.
travers, è;, de,
-la-.,
pa?r ««
A'.s;twv, oùerst,
o'v,
AteTrÉpxaz,
ota/rreoâu.
r.
£•.%,
à
aller.
/)r.
ri
co,
arc, p. out-
rcopdusûc*.
Sté,
imp. de
s.
S'.y.i-
zioi.
Auçpjy./.côç,
pari, du
'j'y.,
o'ç,
otc:, p.
g.
m.
Aioui&riç, eoç-ou;
Lr
cv f OOT. i
p«/7.
'
A-.r.v/.çzy.ivo;,
«h pr.
A './-t] ai a a*.,
7i,
r,,
rrctl, /.
t//t
m.
er suhj.
AvQ"rr,oa>[J.£i,7], flTOl, «or. I
du m.
aiwe-Yxo, a:,
s,
«or. 1 er Je
&a-
CÏ5(0.
»
A.rsr.ar/::,
cv, p. ;)ar/.
i),
pa55.
de oiatpétt.
Aiian^u, séparer, diviser. R.
faire
(c
Diomède.
,
de Zlû;.
o.
A-.-;;,
conj.j parce que. R. o.a,
i-.'..
Àtoçavroç, eu
A:y-/,
y.;
£-.*,
//.
fois.
soif,
liffd»,
û"o«
«or.
1
er È'h-
p. pe^ttjrpt*, avoir soif.
eldor. p. £:yâv, conlr.
ait.
de >j:iiv.t, inf. dupr.
Aiyc:, ecç-cuc (to), soif.
«M. p. ^:Çwc, co.»;?r. Je
2 e p. s. opt. de £•.-
Aivf'jy.r,
oujréctç,
Aupûoi, conlr. de Sityzwai, 3 e p.
p/. prés.
Aumua,
/.
«*/<
nr.
»Çû», «or.
er
1
êottftÇft,
p. oVî(co-/^., poursuivre.
A;-y.a, arc; (ro), ce qu'on croit
—
propos de faire ;
avis, opinion, de
—
décret
;
Aoxsca-û, /. <3V;<o
quelquefois
er
oemia», «or.
E'îoçx, p. p«,ss.
,
AumÇm, /.
R. féai,
atGo, juger, décider.
d&foypuu,
justice.
Aûseuoç, a, cv,
«</;'.,
juste
;
M. R.
tucautç, adu. Justement
raison.
Diophante,
(i),
deux
(y.),
dr.o-7-,
a
urrotu.
;
— mé— avec
R. ouuuoç.
aJUUMtTM, 3 e p.
de $ixxǫi.
Aucooftipat,
s.
aor. 1 er itnpér.
«or.
1
i/j/.
pass.
la justice,
ICJTV.U.'.,
—
(7720).
A:y.xarr ;, où (6), juge. R. $ucâ£tt.
Atc-y=vT.;, io;-ou; (p), Diogène.
paraître,
—
sembler ;
passer pour;
penser u.cl TSTr,py,xÉvai dam,
(je me semble) il me semble
avoir observé; S&cxto u.c.,
il m'a paru bon, j'ai résolu de.
:
de
ogxe'gv,
p«rr.
d« pr.
?je«f.
A:/.Ôj,
où Ton
tribunal. R.
grau*,
iy.:,
Agxcûv, conlr.
er
AucauraiptGv-, ou f-o), lieu
è
suc»,
R.
Bacchus.
Aip'vuffoç, ou (î),
A :yt:i,
5 e p. s. t///p. de
AirjfécfMU - cû(Adu , raconter. R.
&ta, •/,-;£:•-».'/•., conduire.
Air,-|'=Î7c,
&UCB,
,
.
route.
A'.yxoj-ô), /.
rend
2
imp.
x,
à Irarers
A!;, ««"r.,
5 e p.
,
rité.
I
•
Ateirop6u.EU<Mtu.r,Y,
A'.:pi-'.
•
ocooi, traverser en Battant.
Aum,
dursopôofuci).
\:i—'j'Jyj.yjny., r.
«0>-.
lUfftt»,
dtu<xa,p.
Attvryreîv, aor. 2 inf. rfe&uupépo.
à. iz.y.:,
AlOdeÛw, /.
21
e*
conlr. de Scxéo».
AqXg;, ou (6), ruse, fraude.
A;;7., y; (y,),
gloire.
AoÇotuu
t/«
,
m.
estime, réputation,
R. oWc*.
û<
,
au
,
aor. 1 er op/.
,
AÏN
22
A:;a';icv,
eu
§6£ûvr,|xat
âo';a.
xoa, av,
A:':a:,
vaine gloire,
(to),
R.
gloriole.
AQP
flo?
-
er
par*, de
R. £ûvmat.
Aj: et Sûo) g. Sucwydal. S-ja:
odj. mon., deux.
A1-77V, /cr, ov, no"j., malheureux.
R. Su:, part, qui marque difficulté, peine ; fonnp.1, «or. 2
faculté.
sta, aç, s, éol.
eiç,
,
,
de $cxé«».
/.
e:,
p. S-.ixvj.:.
ou (to), javelot.
R. îopo,
lance.
A;:, aor. 2 impér. de
Apy./.wv, cvtc;
àîdWt.
inf. orÂvai, placer, être.
serpent, dra-
(d),
I.
gon.
Apasco,
s-.:,
occjw,
«or.
drachme.
cor. 1 er
Aj\
1
8\ju.\
,
,
f.
Sufftt),
S5o»a, aor. 2 f&>v,
—
—
hâdv/.y.,
opt, de
a-.TO,
oûvcd
er
ïéouxa, p. pOM. J:''Îj:m.'.,
entrer dans ;
revêtir;
descendre.
p. âjc.
a-.o,
^ûo, deux.
/?.
p.
ëfyauta,
p. SéSçaxœ., fuir.
Ajvatu.r.v,
Aûw,
II. Ajco,
Jpau.
,/. de
e
Izy.yu.r., y,; (y,),
Apao, /.
woy
puissance, force,
Aûvotp.iç,ecix;(TÔ),
d'O/'.ECi).
Aopanov,
er
1
pouvoir.
è^uvr,<j*|jfc7iv,
1
.
«or.
,
adj. niim., douze.
R.
deux, Svax, dix.
Aûpov, ou (to), don, présent. R.
8<ju>,
Aûvaaai, /. r.wj.y.:
aor.
de /. pass. i^rn.hrn, p.
1
,
er
id.
donner.
$18(001, &s»,
E
EBA
E
ETK
en nombre, cette lettre, surmontée de l'accent aigu, é,
vaut cinq.
:
TEàXûJV, «;,
'ExVyConj. quiveul
I.
R.
II.
sî,
le
subj.,
si.
ay.
r,:, r,,
aor.
EfcUTCù, r;, cû
1
;
xcvrà
dizaines.
v. piooj.
ta,
imp. de
e,
e;,
er
s?d»j. «"a
m.
'EocuXo'pjw, cj,
et'.,
ûfy. defaù-
sans
'E-pyoâaa, inscrire. R.
dans, Tooca>a, écrire.
/)ro?2. réjl.
:
ace. a'a pron. prim.
o5, ol, I,
même.
— omettre.
"EGaoîXeuffa, aç,
—
E-yé'yovetv, si:,
'E-yé-ypaitTo,
permettre;
'E'j'éXaaa,
;;
;?.
'EtîX«v, aç,
i\
fiy.sù.z-no.
s,
p.
I»,
5.
pl.-q.- r
.
v. veÀctw.
e,
y.:,
imp. du m.
'E-£v;ar.v, ou, etc. V. YCVGlugt.
'E'YÎvwcxiv,
s,
5
£-;,
plus-q.-p. de
£•.,
pats, de ypâ<p<
'Ea.w-w, im;;. eïowv-«v, Eiasç-a;,
eîae-a,/. enrà, «or. l ei "cta<7a,
p. Etaxa, laisser;
3Xs'-&>.
Xouoli,
nom., de soi-même, soi-même,
de soi, à soi, se rà IoûtgG
(77ooc-;a'y.Ta ,, ses biens. R. I,
soi, aÙTo'c,
mar-
EoouXeU(j(xu.ï]v,û), etTO, ?. ^cuXeuca.
Eaaov, â-®, aor. impér. du m.
Ey.Go>,
les
'EcÎojv, coç,
"EoXsttov,
'Eàv, inf. d'iy.o).
de
te et dix,
°E€£g{aoç, septième
que
oi, i>. â>.fcr/.cù.
mon., soixan-
'Eo'îsa/./.ovTa, adj.
e:, e,
'E-v.ij^'.y.;, ou
imp. dâftvc&oïCfA.
[6-) 4
s.
eut. asT;;.
—
LIA
pain cnil sous la cendre. R.
e'v, /.:Jrrrcj, cacher.
wxii
I
i
-w, c.
OH
/'/•/.
(ao5,
è-j-w,
-j-e,
Et£ûçy uta,
uîo,
contr. d'ior./M, ô e p.
imp. de
ïrik&tù:
er
'ES'kùZx, aor.
1
*E£g'xguv,
et
v.;,
"E^cçx, a;,
"ESzxgx,
ol;,
vou&ai.
de
er
imp.
Je S'.yJtù.
bon à manmanger.
«rf/.
î'Îco,
f
'EÔeXrlay.'jj-^oor. l
er
6eX«t,
a;,
op/.
d'c'Oî'/.M.
m.
vou-
de
dupr.
ifeûu»;,
H.
.
le
le
convenable
:
il
T.'U--i,p.
adj.,
u,
vnm., vingt.
avec raison ,
,
convient. R. v./.i;.
moy. iv.y.z, ressembler,
adv.
,
il
Eùcei;,oVoç, p. pari,
du pT.) t
(s.
EtXe,
e
p.
s.
— Lejut.,
—
rend par
le prés.
; î'ix.7.:, si
;sîy.x,
si
Ev.i:u.j.:,f. r.azu.xi,
El Ss
même, quoique,
par aventure,
par hasard, avec l'opt.
Erre, si cependant. R. sî, fè*.
et
wou,
Eî^eît.v, uç,
r,,
si
si
prés. op/. d'sfàw.
Etôévai, p. EÎ&nxe'vat, p. i»/. de
Eiâto, /. £V(jcli.x'., aor. 2 el'S'cv,
il/.i-,
R.
trouver
se
sî>.e«,
aor.
rouler.
2 moy.
deatsEw.
après
ce n'est
ynoy ,v.
eÎXov.
EtXopQV, ou, s?;,
d'ivi.i.
mais sinon
/•.
près, versari.
II, Ei,co7)j., si.
etei;
eixa
comme
adj.
Etx.-Jrcor
avoir coutume.
que
er
de vingt
coudées. R. ~?,yy;, coudée, cl
s.
imp. de Depot-
E0o), p. 7?/oy. sicoOx,
se
e
E'!/.:gxtty./;j;,
comme
y
eî,
btoé
YX/.'.g:,
"Eôvoî, se; (to), peuple, nation.
p.ri,
1
d'oà
"Eôvr,, pi.
'2
eh bien, >oit.
te j>r.
vraisemblable,
TTSÛto.
I. TA,
seraient, qu'ils
est
(e\m),
vraisemblable, convenable.
r/)ùx/.y.,
3,
soit,
—
tb; ifcco'ç
ment, de bon gré, de
'Eôs5â-£j;v,
ils
fussent;
E-//.:;,
'EôêÀcjc.:;, qui agit volontaire-
'ï/jù.iû,/. r.ao>, p.
opt. (feîjrf,
EÙCftopê'vG;, p. pari, pogS.
Ittov, a;, a,
r.,
R.
du m.,
présenter au naturel. R. eum»,
ressembler.
mtp. de «Su-
dor.p.
imp. de 'xw.
v
EôaÇa, p. ôairre».
loir.
ctfr,*
P. pass. eftcacrpat, imiter, rc-
<5fxû).
t;, t;,
ov,
ger. R.
p.
oc/.
Ei/.x^oj,/. a<jo>, «or.
v
E^y,v,r,?,
par/,
Eïr.v, r,;, r, v.
.
EoVm'-JAOÇ,
oç, o. o'toç,
;>.
o'ç,
mate, de
5.
Ei£v,a//. p. efviaav, 3' p. pi. d'ivre
Siio/.a>.
1
r.
e,
s.
c-jv,
aor.
e,
'E^jvajxr.v,
7yh) y
<:xx, ait.
sachant, connaissant.
r. 5eï.
'E&t'./.vj,
pl.-q.-p,
y.
fepr.
e;, e, u.
EtâqTa, «ce.
imp. de $axpû<».
s;, ;,
^ je MIS,
je savais, je connaissais.
certes.
'EÎôxpuov,
moy.
/>.
y.
c^îciv (/'oh.
moi-même, moi du EUgv,
>,
moins, eqwdttm, R.
"E&t,
M0O,Gio6a(p.
je connais;
da Ȕ.
êfioo, moi, je.
YVttXSVXt, p.
—
voir;
itjiws,
p.
fvwGMù.
».
23
E1II
Eî>.ev, s;, s, r. a!p/co.
Eûu,jf. lacfuu, ânp. jfv, être,
II. Eu/.-., prés, e//., aor. 2 îov,
p. mot/. w«, plus-q.-p. r!=tv,
I.
et;,
s-.,
aller, venir.
Elva-., i»/. efetpc I.
er
Etirov, arw, aor. 1
Etiré,
aor. 2 imper.;
Ei-sîv, aor. 2 in/.;
impér.;
EK
24
Ei-cv,
aor. 2 o"et:w.
e;, e,
E*-ore, coft;.,
quelquefois,
-si
jamais. R.
eî,
E'-cj, cor?j.,
si
R.
si
ttgté.
ttcû, là,
Et,
EKn
quelque part.
dans quelque
endroit.
t
/• è;ô>, p.
parler.
Eipuysai, a;
"Exarepçç, a,
2 pass.
cte
dire
;
ev,
par* en-
;
0.
y.iàr,
ivo'ç,
mm?., un, un seul;
unique bis «ç, quelqu'un.
EîrcaXXw, se jeter dans ou sur.
R. ci:, ftâXXu, jeter.
Eîreuu, aor. 2 eiçigv, pr&. i»/.
:
— venir
,
5 e p.
en-trer dans,
en.
pi.
entrer;
Etc. eiui II.
gén. ou
le
dedans, en devers ? ;, eiom, le de-
l'ace, dans,
dans
—
;
:
Eit dev. une voyelle, pour
Eira, iufr., ensuite
quoi
;
Eùâôstv,
—
I
illic
c,
r.,
elle; lui
il,
cV.,
y.y.'/.i(ù,
'ExxotuÇo,
pron., celui-là
;
—
ce, cette
;
—
,
le, la.
;
'r,}, assemblée. R.
appeler.
exporter
;
emporter.
xoiuCa.
"Ex.A7.1c/, frnp. de x.Xaî&>.
prim. >.r!6w , /.
'ExXavdâvu
aor.
2 È^éXaôov, faire
êxàTigo»,
£x,
,
R.
oublier.
sx.,
Xavârôu, ca-
cher.
Moy.,
ixXavdavciiai,/'. éVayî-
aor.
Gcy.y.;,
rfe/. pass.
2 E^EÀaÔoW.v, p.
ExXêATjauai,
ou-
d'oà
*ExXEXîjadai, p.
'E/.'/. t'y:j'y'} y.:,
de/, pass. m/.
p. pas s.
ExXrpGVGu.uax,
iv.f. d'i/J:j(ù.
p. x.Ar.povcu.=co.
«'.
i'Oto.
£•.:,
Et,
ctos
pl.-q.-p.
(to),
pris subs'.ant., la
d'â'6o),
le
énerver. R.
—
ex, X-jw, délier.
êlre énervé.
'£/.u.7.6(ôv,sj(77.,:v.
r?.
d'ilubùi;,
coutume.
EiwOcô:, uîa, tç, p. moy. cff&u.
*Ex. 'El, der. w??e voyelle;, prép.
gui régit
lir,
— amol-
Pass., ÉxXûooat, y. •jôriTCputt, p. ÈxXéXuaat, se relâcher;
aV l'imp.).
Eiùdo'ç,
comme
p. èxXÉXuxa, délivrer;
eç, e, r. Ê'^O.
Etaôa,
[sans mou».). R.
'Ex.X-jw,/. ûaco, aor. 1 er é|éXuaa,
dani.
Eix<*i
'Exsûtcç,
blier,
d'v.u.i I.
qui régit
at/f.
Etorû),
R.
Hécate.
ille.
R.
cdj.
i-.z-.i-u.:
l'un des
'Exeiudv, g:, r:, iwp. de xeTu,at.
'ExxXdoio, 04
prép. oai récif l'ace,
II. El;, y.îa,
—
chaque,
et l'autre.
celui-là,
celle-là, cela
ironie, raillerie.
(r,),
iç,
odj. f
cv,
— Tun
èxeîvoç,
de
c"pw.
ivc'r,
adj. f
dv,
s,
'E/.eî, aa**'., là
du m.
Etpuxa,
dans, à, vers; sur
vers; pour.
(5.
"E/.xttc;,
'ExaTcv, adj. ?ium., cent.
,
Eîot,
point de départ, séparation,
division, exclusion, excès.
'E/.arr,, r,; (r,),
Eîp^acfAOt, r, Erat,/.
Et? o;<
;
marque
du m.
pa«. du m.
Etçuuat, p.
Eipupivoç, p. par/, pass.
Etpwi), r,c (r, ), paix.
R.
à
s, v. s'sti).
EîpipcEtv, pl.-q.-p.
I.
ex
deux;
Etpvxa, aç,
E ?? w
;
— En cemp.,
chacun.
ETp-jpc^L», offgt, aarat, y. Ip^â*
— —
de, de la part de
par.
gén., de, à partir
aor. Ipart. de
'ExuxvQâvcd, apprendre à fond.
R.
Ix, u.avdavc<>.
'£xop.iaz, aç, e,
'Ex.-îtttw,
:w.
i'.
x-su-l^o).
tomber de.
R.
ex,
,
EM11
BMÂ
y-r.av.,
t,V. ^7-io.
y.;,
parouv, £•.;, », imp. du m.
:e^,adt7., tout du long, <fo
même, moi-même.
moi, rùto'ç, même.
11.
'Excfcucv,
'E/.cô v
,
où
«tvw.
e'/.,
«, w
9
,
.
ôvre :...,a<lj.,
qui agilvolonliers, librement.
"EXoi&v, (, c, i\ Xau&avt».
"EXâXouv, B15, s-., imp. de XaXsa.
W, SU»* d' >.a/;j-:,
le plus petit nombre.
\D.^'',W,v, tmp. /xzss. ;
"EXefOv, £;, £, imp. act. rfeXep».
/^T-.r,
=
r,,
"EXe'woç, eu
démonstration,
(6),
preuve, (/'où
'£•.^7/0,
v.Ey/a, con-
— découvrir,
trahir.
Hélène.
(aî),Eleuthères,v.
œv
'EXeuôspou,
r.s
(4),
'BXewÔeptx, a;
liberté,
(r,),
de
l
v
'EXeuow, îvc«
Eleusis,.?;.
(r,),
'EXs©*?, bwtoî
(ô),
éléphant
;
—
ivoire.
aor. ïinf. d'lpxo{*«.
'E.v.â;, fltôo* (r,), la Grèce: to 'EXX«k çwvT,, la langue grecque.
Grec.
*EXXy,v, tf»oç (à),
'E>."/.y,vix.:;,
du m.
*Eué, ace. d'iyû.
"EueXi,
y.
'Eu.eXiÇa,
•j.ù.i'..
5e
p.
aor l^rfejieXîÇw.
7.;, e,
cotiir.
'Eutxtcpovet,
?mp.
5.
ttèvAOAycvtt,
c/e [uottasvéc».
conlr. d' ij~u.k-j
l.y.'.acij,
imp. Oe
'Eij.a-'vco,/.
*x, ».
3 e p.
t
u.'.u.i'.u.y.'..
er
ir-u.v.evô, aor. 1
rester dans.
vj.'j.i'j.i/r:/.*,
II. SV, U.EVCO.
Eue,
'Jvj.c'ç,
y. t'y».
d'E-ycovÊ.
ota/.
t„
la
mon, ma,
a'.//.,
eîv,
le
mienne.
'Euoù, g. d'i-xt ou
'EuicE&ucXifc
,
u'i;/.:';.
écu;
,
Empé-
cv,
p. pa$s.
(ôj
'Eu.TTcTrcç-r.u.Hvcç, rM
part, (/'ia-cp-xw.
'l".v.->.x6w, /.
'£XX*$, -c'.t:;,
(r,),
mer.
Moy.,
itOU.
espérance, at-
tente.
t.,
aor.
1 er subj.
m.
f
iy.-x'/:r, K'j.y.:,
aor.
s.,
aor. 2 act. iho*.
p.7.V fJ7.VC0.
T.A7.-jTvJ,f.:, où,pro/i. iv'/7.
720 /n., </a£.
R.
1
er
f. T.ac-
i/i~'/:r,ix'j.r^
d'où
'Eu-'/X'jy.u.i'ir,;,
r,
cv,
aor.
1
er
par/.
rato, aor.
1
C!
Èveir&ornKTZ, attacher avec un(
agrafe, agrafer. R. èv, icopmn,
d'èknïfa.
"ïj.y/):->, t;, e,
er £•/'-
rassasier.
,
'Ey-'^-aw-S), /.
r,;,
1
remplir.
èv, ttaxôco,
'£.-•:>, f. î<K»,p. wXirow, espérer, attendre, de
'EXmç, îÎ6i
aor.
t.7(j,
ÈuTCÉxXyjauat
r„ v', «W^., grec.
'lv./.r,^-cvTc;,vj(ô),rHellespont.
t>,
aor.' 2 sn/'j.
p/.
ttXy.oo, p. IjAfféîrXïpca, p. pass.
XéSopcc, oa (ô), hellébore.
t.v,
iv,
docle.
'EXtoîv,
(./g
2 e p.
Eu.6f,T£,
mien,
iXsuQw, aller.
'E)-(™,
paîvw.
aor. 2 impér. d'ip.€aivtû
/.Cr/J'.,
"Euci^e,
*EXsu8sp«;, a, 6v, a (/y., libre. R.
R.
R.
(
vaincre;
"Btivn,
'
2 opt. de
r, «or.
r,ç,
'Ep^aivû», entrer.
5.
s- •;<•), /j.
/".
£V, fji.tj.lu.
'Euêaivrv,
imp.de mncum.
e;, e,
iwdô,
II.
'EuëocXXu, jeter dans, verser. R,
rtîvoj^. £vw. p. ixrsTducc^élen-
dre.
25
sems
S, •/i.c^acc.
ôv,
de moi-même, à moi-
agrafe.
"EuirocoSev, orf^., en avant, de£';
rô euuçooOfcv, en
:
\ a ri L
avant. R. ev, -:;, devant (*çotîoi), qui est devant.
—
,
EUE
£0
'J
F.!ST
rpsjinttf., f.'^.y.:,aor. 2
-
Ésapv
iv-
manger avidement,
,
avaler; dévorer. R.
Iv,
9270,
manger, d'où
Eucmetûv , tOff», ov, aû>\ 2 par£.
Euooivw, faire paraître. K. iv
ipouvo, (/'où
— pour, pur.
dans;
'i
,ii.
en,
/7'.:'ty:
:
t,
èv,
fois
ir:,
-
=
v
Evô
=
a:
:a.
besoin,
(t.),
manque,
lébre. R.
iv,
èWx, neuf;
E-.E-v.a'y.'v,
opt.
moy. de
pu,
pari. ivûv,
/.-/,
est
IvEXgv,
«or.
1
er
'sizo).
àor. 1 er d'È-;-
e.
ira;?,
bijm
iv,
L'unipcrs.
il
duto,
evîjv,
être dans
ève<ra, /.
ivs-
tidv.
f
h cause de,
revêtu desesarmes, armé. R. iv,ovtav, arme.
s-.;,
cûuevy
s-.,
i/np.
H.
'EvJtv.si, con/r. d'i-rïy'/.zi,
'Evc/'/.î'w-ôj./.
y}w-,
r.a», aor.
P- evcdvay.x.o.
,
hnp. de
er
1
èv«-
troubler
,
importuner, ennuyer, acc.
ou da*. R. èv, i/y.cç, trouble.
'Ev.aôOa, adv., m. s. que èvfa:
qbceipoç r,v r&v ivraûda, j'ignorais ce qui se passait
ici
.
"Evtoçigv, ou (to), sépulture;
Ôarrr co, p.
funèbres. R.
Èv,
rrraça, ensevelir.
E'ETT/.r.^/.v,
pari.;
vEvreU«p.«t i
ffèrrvétù.
t).-;-.
-
tr
??î0î/.
"Evrtdiajifiveç, U, ov, aor. I
pour.
Evsvacuv,
vceu,
—
ornements
permis.
iv,
M. R.
(a"* c^/ers
I.
mé-
esprit,
penser, rf'oà
*Ertùf,w i r,:, r,, aor. 1 er miy.
con"Ewct*, oç (r.), pensée;
'E ^'?, "« El?
wto, w,
eu dedans;
r?;.'.,
p. iwEvsiiftx,
R.
penser.
diter,
glorieux, ceo::a, gloire.
ivlffopwtt,
/.
les dizaines.
r.gco,
"Evoir).GÇ,©v,<n#.»
gué,
"Evs-ypoujfa, a;,
.
marque
'E/v:so-â>,y.
de dedans, de
./, dedans.
*EvéoaXov, e:,e,gû>\2 t/'Èy.oaÀÀw.
est des
pam., qualre-
l'intérieur. R. iv
:,. fl^*.,
il
que.
jecture.
"Ev&cdsv, ac/i\,
R.
quelquefois.
est lorsque,
il
R.
pénurie.
*EvO::::.
h. Évta, certains,
vingt-dix.
manque
:;-cv5ç, qui
avoir besoin, d'où
j.a-.,
i\ v./.aw.
s,
(ci),
ndt-.,
x.;v7x
tov, !ffî]j. c?e
de, incomplet, imparfait. R.È/,
:
?vfer, Je.
II.
rouler dans son
^.
e':,
R.
ici, là.
'EwevtÎxovtx, adj.
vxjT-.âcd.
J
aç,
èvc 3te,
contradiction.
,
—
où;
èv,
c/e il;
'Eviers,
devant.
rvt£,
a;, a...
'Evy.-jTiwv,
—
;
sunt qui.
tvxvrtoç, a, cv,af/j., contraire,
opposé. R.
là
quelques-uns, quelques (personnes ou choses). R. er., p.
evett-.. st, il est des gens qui,
R. iv,auiXXa, lutte,
à...
R.
'Ev!, rfaf.
hdpûJuw T^saai.ilsmecom-
parent
ici,
"Evta, wv
'£,ay. •.}.>.'.:,:/, adj., émule, rival:
y.;
orfp.,
'EvàxSe, ad». ,
m. du m.
acc.
ivsiut.
alors.
r. Et; II.
...
E.y.,
'
"E-/jy.,
r.
"F./(/.r,ca,
'Eaçîivau, oor. 1 er inf.
'E' prép. qui régit le dat.
taon
'Eve'otw, r.
"Eve<m,
«or.
1
er
pass. d'h.-
*ubj.
r,,
«toi,
aor.
1
er
moy. de
*EvréÀXû>,/. e'aw, aor. 1
er
ir-riw.x,
.
LOI
I.EE
rmroXxa, commander, en-
p.
— charger quelqu'un
joindre;
de quelque chose, tî nvt. R.
iv, tùùuiù, faire, om giùjm, ordonner.
Moij.,
u.a*.,
00**. I
e'
m.
tstoXa,
I
IvreXXcjMU, /.
Èv re
âu.r.v,
1
./
là.
marque point de
flev
;
port.
dans, ^én.
dans, en dedans. R.
'Evr:';,
nefo.,
-
v-vc;,
.'":'
Rxécestidc.
.
'Eîr-y-r.ihy.:, p. inf. pat». d'i;y.—y-y.<>.
dune manière
adr.,
:r.:,
dé-
— avec
conor-
i/;-»,/. fi;»! avoir, te-
nir.
*EÇnox»(Jt.evoç,
r,,
part. pass.
&v, p.
d' fiy.r/Atù
è:'./.:-
p. de/. p«s.s. ;::;;«:, par-
u.r.v,
atteindre
venir,
R.
à.
i/..
ixvsouat, aller.
Iv,
sommeil.
2
fer.
'E^DCVEOftai-oûttacc,
ûûa«,6v,aor. 2 part, d'ii-
T.v.tôv,
£/"
*
—
lleurir
;
tules.
R.
iif;i r)y;/.y.,
'Eiv.Sïw, /.
couvrir de pus-
se
ex, KvOfito, fleurir.
'E;?.— y-xv-C-}, f. x»«. «<^r. 1 er
iij-y.rr.TJ.
ïif-y.TCAy. ,
p.
raco,
m.
-5.,
ex,
R.
qui nie.
«((/'.,
J.
ilxzyx,
<?éH. om occ. R.
•EÊovei&Çto,/
p.
d'i%i~>-...
souvent
vailler avec soin,
ner. R.
ex,
"Eceiut, sortir.
—
m.
R.
y.nx,
d où
flty,
fiO)
.
1
er
par?.
ocoxè», exercer.
R.
I. "E;a>,
v
I», eux» 11.
s'avancer à cheval. R.
iXxôvœ, pousser.
eî, s,
aor. 2
='.;,
et,/, d'ex».
E;w, ad»., hors de, dehors.
II.
R.
à/.,
ÎÇ.
'E:mc5Y.xm:, uîa,
d'ï/.'j.y.u-
"Ev./.a, r. e"/.w.
ôâvw.
*E^s'irMrrov, eç, s,
Jmp. c/'s/.-[-tw.
*EÇe't61VCV, EÇ, 3, f/07".
,
il,
s.
Èç, cpuuzo),
'ïilizy.r.ay.;,
perfection-
chasser de, chasser;
*E£«Xaûvca,
accabler d'ou-
'Eçssu.âw, se précipiter, s'élancer.
tra-
i^r'^x.r./.y.,
fou/,
de reproches. R.
ovsiJtÇw,
s.
'E^acrxc'cû,/ r,7co,p.
*Eçeopîaxu
part.
d'ïh'i),
trages,
ap;w,
commencer,
èx, oizyoi, m.
'Ecn'y-aÔcv,
5.
m'était permis.
ou,
àpvécaat, nier.
'F.ixf/o),
:ioïw,
d'une manière absolue : \i.
étant permis à moi.
!|*ct,
e.-à-d., vu qu'il m'est, qu'il
part.
"E^apvoç,
JÇw^rx*,
èx,
— Ce mot Remploie
i-a-
cv,/. pass.
vj,
p.
R.
7/?.
d'où
;7.-a.Tr/JY,'7;y.-.v:;,
riao,
s'enfler, enfler.
'E;:v, h.
,
tromper, séduire. R.
s/.,
.
pari, d'iiy./)
'l.irr/if./M;, p.
i,.
songe. R.
'E^avôétd-û, y. Tia», p.
]•
w
'EÇr.xserrî^ttÇ,
dre. R.
— de-
,
"or. 2.
;,
:.
<.
tinue, de suite;
—
r;),
;eûpc
R.
'EvTouçaw, faire ses délices de;
insolemment avec
agir
quelqu'un. R. s\, rpu^pau.
'Evvirnov, 60
'l
l
de
j/.
f/'o«
p. Iv-
«.
rreùteV, ad»., d'ici,
7v6«
e/.cj-
R.
imaginer.
27
2
trouver,
rf*ÈXT£lVû).
inventer,
il
semble,
c'r,
—
il
p. p'<r/. «cf.
"E;:/.e, îtniptrs.,
parait,
il
sied.
(foi*
'Lz'./.m;, -j'%, bç, #. oto;,*.m«C iT;; :
.
28
EI1E
EI1I
—
semblable;
vraisemblable ;
convenable.
*Ett', dev. une voyelle, p. i-'..
'E~x-;u, amener, emmener. R.
—
'Ezii-iz, conj., puisque réelle-
ment. R.
£-={, irép.
adv., ensuite.
"E-c'.rx,
R.
'ErraXzomr.v, cj, £to, aor.
Moxj.,
m.
ir.x~zu.x'.,
f.
p.
£o; (r,), invasion, irruption, choc, de
ac-
i~x/.y.,
compagner de son chant;
chanter. R. i-l, ££«.
—
jvtcXoûvu, avancer, se porter
contre ; faire une irruption
"E-?.6:v, v. irào^tt.
"EîraiJeuaa, ar,
a,
Eraùvemu, aor.
sur.
tccu&Ûc».
i-,
1
er
m/,
vexa, aor. i er peuss.
louer. R. è— •,
m.
Iinpvédnv,
m. 5.
louange. R. ï-{,
"Ewatvoç, eu (o),
aîvê'a),
s.
—
E-atpw, élever ;
froncer
sourcils. R. =-•, wp».
/es
"E~x/,conj. p. i~i\ àv, après que,
quand.
—
—
"EvrôxvrXoGffai, pi.
fém.
iMcapoupcç, eu (0
laboureur. R.
,
part.
'EisdaopjaiA,
qu'un d'espoir. R.
"EirefEvopwjv, vj, ère, aor.
'E-Ey.EAY.Or.v, v.
£Tr'.;j.£>.î'cp.at.
'E-£u.£y.^oar,v, cj, ît:,
"EtTcîCV,
771777W.
t'.
aor. 1
£-3637:, 2 e p.
'E~z
î>.
r
jjy:r,'jx,
2 d èer
d'à-
'E-sî, co?y'., après
—
que ;
lorsque
vu que.
'E-î'.-îav,
av.
—
d'i-
(TTÙ.'/.Oir.
£77£çv;£ jT:,3 e p.
,
de
5.
pl.-q ,-p.pass
çsvc'jcj,
'Etta-cW.v,
g-j.
imp. moy.
£ti,
*Ein}X£OV&v,e$, s,imp.
'Ettt;;/.?.,
d'ïr.i'/.xtj'iw.
àv.
a.;,
e, i\
que, depuis
puisque.
;
—
—
que;
dès que. R. £-£•,
ênrxtvéu.
p. ffèipeûpu, d'oà
Ettî, prép.
:':,
à 5 cai
p. parf.
:
avec
le
gén.,
— Avecledat.,
dans, en, parmi ; à cause de,
èt7 uvj
: près de
au sujet de quoi ? i-\ rpxvtxû, près
^tec l'ace,
du Granique.
après
£77'.6'jy.EO).
conj., après
lorsque;
<£s,
s.
ÉwmôîijM.
x%, e, y.
d'Èrr.-
,
sur, en, parmi.
TTE'n'ar.v,
i«^.
e,
£;,
'E-y.p/.oi;, uîa,
•ETTs'eou, p.
iwp. d*£-
77 ip, c'y. ipo a 7.1.
'EmpaeToç, cv, ad;'., aimable. R.
Èsaw, aimer.
'E~iion, 5 e p. s. irop. d'i-:zzio).
'ETr/ivc^x,
ïtryivcuai.
£,
ù.r:[-
Ku, espérer.
*E«W,
R. £77£'!,
aor. 2 d'ÈTT'.êzivù).
aç,
quel-
i~l,
cory., lorsque, puisque.
f. moy. d'ir.tào),
,
£rr//.7rt/.a.,
nourrir
faire espérer,
d'È773C-vtO.
xpeupec, terre.
'E-eoojx-7.
£-(, IXo6vtt.
*E^rEOT£XXcv,
'E-avrÀ £(>-?>, y. ï^a, verser,
épancher sur;
puiser, épuiser;
remplir. R. èm, àvt/.e'u, puiser, d'oà
'V-.iZr;t,
R.
E-£>.-ï^oj, /. îao, p.
ac{. de
'E~7.vrzca-û,f. i<3(ù,f. moy. (doux:, aor. 1 er irrhiax, p. i—ç-
£77-,
d*£-
'E-3A7.5'.:,
'E-z$o>, f. â(7w,
aiv:;,
2
7?t>.au.oâva».
xlzu.X'.,
s.
è-l,
t'.TX.
;
:
.
;
—
sur, vers, pour, par,
;
È77 .
7;ay/,>.cv ùdeîv,
le cou.
pendant
:
pousser par
— £n comp.y im mar-
que arrivée au but, superposition,
addition,
excellence..
Eni
monter sur, marcher
R. foi, Paîvw,
taciCaKw»,
20
FIJI
sur, s'avancer.
de, reprocher. R. l-[,
<fo«
établi, placé sur.
ly-rc,
pûssager 5«r
eu (o),
»m vaisseau.
r
/. eûaw, aor. l'
fcc«€cûXeuaa, p. eux.?., dresser
des embûches. R. jiw, ffeo-
*E-iocj).rjù),
par des railleries
'E-(/.c-:;, eu (6), billot cfe c;/i-
R.
sine.
de,
se
liai.
R.
rire
o»
de, ncc.
moquer
foi,
è-î,
-p-
/.-.'—r-j,
x,"jya, p. èiTucexoça, se pencher.
sur, baisser la
Moy.,i-:-;0.y.'.y.%<.,f. otOO-
m.
5.
—
tête.
R.
£--,
er
part.
m., r/V<
5.
'K-,>. ay .?avw
av,aor.
I
s'emparer
de;
prendre, mettre la main sur.
'
r. :-{ xauga Vûl .
:
È-- Ev-c, eut
x.^tv,
«fort»,
'l.-ix.lyo.:, aura,
TtpofMu, naître sot
on après ;
survenir £ç(mq-
'E-'.-pcu.a-.,
rouper.
/. 6$«, aor. l*r='---
'Eiroeûirrtt,
}* w «
(MU,
cœur,
(jrife,
p. rtloy. reTcp.a, cou-
per.
tre.
*E~q£>.â(o,
•/
M
être
embûches d'un au-
l'objet des
|
è-î,
'Emxep-rou.eu-û, /. r'a», railler,
moquer de, plaisanter sur,
ace. R. è-i. xecrculu, piquer
Ts'y.vw,
fai@K>Xsgopat,
R.
|mu, être étendu.
Xsûto, projeter.
Pas^.,
v.ï,
f. tîacuxt, rire
'E-i/.i:<j.y.:,
traîné en
,
y
longueur. R.
'Enr^-.r, f;
épigraphe,
o')
inscription,
à),
R.
litre.
-a-
È-i,
R
r
y
êireXeÇaur.v, ajouter à ce
montrer, démon-
***'
*
^F
^ .;
"Em^ea-M, /. da pr.
•Err^W,
" 161
„
5
-
a^W
a,
£77 E-T,-
p.
r.tïto,
flor> f
demander avec
p.
£— ETJIV.V.ST.
désirer;
—
£-•!,
ffouo;,
"Emôui*T,àe'.a,
,
cœur,
atç,
er
;
—
îaire
éo/. p.
opf.
^.
—
ro;;
fc{,
as-
r
,
u.\jcu.w.
•'
se
,
•
i
i
j
plaindre de, gch.
e*
ne.
<
.
u.6aqpcaat.
I
>
5.
??i.
t
a J ouler
mesurer en
TOEG), U 0«
>
R.
at-
du pr.
È-'./.3///.r.y.a,
un
/.
sus.
fjaniesu.
R. é:
tt£-
'
,
esprit.
e,
1
jSltUHtXétt, /. ego, p.
appeler
er
E-'.TETjar./.*
être épris de.
ai, »•;, ai, aor.
1
f.
pa>
a soin.
*!«*"».
'
J
^
w
|
instance.
*ict,
6'
cv, tïo?-. l er
r.,
& (/e/> £ÛW> fe^aS,,
on
/».£•.,
£-•.,
tors», chercher.
f. ^atù.
aor.
'ETr'.O'ju.Eto-Ôj,
!
/f .. W) dirc> choi _
pren dre soin de. R.
.
R.
«"om
w<
Emeucûç, flf/i'., suffisamment,
passablement. R. s--., eueu,
être convenable.
»_.,,,_ F
_ ,..».
rr./.a,
sir,
choï-
-
,
a ^ndonner
/.
R j^
^^^i-cCuai / rW»
céder. R.
Ett^v*:, aor. 2 m/, du pr.
Tv77'.,r.7ê(0-C0,
sjr#
r.
I"
qu'on
— surnommer; —
'Eïri/.Ecâasv::,
donner en outre, a-
a
"
J
Eir-Xs^», «tat,/. É&ua'i.aor.
a dit;
...
m.
jfoy., IwiXauëavcueu,
écrire.
f
'F--.0 3-v.rj
lr
^rrsoaï.
farf,
crime
"E^H"*? ****' ma, «v, aor.
P ar '«
y
"B*wgv, W, î, ôwp. tfc-iwo.
"Eiaov, e:, s, ». le m.
1
I
'E-'.cî/.e'co-Ô),/. r'cw. p. ÈTncSpxT-
xx, se parjurer, faire
un
l'au\
,
p
Eni
50
serment. R.
serment.
\
Eni
contre,
i-[,
c;/.::,
aor. 2 part.
c'v,
Moij.
tomber sur ou dessus.
/.
v
£-'.->.a, e»v Trâ), mobilier,
— bagage.
R.
meu-
=-•.-}.='&),
transporter par mer, c.-à-d.,
qu'on
ce
peut
qaœ moveri
transporter,
possunl.
'EmitXaffai, aor.
m.
er
1
f»/. de
—
feint, faux.
tre.
1
aoj*.
er
naviguer vers oh con-
-rr/x,
?,;
[%
,
R.
pièce.
;?.
I«î,
plier,
T.ï—.-yj-j.,
couvrir.
K-.ipî'to,/. eûffca, couler sur;
R.
—
couler.
Iirî, p£c&,
adj.,
marque.
'il-'^rr, fld».
'so?/s
d'égal
•.
«oj*.
I
er
reprendre, blâmer;
recommander. R. £— axf,•',
s'appuyer, d'où
^/. /; •>/.'.,
«or.
'r.rr'.'/.c-ï'j-'v.
i~-. /j/.i—r,rs%.
1
er
y.
iw/.
t,<hù.
aor. 1 er
p. l—iiy.i—ry.-j.. re-
garder, observer;
ner, visiter. R.
— exami-
à-î,
c/.c-e'w,
regarder.
'£-.'. -/.'.ô
--.),
santer.
R
f. tôÇw, railler, plai-
i— ,
'Eîr».o~ff.ffâ(A£vc;,
part,
.
777! •;./,/,
moy.
;;.
er
£-£-
lirÉffrcXaj
en-
rtOr. 1
£>.Ô),
f.
— annoncer; — mander,
ordonner. R.
ffTeXXw,»!.*.
£-•!,
de
t:
,
,
.77e jo).
troubler. R. iin.Tapâffcra», ?n.s.
ffJt(01CTâ>',
y;,
mou. de
ov,
/?î.
aofi
S.
1er
mander,
rîWi
funèbre. R.
a77co,
a/f.
ordonner. R.
=-•,
£-î,07'r:7c),p.7£77.'
r
'E-i7-/ ')£.:;, cv,
./.
)
ensevelir.
propre
arf;'.,
à,
commode, convenable. R. ham.
"7.0V.;,
5., r/'o«
ad».
,
.
commodé-
ment.
tia-rifoui, mettre sur ou dans,
Moy.f
ssfj.su,
der.
i-l. -'.'ro:..
ï-'.-'.hi'j.y.:^
f.
aor. 2 IirOe'uiqv,
'E7«Tt(Xiâ«^fd,
rlro,
y.
ï-W.'.-r:1-j..
'E-
r:
ir::-
savoir, connaî-
\E7-''77E'jcv, eç, £, m?/},
usftS'oç,
—
à égal.
I"--.7/.tt:tm,
wreo,
voyer;
y,
1
lia, îcrrap.at, se tenir.
imposer. R.
£•?}?.
part), également;
—
R.
tre.
"Eîîtmd*Ei<»ç
remarquable,
distingué, célèbre. R. =-(,
'E7J''ffr,{i.oç, ov,
a/L
TO,
*EiaTa<ptô5, ev, ad/.j
itXeo).
1-ïtî,
TTTÛffff»,
trî5u.a,
W,
m;p.
ra-.,
Èirtffrr.ffci&at,
E-ictTacffff ça ,
R.
alïïuer.
ff«,
'Eiarapaffffû>, att. octt«, /. a;co,
av,
affût,
parï. de
;:-r-.->.ï'co,
l
5.
ffTCt»lTr*,
orreiXa,
enduire.
£-•!,
R.
"AxaTo), d'où
'EiairXwrroç, dv, ad/., enduit ;
aor.
'ElâaTOfJUU,
/.
57racu.at - ûnftt
ct ètte 7777.57-
£-•.
",
'E-'.7T£/.>.W,
£-'.7:Àa7(jto, ail. oerrt»,
'E~:-'j.fjiy.;,
et
£-!, 7-a(ô, tirer.
oiffofiou,
p.r,v,
':-:-•.
R.
tirer.
de
bles;
l
èiretnraaa, traîner vers soi, at-
-:-'./, gûoo,
'E-'.-'.-tu,
âaw, aor.
'E-'.cttxio-c"', /.
R.
i-.
m.
s.
blâmer, répriman-
lia, tiuohi), ti'o»
aor.
1'-'
imper.
ad;., raccourci,
abrégé. R. â-î, TÉpwo, p. ???o?/.
rércua, couner.
'EwTpss», permettre. R. i-l,
t-pÉma, d'où
'E-'-z-.ivi, aor. I er hnnér.
'EirtTptTrroç, cv, ndj., digne d
tre écrasé, scélérat. R. ï-[,
'£-'.7'y.r.7',v,
'£-(7:;;.::,
1
cv,
rptêw, broyer.
'E-içtçipsâ,
R.
porter en sus ou sur,
:-•, c;{:«.
Moy.
i-\- ii:
t
r
j.y.'.,
aor.
1
er
E2n
EPI
m.
i—f:ii'/.7.[j:r:i,
de plus,
s.;
"E;.:, i£o;
après quelque
b.ïiilcr
mx«tv<d,
chose, désirer avidement.
cJ77.,
/.:'/)/./,
1
er
«or.
er tfÈiraaxE&i.
1
2 p.
"EftX&ÛTci;,
s.
unp.der.'/.'.j-
r.
/c
m.
"EppoH&ott,
coulr. d'ir.v.ivi,
£•.,
ï'j:n
er
u.y.'.,aor. l
E-:a;a,
"Eirparrov,
'E— a,
£
1
l
er
1
er
épris
1
.
,
ÎWip
.
3
:
p. de /. pass.
ac?".
1>
travailler,
E:vv/, cj
action
5e
•
'£;":>. j 7 •.,
r! r-.vâ
:
ouvrage;
'Epivvuç, C
r!,
'E;, p. £•;:
i':
,
E<ni, 2
dispute.
pi. ô y.:-Z;,
demar.
adj.,
sv,
dam
;r.
te,
jusqu'à ce
une autre
fois.
R.
£,
aor.
î2 (/":':
.
p. EÎ;êâXXw.
r
.-ce.
r
y.'/n;, ;n. s.
'Eçe'&xXov, £;,
t;i:<j.:,
p«W. de
disputer, se que-
f;'.;,
1
— demander
;
(r.,
*EçaG6t;, od».,
chose, atTairo.
da/. p/. p»T5.
R.
aor.
£:co;.
p. v.tivv..
e
p. 5. /. bTrim I.
(i'si'pco.
iLy.^u, f. igo),
Fu.'ic.
f.
£•!— y.G'J.—
p. S./.;
*Ep£tv,/. ïh/.
reller.
,
R.
£.;,
—
t'tw,
_/.
E«5
question.
rfe
rb), travail,
,
Epa>Tï)«nç,
de,
-"rnM:,
v
(ïïi-.:.
s'informer. R. eiow, (7'ow
; - y'.'.yt.c,)
aor. 1 er
p. p/. d'izxo).
(;.
r x :•) -
ger
iocu.9.1,
'E::!,
3
e
Y,;wTr,7x, p. r,;wTY./.7., interro-
rie
être
p.
venir, aller.
aimer.
£*;aw,
F.:',7./.;r,
'Eo'YaÇc y. y.
—
•>;,
.
r. 677CU.VUU.'..
r,;aaO/.;,
:
.
oupr. tfiçitû.
wro; 'ô), amour, am
.:,
.-;v, dire, ace.
oén.
u.r.v,
:
:.-:/.,
'Esaco-w, /. àcco, aimer.
Pass., Èoâcuxi -ôuai,
pa.ss.
roi;.
r.'.Jv/,
£>.t>.j67.,
'Escôs:,
;
m/,
*Epâv,
.,
R.
,
£l7fe)U.&CT3t(X«V.
de
,/. t/'£t:'j
s.
sept.
aor.
(ûius.),
oor. 2
m.
imp. du m.
num.,
a</j.
*E-cj
j.v.'.,f.
aor. 2
1
«/r.
iwottoû-
v. —zy.nn.-i.
s,
£,;,
.
"EpX&uftl, mil*.
y.7.
È-cjv.:^âar,v,
s,
y.ç,
.
arc; (to), rouge,
geur. B. ipuOpôç,
>).<..
Mcy.,i-'. -j.-t-j
p pass
tx:, p.
nys.,
rc.'J.y.,
6», jurer sur une
chose, aflirmer avec serment.
R. i~ .,
,
1
'F.-vj.vjy.-.,
:
-r.z y.:
/'jy. ..
m.
a:, n, imp. du
v
u.u.%1, <j;ai,
Z.-.-iû.
tt-.'.e'o.
w, arc,
-:.:. tj.u:c:>,
i
'|.-'.''.jv, £•.;,
El (MO.
?mp. de II--,.
ppsirov,
I
:
'i.-'.'r.Ta, a;, E,
R.
ri r-.va.
zko.
if.
Hermol
,
*Èpoo, imper, du pr.
pass. de nXaoo».
e
Mercure.
.
pj (é]
"EpGfMU, f. ijoofAOi, «or. 3
y.r.v, interroger, question!
vaav, «or.
«...
r.r,
pari.
'2
'Epy.v;:.
;
i
'-/.?.',;,
:'•>,
aor.
*ETZi<ùpx.r,az.
R.
'Y.yi.ixz, p.
d'où
£-(, yv.'.i(i,
'[.-:/ y.soyj,
dispute, querelle,
(r/>,
débat.
apporter.
l
31
"EçTpEiVjEîç, El,
temps passe d'ï:
*Eçi«v, part,
du m.
'Et-eV.c;, a, cv,
ad)'.,
du »
chant, de l'occident. R.
:?.,
soir.
~
::->
E1T
m
(
EanaaaLa p.
EYIÏ
ble;
iarr.y.x.
EffTâvAt f p.éoTaxevflU,p.tn/.àel.
imp.de
"Eanpca, t).
icrrr.ui.
brave.
v
Etto),5'p. s. imp.tFttp.il, soit.
9. ôjtoî, ûsuç,
c'jt::,
de
p. Icrroxoiç, par/,
ècraxa.
'Earcôoi, i/rt/. ;?/. ni. ef n. du pr.
f.7tco;, «<?», wç,
R.
R.
Eô£at{Mdv,
(c)
ami. R.
sty,;,
"E-eÔYïixeiv,
s-.;,
m.
s.
s-.,
pl.-q.-p.
R.
de
"ETsccr, a, cv, adj., autre, l'au-
pre,
—
pi.
/)/.
d'éroç.
nom.
el
ace.
du m.
I.
"En, adi\, encore, en outre:
eux. en, ne
plus.
esc, erc, i/ïîp. moi/,
de
aussitôt, tout d'abotd, in-
EùOû:, eîa,
"ETtfMxra, p.
r.,
*Evc>.ar,c7., ar,
a,
9.
e'cç,
3':;,
etaç,
eùôS.
f.
Eù/.ar-v.^çcvr-::, cv, adj.,
R.
mépri-
xara^povsw,
eu,
mé-
priser.
T'.;j.ato.
cv, adj.,
u,
ad)., droit.
II. EÙOÛ:,
sable.
tiÔïjjii.
"Etcu-cç,
eo,
rompre.
Eùôùvw,/.
conir. d'î-io.,
'ET'.^i'u.r.v,
mou. R.
fragile,
continent. R. sùOûç.
uvco, aor. 1 er eufavst,
p. suOuv/.x, diriger sa course
vers, de
mo?/.
7e'c-&>.
"Ersci, dar.
'Ett,,
imp.
rom-
Eùôu, eùOûç, adv., en droite ligne;
tre.
de
leste.
ceinture.
su, Çtivr,,
6;û-tco,
sto,
dispos,
cv, adj.,
Euôpuirroç, cv, «c/j., facile à
ôvT.a/.w.
'Etec-cW.v, eu,
du bien, de
ouvrage.
eu, Ép-yo*,
EûÇuvgç,
compagnon,
,
adi\, heu—
bienfaiteur. R.
(c),
eùse^sTsco, faire
cv, af/y'., qui dé/,,
note un ami, amical, de
ou
cv, 9. cvcç,
Eue:- =?/.;, eu
iratpoç.
'Eroupucoç,
"Eralpcç,
EÙ^xiucov.
Eù£aiacv-a,a; (r,),bonheur.M. R.
reux. R. eu, £at|uaw, divinité,
destin.
'Eraîça, a: (r), maîtresse, courtisane.
—
Eùîaifioveei),y. r,a<d,êtreheureai.
cw.w.
e, r.
7.;,
févcç, race.
R. su, yjbrj.r., sentiment, d'où
Eù-pwuovwr, atit'., avec douceur ;
avec résignation.
iytù.
v.
a;, e,
"Effoica,
brave. R.
cv, flrfj., ru parlant
des choses, raisonnable, juste.
crrs'vu.
'Egtào'ç, t, cv, adj.,
"Ea^ov,
,
Eùvvwu.gùv,
dela~r:j.:.
"EffTEvev,
eu,
— généreux
prêt,
prompt.
aor. 1
er
ind.
de TcÀaàm.
EùxpâTr.ç, eu (c), Eucrate,
EuiAopcpta, a-
fc.
beauté, de
(r,),
Euptopçcç, ov, adj., beau.
R.
si.
v
Etc;, ec; (tc), an, année.
a; ?V r'< forme.
,
"Etses?., y. tsew.
Eùvrî,
"Etujtov, y. Tj-y/avo).
Eùvc'a-.cç, eu (c),
heureusement:
très-bien. R. èfiç,
Eu, adr., bien,
eu
u.â/,7.,
bon.
R.
(r ;, lit.
Eù;au.r,v, aor.
1
Eunomius,
er
î
eu, ^i.
e;,
g. sc;-eù;, adj.,
no-
/j.
d'Eu-/_cu.a*..
naviguer
heureusement sÙTrXoetre, naviguez heureusement, bonne
navigation, bon voyage. R.
Eù-'/.ceo-c~j,
f.
f,tstù,
:
Eùve, inierj., courage! fort bien
EùfEYVC,
y;?
eu, ttXc'c;,
navigation.
Efi2
I.'I'P
Ebp>tv,ff0f. linf. de Bupîexa.
r„ô p. s.aor.
i
Eupîmco, inus. £'J?w, f- r.atùt
aor. 1 er eupiNM, aor. 2 eûsov,
;j. sCpïpta, trouver, d'où
st at,
îtcvcç,
l
aor. 2 op£.
g.;, et,
4
m,
at/j. fort,
au, rovoc,
Eiiœopëoç, cj
Eûçcpo;,
ad;., qu'on peut
porter facilement;
expédilif. R. su, C33W, porter.
ov,
instance. R. eù/y, prière.
imp. de oâaxcft.
Ecpe^psûa, /. BU<ra>, tendre des
Eœaaxov,
siège,
comme
sç' (èirt), à'tfpa,
insidiae (in, se-
dere).
'Eusly;,
m.
que
s.
i;y:.
TEçearptç, [£oç ($), manteau. R.
i-S ii-i\ sVwjai, se revêtir,
sotâ?,
'
Eçyv,
'Exeipcùaau.7)v,
vêlement.
r, v. cotuu, d'oii
ïiç,
"Eonçfo, a«. p.
s'oy;.
"Eoâara,
v.
aç,
*EÇOV€UOW,
s,
7-Ç,
E//o,
"Eopopàw-ô), voir.
OCVE'JW.
R.
eV
(èirî),
6Ç, e,
imp. de
<xyw, frnp.
i?m.s.
2
e;w, aor.
é't/.cv,
avoir, posséder
:
;
bÏvgv,
p.
—
f.
ivyry.x,
être
avec wi adv., marque
;
—
on
on de
être disposé bien ou
l'étal
la disposition du corps
l'âme
mal.
"Eywca,
:
v. ywvvuu.i.
imp. de ys.
'Ey£'j(^'i/.r,7,c'j,s7c,
I.
w,
ao>\
arc,
moy. du m.
"Eu, a. ou ace.
1
er
d'ewç, aurore.
II. 'Eo>, contr. d'iziù.
"Ew6=v, «dy., dès l'aurore, dès le
matin. R. sw;, aurore, ôsv
marque point de départ.
Efopa/.w;, tua, oç, a», p. co;a/.w;,
p. par/, de ôoaw.
'Etôswv, a;, a, a», p. wptov, a;,
a, contr. de tosacv, as;, as,
imp. du m.
I. Ew;, a. sa>, et eco?-cj; (in),
l'aurore, l'orient.
II. "E(ùç, conj. et
ç>3''<j<j&).
;
adv., jusqu'à
— jusqu'à — en
;
at-
tendant.
ZEY
Z
£«tpoa.
yzr..
i'.
ce que
c:aw.
"Eçoittov,
r.
ennemi. R.
f,
©ôâvw.
S, P.
«©,
e»,
haine.
Êy.ôc;,
"Expw,
v
l* r pajj.
Owpact)-(,).
'E/ôp:';, â, ov, arf/.,
e;, s,
embûches. R.
c/g
y, aor.
y,;,
'Eys'jaâay.v,
y, y. epouvu.
r,:,
de
—
EG/.ciuu, f. e&Ço|«ai, p. de /". pas?.
£Jru.ai, prier, demander avec
'EoâvriV,
J&pupafay,
Euphorbe.
(6),
im/>.
=,
eç,
ÀX77W.
vigoureux.
ton (qui a beaucoup de ton).
II.
TEçûXatrev,
ïsubj.dum.
r
33
ZH.V
en nombre, cette lettre, surmontée de l'accent aigu, £',
Zsûp'juu,/. Ceû£e», aor. 2 sÇtmv,
p. tC,vy/jx, joindre.
taza sept.
Zsû;, a.
aor. 1 er
p. fÇnxa, vivre.
Z£j, foc. de Zs'jç.
Z-/o-û), /.
y'<7«,
£^y,<jy.,
A'.o';,
Jupiter;
—
ZyXc'co-w, /.
d.
Ait,
ace.
Aîa,
l'air.
œaw, p.
tâcher d'égaler;
—
è^m'Xwy.y.,
imiter.
6
jT
.
ZHT
34
R.
tr.'/.t;
Ir'/.èif.y.
,
ZCil
émulation , d'où
éo/.
BW
v.-ja
p.
Zoçoç, ou
,
Zwt',, r,;
,
,
iTr./.ûsx'.y.*. ,
pu, aor.
?.•.;,
I
e*
ténèbres.
(é),
R. tao.
vie.
r,),
Zwv, û<ra,
M.
occuaa, aov, part.
loâvT»?
eoç-guç (6)
,
Zôvra,
de £a«.
Zf,v, (/or. p. tàv, in/,
Zéno-
,
aor I
T:oj-ôi,/. T.iw,
.
;
:
.
pr.
Èaoâ/. i.v.-i
-'-/_
:
,
verser de meilleur vin.
Y
Zâxjxv, acc.f. de J>,.
recher-
— demander.
cher;
comp. du
cm
ÇcapoTEQGV
èÇTrTOffa,
p. iXr-r.Kx, chercher,
pur.
dv, àrfj.,
ZupoTepcç, a,
er
11.
Çôv.
?'.
Zapcç, a,
ptiante.
de f4'.<>',,
conlr.
ôjv,
H
HKO
HAE
H
en nombre, celle lellre, surmontée de l'accent aigu, r,,
plaisir.
R.
agréable.
t.^'j:,
*HStq, ad»., déjà.
vaut huit.
fém. de
c/
î. 'H,
II.
avec
volontiers,
:
rd.
S, r.,
"È t férn. de
dç,
OU
III. "H, coj?;.
H'î.'7T'--r,
— que
;
comp. du m.
'hSï'uv, cv, o. ovoç,
i.
>i,
supcrl. de i$ûç.
çv,
r,,
(après
un comp.).
Kor,'j.y.:,
'H^vt!,
V. 7jd«.
r,:
R
plaisir, joie.
(r,),
r
H, interj., est-ce que? eh
V. 'H. ô ç p. 5. wwp. d'v.y.L I.
VI. "H, 5
e
p.
prés. snbj. rfa
s.
'H-ravaXTSl, 5
V 7./.T
î'
m.
p.
imp. d'i^x-
s.
-'cii--..
\'.i.v.:-'7j\}.'j\,
3 e p.
5.
f. r'c&fjwcfc
I er r<y<ffaur,v,
'Hoû:,
imp.
p.
rf«
/. pas?.
croire,
penser,
garder comme. R.
conduire.
e
p. s. da pr.
;, 2
aor.
ofyo,
refmp.
.'7au.iv::,
ov,
lai.
-
i.:
vie
volup-
R.
îraoy/a,
y,,
^H-yvo'guv, i/»îp. rf'àpcso).
'H"ycdvi^du.r,v, cj, et:,
co??j., et
3
—
?mp.
soit;
d'à-
-
-
— cor-
rél. d'r.y.h, soit... soit.
î:,
adi».,
».
c~7.,
6, n.
i;;
v.-j.z,
i'.z,
y
adj., agréable, d'où
H5«,
/.
l e r £77.,
wwa, aor.
r/.x, réjouir,
Moi).,
charmer
q$cu.ai,
id. vijy.ai,
,
t.sO/.v,
léjouir
se
p.
qoeuat,
/.
aor. 1 er de/, pass.
"HôeXcv,
aor. 1 er par/,
da m.
;'.-:,
.
p.
de; —
se réjouir.
•.;-/-•;,
£•.:.
imp. de
tueuse, molles^:.
v
;tw,
sôuva-
ro, a/r. p.
exe,
aor. 2 i: ;:'):•;, sentir, ei
de
=,
fAT,v,
(i)
r;;.-/-.,
•
'HJu-xOi'.a,
B-^EÎ-'rf«y. unecoijellc,p. rrr-~~'^,
conlr. de
^ ;
'H&>vâu.7)v,
Hfa'YOV, P. a-'^j.
e
ï
!
v.
agréablement
;
—
s;, h,
"»p.
d'=j
'Hïwv, ovo;(ci, rivage.
îmij
p/.
'Hxérwaav, 3
p.
de jpua.
nul"Hjaora, ad;;., très-peu ;
lement. R. vU-.^t:-:, sap. dV,x.'/, doucement, peu à neu.
^H/.'-v, î;, i,imp. de reçut.
—
"Hxowov, rmp. rfaxe
"Hxouira,
-/:,
:,
ï'.
fc
»J.
—
HNE
,
moy.
imp.
», arc,
'H/.coo>u.7v,
d'7./.z-i'.
HX0
Hçtouv, eu:, cj, contr.
—
—
d'i/.i^/oi.
"HXtxoc,
cj
;
ad}.,
cv,
que
tel
de TuXÛecÛTOÇ,
du
est
:
r,'/.:/.
r,
combien
corrét.
;
II.
UÉXCUV,
'Hjis'v,
<to,
to, v.
ir.'.7T*j.y.'j...
certes,
f/t/r.,
i
H-cj, interr., est-ce que
'HpaxXÉDî-îic,
d'i^t'y.
î/»/p.
R.
?
M. R.
THXoç, eu <ci, clou.
(/
comp.
certes.
doute, assurément. R. y, certes, TTCj, adv. de lieu.
v
I.
m.
un
uprèj
TTr'c,
"Hirou,
par
ftXtoç, eu (ô), soleil.
III,
j.
— que,
conj., ou;
'H-'.araa/.v,
I.
que.
'H;j.iÏ;, p/.
-
:
d'-'t'J.
«or.
y,,
y,/.'o.
même,
âge.
.x,
se traduit
il
nçtt. i\
"Httî:,
qui
(ô),
âge. R.
—
d'
imp. (fàÇlQU, </'oÙ
Ci,
'HÇtttfav, r;,
Eléen, d'Elidc.
(o),
r,,
grand
MÇ,
'JI;îw77., a;, £, r. /e
*H>.Ôgv, £;, 6, ». eçy/.aa'..
même
1
TA60J
1
\\/M,f. r,i(i,p. ï/1., aller,venir 5
arriver.
s'approcher;
'H>.3-7_:W,v, cj, £to, imp. pass.
"Hàv.-.wtï.;,
aor.
"Hvr>.r,T7., a;, £,
j.y. ..
W
'H>.îr.;, ou
35
er
XU.EAEG).
conj., certes-
—
9-
B6U5-oSç,
soit,
II.TïH^v, l re p. pi. imp. d'ivv. I.
ioc.
Hercule S 'HpaxXi
ô Hercule! par Hercule! R.
T
Hça, Junon, xXe'oç, gloire.
£=;-£'.:,
:
r,ç, r,, i\ ipau.
Hpi£avoç, ou(ô), Etidon, Pd,/Z.
'HçÎ7T£jc:x, a;, e, aor. 1 er i/'à-
'llpxaO/.v,
r
journée
quelques JOUTS
'Hy.Epa, a!vf-n), jour,
|X.s6'
y,;;.5;^s,
:
ÇlffTî'JtO.
après.
aiterepcç, a, cv, ck
^
notre. R.
t/j-eT:.
"Hpûsçâoç, cv,
à
«f/j.,
à
demi
cuit,
demi
iyw,
"HpÇ*, a;, £, y. a :•//<>.
"Hsoj:, moç 5), héros.
*Haaw, 5 e p.
"Hçôa, liA. p.
d'eepi I.
p/. />?*p.
B
r,:,
2
p. de'xv III.
rôti. R. rat, à moitié,
"H'jG'mv, r. r.TTwv.
er
rtor. 1
pass. eçôr.v, faire'Hsjyj/, a; £q , repos, paix, tran-
cuire.
quillité
'HfuXXûvro, p. aevre 3 e
imp. de àiuXXaou.ac.
'Ha'jvàu.r.v,
I.
soit.
si,
R.
£•!,
av,
"Httwvj
imp.
xvî, voici
il'r.riî,
en pais,
R.
rav
ô e p.s. (TOU-
aç, £, rtorN4 er
^" '"•
moin-
cv, ait. p. r.çTtov,
dre, inférieur, gcn.
d'iiu.i I.
yp.
r,<rj^îav,
TE CO.
Hry,c77.,
II. "Hv, ace. f. de Sç, r, o.
r
III. Hv, l re o» 5 e p. 5.
y.-jh"
Hr£t, contr.
v
ci'ow £7.V-riv.
:
sans.jien dire.
tranquiUe.
v
àij.'jvw.
i.\
Hv, conj.,
p. pi.
R.
v;/.?.,
peu.
:
•/•/
$06, m.
s.
Hjçv.<7x, a;, s,
i».
,
Hvî^HCX, V. Oc'ûtû.
KyJ)'lu;r:/ )
cj, £tc,
o:j\-j:uù.
împ. d'àvOcuLx:.
QSH
©EA
8
:
en nombre, cette
sur-
lettre,
montée de l'accent aigu,
©sy.Gxîu.r.v,
f
Qty-%;, cù(c), spectateur,
(é),
chambre à cou-
Dieu.
BsXnvu,
Thaïes.
(6),
©avare;, eu (é), mort. R. 6vrîoxa>, aor. 2 é'âavcv, mourir.
©avcôv, cùca, cv, aor. 2 part.
0éXcâ,
©î'a'-S,
—
du m.
m.
s.
©4«?,
audace
;
confiance;
fermeté.
(to),
—
©sp[«.oç,
m.
flC(/->
s'élonner.
.
r,,
t., o'v, oh. p. esaoroXo;,
Thessalien.
y-su, aor.
vre. R. tàp«, chasse.
©ripiov, eu (to),
s.
1
er
bête farouche;
©tjâaopoç,
w
R.
(c),
(bip,
trésor.
er
èâeaaôpsv, regarder, voir. R.
6.V., vue, d'oà
de
©r-£Ûœ,/. eûaw, travailler à gages ;
être gagé, salarié.
R. bf,; ou 6r-£Û;, mercenaire.
—
de
©Eâoy.ai-ûy.at,/. accusa, aor. 1
—
bête.
©r,T£Û(jojv, cuca, cv,/. part,
0ay='.v, /. in/, de 6âVrcù.
(to), spectacle,
Thébain.
©r.pâw-w, /. âcrw, aor. 1 er £8r,paca, p. Tefrnpaxa, chasser,
chercher à prendre, poursui-
<x«-
m.
,
Thélis.
ejçGatoç, eu, adj.,
da m.
©taya, arc;
pass. TÏbîoy.xi
p.
bête, animal.
©xuy.âstoy.ai,
5ifiy
ad).,
légume.
©sttoXo'ç,
merveilleux. R. ôauy.â'Cu.
o'v,
lupin,
(é),
©s'ti;, tfrbç (r),
eaujMtoioç, cv, adj., admirable,
»,
de
©îfciTv;?, eu (6), Thersile.
©s'côoi, aor. 2 tnf» de rtônat.
s.
e«o|M«n»ç,
]\j # r,
eu
Ô£p«,
chauffer.
R. BoSua, admiration.
Jl/oy., ÔaujAâÇoputt, /.
remède;
—
R.
©xyy.se!>, f. "âaw, aor. 1 er £67.6y.aaa, p. reôauy-axa, regarder
y.?.-.,
poser,
ôs'aeve?,
serviteur.
—
£T£çc;, autre.
avec admiration,
2
TÎ6r,p.i,
—
©âTepoç, a, cv, adj., l'un des
deux, Tun ou l'autre. R. c,
o. tcù,
justice*,
des soins à quelqu'un ;
cultiver ;
honorer. R. §epàmav,
que Oaç-
OîCO.
eoç
R.
moy.
droit.
— aor.
0sia7;£Ûa), f. eugw, aor. 1 er èQepà~Eu<jx, p. TeOepârrsoxa, aor.
1 er pass. 6ÔepaTre6ôr,v, rendre
È6ac-
pxaa, p. Teôappwcflc, être plein
de confiance, se rassurer, d'ow
©âp-jï'., p. by.îGit, impér. de
riew,
loi;
0ec;, eu (6), Dieu.
©epcwrcïa, a? (t,), soin,
0âps£'., impér.
Qxoaia, f.
grfëbikiù.
(£),
— guérison,
1 er
0=:,',
établir, régler.
inhumer.
de
&xàç£tù f f. r.cw, aor.
sr
/. de
et,
£•.;,
m. s.
i^?
part,
0S7TTW,/. ôâiyo), aor. l er Ëâa<}7.,
aor. 2 £t*qov, p. TEraça, ensevelir,
l
M. R.
R.
Qsîc;, a, cv, adj., divin.
cher.
0xat;;, ^to;
aor.
«ito,
opt.
6',
vaut neuf.
©x/.aac;, eu
aie,
erâoxa, inus.
voûtât,
56
Da'vca, ôva'w,
aor. 2
/. 6a-
i'Ôavcv, p.
t«-
—
—
©PT
erni
mourir.
©ôpuScç, eu (ô), trouble, tumulte.
€>p;, a/.:;, odj., de Thracc,
foma,p. rnoy.
Pass., tçxnenpai, J. Wfbn
scpai , p. rt&pupipuu ,
être
Tc'6>aa,
Oucrvé, corrompu.
Oj-xt/:,
Thrace.
9paouxXifci
epvouç,
R.
téméraire, insolent.
0Jpa, a:
Spâvoç,
lions.
-i'ïj/.x
Ifoea, p.
sacrifier,
immoler,
,
mettre à mort.
cheveux.
0:(;, <y.
(r,),
G;j77Tw,/. jyw,/. 2 uçû, p.-ir:rr a, rompre ;
énerver.
poil,
rpt^oç
de
bi/.
0Jo>, /. Û7to, aor. 1 er
lamenta-
Bpîivo;, ou (i), pleurs,
;
porte.
(r,).
96<mv, #/'.
audace.
cœur, courage
i),
80110c,
colère.
audacieux,
6, <û#.,
eî*,
g. -{y.-, tt -y.;, lille.
w
Thrasyclès.
écu; (d);
9*>ircûw,/'. sj^w, flatter, cares-
—
ser.
I
TVQ
IKA
I
en nombre, cette lettre, surmontée de r accent aigu, [,
:
l
'
m
-^
a '" d,X
,
T
I«6u.at-«
,
|er
Fct,/«ou.ai,oor.l
.
'
'
*
ffucrir, ace.
moy.
topér.
médecin.
'Ior.pîa, a; (r,), lbérie, Espagne.
*tôeîv, aor. 2 iti/". d'v.Soi.
e
"IcÎt,;, 2
p. s. aor. 2 subj. du m.
laTpc's, cû (6),
cj
privée,
vie
propre
tîioç,
lùcusveu;, É»?
que. R.
r,;,
*ï£<tv,
"Ir,7=,
mène une
,
Idoménée.
—
ôv,
e
r.,
suffisant
,
assez
'\--uz,
— convenable,
d'où
1butv&{, fld»., suffisamment.
pass.
p. r
r
ei-
Iolas.
='to:
cavalier. R. fe-
6),
cheval, d'où
ttc;,
'l~yj.y.-/j.7., a;(r.
N
,
combat
àc'ie-
val, charge de cavalerie. R.
combat.
"l-r-o:, tu (ô,
cheval;
Ti),
—
ca-
valerie.
ôc p
"
pi.
d'trr.-j;..
(t.),
égalité.
égal, à-c; =
"I<n;{u,
propre à;
nombreux;
l0 .
r
mm
que. «uty.
les Indiens.
(ô),
jco,
ffç y i|ai,
'Iav.r./'^opc;,
ov, nJj.,
v
*
ace. d'iû/.
'io'vra,
dum.
sfd';'.
»
.
(et),
g>
"Iaatoi,
ifeïut II.
Ixavéç,
in-ju.:,
loTTf&pMl, xç
oor. 2 part.
2 p. p/. d*t«, «or. 2
o5oa,
'Ioaîw:,
voilà
?>r:.
i'.
ûv
,"•*'//•,
ei£g>, voir.
r„
tM,
a soi.
o
-
_
I**, con/., afin
R.
particulier.
ud»., voici, voila;
'I<5cû,
"l£o>,
qui
(g),
111). ion,
habi
'
...
ïaaxi, aor. l«
dix;;^., d'o«
'I^'.cÔtt,;,
;
,'
ment.K.
'
a J/.,
ov ,
^
,
.,
/n/ss. iaaai.
ixvauYiv, •*
p. de/,
y
.
^
.
dlllyrie.
-
,
-
û«»,f. VJG(Ù , supplier.
•fc
R.
:
parler.
savoir.
c-j
(ô
,
Isméflo-
dore.
T
l7;; e?
reil
;
foroç, r., cv,
—
adj., égal, pa-
juste.
'Jaorcâatc;, o», ndj..
quiestd'un
6.
I2T
38
égal,
poids
??::, G7xsiç,
ION
R.
équivalent.
immobilité.
pus, se tenir ferme, debout.
Moy.,
Iconpia, 95 (t.), égalité d'honcondineur, de pouvoir;
lion égale, de
'IdOTiac;, cv, «((/., qui jouit d'un
aor. 1
—
honneur égal. R.
honneur.
l<mov,
R.
hx-i, 2 e
—
blir;
'
.
fixer
v
„
7?î07/., steti,
ddv
irj0i ç,
,
.
w^ ^
T
(r,)
force,
,
également;— peut'
,t>
(o),
'
-,
*?*.
pals' et
steteram.
,
•
,.
Italien.
Itahen > dlta '
.
,
aor 2 ^Tf. d
Icov >
Pass., krauai, /. ffTOÔwWer
IffTfltftnv, p. earapat, aor. 1
*-
»>
d où
Ilalie
V|)
iTaXtwTKiç, eu
,
i<wu£*em
o.-p.
;
ucç,
être. R. ïaoç, égal.
—
arrêter.
,
ad/., fort, ropuissant, de
ov,
—
ace. 6v
puissance.
p. p/.
'
„
mât.
'«rro'ç,
'Ïcr/Oç,
d'ÏGVM.
"fcroifu, prim. crâco, /. onâau,
«or. 1 er ïerc,™, placer, étaIot3, p.
ê<mi0apiv, m. 5.
de rameau.
eu (tô), voile
buste
îeoç, nfui,
imîaouat,
lz~y.u.y.<.,f.
'Ic/upo;, a,
lavoç, où (6), Issus, v.
v
er
'
'I w,'(a,
eepe II.
a; (*) r Ionie*
K
KÂ0
KA0
K
en nombre, cède lettre, surmontée de l'accent aigu /, vaut
:
Kaôc$oûfuu, /. 2 de
vingt.
x«7*, de», tme i'oye//e
a^îrie.
KaÔaips»,
R.
ruiner.
abattre,
Kofietjwvoç,
in/, de
en
sauter décorai
aOXqMU.
comme. R.
(*ar«), a
p/. n.
de
^
0:,
ce ; t çs
K^y.zu.y, sxc;
(tô),
ordure;
-
homme
vil,
sérable.
R. xadaip», nettoyer.
Kaêflwawç,
—
le
cv,
méprisable, miac/j!,
expiatoire;
neui. pris subst., puri-
ficalion, expiation. R.x.aOaso'î,
pur.
OW3tÔ6V-«, /.
^/^^
]e
dans
t
„.
>,
Ra6(
„, 0)
m. a m. pour
ce que
r
paw.
par/,
jwtfatfreto*
K
bas. W.v.y.h ^.yr.y.,,
conj
ov, p.
r,,
^
rf e
KaôâXaod», aor. 1"
RaOaXXc^,
wee' (y.y.7x),
de xatinfu*
kxÔcàojv, eùàa, ev, aor. 2 par*.
(«ara), s^e».
7T£3,'
R.
fÇouoi, s'asseoir.
K-y.O', p.
Krfra,
BxadeÇoftflv, être,
rester assis.
Kà-;(ô, p. jcoî î^o).
/.-///
imp.
KdfteÇojiat,
S
„
P er ;
d ou
R
'
Kaôtxofttvoç,
Ka8i<m^t
R. **Ô'
*i,
descendre
.
'
,
(
;
x<* 7 *)>
ov,
—
R
.
r
frap-
"**«»
aor. 2 par/.
—
s'établir.
fixer j
icrçra*.
(xaT«)i
,
ou (r,), descente.
' aO 1 (ïWTcé), ô&oç, chemin.
Kâ6o£o;,
R
^notei*.
toucher
"*'
passer
tt .
.
\
}
Kceftuweojxat,
^
|es plaisirs<
R.
—
,
KAN
Kzi, cc»j.,
encore.
Keuvo;,
—
f
neuf;
même,
et,
aussi,
nouveau
flrf/'.,
/.x:-
:
et même, quoique. R. X.7.(, ItÉp.
Kcupôç, ou (c), temps favorable,
occasion ;
circonstance ,
conjoncture, temps.
K.7.'-;ç, covj.,
—
Kdurot, covj., et
—
;
— ce-
même;
quoique. R.
/.?.(,
ou
très
mp. de
çv,
r,,
xaxoç,
plus méchant
le
;
—
—
,
— lâche —
ment
;
Kx/.aac:
,
gluau
KoXXei,
vil,
;
adv.,
Kax.ô>:,
;
eu
mécham-
mal,
(c)
roseau
,
ligne
f/e
'c) J Callidémide.
K&Xioto, adv., très-bien, le
mieux du monde, à merveille,
de
de xoXôç.
cv, sup.
beauté,
t/e
K.aXXo;, eoç-cuç (to),
K5-.'ac';,x, cv, «(//'.,
— honnête.
Kaput, a;
t,), Carie.
KacTscc':, x, cv, adj., fort,
buste
;
—
beau
;
— bon
;
petite corde,
y.a/.w:,
Kàv, p. y.y.î àv,
quoique.
ro-
puissant. R. xporoç,
/.xçtc:, force.
a, cv, oc//.,
K-y.c/r/îwv, cV.
Kxçôv,
Cartha-
t/e
g. pi.
Carlhage.
de kxc.
.
p. xaToé.
,
kx7x, prfp.
(7!// régfc le gén.
et
avec le gcn., sur, contre, par nacra verrou, par derrière ; y.y-x xoppnç, sur la
joue;
arec l'ace. , selon,
touchant, sur, quant à; près
l'ace.
:
:
—
long de;
en rien
B*», chaque jour.
y.7.7'
v.x-.x
/.xO'
;
E?î
si
même
;
:
Ajus-
camp.,
marque mouvement
d'-
haut en bas, perfection, soXaTo.o7.ivw, descendre;
— plon-
ger. R. y.xrx, Sx-vo.
KaTotëccXXo), abattre, renverser
—
R.
payer.
/.7.7a,
;
pâXXu.
d'où
c'v,
aor. 2 pa?7.
i?{/. c/e
xxtx-
êaivci).
Kawp'fâuxanrai, 3 e
KïTïAc/.xî'.aa-.,
quer de. R.
Mot).,
corde.
et si,
pendant
le
cO^'v,
r,,
Ky-7.^ù.xt-j-Co, rire
K.cXoȣisv, su (to),
R.
sommet.
tête,
5.
Karaorvai, no?\ 2
m.
—
m.
7.,
Kx7xox>.cov, eûaa,
yî,
Ka/.A-wv, cv, #. cv;;, cornp. du
ficelle.
ou (to),
/.a;
lidité.
&aXXtoOévi)ç, éc; (0), Callisthène.
Kâ/.>.'.cTc;,
R.
3
f/e y.a/.Àc?.
K.aXXi&Qu&i)ç>GU
vil.
;
de;
d'où
— malheureusement.
—
—
pêcheur.
ctaf.
— Caricn — homme
K.xç7.v'.v,
Ky.T
Kaxo&ûpuavj cv, ft<(/'., malheureux, misérable. R. y.ay.:'.;,
oWfuov, destin.
Kofto'v, où* (to
mal ;
malheur,
de
Ko./.::,r', cv, ad}., méchant , mau;
habitant de
,
1
le plus lâche.
vais
fa-aûfa.
(;
Cappadoce, Capptdocien.
Kx-jr,, r,: (•/.), Capoue, p.
Kxc, açc; (é), qui e>l de Carie;
ginois,
xai ixetvoç.
;».
Ka/.-.GTc;,
OU
la
Kac/roc v.c:,
toi, certe>.
Kaxeîvoç,
K-y.--y..îcV.r,;
31
manteau persan.
(c),
)
extraordinaire
và raù-ra (&m), voilà du nouveau.
pendant
Kavjuç, uc;
K7.v77.OO7., p. y.sù
ov,
r,
KAT
p. s. p. pass.
=
77.'.,
*'.
de, se
le
t
mo-
y.7.7x, -jiXa'w.
/.XTX^i'/.xcu.x'.-ôiu.y.'.
/. aaefutft,
m.
,
5.
KaTa*mvt^ou.at. /. taeaai. vain-
KAT
40
KAT
R. xats,
combattre.
cre.
KaTa$wsc£tt,
aor.
i
tr
condamner. R.
,
x.zrâ, fccaÇtt, juger.
KaTa^ueadOeiç, eîca,
aor.
e'v,
1
er
part, pass. du pr.
KaTa£txii, r,; (rv condamnation.
R. /.7.Ta, oi/.r,, jugement.
KaTMÛvu plonger enfoncer
profondément, submerger. R.
,
,
,
/.7.T7.,
$ûvu, Sùrû, entrer.
KxtgC&b,
aaco , chanter aux
de quelqu'un , l'é-
/".
oreilles
tourdir par ses
y.y.Ta,
chants.
R.
a^t), chanter.
Ka-aôcu,
Ka77.77Ey.lco,
r.;,
d'oÙ
aor. 2
impér. moi/, de kxtotîO^m.
KaTadpacuvcu.su, avoirde l'audace, faire bonne contenance.R.
xxtoî, Opaouvcpu, s'enhardir.
aor.
t„
eT
i
SUbj.
K%7 x- i-~/.ir/.y., 7.:, s, p. de
Kar 7.77}. Eco, aborder au port,
river.
R.
K7.77.77}.T77C0, Of£.
vanler,
R.
ar-
XSITflé, 77AEG).
T,77CD,
frapper de
X.7.7X,
épOU-
terreur.
—'/.r.osoi.
K7-7.-'/.r,c;-r.'j;,
g. oou-cû
[4)i
tra-
R. y.7~7.~'/.i(j).
KarapacuLou-ôaai , f. voguai ,
maudire, faire des imprécations contre, gren. R. /.7.75c,
àpsccuat, prier, d'où
jet.
KaroépaTSç,
xaTccôeor»,
p.
KxTXTrsaTTtj, faire descendre. R.
X.7.7t!, 77='y.-fc),
a'cw,
^".
xareiix%9%
ifttytÇoaai,
maudit,
ad/,
cv,
scélérat.
r>«, aor. 1 er
x.7.7/,;^ij.r,77., p. v.7.-.c.yhj:(;/.7. y
énumérer, compter. R.xaTa,
xpi0ui«, m. 5.
4
K7.77.p'.6i/.Ecù-5>,/\
KaTSMEip.su, /ai. Xcîoopat, être
-Voy
,x.7.77.; .O j.=;u.a .-c j u.Xt,
,
.
,
,
i
:
coucher,secoucher,s élendre.
/'n/. pass. de
KaTax£xo<pôat,p.
K.7.77.y.;— co,/". cyco, <20r. 1 er JCXT£/.;ya, p. xèxcxpa, couper en
morceaux. R.
x.-y.râ
x.otttw,
,
couper.
/".
f.GOuat,
??(. s.
préparer, consfaçonner. R. /.7.7a,
K.*ratnc£uofÇ«,
truire;
—
ffxsuottù»,
faire.
Raracrûot^w, f.iatù, p. v/.7.,aOT.
er
1
pass. xxt£cocp''o6ïiv, tromper. R.x.7.7â,<î:o'.^co, imaginer.
aor. 1 er «»TîV.jya, se pencher
regarder en bas. R. xxtcé, x.j-
K7.77.7:y.a6 = ;:, etao,
~w, m.
K.7.7a7T77., cotiir.
KaToxfom»,
/".
jyco,
;
Ka-cù £'-w,
—
—
s.
laisser,
abandonner;
laisser par testament. R.
x.aTx, aîÎttcû, laisser, d'où
Ky-aXsAC.-x, aç, z,p.moy. ,m. S.
KaTotXiîre, 2 e p. impers, du m.
K7.T7./.'.T7tdv
,
cO<ja,'Jv,aor.
Ipart.
du m.
aor.
/".
aaco,
aor. 1 er
•axtcîsy.x 7y.,forcer, contrainx.y.râ, à/.y.y/.7^w,
m.
KaTavxYxxczç, 7.77., ?.v, aor.
parf. act. du pr.
1
S.
er
1
er
du pr.
de
/.y-xG-y.z,
prés, impér.;
K 7- a 7777.7:7, aor.
KaTâcnrstb», tirer
ner. R.
x.7.7x,
K7-a77r.7-.v, aor.
1
er
impér. de
en bas, entraîc-70), tirer.
1
er
impér. de
y.y.h'.^rr.-j.:.
er
xa>
f. é<J»«, aor.
7E77pEy7., O'Or. - /.7.7E77p7.'J:v,
1
Kja.Ta.arçétfta 1
KaravaycaÇtt,
dre. R.
pari. pass.
e'v,
p. x.7.7E77pE^7., renverser, bouleverser. R. X.7.7K, 773 = ^0),
tourner.
Moy.
x.7.7X77:Eyc a2C•.,
t
/".
KO
KAT
éfauUfUor.
m.
l
er
xaTeffrpe(J/ocp.Tiv,
s.
déposer
KaraTtOru.'.,
meltre. R.
de
—
;
placer,
uômt.
/.y-y.,
cursions
ravager par des in;
77. j.-j.-i-y. xaxtôpa-
:
pev, je ravageai tous ces pays.
R.
Ky.raçco ='w, épouvanter. R.
TOC,
È;- 'â'^cy.7.-.,
/.?.-
Kocrowpoêrioac, ewa, a», aor. 1
er
e1"
KaTaoscvEoj-ôjj/. t.ctMj «or. I
/.a.Tsc/pc'vr.ax,
mépriser, occ.
oî* oé«. R. xata, çpova», penser, d'où
mépri-
a(/j.,
c'v,
KaTxypacy.y.i, abuser de
penser, dal. R.
—
;
dé-
y^r.-
Ka-roéj
2 de
KaTz'oa/.cv, eç, e, aor.
êaXXo.
KaTEotx&aa, aç,
X.7.-7.-
xara^ucaÇu.
e;,
K7.73/W,
de
5
p.
aor 2 moy.
s.
/cy.TaTÎÔr.iu.
i
KaTîOsy.d'jvc'u.riV, cj, eto,
imp. de
xaTa9pa<rûvou.ai.
KaTEiXét*, /.
R.
riffû>,
3
e
p.
/,3-a, eîàem, rouler.
KiXT£t(ii,
c-y.'.
R.
descendre.
/.7.7a,
II.
KaTE/.-jya,
a.ç
f
]La?eXiXGMreiv,
moy. de
1,
v.
et?,
xx-auçuirro).
Et,
pl.-q.-p.
moy. de
KXT£px,o{&ai.
KaTE>.'.-cv, £r, e,
x.7.-
a:, e, aor.
*a77.-H/.77(0.
1
er
de
R.
arrêter.
conir.
dexar»'ydp£e,
a<>>".
lia**,
1
er
accuser, blâmer.
r.x.y,
KanjUiv,
'.!-/.•
£•.;,
=
-.
,
».
xetreuu
et
II.
5 e p.
contr. de
z.y.-r,zy'.i-z
y
rmp. de xarapsécuai.
e
er
K<rrr,pi8p.r,<iti>, 2
p. s. aor. 1
moy. de xaTaptOue».
Kartevai, f??/. de xxr£i{u, d'où
s.
cj77., ov, aor.
2 par/.
KaTopOcôuevoç, m,
pass. de
cv, prés.
K7.7C3Ôctd— a>, /.
x 7.7ÛcO ci g y., p.
wcu, aor.
avoir
tiew,
du
tox.7.,
par/,
1
er
réussir,
sucrés. R. xazd,
:":-
dresser.
,
XXTCpÔ0CU.Xl-CÛUUX(,
réussir, en parlant des choses.
<>7.',
~y.'.,f. xeîaopkXl,
être
couché, étendu par terre;
être enterré.
T7./.EΗ (0.
K7.7i'-c;;.y7.,
imp. de xx-
s.
x.aTa, rihppeûu, parler.
KelfAOt,
aor. 2 de
x.?.0-
nnp. de
s.
Moy.
Y.y,~xKV.-(ù.
KareXr.Xuôevat, p. m/,
de
É'yw.
p.
y,77.,
Karuâvj
envelopper.
er
aor. 2 de
r.,
retenir,
Kartipâix),
Ky.T£Ô£TC,
1
E,aor. 2 de/.y-i/n.
tÇj
Karïj'Yopct,
2 de
aor.
e,
xaeraTOÉyco.
e
aor.
K7.7E/CX7C, 5 e p.
E
KctT&pa[AGV,
part.
KarecppdvH, conir. dexaxvpovnt,
ô° p. 5. imp. de x.7.77.',
R.
e, y.
:/, p.
x.y-7.<j/.vjy.'Co).
KaTïrYope»-», y*,
y.xi.
xarec,
«rrrifu.
x.7.77,
sable, à dédaigner.
tr.i-
R.
x.7.77. tttxoj.
K7.7iT/cv,
pnjf. dj< pr.
taTacppovyiToç,
r,,
i
KuTéerrnv, »ç,
CpOoEW.
er
1
faire.
K7.7;G/.iJ7.'7 u.£v::,
pass. de
—
faire;
façonner.
KctTsattotace, a:, e,
rpéytt.
x.7.77.,
v.y-y.-i.-f.n'j'i.
KxTEp-jà'rcy.x'.,/. xTcy.7.'., aor.
vailler,
s.
aor. 2 p«S5.
y,,
xgT6tp^cLaat|M)V)
Moy., xoxaTiôeuat, m.
Kar-y.Ti =/m,
Ky.-i-'/.yr-r,/, y,;,
41
Keîoxt, y. /e pr.
Keïgc, prés, imper, du
m.
—
1
KOP
KAE
42
e
Kexptdk», 3 p.
de /.pîvo).
p. impér. pass.
s.
ocv,
aor.
er
1
I
er
éjato, aor. 1
'/.vjgx,
y.ïv.ïj.vjv.%,
ner
;
exhorter
K&tïâop, upe;
KLEvc&cÇta, a;
er
Ixé-
ordon-
— deman-
/i.
aor.
er
Celtibérien.
y.sv::,
vide, îo^at,
corne
gument cornu,
;
— ar-
captieux, so-
phisme.
5ava, gagner. R. œp^oç.
(6), Cerbère.
R. yj.r,:^;, héritage,
moy. vivcv.x, distri-
p.
buer.
KX-4foVop.iîsdupu, ai;, ai, aor. 1 er
opf.
dupr.
K/.yçcvcayo-E-.v,
/".
a;
KXijôGvofiia,
eu
,
KecpotXatov, eu (tc), le principal,
— sommaire. R.
cave
ry
xoî'/.r.
X;
r
a.>.a'.cô'jV,:, s?,
KetpaXii, r;
(y,),
Kev^ïjpiv&ç,
pass. de
Kr;::,
queur. R.
(to),
proclama-
,
Kiôouptâv, âvoç
KivaSpa, a;
puanteur.
vain-
Kr,çXHS<j(à f parf,
-;.'.'/.'.
pass.
fi),
Cilhéron,
m.
odeur de bouc,
K'.^o jve'jco,/. cJ70), aor. 1
er
Ixrv-
îuca, p c-j/.a, courir risêtre en
s'exposer;
;
que
—
danger, de
Kîv&uvcç,
ou
c, risque,
péril,
danger, hasard.
Kiisa, o5 (yj, Cirrha,
K/.'/îw, a», /."/.au, y.
ao?'. 1
er
commun.
communauté de
,
société, participation.
participera.
/cotveovew,
aor.
otacû,
er
ÈxoXôtaa#
KcXaxeîa, a; (y,), flatterie, de
KgXoxeuc», /. ô'j^to , aor. 1 er
IxoXaxeusa,
Ko*Xoi,oueoç
rr/.a,
p.
flatter,
(r,),
punition, châ-
timent. R. xoXoÇe», punir.
chevelure.
Kcaî^oi,/. [ffcj^ aor. 1 er ixop.'.ffz,
Ko'p.71, y,; (y),
—
wa, porter, apporter ;
emporter. R. Kcpiu, avoir
p.
soin.
poussière, cendre.
Kovtc'ç, gù (6), croc
v.
-/.Àa-jcto,
ÊxXauaa,p. xéxX&uxa,
— longue
Kcça;,
fc.
de batelier;
pique.
oexcç (ô),
KopîvÔioç,
eu (ô), Cléarque,
flatteur.
(g),
Ko'Xaotç, eu;
Kc'v.ç, £co;(y,\
pleurer.
K>.:'xpy',r,
r.
cajoler, de
publier.
(r,),
yi'-'J.,
p. suça, punir, châtier.
cire.
,
R.
/?.
condans le
creux,
cv, adj.,
KoXâÇtd,/".
— procîamaliondu
/.î /./.:>
.
de/.
par?,
-/yj.'.'yj:..
arc;
Kr.p'ryjMt,
r',
Kcivwvîx, a;
biens,
tête.
cv, p.
r.,
où (ô
lion;
Kctvo'ç,
ad/., principal.
héritage.
main.
la
1
lêle, d'oi *
—
;
ov, «dj.,
creux de
héritier.
Cnémon,
6>vo$ (g),
ïi,
:
succession,
(6),
K'/.yçcç, ou (6), sort
KgîXoç,
du m.
2??/.
'y,i,
M. R.
héritage.
KrÂuojv,
Ki'poî;:;, ou
r a>.r',
faire
—
ritier.
M. R.
Kip$oç, se; (tg), gain, profit.
Kspoatvc», /. xvô, no?'. 1 er i/.iz-
x.E-
sV/.syz,
KX*ipGvopi«a-û, /. -/-ao), aor. 1 er
ysa, hériter de ;
être hé-
K/.y.scvcV.ç
;
1
dérober; —
p. xécXeça,
ve'l/.w,
gloire.
l'important
Clitus,
à la dérobée.
vaine gloire,
(y,;,
K:':ac, a?:: (to),
;
5.
(ô),
R.
gloriole.
;
m.
der. R. keXi»,
part.
impér. de
KtAïJo), /.
p.
(6),
X'aî'ttto), /. s'yo),
Kétaûott^ 7.a%,
KsXeuoov, «or.
—
Kâsîtc;, ou
a,
Corinthien.
cv,
corbeau.
de Corinlhe^.
—
hur
KPE
KooivOo;, ou (ô), Corinthe.
ou xo^pa,
mâchoire ;
K:::r., tA
—
Kopufc,
>+
—
folie.
sauvage.
K/.vjîv:;,
»,
xal où^evo'îj
Kpavîov, cj (to
crâne. R.
,
'tôle.
Kparepo'ç, a,
puissant, gri
'/iîw
—
—
;
ttoii
b,
KoaiTEU-», y.
expâ-ni<r«, p.
fort
a.-//'.,
c'v,
/./.y.,
aor.
,
être
I
er
maî-
le
xéxpixx, juger
cratère d'un volant. R.
vuou,
X£p<xci). fcûàco,
Xparr,;, r.ro;
(ô),
y.izy.i-
mêler.
er
o/)/.
er pari.
Kpotriiatoç, aéra, av, nor. I
K;xt'.(îtc;,
prhn.
ov, s?(/).
y,,
xpau»;,
formé du
c.-à-d.,
fort,
très-fort, le meilleur.
Kparc:,
se;
Koau-rfl,
force,
(6),
Craton,
(r.),
meur. R.
grand
;,
K:
m»v,
a.
:
quis, ce qu'on possède,
:
cla-
y.z
/.:-:,
fort,
plus
-
1
tri-f
:
acquérir.
OU (c), pilote
.
.
R.
.
x.j-
ou
ou
cercle
[o),
èv
:
xuxXtt, tout autour, a
1
un-
COlipe.
r,',
KJy.o'.:/, ou (tc),
vase. R.
barque.
Kuva, «ce. 5. (/e »
Kv.<::, •/, ;v, de chien
nique. R. xûuv.
;
— cy-
Kùpcç, autorité.
ou
S
Cyrus,
,
re, cette lettre, sur-
l'accent aigu,
//.
chien;
philosophe cynique.
K'joyj,
Kttxûb»,
/*.
ex. p.
(c),
xuvo's
g.
«or.
6<ra>,
I
er
—
;.-.
pleurer, se lamen-
x/.y.,
ter.
ou
-'ië.
t
(t.),
y..;,
rame.
AAB
>.',
vaut trente.
"
5-
o£;vxo, gouverner.
KC/."/.::,
Kû-r,
xpeuatùv.
nom'
a»
p'
session, bien. R. xreccftou, p.
Kûvstcv,
montée de
—
xtc; (to), ce qu'on a ac-
AAB
A
CréSUS.
,
Kj:::,
puissant.
= (-
— accuser;
//.
xpoÇca, crier.
c-à-a*., plus
z,
Kûpioç,6u (é), maître, seigneur.
K::[<77(jv, ov, aff. y.zi.~oyi } ov, o.
fort,
£/.;•.•.
puis-
cri,
comp. du prhn.
;
er
argument captieux.
Kr/!;j.7.,
R.
r.;
ou
1
K'jvi'.v, a. p/. (/e xucav.
(to),
sance.
Kzj-vvi, «vos
part,
K.pcxoïeiXoç, eu (c), crocodile;
KuXtL, ueo;
1
er
tour, en cercle.
datés.
Kpaniaaiui, xiç, ai, aor.
c/e xpareu, (/'oà
1
condamner.
y.i/.-rry.y.:,
commander, dode;
miner, gcn. ou ace.
Kparnp, npoc (ô), grand vase ;
tre
aor.
.•,£>,
f,
K:c*t;,
/.a;?.,
nor.
it,
pass. de
Kpivco,
;).
Crachin.
[to), le
,
v.~.y.,
critiquer,
Kpaveicv, ou
— pantou-
base;
1
cliaussure.
11e,
Kptdttç,
K:t-.v:;, ou (ô), olivier
r>.
i$o$ 'r/
;
joi:e.
orgueil;
,
tétc
y.; (r,),
—
r,;
wç,
43
aor. 2 mf. de Xat/.€âvû).
Aâêcifu,
Axe:*;,
Aâ€a>,
otç,
:•.,
aor. 2 opf. oVjj?.
ex.:; (ô),
r,;
,
).au.€avct>.
r,
,
loup marin.
aor. 2
If*/;/.
aV
,
AH A
44
j%
'.'.
•
.
:v
,
A VII
aor. 2 pari,
,
Laê'rtc, lu
aor. 2 su&f. de
I.
.
e
5
.
p.
5.
:.•!.
.
démonîeris.
-
p.
cor. I er
.
|
parler;
'/.i~;.i~/:r:/.7.,
—
babiller.
-7.,
pr'xm. '/.r.Zu.f.
::
:;,
tu
:
er
I
'/:rj)&,
aor, 2
E>.r.c7.,
être caché
;
—
er
f>.Ei7.,
p.
/. Xeî&o, nor.
cor. 2
I/.'.ttsv,
n:o?/. /.5/.C.-7.,
p.
1
er
ÉAaèa,
XiXEicpoc,
laisser,
p.
aban-
donner, d'où
A-.:-'.l-jy{fo,
v.z'-j.
f.
»..
:::.
1.
-., rfaf.
w,
A:-?;':, t,
tomber en
âme.
_-'.
de
Xstav.
oc//.,
w,
r,
- -:
'
:
floj.,
.
blanc.
iple.
R.
>.:û:,
cuplc, osa», p.
orter.
.
A
II.
pau.
|
:.;
//.,
.
Lé
la.
>.s/.v;:-
calculer;
>.:-;:;,
—
compte,
:
mpte, calcu'.
.
«rai, nor.
r,,
A:-::,
parole;
d),
eu
— compte. R.
a..-.::, eu
:
—
XÉ-yca,
er
su/y.
raison;
dire.
peste, fléau.
.
nor.
A: u
de
1
:
1
er
pari,
'
Xcuca, aor. 1 er IXcuaa,
p. ÀsX&uxz, baigner.
:
If
: 11 xî
y. XcûocuA!
er
?. 1
iXcuîjâfA^v, se baigner.
Au ::. :.: v la Lydie.
Au£o;, cù (d), de Lydie, Lydien.
t:), le Lycée.
bu
er
iA"j~Et,-â), y*. t,7w, aor. I
er
aor.
1
p<.
îTSOtt, p. Y./.7.,
attrister, chagriner,
èXuî
/".
:
'
".
.
.
,
,
:
lion.
.
ad;., qui porte le
pc
/".
.
mince, mai-
flaet.
.-.
-
.
Xavèzvb).
1.
p/.
.
Li-
iacuai, aor. 1 er sV.-
p. de
ï.v,
;.y.'.,
0,
défaillance. R.
la
pierre, rocher.
,
da m.
1
de
d'oà
-iy., dire, parler.
.
(c;,
ô), faim.
réfléchir.
R.
couvert de poil,
aor.
.,/*. "/ï;<o,
-
y.
ajuu, compter,
velu.
.
.
-
Kir.-.;. ,,, ndj.,
Ar/rrc-j,
m
r:
:
oubli.
hj,
ci
6
r~.
ha?.!.
être oublié.
m
occ.
lang, marais.
Aiiw'ç,
cacher; —
/.EÀr.Ox, se
y.),
h.
Xxcu,
f.
>.7.y.?xvo.
Libye.
la
bye, Libyen.
v.-
Lampîs, h.
Lampichus,
.
piller.
ETttt, 0.
r,,
,::.
-.
A::)::, eu
moj,
71.
Aï/1: y.:.-.,
aIj.vï,
rira.
aor.
atl.
part,
prés.
brigand, voleur..
R. XxtÇcuai,
:-
/.v. 1
m.
de Xnpstt.
gcn.
-/-:.
Bdj., qui dit des
cj,
Ar.poùoz, dal. pi.
prendre, semparer ce,
saisir,
rado-
niaiserie,
,
niaiseries, radoteur.
Atêûï), r;
aor. 2 &.a€ov, p.
fiai,
:
Ar.TTrl;, cû (î),
no
.
Aï:::,
II.
.les Lacé-
.
Ar;:.;, eu
fi.
radoter, niai-
i5oc*,
tage.
,-,
ad». , secrètement,
-.
furtivement. R.
secret (XoctOavo, Xt'Ow, cacher
.
Léthé,
le
,
Ar:£(v-i, /.
ser, de
tin vi.
a».
77.
.
de
Jsbç,
moy. râpe-
:
-,
A
1
-:
:
'
:.
triste.
v
:
tristesse,
.
: ..
R.
Xôïtïj.
<
,
chagrin.
ad}., affligeant
:
,
9
Arn
Aï2
Aurraw,
A'Jcaao), ait. X'jrratiwo, f. viau,
avoir la rage, être enragé, au
R.
pr. ef aufig.
>.y<jar,,
v.
le pr.
Aûo>,/. 6a», aor.
rage.
«5
XeXuxa, délier;
1
er
—
ftu««,
;
.
lâcher.
M
MIT
MA?J
M
:
en nombre, celte
ratil
sur-
lettre,
monic.c de l'accent
aigu,
u.\
quarante.
avec
?/<•#.
•/;.(,
«ie c où
V7.1. u.à Aïa, oui, par
Jupiter; cù uà A(x, non, par
Jupiter;
se?//, u.à, nie ton:
—
jours;
l'ace, qui le suit est
r^ï p«r ou.vup.t 5.-C7H., je
jure, je prends à témoin.
Mâô&tu.i , c.;, ci «or. 2 opt. de
,
pixvOavu.
2
MatvcpLat, y. où4oai, aor.
eu.
R.
u.à/.y.s
gv, ac/j.,
w.
,
MeoceSovixo'?,
Mxxsouv,
m.
fl((/.,
o'ffi,
fort;
— ex:
oui
ov, «d/\,
MocXvi,
7iç
—
MaXôxy.o;,
mou,
plus possible;
Sri aa'/.'.ara, le
—
le plus,
surtout
:
plus possible.
MxXXov, comp. du m ., plus, d'autant plus;
plutôt
u.ôXXgv
plus
que,
plutôt
que.
r,
—
Mave';, itaa,
de
:
«or. 2 par/. p«55.
e'v,
—
us
ov,
ttORT».
y. par/.
deManlinée.
devin.
(tj),
vain travail,
de wove;, tra-
cv, at(/'.,
frivole;
—
vain, inusot, d'où
Môtysv, ad»., en vain.
MaûoruXrç, eu
Mr//„
r,;
May/.aa
(r,),
1
.
Mausolc.
combat, bataille.
(ô),
belliqueux,
eu, ad/.,
,
er
/".
u.y.yr,.
iavj.y.i
et
«iGFCu.au,
p. de/.
combattre
se battre avec. M. R.
Me, «ce. a"è-|W.
grand;
Ms*rst, ?/. de u.î'-j-a;
£u.xYjr,Grocu.Yiv,
u.e{£flt£yiu.at,
—
d« m.; —
,
pris «di».,
grandement
renient.
BlsfâXa, p/. w.
ad»., m. 5.
Me^âXti,
p-e-yocXci,
Me'-yav, «ce.
u.aîvcu.ott.
ni A!.,
yj,
ad./*.,
(6),
MoTatoç, a,
«or. I
u.aXxx.oç.
dy, y.
vi,
f/e
MaraioftGvîft, a;
paw.
aisselle.
Mxaioto, s«p. de u.àXa,
le
effé-
lâche.
(r,),
diction,
Mavreûcpat, /. EÛsopat, oor. 1 er
èpAVTtuaàu.r,v, consulter Toracle. R. u.xvti;, devin, d'où
aguerri. R.
mollesse, de
(r,),
BIoXzxo;,
miné;
Mavrtou.ee, ard{ (tô), oracle, pré-
Mr.y.u.cç,
Ma/.az!?., aç
EL
folie.
u.aîv.uat, être furieux.
lile;
— assurément
appren-
vail, e/
5.
assurément.
ii,
fureur,
(ri),
MôvTtç, su;
précisément,
p.aXa,
xxt
Mavîa, a;
peine inutile,
IMacédonien.
MaÀa, «dt\, beaucoup,
trémement;
—
/.
«or. 2
connaître, concevoir;
découvrir.
Mavreoffo'jxtvo;,
heureux.
aûf/.,
d. p/.
o'v&î,
—
dre;
Mxvriveoç, ou,
s.
o'v,
•/,,
,
de
fureur, être furieux.
Mcotapioç, a,
p.aOoj, u>r,8u,
uadiiaeuai,
a-
p. aû».y.va, être saisi
vr,v,
u.y/ir.iM
fuaOcv, p. fjwu**dr,xa,
ti a, aûV. afform.
—
MavOavw, prim.
5.
;
—
tiè-
pr*«
pe^âXeo,
»/i«5c.
d?*
d« m.
m.
—
USA
46
Hryopixoç,
Ms-piç,
MET
K,
grand,
ei'où
MeVeOcç, ec;-c\>:
(to,,
â/.c-j
,
o. aÀc-j
5),
Mégille,
Ms-jicrro;,
/.,
cv,
on
le
a'Xr.ç,
,
grandeur.
MfjiXXcç
très
Mégare.
adj., de
•/,:•;,
otXl»',
sup.
fc.
uE-yx;,
(/e
plus grand.
HêO',p. u.ctx,
HetÇttj p. p.E^cvx-:x-<o, ace.
m. et/, on
HsîÇuv,
comp.
a. ever,
pté-yaç,
s.
p/. r. de
irrâr.
c/e
Mstpaxeùcuça, yj,
agir en jeune
HeipaxiGv,
i-y.\.f. euceu.ai,
homme, de
eu (to), jeune homme.
R. ptetpaÇ, w. s.
MetpaxCoxo^ eu (ô), jeune enfant;
jeune esclave. M. R;
—
humeur
Kg (r,) ,
noire, mauvaise humeur, ac%r/ù.[y.
,
R.
ces de mélancolie.
«. atvoç, noir,
ÏSiXava, «ce.
«ce. p/. n;
o?f 7/o?h.
r».
.s.
u.e'ax;,
bile.
//->.•/,,
e<
ave;,
o.
aivr,ç,
ave:, adj., noir.
MsXea-Ypp;, ou (c), Méléagre,
_/".
p.
on
5
Mmiracç,
impers.;
u.sXT;<m, p.
moy.
—
lusXs,
y.vj.i/:r;/.i,
il
est à soin,
on
y.i/-\, je
>.-.:
i?»/?.
//.
ucl.
u.i'j.r'/.i,
soin,
a
se soucie
me
de
:
soucie fort
peu.
5IsXi}<rst, r.
eu (c),
conj.
dum.
certes,
Ménippe.
cependant.
,
R.
piv, tc(.
Hspeç, se;
MeV.;,
part, partie, por-
(to),
ivpépei, à son tour.
:
médius, qui
r., cv, nrfj.,
au milieu, du milieu.
Meor&ç,
r.,
adj., plein.
o'v,
Met', dev. unevoy., pour
M&toc, prép. <pa réon /e och.
/Vice.
avec
ai-ec
;
legen., avec
l'ace, après,
—
;
c/
—
pendant,
comp. , u.-.-.i.
marque changement, mutaentre.
£?i
lion, passage.
%
(^), changement.
R. p.ET<x@zAX<», changer.
McTo^iai-a»-»,/. tjgw, changer
son genre de vie. R. p.sTx,
Îioîtïî, genre de vie.
MetxScay;,
««a, eror. l ?r
[ASTevor <ra, changer d'avis ;
se repentir. R. aéra, vce'm,
penser, dloà
e
MsTavc<ïi«nrre, 2 p. p/. «or. 1 er
Mstxvcsio-û, /.
c/e
ffléXaç, guva, av,
Ms'Xet, w.
p. part.
M
est
plus grand.
<.'*,
MÉprocc, imper, du m.
év, part ., à la vérité,
assurément, p. Je.
lion
P»'ée.
rsu, r. u.vàcu.ai.
7-/.;,
Miy.rr.'J.ir:;, r,
Me'vtci,
Uiédimne.
rfet>. ime ro?/. as-
cj (c),
-Ms'']''.y.v:r,
Mq&vqf&ai,
—
(
subj.
Metoçû, adv., entre, au milieu,
parmi ;
pendant. R. u.etx',
—
Eûv, ait. p. ipjv, avec.
MsTawrÉ.u'ïreu.at, /". ÉuuLcuat, aor.
er
1
p.îrs— sy.yap.r.v, mander.
/e p?-.
R. aarâ, 77=y.-cy.x'., m. s.
démembrer, deR. u.s'Xc;. membre.
MeTaaxeïv, aor. 2 in/". depzrêyja.
SAcXtÇa, /. (au,
pecer.
Sls'XXw, fr.zt-t, aor,
I
devoir, êlre sur
«rec
/e prés.
o«
er
le
/e
s"p.sX>.7,7X,
point de,
/.
-.-77., cv,
part, dupr.;
7c p.sXXcv, les choses
l'avenir.
5 e p.
—
futures,
s.
«or.
1
er
de p.êraîtatTâtt.
METsXs'jaouai, /.
ni/". ;
différer, tergiverser.
Ms'Xl<ov,
Mete-SV/t/^ev,
f/e
Mstev£ù<b, /. uorw,
eve'&iv,
revêtir nn
(f«« antre.
revêtir.
R.
lûtes jrci/.à».
cor.
//«[///
2 lutau /?c?i
p—y!. èy&jg»,
.
MHH
MfcTSvi^uv, j;
MNH
«or.
j,
du
-2
y\i-i-i\j-'Aj:(:i, cj, ôto,
pas >culcnient cela,... mais
/>r.,
rmp. mo?/.
de u.-rx-z'j-^j.y.:.
suivre, venger
tcj -7-por UErnXd&v,
de mon
les assassins
•j.etx,
— pour-
tous
:
(pevea;
puni
père. R.
ai
j
à.
MATHS,
r.;
H,r
,
'
—
i
m'j, v
«
toiroî,
•'
œi
,
.
'
.'
ULSTGC,
non, ne... pas ;
de peur que, ;jc.
Mr.-r, p. u.rM, dev. une voy.
Mnffapûç, adi»., nullement. R.
ijw'î, quelqu'un, et
j— pas même.
Mr.îs, ni, ne., .pas
R. pi,
£:\
y./.oY/
,
,
«c//.,
nul, aucun, personne. R. [**-
un.
sis,
Se'i
Mr,ftv, ».
/».,
(/«
rien-—
pris
nullement.
«(/<•.,
die,
eu (é),
Mt'xeti,
«(/*'.,
Mèdc.
'
,
y.-/i,
cupli., h:, encore.
ttoroî,
r.,
'.-i,
'
pcu
(1{
.
va
,
ns
£
cllr
Mriv,
t.\ longueur.
cependant;
mais,
certes
:
-.0
mr-v...
,
,
yi?£ .^
c |, ose#
Milol,
'r. »,
r.
Wat,
/'.
4
R.
contrefaire.
lcr ;
_ de
u
yy ^
.
Mi usWt-o5uat,
imi-
pitacç,
mime, bouffon
toc; (i),
Mtas'tt-S,
/'.
Mi nos.
«or.
r.aeo,
Mvi, à; (r), mine.'
Mvâw,/. «aw, «or.
-Vo//.,
u.xt, /;.
r,ffx,
«vn
y.'.
-ô>
-.j.?.
.,/.-.
ysy^:-
^ïavr.axt (eu
ù/.
oôïjv, faire
er
ressouvenir.
(aire
y. vâc y.
er
1
/. 2 de/, pass.
tixi,
I
R. y.^::, haine.
p. r./.y., hair.
«•;)•.
I
er
id.
mention de;
M/r.yy., y.T:: (ro),
Mvriur.,
s
h ^ u[i)i
;
ffrf
p 0ur p eu j c
MiXiiTÔ;, eu
uuxpov
u.i-v.
:
«
(!
}
/ ;;, >
,;
peu
^
.
/
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iy.;r-
—
souvenir, d'où
adj. su]\. 1res-
long, de
MXXSC, W5
dis-
:
•
__
un
,,
£
M
,!'
et
memini),
ne... plus. R.
m-
i
R. fu*£v«.
K.
peu,
tiédie, d'où
ad/.,
:•/,
v -
M da
j>. y.i'j.;r y.y.,
de la .Aiedes Mèdçs, médique.
Mf^cç,
y.
la
(t.),
oc;
ixo'ç, r.,
Iï.
souillé,
scélérat.
t
Mr,$îa,
commettre
/
Mtvu;,
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[MiJeuCac
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'
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Mr., tufe., ne,
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visage.
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jusqua ceque,
que, pendant que.
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de
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coiy.,
..;,
&
rcm*^.«W,{w»>
mmut.es.
cours,
TO, IlOnt. K.
—
souiller, <povc;, meortre.
;- **«* w
,
r,
artifice, adresse.
Miapoç, a,
l
M:t:Û, : orf^, modérément
médiocrement. 11. uépev
mesure.
__,
Msp
, mère.
machine;
:;-.':
,
*;,/>'-»'-
*lv *i
demeurer.
-y.sra, ofct-o,
C'J
OU
;
-,
"* meurtre, assassiner.
tuAi.
ni.àbi-
u*ri
rfs
v>
MsTooeE»-*»,/. iï«a, aller
1er ailleurs,changerde séjour.
M£7tO7T0V,
me
g. rs'poî
Mr,£*wQ,
***>
cuisse.
f
Mifltt<pcvéû>—&,/. lËou,
R/iastoc, é'/w.
R.
(o)
voy., pour
c/wj., ni, neoi<e. R. joi,T£.
Mifirt,
£p7/.y.x'..
AhrrXOcv, oor.
vj
Hr/r', dev.
moyen,
MtTe>w, partager, avoir part
;
cependant.
.Alr.pc;,
McT£û^ou.at, faire venir;
47
— or;
iX).â,
non
nir
:
;v,
de
la
monument.
mémoire, souve-
v,;
r,),
y,
y.v,;.;j.
souvenir'"
rie. M. R.
le
-r:y.
:..
iscs
—
MOT
48
MOT
MvniA0w6tt, /. sûaw, m.
que
s.
Mj^xw-Ô), /.
M
ou
;-;•.;
ne
ade., avec pei-
u.î/.::,
—
;
Bfu^ôvra, p.
à peine.
Muptxç, âSo; (t,), myriade, nombre de dix mille ;
innombrable : 7toX).àc u/jotâ'^a; <tt;x-
—
MG&pt£o$, eu (g), Merichus, a.
MoXt£, i'. a:'-.i;.
Movcv, ad»., seulement
;
— tou-
de
Mcvovcjyj, nd<\, presque. K.
seul, unique.
cv, ac//.,
•£;
Mupîoç, a,
ble
ou
v.
— immense.
;
Mvrlie,
,
f.
pava, être fou, exlravaguer
beauté.
R. a o>:
d' {•/>.
g.
infini
er
jatr
Mcopcûvb), /. xvm, aor. 1
forme, ligure:
r,),
;
innombra-
ov, arij.,
—
Mûpuo;,
dix
ad;.,
d'oà
mille,
en faut pour ne pas, laniùm
non,
r,,
a. wv,
Mûptci, ai, a,
u.i-
autant qu'il
vov, où, eux-, où/j,
Mcû,
une armée innombrable,
rc-j,
jours.
Mopcpr,,
ace. 5.
u.-j<5aov7x,
par/.
Met, dal. d'ilôt.
Mrivoç,
riaw, se moisir 3 se
pourrir, d'où
{/.vâcuxi.
fou.
N
NH
ISEK
R«, adt\
oui, certes,
vraiment
pis
oui.
Nao'ç, où (0
,
Napxtaaoç, ou
Narcisse.
x,
o'v,
NoO;, aoç, a^.
ve»s
(r,),
R.
vs'c;,
(ôj,
'ô),
m.
ïfsëpos, où (0), faon,
,
E. »&s,
p.7.'.
t
naître, et
m.
s.
jeune
uîcç,
cerf.
que-ii^.
ad/.
,
IXeûôi», ?"n?/s. d"iy/;.~
aller, venir.
— jeune
homme.
Nestor, h.
(ô),
Neûpcv, ou (tô), nerf, muscle.
/".
V£Û<7C7.7.t
et
VEUOOÛUAU
nager.
IS"
s.
nouveau
venu, nouvellement arrivé.
Jsir.'/.-j;
ne;
jeune homme.
jeune, d'où
veopo's,
aa;., nouveau- né.
-yivooai,
NeVrttp, opo;
avoir des nausées,
Neav'oxoç, eu
R.
R.
NîCO,
Neavtaç, eu
part. pass.
7
Neo-jvoç, cù,
vais-
seau, navire, d'où
,
acL
Wéoç, a, cv, ad;., nouveau, jeu-
clouer, et
lfauna<»-M
vomir.
p. part.
Nevucr.fiivoç, r„ ov, p.
R. Trvrvufu, ficher,
pentier.
0;,
—
d'où
de-r./Aoiy
adj. constructeur de vaisseaux, char-
ïïaumrpxo'ç,
et,
a!,
Nevucnxoç, uîx,
temple.
(6),
adj., mort;
subst. cadavre.
Nexpo'ç,
£co >./.•' tù-fe)
,
^.
yico),
tirer
les
vaisseaux de fa ??ier sur le
rivage. R. vous, att. vioS;,
vaisseau, SXx», tirer, d'où
NeuXxwnt;, asx,
part.
rs'îcôî,
isr..
»
(5),
av,
aor. I er
att. p. va:';.
par/, afftim.
:
w. A-*,
—
NOM
oui par
atteste Jupilcr,
Ij'en
Jupiler.
de vaôç.
jeune enfant,
pr.
dire ,
lîictlv
Rfieç, n. pi.
Ntpeû;, eu;
(o), Niréc.
HotwÇw,/. (tu, aor. 1 er Èv-u.'.n.
p. './.a, croire, penser. II. v.-
Zfmttoç, 6v, ac//\,
vii
IR.
,
,
,
comme
parler,
(in,
infans
fari).
po;,
No'pttMS, », ov, ad/.,
juste, de
(
iûn. p. vaut.
aor. 1 er Èvif.
/wa, p. vevûapsa, vaincre;
l'emporter sur, surpasser :
TÔ vt/.àv, pris subst., la viet.coj,
—
de
(r }, victoire.
»j-
(
aaa, av, aor. l' r par£.
dev./.aw.
lftxisaa;,
p.
r', o'v,
ad/, blond;
bril-
•ant.
1
er
êÇf-
vàvr.ax, servir de cuide à des
.
.p.
..
„ r'
étrangers, a des holes. R. cevoç,
.
étranger, dtya, conduire,
L l uu
Zv>y.yr.w,aor.
1
er
1
er
ivà-
onaa, p. y./.y., être malade. R.
vie;, maladie.
g.pl. de 'tôar,;.
II. Nooûv, part, de vcoé».
>rôxrwp, at/y., de nuit, nuitamment. R. wÇ, nuit,
KOv, ac/i;., maintenant.
I. No'owv,
Sewoç, eu, ac/j., étranger.
Eép|»ç, ou
'
vtvcpa,
fHOJ/.
HYH
Smrp»-&,/. r,™,aor.
.
— coutume.
]N:g£o-(j, f.r.ao), CLOT.
ZEN
Savôo'ç,
loi:
,
légitime,
distribuer.
Nr.ù;,p.vr,c;(if)) f
toire;
hum,
H.
Nrioo;, ou (r \ lie.
Nîjwj,
loi.
No'fx&;, tu (ô)
Ni/cxco-û,
40
ISÏ.N
imper.
Hevap';, ou (ô), chef des iroupes
étrangéres soudoyées,
E/ipdç,
oV,
oc,
_..'
Xcrxés.
(ô),
EuXov. ou
aride.
„
bâton,
ad/., sec,
..
bois,
«
(toj,
,
...
,
Bowèx,*»fc ait. p.
2 e pers. s. aor.
ouaossw.
EuvoSowropoç, cj
M. R.
(ô),
wmiïï&K,
V pass. de
V. ow6$ot-
wopoç.
O
OAO
OBO
c
I.
O,r., ro, art., le, la, le;
&U.ÈV...6
l'un,
îs,
lieu de
ÔAaaoTcuJeGlsdeLaërte
(Llyssc).
II. "o,
n. de
'OooXdç, eu
fc,
(o),
x,
i'.
obole.
"O-p, Wft* **p, <*d].,
l'autre:
obtiennent souvent
fils:
—
lui.
<>
R.
6, *jé,
-^
$^ j$6j
He^. ced
oui
certes.
^
^
R
'OSovraç, OC©, p/.
p/. d'ôàcû;.
lui,
celui-ci,
;
»«r«»,
a.
—
M
.
50
—
OKT
01.
-
—
roule, chemin;
.
g e
.
d.pl
-'
.
-
:
III.
.
r;
(y.
.: mu, se lamenter, ^éniir,
pleurer : -\ otamt
pourquoi
déplores - tu Ion
•j^w,
f part,
du m.
T'./t
:
Olr,
-2
!
p.
domestique;
ar//.,
— propre,
le
maison.
domestique, serviteur, esclave, etc. M. R.
sien. R.
•:.
'-/..:,
sa
o
,
y.t'j.
habiter.
Ol/.r.z'.j'.part. fut.
ad. de
Otxétt-û, /wt.
-S*, /".
tir,
aor.
»<w»,
p.
construire.
c<jûc,
--•!-
1
././.a,
i
H.
er
bâ-
Oy.
,
.
'
<.
e
'
<
;..-:, j.7.\,
ctx, kcv,
0i;r,
quel;
-
rpoç,
il
OÎoda,
w,
a'/j.
—
le
sup. c/':îtrés-digne de pitié, déneut.,
pris
dune manière très-pro-
pre a exciter
tôt, îm/).
la
pitié.
''.').y.'..
.
tel
p.
corn
que
cfe
:
dôçrt
~^;
ckjVts;
ué
;
est-il possible ?
::.
y.
-.
aM. p.
p. ct^aaAa,
,
'2 e
p. S. d '.'v>'J..
m, adj. } d'osier. R.
6i-
uùol, osier.
OZjcum,
pas*.
T.a'-p ., aor.
i
1
f.
<.->iJh(.t,
p. id.
s'en aller, partir;
'OxXaÇtt,
pitié.
aJ/.,
—
est possible;
Sï/Tic.
.7.:,
plorable;
.,
£«r:i,
Oîauïvo?,
.
-
'.*':thi:i,
suis capable
u, je
Mxcocfus-
une maison, (fou
Obu&iuxua., 7.7:; [to), bâtiment.
ao/\ i e«
:é», /". Epâ
/.Tî-.;a, avoir pitié de, ace. Je.
uomç,
T
;-.
se bâlir, se faire bâtir
I
Y
—
0*5, d. p/. (/S
:
f. nacftsu, flor.
écbanson. R.
,
f. posg.&nuai, croire, penser, s imaginer,
o;-./. oJtt., comme, de même
presque. R. mgj, tel.
que;
Owrre, 0. '-.'.:.
r m, eu/ ;.. comment? dequelle
façon ? R. '.•:;, ri.
comment
:./..-:
tir.
.17
i
r.':r.'Z'.'j.'7.'.,a(jr.
rotc-ç,
0..
eu
de
g. (fdouai.
famille;
pr.
f. /e
E77.'.,
y,.
Otofieu-outoi, tf/ip. ûoiui t-au,r,n,
f.
..
— de
Ùbtét
Oi/cy/.'-r.
i':
p.
o»;--
yjUè, verser.
une toy.
tfep.
Z, V.
f.
s.
Oivcç, eu (é), vin. c/"ou
cîoç.
r». e/e
ctftct.
-'y-'-,
,:ty.7.i.
!
.
m.
y.%'.,
.,
battre, va
te faire
promener. R.
te
-
Oîx, p/.
Xrvctv.
Moy..
:.
«s 5), Ulysse.
no7a. pi. m. de i.
II. O:, nom. pi. m. de
:.
III. 01 , interj., hélas!
malheur à mgi hei mihi
-
I.
gémir, se la-
.
aciiv., déplorer:
vapula, va
•
prd.
p/.
envoyer
quelqu'unpromener,e?</a^'n,
dfuifyti
son? d'où
*0-
'.'<.>.<>'-.<>.
p.
v£ja
/".
menter;—
;
e
5
rwoxv,
-•;.
gémissement,
,
lamenta lion. R.
,dent.
.j?.'.,p.def.p
xx, f.
.
:
».
Oiy.v.,
.
'0£:-:.'. <t::,
.
/".
m»,
r
de
f.
<>/y.'j.7.'.
périr.
s'agenooiller,
mettre un genou enterre, c/ \
tr
par/.
"O/.'/aa-/;, 7.77,7/, aor. l
'O/.TtJ, ac'j.
num.,
huit.
'Oxrttxxi^exxsTTiÇ, k:,arfj., âgé
de dix-huit ans. R. ô/.tu>, huit,
wû,
et,
à s'y.*, dix,
Ct:;,
année.
O.MO
"Oacg;, eu
o>T
bonheur;
(i), félicité,
— richesse.
'OXilpio?, a,cv, a<lj., pernicieux;
— pervers,
i>.E/.o),
'/.•jr.,
misérable. R. &Xperdre, d où
v
O/.i6;'.ç, eu (d)
,
— vaurien.
a
et d/.(-;cv
ûk/u.
fléau;
'Ou v/ £/.;:-, c, adj. t semblable
aux autres morts. R. buAç,
vexpos, mort.
Oponpta, a; (y,), égalilé d'honneurs, de
— peu:
peu de temps après,
dans peu; TcpiçôXi-jcv y.:'.-:,
pour un peu de temps; c>.-trXeîcv, un pou plus.
'.-/;-. ;-.'.;,
cv, a'//.,
durée. R.
'OXxxç,
de courte
>XP 9V6»i temps.
vaisseau marnavire. R. fou», c/.-
otooe
chand,
y,
'Ofioù, ne/y.,
ment.
"Q).eaç,
à
fait
:
scat
entièrement, tout
5X«ç, en un mot. R.
'()y.r, :•./.:;, r', s'v,
«<7/.,d"Hùmère.
"Dy.r;;:, 6U (ô),
Homère.
'O'J-O.i(i-C-),
f.
rl-7'o,
rtor. 1
er
ûux-
fréquenter, avoir
p. r./.a,
eoinmiTce avec. R. ouiXoç.assemblée.
(r:
,
ail.
R.
BîTTtt,
'Ou.: ;':''/,;, loç, odf., parent. R.
opsg, semblable, ysvcç, race.
-
a,
dv,
odf/.,
pareil.
R.
5j*5ç,
ïy.v.;:,
semblable,
prouve. R.
aoV., semblablement,
miMne manière.
'Ou.:îw;,
la
ap-
qui
su *~
r
y/
tyufe,
V'--'>
frage.
I.
0(aû;, «oV., m.
II.
"0{m*ç
,
r/»e
s.
conj.
iy.-.
cependant,
,
t- itelois.
I.
"Ov, ace.
m.
.s.
11. d'r-j i,
>77.,
;
".
:;, y,
</e
.
.
UOT. 2 Opt. vioij.
'Ovaîy.r,;,
I
•/!</
'Ovi'.'3'Cw,/. (7o>, «or.
1
er
ùvst—
outrager, insul-
'./.7.,
ter, </e
opprobre.
songes, rrcontes en Pair. R.
yes;
Svap, cfcà c've'.;::, songe. /f où
ecî (to),
"Ovi'.'î::,
(rà;,
—
/. ïOû», rêVCI,
voir en songe. R. -:>.ïw, être
'Ovî'.;'--r::/.E0j-f"j,
versé dans.
parf.
«or.
f. r.To,
&fAoXrp)<M , p. jpca
aor.
*Ou.;>.c-|-'(o-ô>,
reconnaître
,
1
er
avouer,
convenir. R.
éjAcç, >s'^w, dire.
,
1
5.
er
a*c
/.
prim.
i>-J.'>,
d.c.zj.,
)•.
— gagner.
servir;
.V
BMr.v,
1
p<-(5s.
'Ovtvi^u,
aor.
de
opinion,
'<>/YT!'., 5'' p.
p. p«ss. &uukat, voir.
*Ou.iîo;
même
l-j.i;.
qui est de
'Oyetpc77&X»6sîç, eîwz, év, aor.
"Ouua, arc;
et
hon-
««"j.,
'Ompaxx, »*
SXoî.
'y.r.ax,
la
w»*, p.
oifc.,
-y./',,
ensemble. R.
w,
'O(*o<(ngfoç,
II. "Ov,
*OXo;,u, '.j,adj., tout, tout entier: t; [).-.' aXcv, enfin, en un
mot; r; 6>.gv, le tout, entière-
jouit,
neur.
,
traîner.
/.x'Cw,
qui
fu/j.,
,
d'un honneur ég
dignité. R. ôuoç,
,
'O/.r
c/
'0|A<9nfiOÇ,
un peu.
,
odj., petit;
/, vi t
Ij.-.z'i/ •-;•;,
,
—
mort;
S1
>y.-j.y.:
}
I
er ojir.z-xy.T',
retirer
du
-,
f.
ai<:
V./.7.,
f. SvT.acux*,
t.
profil do, oéu.
0« «ce.
'OvcuôÇtt,/.
•j.-j.ny.,
peler.
aj'-o,
aor.
l'
r
•
nommer, apR. Svouut, nom.
p.
«ta,
"O'/T?., V'Tï;, Svtc;, f.
&*
I.
—
oio
opr
52
m.
"Ovri, d. du
;
— ;âcvn,m.i,
ou h d:y*
£i' &py?i;
nvâ, en vouloir à quelqu'un.
lion
que
'Ovrw:, adv., réellement, en effel, véritablement.
"Ovjç, u^o; (d), ongle, griffes,
upeÇa, p.
de sol*dats pesamment armés :
le
ncui. prissuùst. : bataillon de
soldats, etc., d'hoplites. R.
r, cv, adj.,
}
—
soldat, etc., de
c-Àîr/,:,
arme.
(r:),
"O-'/.cv, ou
a,
ètt-.
;
com-
est-il?
"Opr,, p/.
'OpOcr,
cv, adj. (corr.
ïï,
0-CT7.V, p. éïTOT XV,
m.
'
5.
OUe
,
'
quand:
quand même:
supposé que tu
lorsque,
1
—
,
puisque;
2roV ISâL6t$,
'OçOcû:,
adj., droit,
ov,
bien
ad*.,
juste.
—
;
juste-
ment, avec raison. R. i-Mz.
'Ocî^co, /. îcco-ôi, aor. 1 er ûp az,
p. pass. £>z<.r>'j.y.\, terminer. R.
borne, d'où
aor. 1 er i'n/*.
cçcç,
'Oz'-.nv.'.,
'Osww-w./.-wo), aor. 1 er âsara 3tj p. Tiïatf s'élancer, se precipiter avec impétuosité, de
'O-'JTEic:, a, cv, adj'., lequel des
deux. R.
rcoTêpoî,
c,
qui
des
«or.
er
deux?
"OîTrcttatt,
c-icp-ai,
/.
b><{<c£u.Yiv,
1
p. pass.
çOr,/, voir. R.
f'jy,
ùiro';,
œ-
œil.
*0-w;, couj., comment, comme ;
afin que, de manière que
om à;
— que
:
cjv
c-co;,
il
V>;à:, 2 e p.
5. »irf.
ou
Opuisc, a;
r
.
'Osatj-w, p.
regarder, examiner
voir
:
Spot
de
;
ww?
*Gz--r„r.z
f.
(i,),
a'-îw c/ clirTGftat.
colère, indigna-
^
impétuosité
(
(r,),
;
—
«*«*
.,
Oréte.
(ô),
*Opoç, eoç-co;,
"Opcç, ou
.
,
.
»»j**™»
'
Opsiïr,ç,«i
II.
hinie de pécheur.
_
.
ri
(ô),
montagne.
borne, limite
;
frontière.
'Op7E&o.a.i-oûtt«t t /". r.Gzu.y.i, aor.
er
ebp-/,T;aâai(jv,danser, sauter;
l
—
trépigner de joie.
'0câ>, t\ opaa>,
d'où
'OpwuLsv, cortir.
p/.
de ôsacuEv,
l
re
p.
;
'Oc-wv, ôvtoç, pr. pu/7,
du
ne.
'Opâ<n, confr. deôpâcuot, 5* p. p/.
v
prends garde que... ne
(dde ue),
'
ou
sit£g.
Éws'x/.'y.,
;
é Unj egsor
n'est pas que, loin de.
"Opa, co//îr. de epae ,impér.;
-
'
p. wira, poil. z-o>-y.,
er id.
tou.u.xi,flor.t
—
^^
I.
voulusses.
o.r,,
d"c:;c,-.
r,,
'
de roccç, aussi grand, autant;, que.
'O-cV, p. gjreta, rf«». "»ie voy.
le
pa55. àps'yjhîv, désirer, gén.
mtu
«tec ou
interr.: c-cîc; ri;
alors
— pré-
t
'corr. de
aûj.
cv,
tcîc:, tel), quel,
ment
ïbnmç,
tendre ;
er
^'oy-> cpEfcu^, /. s";:y.-/'.,
aor. 1 er ùpe£xp.Y)v, î'd. de f.
dcz;~iz.
u.
'Q-'/.:r:/.zz
'0-c"c:,
ey^a,
1
senter.
'0^uîpabtat,(i)v(ct),Oxydraques,p.
"0-H5,
izijnu.i,/. e;u, oor.
'Of>s<y»,
serres,
.
:
v/y.'i
du/, p/. pré»,
pu/7,
du m.
0;, f„ ô,pron. rel., qui, lequel,
avec u.i-i et £ê',
laquelle;
à©' cù, d'où,
l'un... l'autre
—
:
d'après ce que, puisque.
"O«ioiç, t^cç (ô), Osiris.
"0<7s;, li, cv, adj. (corr. de
az;
ou
tsooùto;)
,
-i-
corni;ien
.
.
OTA
grand
;
—
;
que
tcogùtov....
:
que.
ct.v, autant...
*0;?:;3, r,-io, Z~iz,
m.
que
s.
1%.
'Ocra, conlr. fifoorsa, pi. de
n,
S
g. cJT'.v:-,
quand
tôt»),
lorsque,
cte,
est lorsque,
il
:
f<rm
des
est
il
"O rt,
que;
II. "On,
n. de
qui,
ce
ï :-<.:.
— pourquoi, en
co7ij.,
en ce que
la raison
"Otm,
sV
OjO
,
Oùx,
quoi.
quelle
oti,
pour laquelle
roT'.v.,
d.
pourquoi ?
I. 06, g. de £;.
II. Où dev. ime co7is.,
«dr.,
—
plus, ne...
donc,
c'est
que
est-ce
pourquoi
CUV, TO.
;
euxeû? iXXa,
:
au moins, au reste.
R.
&ux,
5.
est
?
de Sçtîç
:
non
dev.
aspirée,
:
ftw
cela,
à'/J.x
mais),
au reste, au surplus; cj von,
non en vérité
Où£\ p. cô£e, dev. une voy.
OùJ^y.w;, adv., d'aucune manière, nullement. R. àu.z;,
quelqu'un, et
—
ne.
non ;
pas même, neque : iùSi cJT.r
pas
même
.
lui-même;
si.
«ce. pi.
77i.
OÙTi,
non, ne... pas
pas
/).
:/,
R.
c-J,
9é.
QÙ^Eutôc, cù^evo'?, nul, au-
cun, personne. R. tù^s, eî;,
un.
Où£év, n. d« pr., un rien ;
pn's «di\, en rien, en aucune
—
OJîev;';, v. tùAftîç.
pourquoi.
m.
fldr., ni, ne...
même.
pas
cj, ré.
p. ci n,
Ouït;, g.
Ojt:ç,
en rien, de
b&TtvGf,
R.
personne.
qu'un.
aCrr,
aucun
adj.,
cù, tïç,
-vj-z,
,
queltoutou,
g.
ry/j-r;, TCÛTOU, pro7i., ce, Cet,
cette, ce
;
—
celui-ci,
celle-
ci, ceci.
OÙTGoC, «ff. p. WTOÇ.
OCtco, c'jtw; dtv. une voy., ainsi;
—
0>/,
O 0/{,
si,
tellement, à
v.
cj
tel
point.
II.
ail. p. cjy
OCBEtXfl»,
chose.
c'est
cela étant.
05et, dat. pi. du
R.
wv, n'étant
donc,
de ".:.
O'JTa, r.:,/i:m. de wv I.
Ofiç,
CXm,
O-jÉi, ni, et ne, et
lov,
OÙGta, a: Ct.\ possessions, biens,
fortune. R. eîuû I.
cj/.
mj
co7ij.,
R.
c>/
(non-seulement
rf
[ACV,
aspirée, ado.,
v:';,
ne...
pas encore. R. cùx,fn, encore.
dev. wie voy.
Et,
eu.
OJ/.cjv,
Oov,
;
taxe voyelle
oW
r.
Oùxért,
ce
que, parce que,
-.'.
:
ait. p.
ÔTfo
ni
R. bùJe', fctocc, autre.
p.'/j-i, dev.une voy.aspi
Oûusvouv, non certainement. R.
cas où...
I.
Pun
ad}., ni
cv,
l'autre.
r:nvcç, cuTtvoç, qui, quiconque.
R. ô;, ne, quelqu'un.
"Q-y.-i, p. l~i à/, avec le sul>j. }
m. s. que
"Otï, co7ij. avec Cmd. (corr. de
TTtDŽ
quelque façon.
OJ^ÏTi;::, a,
rrsov-cûv, tou-cû [to), os.
t ;,
Où&tira, adv., pas encore, ne...
pas encore. R. cô<Îî, ttw, en
/.
Ï.ÎW,
p.
ÙCMtXtSXX,
«or. 2 wcpeXcv, devoir, d'où
"OçeXcç, s:; (to), utilité.
'OoâatXu&ç, où
u.a:,
«or.
(o),
1 er
œil. R. mctc-
pass.
tMfêl
,
voir, d'où
'OfOetç,
pa.î5.
aîca, év, nor.
I
er
port
.
54
OTO
0<ï>P
"0<p).r,ax, ?.t:; (to), dette,
de.
R
amen-
voir, être
condamné
à.
sourcil;
'Ofpûç, ûéç,
(-/,),
sommet
orgueil.
—
;
'0?:y;, contr. tffypûoç, ace.
p/.
"O^ 2e p.
«./. d'cVrcua'.
"Oy-.v, arc.
de
de-
"0?}.u,/. t.tw, p. ftpXnxa,
I.
II.
oçeîX», devoir, d'o?i
1
.,
—
"Oy.:, eu;
(r,), vue, aspect, de
'Oicuat, ç, a«. et, v. otttg|mk.
n
HÀÀ
IIAP
pleinement
Ila-pY&Xoio;, cv, ndj.,
ridicule. R. rràv, tout
à fait,
féXotoç, risible.
aor. 2 op/. da
Ila6:'.u.'.,
Hotdcapsv, l
ie
p.
7
.,
adj., tout à
fait
rière.
tout à
s?d'j.
da m. ; su T.xbuy.i-) (soyons
heureux), qu'un bon vent
nous pousse.
noâcâv, W0O, cv, aor. 2 par/.
du m.
Tly.
ar-
grand, très-grand.
m.
aor. 2
/>/.
— en
fois;
naau.s-j's'Or,;, eç,
2 inf. de ic&ayjè.
IladEÎv, aor.
une seconde
voc. de Tsaiç.
fait, us-;e8c:,
navépupoç,
ravagé,
désert,
tout à fait
ad/.,
cv,
H&vctfcXià, a;
R.
plète.
armure com-
(y,),
ttxv, c-Âcv,
Ilavcj p-joç, cv,
R.
m.
rràv, Es-ycv,
R. irat^euw.
n.x:oij')i .;,z~.<jy., h, aor. I er part.
Bavrséicaoi
truction.
:
pnss. de
âs'jcra,
aor.
prendre,
ri
s-rra-'-
instruire, ap-
nvcé
(tq'J,
1
er
R. waE;.
petit
enfant, de
Péons, p.
ndXca, cidj., autrefois
uizdkax
qui
(oVreç), ceux
existaient
:
autrefois, les anciens, d'où
IloXatoç, â, cv, adj., d'autrefois,
ancien.
Tlyj.y.io-r.ç,
gû
(c),
lutteur.
R.
xdkn, lutte, d'où
IlaXaîffToa, aç
(tj),
lutte.
IIaXa{iridr,?,£o;-ou;(o),Palaniède.
TIaAiv,ady.,de nouveau, encore,
777.;,
cv,
aae reavrantaee.
que -avreo;.
fia; p. Traça, dev. une voy.
Kvfd, prép. à 5 cas : avec te
9én., de, par, de la part de;
Ilavroj;,
,
une voy.,
sans excep-
adj.,de toulgenre, varié. R. -à;.
Havrcç, mârrav, 0. ttS;.
IIxvj,
(c
de*',
fait,
généralement. R.
Havrctoç, a,
IIxï; (c, n), enfant.
ov
iv
y. -rràç.
Trà;.
nai£oç, o. de
fSfxioyeç,
ef
adv., tout à
tion,
p. cj/.x,
Ilai&ÎGv, eu
—
trompeur.
ouvrage.
Barras, rcavreç, -jravTt ,
e-jcco,
arme.
adroit;
cidj.,
Ilaiîeia, a; (»), éducation, ins-
xi&eû a>,y.
R.
dévasté.
T:àv, ssr.acç, désert.
artificieux, fourbe,
Ily.yïx;, irat&Eç, v. le
II
R. Tràv,
grandeur.
m.
m.
s.
s.
1
,
— avec
le dut.,
àcôléde,chez
;
près, auprès.,
— avecl'acc,
—
au delà de, près de, pour.
En comp., Traça marque Taction d aller à côté, de passer
outre, de s'avancer au loin.
IlapaSaXXw, comparer. R. napâ,
BâÀÀw.
1
.
riAP
iiap
nap7.-p£').a;, a.ax, xj, aor.
1
cr
pari, de
ïlaptt-ffùXa, prescrire,
abandonner,
cer ;
—
annon-
n7.pa-av,aaV.,m.s. que
R. rrapa, rràv.
Il7.:7.-£a7:w,
permet-
R. —xzx, ifttXktù.
IIy;a-|'î/'.ao.t, survenir;
s'avancer, s'approcher. R. -xzx,
Ire.
—
Tlxzxiïiïx.:, aor.
1
er
Uxzx T.--.:, -.j (î
parasite, qui
mange souvent chez les au,
tres.
—
rrapa, cTcÇa, opinion.
£w;
flapaîvEitç,
iauTov,
z s'y
IlapaTi'vw,/.
péruva, aor. 2
«or.
o'v,
recevoir,
rra-
irapcTavcv,
ger. R. -apà,
/j.
r*iv«*,
tendre,
0170,
pr. opt.
d'oà
010,
^xzî/mzy.ix, p.
2
aor.
1
céder,
f./.x,
abandonner quelque chose à
quelqu'un. R. -xzx,
pren-
recevoir par succes-
R.
/(.>:;
Iïapeyyûa, imper, de
t.xzx, }.aaoàvo>.
,
laisser
—
).î(rtto,
TTa:aX'.-tôv,
napï-j'—jâoj-û), /.
de
frustrer.
côté
,
"pr.y.z
R. Traaor.
2
îocfiat, aor.
er
cuva,
c'v,
peXVn c ay.r.v, tromper -apaXcpÇeoftat tî, tromper en
quelque chose. R. -apa, Xo•p£c{&«, raisonner en sa faveur.
ITapay.ï'vw, rester auprès, attendre. R. -xz x, u.î'vw, rester.
Tlx.z
r.
,
consolation.
R. rrapa, u:/iii'j.x'., dire.
Hapamua», déraisonner, radoR. -xzi,
sraîw, frapper.
—
i~
:-ii<j:r;i
y
t
:
Uxzx.u.jblx, x:
remettre
,
—
par/.
7.
y,7co,
—
p.
-x
entre
les
exhorter,
mains, livrer;
«af. oa ace. ;
commander ;
annoncer. R. rrapa, è--paco, mettre dans la main.
a"oà,
napaXo^cwa'.,/.
ter.
er
aller.
omettre;
t.
I
pass.
«
ça,
«or.
étendre, prolon-
T.x.zx-.i-x:/.x.,
</e
n?.27.).c(-(o
ev"),
Ylxz7.yoyziiù-î-i, f. y,7a),
0J7a,
,
de -x-
rrapa,
aùvew, louer.
[IapgXcrii&xva
/'///".
<•>
lIxpaTE/tîar.v,
ment, instruction. R.
llapa).ac()v,
R.-y-
se montrait.
il
pa, oxtuâÇu, façonner.
avertisse-
(t,),
er
prépa-
p. a/.a,
,
1
composer :mtpeoxsûo{
rer,
R. —a; a, otôuuu.
Dapâ^c^c, 6v, adj., incroyable,
étrange, extraordinaire. R.
sion.
vivres.
bîtcç,
UxzxT/ih, aor. 2
nxpa9c$a>fu, livrer, donner ;
transmettre par succession.
—
R. -7; 7,
mept axeûxaa
impir. de
ovrcç, pnr/. c7e
Qapa£t£cu{,
;
ren-
passer,
faire
;
voyer. R. rrapa, -•>.-&.
Efapa&r^cp», recevoir,adniettre.
R. — 7.p a, ^r/cy.7.:.
Hopa£t£ovxi, m/*. ;
dre
t.x.-
Ylxzxn/.ux^bi, f. Kott, aor.
tVJ.M.
par/.
55
imp. de -xzx.-
U.X'..
Wxzi^ihri, aor.
actiïiofàu
llap3'î:T£,
1
er
pass. de
-x-
:.
2 e p.
U;.ziS(>y.x,
x;,
pi.
-.
de rrapEOo,..
aor.
1
er
;
Ilaos&dv, aor. 2 de -xzx^'.hjj.:.
e
Ilapei, 2 /'. s. prés, de --j.z-.vi:..
Uxzi-.x. x; j), joue.
x' :rx ace. S. Ht. p. peut.
Uxzi:',
,
r
mou. de rcaoaXauoâvb).
I.
Flapstui.
f.
777.:
i7. ''.a .,
1
être
\
rup
56
-
tut
.5-ter à:
— pacaf— arri-
I.
H.
1
-
n?'
777.-
.
I.
part, de înip.
e,
I.
dev%-
.h, aor. 2
-
ni:,
-7.77.
aor. 1. part.
de ~z
.
-7.7-.:.
entier
arfj. f
:
loul
.
:.:.
:
nzr.,
:
lr,ut,
-
ivrk
pi en
7.
- 7;.
-
--.
-.
'
77
avec
liberté
-
laquelle on parle, franchi
R. -7.-7, en face, Ho,, dû
:
c/af. /,/.
d'où
tout,
ou
7/ï.
n.
:
H«
alleraudelij.
.,
-
moy.-
-
-
yr.'l £-7.0:v, p.
"'
p.
5.
ï
fiïO»/.
p. de
:
--
.'y p. pr. a
"
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c/e
procurer
tir
1er, montra
~
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£,
a or. aV
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**Xt
f.
inf.
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aor.
7.v,
part,
de
Uxrov*7St$, f.
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|
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Eai
J] 7.7=1.7.;,
1" de
c/or.
ri
poarrait-ofl]
-
n^:z:r, aor.
z,
q UC
.
-
que
•
-,jp.
.
miment? pourquoi?
memom-
la faculté.
;
-
-
:
rtiealier.R.s»-
nais, on a
^
:
—
—
;
.
%,
éprouver une teavJon, un tenlimeatqaeleoaque, être affecté de m
ou d"aulre:
éprouver
J.
:
z
-
—
porter;
--
-
:
y.
,
aor.
y.,
T7.17.,
-
p.
xi'-,,
aor.
- j-*-
1
frapperai
7.-/_7.,
bruit.
7.1.
«p.
IJ7.Tr.:.
dt-
I.
"
JJ:
n. f. ry.ve l*
\\-j..-,
n;éirie des phrases,
-
-%-
II«ic
du père, des
//..
'
-.7.-
p.xxz, habiter pn
.
p.
$.
nor. l"
_
.
.
-:.:
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pr.
i
f.
Uv.jz-.y.i*'.:^ r.,-.,,
'
f
_
i
-'7/,
terme dt
rhétorique.
:-.: , rendre égal.
.-T7..
w, a
Je
ité
.
nembn
:
Darp<M^
'e.
•
•
:
pr
fj. r:-;.-,
<r
moy.;
f.
moy.,
f_
pari. moy.
de
-.
77.,
f.
-
p.
.-
7.J/.7.,
mettre
fin
à,
faire cesser.
proverbe.
in.
P..
Moy.
;-»-7--.,
aor.
-
:,
r
r
f. ~7.iz:È-avffxttjo», /?.
.
4e j. pats. -•-!..
POU. de
p
adj., épais,
uni.
R. -
m/, de zùim.
plat.
**.
-
.7.,
;iélOD.
i:
Tii-:
cheville
du
ni";
m,?., p. mf. motj. du
,
de -:
pied.
>m,f. ilm, aor.
per-
-.,
.
.
mf. de
f. as», au*.
avoir fa: m. R.
.
n
:»f',
-
j.
-
ace.
t'y
P réc.
/. mf. de szcfc*.
.
en&n
f. part. moy.
du m.
:
n.
armé à
dai
tasic
:
—
M. R.
ta légère.
.
ad}. y de pel-
pats,
du
rer
:
—
—
f.-r.
.
-
autour de
:
—
al-
-
If.
->,
être assidu au-
favoriser
;
— hono-
quelqu'un i
—a, suivre.
tourner vert :
traiter
ou mil.
:.
bataillon de peltasies, de
R
pr.
-
I
.
n
p. part,
ler ça et là.
le neui. pris suùst.,
•
-
,
peltasle, sol-
.
a !a fin.
—
-
-
prit
—
1er
petit bouclier.
.
-
—
—
.
prep
_
cas : arec le
gin. y de, pour :
arec Ca
autour, en, touchant.
3u#, entourer,
ceindre,
environner ;
re
flanqué
,
de ch
».
hache.
n
;
,
.
dal.
pou.
I'erdieeas.
faim.
diyr.
adc.,
1
.
in.
--'*.
suader.
conlr. de -
p. part.
-,adr. 9 aa delà, outre, pins
n, d'où
'.
- -
=
p. part, 4i
.
ni.
-
T-
instruit, safant.
ni-
-
a<//\,
MH
X2*}f&«»,
—
R. -:;
élit bouclier.
-.-•-..
i:
.
/attacher, être a
pauvre, indiirent.
*lre
dans lu.
conduire autour,
montrer en détail. R. , d'où
.
gence.
n
:
-
.a, adj. pi. nwrt.,
.
au nombre de cinquante milinqfo
le. R
:.,
dix mille.
idj.
i,
-
aor. 2 de
placer* autour ;
placer en faitour, revenir an même
.
n.
-
vaisseau
-
à cinquante ran
iquanle,i:
sant le
:
point. R.
eu, ramer.
.
Dr-
,
p.
part.
-
—
.
num., cinq,
-
p.
.
-
'.'-.-
Bys, cacher eu
II
IIET
58
R.
couvrant de toutes parts.
acr. 1
Ilepîffcetvev,
nepipiévM
impér. de
R. «spt,
attendre.
,
1
nepivcéu, embrasser dans son
esprit, méditer. R. «ept, voie»,
•
—
sembler;
Moy.,
penser, rf'où
aor.
cùwt, av,
l'
r
TUMoÇ)
période,
R.
rhétorique.
/.
de
o£©5j
"£-!,
IUpuraréco-û, /. r.a», p. Y./.a, se
promener autour. R. - = pî, ~x-
T6W, f/'oÛ
CJJ7-, CV, /. »<»**.
ïî-lV.-y.TY'TCOV,
oûaa,
Ilepfïreffûv,
o'v,
oor. 2 part.
de
parmi iaurôicepiiRirray, tombant en contradiction avec
soi-même. R. ~ec(, wwrrw,
d'où
:
IL
Ileoiiûirro, çs, '(,, pr. subj.
riEii-cbr-cç, cv, ad/., très-désiré
oïl désirable.
R.
tteçî, sodée»,
désirer.
TIsç'.aGo?,
— /en.
pris subst.,
superflu, l'excès. R. tteçI,
wr/e
term.
flept<rrô, r.:,x,
ac/j.
èm&afAriV,
1
m.
s.
gouvernail.
eu (tc),
Pélee.
6),
Ili&afievoç, r,,cv, aor. 1
er
par/,
Tir,?*, aç (y,), besace, sac.
II!e,
aor. 2 impér. de
ïlté^o, /. s'a», aor.
p. ex.'/, presser ;
—
frir,
sïsa,
neciToaireiç,
évtoç,
ev,
p. évroç,
aor. 2 part,
de;
er
^ éiJ/M, aor. 1 TTêrenverser
ç'.ETp-ya, p. E<p«
dessous.
R. ttîs!,
sens dessus
n=c'.TÇc'-o),
.
,
tcé-oj, tourner.
ÏIÎET7.'.,
5
Yi'Mç, ou
e
p.
(g*,
de
tcivca.
1
er
È-Usa,
faire souf-
rrivw,
-'.vj.-j;.,
». le
m.
tonneau.
II'VM, prïWI. Itî», TTSCO, /. TïlOfMU,
aor. 2 ê'-'.cv, p. i?éir»xa, boire.
nÎTTTto,
prim. -=tc), /. dor. tte—
2 Eirsaov, p.
tttoj/.'/., tomber.
TJurreûaa;, Bwa, av, aor.
oguu.su, aor.
c),
Illraacv, aor.
Perse.
1
er
IIi<rreuw, /. euff», aor. 1
trrcuaa, p.
E-j/.a,
ser
fier
;
— se
?tï-
1
er
impér. de
Wi-Amy.'.,prim. 7&xd»,f. aaw,
er
croire,
à
:
s-(-
pen-
tgigûtg'y
-\
wepî iu,cù, ayant
de moi une semblable
idée. R. xî<m$, foi.
eu
niTT'/./.:;, où (c),
Pillacus.
n>.â-'.cç, ou, ndj.,
oblique.
IlXcrçctv, ojvc; (c),
Platon.
IIXsZgv,
ji.
de
tt/.eîcov
;
—
pris
ade,
plus que, davantage, gén.
IIXttova,
Ileptrroç, ait. p. repiaco';.
nifar,;, cj
tourmenter.
aor. 2 inf. de
TT'.cTTE'jcavTE;
aor. 2 sw6/. ac£.
de wepuaryifM.
EÏoT,s,
7T7.ÇC—
itrôfvup.at, y.
er
par/, de
ad;., superflu,
cv,
r',
inutile;
arec
— construire, bâtir.
nr.AEJ;, soç
H'.cîv,
rhc-î—cd, tomber dans ou
le
1
;
moy. de — r'.p'jut.
roule.
I.
aor.
u.a .,
UnS&tcv,
pari.
ou (r^,
hrérava, déployer,
n£'r :oy,a£vc;,r,, cv,p. par/, pass.
de ccoeco.
'
„
* —it
rirpuiu, pnm. zï;tw, /. ~r ;w,
asaor. 2 fira^ov, ficher ;
-
tiévu.
IUpcvcnaiç,
AE
ouvrir.
tcdî, xp'jTTTw, cacher.
er
aor.
er
du
?w.
;
—
pris
ad».,
plus, davantage.
de woXû;,
très-nombreux ou très-grand,
le plus nombreux ou le plus
II>.sÏ7tc:, *ap.
irréf.
,
noA
grand
d
:
no.v
la
irXeîarei,
ma-
IIXeÛo, sync. et cotitr.p. lùsuvtt
(cx-co).
comp. de r.'.nombreux , plus
IIXctMv, cv, 9. oveç,
plus
grand.
nXs'cv,
p. irXetew.
ÏI/icr, a, cv, a<(/., plein, rempli.
DXeûaoLtut,
a-.:,
aor.
j.<.
y
IIaeo),/. tuât», aor.
1
cv
i
er
opt. de
e'-àeugx,
—
p. -i-y.ïj/.y.y naviguer ;
passer la barque de Cbaron)
tco&ùt&v
t7=-aîjx.o);
ayant
un
fait
UXe'»;, (iu.
plaie,
(*)),
blessure.
aor. 2
7:'/xGGtû f
i'-Xx-j-cv,
frapper.
multitude, fou-
ID.t.Oc;, se? (tc),
le.
R.
n>.rv,
wXxv
bormis
excepté,
moins que,
à
si u.x,
que
cependant,
ce n'est
;
:
si
icXw iXXâ, mais
cependant, au
reste.
IlXypcw— â>,/. wcu, aor. 1
posa, p. um., emplir,
i~'/:r,-
rem-
plir. R.T7>./,;r,;, plein.
de
nXr.aîcv, n.
itX»<rtoç;
proche
près,
:
oîcv, les parents, les
R.
voisins.
nXc'o;-cO;
,
oa
gation, trajet
durant
la
:
(ô),
bien à quelqu'un
qu'un
—
c-.
xcXvi-
amis, les
naviga-
Traça tcv~àcOv,
traversée. R. ttXeo>,
;
Moy.
et j'ai bien
aor. 1 er part.
llc.yax;, xsa, av, aor. l or par/.
acf.
y,,
cv,
;
aor. 1 er imper, acl.
Ilcîrccv,
y,:,
ll.-.r-r.;,
cj (ô),
—
— auqui exécute —
faiseur;
celui
;
poëte. R. -c.e'w.
IIc./.'./.c;, y,,
vers
cv, otfj.,
di-
varié,
;
— de diverses couleurs,
bigarré.
quel
a, cv, ac/j., qui? quel? Ie?
Ilotâv, contr. de iroteuv, par/, de
IloXei^ contr. de
Xeotç, n.
-r.-i'/.n^
ou ace.
pi.
IIoXsuucç, cv, adj.,
LlXcûotoç, a, cv, adj., riche.
riche, de
^BIXoÙTOç, ou (ô), richesse, d'où
Pluton.
ou
de
IIc>.'.;,
IIcXXx,
sw;
».
ennemi
(r,), ville,
iraXûc;
—
c/e
la
Etat.
prti
:
?à
ach-..
mXXs,
plupart du
souvent,
atf».,
quemmeut. R.-cXXx,
/e
?x
:
guerre.
cj (ci,
plus souvent,
ncXXax.-.:,
ira-
iraXiç.
iraXÉfua, l'art militaire,
ricXEu.c:,
temps.
du m.
;
y,,aor. 1 er sw/<j. acf.
Dctiioe»,
m.
Ilc'&a, ace. s. cteiçoûç.
bien,
l'ait.
d'oà
IIXoùç, y. le
(c),
qurl-
à
irauopai^ovfMU , /.
«or. I er faouieâfurv,
ri&ir,aâj*evoç,
le
nXcuTcov, tove;
du
m*
z.x/.ôj;
,
lîacu.xi,
au pr.
t',7m, être
xa—
:
tu irotâv, faisant
;
avec raison,
beaucoup, souvent
naviguer.
nXcjT3td-â),/.
agir
du mal
faire
iraieêv,
IIXcOv, ace.
IIo£s, duel
l'aire,
e2 -\rj. icoutv, faire
iretéa».
pli*
t.ù.%;, près.
o'ou-cû
.
mmwnxa,
IIcïgç,
er
arfu.,
p.
leur;
plein.
~>.e'c;,
adv.,
.'
en quelque endroit
quelque part.
IIc.-'owj,/. no»,aor.fM forantes,
0t. 5.,
irXcûv
aussi long trajet.
p. irXe'cç.
nXy.pi, tk
R.
:
comment
?
Dot, MtV,,
fc»<
</e îtXe'wv,
?i.
ni.
adv., d'où
IIc'Osv,
Xûç,
du
IIc-îc;, g. s.
jeure partie.
oj
/.•.;
fiv-
ind
nombre.
ricXXy',, iroXXCt,
».
IÏGXX«i,a.dinn.;
ttcXj;.
—
pris adv.. aie*
vu verbe de prix, bien cher
—
nop
60
nPA
du m. ; -—pris adc,
beaucoup
tzc'/jm
kXemw;,
beaucoup plus nombreux.
du m.;
ÎIc/.j, n.
pris nrfy.,
beaucoup ; où iroXù dwro&ovrà,
ne s'en fallant pas de beaucoup ; irofià t::àj, beaucoup.
IIoj>.).â),
cher. R.
d.
:
—
Iî:/.'jO£ weuç,
boç-c*;,
r.
ï:
c
,
Pollux.
Doàd&uuc?,
eu (70), petit Pollux,
cher Pollux, dinàn. d'aminé.
de trous.
IIc>.'j5j;;:,cv,af(/., plein
R. 6j;a, porte,
ITca'jv, ace.
s.
de
n&pOpucv, cj (ro), péage.
Efopcç, cj (6), passage, chemin
;
trajet ;
moyen. R. tteî-
—
—
pw, p.
wÉwcpa, percer.
Iloppodcv, adr., de loin. R. arejpp<o, en avant.
IIcsousî;, (£0; (r,), robe ou manteau de pourpre. R. irop<p6pa,
pourpre.
nom,
xaoj/.
adc, quand ?
IIots, adv., un jour, une
I. Il ors,
TTc.'/.ù:.
très-comtrès-embrouillé;
très-artificieux. R. srXsxà-, p.
II.
moy.
QoTEpoç, a,
t.ïtù.'.v.'j.,
plier, et
iroXu,
o.
—
—
•
:
part, le
grand nombre.
cv, «d/.,
EIc>.j!77.px.cr,
impôt, dépense.
ou
adj.,
cv,
qui dure
longtemps. R.
Xpovcç, temps.
vit
ttoajç,
—
se fatiguer. R. irovos, travail.
(t.),
misère
;
—
mé-
chanceté, scélératesse. R. tt:vnpsç (-o'vc;), misérable, méchant.
conir.
ÏIcvcûvtêç,
r?.
p/.
de
icevsetv,
de ttovscvte;,
pr.
pa?7. de
deux
IIct:v,
IIcpOusIcv, ou (to), bateau,
bar-
que de Charon, de
éttç (é),
0», ad;'.,
des
breu-
(to), boisson,
vage. R.
I.
lequel
?
où
reivtt
(tom>), boire.
où? en quel endroit? jtoô TTOTé a;x È7T1
OÙ
est-il donc?
llcù, ode>.,
adv., quelque part
II. II06,
en quelque façon
batelier,
no-
;
—
— appa-
;
remment.
Ilcù;, g. iro&o'ç (d), pied
5ïç, par le pied
;
vant
to
pieds
les
du
affaires
;
— action,
rcD -:-
:
moi, de-
ï->
h
wooi, les
moment
ITçâ-'Lra, btoç (to]
'qu'on
soi).
,
chose, affaire
exploit.
R.
IIpoc^E'.e, éo/. p. jtpatçat,
5
aor. 1 er op/.
IIpâ£t;, ea>;
1
action
;
e
d'où
p.
—
s.
af-
de
faire,
npâa<rw,
er
(t,),
;
-pa<7<j&>,
p. pas?. iréicpx*jpiai, faire,
atr. bÉttw,
açw, aor.
_/".
ETTpaça, p. T.i~z%yv., agir,
faire
TTCVEû».
D&pOfACtfç,
tantôt... tantôt.
trouve devant
DûvÉca-w, /. y,o», aor. 1 er £-:'—
v7iax9 p. -r.\-ii:y.t., travailler;
ÏTcvr.pta, a;
;
fois,
répété?
:
très-char-
nu, quia de l'embonpoint.
R. iroXûç, îx:;, chair.
ïlcXureXxç, éç, fldj., somptueux,
magnifique. R. iroXûç, tikoç,
ITca'j/p'.'v.;:,
— enfin —
autrefois;
ttoa/.oj,
beaucoup, nombreux,
fréquent ;
grand
considérable cl tcgXXu, la plu-
r;, où,
fleuve, rivière.
(s),
c=j
R. icïwç, action de boire.
pliqué,
rrc/./.r.,
de «oûç.
d. p/.
IIcTaas;,
et ttcàû;.
IlcXûifcXcxcç, cv, adj.,
UO.ù;,
chemin, d'où
Tre'pcç,
:
y.ijZ>% repârreiv, faire
bonnes
affaires, être
ri îT£7rpa-yttÊ\f«Tiv{j
de quelqu'un.
de
heureux
;
les actions
"PO
npo
Mo)j.,-zx<jGcu.x:,f.
aor.
1
er
-a, m.
tlparru,
â;:;j.a-,
(irpaÇapwv, p. ttî-zxs.
devant
pnîf.
ll-'-fj, convenir, être
convena-
</«
tt;
tl
}
nptsuEvcç, *, ev, pr. pari.
lî:i-i, «(/r., avant,
auparavant;
0« avanl de o» que
icptvîi,
:
avant que.
np'wv, cvc5 (o), scie.
n&o, pr^p. r/w ;t'^/7 /e gai., devaut, en avantavanl:
ïrpooeD, avant lui :• upo èucû,
—
;
nies prédécesseurs.
IIpcatpEco, tirer dehors.
irpo,
xlottù.
7:poxip£c<iat-cû(x.«,
i)(rcu.ai,
cor.
2
ïcaottXo'u.r( v.
aimer mieux
préférer,
—
;
choisir.
s'en aller le premier-
—
s'en aller de. R.irpd,airet{u,
r.
E'.y.'.
II.
IlpogureXôciut,
«, nor. 2 o/v.
:•..;,
IIçcy.-Esycua'., s'en aller le pre-
—
mourir avant
-y.'j.-ù/)'.:
avanl
•/:'7.y.'.,
i'.
xùtoû,
lui.
irpo,
,
_
npcetXour,v, eu, bto,
i
K. -;:,;•;/•.
2 de irposwe».
II:- :y.,>"avancer.
«oj-.
npczXouEvcç,
2 de
nor.
cv,
r.,
II.
lïp ts'iro, dire
d'avance. R.
-:-.',
e"-(o.
IIpccTipav, a:,
e,
m?/>.
de
-z-.-.-
II;:r/_c>,
R.
s'il
ïtso,
;
/>/.
'.te,
:
e-!
s'en al-
à-;';—
LTuerftv,
imper, de icpcoCTEtut.
IIso3MC&dixvct{u,
c.;,
c,
dominer. II.-;.,
:/<>.
er
nor.
e
Dpce^wpTîaav, 5 p. pf.
I
de T;:yo> OEtt.
Ilpcûex, od»., gratuitement. R.
don.
n:ciw,r,:,
r,,
t-;y.vi...aor. 2$itbj.
«e -p'.E .;.-., d'où
npcïwv, cOca, o'v, «o»
npcxaTaXau.6avA>, se
vanec de, «ce. R.
XauCxvw, d'o»
1
fpyou.at.
IIsG2lR0t, Îtw
rJpcxaréXaêoi», e;,
«o?*.
2
opl. de
IIpcxExpîodsu,
p.
e,
-
.
2 pmv.
d"a-
saisir
jrpd. /.y-d.
oo~. £.
i/?/.
pntt.
«t*
T.y.v.y.itù.
mourir le premier, précéder au tombeau.
npcâoTEtc», eu (rd), faubourg. R.
Ijpoa'jroôvr.orx*»,
— :;', à^T'j, ville.
npoëoÂXw, jeter devant, présen-;o',
PâXXw.
c5aor. 2 ïrpGs€à).ou.uv, por-
J/oî/., rrpooa'/./.caa'., /.
p.a-.,
-
;».
cv, «dj., manili
éfidenL R.
Rpeiç,
</e
R.
aïeul, ancêtre.
,:v.7.-.,
iriw.
ri::a-E-.p.'.,
ter.
|
rzoocuoitù.
Moij.,
îait
K
npcJooia, a; (11), trahison. R.
*pc&i$uû', tr.iliir.
npcsogût, a; ft
droit dV.-uperla première place, préséaoce. R. ïtpo, iftpa, si«-
Dpccûrcv,
R.
j
naître.
n^6S%kcç f n,
mier;
:Vj
(
acheter,
i-::j.u.?,-i
'°ù
f.
r>
(i),
-
,
^
imp.
Uz'.xu.y.:,
;
pr.
nprjovoç, tu
R.
^
présenter
soi,
opposer.
Uy.^ïZ/.r.u.i/r^
^
r. rcpaaa*»,
Die.
1er
61
premier aux dangers, s'eiposer
en combattant à la tète de. R.
IlpotivSuveûtt, s'exposer le
irpa, xiwiycûc».
IIpcxpivo),
préférer.
R.
npo,
/.:!•/«.
npcu.*vTEÛ6fMU, apprendre d*ar>
vance par les oracles
;—
:
,
62
npo
iipo
R.
dire.
ropo',
jiavTsÔGuat, cob-
sulter l'oracle.
II;c;'.;j.r,v,
scro
3poç,fHr^0. àôcas:gén., pur, au
nom de;
aai., à, vers auprès, en outre, outre ;
ace.,
vers, auprès, pour, par
à,
rapport à, contre
Çwr.v y.?.-
—
—
:
:
R. wpo;;
recevoir.
Moy., wpoîwfiau, /.
aoftat, »i, erat, m. 5.
promettant une vie heureuse;
T-i irpoç Toûra or,:
que dis-tu
jrpo'çetpu.
;
—
npoçâff»; amener, apporter ;
approcher, présenter. R. ttoo':.
a*yw, d'où
goût. R.
ÏIpGçaxfôjvcu, «or.
1
pas?.
i?j/.
regarder. R.
ïqpo'ç,
tion.
y;
R.
choc, irrup-
(r,),
7T3c';
p.
fij.'/JA»,
?
moy.
fSéëcXa, jeter.
Iî^o^c/.âco-â), /. y'gm, «or.
R.
OGxéo, penser.
~so',-,
Iîi:-,5'sau.wv
cùbcf,
,
er
attendre, espé-
îïpoçe^o'xïiffa,
rer.
1
c.'v,
aor. 2
par/, de tcocçtos^m.
ri;o;îo>.îya
aç,
,
z
y
aor.
1
de
R.
wpo';,
EILU II.
— adorer. R.
IIpGçXâ&ô,
aor.
aor. 2
Sfdyj. de
n;c;Xau.Savw, recevoir en outre.
R.
y,:,
r.,
~:^';, >.xu.Savt>.
regarder,
ïlpoç&pauo,
wpo'ç,
voir.
R.
opio.
Jïy.zv^cu.x:, y, EToe, /. de irprç-
qui sert au pr.
npGçirciEcuai-GÛu.at,
/*.
y-rcy.z'.
Tein-
7rpGÇ£XG».'!fi6Vxu.r;v,
dre, simuler, contrefaire. R.
en outre,
ew;
IIpG^icGcïjo-tç,
IIooaraTr.r, gu
lïDGçéTstt.
r.,
wpôç, /.o-
rcotst»,
faire,
d'où
ITpGÇctirwv, cjg-x, ov, aor. 2 pari.
ïlpogevg-jxti), r,:,
aor, 1 er
yoro,
vém, adorer.
TTso'ç,
nsGÇî-.-sTv , «or. in/.
de
dé-
le
irpGÇEXôvriGo, p. irpopcejcuvTjxct,
se j>rosterner devant, t/a/. on
«or. 1 er
Hoo^y.-., s'avancer vers.
on
la satiété
icpôç, xo'poç, rassasie-
zt.-'sj.'j.'.,
er
de
pa»-f.
ment.
ace;
ITis:.^o>.r',
wpdîf,-
qui rassasie,
ilpcçxopviçj s;, aaj.,
qui cause
2
«o?-.
c'y,
ÏIpGçxuvstt-êb, /.
er
en-
iV.u.t,
voyer.
Ilpcçiav, cûsa,
à cela?
w.oij.,
Uy.: .r,u.'., f. icpcpiau, admettre,
xaoivt ~zz: iatiTcùc Tt8evT£ç, se
riç::o>.='-(o,
imp.
de
etc,
,
llsorisva'., pr. j»/.
2
std>j.
tecteur.
R.
c
(y,),
,
feinte.
défenseur, pro-
ippo,
tomtM, srao,,
placer.
np&çs'iwa, parler à, dire.R.
irpo'ç,
E77GJ.
npGçnôet, pr. impér. de
npoçen, orfy., en outre, encore,
qui plus est. R. irpo'?, fn, r». 5.
e
IIpOÇïïYETffi, 5 p. s. vnp. pass. de
inii»,
IIpGçu6y,u,'.,
ajouter.
R.
npoçi05«i),
-/,';«,
concerner
R.
p/. pr.
d.
/.
;
—
srpo'ç, v./-co
iTpc^aasTli,
i*.
?
par/, de
convenir
appartenir
aller.
7rpo;îr,u.t, f/'où
à,
à.
wp«'ç, tî-
6r,y.'..
IIpGçcpepo, approcher,
IIpGçnxGUoi,
tt;c;t'.-
de 7rpGÇTt6np«.
npGçriôet;, aïaa, e'v, parf. de
6eo>,
R. ^por,
îlp'JçwTTcv,
porter à.
os'ooj.
cj
;'tc),
visage, face,
figure. R. -s:;, cty, œil.
—
auparavant;
premièrement, d'abord, de
npo'repGv,
arf».,
c
iipo
nos
w,adj n
n:;7s:::, a,
— premier,
antérieur;
ou
IïpôJTcv,
premier. R.
tsï, comme \mor de prœ.
apOTtpÂodat t p. xtadai, jn/". p. aV
estimer plus que,
QpoTifxâu
préférer à. K. wpo, tumu».
r
nsoT'.y./.Oc'r.v, r,:, r,, aor. l' ûpt.
pass. du pr.
63
adr. } pre-
-;-~J>-v),
mièrement, d'abord,
le
Dpcttoc,*,
cv, a(/;'.,
le
c/c
premier.
KpO, COm}>. BpOTtpœ, v/p.
11.
,
ri7c2;v, eu (to), aile.
IItv/Îojso;, mi
se précipiter le
Y\y/j-ii'.z'j.xo>.
premier sur. K. wpo,
IItt//.;,
È-î, i:,
Tbrfi,
Ma,
av,
part.
aor A' act.de -y-j-.i\'.-r ij.y.{ù.
Prusias,
(6),
vjny., cv,
tlodjyjtût,
part, de
nûfaç,
p. irpoe^uv,
l' tt:c_/". avâ), aor.
aor. 2 itposqMtvGv, montrer en avant, montrer d'avance. R. t.oo, çam», faire
voir, a" où
tfe
TIstçav/i;, 3;, a Jj., évident, clair;
77çc = //o;r,Ga,
s'avancer;
xcw, aor.
f.
—
réussir. .^
l
Il<V;.x,
—
ktoî
r
1
n
jeunesse.
j>a^tov, n.
a,
P(fâu,ç t
Paàïco;
,
peine.
baguette.
de
att>.,
Pyri-
(4),
'
[to'),
boisson.
11.
-'-
—
aoV., quelquefois;
quelque part;— jamais, sans
nég. R. w», quelque part,
un jour.
K0T8,
Ilœsc;, eu (c), Porus,
Ilœ;, adv.,
ment
//.
comment? de
manière? ~û; tcjto
cr/;
quelle
:
com-
dis-tu cela?
PAK
PxV.m, f.
ex,
d'où
bellement, sans
ev, ailj., facile,
mes
,
PAA
(x),
interro-
boire.
vco, 77-Jo),
nw-cr=
guère, dernièrement.
ô), qui est de la
première jeunesse, adolescent. K. t^côtc;, premier,
P⣣c-, eu
-i-j^j.-j.:,
ov, wvc; (ô), barbe.
,r
«,,
li
Iliwr.v, ac/t\, avant-hier;
t'a
phlégéthon.
p. icoxe^eSptlxa,
^(ops'w, aller.
a"un
demander, questionner.
nop'.<pXe-feô»v,
qui prédit l'a-
venir, de vin. R.içpo, vru'.dire.
r.Sr,,
f.pass.
ger,
franc.
ITfwOT.or,:,
[4),fond
garder la porte,
être portier. R. sûX*, porte,
wpa, soin.
nuvOavcp.at, poét. mééopuu, /.
KEÛOOfMU, aor. 2 :'TTjO;;.r,v, p.
i«pnv«,
,
Pythagore.
Pythien.
(0),
etc.
IIfl04pflÛvtt T
np&y^wpeoj-cb
mendiant.
mendier.
rij'AcopEto,/". tItw,
r
—
PtoléUN
af/j.,
eu, aoj'.,
Il-jfîaxv, î'v:;
/i.
irpce^t».
Ilpotpirnjç, eu (ô),
Pîœdorc.
,
(v, fesse.
r,:
Ilwfaytfpaç, co
T
Tlsvjsiaî, eu
c'v,
ri,
TCTf-^To),
11.
ôpp.xw.
np:j-3£'.:;Ar,'Ty.:,
î
IlTOtefUCMC, OU [é) f
pat<76>,
aor. ier èp:
renouveler
la
santé.
R.
qui se porte mieux, d'où
Peua», y.;, ç, aor. 1 er 510*7.
pxï'.v,
frâxtcv, ou
(roi, vieil
habit
dé-
64
PAO
haillon
cfairé,
m.
poécoç,
—
;
pièce.
R.
vi-^f.
s.
—-prisadi?.,
?i.
de potttv;
plus facilement.
Pà:v.
l'x^JEcj./.
aor. l
tr
Vho,f.
ché des poésies d'Homère que
chantaient les rhapsodes;
composition de vers héroïques ;
rhapsodie, r>/re rfe
toute l'Iliade ou de chaque
c/ww< séparé. R. parcra», coudre, ù&ô, chant.
—
1" âfioeoe*,
couler:— s'écouler;
dire.
R. béa.
Pwrr»,/. pty«, aor. 1" Ipp«}*e,
aor. 2 âppicpov,
i ppwxx, jeter
en bas, "par terre!
Pûwup, û«, rm». i o«, /. Sû Gt0>
;;>.
(
aor.
1
er
fppaaa,
Pau.,
Èppâoôr.v, avoir
facile.
pourri, vieux.
Sardana-
vigueur,
p. Ippomat,
porte bien; pi.-q.-p.
se'
porter bien
je
me
[é),
2:a-aw-5
der le
sarisse,
longue
pique.
2â:;,
[tq),
2«Tpocwr<ç, eu (:
27."jt;'v, g7.'jt:j,
,
chair.
satrape.
v. ffEouTcu.
2é, ace. cte fû.
vénérable; —
—
majestueux;
orgueilleux.
Seuvoç, w,
2;-/.s/.ïx,
ov, «(//.,
a;
(r.),
ov, «c/j.,
é'co;,
y.
camus.
eCi
(d),
°'x.»
.
.
;,
"
ou (tô), petite
Sxacpcç, s:; (rô), barque.
barque,
R.
cr/.x-
-tco, p. êgxckpo, creuser.
2/.:"/.:-:,
de
ecç-ojç
Sxsiro, /.
cacher.
(roi,
jambe.
e^co, couvrir, voiler,
rite.
2cî, c/a/.
de Si-
Zuo-rcôv, cen/r. deeitaTzds.lv, in/.
û'e
R.
Sxûôr.ç, eu (d),
ov,
Stvurau;,
nope.
gar-
taire.
Sicyone, t\
adj.,de Sicyone.
'V.),
r',
er
Sxarécav, ovos (é), Scipion.
Sxs'tgç, ou (d), ténèbres, obscu-
Sixuwvtcç,
2. y.:'.;,
1
la Sicile.
Sush&y, ô)v:ç
7.,
silence, se
Iv.ù.iv.-t,, p/.
7;?, ûi,pron. rcfl., de
toi-même. R. ou, aùr::.
Seaurtû,
r,ciù,aor.
/.
,
,<ruMrri, silence.
i
g». (77.:/.:;
la
:
ioiuftr.act, p. cccr.û-ry.x,
palc.
Y,',
er
SOT
:v, ad/\,
r,:
de
1
èppttjasv.
j7.va-7.Ac:, eu
2âpi<T0X,
aor.
peâvrouxu,
SKI
t.,
p. Êppaxa,
fortifier.
Ps<av, pâov, 0. 0V05, cornu, inég.
2xp
dégoutterde.
ftoss.,pÉfifuu,
pTrrwp, :::; (é), orateur, rbélear.
—
Safipoç,
pencher, se por-
peudtt, nor.
— a^
içpot-
héroïques, chantcren vers héroïques, d'où
Pa-fM^îa, a; (v, morceau delà-
de padioç, plus
=Ç w ,
p.
p. wea, faire des vers
v-77..
-
f
ter vers.
P-.--7.,adc.sup., très-facilement.
r.^co,
>-
p
2o'/.uv,
2oç, cm,
g.
(d),
orov,
ic lien,
S:-j.
ois
c/e
«vos
la
Scythe.
Solon.
n<7j.,
tienne.
de zit on
(le
ton, ta;
R.
orj.
ou.
—
.
ITM
2TP
'v, sagesse. R. «rçoç,
X< p(a, a;
R. a?:?.?;;, armée,
conduire, d'où
—
R.
ruse.
expédient;
(to),
ftôcpit»,
v-.,-.,...^. Ti
imaginer,
[ô),
"»**•
;,r,cv,
denl:
vain discoureur,
-
ao<D«, les philosophes.
''
/
.rr -
diligence.
se hâter, taire
(77.,
dissension, t/f
1
- pru-
sage;
arfy.,
c»
*
larr/j.-.,
•
..
—
•
,
su p-
porter.
soupir
gémissement,
où (6),
de
.
un
a
^
|
-
2riw>'
«v»,
m.
ZTfipeu,/. É9«»,
s.
M. R.
y!<î(o,».
po«.
r.xx, p.
er
Ècrépexa,
Èar£:r,v-7.'.,
a*r.
id. ÈcTEsy.^r.v, priver, frus-
aucpây aTcpouuevot, prirésde biens de peu de valeur.
trer
M
„ en0ral
R<
Itoxtôç, où (ô). armée.
«
;
2tu ^«
j
:
,
V- W«
fel
x-
J
-J, nro/J, lu, toi.
^y,^.;, K.
même
do
arf/.
.
nab
e. R. (ovr) cjv, -nvetaxu,
»'
i
ass
?' P
«P*»^»» aflW » *Tau«
pardonner.
:
(to), poitrine,
i;r;:v//, ou
descendre enZu^pearxbaivM
semble, avec. R. c; [«6v).
xraoxtw, V. [Jxwu.
2nyta.zx.nlsm, f. eia», enfermer
ensemble, avec. R. cjv (afr),
étroit.
/
g
rt
,
ZTtwtÇ»,'/. *Ç«, «or. 1" in**x£x, gémir, soupirer. R. cri-
poi-
***!«»•
**ï*j
acx, av,
Zu^xxTxaTïâoxç,
1
er
part.
aor.
c?e
en bas, an
2o*pcaTa<n5aU», tirer
fond ensemble, avec.
(w*)» wwaowflM».
R
.
«*]
l'jy.%7ÎGy.:rst,imp. cfo ou-pcft?»
trail.
couronne. R.
Zts'çxvo;, 6u (©),
irrevtt,
ceindre.
moy.
équiper.
(to), petite
bouche,
ouverture, entrée.
St^xtt.^sw, /.
-
armée,
aV ec. R.
a-j*;
77,
les
«m,
«or.
1
er
commander une
armées, être gêné-
<T.
>jv),
xars-.u:, i\
tlw.ll, cToù
So^xaTreaav,
Stoux, arc; (ts), h-uche, gueule; -ouverture, (Tom
Zrsjfaev, «i
batvc».
Zuror-suti, descendre ensemble
R. ns/Xw,
îo-ù.z, envoyer,
SrâXeî, ou (•), Hotte.
-
1(
*
ZnwrvuoV.
vo';
„
vr
timen
ttxw.
». ecte/x, contenir;
p.
,
(
-,
néral.
â
Zoçumfe,
1
a ,jj
V/>
convient
Viéral, qui
d'où
v
b
rai.
sage.
loV.ffoa, ar:,-
B5
/).
s
t
ô'p.pL
lîetaxv,
^
"
IttWuxftSâv«, prendre ensemble,
aye ^
R
roXj
^
.
c ry>
>>XJJL
_
Ç£m
x.JU
-\{yMt
semble.
1SM<
f
m
TÎ.
nouer.
=; (t)>
joindre en-
dota
p. or». kX«-
S$0
2YX
CG
Moij., ouiurXÉxoiMU,
/".
éÇo-
Zuvstgç,
R.
moy.
cua77î-).cx.x, p.
,
R.
tin.
cju. (suk
•
—
—
;
—
pris impers.
est
il
utile,
o-j'j.-
r
i-
r,ysci--:jHr:i
en
,
aux
venir
mains.
Suvôvtjgxm
<rju.
il
avec... R. ouv,
au*
pa-
à q... conjointement
JcjcêT.
commerce
;
—
avec. R. cûv,
,
ctjv, 6vr!<r/.to.
aor. 2 par/, de
o'v,
oûvEaitt.
2j;o'.^ot-op'or,
o-j
compagnon
(ô),
éfowto'p&s
route, -o'oo:, passage
,
voyageur.
ctjve-
lôvetut, être ensemble, avec
avoir
mourir ensemble
comprendre, concevoir,
sentir. R. ouv, I7,at.
Sjv'r.v, y,:, r.... Ecrav, m?p. dupr.
(5&>'ç,
S'y/.t:,aor. 1 er g-j-ji^zI-,
bon
2 subj. de
de voyage. R. cuv,
impers.), imp.
v.
P. ovucpÊpa).
aor.
2-jvîr.y.:,
26v, prép., avec, dai.
1-j-i'v.v.v.
cûv, eyw.
/,,
s.
,
avec. R.
QMAGaGCpSU.
(G'J'*/,
— presser;
5
R.
r>;,
<rm-
de
?>?2p.
contenir
Suvtciv, 0O0-7.,
pher ensemble, avec. R.
intelli-
compren-
a'jv(r,a'..
philoso-
2m<piXo<roflp£G>, y. r'^co,
raît
s,
retenir.
2-jvf:, 2 e p.
avantageux,
importe. R. trau. (oûv), ipsp*».
Pass., avu.oiociu.zt, aor. 1 er
il
—
Irrcri/frctj
SuppÉpo, porter ensemble. avec
se mesurer avec ;
être
psi,
2u*££«,
Trou,
rrî/co,
,
boire.
utile
e:,
ÇESû).
banquet, fes-
ou [rô)
9
bon
dre.
S'JVê'çepcv,
aa pr.
Stmiromcv,
—
sens
prudent ;
gent. R. awiTtUA,
venir aux
y.7.1, se mêler, en
mains, êlre aux prises.
SofMrXczfl, r; (t.), mêlée, combat.
ad/., plein de
o'v,
iî,
SuvTs'ôcix*,
y.r,
p.
s,
;
du
Suvrïtetç, Ettra, ev, pr. part,
2ùvriÔT}u.t
disposer,
,
composer. R. ouv,
.
Suvcâr, o'jgx,
o'v,
arranger,
riônut.
pr. par/, de au»-
E'.a:.
1.
I
Suvstpca,
Epw, débiter. R. buv.
/*.
aor. 2
Euvsiç, ="77., Év,
2uv£Xàu.ëavov,
e:, s,
a*e Tj/'r.v.i.
m?p.
oY' c-j>-
>.7.y.Çy.vw.
,
o'v,
aor. 2 pnrf.
où
,
0-7..
o'v,
ensemble, avec. R.
tomber
<rjv,
= y.
p.
r».
E/.
venir au même endroit, se rassembler, se réu-
iy.iy/;.yj.:,
nir.
I.
3
e
p.
s.
pl.-q.-p.
ouvOvuiorxcd.
ȣ(rrpfltT6Ucv,
orpateûfi).
aor.
e-, e,
m?p.
f/e trj-
1
er
auv-
en-
faire
c'jy.a,
semble une expédition, faire
la guerre ensemble, avec. R.
p. <7J7, C7S7.7EÔtO.
ijo-707.7'.wr/;:, ou (ô),
7/,:,
compagnon
<j70 7.7. .'Ô,
soldat.
2ç>âXX«, /. aXSj , supplanter ,
renverser, abattre.
Pas?.
ffcpâXÀcjxa». , ao;
2
-
,
i<7<pàX7jv,
.
p. è\jcpaXu.7.i, tic pas
réussir dans
<rûv, ëoyou.a.1.
ETrV/ry.E'.,
de
2tj
R.
ejo-co,
d'armes. R. mi (oûv),
de auvécyouxu.
2'jvew.îreawv
r
G'J
CÔ73C,
FéXBtt'J,
,
EarpaTsuast, p.
olo, dire.
>
2 j<r:s5.7E-j«,/.
;
—
se
2»eî?, a. arçrâw, p/. de
Sçîat, da/.
da pr.
SfC^&OTïjÇ)
r,?;:
tromper.
de soi.
o-j,
r;, impétuosité.
R. (wc&po;, impétueux.
—
rxo
a;
ïyifr.y.,
radeau, de
Z/.s&ov, oc/c., près;
à
barque,
petite
(r,),
peu près.
p.
— presque,
R.
I/o,
aor. 2
oy/tv,
ttfytà, d'oii
ittf.
posture, altitude
-y. c '- r'>
aor.
server
;
er
ira
sauver.
1
—
lo/.zx-rr.;,
;
—
Sêpa,
i>-
K.
"^ ($)) loisir,
Sun
to;-CU( (;',
xtoç(to), corps,
£«(jaTGÇÛXaç,
li-
— habillement, parure.
gure;
t:;./.*-.,
sain et sauf.
i/ru.x, arc^'ro), manière d'être;
—
ccô™, «or. 1 er fowoa,
«touxo,/. I er />.isv. mlr,-
I'/.'m, /.
voir, tenir à
2/„îîv,
c
xmi
du corps.
7./.-.:
</'
(6)
g.,
,
It.
.
•!-
der.
repos.
T
TEA
TAÏ
TàfaOsv, p. to à'yaOoy.
Taùrdv,
:,p. rà-ys.
Ti-yaOcj , ;;. toû àyoSoS.
Tâepoç, ou
Tamx,
a;
R.
bandelette
(r,),
:
toi-
via Aeuxri, bandelette blanche,
turban. R. tsivm,
espèce de
tendre.
zx àÀXa,
/>.
-x
Tàu.ct, p.
les autres,
du
tx/j.x, et au reste.
y.j\
:
mes
i[j.x,
biens.
Txïtsi V.';
(,
,
(o),
,
o'v,
Tantale.
ad;., bas;
-
.
en désordre.
Taùô', p. rrjra, (/a\ uuevojj.
tf
-
77.077.,
c/t'i'.
î/rtt
wo/i aspirée.
d.
flrfi'.,
fcm. de
par là;
cùtoç;
— de
—
cette
ro?/.
eo;-gv>: (to'), toit.
gu|>oi,
7.7777.'.,
/>.
;
g/.«.
TîOvîw:, p. TiOvr./.cô:, du ni.
Tâtoixa, xç, s, p. nef. t/n m.,
TiOvr./.cô:. uîx, dç, p.
a/r.
f/«
ail.
par'.
m.
Tv.//.;, îc; (7-J),
pris
ma-
mur.
Texjxaïpc(*at , fior. 1
|miv,
er
ir:
conjecturer. R.
7.
signe.
nière.
Taurî,
que.
TitoiÇiatci,/. inf. pass., forme
pirée.
Ty.ùV, p.
Tavnp,
Ts, et, covj. qui répond au latin
TeOvàvat, p. xvn.\, inf. de
Tsdvaa, sync. p. tsÔvt.xx, v.
hxzy.iv.,}). 7S7x':://x, trou-
b!er, mettre
tiès-promptcmeiil.
de ftxirro.
,
1
Tsrxcpa, enseve-
lir.
TeOauuot,
humble, petit.
Taoâaaa f//f. oÎtt», /. a£w, go?
er
/).
Taxée;, ad»., vile, pron.
ment. R. ~x;y;, prompt.
Ta^iara, pi. n. de vix}<mç t sup.
/)m <;</r., ti èsde zx/y;;
Try&ç,
Tâvxïç, eo; (s), Tanals.
TâvraXoç, tu
tombeau, tombe.
(sj,
tairra»,
vile,
TàXnJtii, p. ToràXridîî.
reste
p. raùro.
—
TotXavrov, eu (to), talent.
TaXXa,
fîff.
p. 77.077..
TaÙTo'.p. tô swto (icpâ-yua), la
même chose /.7.7a 77.J70, en
:
même temps, ensemble.
,
T£>.= J77.Î:-:,
la
(in,
pris
TsXoç,
a,
le
w, adj., qui esta
dernier;
—
ade, entin, de
esç
(to),
lin:
—
perfec-
,
TOI
TI0
t>S
— mort
lion;
t='/.c;
:
-;:: rc
Beixx, poser,
7;';.;:,
—
£s ou t&sç, enfin.
a,
Tîpâcrri:;,
cv, a</j.
prodi-
,
gieux, merveilleux. R.
Pass.,
te':?.:,
prodige, fable, d'où
(r,), imposture.
Tsprrvcç, t., cv, ad;. , agréable,
T:;7.7Eta, a;
—
TspiTtt,/. T3;yw,«or. l
£T3 :ya.
(
charmer.
réjouir,
.I/o;/.,
TepiroAii, x;
-/',],
TCvov.
Tirasse;, a, g. wv, d. Tsasxpart,
arf/'. num., quatre.
•.',,
p.
z-j,
par t. pass.
u,
'./.p.
,
Ttaaco-û, /.
yrr., art,
1
er
i?//.
a.
pass. de
si
I.
er
irt-
—
—
Moy., Ttuup£0{MU - wuai
m. s.
T'.vâ,
a-j7r.,
gûto, adj., tel,
si
rwa,
1. T(;, j».
Ttç, I ef II.
P.
e//.,
7'
9. rtvoç,
??.,
pro?j. btdéf.f quelque, queiqu'un ;
certain , un ;
—
—
on.
(r), toge, robe Ion-
âgé. R. tx-
aussi grand, turcs,
Ttç, m. et f. ri, n. 0. tv/c;,
prôn.înterr., qui? quoi? quel?
II.
lequel
? etc.
TiTpewx», prim. rpcM», /. «icw,
p. -hzoy/.z
inierr.,
t:;, pron.
quelle chose? quoi ? ri 7a èv
\hi:n.\%\ comment vont les
T-, ».
1
tstÎ{mp6x,
—
artifice.
grand; —
>'./.::,
aor.
honorer,
p.
combler dhonneurs, de
prix;
Ttur,, r; (x), honneur;
honorer.
R.
tÎw,
peine.
TKAttpéto-ô, /. y.tcj, «or. I er èt:ptwaTjffa, p. rET.atiprjsa, punir,
châtier;
tourmenter. R.
R. ts-
gue des Romains.
Tr.XixsÔToç,
t.cco,
/. ^ffcaai.
eu (0), fourbe.
Tr.oswcç, ou
s.
enfanter.
7t/.7w.
Tzyv.rr,;
Èfts-
(ô), Tithon.
prim. 73'y.w, /. reÇto-GttiZi,
aor. 2 irzxvt, p. moij. rérwia,
par t. pass.
T37T7.:£;, a, a//, p. 7É7<ja2cr,
aor.
m.
drvsfiai,
z'.viu.z:
,
f.
ÈOwâar.v, «or. 2
nui?, ope», lever.
de TpuTKtc».
1v/h-7:iy.'.,
imiv,
:
Tl/.tw,
de Taoa<77w.
Tï7p-j:7T.y.sV-r,
1
p-vax,
rspxc{wu, se réjouir.
m. s. que -iz-
TsTapa-ypivôî,
er
aor.
placer, mettre
— exposer.
;
Ti0*>W;, eu
len.,prissubsi.,
charmant:
plaisir, agrément, de
cr
établir
de
,
«or.
I
er
p«*s.
izzû'ir:*, blesser,
Te'-;,
»?.
de z-i.
Tme,
m. rf«o#e.
Te-, ado. affirm., certes, donc:
Athènes? que faitcependant,
Athènes? —pris ade,
pourquoi? comment? en quoi? Tcutôs, pi. n. de -z\izoi.
T«oàV, da\ une roy., pour
II. Té, n. de ri?, pron. indéf.,
Tctoâra, de 7: .:Ù7:;.
quelque chose, un peu.
T».*aa, a; (t.), tiare, coiffure des Tsrzp, Toi^stpcôv, co»J., don,".
or donc, ainsi donc. R. 7c!,
Perses.
e
&ùv.
Tiôiaot, a//, p. ntelat, 3 p. p/.
-jffltp,
affaires à
on
—
à
,
Tz\-r/i\p-^.r^i,dat. f.de-z'.i^i.
Tsôei, p. ttde-n, pr. knpér;
de
prim. 6;«, /. frnau, aor.
Itoyea, aor. 2 Sh;v, p. té-
TiOeiÇ, eîaa, îv, pr. part,
l'.'rfj.:,
f"
:
T&évuv, cohj., donc, or donc.
.:!, vûv, à
R.
présent.
Tet9$fc, s&e, w*e, ad}., celui-ci,
—
.
TPA
TfO
ceci;— tel,
celle-ci.
R.
telle.
rctc£, Si.
Ts.ojT:;,ajTr,,oj7o,aJj'.,tel,telle:
retour* (s. -eut. y.v-%),
sous ce rapport, pour cela;
Ta^=
-r.
ou quelque chose
cela. R. rotoç, wtqc.
ti retcôro,
comme
.
i,purt. père, paient.
TonjÎmvi Q. pl"
'ïi/.'A,
w
(4),
de- y/.ij;.
r
moy.
l'argent. R. tuct«* 1 p.
TÎTC/.7., produire.
—
avoir
p. rtroXuvixx, oser
courage de.
;
—
TcXutnpôCi ». i>,adj., audacieux;
p.aoj,
— Terme.
R. toX-
d'où
aax, av, aor. I er part.
To«dt, ace. j. de 5£e.
Tc£âpt&, p/. n. de 7'4ap'.ov.
'I'.) u.r,-j7.;,
TcÇâptw, cu(t&), petit arc.
de
l'arc.
i/jry.;,
Tcagûrog,
aûrn,
kûctjv,
cas de
adj.,
r
.j70,
—
si
grand, si nombreux
tant.
R. toi;;, si prand. vj7o:.
To'73, arfy., alors
ceux
et ror*
;
:
,
d'alors, d'autrefois.
Tcû6',p.
TeùXaty^irrov, p. ro ï't.j./:n-v*,
aor. 2 ft*6/.
p'/
I
surc
— blr>-
a7c; (70), COUp;
l'y/.j'j.y.,
R.
plaie.
,
:
»
,
d'où
TpaUftOTtOC, OU (d), blessé.
Tpa/X/.oç, vj
'6
COU,
,
$01
aor. 2 irpoi:
p.737pcç/a, tourner, agiter;
lnciiner,pencher;-renverser.
£'yw,
/".
.]/"/. rpsireusu,
m.
tyeuat,
/".
de plu* se tonrnei
s. ;
Tpsve». inus. foÛM».
hziivi.%:
/".
opaucûuxt, aor. 2 topaucv,
p. £e£pau.r,xx, p. poet. Js'îpoei
y.7.,
courir, accourir.
Tp86),/.Eerw ( cror.1
M
àrpEax,p.T8-
7; e/.x, trembler, craindre, a ce.
Tptxxvrrx,a.AUf?i.,50.R. 7;£";
trois, xorrx marçtie dizaines.
Tpîêow, tro;(&), vieux manteau.
Tptëtmov, eu
Tpîoîoç,
eu
(tîI),
d'où
S.
carrefour.
(ij),
TOct;, trois,
vîtim
m.
ô&ç, chemin,
R.
tri
(très via;).
TptToç, r.,vt,adj.
%
troisième. R.
trois.
nom. pf. de 0;-;.
au Tpoirxtcv ou rp&«9Ù£v,trophée.R.
moins.
Ts •-//:,
mettre en fuite.
Tps'raç, cj fi), manière. R. rpirrw, changer.
Tpeçii.îj; r. ,nourrilure t aliment,
tpsir»,
Tcùvav7tsv,p. 70 ivavricv, n. (/'iv-
pris subst., le contraire;
adi\, au contraire.
To5t\ p. toôto, Jet', «ne roy.
non
-.r;,-?.,
.
Itlty. acf.
retire»,
rpaî;,
rwrodey. une voy. a$p.
avrîcç,
de
'2
haillon. R. rpi&», user,
Tir;:;, cj (à), lieu, place.
Tcooûtx,
I';a-
r„ (lor.
(
T'4î'ja7.,7-c;(7Ô),trait,iléche.R.
7:;3Jco(7'.;cv,arc), tirer
Tpa-M, t.;,
de Tûtn
vers, avoir recours à.
le
intrépide;
,
iro»,
TcXaa, r.; (r,), audace;
impudence, courage, d'où
er
ToXucmi-û, /'. ï,îm, aor. 1 irù.u.r.nx,
TpemtÇ*, y.; (r, table.
Tpaxtofst, oor.Stn/. www.
rpûe», blesser,
usure, intérêt de
O'J
—
vivres. R.rpé*ç«», nourrir.
COUfTOie qui
rame. R. rj
T:'-rrto7T.p, y;;;; (&),
a.?/;.
attache
Tcurt, a//, p. 7VJ7C.
Tc j7:,7Cj7c:;,7Cj7cv casa't
>
,
1
ouro;
TOOTSVÎ, a/f. p. TCÛT6V.
Tour*», rcÛTÛv, ras de
TV.-//,';,
'-Jr:;.
la
vaisseau.
eS
5),
roue.
lî.
courir.
8
-
J
s
to
xrn
"o
j-xco-w,/. vItu, aor. 1 er êtcj-r.77.,
p.
pass.
ya, p.
TtTpTrr.y.v.:,
;o'^aco-a),/'. T.cw, «or. 1 er ÈTiûr r.7a,
'
dans
dans
(r,), délices, mollesse,
volupté. R. Opuim», p. rsrpuopa, énerver.
pcwvuaa, m.
rpuOecnv, aor.
tyran.
1
er
ètj-
sard, être
;
—
—
par ha-
1
Tyro.
(r,},
adj., aveugle.
c'v,
r',
sort,
T'r/y.u.:,
TV/ûv,
commun.
aor.
roi, etc.
hasard, cas fortuit ;
fortune, bonne ou
^
:
tj'Ico,
xôpoc, autorité,
mauvaise. R. wflywta, aor. 2
lrouver > d où
"ux&v,
obtenir, avoir
ï.
er
wk-
T'y//., r.;(i),
en partage
Tu-^ooKa é'yuv (je
me trouve ayant), je me
trouve avoir ; Tux&âaa tec-coplaisir
R.
Tuçoç, eu (6), présomption, arrogance, insolence.
Troven.
se trouver, être
—
;
TÙp<o, ooî-ovç
Tjo'a:;,
(6),
de
Tûpoç, eu (r,),Tyr.
opf. pass. de
Ty^ra'v», prim. Tcûx«, /. wuÇouuxl, oor. 2 nugev, p Tirùyr,-
Tûirrw, /.
cr
régner,
roi,
s.,
pavoç, maître,
Ti7jû(7/.oi.
un
]
eu (6), roi, prince
Tupawoç,
Tpoqpâv, contr. de Tpocpoav, port.
rferpuçat».
>.r.,
e-jgw, aor.
T-jpav/Ew, /. ricœ, aov. 1 er fcu-
1 fjorl, r;
y.x,
TjÇcy.-y.:,
s.
pawEUini être
gouverner, e*
mol-
la
de
Tpwç, »d$
lfoy.,TUirrc|i.ai,/.
Tupawefa», /.
vivre
TETp&qnoxa,
p.
les délices,
tesse,
frapper.
m.
trouer.
!
tet-jcç*, battre,
oûffa,
Tu,
-
2 opf.;
.
parf.
irf.
c'v,
de
da/J. s.
r,,
6,
to, d'c>7,
dae/ m. ou n.
II. Tcô,
étu-
ao»
t-.;, ci,
Y
tue
rnA
'YaxtvOc;, du (g), Hyacinthe.
"Yëpiç, ew; (t,), injustice,
trage
;
—
— ou-
insolence,
gance.
'T-
lt,.-,
e;,
adj., sain
;
5
arro-
— raisoneau.
»p, o. So\xros (ts),
pleuvoir.
3<o,
"YÔXoç, eu (éi, niaiserie
;
S.
— ba-
(ô), fils,
YXflotTÉw,/.
enfant.
kow 9 aboyer.
Tj.e":, ho???, p/.
de
g'j.
Y-', p. 6-e, dcr. ?o?e uoy.
ï-â-p, soumettre, réduire. R.
i-'..
'
J-'-,f-
bÇg4uzi,
s.
'ïïmocgûg), écouter
obéir.
R.
"ïwap^oç,
utco,
eu (c),
avec docilité,
àxouo.
lieutenant ;
R. 6-e, à://-;,
—
chef.
Y-xeyu,/. xeeo, aor. 1 er v~i^x,
être. R. yro, xeyu, commencer à
bil.
otto,
m.
gouverneur.
nuble.
Ytoç, cû
May., >~'^[J
«5tre.
(o),armédubougarde, satellite. R.
'ïjraffirtarn;, cû
clier
;
—
ûîto, à<7~i:,
'ï-E:o:y.y.'.,
û-E'.^e'y.r.v
'
-'.
/.
,
bouclier.
Eiffooat,
aor. 2
soupçonner.
'.
susnicarL
R.
nu
X,
Vilo
ïtKOUÀ
S, V.
7.Ç,
r.aévoî, /,'•',
sèment, arec mépris. R
pau.
y«r/.
/>•
Sirrcpai, voir, despii
de ûrr&^upEtt.
dédaigne
ou occ. K.
Ï7re?cpaci>- ».
'V-iTTTr.^acVy e;,
aV OTTC-
-, ÎJWJ».
priser, o»
;i.
», voir,
njcc
pour, touchant 3
"Trop, pré/).
;
yen., sur,
le
— avec
'ï-eicI'y.,
l'ace,
'\-i't -:')f.<j.:
—
R.
sur;
—
?m fleuve,
etc.
mo//.
3/oy.
R.
V:
j-f:,
&7tEp€aXXGuai
,
mettre
,
/:,
«or.
r,
I
de û-ircTapâaa».
/'i(\s.
et:
cj,
'ï-rr/-iri[>.-r;i,
passer, remporter
franchir.
o»
poser
,
'V-ETapâ/Or,/,
'JTTi'p, !'j7.!vQ.
'ï-c;oa>J'.w,
hauteur, déarrogance, r.
dessus. R. bm'p, ntaju.
addition, etc.
[tasser
(t,;,
uircpoirruc»:.
'ïrapa, a; (y,), hypère, corde de
vaisseau;
câble. H. :j-iz.
Tmp&uv»,
a;
m..
le pr.
v.
mépris,
daio,
—
en
par-dessus, au-dessus ;
comp.fbmo marqus supériorité, excès,
!
,
flOT.
:2
er
«V
j-a-
c/e
«or.
a:
'./.cuoa.
1
U7TOX£U».
'im^nrat, 5e p.
de 'jTTE'.'îcay/..
/.
aor. 2.
s.
sn4>/.
»
•j-i^o^uv,
oX«i(MUj oor. 2
?». s.
2
de umpoatvw.
'ï-£2oc"/.t,,
ri; (r,),
perbole
:
oh
si;
excès
SNIft.
;
'ï-3p^r,iwç,(i), ace. »v,
très-
flrf/.,
accablé d'années. R.
L-e'o, y/.pwv, vieillard.
'îirepeiot»,
/.
z'.izu.y.:
aor. 2
,
âanpeûYov, regarder de sa
hau-
teur, mépriser, rejeter.
TireoexxCv», payer pour
qu'un, yen. R.
'j~c'3,
quelsV.,
t-m,
.
s/», tox**, avoir.
ïim f prip. à 5 c«5
par, par
avec
:
moyen
le
de,
part de, de, à cause
avec
le y.,
de
de ;
la
—
le dat., SOUS, par, à
cause
avec l'ace, >ous, dans,
en, auprès.
En camp., &*o
marque fraude, soumission,
de;
—
—
diminution.
titué.
R.
c/.,
ov,
Orff".,
Sa>>.c),
&ire,
subsjeter,
placer.
•j-H) -'jo),J. •jtw, aor. 2
j
hriSuv, revêtir, se couvrir de;
se mettre sous. R. fa
^Jvco, Su», entier.
'Yiro£u(u.
s'v,
aor.
2 par/,
ûrr îîTÎOr.a ..
1
p. p/. «or.
2 suoj.
—
.
'Y-cOs!;, EÎaa,
de uTrspsîo».
'YrTiV.-v.:;, ov, ad}.,
— trop lourd —
;
gueil. R.
1,
'ï-oo:).ïy.7.î',:,
payer.
'X-izbv.;, Btwt,
'ïirepîd
j-.iT/yj.-f.
t
j-e;oc>.y.v,
2;
promettre. R. 0-
:
— hy-
à l'excès. R. uirépj pôXX», p.
moy. pi€oXa, jeter.
de
f. •j-'.Tvr/r.-
j'j.'j.:,
p. de f. pass. UirsoyjfifJUtt,
aor. I e* ifif. •j-sa/.sOr.v, aor. 2
•).-;.:,
'V-4poa:, àax, bw, oor.
vieux,
:
'\-\r;/-éi:y.y.:-:
jtte':,
trop gros
tumeur,
orgueil.
'ïtte;:"'./.^:, aau-,
aor.
2pa>(.
;
plein d'or-
fycaC,
s'v,
de ûir<m(hu»i, d'où
dédaigneu-
'Y-s'Osc.;,
eu;
composition
système.
—
(t,),
;
sujet
d'une
— argument
;
—
-•1
-
,,
ÏMH
YilO
a??.,
*Tircu.£iva;,
aor.
<xv,
1
er
Moij.,
•J-'vT(Gc
u.7.•.,
l
par/. de
Orccy-o.'.,
*YmuJmù 9 f.
er
1
tvw, aor.
0~
aor. 2
y. ut;o-
sug-
ûîreôeu.viv,
EUEiva, p. 'J-ca£L/.Evr.x.a, soutenir j
sapporler, souffrir ;
gérer, fournir, produire.
'Y-c-.^>w, sccliapper, sesquiver. R. û-o, opeû-ffo.
R.
*Ï7rnc;, a, ov, adj., couché sur
—
—
demeurer.
attendre,
attendre.
•j-s, u.ô'vw,
le
trembler ou
de peur. R. 0-o,
"Yoteçcv, n. deGcrspc;, pris adv.,
Tmiacû), M.
plus lard, après, ensuite. R.
d'où Û77ST=sc.;-'j"£pc;
"TTraaaflpc;, cv, adj., pourri, ver-
moulu. R.
m.
utto, G?.ôpo'r,
'Y-;<77ar, àcra, àv, aor. 2
de
uird,
ûctcoo;, comp., plus en des-
s.
part,
sous, inférieur.
'Yo', p.
'j'S'.^-r.u.'..
2
aor.
"TiTOG^cuivoç,
de
par/;,
a»,
bler un peu. R. owo,
'ÏTTortOr.a-, jeter
trou-
kttcd,
;
—
soutenir le choc.
à,
R.
i'(77r,u.t.
Oiro,
dessous
placer
résister
'Yi-O.it, r, ov, adj., haut, élevé
-zy.oy.aao).
sous, placer en
dessous. R. bue,
unevoy. asp.
îiïto, d*>u.
'Tçtgrujjtt,
0— '.Tyvî'cu.a'..
'TTTSTacaa'Tto,
arrière.
R. 6-o',commesupinusdesub.
'riîroimîffcfi»,/. r,;o),
se cacher
dos, renversé en
ècp' Lyr./.cO
R.
r'.br.n.:.
(to'ttcu),
:
en haut.
hauteur.
iiy'v:,
<i>
$EP
5>at5po';, a, ôv, adj., brillant;
yif, gai,
—
de
4><ttY«, /. avôj, aor.
1
er
l'çr.va,
$aauaxov,
remède.
$a<ri,
3e
sent
— on
fyy.'jY.w,
luire, briller.
<Pti$ou.aLi.
;
(to),
de
p. p/.
2 l'çavcv, p. nê&c&pui,
montrer, faire voir;
neuf.,
ao?\
eu
©eîorcuat,
f.
Èç>âv7iv, p. îr£cpa«|Mti, a??,
grâce, gén. R.
'^y.oy.7.'.,
raître, se
3/ot/.,
m.
;
— pa-
montrer.
cpcuv&u.tu,
s.
<î>a}.a/.po':, oc, s'y,
«favspd;, â,
c'v,
adj., chauve.
apparent,
adj.,
rw ©avecw, en apparence; è;to ©cwsco'v, en plein jour, au grand
jour. R. oaîvcj, d'où
$avrvat, cor. 2 in/, pass.
clair,
manifeste
:
vt
—
did'où
épargner quelqu'un,
de;
—
lui faire
epei$<â,
gne.
1 er
aor.
s'abstenir
épar-
—
impér. de oe'îco;
pris
allons! courage!
çà
donc ! eh !
$î'çc,
/. cuuat,
;
dire, dire souvent.
iccc'.Taar.v,
être montré
ils
Gptjtu,
dit, dit-on,
Pass.f qpaîvcuat, /". 2 oxvrler
ocu.a», aor. 1
Ê<PavÔr,v, aor. 2
tté-
poison
adi\,
iyuo, vtbuùyj.
c'iaoi
aor. 1
aor. 2
y,'i-;/.y.
>
f
rivîy/.ov, porter, emporter.
<ï>3pw, itius.
cioi,
er
Moy.
t
epéacuai,
/".
ptasuat
er
p. nvexa, a», evriw/a, aor. 1
r,vî-x.mr.v,
ter,1
m.
obtenir
s. et
:
rr/ïcv
remporvri-/.%
i
—
—
( cn.
l'avantage, j
avoir
oby.:,
4HXo'cro<poç, ev, adf/.,
oûpÂt,
#•674», /. çEJicax'.
aor. 2 ?<puw», p. moi/, irsorcuy» ou irra, fuir, s'échapper ;
éviter
oci., fuir,
rfa icarp&a,
patrie
:
cperaiv
être exilé de sa
de
qu'on doit
4>8UXTc'o;, a, &v, m//.,
fuir, éviter;
•î'-jicaai,
— exécrable.
7j,
/. cyIio), aor.
i
èavioTX,
inoy.
aor.
éçàji.r.v,
-2
èV*r»,aor.
dire
-,
—
ambition ;
R. ç tXoç, Ttari,
honneur.
renommée, bruit, de
çâ»,
(y,),
ardeur pour.
/»j»f.
cr
fttXontuet, k;
r. oE'jva).
£T7.-.,
^r/Ar,,*;^,),
«l'/v.î,
R. ftXoc, wç**j sa^c>se.
^tXcrtiucpuu-oDiMU , /". w:a7.'.
briguer les honneurs;
iuf.
pas*. (ptXcnftcîofat, être vanté,
(/'où
;
qui s'adonne
à la philosophie, philosophe.
cr
—
73
0>PI
<1>1A
,
2
— pré-
*îXTaroç, «, ui,sup. deytkoç.
w
<i"!>-p:v,
charme pour
(to)
/<dre aimer, philtre, breuvage
enchanté. R. tKàcu, aimer.
QXuxTatvo, r,; (t.), tumeur, pustendre , affirmer, (/'où
e
ampoule. K. tpXû* ,
2 p. s. pr. ind.
tule
<!>•/;, 2 e p. t.pr.
bouillonner, produire des bul<t>8sûtt, /m/s. çOaco, /".
çOacw,
les.
r
aor. I* eç0a<ia, aor. 2 èadip, $o€scà,/. nau, aor. l er è<po€r,aa,
/). Écpôfluca, prévenir, de vanp. îKcpo&nx*, effrayer. H. çc~
frayeur.
cer;
faire le premier, d'où
;,
r
$0z<r*$, aaa, ov, aor. i' part.
Pas*., çoëc'ouaccûtMU 9 /.
er
er
£<t>bi'fîiu.oL'.
;:u.at, aor. 1
rtdïi<FotMK,aor. 1 éWrohrvy p.
f.
£' 0î- çay.r.v,
WEÇo'fcijuai, craindre, redouter.
/j. 7/îOj/. eçÔcym,
r
<ï>r,;,
,
—
y
(
p.def. pass.
1er;
—
,
par-
<t>tâ}.r.,r.ç
i
'r,
r,\
,
baiser. R.
tàXtmcoç, eu
Phlbiotide.
folvtÇ,
objet d'amour
çi'aew,
;
aimer.
d),
«dy\,
Leneut.,
pris snl'si., témérité, bravoure. R. ç(/.s;, wv£uvo;, danger,
le péril,
/. mot/, du
ctt.-.,
•./.:;
(é),
Phœnix.
0>:'.?âw-û, /. r.ao, rior. 1 er |ç«-
Philippe,
qui aime la
vie. R. oi>.c-, ami, îwr, vie.
«JhXgxivÎuvoç, ev, ar/j., qui brave
ov,
r,,
pr.
fiole, bouteille.
<M/.r.u7., stTo; t-J),
«r-.'/.^'j'.ç,
4>o&ôaottat,
crier.
4>6:wr:;, ."c:
—
Écpôe-yuat
téméraire.
mora, p. ireçarwa, aller, aller
et venir, aller souvent.
toveu;, eu; (6), meurtrier, de
er
èçttveu«ftoveûft»,/. eô<k*, nor. l
ca, p, nscpoveuxa, tuer, de
*oyoç, cj (ô), meurtre.
<l>cl-.;, ri, 6v
adj., qui a la tète
f
pointue.
$opa$cv
comme
(i'ow
en bravant le
danger, témérairement.
<1>{>.:;, r,, ov, adj., ami, chéri.
4>tXerôps'tt, /. t.tw, s'adonner à
la philosophie, philosopher,de
4>iXs90<pta, '..; (r), amour de la
sagesse, philosophie, de
,
4>iXGXiv$uvca;, adv.,
paa»,
de
odp. , en portant,
étant porté. R. c;qpspt*,
porter.
<T:zI<o,/. ace», aor.
aor. 2 Écppa^ov,
dire;
«I^ac?.;,
er
f<ppao'a,
p. iréçpaxx,
— ordonner, d'où
aaa, av, nor.
Optocre», G/r.
'
l
er pn?7.
inw. ç;(/.w,
er
éçptÇ», p. *•
I
îtth.
/. i^w, aor.
l
—
,
*ÏA
7-i
— avoir
frémir;
çp-.x.a,
<t>fi2
reur de.
<I>;:vsu-«,
hor-
<bjG-i,dat. de
*ûai*, sw; (x), nature, naturel:
fxovj -?; çycêt /yr.Gy.y.va; à--?—
^
ï!iw,
/".
aor. i<paoy%<rx,
penser avoir
p. mvpmxi,
dans son esprit,
pensée;—
^
sentir: |«xpà çpovsîv, avoir des
sentiments bas
,
être
humble;
çpcvew, avoir des senti-
fii-ya
ments élevés,
--.v'.v,
être
fier.
II.
a
•V^aor.
4>uYr„ x:
,
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•
7„
aor# 2 act., p.
weçoa, sens pass. ou
weM £.
.-
gj
être produit,
naître;
êt re#
Pass. oOsaai, aor. 2 È^r.v,
p
^^
$*oxe6ç,
-
eo»?
de
(ô),
^éeo
»--./.*
**«. m («), wa
Phocide,
ph
évasion;
fuite,
ciikfconrriifr, étant fugitif,
,
langage
;
-
langue, idiome. R. cpxp., <pa»,
M.
R. d'où
<fc»-™v, cûgx, vt.t aor. Ipart.
iï>u>.âG5«,
fl/L â-co, /'. a;co,
parler.
prendre sur
&ilj surprendre un voleur.
<I>*>?5"o-èô,
aor.^ r eVJ>.aÇ*,p.îre«?6^7 a,
garder, conserver, veillersur;
— observer,
oûew xà ife'pousser des sophismes.
moy.
2inf. de y.-;..
x
{^o, aor. I er
&»u<wt, aor. 2 sœuv, p. wsyjxx,
produire, engendrer, faire
!_ p ary.
,
'
©y^.
Wj $ntWa
par-y.,
*pov«M», r/ar. p/. m. e£ na<£.
ou 3 e p.pr. ind.dupr.
0);cvti':, io::
pensée, médix,
talion. M. R.
.1.;,-,^, a? (x).Phrygic, de
<]>;,;, o t;(d),dePhrygie,PhryT
? '- n
,
naître, pousser:
esprit.
.
n'ayant pour 'aide que
l'excellence de son naturel, (fe
Of,
,
sa
ocgm,
m.
ipâ&Sj
le
lumière. R.
«potoç fjo),
<!>&>;, O*.
épier.
f.
s.
X
XÂP
XÀA
Xaîvto, /. xavcôusu, flor. 2 a/a-vov, p. xéyrwz, s'ouvrir, s'en-
tr'ouvrir
;
—
bâiller.
— forme
imper, dus.;
salutation, bonjour.
X'y.r:ï,
(i),
Chaldéen.
X'/y.37Tc':,
x.
alj.y
fâcheux,
pénible, désagréable.
a
evreç,
sant.
bouche béante
— Le
une chaussure
pied.
d'airain.
aor. 1
R.
faire
ble.
5
ev, #. îvt::, inTr.;,
gracieux, agréable, plai-
chose plaigrâce,
??e»/.,
santé. R. y/ir.:,
pass.
Xa>.x.:-:jr, o£oç, r. tu, ad}., qui
*oû$,
<ïdi>., la
Xowt£cu.ai t /. icejxat,
ov,
par terre,
0!i
— abondamment.
Xapûtç, nny.,
de Chaldée
à
a«to.,
humi.
Xavâo'v,
de
er
Xaipe»,/. xo», aor. I êyjxpxaa,
«ur. 2 l/apxv, se réjouir... rfe
XaXîaîcc, eu
Xau.aî,
er
«'/.
ijraptaâaxv, p.
y.iyy.z'.-y.y.:,
loûfjwtt,
tfe/.
faire plaisir,
quelque chose d'agréaM. R.
Xapîvoî, eu
(ô),
Charinus,
/t.
tar
xon
Charmolaùs,/i.
ndj., agréable-
j.ù.:(>:,<ji(i),
.,
—
bleu, azuré. H.
jouir,
Xï:hv,
<
visage, aspect.
-,i, oeil,
Charon.
covtc; (6),
0,7:'.: et
Charops
cj (o),
XflcpciCOÇ,
Charopus,
o/<
se ré-
/.%••:<•>.
s'ouvrir.
7 7.îvw,
e:;-c-j;
X«p,
(il), rf. />/.
\
oç
.--.-lit-i-ôi,
xtooi, main.
r.ao), aor. 1 er
B.
créer.
élire,
yeîp,
retvu,
tendre la main ;jow donner
son suffrage.
w, nor.
sîca,
XttpoTcvndst;,
1
er
parf. ;)as5.
Xsîpcuç, 5^nc.
m
de
eono*.
eJ
ouyzlz'.-iy.;, n.
£«{-
i/r
main.
nor.
cu9Cu.su,
piTiv,
I.
II.
I
cv,
porfé à
/.ax.:';
/.
,
lyetoucrsî-
(mauvais), plus
pire
f
J7.'.,
a,
;— inférieur,
(ô),
no?-.
de yy.zzu.
XEpcïv, 9. d»e/
«,
i
Chiron.
cr
ni
>;*'•>.
,
ce donton peut
— bien, richcfi
—
M.
affaire.
II.
«"où
Xcr.càaE/c-, r. w,
cro)'.
1"
wîoj/.
aor.
f.
i7.5r.oîu.Euaa,p. «ypr.crmeuxx,
Xfr.oip.Eut*,
lûcu*,
I
être utile, e/e
ad/,
avanlageux. R. ycrT.;, usage.
Xsta, a; (r.), couleur.
XpTKP.u.o;,r., cv,
r.
m.
,
utile,
S.
temps, durée.
d),
Xsûoec;, E'r.,Eov,con<r. cû;,x,cûv,
ad;., d'or,
Xzjsx, v.
R. y;j-
fait d'or.
inf.
moy.
</e yj'!;.
fl(/j.
X'.ïv.;, i/.c: (r,),
cù (ô
ci,
chlamyde,
chénix.
l
17.
ycJ7:
Xsucrcepo'poç, cv,
de
l'or
XcoXoç,
II.
•/,
,
des
o'v,
qui
habits
ypuco'ç,
/".
;.
flrfj.,
(pe'ptt,
brodés
porter.
boiteux.
ac/j.,
ywjH,
porte
tfO/\ I er
î
amonceler, éleraçcv y/ôcat, construire un tombeau. R.
ycc-, monceau de terre.
ver;
— construire
:
Xcàpa, a; V,\lieu. place, endroit,
er
È'y_pr
1
7a,
p.Y.i/zty.y., prêter.
MoiJ.-/j*Av
,
et
or.
G7.,p./.i/o>/.7.,
niait., mille.
ww, aor.
pr.
le
Xsuci&v, eu (V,),
Xwv.yy.-.,
,
/".
-/?-.:
arpent;
d'or.
manteau.
Xpâ'o-<~>,
f.iui. Jt.
il
comp. rap- Xpuaoùç,
c-:r,
£7.
XEtperi, kvoç
X;'.poJ7'y.c
gi\,
XfJCT'.'ç,
XEtpuv,
XiXic4,
e*
').'v.
ut. 5.
mauvais,
s'appropri
ce';.
/y.y.z<).-j.-.--:J
.1/0//.,
—
Xpéwv « ,tn<itfc/.,oracle,dé€re1
du ciH. destin.
Xcc'vc:, cj
Xi\z'Âo-ô>, f. (««M, réduire en
'son pouvoir, subjuguer. II.
yzî:,
emprunter;
user de;
lervir,
le
on ace.pl. Xcc.x. à:
1.
-/y.z bi-i
igouffav r.v.p. rfe
xiyj^r.tunt t
user, chose;
f.
v/i\z'-Wr.G%, p. xe^etoflvo'wxa,
:
—
Xçry.?.,
(to), lèvre.
Xi-).'.:,
f.pasi.
tT
l
Tçx(imperi.),imfi.iyjpiï* t f.-;jpTï-
//.
ia, arec (to), gouffre, abîme.
H.
u.y.i,aor.
75
cl
Xwcîcv,
y.:.f.r.r:-
Xhîî»,
eu [to
w (s),
.
m.
».,
ffl. |.
Je
V
TET
TTX
», adj., chauve.
r„
•a'rj^MLatvTî;,
te;
phète. R.
Tsi^o;
devin,
u-âv-n;,
Moy..
faux pro-
(£),
et
mensonge, fau s-
S
ac/j.,
'.'v,
.
mine
sans poil.
seté, f/«
l'cûcî»,/. EJCtù, QOr.
pas*.
p.
.
aor. 1*'
er
1
eÇt-jcraz'.
aor.
,
Vs
£t]/E»<7X,
souffler.
irf.
Û
nv
nos
I. Il,
hurrj.
ration, ô
T
0, dut.
II.
III. Ï2,
eu d'admi-
et appel
3
"Oîvt:,
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p. pi. imp. c
I
m. ou
77.
tK&y.
r,ç, r.,
de
heure
Sç, j
BfEtjti I.
—
j
fleur c-
ïha!::, a,
cv, acfj..
qui esl dans
la fleur
de Page
;
ïèJupstuG?, su, et:, imper. cf&î»—
— bewu
::l/.7.v.
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1
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ïîpy^Xffatu.Trv,
wÔtow
efcôoco, cor.
ef ù<yx.
Socs, p.
iMétt, tVJw,/.
er
î«?p. (f cî'-U. XI
S.
T3.
p.
er
pois, wsaxi, aor. 1
Moi)., ù
pousser avec violence, chasser.
go?'. 1
I/O:,
l'Océan.
tocEflcvaç, dm (o\
imp. tf «00.21.
I.Y>a:r, ou (£), épaule.
1 1 bu&, », c'v, cu/j. cru
,
.
t'inf.
;
;vt7-, les
sions
;
tî :v
II. *ïh, g. pi.
de
d'vTa, le vrai.
-:?, r.,
S.
'Hvav.r.v, g:, t:, r.
Îv:vï,;j.i.
fendu»,
DKt^H.
x:, h, r.
i".>v;:a7.:-cùp.7.'.,/.
<;>v7ca'xv-v,
ccxuacv,
ït
—
que
afin
;
—
loi
er
obte-
ci
qi
•
que, pour que.
adv., ainsi.
.Qr-3; ? arfr.,
R. U)Ç, ":
**
comme,
ainsi qut-.
u " f r0 .V-» P 0Kr
Ï>te, co;;. MM9C i"« ??/.
que, de manière a
pourquoi, ainsi.
:
;
H
—
—
'
ôvivy/J.*..
<", bctp, r.
ûvsouacL.
du m.
œuf.
n>
x, cv.
'Qy.f:,',
*o-:'.
contr.
-,
l'opî.
comme, de même
sorte
'Oy^'arv, ou, et:, rmp.
"ilrr.cx, Oî, E,r.
'î}v'-jy.7.'.,
.
arec l'ivd.,
:
nir.
..
.::,
r
«cs«uaa,flOr. 1
—
wpusajjL7
r
'fi;r\
acheter:
:
blement.
biens, les posses-
o»
h\.
afki
pour, etc. : ù>; y.aâv,
de
faço»
w;
de descendre ;
à... ; w; -ye, comme par eiemple;w; ixatOw;, bien vérita-
,
:
Ta
:
dèsque;
d tir,
impitoyable , comme
crudus, crudelis, d'où
YWtt,;, tt:ç [«), cruauté.
I. "Ov, ouox, w, pr. pnrf. étdyl I
cruei
er
^07?j.
— en
"flar.v,
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—
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Yîpùw, /. Mt*, p. ko,
'rugir ;
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BC LEXSÇCE
at(/'.,
—
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The
La Bibliothèque
Université
d'Ottawa
University
dernière date
volume après
timbrée ci-dessous
of
Ottawa
Date due
Echéance
Celai qui rapporte on
Library
la
devra
For failure to return a book on or before the last
date stamped below there
payer une amende de cinq sons, plus an
will
son pour chaque jour de retard.
charge of one cent
be
a fine of five cents,
for
and an extra
each additional day.
k
a
3900
3
00 13 7^5 366
,J
/
i
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CE PA
4230
D6D5
CûO LUCIANUS, SA CIALCGUES DE
ACC# 1184330
•
4VJH
L..'l
ENVOI PBANCO AD REÇU DU PRIX EN TIMBRES-
THEMES D'IMITATION
SUE irr PRINCIPAUX AUTEURS ÉLÉMENT AIHES, LATINS
Cette méthode, dontf le principe est Vimitation, se ti
d'hui 'jila^ée sous un éminent patronage.
A un âge où les élèves trouvent encore difficileraenj
propre et le tour convenable,, il est très-utile de propos
tation les textes qu'ils expliquent.
Ce procédé a un double avantage
à l'élève, il ol
infaillible; pour le maître, c'est le plus simple et
contrôles, l'imitation ne pouvant être fidèle, si le tei
interprété.
:
LHOMOND.
iniiisj
— Epitome historla sacra, précédé des éléments très-sU
usables aux commençants, sur les noms, les adjectifs et la]
latins, et suivi de thèmes d'imitation, par MM. Hanquez si
ne édition. In-18, cart.
verbes
1
—
De
viris illustribus nrbls
Rom«. Nouvelle
édition,
accompagné
"taire grammatical, d'un dictionnaire revu
avec soin, et augment
roenîs géographiques, historiques et mythologirrues; par M. E.
Thèmes à' imitation, par M. Rogier. In-12, cart.
Tirnelil Nepotis opéra
qne supersunt. Nouvelle
nei'leur? tex f e?, avec des nn'.es en français; par
mit-'iov., pc u
v
M. R-gier. 1 vu. :n-13.
édition
collât
M. Brach,
suivi
-art.
îabularum libri quinque. Nouvelle è*dition, avec des not
La Fontaine; par M. Aubertin, suivie de Thèmes d'imitatio
P. i«ûrl
fions de
1.
vol. in-12, cart.
—
HEUZET.
Select» e profanis scrlptoribui historiœ. Nouvelle é
notes et un dictionnaire des noms historiques et géographiques; p
et Triaire, suivie de Thèmes d'imitation, parM.Rouzé. 1vol. in-12,
— Fables
ÉSOPE.
(texte grec). Nouvelle édition, avec des notes e
Clique, par M. Aniel, suivie de Thèmes d'imitation^ par M. Rouz
cart.
Corrigés des Thèmes d'imitation. In-12, br.
Le jeun» helléniste, contenant
les Fables d'Esope annotées et pr
méthodiques destinés à faciliter l'étude élémentaire du grec
pimitAtm ave? des 'notes grammaticales et uu lexique gre
M. Ronzé. 1 vol. in-12, cï
cices
,
—
Extraits (texte grec), avec des notes et un lexique gr
ÉLIEN.
M. Chambon, suivis de Thèmes d'imitation sur les trente premie
M. Dumas, agrégé de l'Université, professeur au lycée du Prince-j
in-12, cart.
Corrigés des thèmes d'imitation. 1 vol. in-12, br.
— Dialogues des
morts (texte grec). Nouvelle édition cot|
avec des notes et un lexique nouveau; par M. Ditandy, s\
d'imitation sur les quinze premiers dialogues, par M. Rouzé.
LUCIEN.
officiel,
cart.
Corrigés des Thèmes d'imitation. 1 vol. in-12, br.

Documents pareils