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Transcription

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AOUT/SEPT
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15, LA CERISAIE. LES IMBERTS
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Page 1Æ
s*ÇrÉTtâ
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PAPIS ET MAMIES D'JIUIOURD'HUI RÉUWTUTENT LEUR RÔLE
ffimAIsffi§*FAffiENY§MAIS
PAS TROP
Prn CLÂtnE AusP
orcque safilleluia annoncé qu'elle attendaitrm enfant,
Ànnick Légn:illette a été envahie d'émotiorrs diverses :
« La joie, 6ien sfir, raconte-t-e11e. Le choc de vair ma
fille âevenk maman à son tour Mais aussi une certaine
appréhension : dtais-je devoir me rendre uJtradispoilÉle ? » Elle avait programmé depuis longtemps un
trek au NéPal, Or, voici
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N
que la naissance du bébé
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s'annonçait Pile au moment de son déPart,
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« Phx la date approchatt, plus )e ressentals ure
prP,s§on hhde et plus;'etars angotssee » Par
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chance, le bebe naft dxpurs avant la date prevrc « J'at pu êtte ptésente au mament de I accouchement Heweusement I Ma hle m a avoue
ete ta' eile auratt
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toutes citations
: association de promotion des relations intergénérâtions,
Eléments de recherciê : EGPE ou Ecole des Grilds-pilents Europèss
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15, [A CERISAIE . LES IMBERTS
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«
Ig nê âujà pàÉ p!êt à renoneer
ftes âdtivités poux n\'6ccupe!
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dè hes petits-erJân16.
êônkê, j'aimê leut faire
petagÉï certêines p⧧iên§, »
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toutes citations
Europêens : associatioD de promotion des relations intergénérations,
Eléments de ræherche : EGPE ou Eæle des Grands-parents
H I2
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C
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Lɧ
Ires seruors ne se recorueissent Plus
Souvent encore en activité ou avec des
loisirs prenants, ils n'entendent pas
renoncer
à
dl
"Entez mar surtoutne drtes
nen'' », témoigne une grand-mère « An veutben
de notts, à condtÛon qu'on la boucle », résume sarc
fard Mar:eClane C}:aur, psychanaiyste et afirnattce dela commrcsonEcoute echanges àl'Ecole
des grands-parents européeru rlEffih IJne postr:re drfrcrle à garder, tant ce§ §eruors ont
corsaence du pords qu'lls représenterrt et du rôle
de prvot q* rJs louent dan§ Ia société prouver que
mon
dans le rôIe traditionnêl de baby-sitter'
leur vie sociale'
Certains ont recours à des écoles pour
apprendrc à satisfaire les attentes de
Ieurs enfants sans se renier.
genùe m'a
l'on peut concùer bren-être, utahté et sagesse
Cette ambnralence des sentmenTs lorsque paraît
le peht-enfant n'est pas toqoi:rs audrbie Chao:n
vous le drra ête grand-parent, ce n'est quedu-
bon-heur I En « of
», les
heurerx grrands-parents
ayouent néanmoms enusager avec appéhenuon
l'âé qr:r s'annonce, la ma:son remplie à craquer'
I'rrtendance à asswer, les ;eux à rrventer, tout cela
pour soulager leu]E propres enfane « +n sonl sI
latgués » D'autres, au contraue, ne sernblent ête
solhotés que pour mrerx se fane rabrouer «Àu-
ctne de nos proçnshons ne conwent pmats' dsserft
ennarü ces gnands-parents de 55 et 60 als, /e ca-
avü)s chov avec anour esloslens.
pour
blement rynoré, le vêtement rangé une los
deau
q:e
nous
de sorûes
toutes dars un p)acard et nos suggeslsons
qu'r1 s'agt de soxanteproposûon étart d'emderruère
la
dont
hurtards
mquées » Précrsons
menerles enfantsdeS el7
ansà
unconcert de
rock-ies parents despeEts sont d'une généraùon
plus sage, « écologrquemerrt » pltu responsable
our autant, rmpossrble de fa{lrr a Ia règle de
base du grand-parent « Th seras drsponble
ungt-quatre heures sur ungt-quatre en cas
O'nrget ce ou lors des vacances >» « Notamment
des
/es petrtes vacances, garanbe de I'exstence
grands-parents depu» que les femmes trarratllent »,rappeüe Chnstrane Collange' auteure'
entre autres, de « Sacrées grands-mères » s'obert Laffont, 2OOT) ei du « Jeu des 7 farrulles
pow une cohabltaûon harmorueuse entre les
2011) Un manôénéÉton§ » (Robert lafiont,
au mleux' des
sonl,
ce
et
règle
!'u"*"rrt a la
drott de vor
du
prlaüon
ia
pre,
au
râproches,
masslve
dlssuaslon
de
alme
pettts-enfants,
les
e Une réa]üe vécue
tals-tol
et
grarid-palent
Sors
O'ente eux « Latsque l'a demande sl
prr
-le nà*no
ma fiJle après 9n accr,uchemenl"
votr
ÿ»vats
1
hlle m'acctsse de ne
98200524/GAD/AVH/2
pas savotr /es armer / » [a
dr-
c'Llsston, en apparence anodu:e, sur la façcn dont
ies noureaux gr-ands-parents l'onl ête nommés'
rliustre souvent cette sourde batallle « Grandmère t Mémé c Grutrry ? Oh, ça ne me ressernt/e
une leune marrue f5peractve /e pÉêre
que l'on m'appelle psle par mon prenom »
pas,
dI
BE§TÜ{D'ËCCILE
Parce qu'rJs ont le senbment d'avancer en
teram
ûuné, ou qu'rls sont eux-mêmes en prole a une
forme d'ambryalence guant a leur nouveau statut
de grrands-pæenG, certams poussent la porte de
i'Ecole des grands-parents europêeru À
parler de leus d:ffrcuttés, en efiet, srnon à Ierus
qut
pars ? Cette êcole a été fondée en 1994 par Mane-FLançore Fuchs, médecrn psychotherapetÏe'
surle màdele de I'Ecoie desparents dont elle fut
nsalariée purs présrdente « À i'occasion d'une
la
dans
grands-parenb
des
rôle
le
Yr
tervenfrin
leurs
de
préventnn de la taxcomiirue auprès
'pbts-eüang,
raconle-t-elle, p me sws rendu
-compte
qu't\ exstatt Êspeu de Ertes
YCette
patfots' ce
fonctton de cmfident qu'tls æcupent
awart
FÏeud
»
dn)ogue sans enleu d'autonté
grandsécrrt, dans une correspondance, que les
qu':ln'avart
mars
essentei,
unrôle
pârents avalent
pas le temps de creuser davantage Ia quesüon
I
La premrère foncton de l'Ecole esl d'orgaruser
aes dOnats et des sémrnares §ur le rôle des
grands-pârents TTès ute, des témorgnages afies drflrcultes relatonnelles renconfluunt
"*rt
autrées Des groupes de parole sont orgarusés
grand-rnère
tour de Ôfiérentes themaûques «
des GIAdS-Parents Européens
Eléments de recherche : EGPE ou Ecole
EGPE
8401
Concùaton pas toulous évrdente $ ces nouveaux grands-parents tentent de râppeler qu'ils
ont aus$ une ue soclale actve, à laqtrelte rls n'entendent pas renoncer, les accusaüorrs d'ngrahhrde fr:sent « On a vottlu fatre de mot un refu'até,
quelqu'ülde tès d»portble, dors que p suts toupapl de 62 ans Et comme p
Tours acùf raconte ce
garder
ses enfants, ma bellede
n'at pas )e temps
:
intergénêrations' toutes citâtions
association de promotion des relatims
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« liÉrd », qui s'avoue en
quête dune attitude appropriee. 1æ dire duectement aux udéressê n'es,t pas possible : mieux
vaut tourner sept fois sa langnre dans sa bouche
« Quand I'enknt sen plus qand' vous poufiez
sentuellemenl lui parler des problèmes gue vous
rencaûtez avæ fui, mats uniquement ente quate
yeta.Il ne faut lamats rap[nrter aLu parcrts )), sou-
rur grand-père pourtant
I
)igne Ctr.-isûane fulà, gn:and-mere et animatice
d'nn groupe de parole «.Soyez des partenaires de
Collange,
1êu », conseille de son sôté Christiane
pour faciliter les confidences sur un mode Iu-
pour ia prerilère fois », « beUes-mères et beuesfilles » (un hit), « psychogénéalogie »' ' Dan§
l'immeuble de la rue Chomel, ce qui n'était au
départ qu'une association parisienne de grandsmères-etde gn:ands-pères, même s'iJ:s sont plus
discrets - prend de l'ampler:r, preuve s'il en est
de l'exis{ence d'une forte demande' LEcole essaime d.ars toute la France. Des services de mé'
diation et un numéro vert sont mis en place poru
drque Àux grands-mères intrusives qri téléphonent tous lesjours pour avoir des nouvelles et se
plaignent ensuite d'être mal reçues la psyclogê
néaiogiste Sylüe Houel rappelle '. « N'oubliez pas
q)e vote rapport au tenp est difrércnt de ælw de
rtæ enfants, avec les containtæ du quotidien »Dt'
Ërence toutefojs de plLrs en pLu retative : pris
dans l'activisme ambiant, même quand ils ne traVaillentph:s, les nouveaux seniors sont nornbreux
cas Ies Plus difficiles.
Çe qut catacténse )es græds-parents aujoutd'hw,
,,erlt:ême cùrærsité des straûbr» z explique
1es
«
à « ne pas avojr une m:nute », parce qu'tls sont
engagés dans r-ne ONG humanitatre ou parce
c'e§
\'\[
t],\§ E,§1 l-ilxtP§ n[l {i,'\RI}lrl{ §ES ['-\]:"t\'["H"
"co&{a4E,{t:
!*
n#r gÈI-,LE-FILlp m'accusE üE NE PAs §AYOIR LEs Â[§fER
Clristiane Collange On peü êu.e grand-parcff
pendant trente ans ; maÈ on ne tissera pes les
mêmes rciations aÆc le§ peüts-enfants à 55 ans
q:'à B0 les grands-parents encore en actiüté
sont nombreux - ce gui nuit à 1a fameuse disponiblité. On est parfois père et grand-père d'enfants
du même âge. les familtes se rccomposent'
, créantdessitr:ationsdanslesq:ellespeûtsenMs
$ « biotogrques » et « de cceur » se mêlent - gare
§ aux jatoirsres I Mais qu'appre:rnent les sexa- ou
â octogienaires dans cette école d'un genrepartictl9 Ïer ? « A trouver la bonne distance », répond
ë tzt"ti.-Cf"* Chairr EIette Joubert, qui s'occupe
témoigne
-É aes activites intergenérations àI'EGPE'par
I'amow
emporter
laiser
me
peur
de
«
# J'anis
I ful un temps
pelils-ettfants
mes
à
prtab
que
ie
È
q où ie qwttas man t'awil en couralt poÜ retrower
que s
§ ** püt-h)s avec autant d'empreæemenl
»
È c'étaitunrendez-vousamoureLtx
« lors7ue ie vax à I'y-.
* Exemple p1i:st'unprosarque
Ë vonatre àe de næspeuts-enrana,Je suis etaré
§, par te.urs cwprtements de tyræs,les7oueb gur
9o tainentdanstoutl'appartemenletje ne comprends
à rr.scomfientmonfttspeutlaiserfa'ue»,témoigrne
:
:
cite adressée
à
l'Ecole des grands-parcnts'
G I,I§SEMEI\TT § ÉNSRÂTITNNEL
Dans le gror.rpe de pæole qr:'anime Sylvie Houel,
ies seniors apprennent à eiçlorer leurs propres
rapports familiaux et tansgÉnérabonnels pour
mieux comprendre « ce qui se rejoue » à I'arriÉe des petitsenfants, et notarffnent avec lerus
« gn-ands » erfants. Larnonce du bébé à venir, Ia
gtrossesse, l'accouchement, Ie choix du pénom,
les aruriversaires.,, aulanl de moments clés qui
peuvent réacliver des conIlits parlois
[às
an-
ciens. Dans le groupe « Grand-mère pour Ia première fors », les participantes expriment les sentimeirts arnlcilalents qui naissent lorsque lews
filles deviennerü mères à leur tour. Ànnick Iéguüette, animatrice du groupe, soulève ie cou: « Bruquement,la
fille devient en quelque sorte |'égde de sa mère'
vercie de pactes urconsctents
toutes citations
Européens : association de promolion d€s relations intergénérations,
Elêments de recherche : EGPE ou Ecole des Grands-pârents
EGPE
a40ÿ 9a2oos24 lG
qu'ils ont décidê de « se faire enfin un peu de
bien » en praüquant 1e yoga, Ie tar-chi ou le massagre ayurvediqræ. Apprendre à concilier leur
quête de développemenl pelsorrrei et letrr mission de grands-parents est une demande expü-
AOI AV
H 12
A()UI/StsP! II
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15, LA CERISAIE. LES IMBERTS
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Une forme de dette envers cette dernrère se
trouve rcmplrc, avec un accord tmplc,te 'Je te
farsunenfant, tu vas t'en occuper" ou, au conlratte,
une revanche, vore une vengeancer pnse par la
fi\le "'I\s, m'en crqfals rncapable, Ssm tl'at fait
au§$ blen et même mteux que tor ' ' Dans ce pas|
sage, toutes les nuances sont po.rvb.les »
échanges organæés par l'école enüe
« grands-parents mdrgnes », tels que se nomment pado§ les nouveaux pap§ et mamres, perrnettent de touver des dés pour dédramatser
les conlhs et ouvnr les relatlon§ « On apprend à
es
dte
"peut-être'i raconte Ànruck Legruillette
Peut-êtrc
powtatlc m'occapcr de
ton ftls
certatrs
d'un cran de plrr vers la sorbe C'e§ le derner
appren[ssage, le plw dur peul -ëte « On apprend
à ne phts être srrie detnnt de la scèr:e, à ne pfus
ête concemé enpremer, explquefuruckleg'utiIette. Mas c'esl à ceüe conùfron
qte )'on peut avotr
» Ce renonce*
de bonnes relafrons avæ
permet
d'ête
des
autes
ia
vte
à
régenter
ment
dars lQpr.ne du hen « k seule chose qw m'rn-
les
erfants
porle auftnd, c'esl que mespeÙE-enfants profitent
de tout l'amow que p pew lew donner », ésume
\4ane-Clare Cham Vorlà pourquol certalrs sont
capables de passer au-dessus desploblèmes financlerc ou relatronnels Une sagesse que leurs
petrts-enhnts recherchent « ll y a we phtlosoplue
de la we,lon de la quête de pefæûæparcrûale,
À[rTREF6[S" ON (]OI\S{DERAIT ÇLi',ETHE CHÂI§D-MERE DE\rr\[T
mercreds, ma$ pas fou§ et ausst pendant les vacances, mats pas systémabquement, il s'aEt de
fatre comprendre aux enfants que |'on n'est pas
prêt à abandorner toute we sætale au bénéfice
des pet:ts-enfan6 rnar§ que æla ne veut pas dre
pour autant qu'on ne les atme pas » Message
subtù mars essentrel « A |'twerse, 1'a1 trop w de
grands-mères sutznvestr auprès de lews pebts'
enfanls et se retrouver wdées, sans acttwté n seûs
à donner à lew me, lorsque les Wttts gandssertl
et s'en vont »,témorgne Mane-Flançotse F\rchs
Grand-màe confiture un Jour grand-mère rar"
donneuse-rq6ageuse ]e lendemart, pourquol
lex ressoruces fmanctères le permettent
« Autrefots, on cortsdénnt qa'êbe grand mère étatt
w état qü detrail combler la femme lorqu'elle de-
pas
POTIR EN SAVOIR PLUS
Le Siècle des grandsperents. Une génération
phare, ici et ailleurs »,
Claudine Àttias Donfut,
Martine Segalen, Âutrement
2Ao1,247 p., l9 €.
<<
jeu des sept familles
pour une cohabitahon
« Le
harmonieuse entre les
grénéralions », Christiane
Collange, Robed Laffont,
201 1,230 p., )9 €.
1
venatt mons désrable, con§tate Chnsbane Collange Mars ces Er-ancb-mères "a.bsoiues" soal en
vote de dspanton » PIus fi:rrgants que ieurs pÉdecesseurs, les grands-pères parlopent dumouvement « le ne suts pas prét à renoncer à mes acÜlafes sor.rs prctexte de m'wuper de mes
lew [atre partaget
Wttts-entants , par conte,l'atme
cedaxre,s passi ons, colnme les grandes balades en
forêt», reconoait im grdnd-père de 65 ans, adepte
d'ur: rrtuel emprurité à Mane de Hennezel (< Ia
Chaleur du cceur empêche nos corp§ de rouller », Robert laffont,2008) . por:r leur dmème anruvenare, ses petb-enfants ont 1ou§ drolt à un
voyage mervelleux, preparé pendant des mor t
grrandes constantes, elles, ne changent évrdernrnent pas danerur grand-parent vous porlsse
les
écoute,
appreaés
du temps, qta sont autant d'éléments
par
les petts-enfants », constate Chns-
tane Ælès « Avec mes peût*enfana,
p
voudras
pouyotr donner des corser.ls de bonne I4e, sans
pour autant que fon fase de mot w ret-atté qt a
des hobbps et des occupahora du totsème âge »,
conclut ce leune gr-and-père, rcsumaut en une
phrase tor.rte l'ambvalenee et la complexté du
rôIe de grand-parent au;ourd'hru
r
POUR APPREI\TIS
PAPIS ET MAMIES
.I/Ecole des gands-patonts européens, ce sont cinq cents aPPels Par
an,une üngtaine de médiation§ enble
parcnt§ et gzands-parrents : "On esl Ià
pour établir des liera ntergénération'
nels,pas pow être I'avocat des grandsparents", précise Monique Desmedt,
médiatrice à I'EGPE. Mais ausst : des
groupes de Parole, des séminaires,
des actiütés intergénérationnelles.
wwwegpe.org
. Ei pour qui n'a pas de Petit-enfant'
l'association Grands parrairs prcpo§e
de darcnir grand-père ou grand-mère
d'adoption.
www. girandsParrarns,Ë
promotion des relalioos inlergénérations, toutes citâlions
Eléments de recherche : EGPE ou Eæle des Grands-parents Européens : association de
EGPE
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14 BOUI.EVABD HAUSSMANN
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75{{}8 PÂRls CEDEX 09 - 01 57 08 50 00
Page 1/I
lmËernet facilite les relations emËre
[es générations
Une étude canadi.erme montre que la transmission
familiale dépend des loisirs cÛmmuns'
ÂrƧs§Ês
PertzBer dæ loisiEi eruLmblc
E)ur mi€u transrettE. SeLn urc rtudt
q\r vlen Ht de publler
au
CilÂda
r*attee
d6 clærcheus de l'rmrverstté de Cbrmr-
FÂISLII
dir
à -VonEéal, le
mimien d'aüivfë
de
loists comrnurs sntte lcs Sran&-prrcnts
Et leus Pelil§-enfmts dwËnu§ jeuffi
rdulles 6t prirlordtâI. Un t en qu'il n'€st
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k§ gnnds parent§ frençâis $nt k8ê à h
rË[æ effiigtr€. Et c}laeD , s rtrett6'
Derlb quelqrr§ ,nnm, ce grand-Père de
S pmits.cnfants, dont trols ÊÛtre 16 et
2l rns. ['€§ mi\ à l'infirmliqu FÜ ttx
ei dtilo{ue désonMis par mal.! avec eu
une coàplÈité qui hs mpproche phsiem
fois
w maiæ. .
APrùc
wwwk qÀ
o
lJÿibâ twc ÀüreE]n:r--fûe de lç dw,I'ai
ælsned ærc cb &s PlDf6 et ruffi§
Q!'ll servê
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ou ald€r
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mmrmorûmrro« eliÉ
rirs t fÊncoiæ, Pourtan(
" milrtient le lien notammerrt en
pæ36,
emnant sPetirc-nlk de 17âns P(rurd§
âgès-midi de shopPing ou de leche
coi1r
ttien lc malûtien d'artlvit§ (lmungi c§1
m lrJeur de oanînisslon d6 valeurs et'
un moÿm prMlegie de PerPetua I'heritagc (amitial. Par des activités e prioli bâna
Is, come la cuisinc' le strupping ou en'
core
dr
simples dl§cu§ons
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femillales. . 1e3 octivü$ de lowsûrnt h
DosflÀ'lilé sur arsnds firenls de prtoyr
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n,rus sicinr dc ws rhuir I ', wurt-ellt'
âuù" grând-pere a dË1dé d'cmmetEr
depuls quelques crees ffi Petlts-enftnts
adôterents chaqw hiver une rmaine a lâ
nontagnc, un muYen Pu lui de ls evuir
de maiière priv'ilégiée en leur trisenl pleisjr. Mats qd dft adeptatlon àux sct vlté§ du
ieurc va parfols dc Flr âÿæ la trenmis'
'gon
a'm hcritagc lamiliel. ' J'esvie ou
poxge tle Prkr Mr ruÿ Wtil§-aÿi['(É
Cet
indspemables
engùÉte de I'observatoue de usâg5 Intanet MeôametBe de tewler 20u tes Plus d€ 50 ffi
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DÔU Internet - Lo derDcre de(cme
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El, minc dc rien, ils apprennenl ainsi un peu leur histoir€ famlliele.
sefl ousl ôloirc les r.le ^ P61ats. hÏotc
wjÆ el jurlet æu de mthr I ., Elisr ce
papy deciderem dwënu 1Iè§ Î&hno. El
les échânges !'ont elo§ bon trâln. Pou les
grands parcuts. lc loumt dc I'adolcs
(ffi 61 imlrrrtmt - ls Srstfu-Waÿt
qd s gonr beo4û9 lmeJtl§ P?,ldoil I e,lîM & lews petils sÿal§ Peu'snr res *nli, ure qruù wllIw qwrd x der
triæ §'élrligMt
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Profiter de so retroite pour retourner sur les boncs de moternelle et
onimer des oteliers de longoge ? C'est I'oventure que nous roconte
Elyette Joubert o I'origine, ovec Annie Sussel, de Dire ce que je veux dire,
une initiotive rnenée por I'ossociotion EGPE*.
Enfant magazine : Cornrnent votls
êtes-vous investie à I'EGPE* et plus
particulièrement dans Dire ce
que je veux dire ?
Elyette Joubert : " Ces ateliers sont le fruit
de deux impulsions conjointes, celle de mon amie
Annie Sussel et la mienne. Quand nous nous
sommes retrouvées à la retraite, Annie et md
étions plusieurs fois grand-mère. Trois petitsenfants pourAnnie et cinq pour moi !Toutes deux
très impliquées dans notre grand-parentalité
et la transmission des valeurs familiales, nous
aüons aussi envie de nous investir en dehors
de nos familles. Annie avait mené une carière de
professeur d'anglals en khâgne. J'avais été
directrice d'école élémentaire et maître formatrice
de professeurs des écoles, Alors pourquoi
ne pas apporter aux enfants moins favorisés que
les nôtres un peu de notre savoir-faire ? "
Plus d'in-fos
Vous souhaitez
en savoir plus sur
cette initiaiive ?
Rendez-vous sur
Allo-grandsparents.fr,
le site des grandsparents européens.
92 o rNrRrur L4AGAZINE
Dans quel but les ateliers Dire ce que
je veux dire ont-ils été créés ?
E. J. : " ll s'agit, dès la maternelle, de la
prévention précoce de la violence par la maîtrise
du langage. Comme l'a dit le linguiste, Alain
Bentolila : "Quand on ne maîtrise pas le verbe,
on en vient aux mains." Le langage est un fossé
qui se creuse très tôt et ceux qui n'ont pas les
mots utilisent souvent leurs mains et leurs
pieds... Notre objectif est de permettre à des
enfants inhibés, qui ont du mal à s'exprimer
FÉvRlER/MARs 2012
soit parce qu'ils sont non francophones, soit
parce qu'ils sont en difficultés, d'oser prendre
ia parole, de se raconter. De leur donner
la possibilité de résister à la violence quand
manquent les outils de l'argumentation. ,
Comment se déroulent-ils ?
E. J. : . Des grands-parents, toujours en
binôme, prennent un groupe de quatre enfants,
sélectionnés par l'instituteur, une demi-heure par
semaine sur le temps scolaire en maternelle.
Ce sont loujours les mêmes grands-parents
pour le même groupe d'enfants, Pour apprendre
à parler, nous insistons sur l'importance des
rituels. A chaque atelier, nous répétons le même
cérémonial : le bonjour, la présentation par les
prénoms... La répétition sécurise les enfants et
instaure la confiance. Et puis, autour d'activités
ludiques - marionnettes, comptines, lectures
d'albums, etc. -, les grands-parents aident
les enfants à s'exprimer dans un climat affectif
et plus personnalisé, ce qui n'est pas
malheureusement réalisable pour l'instituteur
dans une classe de vingt-cinq enfants ! ,
Votre âge est-il un « plus » auprès
des petits ?
E. J. : n En plus d'aider les enfants à exprimer ce
qu'ils ont à dire, ces ateliers sont une façon de
transmettre une tradition. lls sont un lieu de
transmission entre les générations. Les grands-
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parents s'y racontent aussi. lls parlenl d'eux
quand ils étaient enfants. Pour les enfants
d'origine étrangère.,. qui assistent à ces ateliers
et qui n'ont pas forcément leurs grands-parents
près d'eux, cette portée intergénérationnelle
a un grand intérêt. Elle donne à ces enfants la
notion du temps et leur faire comprendre
ce qu'être inscrit dans une lignée signifie. "
Etes-voLrs satisfaite des résultats ? Est-ce
une initiateve arnenée à se développer ?
E. .,§. : " Après deux ans d'expérimentation, cette
initiative a reçu l'agrément du rectorat en 2010.
D'ici la fin de l'année, quinze écoles à Paris,
bénéficieront de ces ateliers de langage. Chaque
ouverture d'atelier est une action très
sérieuse et extrêmement bordée, qui nous
mobilise énormément. Aujourd'hui, nous avons
plus de demandes d'écoles que d'intervenants.
Nous cherchons des volontaires I Nos
bénévoles sont sélectionnés comme dans un
entretien d'embauche. On ne peut pas se
permettre de faire intervenir n'importe qui avec
des enfants dans une école. Bénévoles,
mais pas dilettantes I Après avoir été recrutés,
les grands parents bénévoles suivent une
formation obligatoire, assurée par des équipes
pédagogiques constituées de professeurs de
l'Education nationale, des orthophonistes,
des psychologues scolaires, des conseillers
pédagogiques... Chaque nouvelle recrue est
parrainée et intègre l'atelier de langage en
douceur. Pour ma part, je fais un gros travail de
prospection. Je présente le projet aux
inspecteurs, aux écoles, et j'assure le suivi des
ateliers sur le terrain. Nous avons énormément
de demandes, en province notamment et des
difficultés à y répondre rapidement. Nous
ne demandons qu'à développer cette action,
mais Ça ne peut pas s'improviser ! "
Fropos recueillis par Frédérique Odasso.
.EGPE: Ecole des grands-parents
européens,
L'EGPE, qu'est-ce que c'est ?
L'EGPE, l'Ecole des grands-parents européens, est une association
qui privilégie la force du lien entre les générations. Eile se mobilise
depuis sa création sur des travaux de réflexion et de recherche
permanentes, afin d'éclairer la connaissance de la grand-parentalité.
Son objectif est d'apprendre aux grands-parents à se pedectionner
dans le " métier de grand-parent » pour trouver une juste place
dans la famille, leur faire accepter à ne pas être les parents de leurs
petits-enfants et pour éviter la confusion des rôles, génératrice de
nombreuses tensions familiales. Elle se veut aussi un lieu
d'apprentissage du bien-vieillir dans son corps et dans sa tête par
une meilleure appréhension des difficultés liées aux grandes étapes
de la retraite. Elle offre la possibilité de poursuivre une vie active
post-professionnelle où chacun peut valoriser son expérience,
Ia partager, la transmettre, et construire des liens intergénérationnels.
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> présentatioo
> le blog
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hÀctoircs dc
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> à venir
> coôlact
mercredi 23 févrte( 2411
Quel{es nourrelles places pour tes grands parent's ?
padicipez
témoign8ge, questions, réaciions...
p3r léléphone au 0 1 15 7A 7WO
ou laissêz un -@mmentairg
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inrrités
Anno-Solênn Le Eihatl
je vais choz mâmiê l
psycho,oguo clinicienre êt théEpeute familiale' aut€ure dB « Si tu dis non,
bciions L-arouss, le règard d'un p§y sur le rôle de§ gBndsfarents a\rjourd'hui'
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Claudine Attla§-Donfut
quoslions liéês au vieillissêmenl
sociotogu6, dirEctriæ dss rEcfBrches à la cttAV. SÉcialiste das
at aux lisns inter{énérationnels.
^aûlttÔNH
TJATT-A.S
Ja<4<.+4e
Martine
grand-mère de 6 enfaîts. vit à Metz.
programmation musicale
> fÀsrin€
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Ayo:
C.lste
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l'm gonna dancê
Le reportage
pârents Dirsction Sl Maur des
ôÀ"nær"niO,amUia0c€, pour alie," r.ndre visite à d'aulrès gtands
Èoi.6", O"nr lê 94, tlotrê'reporter Raphàl Yem ssl allé dânser.su goûter musiæl de la résidonc€
ss mu§ un€ halte
arlnUi,ays Cette rnaison de'relraite publique a ;3 partielarîlé d'8æillirdans petils,
el personnes
g"rC"ri., tt donc, de favoriser les activités iotergénérationnelies, enlre tous
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àæà" O" pLs en plus d,élablissements da ce genre ouvrenl en Francê. C€l après-midi
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