CP DASTRI 2015 REGION_MARTINIQUEV2
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CP DASTRI 2015 REGION_MARTINIQUEV2
Communiqué de presse Paris, le mai - juin 2015 À L’OCCASION DE LA SEMAINE NATIONALE DE PRÉVENTION DU DIABÈTE 2015, DASTRI PUBLIE SES RÉSULTATS EN MARTINIQUE À l’occasion de la semaine nationale de prévention du diabète (6 au 13 juin 2015), DASTRI, l’éco-organisme à vocation sanitaire agréé par l’État pour prendre en charge gratuitement la collecte et l’élimination des Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux (DASRI), perforants, produits par les patients en auto-traitement (PAT), fait le bilan. Avec de nouveaux objectifs et une toute nouvelle campagne de communication placée sous le signe de l’adhésion au tri des DASRI, l’éco-organisme est plus que jamais mobilisé pour atteindre, d’ici 2016 l’objectif de 60 % fixé par son cahier des charges d’agrément. DES EFFORTS À FOURNIR EN MARTINIQUE POUR LA COLLECTE DES DASRI Avec 0,94 tonne de DASRI collectées lors du premier trimestre 2015, la Martinique atteint 33 % du gisement estimé produit sur le territoire. L’information et la mobilisation sont donc indispensables si l’on compare ce résultat au taux de collecte national qui est de 57 %. Afin de soustraire les DASRI à la chaîne de déchets ménagers, DASTRI met à disposition des 13 879 patients martiniquais concernés, des boîtes à aiguilles jaunes à couvercle vert. Les patients peuvent se les procurer gratuitement auprès de chacune des pharmacies du territoire. UNE CAMPAGNE DE SENSIBILISATION NATIONALE ET RÉGIONALE À L’OCCASION DE LA SEMAINE DE PRÉVENTION NATIONALE DU DIABÈTE (6 AU 13 JUIN 2015) « Tout le monde le fait, parce que c’est facile, utile, responsable. En triant mes DASRI, je suis membre d’une communauté, la communauté des Dastrieurs. » Tels sont en substance, les messages positifs insufflés dans la dernière campagne de communication à destination des patients en auto-traitement. Aujourd’hui, la collecte des déchets de soins perforants est entrée dans les habitudes, au regard du taux de captage national de ces déchets, de 57%, enregistré er au 1 trimestre 2015. Pour autant, la mobilisation ne doit pas faiblir, bien au contraire : utiliser sa boîte jaune à couvercle vert, constitue un geste utile et de plus, valorisant (protéger ses proches et les personnels de collecte). Aussi, le tri des DASRI est un geste quotidien, pour lequel une solution de proximité adaptée au territoire est proposée : le patient va chercher sa boîte à aiguilles à sa pharmacie, la rapporte au point de collecte proche de chez lui (outil de géolocalisation sur dastri.fr). Au même titre que les pharmaciens, les médecins et les collectivités locales, les associations de patients contribuent à informer et mobiliser la communauté des Dastrieurs. Cette campagne de communication est donc fortement ancrée en région et cible plus particulièrement les territoires dans lesquels les taux de collectes doivent progresser. * janvier à mars 2015 ENQUÊTE DASTRI EN MARTINIQUE : MÉDECINS, UN RÔLE MAJEUR À JOUER DANS LA FILIÈRE DASTRI L’enquête DASTRI menée auprès de 20 médecins en Martinique mesure leur connaissance de la filière et le rôle qu’ils souhaitent jouer auprès de leurs patients. ü ü ü ü ü Premier constat très positif : les médecins interrogés en Martinique - 95 % de médecins généralistes libéraux et 5 % de diabétologues ou endocrinologues - considèrent, à 65 %, quʼil leur appartient complétement, en tant que médecin, de sensibiliser et dʼaccompagner leurs patients en auto-traitement dans la gestion des DASRI quʼils produisent à leur domicile, sans lʼintervention dʼun professionnel de santé dans le cadre de soins tels que lʼinjection dʼinsuline ou la mesure du taux de glycémie. Ils sont au total 90 % à partager ce point de vue : 65 % estimant que cela fait totalement partie de leur rôle et 25 %, « en partie ». Frein actuel à lʼimplication effective des médecins généralistes dans la filière DASRI PAT : le manque de connaissance précise que ces professionnels de santé ont eux-mêmes du dispositif. Si plus de 55 % dʼentre eux ont certes entendu parler du système, 40 % déclarent mal connaître les modalités de distribution des boîtes permettant de trier les aiguilles. Pour pallier le déficit dʼinformation, les médecins suggèrent en priorité la diffusion dʼun outil pratique de type flyer, que ce soit à leur intention (suggéré par 65 % des interviewés) ou à lʼusage des patients (recommandé par plus de 60 % des médecins interrogés). Contacts presse DASTRI Sandrine Francisco– 05 96 50 86 45– [email protected] Thomas Marko & Associés Sarah Chabane – 01 44 90 87 46 – [email protected] Laure Kuntzinger – 01 44 90 83 40 / 06 18 95 97 44 – [email protected] À propos de DASTRI Créé en février 2012, DASTRI est un éco-organisme à vocation sanitaire (association de droit privé à but non lucratif). Agréé en décembre 2012 par les pouvoirs publics, DASTRI est en charge de la collecte et du traitement des Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux (DASRI) des patients en auto-traitement. Les déchets piquants, coupants et tranchants sont à trier dans des conteneurs spécifiques, les boîtes à aiguilles. DASTRI fédère 48 entreprises du médicament et fabricants de dispositifs médicaux. Ils financent la filière à 100%, sans répercuter le coût sur le patient. À ce jour, DASTRI s’appuie sur 14 000 points de collecte répartis sur 100% du territoire métropolitain et ultramarin ; www.dastri.fr / http://nous-collectons.dastri.fr/ * janvier à mars 2015