potiche - UHasselt

POTICHE
Film réalisé par François Ozon, 2010, 103'
Rôles principaux
Suzanne Pujol
Catherine Deneuve
Robert Pujol
Fabrice Luchini
M. le maire-député Maurice Babim Gérard Depardieu
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Potiche
Ann Knaepen
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Nadège
Joëlle Pujol
Laurent Pujol
Karin Viard
Judith Godrèche
Jérémie Rénier
L’internet
Site officiel du film:
http://www.potichelefilm.fr/
Site officiel du réalisateur:
http://www.francois-ozon.com/
Bande-annonce :
http://www.youtube.com/watch?v=Jp3K8D-qrkw
RÉSUMÉ
En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et
soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et
s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il
prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se
retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et
d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…
La presse
Potiche: une bouffée d'air frais à Venise
Il est rare de voir des comédies briller lors de grands festivals cinématographiques. Pourtant, c'est le cas
de 'Potiche', sélectionné pour la course au Lion d'or et acclamé par le public. Il faut dire, le palmarès est
des plus prestigieux: Catherine Deneuve et Gerard Depardieu (certainement les deux icônes les plus
sacrées du cinéma français) à l'écran et François Ozon, aux commandes.
Le film a été représenté sur place par Catherine Deneuve (que la critique qualifie d'excellente et sublime
dans le film) et Fabrice Luchini, qui partage également l'affiche du film.
______________________________
Depuis son excellent '8 femmes', on savait François Ozon particulièrement sensible aux personnages
féminins haut en couleurs et en quête d'autonomie et d'indépendance. C'est dans cette droite ligne
politique et stylistique (ici, un kitsch 70's exubérant mais résolument au service de l'histoire) qu'il a adapté
la pièce de théâtre éponyme pour en tirer une comédie brillante, drôle et outrancière. Ozon assume les
codes de la comédie de boulevard et en surjoue à plein régime: les portes claquent, les cadavres sortent
des tiroirs et les potiches rebondissent entre les jambes des mâles. Mais sous couvert de situations
abracadabrantesques portées par des dialogues aussi percutants qu'hilarants, il développe un point de
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vue authentiquement féministe et aborde, avec une sérieuse légèreté, le droit des femmes à disposer de
leur corps, leur enfermement domestique ou le frein social et familial à leurs ambitions professionnelles.
En plaçant son histoire à la fin des années 70, Ozon pointe, par ricochet temporel, le peu d'évolution du
statut de la femme depuis cette période de revendications et de luttes féministes. Difficile d'affirmer que
'Potiche' jouera un rôle dans la libération des femmes mais, ce qui est sûr, c'est qu'il libère avec bonheur
la comédie française du joug pesant de la médiocrité.
David Morelli 3/11/10
13/11/2010 Annie Coppermann
Les parapluies de Sainte-Gudule
Il y a… quarante-sept ans, elle dansait à Cherbourg, sous des parapluies multicolores. Aujourd’hui, elle dirige, à
Sainte-Gudule dans le Nord, une usine qui en fabrique. Le temps passe, la cigale est devenue fourmi. Mais, dans
« Potiche », Catherine Deneuve n’a rien perdu de sa blondeur, ni, après quelques passages à vide, de son charme.
Car François Ozon, qui l’avait naguère mise à la portion congrue dans « 8 femmes », lui a ici cousu un rôle sur
mesure. Tissé d’auto-dérision et de nostalgie, un mélange qui lui va bien. Elle s’y délecte, à l’évidence, jouant le jeu
avec une gourmandise à laquelle il est difficile de résister.
Ce n’était pourtant pas joué d’avance. Car « Potiche », les plus anciens s’en souviendront peut-être, ce fut d’abord un
vaudeville signé Barillet et Grédy, les grands maîtres du théâtre de boulevard, un triomphe, en 1980, du théâtre
Antoine. Pierre Mondy y mettait en scène Jacqueline Maillan, justement appréciée pour son infatigable abattage, ses
mimiques forcées et ses éclats de voix. On ne voyait guère l’élégante et discrète Deneuve à sa place. On avait tort.
Sous la houlette d’un Ozon à la fois complice, émerveillé et un rien provocateur, elle fait tout autre chose : une
succession de clins d’œil. Au féminisme, aux slogans politiques du jour (du style « travailler plus pour gagner plus »)
et, last but not least, à sa propre (et grande’) carrière. Et le cocktail, parce que c’est elle, s’avère gouleyant.
L’histoire…. est du pur boulevard. Soumise, en bigoudis et tablier de cuisine, aux humiliations quotidiennes d’un mari,
Robert Pujol, aussi odieux et tyrannique au foyer (il est non seulement macho mais volage) qu’aux commandes de
son usine de parapluies, Suzanne ne se plaint jamais. Mais tente de mettre un peu de couleurs dans le gris d’un traintrain confortable en pratiquant footing (en survêtement rouge) et jardinage, entre deux émissions d’ « Aujourd’hui
Madame » (nous sommes dans les années 70). Ses enfants, une fille tranchante et pincée, à l’évidence elle aussi mal
mariée, un fils peroxydé et évaporé, ne lui sont d’aucun secours. Résignée à n’avoir pas plus d’existence qu’une
« potiche » elle voit son destin basculer du jour au lendemain quand son mari, victime d’une crise cardiaque dans le
bureau où ses ouvriers en grève le séquestraient, doit s’arrêter pour six mois. Il faut quelqu’un pour reprendre les
commandes. Elle s’y lance, sous les lazzis de son entourage. Permanentée, embijoutée, envisonnée, et… affolée. Mais
bientôt, ses maladresses ne cacheront plus son bon sens, son charisme, et… son cœur. Femme de sagesse et de
dialogue, elle renoue avec son amour de jeunesse, devenu le député maire communiste de sa commune, et apaise,
avec son aide, les féroces syndicalistes qui bientôt ne jurent plus que par elle. L’usine repart de plus belle et il ne
reste plus à la belle pédégère qu’à emprunter la voie royale toute tracée d’une élection remportée, cela ne vous
étonnera pas, grâce au slogan fédérateur d’une maternelle fra-ter-ni-té. Là, nous ne sommes plus dans le vaudeville,
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mais dans le conte de fées. Ironique, sans doute, mais « en-chanté » ; La preuve : en finale, Deneuve chante, ellemême, et bien, que la vie est belle. Que demander de plus ?
Certes le scénario, auquel Barillet lui-même a re-prêté main-forte, n’est pas avare de clichés, qu’Ozon amplifie sans
complexes. Mais il faut reconnaître que le dialogue, très théâtral, est souvent drôle, que les décors et costumes
vintage, orange, marron, fleuris, très années 70, nous font délicieusement sourire et que, surtout, la distribution,
autour de la grande Deneuve, est subtilement craquante : en patron réac, mari égoïste, amant mufle, Fabrice Luchini
en fait joyeusement des tonnes. En fille plus embourgeoisée que sa mère, épouse soumise et langue de vipère, Judith
Godrèche à contre-emploi fait presque peur. En fils dandy un peu trop blond, moulé dans des sous-pulls trop colorés,
Jeremie Renier attendrit.. En assistante-maîtresse plus hypocrite que dévouée (d’ailleurs, elle va trahir !) Karin Viard,
comme toujours très spirituelle, séduit. En maire militant, député rouge et amoureux transi, enfin, Gérard Depardieu,
colosse qui, le temps d’une danse, peut se faire léger, émeut presque. Deneuve-Depardieu, rappelez-vous, c’était
« Le dernier métro », et, depuis, six autres films, de « Drôle d’endroit pour une rencontre » à « Les temps qui
changent »… Les temps changent, en effet, le couple reste. Ozon le sulfureux nous l’offre avec un sourire sans doute
un peu biaisé. Les cinéphiles le prendront comme un cadeau, empreint de nostalgie…
Mon avis :
Artificiel, boulevardier, mais aussi plaisamment subverti, le vaudeville est ici à voir au second degré. Il peut alors
séduire, sans prétendre au chef-d’œuvre, grâce à ses interprètes et, en tout premier lieu, à une Deneuve qui retrouve
tout son éclat dans un registre relativement neuf pour elle. A Venise, « Potiche » fut l’éclat de rire d’un festival il est
vrai plutôt austère. Dans les salles, il devrait faire oublier, le temps d’une soirée la grise humidité de novembre. Et
grimper très vite en haut du box-office.
QUESTIONNAIRE
1. Quelle est la première image du film ?
2. Où sommes-nous et à quel moment dans le temps ?
3. Racontez ensuite la scène suivante.
4. Pourquoi la bonne n’apporte-t-elle pas le petit-déjeuner ?
5. Comment s’appelle le couple ?
6. Robert Pujol que fait-il dans la vie ?
7. A qui cette usine appartenait-elle avant d’être dans les mains de Robert Pujol ?
8. Pourquoi Robert Pujol a-t-il des difficultés ?
9. Donnez quelques exemples des revendications.
10. Est-ce que le couple a des enfants ?
11. Qui est Nadège ?
12. A quel stéréotype cette secrétaire correspond-elle?
13. Joëlle visite sa mère. Qu’apporte-t-elle et pourquoi ?
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14. De quoi la conversation des deux femmes traite-t-elle ?
15. Que signifie le mot ‘potiche’ ?
16. Est-ce que Suzanne a l’impression d’être emprisonnée ou est-ce qu’elle est heureuse ?
17. Pourquoi Robert Pujol rentre-t-il le matin un instant à la maison ?
18. Que lui raconte à ce moment sa femme ?
19. Pourquoi Robert s’y oppose-t-il catégoriquement ?
20. Que se passe-t-il ensuite ?
21. Qui décide d’y aller pour sauver l’affaire ?
22. Comment décide-t-on ensuite de s’y prendre ?
23. Que fait-elle ?
24. Qu’apprenons-nous à propos de leur relation?
25. Quand Robert apprend que c’est Babim qui est responsable de sa libération, comment
réagit-il ?
26. Or, on a besoin de quelqu’un à la tête de l’usine où les troubles sociaux ne s’arrêtent pas.
Que faire ?
27. Comment Suzanne s’y prend-elle ?
28. Comment s’appelle la gamme osée qu’il a conçue ?
29. Dans le film, vous voyez souvent des voitures ainsi que leur plaque d’immatriculation. Avezvous pu voir à quel département appartiennent les voitures ?
30. Que se passe-t-il au moment du retour de Robert Pujol ?
31. Est-ce que Robert peut accepter que ce soit sa femme qui dirige dès à présent l’entreprise ?
32. Entretemps Babim a été informé des plans de Jean-Charles qui croit que l’avenir de l’usine
passe impérativement par la délocalisation. Comment y réagit Suzanne ?
33. Robert a également fait croire à Babim que Laurent est son fils. Quelle est sa réaction quand
Suzanne lui révèle que ce n’est pas le cas et que, au contraire, Laurent est le fils du notaire,
maître Balestra ?
34. Est-ce que Suzanne possède assez d’actions pour rester l’actionnaire majoritaire ?
35. Quel sera le résultat définitif de la répartition des actions ?
36. Pourquoi Joëlle a-t-elle choisi le camp de son père ?
37. Comment Suzanne y réagit-elle ?
38. Qui est son opposant ?
39. Comment évolue la relation entre Robert et sa femme ?
40. Qui gagnera les élections ?
41. Quel est la teneur de son discours ?
42. Avez-vous aimé le film ? Pourquoi (pas) ?
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EXPLOITATION
VOCABULAIRE
1. Combinez les mots de la colonne de gauche avec ceux de la colonne de droite et
expliquez, faites éventuellement une phrase significative
1 se charger
a. sauvage
2 donner
b. radicale
3 poser
c. ennemi
4 bon
d. de jeunesse
5 le capitalisme
e. de poule
6 hors
f. collective
7 une réforme
g. de cerveau
8 un avenir
h. de l’entreprise
9 mon pire
i. une question
10 la fermeture
j. charentaises
11 un examen
k. immédiat
12 négocier
l. à l’amiable
13 une erreur
m. la loi
14 une secrétaire
n. approfondi
15 tâter
o. de l’éducation des enfants
16 une mère
p. mois
17 une augmentation
q. anniversaire
18 la chair
r. poil
19 le treizième
s. législatives
20 être de mauvais
t. le terrain
21 prendre
u. le pouvoir
22 une convention
v. des effectifs
23 un lavage
w. modèle
24 une paire de
x. de plaisance
25 un bateau
y. irréprochable
26 les élections
z. un jour de congé
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2. Indiquez le genre et puis employez les mots dans une phrase
-
… répit
-
… répulsion
-
… erreur
-
… réduction
-
… orientation
-
… examen
-
… grève
-
… avis
-
… parole
-
… énergie (fém.)
-
… secret
-
… pause
-
… urgence
-
… médaillon
-
… écart
-
… avortement
-
… usine
-
… TVA (taxe à la valeur ajoutée)
3. Donnez le nom de la personne (ex. la police un policier)
-
la grève -
la gestion -
la pâtisserie -
la direction Week van de Franstalige film 2011-2012
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4. Traduisez en français/ en néerlandais
-
Ik heb geen tijd meer. /
-
Ik denk dat je voldoende gerust hebt. /
-
Ik ken daar niets van. /
-
Ik ben voor de verzoening. /
-
Papa was geliefd bij de arbeiders. /
-
Gelieve uit mijn wagen te stappen. /
-
De strijd gaat door. /
-
Ça colle bien entre nous. /
-
Toujours de mauvais poil avec cette grève ? /
-
A défaut de négociations, je vous préviens qu’il y aura un durcissement de la grève. /
5. Expliquez les expressions / mots suivant(e)s
-
la dot :
-
les racontars :
•
Que signifie donc : « J’ai toujours été imperméable aux racontars. » ?
-
un contremaître:
-
les CRS:
-
le pourboire:
-
une ordonnance:
-
les effectifs:
-
la chair de poule :
-
misogyne:
-
une CCT :)
-
un arc-en-ciel:
-
un actionnaire:
-
la lune de miel:
-
en avoir ras-le bol:
-
épauler :
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6. Introduisez la traduction de l’adjectif donné dans la phrase
veeleisend (e)- redelijk – oud(e)– dom(me) – beter – buitengewo(o)n(e) – zeker(e) –
wetgevend(e) – betaald(e) – vakbonds- – ergste – dertiende – genummerd(e) –
toegevoegd(e) –
-
Suzanne Pujol participe aux élections ….
-
De quand datent les congés … en France ?
-
A leur retraite, les ouvriers recevaient tous un parapluie … .
-
Vous oubliez votre …
-
La secrétaire modèle qui se transforme en militante …!
-
Il y a des choses qui réclament une … urgence.
-
Est-ce que la taxe à la valeur … est comprise ?
-
Luttons pour un monde ….
-
Est-ce que les employés reçoivent un … mois ?
-
Quelle humiliation ! Libéré par son … ennemi !
-
Une réunion … a été réclamée par plusieurs voix.
-
Votre proposition ne me semble pas … du tout.
-
… dinde !
maîtresse. Elle se nomme politique. C’est une rivale ….
7. Donnez le contraire de l’adjectif donné
-
raisonnable -
perméable -
possible 8. Du verbe au substantif (indiquez toujours le genre)
Verbe
Substantif
(s’)écarter
-
(s’)occuper
-
(se) comporter
-
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(se) durcir
-
(se) séparer
-
appliquer
-
apporter
-
attribuer
-
augmenter
-
continuer
-
convenir
-
défendre
-
délocaliser
-
demander
-
déplacer
-
déposer
-
divorcer
-
échanger
-
élire
-
entreprendre
-
chose :
-
personne :
étudier
-
examiner
-
faire grève
-
action :
-
personne :
fermer
-
fonder
-
action :
-
personne :
humilier
-
intervenir
-
juger
-
libérer
-
lutter
-
mentir
-
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négocier
-
ordonner
-
posséder
-
privilégier
-
réduire
-
refuser
-
reprendre
-
reprocher
-
réussir
-
revendiquer
-
sacrifier
-
travailler
-
action :
-
personne :
GRAMMAIRE
1. L'accord du verbe avec le sujet. Introduisez les formes verbales à la forme
demandée.
-
C’est toi qui (servir, ind. présent) … le café maintenant ?
-
Ne me (dire, ind. présent) … pas que tu lui (donner, passé comp.) … encore …
un jour de congé ?
-
Si je (payer, ind. présent) ... des domestiques ce n’est pas pour que ma femme (être,
subj. présent) … au boulot.
-
(Arrêter, impératif sing.) … de poser des questions idiotes !
(Pujol à sa femme) Heureusement que je t’(épousr, passé comp.) … et que j’(sauver, passé
comp.) … l’affaire.
-
Il ne (manquer, ind. imparfait) … plus que lui !
-
Pourquoi tu ne l’(accompagner, condit. prés.) … pas dans ses déplacements ?
-
Qui (s’occuper, futur simple) … des enfants ?
-
L’éducation des enfants, maman, c’est moi qui (s’en charger, ind. présent) ….
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-
Parfois chez les couples les plus unis il y a des temps morts, puis ça (repartir, ind. présent)
….
-
Joëlle, je te (défendre, ind. présent) … de critiquer ton père.
-
Il faut que vous (passer, subj. présent) … une semaine à l’hôpital.
-
(Joëlle parle) Si on m’(écouter, plus-que-parfait) … avait écoutée, les CRS (intervenir, cond.
passé) ….
-
Ils (brandir, ind. présent) … des banderoles.
-
Tu (préférer, condit. passé) … qu’elle joue de la clarinette ?
-
Je crois que ça (aller, futur simple) … mieux ce soir.
-
Papa m’(offrir, condit. passé) … le même poste.
-
Papa m’(léguer, passé composé) … 15% des actions.
2. Remplacez les mots soulignés par le pronom personnel qui convient.
-
Leur père manque à ses enfants. -
Toi, au moins, tu as pensé à mon anniversaire. -
Je viens d’acheter cette rose. -
Je viens d’acheter une rose. -
Je ne connais rien à cela. -
Vous partagerez nos convictions. 3. Orthographiez correctement le son [ee]
-
Je viens de dépos… les enfants à l’école. Ils sont de plus en plus agit… .
-
Vous n’av… qu’all… voir les putes au Badaboum.
-
De toute façon je crois qu’on va se sépar… .
-
J’ai besoin de parl… de choses sérieuses avec toi.
-
Aujourd’hui, pour réussir, il faut se comport… en ordure.
-
J’adore la bombe glac.. .
-
C’est bizarre, il a quand même ses cl… .
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4. Introduisez la forme correcte de ‘tout’.
-
De … façon, je crois qu’on va se séparer.
-
C’est pas lui que je critique, maman, c’est toi, tu as … accepté.
-
Tu as un avis ? … ce que je demande c’est de partager le mien. … le reste c’est des paroles
et de l’énergie perdues.
-
… les matins au réveil je me le répète : ‘Je suis Madame, Pujol, je suis madame Pujol’.
5. Introduisez une forme correcte (adjectif / adverbe) du mot donné
-
Je crois que tu t’es (suffisant) … reposé.
-
Les voies du Seigneurs sont (impénétrable) ….
DIVERS
•
A faire éventuellement avant le visionnement du film :
Regardez attentivement l’affiche (p.1) de ce film. Vous y trouverez un tas d’infos sur ce que le
film promet. A quoi pensez-vous pouvoir vous attendre ? Pourquoi le pensez-vous ?
•
Regardez ces stills et racontez ce que vous voyez. Pouvez-vous également situer
l’extrait dans la chronologie du film ?
A.
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B.
C.
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D.
E.
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F.
G.
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H.
I.
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J.
K.
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L.
Ordre chronologique dans le film :
•
Connaissez-vous le peintre Kandinsky ? Faites quelques recherche sur la toile mondiale
(le web !) et commentez éventuellement un de ses tableaux.
•
Michelle Torr, Emmenez-moi danser ce soir
Ecoutez-la chanson (Youtube http://www.youtube.com/watch?v=KqBCzbg3iUQ) et introduisez
les formes du participe en les orthographiant correctement.
Aujourd'hui ça fait six ans que nous sommes ___________
Tu m'as _________ de beaux enfants tu sais
Et depuis ce p'tit bal où l'on s'est ___________
Je n'ai __________ de t'aimer
Mais ce soir j'ai envie de déposer mon tablier
De me faire belle pour toi comme par le passé
Ton fauteuil, ton journal, tes cigarettes et la télé
Ce soir laisse-les de côté
Emmène moi danser ce soir
Joue contre joue et ____________ dans le noir
Fais-moi la cour comme aux premiers instants
Comme cette nuit où tu m'as pris mes dix-sept ans
Emmène moi danser ce soir
Flirtons ensemble ______________ dans le noir
Timidement dis-moi 'Michèle je t'aime amoureusement’
Je suis ___________ la même
Il n'y a plus que tes amis et le football qui comptent pour toi
Et j'ai l'impression que tu ne vois plus en moi que la mère de tes enfants
Je ne te demande pas de m'offrir des fleurs tous les jours,
Mais de faire de temps en temps un geste d'amour
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Et ce soir je voudrais encore une fois te retrouver
Rentrer au petit jour et puis t'embrasser
Ton fauteuil, ton journal, tes cigarettes et la télé
Ce soir laisse-les de côté
•
Dans ce film il y a également un anachronisme. L’avez-vous repéré ?
•
la CGT, la CFDT : qu’est-ce que c’est ? Recherchez !
Recherchez comment s’appellent les principaux syndicats en Belgique.
•
On retrouve dans ce film deux grands thèmes. Les avez-vous repérés ?
°
°
•
Catherine Deneuve : recherchez quelques éléments importants de sa carrière
°
°
°
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