VINCENT, FRANCOIS, PAUL ET LES AUTRES

Transcription

VINCENT, FRANCOIS, PAUL ET LES AUTRES
VINCENT, FRANCOIS, PAUL ET LES AUTRES
Film de Claude Sautet
Avec Yves Montand, Michel Piccoli, Serge Reggiani
Durée : 01h53
Version Française
dimanche 01 mai 2016 à 20H30
Séance précédée d'une présentation par un membre des Montreurs d'Images
Mercredi
27 avril
Jeudi
28 avril
Vendredi
29 avril
18H15
Samedi
30 avril
Dimanche
01 mai
20H30
Lundi
02 mai
Mardi
03 mai
Cycle Claude Sautet
L'histoire
Amis depuis la plus tendre enfance, Vincent, François, Paul et Armand, tous la
cinquantaine, se retrouvent chaque dimanche à la campagne. Au quotidien, chacun connaît
quelques déboires sentimentaux. Mais lorsque Vincent est victime d'une crise cardiaque,
ses amis prennent conscience de l'importance de leurs problèmes.
Notes
Piccoli et Montand fidèles à Sautet
Claude Sautet retrouve ici deux de ses acteurs fétiches : Michel Piccoli et Yves Montand. Il
a dirigé le premier dans Les Choses de la vie (1969) et Max et les Ferrailleurs (1971), tandis
que le second a joué sous sa direction dans le comédie dramatique César et Rosalie (1972).
Prix Jean Cocteau 1974
Tourné en Ile-de-France et en Normandie, Vincent, François, Paul et les autres a reçu le
Prix Jean Cocteau 1974.
3e collaboration Sautet / Dabadie
Vincent, François, Paul et les autres marque les retrouvailles entre Claude Sautet et le
scénariste Jean-Loup Dabadie. Tous deux avaient déjà travaillé ensemble sur Les Choses
de la vie (1969) et César et Rosalie (1972). Cette collaboration se poursuivra avec Garçon !
en 1983.
Un film de potes
A travers cette chronique chaleureuse et réaliste, Claude Sautet dresse le portrait d'un
groupe d'amis quarantenaires sujets à des peines de coeur et à des difficultés financières.
La "communauté" est en fait un thème récurrent dans l'oeuvre du cinéaste. Pour preuve, ce
dernier prend plaisir à filmer une bande de malfrats dans Max et les Ferrailleurs, un triangle
amoureux dans César et Rosalie, les clients d'un restaurant dans Mado, l'entourage de
Romy Schneider dans Une histoire simple ou encore l'effervescence d'un bistrot parisien
dans Garçon !.
Un film "bourgeois"
Dès sa sortie en salles en 1974, le film fut qualifié de "bourgeois" par une critique parisienne
ralliée aux idées gauchistes de l'époque.

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