Clients légers et multimédia - Thin Client Software and Hardware

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Clients légers et multimédia - Thin Client Software and Hardware
L’image haute définition devient
incontournable – Clients légers et multimédia
L’expérience utilisateur avec un client léger est souvent jugée à la capacité du client
à traiter les contenus multimédia. Toutefois, dans ce cas, certaines options, bien que
techniquement faisables, n’ont guère de sens d’un point de vue économique. Le facteur
central est l’existence d’une bonne interaction entre le serveur et le client.
Au final, cela revient à tenir une promesse faite il y a des
années : l’utilisateur d’un client léger doit pouvoir profiter
d’une expérience aussi bonne que s’il utilisait un PC avec
des logiciels installés localement. C’est avec les applications multimédia que cette exigence devient évidente ; en
fait, la qualité de la lecture vidéo est un étalon de référence pour les nouveaux modèles de clients légers. Pour
résumer, s’il n’est pas possible de lire une vidéo YouTube
sans saccade ni décrochage, on considère que l’appareil
a échoué au test de convivialité. Bon nombre des facteurs
qui conditionnent cette capacité se trouvent du côté du
serveur. En fait, avec la bonne combinaison de matériel
serveur, de bureaux virtuels et de clients légers hautement
performants, il devient même possible de faire tourner des
applications exigeantes et gourmandes en ressources, de
CAO par exemple, dans un environnement client léger.
Performance multimédia et efficacité informatique :
une contradiction ?
Les fabricants de clients légers et de logiciels pour serveurs
collaborent en permanence pour améliorer la performance
multimédia de leurs solutions combinées, afin d’offrir non seulement des postes de travail classiques pour l’utilisateur régulier
mais aussi des services centralisés pour les utilisateurs avertis.
Selon la performance requise, l’utilisateur aura recours à des
bureaux virtuels, des PC lames ou des postes de travail montés
en rack. La puissance de calcul et la performance graphique
sont coûteuses et gourmandes en ressources. Sur le papier,
la situation dans l’informatique en réseau sur serveur n’est pas
fondamentalement différente de celle d’un PC local. Dans tous
les cas, il est nécessaire d’évaluer les exigences de l’utilisateur et de déterminer si l’utilisation d’un client léger justifie les
ADN, prestataire de services informatiques à valeur ajoutée, forme ses
partenaires commerciaux sur les derniers clients légers d’IGEL Technology.
dépenses supplémentaires pour le serveur (matériel et logiciel).
Par ailleurs, les clients légers offrent des avantages typiques
tels que la standardisation des postes de travail, la gestion à
distance, des faibles coûts de maintenance et de support, ainsi
qu’une plus longue durée de vie. Après avoir étudié les deux
options, l’institut Fraunhofer des techniques pour l’environnement, la sûreté et l’énergie (Fraunhofer UMSICHT) a choisi les
clients légers pour profiter des avantages de la standardisation. L’utilisateur standard du Fraunhofer UMSICHT accède à
ses applications via Citrix XenApp. L’institut a également défini
deux catégories de super-utilisateurs qui travaillent par exemple
dans des services spécialisés, les relations publiques, le développement de logiciels ou avec des outils de CAO. Ils utilisent
des applications telles qu’Adobe Creative Suite, Autodesk AutoCAD, Eclipse ou Microsoft Visual Studio, mises à disposition
via Citrix XenDesktop. Les trois groupes d’utilisateurs travaillent
sur les clients légers du fabricant allemand IGEL Technology.
Une architecture hardware robuste combinée à Citrix XenDesktop réduit la charge de calcul des serveurs système. Dans une
récente analyse économique, l’institut Fraunhofer UMSICHT a
estimé que le coût de ses postes de travail sur client léger était
de 36 % inférieur à celui d’une infrastructure basée sur des PC
et des applications locales, pour une utilisation équivalente 1.
Domaines typiques d’application
Les nombreuses promesses faites par le secteur de l’informatique sur serveur et des clients légers en terme d’expérience
utilisateur et de performances graphiques ont fait naître des attentes élevées chez les utilisateurs. Toutefois, si une allocution
du PDG en interne n’est pas diffusée sans accroc ni problème
technique dès le début, cela peut suffire à ruiner la totalité du
projet client léger. De plus en plus d’organisations ont recours
aux formations en ligne, aux webcasts et aux visioconférences
Client léger IGEL avec Microsoft Windows Aero
1
Institut Fraunhofer des techniques pour l‘environnement, la sûreté et l‘énergie (Fraunhofer UMSICHT) / IGEL Technology : Thin Clients 2011 – Ecological and
Economical Aspects of Virtual Desktops (http://it.umsicht.fraunhofer.de/TC2011/index_en.html, en anglais uniquement) ; client léger utilisé : IGEL UD3 LX
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FRISE CHRONOLOGIQUE ILLUSTRANT LE DÉVELOPPEMENT DE PROTOCOLES DISTANTS D’AFFICHAGE, LES FONCTIONS ASSOCIÉES ET
LES EXTENSIONS DE PROTOCOLE :
1980
1990
1987
X11
2000
1996
Microsoft RDP
1989
Citrix ICA
pour réduire le coût et le temps de transport. De plus, avec
Windows 7, les effets 3D et Aero deviennent la norme. Dans de
nombreux endroits, les réseaux sociaux tels que XING ou Facebook sont des canaux de communication usuels. Une multitude de sites Internet reposent sur Adobe Flash ou Microsoft
Silverlight. Dans certains cas, les podcasts et/ou les vidéos HD
peuvent être un élément majeur du travail quotidien. Le nombre
de stations de travail avec deux moniteurs ou plus augmente
également. Ce type de réglage bimoniteur est fréquent dans la
comptabilité, la planification ou les ERP, ainsi que sur les stations de pilotage de la production et de la logistique. Parmi les
autres applications exigeant une puissance multimédia conséquente, citons l’édition d‘images dans les services marketing,
les maisons d’édition et les agences publicitaires ou encore
les applications de CAO/FAO dans l’ingénierie et la médecine
(radiologie). S’ajoute à cela l’utilisation de plus en plus fréquente
d’écrans grand format avec Display Port et des résolutions supérieures à 1920 x 1080 pixels.
Facteurs d’influence sur la performance
La possibilité de remplacer un PC par un client léger dépend des
caractéristiques hardware du client et du serveur, de la solution
de virtualisation employée et du support logiciel fourni par le
client léger lui-même. Côté matériel, les nouveaux concepts de
clients légers basés sur des architectures ARM à l’épreuve du
multimédia et les concepts de « systèmes sur puce » (system
on a chip, SoC) représentent une avancée majeure en terme de
développement. IGEL Technology, leader allemand de la fabrication de clients légers, ajoute à ces systèmes un processeur
de signal numérique (DSP) spécialement optimisé pour décoder les derniers protocoles distants et contenu vidéo. Ainsi, un
client léger, pour un prix avoisinant 200 euros, peut offrir une
qualité de lecture de vidéos HD en plein écran qui s’approche
de celle des meilleurs modèles sur X86.
Les caractéristiques du réseau sont un autre facteur influençant
la performance multimédia de l’informatique sur serveur. Les
principales composantes de la performance réseau, à savoir la
bande passante et la fréquence, sont particulièrement importantes lorsqu’il s’agit de transmettre image et son en synchroni-
2010
2003
VDI (VMware)
2002
NoMachine NX
2010
RemoteFX
(Microsoft VDI)
2009
SPICE
Citrix HDX
PCoIP (VMware)
sation ou lorsqu’un scanner connecté à un client léger est censé travailler en réseau avec une application centralisée. Pour
éviter de gaspiller les coûteuses capacités de serveur sans
sacrifier la performance du rendu à l’écran, une bonne solution
consiste à utiliser les solutions de virtualisation de Citrix, Microsoft et VMware pour que le client léger contribue à la fourniture
de contenu multimédia. Par exemple, la redirection multimédia
(MMR) envoie les contenus multimédia, vidéos MPEG ou animations Flash, sans les traiter, du serveur vers le client léger où
ils sont exécutés localement. Cette solution exige que l’appareil
possède en local un lecteur et les codecs nécessaires pour
décoder le contenu.
Haute performance et flexibilité : Citrix HDX
Pour optimiser la performance multimédia lors de l’accès
distant via un WAN, Citrix a développé une technologie HDX
pour améliorer son protocole ICA standard et propose aux utilisateurs une large gamme d’options permettant de gérer les
contenus multimédia avec flexibilité. Par exemple, HDX Adaptive Orchestration autorise un décodage variable et dynamique
des contenus multimédia à partir non seulement de la bande
passante disponible en tenant compte des coûts, de la sécurité
et des performances. Selon que le client léger prend ou non en
charge les codecs requis, le décodage peut s’effectuer en local
sur le client léger ou de façon centralisée sur le serveur. Parmi
les autres fonctionnalités de HDX, citons la redirection de média
Windows, la redirection Flash, les communications audio/en
temps réel et HDX RichGraphics. D’une manière générale, HDX
RichGraphics optimise la performance des applications 2D et
3D gourmandes en ressources graphiques et des applications
à fort contenu média en utilisant diverses technologies telles
que des rendus logiciels/hardware dans les centres de calcul et
sur les clients légers. Pour les applications très gourmandes, y
compris OpenGL et DirectX, les versions Enterprise et Platinum
de Citrix XenDesktop offrent la fonction Citrix HDX 3D for Pro
Graphics. Configuration requise pour HDX 3D : la station de travail hôte/serveur doit être une machine physique puisque HDX
3D utilise l’accélération matérielle du processeur graphique
(GPU) sous-jacent ; le WAN doit afficher une bande passante
de 2 à 5 Mbit et une latence de 100 à 150 millisecondes.
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Principales améliorations :
Microsoft RemoteFX et VMware View 5
VMware et Microsoft ont également développé de nouveaux
protocoles ou des extensions de protocoles visant à améliorer l’expérience utilisateur. Microsoft a amélioré son protocole
standard RDP (Remote Desktop Protocol) avec RemoteFX pour
améliorer l’expérience utilisateur sur bureau virtuel via LAN. Le
label « Microsoft RemoteFX Enabled » apposé sur les clients
légers attestent que ceux-ci sont capables de lire des contenus
riches, par exemple via des vidéos YouTube (Flash), Microsoft
Silverlight ou le lecteur Windows Media Player. Ils prennent
aussi en charge Windows Flip 3D, un élément de l’expérience
Aero sous Windows 7 qui affiche la fenêtre des tâches actives
sous forme de piles 3D pratiques. VMware a réussi à contourner les limitations de RDP en intégrant le protocole PCoIP développé par Teradici. La fonction « View Media Services for 3D
Graphics » de VMware View 5 permet aux bureaux de faire
tourner des applications 3D de base – comme Aero, Microsoft
Office 2010, ou celles exigeant OpenGL ou DirectX – sans carte
graphique dédiée ni dispositif spécial sur le client (soft PCoIP).
Pour améliorer encore plus la performance, les versions 5 et
supérieures de VMware View permettent aussi au client de
mettre en cache le contenu multimédia. Tout comme avec
Citrix, les applications exigeantes comme les programmes de
CAO nécessitent une relation 1:1 dédiée avec un poste de travail en rack ou un PC lame avec une carte hôte PCoIP intégrée
de Teradici.
SOLUTION MULTI-AFFICHAGE D’IGEL
a Le fabricant allemand de clients légers IGEL Technology a
développé une solution multi-affichage reposant sur des
clients légers standard. Celle-ci permet à une station de travail
de gérer jusqu’à 8 moniteurs. La solution est administrée
centralement avec le logiciel Universal Management Suite
(UMS) d’IGEL, livré en standard avec les produits IGEL. L’UMS
offre aux administrateurs système et réseau un contrôle
complet sur la position des boîtes de dialogue et des fenêtres
d’application. Le cœur de cette architecture multi-affichage
est un client léger puissant IGEL UD5 LX Universal Desktop
équipé d’une carte Ethernet supplémentaire qui lui permet de
faire office de maître et de contrôler jusqu’à trois clients légers
« satellites » standard (gammes UD2, UD3, UD5 ou UD9 LX).
Les satellites se configurent automatiquement, et chacun peut
avoir jusqu’à deux moniteurs. Un scénario d’application typique
comprenant quatre à huit moniteurs serait les panneaux de
commande/de commutation utilisés par les entreprises de
production et de logistique, ou dans le secteur du transport.
Autre exemple : les services du bâtiment (construction ou
supervision).
Présentation fluide : une vidéo YouTube sur un client léger IGEL
Tout nouveau, tout beau : SPICE
La dernière solution multimédia véritablement haute performance pour la mise à disposition centralisée de bureaux virtuels est la combinaison de Red Hat Enterprise Virtualization for
Desktops (RHEV-D) avec le protocole multicanal SPICE. SPICE
(Simple Protocol for Independent Computing Environments) est
une solution open source d’interaction avec les bureaux virtuels.
Outre une souris, un clavier et un canal audio virtuels, elle comprend aussi une carte graphique virtuelle. Cette carte virtuelle
transmet le contenu de l’écran, créé sous divers systèmes d’exploitation virtualisés, de manière extrêmement efficace et sans
codec vers un client léger via un WAN. Pour la lecture de flux
vidéo, SPICE utilise divers algorithmes de compression, parfois
même spécifiques à la vidéo. Ainsi, SPICE élimine totalement
le besoin d’un rendu ou décodage local. Il prend toutefois en
charge la mise en cache (d’un fichier image ou d’une palette
de couleur par exemple) sur le client léger. RHEV-D peut ainsi
tirer pleinement parti de la puissance graphique locale du client
léger et offrir un degré de performance au moins aussi bon que
les solutions déjà établies sur le marché.
Exigences élevées vis-à-vis des clients légers
Une chose est assez évidente parmi toutes les grandes solutions de virtualisation de bureau : elles utilisent toutes la puissance de calcul local du client léger, soit via la redirection multimédia, soit via le rendu ou la mise en cache. Au vu de cette
évolution, l’utilisateur devrait prendre en compte les critères
suivants pour sélectionner une solution client léger à la fois peu
coûteuse et pérenne : le firmware doit prendre en charge le plus
grand nombre possibles de protocoles et de fonctionnalités,
il doit pouvoir être mis à jour et permettre aussi une gestion
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standardisée à distance. Cela s’applique aussi aux paramètres
multimédia, comme la résolution du moniteur ou les options de
configuration bi- ou plurimoniteur, qui doivent pouvoir être réglés à distance. Afin de garantir le maximum de flexibilité dans
l’utilisation des ressources serveur, il faut aussi s’assurer que le
client léger dispose de la puissance graphique suffisante ou de
tous les codecs requis pour décoder localement les flux vidéo.
Un lecteur multimédia installé localement est nécessaire pour
la redirection multimédia. Cela veut dire que les « clients zéro »,
avec un équipement matériel et logiciel minimal et des fonctions propriétaires, ne sont guère appropriés pour un usage
multimédia. D’un part, ces clients, souvent désignés comme
ayant « zéro CPU » et « zéro RAM », ne peuvent pas fournir la
puissance graphique locale et la puissance de calcul ni les outils logiciels requis pour réduire la charge serveur. D’autre part,
le matériel PCoIP des clients légers enferme l’utilisateur dans
des solutions propriétaires rigides. À l’inverse, des approches
technologiquement ouvertes et flexibles du client léger, comme
le concept Universal Desktop du fabricant allemand IGEL
Technology, sont principalement mieux adaptées à une évolution future, pérennisant ainsi l’investissement. Le client léger
peut prendre en charge tout type de lecture multimédia locale,
comme le rendu au niveau du client via la mise en cache locale
et/ou la redirection multimédia.
Le choix de l’avenir et de la rentabilité
Les utilisateurs qui veulent mettre à disposition des applications ou des contenus multimédia par l’intermédiaire d’un client
léger ont besoin d’un système complet et économique comprenant un serveur, une solution de virtualisation de bureau et
des postes de travail. Les principaux avantages qui expliquent
le succès de l’informatique en réseau sur serveur (efficacité,
standardisation et protection des investissements) peuvent
même aller jusqu’à compenser le coût supplémentaire initial de
l’achat d’une solution sur serveur par rapport à une solution
basée sur PC. Le client léger, qui combine haute performance
et faible consommation énergétique, offre une flexibilité maximale face aux exigences des applications multimédia. En outre,
ils peuvent réduire la charge côté serveur et leur architecture
matérielle et logicielle s’adapte facilement à l’amélioration continue de l’informatique en réseau sur serveur. En fait, on a déjà
annoncé la nouvelle version de RemoteFX pour WAN.
VUE D‘ENSEMBLE : SOLUTIONS MULTIMÉDIA POUR L’INFORMATIQUE EN RÉSEAU SUR SERVEUR – SERVEUR ET CLIENT LÉGER
XenApp / XenDesktop
Affichage
Suite VDI
Enterprise Virtualization
for Desktops
ICA
PCoIP
RDP
SPICE
HDX / HDX 3D
Mise en cache sur le client
RemoteFX
LAN + WAN
LAN + WAN
LAN (WAN à partir de Windows
Server 8)
LAN + WAN
Méthode
utilisée (rendu,
décodage, mise
en cache sur le
client, etc.)
Adaptive Orchestration : décodage
et rendu variable (sur le client
ou le serveur) selon que le client
supporte ou non les codecs.
Rendu sur le serveur/client :
avec Windows, rendu côté client
possible avec PCoIP et RDP ; avec
Linux, possible uniquement avec
PCoIP.
Le rendu sur le serveur avec
RemoteFX permet d’utiliser les
clients légers. Le processeur
graphique sur le serveur améliore
la performance graphique et le
nombre de bureaux par serveur.
Rendu sur le serveur uniquement
Une carte graphique émulée de
haute qualité (OpenGL) permet
de virtualiser tous les systèmes
d’exploitation et de transmettre
efficacement le contenu de
l’écran.
Spécifications
techniques (serveur et client)
Rendu sur le client : codecs en
local sur le client
Rendu sur le serveur : codecs sur
le serveur
Rendu sur le client : codecs en
local sur le client
Rendu sur le serveur : codecs sur
le serveur
Rendu sur le serveur :
Cartes graphiques spéciales
pour RemoteFX et codecs sur le
serveur
Codecs sur le serveur
Solution
Protocole de
base
Extensions/
fonctions
multimédia supplémentaires
LAN / WAN
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LE CONCEPT UNIVERSAL DESKTOP D’IGEL
a Qu‘il s‘agisse d‘informatique basée sur serveur, de bureaux virtuels ou de Cloud computing,
les Universal Desktops d‘IGEL fonctionnent dans la plupart des infrastructures informatiques
centralisées. Leur hardware puissant, leurs performances graphiques exceptionnelles et le
firmware régulièrement mis à jour fournissent une solution prête pour l‘avenir qui protège votre
investissement. Grâce à différents facteurs de forme, aux systèmes d‘exploitation, aux autres
fonctionnalités du firmware (outils, clients et protocoles) et aux nombreuses options hardaware, la
sélection d‘un modèle adapté s‘effectue en fonction des besoins précis de l‘installation et en assure la rentabilité. Les Universal Desktops
d‘IGEL ont aussi comme avantages notables une faible consommation énergétique et une durée de vie élevée. Ils sont équipés en standard
du logiciel Universal Management Suite d’IGEL, une solution propriétaire d’administration à distance.
PRISE EN CHARGE COMPLÈTE DES PÉRIPHÉRIQUES
4 x USB 2.0
RJ45 Ethernet
Clavier PS/2
Emplacement PCIe
Display Port
Stereo-out / Mic-in
DVI-I
2 x Ports série
Alimentation
a Les IGEL Universal Desktops s’intègrent à une grande variété d’environnements
informatiques, étant donné qu’ils possèdent en standard plusieurs ports USB, des
entrées/sorties audio et au moins une interface DVI-I. À l‘aide d‘un câble vidéo en
« Y », tous les modèles peuvent également fonctionner avec des configurations d‘écran
DualView ou en format écran large.Outre tout cela, IGEL propose des adaptateurs
USB-série/parallèle, des socles de montage en option, des lecteurs intégrés de
carte à puce et des solutions de sécurité externes. Les socles en option améliorent
grandement la connectivité grâce à leur capacité WLAN et/ou un port série ou parallèle
supplémentaire. Pour minimiser l’encombrement du bureau, IGEL propose aussi des
systèmes de montage VESA ainsi que des socles en caoutchouc permettant une pose à
l’horizontale du client léger afin de diminuer la place prise par l’appareil.
DE
USB 2.0 : 2x en façade
ALLEMAGNE (SIÈGE SOCIAL)
PAYS-BAS
HONG-KONG
IGEL Technology GmbH
Hanna-Kunath-Str. 31
D-28199 Brême | Allemagne
IGEL Technology Netherlands
Orteliuslaan 850
3528 BB Utrecht
IGEL Technology
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1210 Shun Tak Centre | West Tower
168-200 Connaught Road C.
Hong Kong | Chine
NL
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Fax +49 (0)421 52094 1499
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Téléphone +31 (0)30 767 1055
[email protected] | www.igel.nl
Téléphone +852 2546 9069
Fax +852 2559 6552
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ETATS UNIS
ROYAUME-UNI
UK
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Theale | Reading | Berkshire
RG7 4AB | Royaume-Uni
US
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Fax +44 (0)118 340 3411
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Fax +1 954 739 9991
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FR
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57, Esplanade du Général de Gaulle
92081 PARIS LA DEFENSE CEDEX
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SG
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Singapore Branch | 101 Thomson Road
# 24-01/05 United Square
Singapour 307591
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Fax +65 6259 9111
[email protected] | www.igel.sg
PÉKIN
CN
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10 Changan Ave. (East)
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Téléphone +86 10 65257775
Fax +86 10 65123505
[email protected] | www.igel.com/cn
SHANGHAI
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13 Floor | East Ocean Centre
588 Yanan Road (East)
Shanghai 200001 | Chine
Téléphone +86 21 6352 8848
Fax +86 21 6351 3138
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