Smart phone zombie apocalypse micro focus devoile visual cobol r3

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Smart phone zombie apocalypse micro focus devoile visual cobol r3
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 11/
11/05 31 Janvier 2011
La pensée de la semaine
Posséder n'est rien, c'est jouir qui fait tout.
Stendhal
Smart Phone Zombie Apocalypse
http://www.technologyreview.com/communications/27111/?nlid=4034
A researcher creates a botnet for your pocket—a likely sign of things to come.
If you have a smart phone, online criminals may soon have your number. Smart phone malware is getting increasingly sophisticated, and
now a security researcher has created software that turns a smart phone into a "zombie" that can be controlled remotely.
Georgia Weidman created the program, which controls an Android phone via short message service (SMS). She will demonstrate the
software at the Shmoocon hacking conference in Washington, D.C., later this month.
Once only theoretical, real-world cell-phone viruses are becoming more common. Last August, a scam in Russia tricked users into
installing malicious software on Android phones, and using the SMS functionality to send messages to a number that charged a premium
fee. In late 2010, a Chinese virus for Android devices was used to steal personal data. Botnets, or networks of computers that have been
compromised by cybercriminals, have become a staple of Internet crime. They can be used to attack other systems, host attack tools,
send spam, or just steal data. So far this kind of approach has been rare with mobile devices, but that seems to be changing.
"We have been taking down Internet botnets for years now, but there is not as much understanding [of telecom networking]," Weidman
says. "I definitely see criminals going more and more toward using the telco's network." […]
Micro Focus dévoile Visual COBOL R3
http://www.itrmanager.com/articles/114238/micro-focus-devoile-visual-cobol-r3.html
Micro Focus lance Visual COBOL R3, un produit permettant aux développeurs de déployer les applications COBOL sur les toutes dernières
plates-formes utilisant divers environnement de développement sans avoir à réécrire une seule ligne de code.
Pour la première fois, outre Windows, UNIX, Linux et .NET, les applications COBOL peuvent désormais être déployées sur les platesformes Java Virtual Machine (JVM) et Microsoft Windows Azure Cloud. Avec Visual COBOL R3, les développeurs peuvent choisir
l’environnement de développement avec lequel ils souhaitent travailler : Visual Studio 2010 ou Eclipse. Ils ont également la possibilité de
déployer les applications COBOL stratégiques vers de multiples plates-formes à partir d’une seule source -sans avoir à réaliser un travail
spécifique pour chaque plate-forme. Visual COBOL R3 est la première solution à traduire le langage COBOL directement en JVM, ce qui
permet aux développeurs de créer des applications COBOL pour cette plate-forme et de les intégrer avec Java.
Avec Visual COBOL R3, les développeurs peuvent déployer le même code COBOL sur les plates-formes .NET et Microsoft Azure
Visual COBOL R3 inaugure par ailleurs Visual COBOL Development Hub, un outil de développement pour les serveurs distants Linux et
Unix. Ce hub permet aux développeurs d’utiliser le COBOL sur leur poste de travail pour compiler et déboguer du code à distance ; les
temps de développement et de test sont raccourcis.
Antivirus : Avast 5.1 disponible, en attendant la v6
http://www.01net.com/editorial/527190/antivirus-avast-5-1-disponible-en-attendant-la-v6/
La v5.1 résout plusieurs problèmes de compatibilité et renforce son efficacité contre les menaces zero-day. Mais le
meilleur reste à venir avec la version 6, attendue dans les prochains mois.
Depuis quelques jours, certains utilisateurs d’Avast reçoivent une nouvelle mouture de l’antivirus, aussi bien dans sa version gratuite que
payante. L’éditeur tchèque a en effet commencé à diffuser depuis la mi-janvier, en toute discrétion, une mise à jour de son logiciel.
Avast 5.1.889 est également disponible en téléchargement pour Windows.
Il s’agit du premier rafraîchissement majeur du logiciel après la sortie, il y a un an, d'Avast 5.0. Fin décembre, une version préliminaire –
la 5.1.864 – avait vu le jour, mais elle n'avait pas réglé certains problèmes de compatibilité. Avast en est venu à bout et publie la liste
des bugs résolus. L’éditeur évoque également des améliorations dans les performances. L’essentiel des nouveautés se trouve sous le
capot, l’interface restant la même, sobre tout en offrant plus de réglages que l’antivirus de Microsoft, Security Essentials.
Les concepteurs affirment que la protection contre les rootkits a été améliorée et que le scan a été étendue aux versions 64 bits de
Windows (Vista et 7). Cette évolution devenait urgente, alors que le premier rootkit de 64 bits (Alureon) est apparu l’été dernier.
Bientôt des services « in the cloud » La lutte contre les attaques zero-day, c'est-à-dire non répertoriées par les logiciels de sécurité,
aurait aussi été renforcée. La capacité de détection des nouvelles menaces est en effet l’un des principaux enjeux des éditeurs. Avast 5.1
serait mieux armé dans ce domaine, grâce à une meilleure aptitude à repérer les activités suspectes des malwares sans s’appuyer sur
une base de signatures virales. Mais le meilleur reste à venir. La version 6.0 de l’antivirus est en préparation et devrait sortir dans le
courant du premier semestre 2011. A ce stade, peu d’informations officielles sont disponibles à ce sujet. Mais il y a gros à parier qu'Avast
mette encore l’accent sur l’efficacité de la détection des nouvelles menaces. Avast 6.0 devrait faire appel à des services in the cloud :
l’analyse du code suspect sera en partie confiée à des serveurs distants au lieu d'être traitée en local sur le PC de l’utilisateur.
Les sandboxes (« bacs à sable ») devraient également faire leur apparition dans la version gratuite de l’antivirus. Ce dispositif permet de
faire tourner dans un environnement sécurisé des logiciels jugés suspects à l’issue d’un scan, le temps d’analyser leur comportement et
de déceler d’éventuelles actions malveillantes. Si c’est le cas, le malware est éliminé. Aujourd’hui, le fonctionnement d’Avast Free est
binaire : après le scan, un logiciel est jugé soit fiable soit malveillant. Avast réfléchirait également à l'opportunité de faire évoluer son
modèle gratuit-payant, sans plus de précisions. Qu’on se rassure, la version gratuite d’Avast n’est pas menacée. L’éditeur a bâti tout son
succès sur ce modèle, et la concurrence de Microsoft sur le marché du gratuit empêche tout retour en arrière.
Samsung, T-Mobile Roll Out Galaxy S 4G
http://www.enterprisemobiletoday.com/features/article.php/3921521
Samsung today gave speed-obsessed smartphone consumers something new to ponder, announcing that its Galaxy S 4G smartphone -which it claims will be the fastest smartphone running on T-Mobile's 4G network -- will be available sometime in the next few weeks.
Samsung generated a great deal of buzz earlier this month at the Consumer Electronics Show when it unveiled a Wi-Fi-only version of its
Galaxy Tab and offered a preview of its forthcoming Infuse 4G smartphone. The company is following up with claims that the Galaxy S
4G model will deliver peak download speeds of 21 Mbps via T-Mobile's HSPA+ network. Along with the speed, Galaxy S 4G will feature all
the bells and whistles available from the Android 2.2 (Froyo) mobile operating system and a super AMOLED touchscreen display.
"With Galaxy S 4G, T-Mobile will deliver its fastest smartphone yet on America’s largest 4G network, providing rich entertainment virtually
whenever and wherever consumers want," Cole Brodman, T-Mobile's chief marketing officer, said. "And with 4G data plans from $10 per
month, we’re making blazing-fast 4G speeds and super smartphone experiences easily accessible to the millions who crave them."
T-Mobile's 4G network is now available in 100 metropolitan areas, reaching 200 million people through the U.S. The carrier plans to
double the speed the of its 4G network in 2011 and expects these upgrades to be accessible to more than 140 million U.S. customers by
year's end. Company officials said they will divulge more specifics about the Galaxy S 4G in "the coming weeks."
This fall, Samsung said it shipped more than 1 million Galaxy S 3G smartphones less than two months after its debut in mid-July.
During his company's CES keynote address, Omar Khan, chief strategy officer of Samsung's mobile business unit, proclaimed Samsung as
the "No. 1 Android device provider in the U.S." and announced that all Galaxy S smartphones and Galaxy Tab tablets will now be enabled
to allow users to purchase entertainment programming directly through T-Mobile.
Apple irrite la presse française
http://www.capital.fr/a-la-une/actualites/apple-irrite-la-presse-francaise-569443?xtor=EPR-228
Les projets d'Apple sur l'iPad ne sont pas du goût des journaux français. Ces derniers craignent que la firme à la Pomme ne s'octroie une
partie de la manne financière issue de leurs abonnements. Le syndicat de la Presse quotidienne nationale (SPQN), qui regroupe
notamment Les Echos, Le Figaro, Le Monde ou encore L'Equipe, a donc menacé de saisir l'autorité de la concurrence.
Selon de nombreuses rumeurs, Apple veut obliger tous les éditeurs de presse à passer par la plate-forme de téléchargement iTunes pour
vendre leurs abonnements sur la tablette numérique iPad. Cela permettrait au groupe américain de ponctionner une commission de 30%,
comme il le fait pour chaque application.
La presse française n'est pas la seule à grincer des dents. En Belgique, le ministre de l'Economie, Vincent Van Quickenborn, a demandé
lundi aux instances de la concurrence d'enquêter sur un éventuel abus de position dominante d'Apple sur l'iPad.
Google n’a pas mis le grappin sur Groupon alors il le fait tout seul
http://www.itespresso.fr/google-na-pas-mis-le-grappin-sur-groupon-alors-il-le-fait-tout-seul-40623.html
Google Offers devrait constituer une alternative à Groupon dans le business des "affaires du jour" associées aux
commerces de proximité. Une manière de se venger ?
Pendant que la direction de Google évolue, le business et les nouveaux services continuent. Selon Mashable.com, le groupe s’apprête à
lancer GoogleOffers, clairement positionné comme un anti-Groupon qui lui a échappé des mains.
Au sein du Googleplex, des tests sont menés pour mettre ce nouveau service qui permettra de distribuer des coupons de réductions à
consommer dans les commerces de proximité (« un deal par jour »). En clair : Google Offers veut marcher sur les plates-bandes du
rebelle Groupon mais aussi de LivingSocial (tombé dans le giron d’Amazon).
Le nouveau service devrait fonctionner avec la plate-forme de paiement Google Checkout et facilitera les liens vers Facebook, Twitter,
Google Reader et Google Buzz. Aux Etats-Unis, un porte-parole de Google a répondu à Mashable que le groupe Internet cherchait
effectivement à se rapprocher des TPE-PME afin d’enclencher un programme de bons de réduction à offrir à leurs clients.
« Cette initiative fait partie des efforts continus de Google visant à créer de nouveaux produits comme le nouveau service Offer Ads en
version bêta, associant les commerçants et les clients de manière originale. »
L’équipe de Groupon a refusé une offre de Google d’au moins $6 Bn, préférant une option introduction en Bourse…à $15 Bn.
Google part à l'assaut des webspams
http://lci.tf1.fr/high-tech/2011-01/google-part-a-l-assaut-des-webspams-6234503.html
Google a indiqué vendredi qu'il avait pris des mesures pour enrayer la pollution de son moteur de recherches par des
sites internet plus ou moins bidons, dits "webspam", plus nombreux depuis quelques mois.
Le site internet Google a indiqué vendredi qu'il avait pris des mesures pour enrayer la pollution de son moteur de recherches par des sites
internet plus ou moins bidons, dits "webspam", plus nombreux depuis quelques mois. "Le webspam, c'est ce qu'on trouve dans les pages
de résultats quand des sites essaient de tricher pour figurer plus haut, ou violent les normes de qualité du moteur de recherche", a
indiqué un ingénieur en chef de Google, Matt Cutts, sur le blog officiel du groupe.
"Nous avons récemment lancé un outil remanié de classification des documents qui fait qu'il est plus difficile pour des contenus bidons
d'apparaître en bonne position" dans la page de résultats, a-t-il ajouté. Cet outil détecte notamment mieux des expressions et des mots
fréquents sur ce type de sites. M. Cutts a aussi assuré que Google s'efforçait d'identifier les sites internet plein de contenus copiés. Pour
autant, Google a assuré que la quantité de "webspam" ne représentait plus que la moitié de ce qu'elle était il y a cinq ans.
Découvrez les centrales nucléaires du futur... sous l'eau
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/20110121trib000594451/decouvrez-les-centrales-nucleaires-du-futur-sous-l-eau.html
En partenariat avec Areva, le CEA et EDF, le numéro un mondial du naval de défense DCNS veut développer un concept
de centrales nucléaires immergées en mer. Visite virtuelle.
Il suffisait d'y penser : 2/3 de la population mondiale vit à
moins de 80 km de la mer, le fabricant de sous-marins
DCNS annonce un projet de centrales nucléaires immergées
en mer, entre 60 et 100 m de profondeur. Le PDG du
groupe naval Patrick Boissier est convaincu qu'il pourra
proposer une solution compétitive de réacteurs nucléaires
de petite et moyenne puissance (entre 50 et 250 MWe)
grâce au savoir-faire de son groupe dans la fabrication de
sous-marin nucléaires. Ces centrales, présentées sous le
nom de code FlexBlue, sont destinées aux pays émergents,
aux îles, ou aux zones à faible densités dans les pays
développés. DCNS estime le marché potentiel pour cette
gamme de réacteurs à environ 200 unités dans les 20 ans à venir. Grâce à son nouveau concept de sa division nucléaire civil dirigée par
André Kolmayer, DCNS vise « une part significative » de ce marché, notamment parce que cette solution est modulable, c'est-à-dire que
des unités peuvent être ajoutées selon besoins. DCNS a déjà consacré deux ans et demi d'étude à ce concept inédit. Les deux prochaines
années permettront de valider les options techniques et industrielles. DCNS a décidé de ne pas partir seul dans cette aventure et de
s'associer avec Areva, le CEA et EDF. Dans un premier temps, une centaine d'ingénieurs des 4 partenaires vont affiner le projet et
l'investissement, qui s'élèvera à « au moins €100 M », serait limité à cette mobilisation humaine. Si tout se passe comme prévu, la
construction du premier prototype de centrales sous-marines pourrait débuter chez DCNS, à Cherbourg, dans deux ans.
Changement organisationnel dans la R & D de France Télécom
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-changement-organisationnel-dans-la-r-et-d-de-france-telecom-32701.html
Le DG de l'opérateur historique entend renforcer l'efficacité de sa division recherche et développement grâce à une
stratégie axée sur les usages et le marketing pour combler le retard pris dans les services et terminaux numériques.
France Télécom souhaite retrouver le chemin de l'innovation. C'est en ces termes que son directeur général Stéphane Richard a exposé la
stratégie de recherche et développement prochainement mise en place par l'opérateur, lors des traditionnels voeux de bonne année. Si
l'amélioration de l'efficacité du groupe en matière de R & D est considérée comme une priorité, c'est en partie dans le but de rompre
avec la politique menée par l'ancien PDG Didier Lombard. «La vision de Stéphane Richard en matière d'innovation est plus dynamique
comparée à celle de son prédécesseur, expose Sébastien Crozier, président de la CFE-CGC/UNSA chez France Télécom .Sa stratégie sera
axée selon une logique d'usage technique et marketing, logique qui faisait défaut sous le mandat de Didier Lombard ».
Durant l'exercice de ce dernier, la recherche fondamentale avait été abandonnée pour se substituer à une R & D orientée vers le
développement, dans le cadre d'une politique axée sur la réduction des coûts.
Faiblesse de la R & D sur le numérique L'opérateur avait concentré son innovation au sein d'une multiplicité de structures
hétéroclites : un « Technocentre », inspiré de celui mis en place par Renault à Guyancourt, pour la R&D et le marketing, un «
Explocentre » dédié aux usages et créé en 2006 pour être finalement dissous en 2009. Sans compter la création des « Orange Labs
» répartis dans une dizaine de pays et continents et de « l'Orange Vallée », une structure fonctionnant sur le mode start-up faisant
référence à la SiIicon Valley. Cinq ans plus tard, la nouvelle direction de France Télécom a constaté que le bilan n'était pas à la hauteur
de ses ambitions. «Stéphane Richard entend redonner un second souffle à l'aventure France Télécom, précise Sébastien Crozier.
Actuellement, les activités de recherche du groupe sont insuffisantes, surtout celles qui sont liées aux projets numériques. Pour
développer des services innovants comme ont su le faire des géants tels que Google ou Apple, la direction a décidé de réorienter sa
recherche et son développement vers une logique d'usage et de marketing qui ira au delà de la simple innovation technologique. »
Sécurité IT : un malware qui cible les entreprises affole le FBI
http://www.itespresso.fr/securite-it-un-malware-qui-cible-les-entreprises-affole-le-fbi-40607.html
Des pirates propagent un programme malveillant via des pièces jointes d'e-mails de recrutements en entreprise. Le FBI a
recensé un détournement de fonds de $150 000 par ce biais.
L’année 2011 débute avec une nouvelle forme d’arnaque, toujours plus malicieuse. Elle cible plus particulièrement les directions des
ressources humaines des entreprises. Le mode opératoire est malin : les pirates envoient un courriel en réponse à des annonces
d’emplois que l’entreprise a placées sur des sites de recrutement. Ces e-mails contiennent des pièces jointes qui, lors de leur ouverture,
infecteront le PC de l’utilisateur pour récupérer les codes d’accès aux comptes bancaires en ligne de l’entreprise.
Le cheval de troie utilisé serait une variante de Bredolab, déjà repéré l’an passé par Sonicwall.
Le programme malveillant, baptisé « svrwsc.exe », se connecte au trojan Zeus, bien connu du monde de la sécurité IT.
Le FBI Internet Complaint Center a recensé au moins une victime de l’escroquerie aux Etats-Unis : une entreprise (dont le nom n’a pas
été révélé), qui a enregistré un détournement de fonds de $150 000.
Ces fonds ont été dérobés, sans la moindre effraction physique, sur trois comptes bancaires externes dont un situé en Ukraine.
Traditionnellement, ce sont plutôt les petites entreprises qui sont concernées par ces formes d’escroqueries sur Internet car elles sont
moins équipées en termes de dispositifs de sécurité informatique.
Trois smartphones 4G chez le taïwanais HTC
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-trois-smartphones-4g-chez-le-taiwanais-htc-22980.html
HTC, le fabricant de smartphones taiwanais a le vent en poupe. Il commercialise trois
smartphones 4G pour les opérateurs américains Sprint, Verizon et AT&T. Les deux formes de
4G sont couvertes, qu'il s'agisse du Wimax ou du LTE (Long Term Evolution).
L'opérateur Sprint commercialisera le EVO Shift 4G, un téléphone 4G disposant d'un clavier
coulissant Qwerty, d'un appareil photo 5 Méga Pixels, d'un caméscope 720p HD et un écran
tactile de 3,6 pouces. Le tarif annoncé est de 150 $. Il s'agit d'un téléphone pour la 4G de
type Wimax. Ce modèle fonctionne sous le système d'exploitation Android 2.2 de Google.
Autre modèle, le ThunderBolt est proposé par l'opérateur Verizon. C'est l'un des premiers
smartphones LTE au monde pour la 4ème génération cellulaire. Ce smartphone assure la
connectivité avec Skype, pour des appels téléphoniques et vidéo. Ce terminal possède un
écran de 4,3 pouces, un appareil photo à l'avant et à l'arrière, le support des réseaux DLNA
intégré. Il est construit autour d'un processeur Snapdragon de Qualcomm à 1GHz.
Enfin, AT&T lance un smartphone 4G sur son réseau HSPA, l’Inspire 4 G. Il s'accompagne d'une fonction permettant de localiser un
téléphone perdu, de faire sonner son téléphone perdu en mode silence à partir de son ordinateur, et si besoin, d'effacer à distance toutes
les données du téléphone en un seul clic. L’Inspire 4 G possède une connectivité 4 G HSPA+. Il possède un appareil photo de 8 méga
pixels, un système de son Dolby et SRS.
La technologie femtocell prête à s’installer dans les foyers
http://www.itespresso.fr/technologie-femtocell-prete-installer-dans-foyers-40618.html
La technologie femtocell, permettant d'améliorer la couverture 3G à domicile des abonnés ADSL, devrait trouver de
multiples applications au sein du foyer. De quoi créer un nouveau marché de services...
La Freebox Revolution embarque-t-elle un module femtocell comme sa concurrente Neufbox Evolution (laquelle intègre en fait la
solution Home 3G de SFR lancée en 2009)? Si Free se montre très discret sur la question, il ne serait guère étonnant que ce soit le cas,
les applications tirées d’une base femtocell étant promise à un bel avenir, rapporte Silicon.fr. Et comme on connaît la propension de Free
à imposer sa vision de l’avenir du marché de l’accès Internet en France… Pour mémoire, une base femtocell s’apparente à une mini
antenne mobile GSM/3G résidentielle connectée au réseau haut débit filaire de l’opérateur fournisseur d’accès.
Elle permet ainsi d’assurer une bonne qualité des communications mobiles localement, ce qui s’avère particulièrement utile dans les zones
mal couvertes par les opérateurs mobiles (et soulageant ainsi leurs antennes-relais). Mais les services promettent de se multiplier autour
de ses nouvelles générations de modules communicants.
Plus de 2 millions d’abonnés femtocell en 2012 Par exemple, dès que les femtocell détecteront le téléphone d’une personne dans
l’enceinte du domicile familial, ils pourront envoyer automatiquement un SMS à un destinataire distant (les adolescents n’ont pas fini
d’être pistés à la trace, par exemple). Un service déjà mis en œuvre au Japon. Autre service : le déclenchement automatique des
systèmes d’alarme ou de sécurité dès que le téléphone sort de la zone de couverture. Ou simplement l’activation de la synchronisation
des appareils du réseau local (TV, ordinateur, player…) avec le smartphone, notamment pour charger/décharger du contenu. Bref, les
possibilités d’interaction entre le téléphone et l’environnement résidentiel semblent prometteuses grâce à la technologie femtocell.
Ce qui devrait lancer un nouveau marché de services… payants, évidemment. ABI Research évalue ce marché à 2,3 millions d’abonnés
dès 2012 dans le monde. Ce qui devrait générer quelques $100 M de revenus. Un bon début qui devrait franchir le $Bn rapidement.
HTML 5 : La FSF apporte son soutien au format WebM
http://www.zdnet.fr/actualites/html-5-la-fsf-apporte-son-soutien-au-format-webm-39757674.htm#xtor=EPR-100
Jugeant WebM compatible avec les licences du logiciel libre, contrairement au H.264, la FSF se rallie au projet WebM de
Google et invite les plates-formes de vidéo sur Internet à abandonner le format propriétaire.
Dans un communiqué, la fondation emblématique du logiciel libre, la FSF, annonce son soutien au format ouvert WebM, et appelle les
sites distribuant des vidéos sur Internet à opter pour ce codec et à abandonner H.264. La FSF se range ainsi aux côtés de Google, de
Mozilla et d'Opera. La fondation salue d'ailleurs la décision de Google de ne plus supporter nativement le format H.264 dans son
navigateur Chrome. Il s'agit selon elle d'une action favorable au logiciel libre et aux utilisateurs.
WebM, format désigné pour le HTML 5 La Free Software Foundation regrette par ailleurs que si un consensus a été obtenu sur le tag
<video> du HTML 5, aucun accord n'ait en revanche été trouvé sur l'encodage des vidéos. La standardisation des vidéos sur Internet en
H.264 serait une erreur selon la FSF. Cette position n'est pas surprenante, puisque le format H.264 est associé à des brevets logiciels,
auxquels est opposé la FSF. Celle-ci dénonce par ailleurs les royalties et les restrictions d'utilisation, incompatibles avec le logiciel libre.
Pour la FSF, il est impératif qu'un codec libre prévale comme standard de fait du HTML 5. Et WebM peut être ce codec estime-t-elle, sa
licence étant compatible avec les licences du logiciel libre et une implémentation libre étant disponible.
Pour prévenir une domination du H.264 ; déjà établie sur les équipements et les logiciels, la FSF encourage les autres fondations et
organisations à apporter à leur tour leur soutien au projet WebM. Les plates-formes de vidéo sur Internet sont quant à elles encouragées
à abandonner le H.264 au profit du format promu par Google. En début d'année dernière, la FSF avait interpellé Google suite à son
rachat de la société On2 et du codec VP8. Dans une lettre ouverte, elle encourageait la firme américaine à rendre libre le codec VP8
et à l'implémenter sur YouTube (où la majorité des vidéos sont en Flash et au format H.264).
Happiness and age
http://www.technologyreview.com/blog/post.aspx?bid=354&bpid=26293&nlid=4036
People, studies show, behave differently at different ages. Older people have fewer rows and
come up with better solutions to conflict. They are better at controlling their emotions, better at
accepting misfortune and less prone to anger. In one study, for instance, subjects were asked to
listen to recordings of people supposedly saying disparaging things about them. Older and
younger people were similarly saddened, but older people less angry and less inclined to pass
judgment, taking the view, as one put it, that “you can’t please all the people all the time.”
There are various theories as to why this might be so. Laura Carstensen, professor of psychology
at Stanford, talks of “the uniquely human ability to recognise our own mortality and monitor our
own time horizons”. Because the old know they are closer to death, they grow better at living for
the present. They come to focus on things that matter now—such as feelings—and less on longterm goals. “When young people look at older people, they think how terrifying it must be to be
nearing the end of your life. But older people know what matters most.” For instance, she says,
“young people will go to cocktail parties because they might meet somebody who will be useful to
them in the future, even though nobody I know actually likes going to cocktail parties.” ...
Samsung investit dans l'après-LCD pour les tablettes et mobiles
http://www.01net.com/editorial/527217/samsung-investit-dans-lapres-lcd-pour-les-tablettes-et-mobiles/
Bientôt des écrans de type e-Paper, couleur, flexibles et adaptés à la vidéo sur les tablettes et mobiles de Samsung.
Samsung, déjà présent dans les écrans LCD et Oled pour téléphones mobile, vient d'investir dans une nouvelle technologie d'écran
couleur flexible capable de supporter la vidéo. Une technologie que le groupe sud-coréen a repris grâce à l'acquisition de la société
néerlandaise Liquivista. Cette société, issue d'un essaimage des labos de recherche de Philips, a mis au point un procédé dit
d'« électromouillage » (« electrowetting ») permettant de réaliser des afficheurs de petite taille bénéficiant d'un temps de réponse
compatible avec la vidéo. Autres atouts, cette technologie d'affichage autoriserait la fabrication d'écrans flexibles incassables et
consommerait dix fois moins d'énergie que les écrans LCD, tout en assurant une lisibilité satisfaisante, même en plein soleil. Samsung
compte exploiter cette technologie dans les téléphones mobiles, les baladeurs et les tablettes.
Mais le groupe n'est pas le seul à explorer ce domaine. Plus connu que Liquivista, le spécialiste américain des circuits de communication
et processeurs pour mobiles Qualcomm travaille depuis plusieurs années déjà à des écrans couleur Mirasol disposant des mêmes
avantages : faible consommation d'énergie, bonne lisibilité, support de la vidéo. Dans le cas de Liquivista comme de Qualcomm, une
source de lumière est nécessaire à ces écrans réflectifs, exactement comme pour le papier électronique des liseuses d'eBooks
actuellement commercialisées, et contrairement aux écrans Oled, une autre spécialité de Samsung.
Toshiba Teases With Android Honeycomb Tablet
http://www.zdnet.com/blog/mobile-news/toshiba-teases-with-android-honeycomb-tablet/654?tag=nl.e539
Toshiba has fired up a web site to tease us with its upcoming Android tablet. According to the site the Toshiba tablet will run the latest
Android, Honeycomb. Details are sketchy but piecing together what the site shares we get the following picture of the Toshiba tablet:
CPU: Nvidia Tegra 2 ; Display: 10.1-inch capacitive multitouch ; Ports: MiniUSB, HDMI, USB, Full-size SD card slot ; Connectivity: Wi-Fi,
Bluetooth ; Cameras: 2MP, 5MP (front/rear) ; Battery: User replaceable (with screwdriver) ; OS: Android Honeycomb ; Special:
Replaceable back cover in 5 colors. No pricing nor availability is provided by Toshiba, other than it is coming this spring.
Avec BlackBerry Balance, RIM propose de gérer deux smartphones en un
http://www.businessmobile.fr/actualites/avec-blackberry-balance-rim-propose-de-gerer-deux-smartphones-en-un-39757716.htm#xtor=EPR-10010
BlackBerry Balance est un logiciel pour permettre aux administrateurs de contrôler les données d’entreprise échangées
depuis un BlackBerry, tout en autorisant un usage privé de leur terminal aux salariés.
RIM pense tenir une solution susceptible de l'aider à lutter contre la montée en puissance de smartphones concurrents sur le marché des
entreprises. Il s'agit d'un logiciel baptisé BlackBerry Balance grâce auxquels les services informatiques des entreprises pourront exercer
un contrôle sur les données professionnelles telles que les courriels transitant par le BlackBerry Enterprise Server, tout en laissant
l'utilisateur se servir du smartphone pour un usage personnel (navigation Internet, webmail, photos, réseautage...).
Il s'avère en effet que de plus en plus d'entreprises autorisent leurs employés à se servir de leur propre smartphone. Un phénomène que
la firme canadienne ne voit évidemment pas d'un bon œil. RIM envisagerait d'ailleurs de s'adapter à la situation en ouvrant ses serveurs
aux terminaux d'autres marques.
Le logiciel BlackBerry Balance devrait être disponible d'ici 2 mois aux US. RIM a aussi prévu de le proposer pour sa tablette PlayBook.
nVidia pourrait présenter le Tegra 3 au Mobile World Congress
http://www.businessmobile.fr/actualites/nvidia-pourrait-presenter-le-tegra-3-au-mobile-world-congress-39757696.htm#xtor=EPR-10010
C'est ce que laisse penser les dernières déclarations du responsable de la division mobile de nVidia. Il pourrait s’agir
d’une version quadruple cœur du SoC Tegra 2.
Vedette du dernier Consumer Electronic Show, le System on a chip Tegra 2 de Nividia devrait bientôt avoir un successeur, peut-être
pas plus tard qu'au Mobile World Congress 2011 (14-17 février à Barcelone). C'est ce qu'affirme le site hexus.net qui a interrogé
Mike Rayfield, le directeur général de la division mobile de Nvidia.
Parlant de l'arrivée du Tegra 3, il a déclaré que le rythme d'un nouveau lancement par an était quasiment respecté et que ce nouveau
SoC serait en production au même moment que les processeurs double cœur concurrents. Hexus parie sur un modèle quadruple cœur
gravé en 28 nm. Pour mémoire, le Tegra 2 avait été lancé lors du CES 2010. Tenant compte de l'indice lâché par Mike Rayfield, on peut
effectivement en déduire que le Tegra 3 sera dévoilé au Mobile World Congress dans moins d'un moins.
Ubuntu : c’est décidé, LibreOffice remplacera OpenOffice
http://www.zdnet.fr/actualites/ubuntu-c-est-decide-libreoffice-remplacera-openoffice-39757704.htm#xtor=EPR-100
Après Fedora et OpenSuSe, Ubuntu, distribution majeure, intègrera LibreOffice. L’adoption du fork d’OpenOffice est un
moyen de dénoncer l’attitude d’Oracle à l’égard du logiciel libre et en particulier son contrôle sur l'outil bureautique.
Réunis à Dallas à l'occasion de l'évènement Ubuntu/Linaro Rally, les développeurs devaient trancher : conserver la suite bureautique
d'Oracle OpenOffice.org ou lui substituer son fork LibreOffice. Sans grande surprise, et conformément au souhait du fondateur de
Canonical, Mark Shuttleworth, c'est le fork LibreOffice qui a été plébiscité. La prochaine version de la distribution Linux, Natty Narwhal,
intégrera ainsi la suite bureautique libre. Elle sera disponible à partir d'avril prochain. Ubuntu emboîte ainsi le pas des principales
distributions. C'est en effet le cas de Fedora, qui a déjà fait le choix de LibreOffice pour Fedora 15 (prévue pour le 10 mai), ainsi que
de Debian. OpenSuse, dont la sortie est attendue en mars, embarquera aussi le logiciel bureautique indépendant d'Oracle.
Pour autant, l'éditeur ne semble pas décidé pour le moment à revoir le mode de gouvernance de ses différents projets Open Source
(Java, Hudson, OpenSolaris...). La version 3.3 d'OpenOffice.org devrait être disponible dans les prochaines semaines.
Pour le moment, Oracle s'est concentré sur la version commerciale du logiciel puisque Oracle Open Office 3.3 a été annoncé le 15
décembre 2010. La firme de Larry Ellison a aussi dévoilé la première version hébergée du logiciel, baptisé pour l'occasion Cloud Office.
La Galaxy Tab 2 équipée d'un écran Super AMOLED ?
http://www.zdnet.fr/actualites/la-galaxy-tab-2-equipee-d-un-ecran-super-amoled-39757718.htm#xtor=EPR-100
C’est ce que suggèrent des spécifications techniques publiées par le site Oled-Info, annoce une
configuration nettement revue à la hausse par Samsung pour la version 2 de sa tablette tactile.
Lors du dernier Consumer Electronic Show, Samsung avait dévoilé une première version de la Galaxy Tab 2
qui n'apportait pas de grand changement par rapport à la version actuelle si ce n'est au niveau de la vitesse
processeur (1,2 GHZ contre 1 GHz) et du capteur photo (5 mégapixels contre 3 mégapixels).
Mais d'après les informations recueillies par Oled-Info, Samsung a peut-être déjà revu sa configuration
nettement à la hausse. La fuite parle d'un écran Super AMOLED 7 pouces 2048x1200 pixels avec un verre
Gorilla Glass, d'un SoC Tegra 2, d'un capteur photo 8 mégapixels avec vidéo full HD 1080p, d'une caméra
frontale 3 mégapixels, de 1 Go de RAM et 64 Go de stockage.
Cette Galaxy Tab 2 serait équipée d'un port USB et de connexions 3G, WiFi et Bluetooth, et tournerait sous
Android 3. Une telle configuration replacerait effectivement Samsung dans la course face aux tablettes
concurrentes présentés au CES comme la Xoom de Motorola. Des informations à prendre avec précaution.
Nec met 3 pétaoctets de mémoire dans le cerveau de l’ICM
http://www.silicon.fr/nec-met-3-petaoctets-au-service-du-cerveau-de-l%E2%80%99icm-43985.html
Un cluster de stockage d’une capacité totale de trois pétaoctets est maintenant installé au cœur de l’Institut du Cerveau
et de la Moelle Épinière. Un projet mené à bien par Nec et Active Circle.
Le système informatique de l’Institut du Cerveau et de la Moelle Épinière (l’ICM, situé à la Pitié-Salpêtrière, à Paris) manquait
cruellement de mémoire. Nec vient de résoudre ce problème en l’équipant d’une solution destockage d’une capacité impressionnante de
trois pétaoctets. « Un des objectifs clés de l’équipe informatique de l’ICM était de s’assurer que l’infrastructure technique, et en
particulier le stockage de données, ne constitue pas une entrave au déroulement de la recherche », explique Bruno Lecointe, directeur
commercial chez Nec. « Nec, avec son partenaire Active Circle, a permis à l’équipe informatique de mettre en place une solution de
stockage d’une capacité de trois pétaoctets capable de répondre à ce besoin et qui est entièrement redondante, sécurisée et
rentable. » L’ensemble est composé de baies Nec comprenant des disques durs Serial Ata configurés en RAID 6. Elles exploitent une
architecture entièrement redondante, des disques en passant par les interfaces de communication et les blocs d’alimentation. Active
Circle fournit pour sa part sa solution logicielle, qui s’appuie sur du matériel standard et permet de créer des systèmes de stockage
en clusters capables de gérer de larges ensembles de données en toute sécurité. Cette association de circonstance entre les deux
compagnies a visiblement su convaincre les responsables de l’ICM.
The Internet Is Running Out of Space…Kind of
http://mashable.com/2011/01/22/the-internet-is-running-out-of-space-kind-of/
On February 2 around 4 a.m., the Internet will run out of its current version of IP addresses. At least that’s what one Internet Service
Provider is predicting based on a rate of about one million addresses every four hours.
Hurricane Electric has launched Twitter and Facebook accounts that count down to what it has termed the “IPcalypse.”
Every device that is connected to the Internet gets a unique code called an IP address (it looks like this). The current system, IPv4, only
supports about 4 billion individual IPv4 addresses.
As PC World‘s Chris Head explained in a blog post yesterday, some of these addresses are reusable. The problem, however, is that their
one-time use counterparts will eventually lead to the complete depletion of IP addresses.
Fortunately, some smart folks foresaw this problem long before we did and invented IPv6, a system that invokes both letters and digits to
handle 340,282,366,920,938,463,463,374,607,431,768,211,456 addresses (shall we just call it “a zillion?”).
Hurricane Electric’s doomsday campaign encourages other Internet service providers to transition to that system. Fortunately, the
Internet Society‘s Wiki assures us that IPv4 and IPv6 can coexist during the transition despite being largely incompatible. Software and
hardware developers are working on transition mechanisms, and most operating systems install support for IPv6 by default. Since many
of us still have some canned food and bottled water stacked up in our basement from the Y2K era, we should be OK either way.
L'iPhone 5 d'Apple, futur accélérateur du paiement sans contact ?
http://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/20110126trib000595754/l-iphone-5-d-apple-futur-accelerateur-du-paiement-sans-contact-.html#xtor=EPR-2-[Lactu+du+jour]-20110126
Selon le Financial Times, la future version de l'iPhone aura la capacité d'opérations sans contact. De quoi, peut-être, les faire décoller.
La planète "high tech" commence à bruisser des rumeurs sur le futur iPhone 5, le "smartphone" vedette d'Apple. Quelles seront ses
spécificités, ses améliorations, ses petits "plus", chacun y va de son pronostic.
Ce mercredi, le Financial Times lève peut-être un coin du voile. Selon le grand quotidien britannique des affaires, l'iPhone 5 sera doté de
capacités d'opérations sans contact, et notamment le fameux paiement sans contact qui n'a pas encore vraiment décollé.
Le succès de l'iPhone pourrait donc être le "booster" qui manquait au paiement sans contact, comme il l'a été du très haut débit mobile
comme le reconnaissent les opérateurs et notamment France Télécom Orange.
La Document Foundation livre la version stable de LibreOffice 3.3 avant Oracle
http://www.silicon.fr/la-document-foundation-livre-la-version-definitive-de-libreoffice-33-43993.html
La première mouture stable de la suite bureautique LibreOffice est aujourd’hui rendue publique. Une version
intéressante en terme de fonctionnalités.
En septembre dernier, la communauté œuvrant autour de la suite bureautique open source OpenOffice.org se dissociait d’Oracle et
créait la Document Foundation. Cette dernière a depuis travaillé à la mise au point de sa propre suite bureautique, LibreOffice. La
première version stable de ce logiciel, LibreOffice 3.3, est aujourd’hui rendue publique. La communauté bat ici de vitesse Oracle, qui
tarde toujours à livrer la mouture définitive d’OpenOffice.org 3.3 (tout en privilégiant la version propriétaire de la suite bureautique).
LibreOffice 3.3 est disponible sur le site officiel du projet, en versions Windows, Mac OS X (x86 et PowerPC) et Linux (x86 32 bits et
64 bits). Bon point, l’installeur Windows contient toutes les langues, ce qui réduira la charge des serveurs miroirs, l’ensemble des fichiers
liés au logiciel passant ainsi de 75 Go à 11 Go. La suite bureautique propose de multiples nouvelles fonctionnalités, dont certaines sont
issues du projet Go-oo (qui pourrait par la suite être abandonné au profit de LibreOffice). Nous retrouvons ainsi la possibilité d’importer
et de manipuler des fichiers SVG, des fonctions de formatage rapide, un mode plan refondu, une meilleure gestion des cellules et des
feuilles de calcul, des filtres d’import pour Microsoft Works et Lotus Pro, etc. D’autres nouveautés sont tirées d’OpenOffice.org 3.3,
comme le nombre maximal de lignes d’une feuille de calcul, porté à un million, l’amélioration de la mise en page des présentations,
une meilleure protection des documents, etc. « Nous sommes très excités : c’est notre toute première version stable et nous sommes
donc très impatients des retours des utilisateurs qui seront alors intégrés le plus rapidement possible dans le code en même temps
que les premières améliorations qui seront disponibles en février », explique Caolán McNamara de Red Hat (qui participe au
développement de LibreOffice). « À partir du mois de mars, nous allons évoluer vers un calendrier de diffusion en temps réel, prévisible,
transparent et public, conformément aux objectifs de l’Engineering Steering Committee et les demandes des utilisateurs. »
Vous retrouverez la feuille de route du projet sur cette page web. Nous y apprenons par exemple que deux mises à jour seront livrées les
14 février 2011 et 14 mars 2011. Elles permettront de corriger les bogues majeurs découverts dans LibreOffice 3.3. La mouture 3.4
du logiciel sera pour sa part livrée le 2 mai 2011. Un rythme de développement rapide.
Si la Document Foundation a pu libérer à ce point le processus de développement de cette suite bureautique, c’est grâce à ses méthodes
de travail, bien moins ‘élitistes’ que celles appliquées par feu-Sun Microsystems (chose qui avait contraint Novell à faire cavalier seul). Un
atout sérieux qui a permis à la fondation de s’attirer les faveurs de la plupart des créateurs de distributions Linux.
IBM sort son poste de travail virtualisé pour les PME
http://www.developpez.com/actu/27741/IBM-sort-son-poste-de-travail-virtualise-pour-les-PME-une-solution-prete-a-l-emploi-auto-geree-et-auto-protegee/
Une solution prête à l’emploi, autogérée et auto-protégée
IBM annonce aujourd’hui « Virtual Desktop for Smart Business », une nouvelle offre de mobilité et de virtualisation destinée aux PME.
La solution IBM Virtual Desktop permet d’héberger et de gérer de façon centralisée les postes de travail (Windows et Linux), réduisant
ainsi les coûts de gestion et la complexité. « Conjuguant rapidité de déploiement de nouvelles applications, mises à jour de logiciels de
façon automatiques et par conséquence, des requêtes diminuées du help desk, la solution qui inclut les logiciels VERDE de Virtual
Bridges, peut–être déployée directement au sein d’une infrastructure client ou via un environnement de cloud privé chez un partenaire »
explique IBM « Outre la facilité et la simplicité de gestion, le bénéfice de mise en œuvre du poste de travail peut avoisiner les 40% ».
« Virtual Desktop for Smart Business » s'inscrit dans la gamme d'offres « Smart Work » (travailler intelligemment). Atout majeur de cette
nouvelle solution, ce poste de travail virtualisé d'IBM s’auto-configure, s’autogère et s’auto-protège ce qui en facilite l’installation, la
maintenance et la continuité opérationnelle. IBM explique « quel que soit le métier, qu’il s’agisse de fonctions commerciales nomades,
d’activités d’inventaires, ou bien encore d’assurer les visites de ses patients dans un hôpital par exemple, la solution fournit un accès
instantané à l’information, aidant les employées à résoudre leurs problématiques plus vite en formalisant des décisions renseignées ».
La solution pré-intégrée est proposée à 142 euros par utilisateur et par an. Beaucoup de PME n’ayant pas les ressources IT nécessaires
pour gérer des environnements traditionnels, le poste de travail virtualisé peut être une réponse appropriée. Elles est « immédiate,
puissante et sécurisée », affirme IBM, qui se félicite que Virtual Desktop « réponde aux deux barrières d’adoption sur le marché des PME
: la complexité et le coût ». L'offre est disponible auprès des revendeurs.
Le W3C relance ses travaux autour de RDF
http://www.lemagit.fr/article/standards-web-semantique-w3c/7978/1/le-w3c-relance-ses-travaux-autour-rdf/
Ivan Herman, le responsable des activités Web Sémantique du W3C, nous avait prévenu à l’occasion de la conférence Semweb Pro la,
semaine dernière. La version actuel du standard RDF (Resource Description Framework) date de 2004, et le consortium s’est fixé pour
objectif de mettre à jour la norme. C’est officiel depuis le vendredi 21 janvier. Le W3C a annoncé l’ouverture d’un groupe de travail qui
devrait ainsi plancher sur les prochaines évolutions de RDF, qui rappelons le, constitue la pièce maîtresse du web sémantique en
permettant notamment de décrire les données. Le groupe de travail RDF doit notamment “étendre RDF et inclure quelques éléments que
la communauté a identifiés comme étant souhaitables et clé dans l’intéropérabilité, en s’appuyant sur la version du standard de 2004,
mais sans avoir d’effet négatif sur les déploiement existants”.
Cette initiative s’inscrit ainsi dans les quelques enjeux énoncés par Fabien Gandon, chercheur à l’Inria, lors de cette même conférence. Il
y expliquait que le consortium et la communauté se devaient de travailler à “la confirmation des standards qui doivent aujourd’hui
réintégrer la pratique de 6 ans d’expérience sans remettre en cause l’existant”.
Tablet Explosion Puts Developers Into Overdrive
http://www.internetnews.com/mobility/article.php/3922161
The onslaught of new tablets running on multiple platforms is giving mobile app developers more choices and opportunities to cash in.
Developers go where the market takes them and right now that path is being paved by tablet PCs beyond Apple's iPad.
As Enterprise Mobile Today reports, developers are ramping up application development to take advantage of the growing popularity of
mobile devices among both consumer and business customers.
According to a new survey from IDC and Appcelerator, enterprises' growing infatuation with mobile devices will have the average
developer writing apps for four different devices at a time this year.
This surge in interest for all things tablet is understandable considering IDC forecasting that more than 44.6 million tablets will be shipped
this year and another 70.8 million will be sold in 2012. The survey, conducted over a three-day span earlier this month, queried more
than 2,200 mobile app developers to better understand what platforms and devices they're working on and how they're attempting to
prioritize their efforts in the initial stages of this unprecedented expansion -- and fragmentation -- of the mobile device market.
"Increased plans to integrate advertising and in-app purchase business models points to a new focus on longer-term financial viability
over free brand affinity apps," the report said. The average developer said he plans to develop 6.5 apps this year, up 183 % from 2010.
While smartphones will continue to attract the majority of new mobile apps in the near term, the rapid accent of tablets including the
iPad guarantees developers will shift their priorities accordingly as the market matures.
Read the full story at Enterprise Mobile Today: Developers Scramble to Cash In On Tablet Revolution
Comment Google compte booster les ventes sur Android Market ?
http://www.businessmobile.fr/actualites/comment-google-compte-booster-les-ventes-sur-android-market-39757775.htm#xtor=EPR-10010
Si les smartphones Android se vendent comme des petits pains (300 000 / jour), en revanche, l’achat d’applications ne
décolle pas. Un Googler a listé les axes stratégiques pour inciter les utilisateurs à mettre la main au portefeuille.
Tandis qu’Apple ne cesse de vanter le succès de son App Store, Google ne cache pas sa déception quant aux nombres d'applications
vendues sur son Android Market.
C'est Eric Chu, manager du département Android, qui s'en est fait l'écho mardi lors de la conférence Inside Social Apps à San Francisco.
HTML 5 Selon lui, Google n'est pas satisfait des chiffres actuels, et il a dévoilé les différents axes pour inverser cette tendance. Tout
d'abord, M. Chu a annoncé qu’Android allait désormais accepter les paiements à l'intérieur des applications. Une solution déjà existante
dans les applications pour iPhone, et dont les résultats seraient très positifs.
Ensuite, Google compte passer de nouveaux accords avec les opérateurs pour que les achats d'application soient directement reportés
sur les factures des abonnés. Google estime que ce procédé serait une véritable valeur ajoutée par rapport à Apple, et son App Store.
Concernant l'Android Market en lui-même, les équipes de Google travaillent sur une meilleure présentation et une plus grande mise en
valeur des meilleures applications. Autre piste évoquée : le HTML 5 comme langage de programmation pour créer des applications.
Enfin, le carnet d'adresses sera désormais utilisé comme une passerelle entre les applications, les réseaux sociaux et les contacts.
Google achète deux start-ups, SayNow et Fflick
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jNaEFyXvOlLuhg9kHX2eTwytUGOg?docId=CNG.e9f6e6d8934d95226c025b9b8b8a4947.831
Une jeune entreprise californienne, SayNow, spécialisée dans le marketing via des messages téléphoniques, a annoncé mercredi avoir été
achetée par le groupe internet Google, qui via sa filiale YouTube a également acquis une autre petite entreprise, Fflick.
"A travers le web, les 'smartphones' et même les lignes fixes, nos produits ont rassemblé des communautés par la voix", a indiqué
SayNow sur son blog. "Et comme Google a certains des meilleurs produits de téléphonie au monde, nous pensons que combiner nos
forces avec celles de Google Voice nous permettra d'innover dans des domaines nouveaux et inexplorés", a ajouté la société
californienne, qui revendique 15 millions d'utilisateurs et des milliers de célébrités.
Google Voice, débuté en 2009, permet de basculer sur un seul numéro de téléphone plusieurs lignes téléphoniques. Fonctionnant sur
internet, il permet aussi de passer des coups de téléphone bon marché à l'étranger, d'envoyer des textos gratuitement, et de transcrire
par écrit des messages reçus sur la messagerie vocale. Une des applications de SayNow permet aux marques et aux célébrités d'envoyer
et recevoir des messages téléphoniques et de bavarder avec des fans.
Google, via sa filiale de vidéos YouTube, aurait par ailleurs déboursé une dizaine de millions de dollars pour Fflick, un service qui exploite
Twitter pour en tirer des recommandations de films, selon les informations du site TechCrunch. "En faisant partie de YouTube, l'équipe de
Fflick va nous aider à ajouter des fonctionnalités pour vous faire découvrir les vidéos dont parle toute la toile, et mettre en valeur les
conversations auxquelles vous pourriez participer", a justifié un responsable de YouTube, Shiva Rajaraman, sur le blog officiel du site.
Google has forked Android
http://www.zdnet.com/blog/open-source/google-has-forked-android/8159?tag=nl.e539
The last thing I wanted to see was Android to split into two “official” versions. For all intents and purposes that’s what’s happened. Ack!
It’s bad enough that Android has multiple current versions. Then, Xavier Ducrohet, Android SDK (Software Development Kit) Tech Lead,
announced “Android 3.0 (Honeycomb) is a new version of the Android platform that is designed from the ground up for devices with
larger screen sizes, particularly tablets.” I asked multiple people at Google if they could expand on this news. None of this could.
So, I’ll spell out what I think is happening here. We’re seeing an Android fork. There will be one line for smartphones, the current Android
2.3, Gingerbread, line, and the forthcoming Android 3, Honeycomb, line. […]
Making Old Computers Feel Brand New
http://www.technologyreview.com/computing/32230/?nlid=4053&a=f
A startup lets customers run the latest software on a remote server.
Each time a new version of Windows is released, many computer users find that their hardware is suddenly outdated. For cash-strapped
schools, upgrading to the latest hardware with each major software release is simply impossible. A New York startup called NeverWare is
offering a possible solution—a server that lets even decade-old PCs upgrade to the latest Windows 7 operating system.
Once NeverWare's server, called the JuiceBox a100, is added to a school's existing computer network , it does the hard work of running
the latest operating systems for numerous aging computers on the same network. To users of those old computers, it will feel as if the
PCs are running the latest version of Windows, when in fact they are accessing it over the network. Their typing and mouse commands
are sent to the software on the server, and the imagery for their display is sent back.
Once connected to a JuiceBox, a PC doesn't even need a hard drive, or any local software at all. NeverWare's founder, Jonathan Hefter,
says a 10-year-old desktop computer running Windows 98 would work just fine. He's targeting the U.S. education market and institutions
in the developing world with the technology. "Schools can't afford to upgrade PCs, and developing countries can't afford PCs, so if we can
use the power of the cloud, we can move to a more efficient model of computing," Hefter says. His company's JuiceBox servers are being
used to power networks of desktops in two New Jersey schools.
Another company, NComputing, also uses servers to offer "virtual desktops" to multiple users, and supplies its technology to some
schools around the world. However, NComputing's approach requires a new device that links a user's keyboard, mouse, and monitor to a
distant server over the Web. One NeverWare JuiceBox is larger than an NComputing device, but then it only takes one JuiceBox to
"upgrade" a network of tens of computers, says Hefter.
Joyojeet Pal, professor of computer science and engineering at the University of Washington, thinks NeverWare's approach has potential.
"What this project seems to offer is an alternative to an online operating system like Google's Chrome OS," Pal says.Google's
approach requires users to use Web versions of software packages, rather than providing access to traditional software. However, Pal
says, the cost of maintaining an outdated machine could still be considerable due to the need for repairs and labor, for example.
NeverWare is not unlike the One Laptop Per Child (OLPC) project, says Mark Foster, a former VP of engineering with OLPC. "Working
there was like doing a year in the Peace Corps, from a computer perspective," he says. "You see what a difference it makes when kids
get the tools that enable them to learn, and you never forget it. In the same way, NeverWare is a terrific idea."
Des applications Android compatibles avec les prochains produits RIM ?
http://www.businessmobile.fr/actualites/des-applications-android-compatibles-avec-les-prochains-produits-rim-39757799.htm#xtor=EPR-10010
La firme canadienne aurait choisi d’utiliser la machine virtuelle Dalvik, que l’on trouve dans Android, afin d’assurer la
compatibilité Java de son système d’exploitation QNX (PlayBook et futurs smartphones).
RIM a-t-il tenté un sacré coup de poker ? Selon Boy Genius Report, il se pourrait que sa tablette PlayBook ainsi que les futurs
BlackBerry tournant avec le système d'exploitation QNX puissent supporter les applications Android.
Le cœur de l'affaire repose sur l'option technique à retenir pour assurer la compatibilité Java de QNX. RIM souhaite en effet qu'il
puisse prendre en charge les applications existantes et notamment celles utilisées par les entreprises qui ne voudront pas réinvestir pour
changer de plateforme. Or BGR croit savoir que le choix pourrait se porter sur Dalvik, la machine virtuelle Java qu'utilise Android. Ce qui
en théorie signifierait que les applications Android pourraient fonctionner avec QNX.
Une perspective qui pourrait chambouler le marché et sérieusement relancer RIM. De son côté Engadget, qui reprend l'information,
estime que RIM est « trop fier pour proposer une compatibilité Android ». Les paris sont ouverts...
Renater déploie du 100 Gb/s sur son réseau national
http://www.silicon.fr/renater-deploie-ses-premieres-lignes-longue-distance-a-100-gbs-44015.html
Entre deux sites distants de plus de 200 km, Renater a mis en place une connexion optique capable de transporter un pétaoctet de
données par 24 heures.
Renater (le RÉseau NAtional de télécommunications pour la Technologie, l’Enseignement et la Recherche) vient de terminer la phase de
test de sa nouvelle infrastructure à 100 Gb/s. Une liaison de 220 Km a été mise en place début décembre entre le CERN (à Genève) et
le Centre de Calcul de l’IN2P3 du CNRS (situé à Villeurbanne). Elle comprenait un lien à 100 Gb/s, cohabitant avec des longueurs d’onde
de 10 Gb/s (sans agrégation, une même fibre optique pouvant transporter plusieurs «trains d’onde» simultanément). Le succès a été au
rendez-vous, puisqu’un peu plus d’un pétaoctet de données a été transféré en seulement 24 heures, soit un débit moyen bidirectionnel
de 95 Gb/s, et l’équivalent du contenu d’environ 212 000 DVD. Suite à cet exploit, l’ensemble du trafic du projetWorldwide LHC
Computing Grid (WLGG) transitant entre les deux sites a été basculé sur cette nouvelle infrastructure réseau. Depuis, Renater a testé
une seconde liaison à 100 Gb/s de 280 km, reliant Lyon à Dijon. Dans les deux cas, ce sont les transpondeurs 100 Gb/s de
l’Américain Ciena qui ont été retenus. Associés à la technologie DWDM (Dense Wavelength Division Multiplexing), ils permettent de
gérer une quarantaine de longueurs (ou «train») d’onde par fibre. Plusieurs térabits/s peuvent transiter sur un même brin optique.
« Le résultat de ces tests a montré la maturité de la technologie qui permet d’éviter le passage par le 40 Gb/s, étape hybride vers les très
hauts débits de transmission », explique Dany Vandromme, directeur de Renater. « L’implémentation d’équipements 100 Gb/s dans le
réseau de production est donc maintenant envisageable, sous réserve que l’environnement économique soit aussi convaincant que la
performance technique. »
Cubeduel, un site pour noter vos collègues
http://www.01net.com/editorial/527330/cubeduel-un-site-pour-noter-vos-collegues/
Phénomène dans la Silicon Valley, la start-up Cubeduel propose aux salariés d’évaluer les personnes avec lesquelles ils
travaillent. Quelques employés français se sont déjà prêtés au jeu.
Véritable attraction outre-Atlantique, Cubeduel connaît un tel succès qu’il a dû se mettre au repos forcé une dizaine de jours, à la mijanvier. Le site a fait son retour sur la Toile. Son principe est simple. Proposer aux salariés de noter leurs collègues, actuels ou anciens.
Les internautes se connectent avec le login et le mot de passe de leur compte LinkedIn.
Cubeduel définit, à partir des contacts des membres de LinkedIn, les salariés qui ont été ou sont collègues (en fonction des éléments
renseignés sur la plate-forme de réseautage). Puis propose deux photos de comparses professionnels, prises au hasard, avec un bref
résumé de leur parcours. Les utilisateurs doivent indiquer avec laquelle de ces deux personnes ils préfèrent travailler. L'élue gagne le duel
et obtient un point. A l’issue de ces matchs d’un genre particulier, la société établit le palmarès du « meilleur collègue ».
Les votes sont confidentiels. En revanche, le palmarès du collègue préféré par entreprise est public. Un classement des employés ayant
obtenu le plus fort score au niveau de l'ensemble du site est établi. Le collègue modèle est un certain Ray Fortna, ingénieur pour
Microsoft. Il a obtenu en sa faveur 96 votes sur 113. En France, c’est un chef de service après-vente d'Exalead qui tient le haut du panier,
avec 73 duels gagnés sur 94.
Par défaut, dès qu’un salarié s’inscrit sur Cubeduel avec ses identifiants LinkedIn, il accepte que son score soit public. Ceux qui ne le
souhaitent pas n’ont d’autre solution que de désactiver leur compte dans les paramètres (settings), accessibles par la FAQ. Plus
ennuyeux, les collègues notés ne sont jamais avertis sur leur adresse de contact LinkedIn que leur profil apparaît sur Cubeduel.
Pour encourager les évaluations, Cubeduel invite ses utilisateurs à contacter d’autres collègues, histoire de donner toujours plus de notes
en laissant leur e-mail. Quant aux courriels des inscrits sur le site, ils pourront être utilisés pour recevoir des offres de partenaires, précise
la société dans ses conditions d’utilisation. Elle promet que ces adresses électroniques ne seront jamais cédées à des tiers.
Malgré cela, Cubeduel est un petit phénomène au sein des sociétés high-tech. Selon Techcrunch, les employés de Microsoft ont procédé à
50 000 évaluations ; ceux de LinkedIn, à 21 000 ; ceux de Google, à 36 000. Combien de vos collègues se prêteront au jeu des duels ?
Qwiki est lancé !
http://actu.abondance.com/2011/01/qwiki-est-lance.html
L'outil Qwiki, très attendu, vient d'être lancé en version alpha et propose un système de visualisation multimédia interactive de données
texte, image, etc. A tester absolument pour voir à quoi pourraient bien ressembler les interfaces futures de nos moteurs de recherche...
Qwiki, l'outil de visualisation de données sous forme multimédia, qui était depuis plusieurs semaines en phase de test pré-alpha auprès
de certains utilisateurs, vient d'être lancé officiellement, en version alpha cette fois. Tous les internautes peuvent maintenant le tester "en
direct live" sur la base des données venant en grande partie de Wikipedia.
Rappelons cependant ce que disait Louis Monier (ancien d'Altavista, Google, Cuil et eBay, excusez du peu...), CTO français de l'entreprise,
dans l'interview qu'il nous avit accordée en novembre dernier : "Contrairement à ce qu'on pourrait croire suite aux premiers éléments
apparus dans la presse, Qwiki n'est pas un moteur de recherche. C'est une technologie qui transforme du contenu (texte, images,
données structurées...) en une animation multimédia interactive. Notre première application est un site de référence, ce qui donne
l'illusion que nous sommes un outil de recherche, mais ce n'est que notre première application. La technologie permet de s'appliquer à
bien d'autres domaines ! Sur ce premier site, disponible à l'adresse www.qwiki.com , les données viennent en priorité de Wikipedia, mais
de nombreux autres sites sont sollicités pour les images, vidéos et données structurées. Nous allons également ajouter d'autres sources
pour le texte, car Wikipedia est très bien comme source générale, mais limité en ce qui concerne les entreprises, les produits, et de
nombreuses personnalités du monde du business."
Pour compléter avec : "L'ambition de Qwiki est de plaquer une expérience multimédia interactive sur du contenu qui est "plat", et de
créer de nouveaux genres d'applications qui n'existent pas aujourd'hui. Cela ne s'applique pas à tout contenu et à toutes les situations,
mais le domaine d'application est énorme. L'expérience Qwiki est à la fois "lean-back" (divertissement / consommation passive), mais
aussi "lean-forward" (découverte active / recherche) à cause de l'interactivité et des nombreuses possibilités d'exploration en contexte.
Nous pensons que les Qwikis existeront sur nos sites, sur beaucoup d'autres sites, sur des profils personnels, et seront accessibles sur
des navigateurs, des applications mobiles, des télévisions interactives."
IBM investit dans un data center géant en Chine
http://www.silicon.fr/ibm-investit-dans-un-data-center-geant-en-chine-44059.html
Avec son partenaire local Range Technology, IBM va construire un centre de données monstre qui hébergera des services
de cloud computing pour les entreprises chinoises. De beaux contrats à la clé pour Big Blue.
Nouveau data center monstre en perspective. En Chine cette fois où IBM s’apprête à construire un centre de données de 620.000 mètres
carrés. Le site sera situé dans le Nord du pays, pas loin de Pékin, à Langfang précisément.
Le centre sera dédié aux technologies et services de cloud computing. Il devrait exclusivement servir les entreprises chinoises, des
secteurs bancaires et publics principalement. La mise en route est attendue pour 2016.
Inévitablement (comme c’est la règle en Chine), IBM s’est associé à un partenaire local, Range Technology. Les coûts totaux de
construction n’ont pas été précisés. Mais, selon le Wall Street Journal, Range Technology pourrait à lui seul investir $1,49 Bn dans
l’affaire. Au final, le projet devrait rapporter $200 M de contrats pour IBM sur les cinq prochaines années.