mon livre de POÉSIE

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mon livre de POÉSIE
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Édition de L’HOMME
Avis du lecteur
Ce livre s’adresse au grand public et vise la compréhension et le partage de
mes faits vécus.
Mon histoire relate dans ce livre les mémoires de mes souvenirs, de mes
ressenties rencontrés de mon passé et du présent dans ma vie.
De plus vous pouvez lire en outre des poèmes émotionnels, que je compose
depuis mon enfance.
Pour de plus amples informations vous pouvez visualiser mon
site Web : http://marccantin.com
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INTRODUCTION
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Faits vécus
Je suis né, de parents divorcés, lorsque j’avais 5 ans, suite à leur séparation ma mère m’a
placé dans le collège de Marie-Clarat. Par la suite, ma mère rencontre un homme et de
cette union naitra une petite fille, ma demi-sœur Caroline. Malheureusement, peu de temps
après, il est décédé suite à un accident de voiture, à ce moment-là j’avais 10 ans.
Suite à cette tragédie, mon père m’a retiré du collège pour que j’aille vivre avec lui et sa
blonde en garde partagée avec ma mère. Cette situation ne dura que quelques semaines.
Cette décision modifia tout le parcours innocent de mon enfance.
À partir de ce moment-là, ma vie prend un tournant qui me mènera à l’enfer de mon
existence. Mon enfance, mon innocence et mon cœur d’enfant furent détruit à tout jamais.
Mon père m’annonce que ma mère est décédée et qu’il ne pouvait plus me garder avec lui.
Il me donna comme raison que je nuisais à sa vie de couple. Donc, il commença des
procédures auprès des travailleurs sociaux et puis, ils m’ont placé en famille sociale. J’ai
vécu dans neuf familles sociales différentes environ où j’ai vécu l’enfer jusqu’à mes 14 ans.
Violence, maltraitance, abus, cicatrices émotionnelles, solitude et plus encore. Ces mots
furent ceux qui caractérisent le mieux cette période de ma vie.
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Et puis un jour, ma mère ressuscitée, me ramena chez elle, avec l’assistance des travailleurs
sociaux, elle me trouve un travail en construction et un appartement, puis mon enfance prit
fin à 15 ans. J’ai dû me débrouiller seul, déterminé à réussir, je me suis concentré sur mes
buts et rêves. Après avoir gagné Monsieur Lanaudière (Montréal) en 1986, bien placé dans
la vie, propriétaire d’un Gym et d’un condo, deux emplois, les poches remplis d’argent, je fis
une belle vie. Puis, j’ai rencontré Debra qui m’introduit à fond dans un monde de la drogue
et de boisson où je me suis perdu pendant 4 ans. Avec de mauvaises fréquentations, je me
suis plongé dans un monde géré par le sexe, la drogue et l’argent, tout ça prit en
considération me fit perdre le cap de ma vie. Peu à peu, j’ai fini par tout perdre et me trouver
itinérant seul dans la rue sans rien devant moi.
Puis condamné par un juge à faire une cure de désintoxication pour une période de 6 mois.
J’ai réussi à être sobre et de plus j’ai pris des cours de croissances affectives, travailleur
social, travailleur de rue etc. Après ma cure, je suis resté au centre comme employé pour
une période de deux ans environ. Je me sentais utile, un parcours totalement différent de
ce que j’avais vécu auparavant.
Et puis quelques semaines après, j’ai rencontré Lucienne une relation de couple qui a duré
4 ans, grâce à elle je vivais une vie simple et stable, sans drogue et sans alcool. Pendant
cette période de ma vie, j’ai dû vivre quelques opérations à ma colonne qui me mettra en
chaise roulante. J’ai dû réapprendre à marcher. Quand cette relation prit fin je me suis
retrouvé une fois de plus itinérant dans la rue.
Déterminé à m’en sortir, en étant dans la rue, je me suis trouvé un emploi chez Transit, un
magasin de chaussures et puis je suis retourné à l’université. Grâce à mon petit salaire, j’ai
pu me louer une chambre où enfin j’avais un petit chez moi au chaud où ma vie reprend son
élan et me donne espoir à mon désir de vivre.
Le cours de la vie n’a jamais été facile depuis, sans compter qu’un jour le cancer cogna à
ma porte, une lutte très difficile, que j’ai combattue et cela fait déjà 4 ans que je suis en
rémission. De plus, 22 opérations s’ajoutent à la liste longue et pénible de tous les
problèmes de santé que j’ai dû confronter, une main complètement refaite, une arthrose
sévère facettaire dégénérative, une luxation majeure de l’épaule gauche et j’en passe.
J’ai eu une vie très difficile physiquement et émotionnellement et c’est grâce à l’écriture de
mes poèmes que j’ai réussis à passer au travers. J’ai déposé à l’encre de ma plume mon
vécu, mes mémoires de mes verbes, mes ressentis par les mots de mon cœur, mes
émotions, mon désarroi et surtout mon désir d’aimer et d’être aimé.
J’espère que vous allez apprécier la folie de mes poèmes.
Puisque grâce à eux, ma vie prend un tournant vers une vie ou il fait bon vivre.
Ce livre s’adresse au grand public et vise la compréhension et le partage de mes poésies.
Absolument tout vient de mon cœur et de mon imaginaire depuis mon enfance.
Bonne Lecture.
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Chapitre 1
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Chapitre 1
De ma conception à ________________________
Neuf mois avant ma naissance, ma mère Claudette Pagé, une femme respectable et très
sage qui étudiait pour être sœur, marchait sur le bord du chemin à Terrebonne, car elle allait
apporter le diner à son père, Léopold Pagé, à un arrêt d’autobus car mon grand-père
travaillait à la STM sur des tramways de la ville de Montréal et de Terrebonne. Et c’est à ce
moment-là qu’elle a croisé mon père, Jacques Cantin, qui conduisait une moto verte. Il l’a
suivi et puis l’a violé sur le bord du chemin, une tragédie qui changea la vie de mère à tout
jamais. De ce viol, je fus conçu, ma mère enceinte par son violeur quelle horreur. Elle ne
pouvait plus continuer le parcourt qu’elle avait choisi pour sa vie, elle a dû abandonner l’idée
de devenir sœur. Il n’était pas question à cette époque-là de laisser les gens savoir que sa
fille était enceinte et que cet enfant fut d’un viol. Alors mon grand-père pour sauver la
réputation de sa fille, eut l’idée de proposer une somme d’argent au violeur pour qu’il
accepte de l’épouser. Mon père accepta sa proposition et maria ma mère.
Au moment du viol mon père fréquentait une fille qui s’appelait Rose-Anne Ledoux, d’ailleurs
il ne la quitta jamais. Tout le temps qu’il a été marié avec ma mère il avait sa maitresse. Ma
mère ne disait rien, et a dû accepter la situation, car mon père, un homme très violant la
battait régulièrement. Ma mère l’a pas eu facile, un viol, un enfant et un mariage malheureux.
Neuf mois après le viol, je suis né, un mercredi 20 mars 1963 à 22h44 à Montréal, faut
comprendre que je n’étais pas un enfant désiré, complètement normal considérant la
situation de ma conception. Et pour moi la vie débuta, petit et innocent j’ouvre les yeux à
une vie qui ne sera pas une des plus belles par moments. Le soir où le moment est venu
de voir la lumière, ma mère était à la salle de bain assise sur le bol de toilette et puis la tête
du bébé est sortie. Sur la panique, elle appela son mari pour de l’aide, celui-ci lui répond de
ne pas le déranger car il écoutait un film de cowboy à la télévision et d’aller voir sa mère
pour de l’aide. Sur la panique et plein de douleur elle marcha, la tête du bébé sortie, jusque
chez sa mère. Et puis ils sont partis à l’hôpital.
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Mon père, un homme sans-cœur, froid qui avait un problème de consommation, était
toujours sur les pilules. Quand ma mère l’a marié, il chantait avec son cousin dans les bars.
On peut dire qu’il passait son temps à l’extérieur à travailler, chanter ou avec sa maitresse
et quand il était à la maison il était devant son téléviseur ou à nous battre. Il était un homme
très violent, il me battait souvent une chance que ma mère me protégeât par moments, mais
malheureusement elle aussi se faisait battre. Ce n’était pas une vie très joyeuse. En plus de
vivre dans la pauvreté. En trois ans, il a souvent changé d’emploi, de ce que je me suis fait
raconter, il a travaillé pour une compagnie de pilules, et puis il a travaillé pour la compagnie
fantalac et c’est avec ce produit que ma mère me nourrissait. Ce qui a fait de moi un homme
fort me disait-elle, le dernier emploi qu’il a eu était comme lithographe pour la compagnie
Pierre Desmarais. Et je passais mon temps avec ma mère et mes grands-parents.
Vers l’âge de 3 ans ma mère s’est séparée de mon père. Elle a déménagé près de chez
sa belle-sœur, la sœur de mon père, à Montréal dans le coin de Saint-Michel. Elle s’est
trouvé un emploi chez Indiana textile pour subvenir à nos besoins, car mon père ne voulait
pas lui payer une pension alimentation pour moi. Ce n’était pas évident pour elle. Depuis
ce moment-là, le comportement de ma mère a beaucoup changé. Elle était moins présente,
elle sortait de plus en plus dans les bars, mettons qu’elle vivait sa vie de célibataire dans
tout le sens du mot.
Ce retrouvé seul avec un enfant n’était pas évident pour elle, par chance qu’elle eût de l’aide
de mes grands-parents. À partir de ce moment-là, j’ai commencé à me faire garder par mes
grands-parents des deux côtés. Une fin de semaine chez un et une fin de semaine chez
l’autre en alternance.
Les grands-parents de ma mère me gardaient presque chaque deux fins de semaine et
demeuraient à la ville de Terrebonne, et ma mère demeurait à Montréal. Ma mère me
déposait de mes 3 à mes 5 ans, avec un carton sur mon manteau m’identifiant, à un arrêt
autobus et je m’assoyais à côté du chauffeur d’autobus, qui me déposait au dépanneur pour
que mes grands-parents viennent me chercher. Une fin de semaine sur deux j’allais aussi
chez ma grand–mère, la mère de mon père qui se nomme Fleurette Cantin qui demeurait à
la ville de Joliette, au 241 rue Gaspard Nord, cela n’est pas évident pour un enfant de 5 ans
prendre autobus seul, de partir de Montréal et d’aller en région.
Après la séparation de mes parents, mon père est parti vivre chez mon oncle, par contre il
passait beaucoup de temps chez sa blonde Rose-Anne. Alors, quand mon père et ma
grand-mère n’étaient pas arrivés, c’est mon oncle, le frère de mon père, Jean Cantin, qui
me gardait, et c’est à ces moment-là qu’il a abusé de moi j’avais environ 3 ans. Il habitait au
905 rue Gifford en haut d'un commerce de télévision. Il m’amenait souvent dans une vieille
remise bleue grise qui était dehors de la maison, pour y accéder il fallait passer dans le
salon et la cuisine pour aller rejoindre une passerelle qui nous conduisait à cette dite remise
et c’est à cet endroit qu’il me violait. Je m'en souviens comme si c’était hier.
La première fois que c’est arrivé, il a commencé par des attouchements, il me caressait le
pénis, les fesses, la tête, le cou etc… vous pouvez imaginer comment cela s’est déroulé.
Et puis à toutes les fois que cela s’est produit, il allait toujours plus loin dans ses agressions
jusqu’à la pénétration. Il m’a violé de mes 3 ans à mes 6 ans, car vers cet âge, je suis parti
au collège Marie-Clarat chez les sœurs de 6 à 9 ans environ. Je me souviens que vers
l’âge de mes 4 ans j’ai dû porter des souliers spéciaux avec des barres de métal avec des
vis car j’avais les pieds croches. Les sœurs du collège étaient aux petits soins avec moi.
J’étais bien, ma mère me disait que je recevais beaucoup de petits collants pour les travaux
que je faisais. J’ai de bons souvenirs de cet endroit.
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Et puis de mes 9 ans à mes 12 ans environ j’ai fréquenté le Collège de St-Arsène sur
Christophe Colomb au coin de Jean-talon, c’était un collège de frère, ce n’était pas les
mêmes traitements qu’avec les sœurs de Marie-Clarat. À cet endroit, je me méfiais de tous
les hommes et je ne me sentais pas bien et ni en sécurité et puis un moment donné j’ai
commencé à voir qu’il se passait des choses pas normales. Je dormais toujours un œil
fermé et l’autre ouvert. Car les frères venaient chercher un jeune et les amenaient dans les
salles de bains…on savait qu’il se passait de quoi mais personne ne parlait et on était tous
aux aguets. Quand je sentais que le frère venait me chercher j’envoyais un crachat à un
autre jeune quand il cria, le frère le prenait et j’étais épargné. Je me protégeais de cette
façon. J’ai été chanceux de mes souvenirs, rien de grave ne m’est arrivé.
Durant cette période de ma vie, vers l’âge de 7 ans, ma mère a rencontré un homme, Gérard
Séguin, un homme très sévère mais très bon. Celui-ci venait de sortir de prison après un
séjour de 25 ans. J’ai été très heureux, de plus, j’ai été gâté, un de mes plus beaux cadeaux
était ma chambre. Il avait peint un ciel avec des étoiles et les jouets des sentinelles de l’air
et puis en hiver, il m’a même fait une patinoire dans notre cours avec l’emblème des Maple
Leafs de Toronto, j’étais très fier. Je l’aimais beaucoup malgré le fait qu’il me punissait très
sévèrement, par exemple quand j’étais impoli avec ma mère il me faisait copier des milliers
de fois, je tournerais ma langue 7 fois avant de parler. J’en avais mal aux mains à force de
copier ça et je pouvais manger du pain sec avec de la cassonade et de l’eau pendant un
mois. Mais c’est le seul qui ne me battait pas et il m’aimait, ça je le savais. Il avait un
problème de jeu et de mauvaises fréquentations à un tel point qu’on a perdu notre maison
et dû déménager sur la rue Nantes à trois rues d’où on habitait je m’étais rapproché de mon
école mais malheureusement j’ai perdu ma belle chambre. J’en étais très attristé. À ce
moment-là j’allais au collège la semaine et j’allais chez ma mère et Gérard la fin de semaine.
Je me souviens que la fin de semaine la maison était toujours remplie de gens, c’était la
fête à tous les jours. Par contre à ce moment-là, je ne savais pas que c’était des amis de la
mafia Séguin Banane, même la famille Catronie, Nick, Vincent et les Popeye un club de
motos venaient chez nous. Ils venaient faire des parties de joutes de dés dans notre soussol presqu’à tous les soirs et ma mère faisait les repas pour tout le monde jusqu’aux petites
heures du matin. Mon beau-père nous avait acheté à ma sœur et moi des chiens plus
précisément des bergers Allemands, Silver et Lady, quand nous allions nous coucher les
chiens restaient à l’extérieur de nos chambres devant la porte pour faire la garde. Au début
c’était le fun, mais plus les semaines avancèrent plus cela nous dérangeait, pas évident
pour des jeunes enfants de vivre dans un tel environnement, vivre constamment autour de
bruits excessifs, comme si on dormait en plein milieu d’un bar pendant que tout le monde
crie, s’obstine, se chicane, la musique sur le tapis, des cognements constants, j’entendais
le cognement quand ils déposaient leurs armes à feu sur la table sans oublier leur langage
cru. Je restais dans mon lit les mains sur mes oreilles sous mes couvertures, car j’avais
peur et sursautais constamment. Cela me traumatisa à un tel point que cet environnement
finit par envahir mes rêves.
Quelques mois plus tard, le jour des morts vers 1h17 du matin, Gérard nous a quittés vers
un monde meilleur. Je m’en souviens comme si c’était hier, j’étais dans le sous-sol avec ma
sœur et puis je me suis mis à pleurer à chaudes larmes et cinq minutes plus tard la police
cogna à la porte nous informant que Gérard était décédé d’un accident d’auto au coin de
Jarry et Viau. Il revenait d’un gala de boxe au centre Paul Sauvé.
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Il a été l’amour de ma mère, elle l’aimait plus que tout. De cet amour fut conçu une petite
fille, ma petite sœur Caroline née en 1970. Je l’adorais, mais je n’étais pas le seul, elle était
la princesse de son papa. Il l’a tellement gâtée que sa chambre était pleine de jouets sans
compter que les amis de Gérard et moi-même faisions pareil. Je l’ai gâté, à toutes les
semaines je lui achetais des petites figurines des strumfs et j’en passe. Je me souviens
qu’un jour je lui ai rapporté une auto plein de toutous que j’avais gagnés à la ronde j’étais
avec mon ami Michel propriétaire du Super Tan sur la rue st-Catherine. On a gagné
tellement de toutous que nous avions rempli deux taxis pleins, un pour ma sœur et l’autre
que nous avons donnés aux enfants de l’hôpital St-Justine. Sans compter que je l’ai toujours
protégé. Suite à la mort de Gérard nous avons dû déménager et puis en 1973, ma mère
me plaça au Collège St-Arsène. Et mon calvaire recommença.
Je me souviens que durant cette période de ma vie, je faisais beaucoup de cauchemar. En
hiver, vers le mois de novembre avant de perdre la maison et de déménager sur la rue
Nantes, j’étais avec mon ami René Sauvageau, son frère et un autre de nos amis dans une
cour à scape près de chez moi à environ une centaine de pieds. C’était une place où nous
aimions beaucoup jouer, à cet âge nous avions beaucoup d’imagination car il y avait toutes
sortes d’objets là–bas, et puis cette journée-là après avoir joué au cowboy et aux Indiens,
mes amis ont décidé de faire un feu, ils étaient tous autour du feu pendant que je partais à
la découverte de petits trésors et puis je suis tombé sur une canne pour dégivrer les vitres,
innocent, pour leur faire peur et leur jouer un tour je leur ai lacé. Chanceux comme je suis,
la canne à retentit dans les feux et s’est mise à exploser. Tout d'un coup je vois mon ami
René en flamme. J’étais affolé, jamais je ne pouvais imaginer qu’une simple plaisanterie
allait revirer au cauchemar. Mon ami en feux, j’étais figé et puis je suis parti à courir vers
chez moi en hurlant de toutes mes forces maman, maman, maman, sans cesse. Mon ami
enflammé me poursuivait à la course jusqu’à chez moi où se trouvait ma mère. Ma mère
sans hésiter prit une couverture et l’enveloppa, faut dire que ma mère était très rapide
d’esprits et a su maitriser la situation très rapidement. À ce moment-là ma grand-mère
maternelle s’est occupée de mon ami et ils sont partis à l’hôpital. Ma mère est restée avec
moi car j’étais dans tous mes états, j’étais en choc et pleurais à chaudes larmes, j’avais des
remords, de voir mon ami brulé m’a marqué à tout jamais. Il fit brûlé au troisième degré au
visage, sur le bras, au torse sur le côté gauche et les autres brûlures n’étaient pas aussi
graves, heureusement je n’ai rien eu physiquement. Après cette journée, je n’ai plus revu
mon ami car je suis reparti au collège. Et puis encore très dramatisé par cet incident j’avais
de la difficulté à l’oublier, jour après jour, je revoyais sans cesse dans ma tête cette horrible
scène, j’étais incapable de dormir j’en faisais des cauchemars à répétition je m’en suis voulu
très longtemps. Et puis les jours passèrent et les cauchemars diminuaient mais ne
disparaissaient pas.
Et puis nous nous approchions de Noël, une fête que j’aimais beaucoup, encore aujourd’hui
j’ai de beaux souvenirs surtout du côté maternel. J’adorais mes grands-parents, ils m’ont
toujours gâté j’avais toujours beaucoup de cadeaux et des cadeaux spéciaux que personne
n’avait. Ils avaient le tour de me surprendre à chaque fois. Mais le plus important c’est que
je les adorais. Ma grand-mère Laurette Léveillé, sœur de Claude Léveillé le chanteur, et
mon grand-père m’ont toujours donné beaucoup d’amour et de bons conseils. Mon grandpère m’impressionnait beaucoup, il était tout pour moi, il avait été conseillé de la ville de
Mascouche, j'ai même dessiné avec lui le logo de la ville de Mascouche, dernièrement j’ai
passé par là et vu que le logo n’a pas changé. J’ai eu un sentiment de fierté, de voir qu’il fait
partie de notre histoire, qu’il a laissé sa trace dans la communauté, Il a été un grand homme.
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Et le jour de Noël arriva en 1972, nous étions en visite chez mon grand-père à Terrebonne.
Mais cette fois-ci, il n’était pas comme tous les autres auparavant. Je me souviens comme
si c’était hier, nous étions tous assis à la table pour déguster le bon souper de Noël que ma
grand-mère préparait. Ça sentait toujours bon la bonne bouffe à grand-maman. Mon oncle
le frère de ma mère, Serge Pagé, n’était pas encore arrivé pour le souper, à ce moment-là,
il travaillait chez Bell et des fois il y avait des urgences. Alors on l’attendait et puis ma mère
reçut un appel vers minuit neuf, de sa part nous disant que notre maison avait passé au feu.
À cette époque quand il y avait un feu, Hydro-Québec appelait Bell Canada et c’est comme
ça qu’il l’a su. Quelle horreur, nous avions tout perdu, tous mes beaux jouets, mes photos,
enfin tous… j’étais horrifié, c’était la deuxième fois que le feu me dramatisa dans ma vie
j’étais horrifié par cette flamme qui détruisait tout, mon ami, mes souvenirs et à cause de
celle-ci j’ai dû déménager, vous pouvez imaginer que les cauchemars ont continué de plus
belle. Nous pouvons constater que je n’ai plus jamais apprécié Noël de la même façon,
encore à ce jour à 53 ans, je n’aime pas la fête de Noël, trop de mauvais souvenirs.
Et puis la vie prit son cours normal, quand j’allais chez ma mère la fin de semaine, elle me
raconta qu’elle demandait à mon père plus d’argent pour moi, car j’avais de plus grands
besoins que quand j’étais petit. Elle me disait qu’elle était en débats avec lui pour augmenter
la pension alimentaire, car il ne payait que 45$ par mois et qu’elle n’arrivait plus. Peu de
temps après mon père que je ne voyais ne jamais, a commencé à venir me chercher pour
passer une fin de semaine avec lui, j’étais très surpris. Et je ne comprenais plus rien, lui qui
n’a jamais été présent et qui m’a toujours dit, ne pas m’aimer. À ce moment-là, ma mère
n’était pas contente qu’il vienne me chercher. Alors je passe une fin de semaine chez mon
père à Laval et l’autre chez ma mère à Montréal. À ce moment-là mère sortait avec Luciano
un membre des Popeye, un MC. Elle sortait toujours avec des hommes de ce milieu-là.
En 1976, cela faisait un an que je fréquentais le Collège St-Arsène et pendant une sortie
avec les frères pour vendre des tablettes de chocolat et des macarons d’Henri Richards,
une partie de notre collège parti en flamme. L’aréna, les gymnases et quelques dortoirs. Je
suis resté au collège à peu près deux semaines après l’incident.
Après quelques fins de semaine passées chez mon père, un bon jour en plein milieu de la
semaine, il est venu au collège et m’annonça que ma mère était décédée et que je devais
quitter le collège pour aller avec lui. J’étais dans tous mes états. Alors je pris mes effets
personnels et quittai le collège le cœur en peine pour aller vivre avec un père, que je ne
connaissais pas, mais que je savais violent dû à tout ce que ma mère et moi avions vécu
au moment où il a habité avec nous.
Je venais de perdre ma mère, j’étais dans tous mes états et de plus pris au piège chez mon
père. Quand je suis arrivé chez lui cette journée-là j’ai rentré dans la maison et je me suis
dirigé dans l’atelier de mon père, c’était ma nouvelle chambre, un lit tassé dans un coin
entouré de tous ses outils, matériaux de construction et des boîtes, mettons que ce n’était
pas ma chambre de rêve. Encore une fois j’ai tout perdu ma mère, ma maison, mes jouets
et effets personnels. Ma vie ne remplissait qu’une petite valise.
Mon père m’avait inscrit dans l’école du quartier à Pont Viau à Laval, à cinq minutes de chez
mon père. Je l’ai fréquenté peu de temps, deux ou trois mois maximums.
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Ce n’était pas facile chez mon père mettons que sa conjointe Rose-Anne ne m’a pas
accueilli les bras ouverts, elle ne me voulait pas chez elle. Elle me détestait tellement, je me
souviens qu’un jour nous étions seuls dans la cuisine, elle me regardait d’un regard très
froid et d’un ton autoritaire, et me dit que je n’aurai jamais mon père car il lui appartenait. Je
ne comprenais pas à cet âge-là pourquoi elle me disait cela car j’avais rarement vu mon
père après mes trois ans. Je ne me sentais vraiment pas aimé par eux. Pour elle, j’étais le
fruit d’un viol, d’une infidélité de la part de son chum, car à l’époque où il a violé ma mère, il
était en relation avec Rose-Anne. Elle a toujours été très sévère et très dure avec moi. Au
moment des repas par exemple elle lançait le spaghetti dans mon assiette avec plein d’eau
et me donnait mon assiette ou plutôt me la pitchait et aussitôt fini il fallait que je retourne
dans mon trou, autrement dit ma chambre dans le sous-sol. Elle n’aimait pas vraiment que
je sois en haut avec eux en haut.
Je me souviens que dès que je rentrais de l’école j’allais dans ma chambre faire mes devoirs,
j’en sortais que pour le souper et aussitôt fini, j’y retournais. Il fallait que j’apprenne toutes
mes leçons par cœur et tant et aussi longtemps que je ne les savais pas par cœur et sans
faute je retournais dans ma chambre. Épuisé, je me couchais, car c’était très difficile pour
moi. J’ai toujours eu beaucoup de difficulté à l’école, par contre je suis un fonceur et je
travaillais très fort. C’était comme ça à tous les jours, une routine peu agréable. J’étais
nouveau dans le coin, je n’avais pas vraiment d’ami, je me sentais seul. C’est vrai, il y avait
deux gars plus vieux que moi qui habitaient la maison en face. J’ai joué quelques fois au
hockey avec eux, mais pas plus. Je me souviens qu’un jour je jouais au hockey avec eux
et puis leur père les appela pour aller diner. Par contre je suis resté et j’ai continué à jouer
seul, je me préparais à compter un but quand tout à coup la rondelle a dévié et est partie en
direction de la fenêtre du sous-sol et puis crique craque la vitre fut cassée. J’étais tellement
désolé et je n’avais pas fait exprès, affolé je suis rentré à la maison et m’enfermai dans ma
chambre. Le père de mes amis a essayé de retrouver le coupable toute l’après-midi. Plus
tard durant la soirée, j’entendis cogna à la porte, et oui c’était le voisin, le père de mes amis.
Il est venu raconter à Rose-Anne qu’il a trouvé la fenêtre de son sous-sol brisée mais il
ignorait qui était l’auteur de ce crime. Quand mon père arriva à la maison sa blonde lui a
raconté que le voisin est venu raconter l’histoire de la vitre cassée. Pas longtemps après il
est descendu dans le sous-sol pour venir me parler et puis je lui ai tout avoué. Il exigea que
j’aille voir le voisin avec lui pour lui présenter mes excuses. Et gêné, j’ai pris mon courage
à deux mains, je me suis dirigé vers la maison de mes amis, le chemin vers chez eux me
paraissait très long et puis un coup arrivé, je m’excusai avec toute sincérité. Mon père était
en colère après moi, quand je suis arrivé chez moi il me gronda et m’interdit de revoir mes
amis. Alors, plus d’amis pour moi, j’étais seul et très malheureux.
Un soir j’étais dans le sous-sol et je les entendais se disputer, Rose-Anne lui disait qu’elle
ne voulait pas que je reste avec eux, qu’il fallait qu’il se débarrasse de moi. Cela me fessait
beaucoup de peine d’entendre cela, où est-ce que je vais aller, ma mère décédée et mon
père qui ne voulaient plus de moi, je me sentais seul et abandonné. Peu de temps après,
une à deux semaines plus tard mon père est venu me voir dans ma chambre et me raconta
qu’il ne pouvait plus me garder chez lui car je nuisais à sa vie de couple. Je ne pouvais rien
faire pour lui faire changer d’idée, il était décidé à me placer. Il commença à faire des
démarches pour me trouver une famille d’accueil. Quelques jours plus tard, Mme Giroux du
Centre Social sur la rue Sherbrooke à Montréal et celui de Laval m’ont pris en charge,
j’appartenais désormais à la société, au gouvernement. Je suis devenu un orphelin, sans
parents et sans famille.
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Elle m’attendait en haut pendant que je suis descendu dans ma chambre, tout triste et
désemparé, j’ai pris ma petite valise bleue que mon père m’avait prêtée, mis tout ce que
j’avais dedans, je me suis habillé et monté rejoindre Mme Giroux et nous sommes partie
chez la famille Dagenais à Beauharnois dans la ville de Chateauguay. Durant tout le trajet
j’avais toutes sortes d’émotions, j’avais peur, peur de l’inconnue, j’étais en colère, triste et
j’en voulais à mon père de m’avoir abandonné à de purs étrangers. Je ne savais pas à quoi
m’attendre. Est-ce qu’ils allaient être gentils ou méchants comme mes parents ou RoseAnne. Est-ce qu’il y avait des enfants là-bas. Où vais-je aller à l’école, je venais tout juste
de changer d’école, il faut tout recommencer. Quelle adaptation, me semble que ma vie a
tellement changé en si peu de temps, je me suis senti comme une balle qu’on lance un peu
partout. Quel sentiment horrible. Pendant le trajet Mme Giroux a essayé de me rassurer,
elle prit le temps de me parler de cette famille d’accueil où j’allais désormais partager ma
vie. Elle me précisa que ce n’était qu’une famille temporaire et qu’il y avait une petite fille
de 6 ans à eux et trois garçons entre 12 et 15 ans qui sont placés chez eux tout comme moi.
Je l’écoutais très attentivement les yeux pleins d’eau. Plus qu’on approcha Châteauguay,
plus j’angoissais…Et puis on arriva, j’avais l’impression que j’étais collé sur le siège d’auto,
je ne voulais pas sortir du véhicule. Mme Giroux me prit la main et nous nous sommes
dirigés vers la porte, elle sonna et puis la porte s’ouvra et ils étaient là, devant moi. J’étais
tellement gêné, je baissais les yeux, j’étais sans mot devant cette situation où je me sentais
vulnérable. Mais dans ma tête, je me posais mille et une questions et je vivais une panoplie
d’émotions, je voulais faire demi-tour et repartir, mais j’étais figé les deux pieds dans le
ciment, immobile devant cette nouvelle situation. Repartir où, plus personne voulait de moi.
Et puis, elle me présenta Madame et Monsieur Dagenais, ils me semblaient gentils, je me
sentais un peu rassuré mais j’étais toujours sur mes gardes. Ils m’ont présenté tous les
enfants, j’ai fait le tour de la maison et nous sommes descendus dans le sous-sol.
J’imaginais mon lit dans un coin entouré de toiles d’araignée, mais non, tous les enfants
avaient une belle chambre à eux, et moi de même, j’ai été très surpris et tellement soulagé.
Mme Dagenais m’aimait bien, j’étais content ils étaient vraiment gentils avec les autres
enfants mais surtout avec moi, de plus on mangeait très bien.
Tout allait super bien pour moi jusqu’au moment où un des trois garçons me prit seul et me
dit qu’il fallait que je fasse ce qu’il me disait sinon ça allait aller mal pour moi. Il voulait que
je mange des excréments, des sauterelles et que je fasse tout ce qu’il me disait. Il n’en était
pas question, j’ai refusé et le lendemain, il a raconté à Mme Dagenais que j’avais abusé de
sa fille, ce qui était totalement faux. Elle ne m’avait pas cru et c’était complètement normal,
car ça ne faisait pas longtemps que je venais d’arriver. Elle ne voulait pas prendre de chance.
Après cet évènement, ils ne voulaient plus me garder. Une semaine plus tard, j’ai dû quitter
et tout ça à cause de la jalousie, car Mme Dagenais m’aimait bien, j’étais devenue son
chouchou. Mais cela ne faisait pas l’affaire à tous. Le garçon en question a dû être très
content de me voir partir, mais moi de l’autre côté je n’étais pas contant de partir surtout que
j’étais bien. Mais je me souvenais que Mme Giroux m’avait dit dans l’auto que ce n’était
que temporaire, je souhaitais qu’elle m’ait trouvé ma famille d’accueil permanente. Mais ce
ne fut pas le cas, encore une fois je repris ma petite valise bleu et reparti vers d’autres
horizon accompagné de Mme Giroux.
Cette fois-ci, je cognai à la porte de la famille Brault, j’y suis resté qu’une semaine, c’était
une famille de transition et puis une autre, une autre et une autre, j’ai passé comme un
courant d’air dans neuf familles d’accueil pour atterrir chez la famille Cyr à St-Jérôme. On
peut dire que je n’ai même pas eu le temps de vider ma petite valise bleue qu’aussitôt je la
remplissais. J’étais étourdi et découragé, j’avais hâte de trouver la bonne famille où j’allais
me sentir enfin chez moi où il ferait bon vivre. Je n’avais même pas le temps de tisser des
liens que j’étais reparti. Une chance que les familles restaient dans le même coin, donc j’ai
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pu fréquenter la même école mais pas évident cette période, je me sentais tellement seul
et puisque j’étais introverti et très gêné je ne parlais à personne de ce que je vivais et
éprouvais. Mais Mme Giroux fessait son possible et elle était là pour moi, je peux même
vous dire que c’était la seule constance dans ma vie à cette époque-là. Quelle tristesse
n’est-ce pas. La seule personne sur qui je pouvais compter est une employée du
gouvernement payé pour prendre soin de mes besoins. Mais comme tout parent, elle n’a
pas vraiment réussi jusqu’à maintenant, je me sens comme une balle de ping-pong lancée
d’une place à l’autre. Mettons que ce n’est pas mon désir ni mon choix, mais quel choix aije. Je vais où ils veulent et je n’ai rien à dire.
Quand je suis arrivé chez la famille Cyr, en voyant madame et monsieur, j’ai toute suite
sentie une mauvaise énergie. J’avais le gout de faire demi -tour. Quand je suis arrivé chez
les Cyr il faisait encore jour et les enfants jouaient dehors dans la neige, ils étaient en train
de faire un igloo. Mme Giroux me dit d’aller m’amuser avec eux et c’est ce que j’ai fait, j’étais
très gêné mais je me suis intégré facilement. Je commence à être habitué de changer de
famille d’accueil, c’est devenu normal pour moi. Alors, comme je vous racontais, j’ai
participé à la construction d’un igloo, à un moment donné les enfants sont rentrés à l’intérieur
et moi je suis resté à jouer car Mme Giroux n’avait pas fini de parler avec madame et
monsieur Cyr. Je peux dire que je me suis donné à cœur pour creuser le tunnel de l’igloo
et puis tout à coup, tout s’est effondré sur moi. La neige était tellement lourde que j’étais
incapable de creuser j’étais pris au piège. J’étais incapable de bouger, je criais de toutes
mes forces mais personne ne m’entendait. Je commençais à avoir de la difficulté à respirer,
j’étais complément gelé, je ne sentais plus mes joues, mes mains et mes pieds. Quelques
minutes plus tard, je commençais à manquer de souffle, j’avais de la difficulté à respirer,
j’avais très peur et j’étais angoissé à l’idée de mourir. Et puis j’ai ouvert les yeux et ils étaient
tous là autour de moi. Ils ont même appelé une ambulance, quand les ambulanciers sont
arrivés, ils m’ont donné de l’oxygène et m’ont examiné. Ils ont jugé qu’il n’était pas
nécessaire d’aller à l’hôpital. Et oui, j’ai failli y passer, j’ai frôlé la mort. J’ai été très chanceux.
On peut dire que pour une première impression, je n’ai pas manqué mon coup.
Nous étions douze enfants chez eux, il y avait Carl et Stéphane Cyr, les Rochons Micheline
et son frère qui venaient de la crèche et tous les autres enfants. Malheureusement, je ne
me souviens plus de leurs noms tellement il y en avait. Stéphane et Carl avaient des belles
grandes chambres séparées au deuxième étage et tous les autres couchaient dans le soussol, il y avait deux chambres de quatre enfants et une de deux enfants. J’ai été chanceux
car j’avais celle de deux enfants. On avait tous des lits superposés et dans mon cas je
dormais en haut et Daniel Rochon dormait en bas. C’est lui qui avait choisi le lit d’en bas
car avant que j’arrive c’est sa sœur Micheline qui dormait avec lui dans la chambre et elle
dormait dans le lit d’en bas. Quand je suis arrivé Micheline a changé de chambre et elle est
partie dormir dans une des deux autres chambres avec trois garçons. Micheline avait à peu
près 9 ou 10 ans et son frère avait mon âge. Ma chambre était tellement petite qu’il y avait
que de la place pour un lit superposé de plus juste en face il y avait la salle de bain et j’avais
de la difficulté à dormir car à toutes les fois que quelqu’un voulait aller à la salle de bain ça
me réveillait à cause de la lumière et quand ils tiraient la chaine. La porte que nous avions
était en accordéon alors on voyait tout à travers, sans oublier que durant la nuit on entendait
souvent différents bruits, des gémissements, des pleurs etc…on était constamment dérangé
et par moments j’avais très peur…Faut dire que je n’ai pas de bons souvenirs de cet endroit.
Nous avions une routine très sévère, premièrement nous étions obligés de se réveiller à
4 heure du matin car Mme Cyr nous forçait à aller vendre des journaux le matin avant d’aller
à l’école, le journal de Montréal plus précisément, sur le coin de la rue. C’est elle qui venait
nous conduire et elle restait au loin pour nous surveiller car elle voulait être sûre que nous
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lui remettions tout l’argent que nous avions ramassé. Je ramassais environ douze dollars
par semaine plus les pourboires et à tous les soirs après l’école je devais lui remettre les
recettes de la journée. C’était un endroit très dangereux car il y avait beaucoup d’autos et
j’ai failli me faire frapper plusieurs fois. Sans compter qu’il faisait tellement froid que j’avais
mes doigts complètement gelés. Quand je finissais de vendre les journaux je marchais en
direction de l’école complètement gelé et déjà fatigué. Arrivé à l’école je m’assoyais à ma
place et j’étais très tranquille. À l’école j’avais un comportement exemplaire, c’était facile
car puisque j’étais très gêné je ne parlais pas à personne et de plus je voulais réussir. À la
fin des classes je prenais toujours l’autobus scolaire, celui-ci me déposait à un restaurant
où je travaillais. Ma tâche principale était d’éplucher des pommes de terre pour ensuite les
couper en frite. Je me souviens que la machine en question était très grande, je déposais
les pommes de terre dedans et je la mettais en marche. Les pommes de terre spinaient
tellement vite que je devais me mettre dessus pour l’empêcher de trop vibré pour que le
couvercle ne saute pas. Puisque j’étais petit j’avais de la difficulté à la retenir, c’était drôle.
Mais j’étais tenace et je réussissais. Je travaillais cinq jours semaine, j’étais très fatigué
c’était la première fois dans ma vie que je travaillais autant et allait à l’école.
Je n’étais pas le seul à travailler, premièrement M. Cyr travaillait chez Coca Cola et il avait
fait rentrer son garçon Stéphane, il travaillait avec son père. Carl son plus jeune allait
quelques fois travailler avec son père mais ce n’était pas régulier car il n’était pas en âge de
travailler à ce moment-là. Les autres fessaient comme moi ils vendaient les journaux le
matin. Mais j’étais le seul à travailler après l’école. Mme Cyr ne m’aimait pas vraiment mais
elle me trouvait vaillant. C’est pour ça qu’elle me faisait travailler le soir après l’école. Mais
elle ne me donnait même pas un sou. Je me souviens qu’après environ un an elle me
remettra une somme de trente-cinq dollars. Elle abusait de nous en nous faisant travailler
de la sorte et personne n’était au courant. Il fallait surtout rien dire car sinon elle nous
punissait très sévèrement et on avait peur de madame et monsieur Cyr.
Quand on se levait le matin on allait tous un après l’autre à la salle de bain et puis on montait
dans la cuisine pour allait déjeuner. Madame Cyr avait préparé un chaudron de gruau la
veille que nous mangions tous le matin avant d’aller travailler. Elle avait cordé nos lunchs
dans un sac en papier brun et nous mangions des sandwichs au Bologne et pour souper
nous mangions du macaroni au fromage kraft à tous les jours sans exception et cette routine
a duré un an pour moi. Mais les autres enfants m’ont raconté que c’est comme ça depuis
qu’ils sont arrivés chez elle. Mettons qu’elle n’avait pas beaucoup d’imagination à ce qui
consistait les repas. Ou plutôt qu’il ne fallait pas que nous nourrir coute cher, c’était ce qu’il
y avait de plus cheap et de moins cher. Nous pouvons même dire que nous ne mangions
pas vraiment santé et on ne mangeait pas à notre faim tout était calculé. Il fallait rien dire
sinon nous étions punis très sévèrement ou tout simplement nous étions battus. Car ils
étaient très rapides sur les claques et les coups. Par contre, ses enfants Carl et Stéphane
avaient ce qu’il y avait de mieux, ils ne mangeaient pas du tout la même chose que nous,
ils étaient traités comme des rois.
Nous étions souvent battus pour n’importe quoi, on n’avait même pas fini de parler que nous
mangions une claque ou des coups. Je bouillais en dedans de voir une telle injustice. Je
vous ai parlé de Micheline Rochon, c’était la seule fille qu’il gardait. La nuit au début
j’entendais des bruits de cri ou de gémissement et même de pleur. Mais je ne savais pas
d’où ils venaient ou de qui il venait mais au fur et à mesure que le temps passait j’ai réalisé
que c’était Micheline, et oui. Un soir j’ai entrevu par la porte car elle était mal fermée un des
gars qui avait la main dans le chandail et qui lui tâtait un sein. Et un autre qui était là en train
de la retenir, ce soir-là je n’ai rien fait car je ne comprenais rien à cette situation j’ai retourné
à ma chambre, mais cette scène me bouleversait énormément. Elle n’arrêtait pas de tourner
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en boucle dans ma tête comme une émission de télévision. Je ne pouvais pas laisser la
jeune fille ainsi, je sentais qu’il fallait que je fasse de quoi même si j’avais tellement peur de
dire de quelque chose et de me faire battre à mon tour. Mais, je n’étais pas sûr de ce qu’il
faisait. À partir de ce jour-là, la nuit à chaque fois que j’entendais des sons provenant de sa
chambre j’angoissais énormément, je voulais prendre mon courage à deux mains et aller
l’aider mais je ne savais pas quoi faire. C’est bizarre, on se sent tellement impuissant et au
lieu de l’aider on garde le silence. Jusqu’à un jour où au moment que je m’apprêtais à
monter pour déjeuner je l’aperçus accroupi en sanglots dans un coin de sa chambre. Je
m’approchai d’elle et je vois une flaque de sang coulant de son entre jambes. Je me suis
approché d’elle pour voir si elle était correcte et puis elle commence à me raconter qu’elle
se faisait abuser et violer par les gars depuis un moment et que madame et monsieur le
savaient, mais ne fessaient rien. Elle pleurait sans cesse et je ne pouvais rien faire pour la
consoler. J’étais en colère de ne pas m’avoir aperçu de cela avant. Je savais qu’il y avait
de quoi de pas catholique qui se passait mais, pas un viol. Car c’était normal de se faire
battre dans cette maison et si on disait de quoi on se faisait battre encore plus. Et tout le
monde y participait.
Je me suis dirigé en haut pour aller chercher madame Cyr, mais elle ne voulait pas venir,
elle savait que la petite se fessait violé. Je lui ai pris la main et trainé jusqu’en bas. Quand
nous sommes arrivés devant la porte elle ne voulait pas rentrer, elle disait à Micheline de
se lever pour aller à l’école et puisque madame Cyr ne voulait pas rentrer dans la chambre.
J’ai rentré et puis, je me suis accroupi pour lui montrer où était Micheline, j’étais affolé, mais
elle ne voulait rien savoir alors par instinct j’ai sorti de la chambre et je l’ai poussé pour
qu’elle rentre aider la petite fille. La porte était tellement petite que quand je l’ai poussé elle
a trébuché et tombé par terre. Je l’ai tapé comme pour lui dire madame, madame, elle se
leva et enragée m’a poussé dans la garde-robe. Elle m’a poussé tellement fort que j’ai
accroché les supports et ceux-ci m’ont tombé dessus. Elle est sortie de la pièce, est
remontée en haut en criant très fort que je l’avais frappé, sous son ordre, son mari et tous
les enfants sont venus à toute vitesse dans la chambre et ont commencé à me frapper ou
plutôt me verger dessus à coup de supports en bois, à coup de pied et à coup de poing.
J’étais accroupie en petit bonhomme, j’essayais surtout de protéger mon visage et ma tête,
mais je n’ai pas réussi ils étaient trop nombreux sur moi. Et puis un moment donné un des
jeune a crié que l’autobus était là, alors tout le monde s’est arrêté et parti prendre l’autobus
pour aller à l’école. Par chance que l’autobus soit arrivé car je me demande comment j’aurai
fini. Imaginer onze individus en train de me battre en même temps, sans compter M. Cyr qui
ne m’a pas du tout épargné. J’avais tellement mal partout et tout ce que je voulais c’était
d’aider la petite fille. J’avais tellement mal que j’ai eu de la difficulté à me lever, mais j’ai pris
mon courage, je me suis levé, pris mon lunch et mon sac à dos et je me suis faufilé pour
monter dans l’autobus avec tous les autres, car Madame Cyr ne voulait que j’aille à l’école.
Dans l’autobus, tout le monde me regardait car j’avais du sang partout, mon œil était blésé,
mon visage plein de sang, le gros pansement à la gorge et mon bras était cassé, j’avais mal
à tout mon corps.
Sans compter que quelques jours avant j’étais resté à la maison car il m’avait battu et j’étais
plein de bleus au visage et partout sur le corps sans compter le gros pansement à la gorge.
Madame Cyr ne voulait pas que j’aille vendre les journaux, ni à l’école car ça paressait trop
que je me faisais mal traiter. Ce matin-là, Stéphane le fils de madame Cyr était resté à la
maison et quand je suis monté dans la cuisine pour déjeuner il était en train de se faire un
café, je ne me souviens plus exactement ce qu’il m’avait demandé de faire mais je me
souviens très bien que j’avais refusé. Là j’étais vraiment tanné de faire leur petit chien, que
je fasse ce qu’ils veulent ou pas je me faisais battre de toute manière. Alors au moment où
je lui ai dit non, il avait un regard très froid, il a étiré le bras pour aller chercher la bouilloire,
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j’ai toute suite comprit que ce n’était pas pour faire son café. Sans réfléchir, j’ai ouvert la
porte de la cuisine et j’ai commencé à courir très vite, j’avais trop peur qu’il m’ébouillante,
mais il y avait un obstacle sur le sol, j’ai trébuché et j’ai atterri sur la clôture avec des pics
croisés en métal, il y en a un qui m’a transpercé la gorge, et puis Stéphane m’a donné un
coup sur la tête pour que le pic renfonce encore plus. Je pensais y passer, j’étais figé, plus
capable de bouger, je suffoquais. J’ai eu la force de lever la tête pour me déprendre du pic
en métal. J’avais de la difficulté à le retirer car il était croisé, même en douleur j’ai réussi,
mais j’ai tout arraché j’avais un trou dans la gorge. Stéphane a appelé son père et il m’a
emmené à l’hôpital. Le médecin m’a dit que si le pic avait renfoncé ne serait-ce que 1 à 2
millimètres de plus, j’aurai perdu l’usage de la parole. J’ai été très chanceux. Le médecin
m’a mis des agrafes et un pansement et nous sommes repartis en direction de la maison.
Je me souviens que durant tout le voyage, j’étais très angoissé, j’avais peur de ce qui
pouvait m’arriver par la suite.
Arrivé à l’école, je me suis rendu avec beaucoup de difficulté dans la classe, car j’avais mal
partout, je me suis assis à mon pupitre en silence. Tout le monde se regardait et me
demandait qu’est ce qui s’est passé. Je ne disais rien j’étais dans tous mes états. Un
moment donné la maitresse m’a remarqué, j’ai vu dans son regard qu’elle était paniquée,
elle m’a immédiatement envoyé voir le directeur. J’étais encore abasourdi de tout ce qui
m’était arrivé cette semaine-là. Je me suis levé pris mes effets et je me suis dirigé vers le
bureau du directeur. J’étais un peu inquiet car ce qui venait de se passer était énorme et
j’avais peur de me faire disputer et surtout j’avais peur de dire de quoi car je savais que le
soir j’allais y gouter. Qu’est-ce qu’il allait se passer. J’étais très angoissé et surtout en colère.
Je suis arrivé dans le bureau du directeur et il était estomaqué de me voir ainsi. Il a
commencé à me poser toutes sortes de questions. Mais je ne voulais rien lui dire, jusqu’au
moment où il me rassure que je ne retournerais plus chez Madame Cyr. Alors, j’ai
commencé à lui raconter mon histoire avec Stéphane et le pic en métal, l’histoire de Carl et
la table sur le front, puis l’histoire de la petite micheline qui se faisait violée et que je me suis
fait battre par tous les autres. J’ai tout raconté, comme quoi elle nous faisait travailler le
matin et le soir, qu’on se faisait battre, les abus physiques, viol, attouchement, la
maltraitance, la malnutrition, et j’en passe. Le directeur a appelé la police et mon agente
Madame Giroux.
Quand Madame Giroux est arrivée et qu’elle m’a vu, elle s’est mise en sanglots, elle me dit
qu’elle allait s’occuper de moi qu’elle me laisserait pas tomber et elle m’a rassuré que je ne
retournerais pas dans cette famille d’accueil. Là j’étais plus rassuré car elle avait toujours
été là pour moi. Je suis allé au poste de police avec elle. Je suis rentré dans une salle avec
un policier et Madame Giroux et je leur ai raconté tout ce qui s’est passé avec les enfants
et moi depuis la dernière année et il s’en est passé des choses dans la dernière année.
J’avais beaucoup à leur dire. Le policier a rempli un rapport et Madame Giroux m’a demandé
de sortir pour qu’ils puissent parler entre eux en privé j’étais à l’extérieur de la salle mais je
pouvais entendre ce qu’il se disait car la porte n’était pas complètement fermée. Un moment
donné durant la conversation j’ai entendu le mot mère et là j’ai porté plus attention et j’ai
entendu le policier dire à Madame Giroux qu’il était mieux qu’elle me dise à propos de ma
mère dans l’auto en m’en allant en direction du restaurant. Je ne comprenais plus rien, est
ce qu’il parlait de ma mère, est ce qu’elle était vivante. Je n’en savais rien, j’avais hâte de
parler à Madame Giroux pour savoir c’était quoi l’histoire de ma mère. Par la suite je suis
reparti avec Madame Giroux, nous étions en direction d’un restaurant. Pendant le trajet,
Mme Giroux me dit que ma mère n’était pas morte, qu’elle était belle et bien vivante et
qu’elle venait nous rejoindre au restaurant. Et puis nous nous sommes arrêtées devant une
cabine téléphonique et elle a appelé ma mère pour lui donner le point de rencontre. Ma
mère a insisté pour entendre ma voix car elle voulait s’assurer que c’était bien moi et que
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j’étais correct. Je me souviens que d’entendre sa voix m’a mis dans tous mes états je
pleurais au téléphone, mais pour moi c’était comme si ce n’était pas réel. Et puis nous
sommes partis en direction du restaurant, sans le savoir c’était le restaurant où je travaillais
tous les soirs. Mais elle voulait aller là pour voir où j’avais travaillé. Nous nous sommes
assis à table et elle me raconta que ma mère avait essayé de me retrouver depuis longtemps.
Madame Giroux me dit qu’elle l’a su juste depuis à peu près un mois. Elle me prit dans ses
bras et me dit que tout va bien aller.
C’était beaucoup pour moi, tout ce qui m’arrivait, une chose après l’autre. Et là ma mère qui
était vivante. Je ne savais pas trop quoi ressentir. Premièrement j’étais complètement figé
pour un moment devant cette nouvelle. Je ne pouvais pas imaginer que ma mère était
vivante, puis par la suite j’étais contant de la savoir vivante et en même temps en colère, en
colère qu’elle n’était pas là pour moi, qu’elle m’a laissé vivre tout ça, mon père les familles
d’accueil. J’étais dans tous mes états. Madame Giroux m’a dit qu’elle venait dans une
camaro grise avec son ami Luciano. Je n’arrêtais pas de regarder la route pour voir si je
voyais la voiture à ma mère. Plein de choses me passait par la tête. J’étais désemparé,
perdu sans savoir ou la vie m’amenait. Et puis madame Giroux me dit que j’allais désormais
aller vivre avec ma mère et de ne pas m’inquiété qu’elle allait être toujours là pour me
protéger.
Je sais que ma mère m’aimait beaucoup mais ce n’était pas évident avec elle, Je ne sais
pas si c’est mieux d’aller vivre avec ma mère ou d’aller vivre avec des familles d’accueil, car
ma mère me battait aussi avec des ceintures et sa grosse bague. Je me souviens comme
si c’était hier en plus d’être germaine, criarde, oh oui elle criait tout le temps. Ce n’était pas
évident, j’ai l’impression de changer quatre, vingt-cinq sous pour une piastre. J’avais hâte
de la voir, mais j’appréhendais notre rencontre, ça faisait tellement longtemps que je ne
l’avais pas vu, comment est-ce que j’allais l’accueillir. Et comment allait-elle me percevoir,
j’étais complètement changé, se faire trimballer d’une place à l’autre, se faire maltraiter, se
faire battre, manquer d’amour etc. change complètement une personne que nous le voulons
ou pas. Le temps d’attente était très long j’angoissais énormément. J’ai même eu une petite
pensée pour ma petite sœur que j’avais complètement oubliée. J’avais vraiment hâte de la
retrouver, enfin je n’étais plus seul, je retrouvais ma famille, même si celle-ci n’était pas
parfaite, c’était la mienne, c’est toujours mieux que des purs étrangers qui eux ne me
connaissaient pas et ne m’aimaient pas. J’avais l’impression que la plupart des familles
d’accueil, sont là que pour l’argent et non pour aider les enfants, surtout la famille Cyr. Je
n’ai pas gardé de bons souvenirs de mon passage dans la famille Cyr, à part ma rencontre
avec Louise Labonté, c’était une amie que j’ai rencontrée à l’école, elle était dans ma classe.
Elle habitait à vingt minutes à pied de la famille Cyr, elle était pour moi une confidente, à
chaque fois qu’il se passait un évènement grave j’allais chez elle lui en parler. Ça m’aidait à
passer au travers, elle a toujours été là pour moi. Plus le temps passait plus nous nous
sommes rapprochées, nous avons sorti ensemble, le premier petit amour de mon enfance.
J’aurai toujours une petite pensée pour elle quand je pense à cette époque-là de ma vie.
Sans elle je n’aurais peut-être pas passé au travers. Plus tard, j’ai appris que la famille Cyr
n’avait plus le droit d’être famille d’accueil, j’étais contant et c’est grâce à moi qu’ils ne
pourront plus maltraiter les enfants.
Au restaurant, je n’arrêtais pas de regarder dehors pour voir si je voyais l’auto de ma mère,
mon cœur battait à mille à l’heure. Et tout à coup Madame Giroux me pointe une voiture
grise et me dit voilà c’est l’auto de ta mère. Enfin, elle est arrivée avec son ami Luciano, ils
sont rentrés dans le restaurant et elle m’a pris dans ses bras, et nous pleurions tous les
deux. On est resté pendant une quinzaine de minutes. Car Madame Giroux avait à parler
à ma mère des procédures de mon retour chez elle. Tout s’est bien passé, je suis partie
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avec ma mère et son ami, j’étais assis à l’arrière de la voiture, j’étais complètement figé, on
a parlé un peu durant le retour, mettons que de la voir devant moi était un choc, c’était
vraiment réel, je ne pouvais pas y croire, moi qui pensais depuis des années qu’elle était
morte. Faut croire que dans la vie les miracles peuvent arriver. Pendant tout le trajet, je
ressentais toutes sortes d’émotions mais là quand nous sommes presque arrivés à la
maison, la colère devenait de plus en plus présente. Je ne pouvais pas imaginer qu’elle
m’ait abandonné et qu’elle n’a rien fait pour me retrouver.
Arrivés à la maison, nous nous sommes parlé et je lui ai fait part de mes sentiments, et
surtout de la colère qui me grugeait à l’intérieure. Elle était prise au dépourvu, elle ne
pouvait pas imaginer que je pouvais ressentir de la colère face à elle. Nous nous sommes
calmés, on a parlé et puis elle m’a tout expliqué dès le début ainsi que toutes les démarches
qu’elle a faites pour me retrouver. Elle m’a montré tous les documents qui prouvaient qu’elle
était bien à ma recherche et qu’à chaque fois qu’elle savait où j’étais et qu’elle se présentait
pour venir me chercher, j’étais déjà parti rester dans une autre famille d’accueil. Elle aussi
elle a trouvé ça très difficile. Mais en réalité, depuis ma naissance je n’ai pas été vraiment
avec ma mère, quand j’étais plus jeune j’allais au collège cinq jours sur sept et la fin de
semaine j’allais chez mes grands-parents en alternance, une fin de semaine sur deux et
quand elle habitait avec Gérard, je restais avec eux que la fin de semaine. Mais au moins
elle existait et j’avais une famille.
Et puis peu à peu, à force de lui parler ma colère a diminué et j’étais tellement mieux, je
savais maintenant qu’elle ne m’avait pas abandonné. J’étais très content, en plus j’avais
retrouvé ma petite sœur. Quand je l’ai vu on s’est pris dans nos bras, on pleurait tous les
deux. J’étais vraiment content de la voir et enfin partager ma vie avec elle. Quand je suis
arrivé chez ma mère c’était tout nouveau elle avait déménagé depuis que j’étais parti. Elle
m’a préparé un coin avec un lit et un bureau dans le salon double. Ce n’était pas comme
avant mais, c’était mieux que tout ce que j’avais eu depuis que mon père avait volé ma vie.
Je suis arrivé chez ma mère un peu avant noël, au début pendant le premier mois, la relation
avec elle était bonne, j’ai eu un peu de difficulté à m’adapter et surtout à réaliser que les
cauchemars que j’avais vécus étaient enfin finis. Que ma vie allât prendre un tout autre
tournant et que j’allais enfin vivre la vie qui m’était destinée. Enfin, une stabilité, plus
question de me faire trainer d’une famille d’accueil à un autre. Qu’à partir de maintenant
j’allais me retrouver parmi les miens, ma famille, ceux que j’aime. Rien ne pouvait plus
m’arriver, j’avais ma mère qui serait là pour me protéger et ma sœur avec qui j’allais partager
des moments spéciaux. Ma sœur était toujours après moi, j’étais tellement content d’être
avec elle, je ne me sentais plus seul. Elle faisait ce qu’elle voulait avec moi, elle me mettait
des trucs dans mes cheveux, on peut dire que j’ai joué avec elle. Mais nous avions
beaucoup d’années de différence, sept pour être plus précis. Et elle était encore qu’une
enfant et moi j’étais en plein adolescence, une période où tout change dans notre vie.
Durant la nuit, je faisais toujours des cauchemars instances, à un tel point que je me
réveillais et sans le réaliser j’avais fait des trous dans le mur collé sur mon lit. J’ai été
complètement terrorisé par tous les évènements qui se sont produits au courant des
dernières années de ma vie. J’étais devenu très agressif et complètement intolérant à la
violence. Et dire, que chez moi ce n’était pas du tout ce que nous appelons un endroit où
la paix règne. Ma mère, était très sévère, violente, sans compter qu’elle criait toujours après
ma sœur et moi. Je n’étais plus capable de vivre ça, cela me mettait hors de moi. Je me
souviens d’un évènement qui l’a un peu calmé. Un jour, j’arrivais chez moi après le travail,
je venais tout juste d’ouvrir la porte de l’appartement, que j’entendais ma mère crier après
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ma sœur en lui disant qu’elle allait faire la vaisselle ma calice et qu’elle allait en manger
toute une. Quand j’ai franchi la porte de la cuisine, je vois ma mère la main lever pour la
frapper, en plus elle avait une grosse bague et quand elle nous frappait ça nous faisait super
mal, on restait marquer pour quelques jours. Juste avant que la main lui parte, je l’ai retenu
par le poignet, elle a essayé de se débattre mais je l’ai retenue elle a abouti par terre et je
lui ai retiré. J’ai lancé la bague au bout de mes bras par la fenêtre, nous vivions au deuxième
étage. La bague a retenti de l’autre côté de la rue proche de la pizzéria. J’étais en colère et
je lui ai dit qu’elle n’allait pas battre ma sœur comme elle me battait que c’était fini. Que je
n’étais plus un petit garçon et que plus jamais elle allait nous toucher. Elle était encore en
robe de chambre, elle s’est précipitée dehors pour aller chercher sa bague, nous avons eu
de la chance qu’elle ne l’a pas retrouvé. À partir de ce moment-là, elle s’est beaucoup calmé,
elle ne m’a plus battu, c’est normal elle venait de réaliser que je n’étais plus le petit garçon
que j’étais au moment où je suis parti, j’étais rendu grand, et beaucoup plus fort qu’elle. J’ai
toujours essayé de protéger ma sœur. Malheureusement, sa violence verbale n’a jamais
diminué, même encore aujourd’hui.
Je me souviens d’un évènement qui s’est passé avant noël, peu de temps après que je sois
arrivé chez elle. J’étais dans le salon en train d’écouter la télévision et ma mère s’apprêtait
à partir magasiner avec ma petite sœur. Ma mère insistait pour que j’aille avec elles, mais
moi aller magasiner ce n’était pas mon sport favori, j’ai refusé plusieurs fois mais, elle insista
fortement. Ma mère n’avait pas de permis de conduire et elle avait besoin de mes bras pour
apporter les paquets. On n’était pas riche mais, ma mère nous achetait toujours des beaux
cadeaux et on était toujours bien habillé, du beau linge de marque, très cher. Alors nous
sommes tous partis magasiner. Comme d’habitude, elle s’était surpassée, elle nous a
acheté des gros cadeaux et on avait les mains pleines de sacs, comme le père noël. À
force de magasiner nous avions commencé à avoir faim, alors nous nous sommes arrêtés
au restaurant pour manger une boucher. J’ai été le premier à finir de manger comme
d’habitude à cet âge-là, je ne mange pas mais plutôt j’envale tout rond et ma sœur est très
lente pour manger, manger est un processus très compliqué pour elle, c’est comme si elle
pratiquait une dissection sur sa nourriture, mais bon, mettons que ça faisait un bon moment
que j’avais fini et je m’emmerdais. Alors j’ai commencé à jouer avec un sachet de ketchup,
vous pouvez imaginer la scène, ma mère bien maquillée, bien coiffée, bien habillée avec
son manteau fourrure blanc et oui blanc et très cher. Je tripotais le sachet depuis un moment
et puis pouf, le sachet éclata. Et oui, il éclata sur le beau manteau à ma mère, il y en avait
partout sur son visage, dans ses yeux et son manteau blanc, quel dégât, je suis resté figé,
qu’est-ce que j’avais fait. Elle était furieuse, elle criait très fort, je suis aveugle, je suis
aveugle, j’ai tellement eu peur et honte d’elle que je me suis levé et parti en courant vers la
maison les mains vides. J’ai couru et puis couru à toute vitesse. Une heure après je suis
arrivé à la maison, puisque je n’avais pas les clés je les ai attendu assis dans les marches.
Mon cœur battait très vite et j’appréhendais le moment où elle allait arriver. Dix minutes
après, je vois un taxi s’arrêter devant la maison et oui vous pouvez deviner c’était bien elle
et ma petite sœur. Elle sortit du taxi encore plein de ketchup sur elle, oh que je savais que
j’allais y gouter. Elle était encore furieuse, elle me regardait avec des douze dans les yeux.
Et de plus elle avait été prise pour emporter tous les paquets. Quand elles sont arrivées
devant moi, elle m’a fait rentrer et me dit d’un ton très autoritaire et en colère d’aller dans
ma chambre. Quand elle eut fini de se nettoyer, elle est venue me rejoindre pour me disputer.
Elle était hors d’elle, on s’est disputés et elle me dit de partir et qu’elle allait appeler madame
Giroux. Mon rêve à commencer à s’écrouler.
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Quand je suis arrivé chez ma mère j’allais à l’école aux alentours de 15 ans, j’ai commencé
à faire des applications partout proches de chez moi. J’étais déterminé à me trouver un
emploi et puis une entreprise de tapis m’a engagé à temps partiel, j’ai pris ma vie en main.
Pendant que j’étais en famille d’accueil, j’avais commencé à faire des exercices
d’entrainement pour être plus fort car plus personne n’allait me battre. Chez ma mère
puisque je dormais dans un salon double j’ai commencé à utiliser l’autre partie de ma
chambre comme pièce d’entrainement, je m’étais acheté plein de crayons feutres noirs que
j’ai utilisés pour peindre un mur, ma mère voulait me tuer. Encore aujourd’hui, elle se
souvient de ce mur. J’ai transformé cette pièce comme dans une gym, je m’entrainais et je
faisais des exercices de battons comme Bruce Lee, je m’entrainais au moins six heures par
jour. Après quelque temps, mon corps à commencer à se modeler et j’étais rendu beaucoup
plus battit, je travaillais et la vie allait de mieux en mieux. Peu de temps après j’ai dû donner
ma démission auprès de la compagnie de tapis pour des raisons de problème de santé, car
la poussière de tapis que je respirais me faisait saigner du nez.
Durant cette période ma mère m’a inscrit au centre, Centre Claude Robillard dans le quartier
Ahuntsic, elle voulait plus que je reste seul chez moi elle m’a demandé d’y passer la journée.
Je me suis défoncé dans les sports, j’ai tout essayé et j’adorais cela. Un moment donné,
j’étais dans la piscine et un entraineur en lutte gréco-romaine, m’a demandé s’il pouvait
parlait à ma mère car il voulait que je m’inscrive car il trouvait que j’avais tous les atouts
nécessaires pour exercer ce sport. Ma mère et ma sœur sont venues me voir, à quelques
pratiques seulement. Je me suis défoncé dans l’entrainement de ce sport et j’ai fait quelques
compétitions que j’ai réussies et j’ai même fini troisième aux jeux de Québec, j’aurais pu finir
premier mais j’ai fait la compétition avec un pied cassé.
Il y a des jours que j’étais fatigué de m’entrainer ou tout simplement j’étais tanné d’attendre
que ma mère arrive du travail, alors je rentrais chez moi en cachette par la fenêtre. Quand
ma mère s’en apercevait elle devenait en colère après moi, on se chicanait souvent pour ça.
Je commençais à vieillir et découvrir ce qui était l’adolescence, et à la maison ce n’était pas
toujours évident. Il y en est arrivé des histoires de jeunes des mauvais coups ou tout
simplement des mauvaises expériences. Tout cela n’aidait pas la relation mère-fils. Ma
mère et moi nous nous entendions plus vraiment. Le jeune homme innocent qui se faisait
battre n’était plus aussi présent dans mon quotidien, il laissait la place à un homme révolté
par toutes ses expériences. J’en ai fait baver à ma mère durant cette période.
Un jour j’étais avec mon cousin Jean-Yves, le neveu préféré à mon père, il l’aimait plus que
moi, ces mots ne viennent pas de moi mais de la bouche de mon père. Mon cousin et moi
étions dans une discothèque appelé l’Iroquois dans le vieux Montréal, on s’amusait et mon
cousin attirait beaucoup les jeunes filles, de mon côté j’étais trop gêné pour aborder une fille
c’était nouveau pour moi les discothèques, les bars, la boisson et les filles, par contre ce
soir-là, on avait bu énormément, nous étions complètement sou. Quand le temps est venu
pour partir, il était décidé que nous partions chacun de notre bord, mais Jean-Yves eut la
brillante idée d’aller finir le party chez moi, puisque ma mère était partie avec son chum en
vacances pour la semaine, alors on avait l’appartement à nous. Le temps venu de partir, je
j’appelle un taxi et mon cousin retenti avec deux jeunes filles à son bras. Il était assis à
l’arrière du taxi au centre des deux filles, les bisous à gauche et à droite et moi assit devant
avec le chauffeur. Arrivé à la maison, mon cousin m’a demandé s’il pouvait boire, mais je
n’avais pas de boisson, mais il savait que ma mère avait de la boisson à la maison, mettons
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qu’il avait le gout de faire le party. Je ne voulais pas prendre la boisson de ma mère car
c’était des bouteilles de scotch Shivas Régal, que ma mère avec reçu par ses patrons et
elles valaient très cher. Mais il m’a convaincu qu’il ne prendrait qu’un verre et qu’il remplirait
la bouteille d’eau, personne ne s’en apercevrait, j’ai refusé de mainte et mainte fois mais j’ai
fini par céder. Alors mon cousin est parti chercher une bouteille que nous avons ouverte et
bue un verre chacun. Par la suite, mon cousin est rentré dans ma chambre avec une fille
pour se la taper et moi tout gêné suis allé à la salle de bain quand j’y suis sorti, je m’aperçois
que l’autre fille était couchée sur le lit de ma mère. Je suis rentré et me suis couché à ses
côtés. Je me souviens plus si quelque chose s’est passée entre elle et moi. La seule chose
que je me souvienne c’est que le lendemain matin, je me suis réveillé et les filles n’étaient
plus là. Mais en levant la tête, je m’aperçois que le coffre à bijoux à ma mère est ouvert, et
plus rien, il est complètement vide, elles avaient tout volés. Même le collier en or avec un
cœur inscrit maman dessus que je lui avais offert avec les 35 dollars que madame Cyr
m’avait donné pour la vente de journaux. Je me sentais très mal et j’avais beaucoup de
peine, car j’avais travaillé très fort pour ramasser cet argent. Ma mère l’aimait vraiment ce
collier, c’était le plus beau cadeau que je lui avais offert, c’était très symbolique. Je ne
pouvais rien faire car je ne connaissais pas les filles et mon cousin non plus. J’avais un de
ces mal de bloc en plus, je ne me souvenais plus de rien. Quand je suis arrivé dans le salon
j’ai trouvé la bouteille de scotch presque complètement vide il en restait à peu près 2 doigts,
j’ai paniqué et quand mon cousin s’est réveillé, on a rempli la bouteille d’eau et je l’ai replacé
à sa place, sous le comptoir dans sa boite, ni vu ni connu. Par la suite, il m’a suggéré d’aller
consommer une douze pour rétablir le tout. Et c’est ce que nous avons fait. Ma toute
première brosse à vie, mais non la dernière. Ce que je regrette, c’est la conséquence de
cette première expérience. Ma mère ne méritait pas ce qui s’est produit, j’ai été
complètement innocent et je n’ai pas réfléchi. Mais j’ai eu toute une leçon de vie.
Faut croire que je n’ai rien, mais rien compris, le lendemain dans l’après-midi mon voisin
Richard, le fils du chum à ma mère est venu cogner à ma porte, il s’ennuyait et il avait le
gout de faire la fête, mais il ne pouvait le faire chez eux, car sa grand-mère vivait chez lui et
elle écoutait la télévision. Et puis, on s’est installé sur le balcon bien assis les deux pieds
sur la rampe tranquille avec la caisse de douze qu’il a apportée de chez lui. Nous regardions
les gens qui passaient, on jasait de tout et de rien tout en dégustant de la bonne bière, une
petite après-midi tranquille. Je lui ai raconté mon histoire de la veille avec mon cousin et
les deux filles. Puis un moment donné les voisins qui habitaient à l’appartement en dessous
de Richard avec des amis étaient en train de jaser dehors et il les a fait monter chez moi,
mettons que nous étions une bonne gang dans l’appartement. La caisse de douze n’a pas
duré longtemps puis Richard est parti chercher la boisson à ma mère sans que je m’en
aperçoive. J’ai vite perdu le contrôle, c’était le party dans la baraque en plein après-midi.
Quand je me suis aperçu qu’ils avaient pris la boisson mais pas juste une bouteille, mais
toutes les bouteilles, j’ai paniqué. Pas longtemps après, la grand-mère de Richard l’a
appelée pour lui dire que son père arrivait dans pas long et de rentrer manger. Elle venait
de casser le party. Tout le monde s’empressa de partir, j’ai ramassé l’appartement à toute
vitesse. J’ai rempli les bouteilles de boissons vides avec de l’eau, je les ai mises dans leurs
boîtes et je les ai serrées à leur place, ni vu ni connu. Quand la porte s’est ouverte, je me
suis empressé de renter dans ma chambre et je me suis mis sous les couvertures. Ma mère
a déposé ses bagages et m’informe que son chum et elle allait sortir manger au restaurant.
Je lui ai dit que j’étais couché car je ne filais pas, la dernière chose que je ne voulais pas,
c’était qu’elle s’approche de moi et voit que je suis en boisson. Aussitôt qu’elle était partie
j’étais totalement soulagé, pas longtemps après Richard revient avec d’autres bières. Nous
étions crampés de rire, comme deux innocents nous étions au point de départ, sur le balcon.
Puis Richard a remarqué qu’il y avait une jeune fille qui n’arrêtait pas de me regarder et il
me dit qu’elle était intéressée par moi, innocent comme j’étais à cet âge-là, je n’avais rien
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remarqué. Pourtant ce n’était pas la première fois que je la voyais dans les parages. Il me
dit qu’elle va surement au parc regarder le match de baseball. Alors, Richard et moi sommes
partis au parc, je me suis assis seul sur les estrades et quelques minutes plus tard elle est
venue me rejoindre et c’est assise juste à mes côtés, elle était de mon âge, 14 ans. Richard
avait raison, elle était vraiment intéressée et elle me trouvait très beau, on a commencé à
se parler, elle ne m’intéressait pas trop mais elle était gentille.
Elle me dit qu’elle allait garder une enfant chez la fille en haut du dépanneur en face de chez
moi un peu plus tard dans la soirée quand la partie de baseball eut fini nous avons été
continuer la soirée chez moi, puisque ce n’était pas encore l’heure de son gardiennage.
Quand nous sommes arrivés, l’appartement était vide, elle voulait voir ma chambre, on y
est rentrée et on s’est assis sur mon lit, elle m’a surpris avec un baiser et puis un autre,
pendant que nous nous embrassions elle prit ma main et la déposa sur un sein, j’étais
complètement gêné j’étais encore puceau. J’avais le goût mais du coup je ne savais pas
comment agir, c’était tout nouveau pour moi. Alors, j’ai retiré rapidement ma main et puis
elle l’a reprise et la déposée encore une fois sur son sein et le caressa tranquillement en
pressant de plus en plus fort. J’avais les mains toutes mouillées, pendant que je lui
caressais le sein elle a commencé par me toucher mon entre jambes. Je stressais tellement
je n’avais jamais fait ça auparavant, j’avais des sueurs froides partout sur le corps. Et là
elle me montre sa vulve, ouach c’était dégueulasse et tout poilue, j’en étais estomaqué, et
là elle me fait signe de la pénétrer. Je n’avais vraiment pas le gout et je ne savais pas ce
que je faisais mais j’ai tout de même essayé, mais rien à faire, elle ne voulait rien savoir de
sa chatte. Je n’arrivais pas à bander, c’était complètement un flop, pas question de me
vanter de ma première expérience. J’étais totalement embarrassé par la situation. Et puis
l’heure du gardiennage est arrivée, quel soulagement. J’avais hâte que ça finisse. Pour la
première fois, c’était complètement un échec. Nous nous sommes habillés et je l’ai
accompagné chez la dame chez qui elle allait garder.
Quand nous sommes arrivés chez la dame elle me présenta comme son ami. Et Louise
Gênais me reconnaissait elle me demande si je suis le beau gars musclé d’en face et elle
pointe du doigt en direction de chez moi. Je lui confirme que oui, je m’apprête à partir et elle
me retient, elle ajoute que je ne vais pas quitter qu’elle me garde chez elle. Elle demande
à sa gardienne de la suivre dans sa chambre à coucher. Elle l’a suivi, je me demandais ce
qui se passait et surtout ce qu’elle me voulait. Peu de temps après les deux filles sautèrent
de la chambre et Louise me dit que sa gardienne retourne chez elle, puisqu’elle ne sort plus.
Elle me demanda si j’avais le gout de voir un film, elle a vraiment insisté, puisque je n’avais
rien à faire ce soir-là, j’ai accepté. Faut dire que je l’ai trouvé de mon gout de plus elle était
plus vieille que moi, je crois qu’elle avait entre 22 et 24 ans. Elle habitait un 3 et demi et elle
avait une petite fille entre 2 et 3 ans. On s’est installé pour voir un film, je lui ai raconté ma
petite aventure avec sa gardienne et que je n’avais pas réussi à lui faire l’amour une
catastrophe totale. On était crampé en deux, j’avais déjà pris beaucoup d’alcool ce jour-là
je n’étais pas trop conscient de ce que faisait et en plus elle m’offre une bière, mais vous
pouvez croire que je me souviens même pas si j’ai fini par l’écouter le film. Peu de temps
après le début du film, elle a commencé par me faire des attouchements, Elle me caressait
partout et quand je dis partout et oui juste là, j’ai commencé à être très excité. Elle me
voulait depuis le moment où elle a ouvert la porte. Sa petite fille dormait juste à côté de
nous sur le divan, alors elle prit ma main et m’amena dans sa chambre à coucher elle me
pousse dans le lit, je suis tombé sur le dos. J’avais tellement bu ce jour-là que tout est très
vague, je ne me souviens même pas lui avoir fait l’amour, j’ai fait un blackout complet, j’ai
un flash où je la vois assise sur moi, mais c’est à peu près tout. Vers les une heure du matin
je me suis réveillé, j’étais sur son lit avec les pantalons baissés jusqu’à mi-cuisse, ma
chemise était détachée, je me demandais ce qui s’était passé, elle était là à mes côtés et
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me dit que nous avions fait l’amour et que c’était tellement bon qu’elle voulait me revoir. Elle
voulait que nous sortions faire la fête, mais je n’étais pas vraiment intéressé, j’avais déjà fait
la fête toute la journée avec Richard et nos amis. Moi tout ce que je voulais s’était de rentrer
chez moi, car je n’avais pas l’habitude de découcher et de plus j’étais dans tous mes états
compte tenu de ce qui s’était passé. Alors, je me suis habillé et parti à la course chez moi.
Je lui ai dit que je reviendrai que j’allais juste chercher mes choses pour le travail pour le
lendemain.
Quand je suis arrivé chez moi, je me suis couché sur mon lit pour décompresser de ce qui
s’était passé durant la journée. Et je me suis endormi, jusqu’à environ les 4h du matin, et
oui je me suis fait réveiller par les cris de ma mère. Elle avait été cluber dans les bars avec
ses amis et ils sont tous venu continuer la soirée chez moi. Ma mère était dans la chambre
à coucher avec son chum et j’entendais ses amis lui dire, Claudette ta boisson goutte l’eau,
et puis ma mère leur dit d’en prendre une autre et ils lui ont redit que toutes les bouteilles
gouttaient l’eau. Et puis elle hurla mon nom MARCCCCCC, mais elle cria tellement fort que
tous les voisins l’entendaient, elle était plus que fâchée. Elle renvoya ses amis chez eux et
elle a commencé à me disputer pendant un moment. Alors j’ai pris mes choses et je suis
parti chez Louise Genest, Il devait être aux alentours de 5h30 du matin. Arrivé chez elle, on
a jasé un peu et je suis parti prendre l’autobus pour aller travailler. Habituellement je prends
l’autobus pour aller travailler en même temps que ma mère car elle travaille comme
secrétaire pour la compagnie de construction, Roand construction, pour laquelle je travaillais.
Mais ce matin-là, j’ai laissé passer celui dont ma mère était dedans et prit le prochain. Je
ne voulais pas la croiser, ni lui parler, d’ailleurs je savais que ma mère n’aimait pas Louise
car elle la connaissait à cause qu’elle était la fille du propriétaire du dépanneur en face de
chez moi. Alors, j’ai évité ma mère toute la journée. Le matin pour me rendre à mon poste
de travail, je n’avais pas besoin de passer devant son bureau mais le soir je n’ai pas le choix,
je n’ai pas pu l’éviter et de plus nous avons dû prendre le même autobus. Le retour n’a pas
du tout été agréable, je me suis assis au fond de l’autobus, je savais qu’elle ne viendrait pas
s’assoir à mes côtés car elle s’assoit toujours le plus proche de la porte. Il faut qu’elle puisse
sortir vite de l’autobus. Mais elle me regardait avec des douze dans les yeux.
Arrivé à la maison on a soupé et nous nous sommes parlés ou mettons qu’elle me gueulait
dessus et puis elle me dit qu’il fallait que je parte, que la situation ne pouvait plus durer. Elle
m’avise qu’il faudra contacter Mme Giroux et le lieutenant St-Pierre, pour trouver un endroit
où je logerais à l’avenir. Ce soir-là, je n’étais pas trop content qu’elle veuille me renvoyer,
quand elle eut fini j’ai appelé Louise pour lui demander si je pouvais aller chez elle, ce que
j’ai fait d’ailleurs. J’ai pris mon équipement de travail et parti coucher chez elle. Et ça été
comme ça toute la semaine, et puis jeudi ma mère me dit que Mme Giroux me rencontrerait
vendredi. Comme convenu, vendredi je me suis pointé chez ma mère et peu de temps après
elle est arrivée, nous avons discuté et il était convenu que je devais quitter le nid familial et
voler de mes propres ailes. Premièrement, je devais me trouver un appartement le plutôt
possible, pour moi c’était un gros pas vers la vie adulte, mais est-ce que j’étais prêt et estce que j’avais tous les outils nécessaires pour être autonome et responsable, pour vivre ma
vie seul et ne dépendre que de moi, je n’en étais pas sûr, mais je n’avais plus le choix il
fallait que je me débrouille à partir dès ce jour-là. J’étais loin de me douter que ma vie allait
changer complètement. Alors, j’ai rencontré Madame Giroux quelques fois pendant la
semaine qui suivie, elle voulait s’assurer que je faisais les démarches nécessaires pour
partir, ce que nous avions fait ma mère et moi. J’avais trouvé un appartement dont j’avais
donné un dépôt pour le réserver. Sur le coup, je n’avais pas réalisé qu’il était trop cher pour
mon budget, mon salaire n’était pas assez élevé pour me permettre de le garder. Alors, j’ai
dû le laisser partir et du même coup perdu mon dépôt. Puis durant une rencontre avec
madame Giroux, le lieutenant était présent et je leur ai raconté ma péripétie du logement et
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ils me disent qu’ils m’ont trouvé un logement, pas loin de chez ma mère et que le Lieutenant
St-Pierre devait communiquer avec mon père pour lui demander de payer le premier loyer.
J’étais content et je leur ai dit que c’était correct, alors, Mme Giroux est parti et moi de mon
côté je suis parti en compagnie du Lieutenant en direction de mon nouvel appartement.
Rendu à l’extérieur, le Lieutenant me dit que puisqu’il n’était que 15 heures, il me proposa
d’aller manger une bouchée chez Pizza Hot pour ensuite aller visiter le logement. Ma mère
ne nous a pas accompagnée car elle devait retourner travailler pour finir son quart de travail.
Le logement en question était à deux pas du Metro Henri Bourassa, un grand un et demi
avec piscine chauffée. Pour un premier appartement ça me semblait extraordinaire, une
piscine, formidable, je m’imaginais déjà vivre là-bas. Mais s’il ne me plaisait pas, il m’avait
mentionné qu’il avait deux ou trois autres qu’il pouvait me montrer. J’étais prêt pour partir,
ma mère m’avait déjà préparée des boites avec le nécessaire pour vivre. Alors tous mes
bagages étaient prêts, le lieutenant et moi allions tout apporter dans mon nouveau chez moi.
Ça fessait bizarre de dire ça. A peine 15 ans et j’allais désormais vivre ma vie, tranquille
chez moi, où j’y serait seul maitre, plus de mère pour me casser les oreilles. J’étais très
content, mais de l’autre côté, j’étais effrayé, comment allais-je faire dans ce monde adulte,
je venais de quitter l’école, j’avais un travail en construction. Mais là, plus personne n’allait
m’aider, il fallait que j’assume tout, tout comme un grand. Je n’ai même pas eu la chance
de vivre mon adolescence et je n’ai pas eu le privilège non plus de vivre une enfance comme
la plupart des jeunes de mon âge, je l’ai eu à la dur. Le logement était prêt de chez ma
mère, mais le trajet me semblait une éternité. Plus l’auto roulait, plus mes peurs devenaient
une réalité. Quand le véhicule s’est immobilisé ma poitrine me serrait et mon cœur battait
à toute vitesse. Il me fait visité, mettons que ça pas été très long, une pièce, il y avait un
divan lit et un petit réfrigérateur, il était de mon gout. Le dépanneur en face, l’arrêt d’autobus
au coin, une bibliothèque très proche, enfin j’avais toutes les commodités à proximité de
chez moi.
Nous avons débarqué mes boites et les emporter dans ma nouvelle demeure. Le lieutenant
a du quitté pour un moment et il me dit qu’il reviendrait plus tard, il fallait retourner chez ma
mère car il devait aller lui donner un compte rendu du dossier ainsi que lui remettre les
papiers concernant le bail de mon logement. De mon côté, j’en ai profité pour déballer mes
boites et je me suis mis à l’entrainement, une bonne manière de commencer ma nouvelle
vie dans mon nouvel appartement, avec mes bâtons d’autodéfense, que je pratiquais depuis
mon enfance, l’art de Bruce Lee et le jeet kune Do. Puis, le lieutenant a cogné à ma porte,
je lui ai ouvert et lui dit de me donner une dizaine de minute pour me préparer, que j’allais
prendre une douche rapide. Et Puis, le lieutenant me demanda de rester assis sur le divan
le temps que je prenne ma douche. Je me suis aperçu pendant que je prenais ma douche
qu’il m’observait dans le cadrage de porte, J’en était bouleversé et très mal alaise. Quand
j’u fini je suis sorti de la salle de bain, la serviette à la taille, pour aller chercher mon linge
que j’avais préparé, le lieutenant me fait des compliments sur mon apparence. Il trouvait
que j’étais bien bâti, et à ma grande surprise il me demande de toucher mes biceps. Pour
un moment je trouvais que ses propos n’étaient pas appropriés. Mais intimidé par son statut
professionnel, j’ai accepté avec méfiance. Alors il le toucha mais d’une manière bizarre il ne
fessait pas que toucher mais c’était une forme de caresse, j’étais très mal alaise. J’ai
rapidement pris mon linge et retourné dans la salle de bain pour m’habillé. Quand je suis
sorti de la salle de bain il m’informe qu’il venait tout juste d’appeler ma mère et qu’elle n’était
pas arrivé chez elle. Il m’invita au restaurant comme promis nous sommes allés chez Pizza
Hot sur la rue jean-talon, et il en a profité pour que nous puissions parler de mon dossier et
il m’informe que je serais sous surveillance compte tenue de mon jeune âge. J’avais un
mauvais présentement, je n’avais plus confiance en lui. Et malgré moi je me suis senti
impuissant et je suis parti avec lui. Durant le souper je me sentais inconfortable vis-à-vis le
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lieutenant. Quand je lui parlais, il me regardait bizarrement, il voulait tout me donner, il a
payé le restaurant, il était prêt à m’aider au-delà de son travail, quand on a eu fini, il m’amena
au logement. Pendant le trajet du retour, il me tripotait la cuisse, je ne savais pas quoi faire,
je me sentais piéger et je voulais à tout prix sortir du véhicule. Je lui ai demandé d’arrêter
chez moi car j’avais oublié les documents qu’il allait que je remplisse un compte rendu de
mes actions au courant des journées. Aussitôt arrivé devant chez moi je me suis empresser
de rentrer, je me suis mis à l’aise et retirer ma camisole car j’avais eu très chaud dans l’auto.
J’étais content d’être arrivé mais j’étais dans tous mes états, je ne voulais plus le revoir.
Sans m’en rendre compte le lieutenant m’avais suivi dans l’appartement il s’est mis derrière
moi me colla et me baissa le pantalonnade jogging. J’ai capoté et me suis mis à crier de
toute mes forces, j’ai pris ma camisole rose et je suis parti à toute vitesse en direction de la
porte, en descendant les marches j’ai enfilé ma camisole et parti à courir le plus vite que je
pouvais en direction de chez ma mère, ce jour-là je ne suis jamais retourné, une chance
que ma mère n’habitait pas loin à 20 minutes de chez moi. Je suis arrivé chez elle tout
essoufflé, mon temps d’entrainement était fait. Cela faisait un bon 5 minutes que ma mère
était arrivé. Je lui ai tout raconter, elle était dévastée. Quand est-ce que toute les agressions
allaient enfin se terminer. Pour un moment je pensais que ma vie allait prendre un autre
tournant. Je ne pouvais plus faire confiance à personne même pas à un officier de la justice.
Déjà à cette âge-là je venais de comprendre et d’avoir une bonne leçon de vie. On a jasé
environ une heure et la ma mère était décider à confronter le lieutenant, ce soir-là elle a fait
quelques appels en incluant la conversation avec lui, elle l’a confronté et il lui a tout avoué.
Elle voulait être certaine que c’était la vérité car elle prévoyait me garder à coucher. Elle
voulait faire une plainte à son égard elle a tout raconté à un autre policier. J’y ai passer la
nuit et le lendemain je suis parti avec ma mère au travail. Nous avons eu la chance de parler
et elle me proposa de venir manger quelque fois chez elle mais qu’en aucun temps elle me
payerait l’épicerie et que puisque je n’avais pas de télévision je pouvais aller la voir chez
elle. Je passais mon temps entre chez ma mère ou louise et mon chez moi, je me suis
retrouvé à avoir trois lieux où dormir. Un peu plus tard j’ai découvert que ce n’était pas mon
père qui avait payé mon premier loyer, mais plutôt la section de la jeunesse. Cela m’avait
un peu déçu car pour une fois j’avais pensé que mon père se préoccupait de moi et qui était
prêt à m’aider, mais encore une fois je suis trompé.
Je venais de laisser l’école, j’ai augmenté mes heures de travail, je travaillais en moyenne
50 heures semaine et le soir je m’entrainais, car je voulais aller aux jeux du Québec. Après
les compétitions, j’ai dû tout abandonner car je travaillais trop d’heures, j’avais plus de temps
pour l’entrainement. J’exerçais différentes tâches sur différents chantiers dans le domaine
de la construction pour la compagnie Spino et pour d’autres compagnies. Je me déplaçais
dans différentes villes comme par exemple la ville de Clova, Parent, Chibougamau et plus
encore. Le salaire pour dans le temps était bien, je gagnais 3.08$ de l’heure, environ
131.08$ par semaine. Pour un jeune homme de 15 ans c’était super. Par contre nous
n’avions pas les mêmes conditions de travail qu’aujourd’hui. Dans le temps, je nettoyais les
outils dans les canaux de la ville accompagné d’une centaine de rats, mes nouveaux
compagnons de travail. Puis par la suite, chez Roand, je deviens homme de la cour, peu de
temps après, j’ai obtenu un poste d’aide driller à Chibougamau j’étais vraiment content et
j’adorais ce nouveau poste mais un moment donné je creusait un trou, je n’aimais pas le
faire de la manière qu’ils m’avaient montré. Je devais mettre la mèche entre mes genoux
mais les vibrations de la mèche me faisaient bander et j’étais très inconfortable alors je mis
suis pris autrement. Mais de cette manière le trou a été creuse en angle. Quand le moment
est venu de dynamiter la pierre au lieu de partir en ligne droite vers le haut elle est partie en
angle en direction d’n camion de la compagnie. Le patron a demander qui avait creuser le
trou et ils ont tous pointé en ma direction. Il m’a fait signe du doigt de le suivre. Nous
sommes partis en camion vers la base et il me dit que je suis très dangereux, alors il m’a
28
transféré dans la cuisine où je préparais les lunchs des employés de chantiers, je nettoyais
les maisons mobiles et les chambres dans les tentes roulotte des gars, il y en avait une
trentaine. Je me souviens que les murs était fait en carton on entendait tout, même les
hurlements des loups le soir. Ce n’était pas ce que je considérais un emploi en construction,
mais bon ça payait le loyer. À tous les trois mois on revenait en ville et on avait un bon
montant d’argent dans nos poches, je dépensais à peine. De plus quand je revenais la fin
de semaine j’avais beaucoup d’argent comparativement à mes amis qui allaitent encore à
l’école. Alors je payer la traite à tout le monde, nous faisions le party toute la fin de semaine.
Je peux vous dire je n’avais pas un moment pour moi, sans compter que je m’étais fait une
nouvelle blonde. Celle qui habite au sous-sol du dépanneur en face de chez moi. Et oui elle
m’annonça un mois après notre première rencontre et la première fois de ma vie où mes
petits poissons sont partis à la recherche de l’ovule, la porte étant très grande ouverte, un
coup circuit dès le premier frapper. Faut être très chanceux pour ne pas dire malchanceux.
Je ne me voyais pas du tout père, je n’avais que quinze ans, je venais tout juste de retrouver
ma mère et de la perdre une fois de plus. J’ai été trimbaler d’une place à l’autre et à peine
un mois, je me retrouve, un adulte dans le sens intégral du mot, femme, enfant, nouveau
travaille, nouvel appartement et une nouvelle vie. Je suis parti vers la gloire. Sans ne jamais
l’avoir planifier ni désirer. Je me suis trouver dans un monde que je n’ai pas voulu ce
moment-là. Je n’ai pas eu la chance de passer beaucoup de temps avec la future mère de
mon enfant car je suis parti pour trois mois. C’était bien car cela m’a donné la chance de
me calmer un peu et de réfléchir à ma vie. J’étais loin de ma mère et ça me faisait du bien
je me sentais moins agressif et moins coléreux. De l’autre côté je savais qu’avec la venue
d’un enfant il fallait que je remette ma vie sur le bon chemin car un être dépendra de moi.
Sur le coup, puisque je n’étais pas présent ce n’était qu’une réalité future. Pendant que
j’étais à l’extérieur j’en profitait pour renflouer mes poches et de me reprendre en main. Par
contre je gardais contact avec elle, une fois par semaine, le dimanche je l’appelais la
conversation ne durait jamais très longtemps car je déteste parler au téléphone, mais bon
je la trouvais très, très jolie, mais je ne la connaissais pas.
Je me cherche un autre emploi et travaille dans les textiles sur la rue St-Laurent, coin
Louvain.
Car je m'ennui de ma ville et de mes amis, etc., pour un jeune de 15 ans seul dans le bois
sans famille pas évident je peux vous dire.
* Ensuite,
J’ai commencé à m’entraîner avec des poids et haltères, j’ai fait du Jeek-kune-Do.
J’ai reçu mon diplôme entraîneur en auto défense à 20 ans.
Je me suis entraîné pour faire de la lutte Greco Romaine, judo, escrime, pour les jeux du
Québec. J’ai terminé le 3 ixième lors de compétitions et il a fallu que j’arrête car je ne pouvais
plus continuer parce que je m’étais brisé la cheville.
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- En 1979,
J'ai rencontré Louise Genest 22 ans, elle demeurait en face du garage dans un sous-sol sur
la rue St-Hubert et ses parents avaient un dépanneur en haut, coin de la rue Sauvé, à
Montréal. Elle avait un bébé.
Durant une sortie a une discothèque de notre retour, la gardienne a manqué d'attention.
Elle parlait au téléphone et le bébé a glissé dans le bain et mourut.
Cela passé dans Montréal Matin première page et aux infos à la télévisons
Ma mère ma Dieu ta puni et j'ai revenu vivre chez ma mère, avec des ordres très sévères
de quelques mois.
Suite à cette situation, je demande à ma mère de m’aider et ma mère a accepté que je
retourne chez elle pour une durée de quelques mois.
Lors de sorties, j’ai rencontré une fille qui est devenue mon amie de cœur, c’était ma
deuxième blonde à vie.
J’avais un cousin du côté paternel et qui était jaloux de moi. Pourtant depuis toute mon
enfance, je lui donnais presque tout ce je que possédais en exemple comme tous mes
cadeaux que je recevais, donc quand je le rencontrais, à raison qu’il fréquentait et visitait
mon père parce qu’il était très près de lui, donc ce dit cousin me donnait des nouvelles de
ce dit père manquant !
De là, mon cousin et moi, nous avions une certaine amitié et il avait rencontré une fille, qui
est devenue son amie de cœur mais cette dite amie a eu un accident d'auto et mon cousin
était tout bouleversé.
Donc ma petite amie, c’est à dire ma blonde est devenue une grande confidence pour lui et
un jour, la confidente qui était mon amie est partie avec lui.
J'en ai souffert tellement durant des années ! Car je me suis senti terriblement trahi !
Je ne vais plus à l'école, car j'ai fait trop de famille sociale et à L'école Louis-Joseph
Papineau avais trop de bataille entre les anglais de Pie-IX et les Québécois.
Je fi mi dehors pour méfaits, bagarres, etc.
Le gouvernement social, Mme. Giroux encore a forcé mon vrai père à payer mon premier
loyer, sur le rue Henri-Bourassa, au Coin Péloquin.
Le gouvernement force mes parents à prendre leurs responsabilités.
Ma mère me place à son lieu de travail, elle était secrétaire dans le domaine de la
construction, depuis des années, pour Spino et Ortem.
Voilà ma troisième rencontre, avec l'enfer de la vie.
30
- En 1980, vers l'âge de mes 17 ans
Je déménage pour une autre fois en appartement, durant cette période j’ai travaillé à
plusieurs endroits tout en effectuant des différents emplois.
J’ai décidé de poursuivre des cours d’apprentissage pour le métier de boucher, de cuisine
et ensuite je suis retourné à l’école car lorsque j’ai laissé l’école, j’avais terminé seulement
une 7e année.
* Je demeurais 9800 rue Péloquin au deuxième étage, avec ma mère et ma sœur dans une
grande 5 pièce et comme voisin Vallière, Demers et des Follis en face de Goerge Pizzeria.
Je m'en souviens comme hier. Et dans les marches ont s’assoyaient tous pour partager le
temps de l’adolescence.
Je rencontre une fille au Nom de Johanne Taillefert et cela fi ma première vrai Amour.
Tout se passe bien j'allais dans le quartier Rosemont voire ses parents, à côté du cinéma
Belmond- Rosemont.
Un jour mon cousin Jean-Yves Beauvais, le fils de la sœur de mon père, venais me voir des
fois, car j'avais pleins d'argent et je payais souvent pour les autres.
Il est plus âgé que moi de trois ans, environ. Il rencontre une fille au nom d’Anna qui ne
reste pas loin de ma copine Johanne, elles deviennent des bonnes amies.
Ma blonde Johanne viens me voir chez ma mère et mon cousin, car je donnais tout ce que
j'avais album de timbres, etc. et payait tout. Plusieurs soirs, avec mon cousin et sa blonde
Anna et Johanne et moi étais chez ma mère, dans ma chambre comme des ados, rirais de
tout avec l’innocence du moment avec notre musique du moment.
Un jour mon cousin est chez moi ont joues aux échecs et je reçois un appel,
Sais les parents de sa blonde et mon amie Johanne qui annonce un grave accident d'auto
Anna est défigurée à vie, avec des vis dans visages partout.
Un soir mon ami Richard Follis environ même, mon voisin de palier vient chez moi,
Son papa sort avec ma mère, depuis quelques mois et vont au Restaurant Chinois sur la
rue La Jeunesse.
C'était comme un grand frère pour moi, même étage, on habitait deux portes collées.
Pendant que je m'entrainais et lui écoutais la musique il me dit où est ta blonde Johanne ta
blonde.
J'ai dit elle est partie avec mon cousin Jean-Yves dû aux faits de son drame et son parti
aller danser, à Laval à la discothèque le Maillet. Il me propose aller les chercher en taxi vers
3.00 Am Comme un gentleman je dis OK. C’était un Samedi et là j'arrive sur le lieu du
plancher de danse. Je vois mon cousin embrasser ma blonde, dans le deuxième sofa de
couleur rouge et en forme espagnol orangé, en rond je m'en souviens comme hier.
Je l’attends dehors en bas du bar, pour comprendre la situation
Car les marches au Maillet étaient hautes et là la bagarre éclatée, avec moi et mon cousin
et quelques autres clients.
Je viens pour partir, car mon ami Richard me dit ces assez et une auto fonce sur moi et des
gars sort avec des bâtons, car j'avais brisé le nez d'un leurs amis.
Je mi à me battre comme un fou, contre plusieurs à coup de bâton et chaînes.
Une personne mi sa main sur mon épaule et oups un coup sur le nez, je me retourne c'était
la police. Il essai me mettre dans l'auto de police, et le miroir coté droite.
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Je passe en cour et j'ai un dossier criminel pour voie de faits et 800 dollars d'amende
Pourtant j'étais tranquille chez ma mère, dans ma chambre, car je travaillais le lendemain.
Je perds mon emploi, et je dois emprunter à la Banque Royal sur la rue Fleury, coin Péloquin
avec la signature de mes grands-parents pour responsable de moi.
Mon cousin ce console avec ma blonde Johanne et il vécut ensembles durant des années
et je me suis retrouvé avec un casier judiciaire et seul dans rue a mes 18 ans, avec une
dette envers mes grands-parents et ma mère ne voulais plus rien savoir moi.
Elle me donne son gros sofa espagnol orange de quatre places et déménage sur la rue
Papineau 10098 appartements 302. Le frère de ma mère Serge Pagé ma aider pour me
trouver un logement et me déménager, par la chassie au troisième étage avec des cordes,
parce que le sofa, car trop énorme pour des portes normales.
- En 1985,
Donc vers 22 ans, j’ai travaillé dans des différents clubs de nuit comme portier et durant
cette période, je me suis entraîné comme culturisme pour devenir Monsieur Montréal.
Plusieurs me connaissaient donc je m’étais fait un nom et de plus je me suis occupé de
gérer 7 clubs de nuit et je ne dormais presque plus.
Je suis devenu le propriétaire d’un Gym sur le Plateau, localisé 1821 sur la rue Mont Royal.
Aussi en plus un Condo 406 et le 1212 Des Pins 1706, dans centre-ville de Montréal.
Je suis parti en voyage pour la Californie et j’ai suivi des cours de nutrition et de médecine
sportive chez Franck Zane Haven.
Je venais de gagner un concours de culturisme M. Lanaudière, (M. Mtl), en 86.
J'ai ma ceinture Noir, par Serge et Daniel Langlois sur la rue St-Laurent en haut, près de
Jarry avec Maître Chong Lee.
Je me trouve du travail comme portier, au Checker à 3.00 Am du matin, avec Abdoul dans
une discothèque de gens de couleurs noir et moi le seul blanc, sur la rue Mont-Royal et StHurbain, en haut de la pizzeria en face du garage. Des batailles presque tous les soirs.
J'avais peur, mais je prenais ma place, j'étais le portier et c'était mon job de me battre.
Autre soir je travaillais comme portier au Salsathèque sur la rue Peel, et la Différence sur la
rue St-Catherine ou Taverne du Plateau coin St-Laurent et Sainte-Catherine et j'ai un
danseur au 281, gay Apollon et Disco Bleu, avec Anita, quelques mois seulement, et au PJ
discothèque portier, sur la rue Peel avec Armand Monro, comme animateur de scène.
La gêne ma bloqué, j'ai fait quand même plusieurs bons shows avec des serpents avec
Bruce et Rod Steward Clone, Tarzan et Jane, Village People et fait des shows A RouynNoranda Ranch petit Baril comme show de culturisme, on ma annoncer dans les radios de
la place.
Je m'entrainais très sérieusement dans des sports de combats, j'ai été aux jeux du Québec
en lutte Greco et j’ai fini troisième du un pied brisé.
Je fi des concours de culturisme, mon mentor André Elie comme culturisme et Frank Zane
DC en Californie, un gay Jean Paris me payait tout.
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- En 1986,
Je suis devenu le garde du corps pour des vedettes durant les périodes des différentes
festivités de Music Fest qui était au parc Jarry.
Je suis devenu le premier modèle pour différents magazines Fugue, Torso et en raison de
ma naïveté je me suis fait avoir et je n` ai jamais reçu de salaire pour ce travail de mannequin
J’ai aussi participé comme figurant à une vidéo de musique avec la chanteuse Marjo,
(*Sa chanson - Celle qui va).
Ensuite, je suis devenu un agent sécurité pour l’agence Pinkerton.
Tout en continuant mon entraînement qui m’a incité à participer à des compétitions pour
gagner en 1986 comme culturisme. Par la suite, avec tout ce que je faisais, j’ai eu l’occasion
de rencontrer certaines personnes et j’ai goûté ce qui se vivait soit comme dans un autre
monde, c'est-à-dire j’ai tombé dans la consommation, est que je pensais qu’il fallait que je
fasse pour devenir un culturisme plus perfectionné donc j’ai touché tout ce qui se faisait
comme hormones/drogues et en plus je suis devenu un joueur impulsif avec les jeux de
machines pokers et autres, etc. Mais, je n’ai jamais vendu absolument aucun produit.
- En1988, vers l'âge de mes 24 ans
Je rencontre Debra Wilson une danseuse nue chez Paré et laisse le gardien de but des
Canadiens, M. Fisset, pour moi et nous avons passé une grosse année de voyage
Venezuela, à Margarita, Polamar et du sexe animal, on s'entrainement comme des de pro,
dans des gym à Lachine chez Ermerie, je gagne un concours de bench press, je fini
deuxième par un livre avec 401 livres, 10 coups sans cogné sur le torse, et Ermerie le
propriétaire a gagné par 402 livres.
Debra Wilson faisait de l'art en peinture abstrait l'université Concordia en peinture et ont en
vendais en gros prix, jusqu'au jour où la magie n’était plus aux rendez-vous
La police est entrée pour me dire de quitté le logement, car nous fessions trop de
consommation de drogue dur et le comportement des deux avais changé.
J'ai donné un coup dans la porte avec un masquage devant la police et la porte a tombé
d'un coup et elle m’a dit part et ce que fi sans rien de plus et plus jamais entendu parler.
- En 1989, vers l'âge de mes 25 ans
Je rencontre Grace Azeraf une femme Juive Marocaine, son père est le propriétaire du
magasin l'Instant meubles, sur la rue Mont-Royal.
Je me suis trouvé un logement au 405 sur le boulevard St-Joseph, maison de chambre à la
semaine et je me suis trouvé un emploi comme gardien de sécurité chez Pinkerton, durant
la grève dans les hôpitaux. Je vérifie pour pas que les employés ne mettre pas des collants,
dans les ascenseurs à Sainte Anne de Bellevue.
J'ai aussi un emploi comme entraîneur chez Phisy-Forme avec Gétant, sur la rue St-Hubert
coin Jean-Talon. Je travaille aussi à la ville de Châteauguay, chez un des premier Nautilus
et je suis des mises de mise en forme et en nutrition.
Je m’achète avec mon ami Jean Paris, le Gym du Plateau, au 1821 rue Mont-Royal coin
Papineau, que j'ai eu durant quelques années, avec un associé, Jean Paris.
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Un jour ma blonde au nom de Grace me demande d'aller vivre ensemble, car nous
connaissent depuis des années. Quand j'étais un portier elle était une cliente. Je vais rester
dans le quartier Outremont. Un jour son père vient me voir et me dit que sa fille veut me
marier.
Il me dit tu dois porter le képi Juif sur la tête et apprend des textes de notre religion, je
réponds non et il part en silence.
Le lendemain à mon retour de travail le logement était vide et je n’ai plus jamais entendue
parler de mon amour Grace.
Je perds mon centre le Gym du plateau, due à la consommation et je me mi à vivre dans la
rue je couche à la maison du Père, à l’accueil Bonneau, à la S.O.F.A, pendant quatre ans
et le toit rouge, pour la soupe et le pain, café.
Toutes ces drogues/hormones deviennent une ombre dans ma vie.
Le résultat, j’ai tout perdu tout en 1989 et je me retrouve à l’accueil Bonneau et à la Maison
du Père et autres endroits soit presque dans la rue.
Je me suis retrouvé un emploi comme vendeur de soulier chez le magasin Transit * Aldo,
localisé à la place Versailles, Montréal. (Durant cette période je suis devenu le meilleur
vendeur Canon au Canada).
- En 1990, vers l'âge de mes 30 ans
Je passe devant la cour de justice pour des problèmes de consommation
Méfait : la banque Royale a accusé Marc Cantin, de signature et de document décalcifier
envers la couronne, d'une valeur de 25 milles dollars. Et la cause traînait depuis quelques
années, car j'ai eu des opérations majeures.
Le juge m’a dit tu n’as pas l'air d'un bandit, va faire en cure de désintox, six mois en une
maison fermée en toxicomanie et 250 heures de travaux communautaires.
Loin de tout, tu iras à Lanthier proche de la ville de St-Agathe, il n’y a rien à l'entour de 19
kilomètre et tu seras dans le bois, dans la forêt, cela est géré par les frère Bilodeau, deux
anciens soldats assez dure et le député André Chenail, le député de Châteauguay, qui avais
des parts. Preuve en documents de la cour. Quelques fois les frères Dubois de St-Henri
allais porter une enveloppe, moi je restais dans l'auto en quand qui arrive de quoi. Car je
n’avais pas peur de me battre et de foncer, pour prendre ma place, avec le respect avant
tout.
Je deviens un exemple comme résident, je me prends en main.
J'ai suivi des cours en relations d'aides, suicides action Montréal, croissances affectives et
j'ai demeuré là durant deux ans. J'ai obtenue 9 attestations.
Mais les drogues /jeux occupaient ma vie et je me suis retrouvé à faire 2 ans en cure à la
Maison du Soleil à Lanthier près de St-Agathe.
En même temps, J’ai pris des cours de croissance affective avec Pierre Denis Masson.
J’étais rentré comme itinérant et lorsque j’ai quitté, (quand je suis parti) de cet endroit, j’étais
devenu un superviseur en chef de la maison.
Je fus obligé de me décider pour faire quelque chose avec ma vie donc je suis retourné à
l’école car je n’avais seulement qu’une 7e année.
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J’ai poursuivi différents cours soit en relation d’aide, etc., avec ces cours, j’ai donc accumulé
et j’ai obtenu (12 attestations : ‘Suicides action Montréal - Travail en équipe - Relations
d’aides – Toxicologies - Nutritions - Santé sécurité constructions - Informatiques - Cours de
secourisme’), et avec l’accumulation de ces cours et de ces attestations, je n’ai pas obtenu
le diplôme de secondaire 5 v donc pour moi, j’ai fait toutes mes études à l’envers des autres
Je m'entrainais avec des pierres, comme haltère, dans endroit une truie fermé dehors, un
trou durant deux heures, le souffle me manquait mais je voulais être en forme, pour que ma
penser sois libre. Les résidents me regardaient entraver la petite fenêtre.
Car c'était chaud en crime, cela chauffait un vieux couvant de sœurs, pour 70 résidents avec
une énorme cuisine et aucunes eau chaudes et quatre ailes, en forme de U.
Ont devais partir 20 personnes chaque matin vers 4.00 Am dans la rivière, avec deux
chaudières chaque et ont fessais trois voyages, aller-retour dans le bois tout saisons, pour
faire chauffé les douches, le rasage du visage et faire la vaisselle
Tache aussi j'allais en ville avec le chauffeur pour présenter un résident en cour, chacun
avait un dossier de misères et me battais à toutes les fin semaines, presque. Car certains
avec droits de sortie et revenais soul ou geler, Et je ne pouvais pas les faire entrer. J'ai eu
un ours d'homme un jour et du lui montre le nez de toute mes forces, pour gagner le respect
de la place et rendre l'endroit calme et de travail sur soi.
Un soir en saison d'Hiver Je n'étais pas sur place, je ne dormais pas loin dans une petite
maisonnette, car une dame louait des studios, rendu vide suite à la mort de son mari, car
est se sentais seul et ont passais par sa terre, pour aller chercher de l'eau.
Elle a loué 3 Studio, un a moi et deux autres surveillants et elle demeurait dans l'autre.
À 10 minutes à pieds du centre, Vers 4.01 Am du Matin, un Dimanche un Steve m'appelle
un surveillant, résident me dit c’est la panique, Quoi je dis, un gars ces pendu et il est juste
à côté des douches. J'ai dit j'arrive toucher a rien et appelle la police, ambulance. Il m’a dit
ces faits.
Je m'habille et j'arrive. J'ai dû enlever un résident gay qui sais pendu, car personne ne
voulait faire et cela ma prie, tout mon courage, car c'était la panique et du calmer le climat,
70 résident en rage tout arrange pour faire une action rapide, pour rendre atmosphère
neutre.
Les deux frères propriétaire arrives vers 1.50 Am et je laisse faire et va prendre un café
dans la cafétéria, avec les gars.
Vers 2.00 Am les ambulanciers sont arrivé et ont emporté le résident et ont parlé dans le
bureau avec les responsables de loi, etc. et je n’ai pas su la suite.
J'ai donnée des cours durant deux ans, par la suite a 70 gars,
Il y avait aucune femme sur les lieux, sauf pour les cours de croissances affectif par Pierre
Denis Masson, qui venait de Laval, avec son équipe, durant deux semaines.
Ont enfermais 15 à 20 personnes et ont les motivais à bien faire, dans la vie et de trouver
une solution a tout. Les cours se nommais : Pas demain maintenant et ce payais avec des
chèques d'aides social, de chômage.
Et après mon départ une émeute et la police intervenue majeur et du fermé pour des
amendes et des salaires non payés.
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Ma mère et son nouveau mari, André Martin sont venu me chercher et elle a eu peur en
entrant sur les lieux. Car 70 hommes en manque, cela bouge et son toc.
Je vais aller vivre quelques semaines chez ma mère ou ma demi-sœur, à Montréal-Nord
J'arrive un Vendredi et ma mère reçoit entre-temps une amie au nom de Lucienne Picard.
Elle lui dit mon fils est ici, viens le voir et elle me demande si je veux aller avec elle, à la
maison Hanté à Montréal. C'est un restaurant et mon ami a cancel, ce soir, après réflexion
ma mère la rappelle, car est était partis pour trouver une personne. Car les billets étaient
125 dollars chacun. J'ai dit à ma mère appelle là, je vais aller avec. Nous ne sommes jamais
quittés durant des années. Elle était âgée de moi, de plus de 13ans, cette femme ne buvait
pas et ne sortait pas, donc durant les années que je demeurais avec elle soit de 1991 à
1996. Je n’ai consommé absolument rien !
Je me suis trouvé un nouvel emploi un travail dans une école comme professeur de mise
en forme et comme un agent de marketing sur un art..25 avec le chômage pour un montant
net de quatre-vingt-cinq dollars par semaine, comme agent sécurité chez Pinkerton.
Et un jour je brise le dos et je suis partie pour ne pas devenir une patate de salon.
Elle revenait de son travail et elle mon dit laisse au t'aider à trouver une chambre.
Car j'avais besoin d'une dichotomie L4 - L5 que j'ai eu à l’hôpital Hochelaga-Maisonneuve,
par le chirurgien DC Raftoum. Et j'ai trouvé un job comme concierge dans une maison de
chambre, dans le quartier Westmount, j'avais 200 chambres à vérifier, sans aucun bail.
Un vrai trou et le verglas frappe mon quartier, j'ai dû déménager
J’ai suivi des cours pour me trouver un travail en communication.
Pour continuer, j’ai eu un accident, et je me suis brisé des vertèbres dans le dos, donc très
** Urgent, une chirurgie pour une dichotomie L4 et L5.
Donc, pendant plusieurs mois, je ne pouvais absolument rien faire, ni aucun entraînement,
je devais réapprendre à marcher, pour prendre la vie autrement.
Mon orgueil était rendu très bas, je ne savais plus que faire car l’entraînement que je faisais
chaque jour, était ma seule évasion.
Depuis cette opération c'est-à-dire cette chirurgie, je n’étais plus en mesure de quoi que ce
soit je me sentais comme anéanti.
Je devais repartir pour encore une autre fois un nouveau début dans ma vie parce que
toutes mes causes étaient comme perdues.
De ce fait la CSST m’avait refusé cet accident de travail en relatant le motif du refus que
l’accident de travail n’était pas relié avec l’état de mon dos.
Leur explication fut que c’était comme raison dû à un surmenage d’entraînement et ce qui
a provoqué une lésion professionnelle !
Pourtant il y a une autre fois ! Je n’ai jamais compris !
Pourtant j’avais déjà eu un accident au dos, une machine qui m’était passé sur mon pied
droit, cela c’était produit lorsque je travaillais dans les chantiers de construction et cela c'était
produit plusieurs années auparavant et pourtant la CSST avait reconnu le fait accidentel et
ils m’avaient rémunéré !
Les deux faits accidentels étaient au même endroit au dos l4-l5. J’avais les deux rapports
écrits ! C’est à dire, c’était au même endroit au dos et c’était durant les années 1988 et 1996.
Ma santé me grugeait et je pensais à ma vie car je vieillissais !
Comme je ne voulais pas être un néant ou bon à rien pour mon amie et pour moi-même,
pourtant notre vie de couple fonctionnait bien entre nous.
36
- En 1996/1997,
Alors j’ai décidé pour mieux reprendre ma vie de partir pour Chicoutimi, le 11 Mars 1996,
Je vais à vivre à Chicoutimi pour subir des traitements pour mon dos, car mon spécialiste
ne fessait que les traitements à cette hôpital, envoyé par la F.A.T.A sur la rue Drôlet à
Montréal.
En trois jours je me suis trouvé deux emplois serveur dans un bar, La Garçonnière et comme
conseiller de mise en forme, au 413 rue Racine.
Je rencontre dans le club de mise en forme, Mme Cathy Saillant un amour de femme dans
un club au Montagnais, dans un sous- sol d’hôtel et là après 3 mois de demeure tout va
super bien pour ma vie.
Ne boit plus, ne consomme plus et je me mets en forme le mieux que je peux même si le
dos est bloqué, pour mieux récupérer ma santé et une inondation monstre arrive, j'allais à
l’hôpital pour mes traitements. J'appelle ma mère en urgence et elle me dit je vois cela à la
télé, on va chercher ne bouge pas. Facile à dire. En 4 heures de Montréal à Chicoutimi le
mari de ma mère est venu me chercher, mon logement est inondé et je ne suis pas assuré,
je suis temporaire là et que depuis quelques mois.
* Je perds tous mes choses en encore et je dois tout laisser sur place, souvenirs photos
etc., encore. Durant le trajet les route devenais pleines d'eau et nous devions contournée
des rues, par la police qui dirigeais les gens, conducteur et 9 heures pour le retour, en plié
en deux dans la fenêtre de l'auto, car il avait un petit auto et pas de place, car il avait ces
pneus qui avais là pour échange et moi avec mon dos, des douleurs tout ce temps et ma
mère criais dans l'auto je ne veux pas mourir, je ne veux pas mourir et André le mari de ma
mère avec un caractère aussi bouillant, pas calme du tout et ne connaissais pas la place,
ce fi l'enfer. Ont voyais l'eau s'approcher des rues et ont roulais vite je peux vous dire.
L’auto avais la moitié de l'eau quand ont traversais des chemins, c'était urgent je restais
juste à côté de la maison blanche, dans un sous-sol inondé, pas loin du Parc.
Propriétaire voulais quand même ses loyers, j'avais signé un bail dans un une pièce et demi
dans un trou ou les égaux passais, j'ai prise premier logement que j'ai vu quand je suis
arrivé dans cette ville et selon mes fiances, car j'étais sur la C.S.S.T et un peu de chômage
quelques semaines. Le proprio un Monsieur origine Arabe communique avec ma mère pour
être payé de ces loyer, ils ont nettoyé et ces habitable qui disais.
Ma mère a dit ici il y a des lois, et il n’a pas voulu brisé le bail de six mois en plus
Il anguleuse ma mère pour que je paye la balance bail, c’est un fou quoi, tuas tout perdu et
tu as aggravé ton dos en plus. Et le temps a fait que nous avons plus entendu parler.
Comme la malchance me poursuit, je me suis retrouvé dans l’inondation du déluge du
Saguenay et j’ai tout perdu au complet de ce que j’avais et je n’avais pas d’assurance.
Je fus obligé de revenir à Montréal d’urgence.
Faisant suite à ceci, mon ancienne copine m’a accueillie pour une semaine.
Je suis reparti et j’ai déménagé en logement, à NDG sans avoir rien et après une période
de 6 mois, je suis devenu le concierge c’était donc en 1996, c’était une maison de 60
logements et avec des chambres que je devais m’occuper à l’entretien, des comptes, etc.
Avec mon passé de club 1989, les dettes non réglées, il a fallu que je déménage pour une
autre fois. Le passé revient toujours un jour ou l’autre sur le présent.
37
- En 1997,
Je vis dans la rue encore et je vis aussi chez des amis, et par hasard la propriétaire d'un
ami tombe en amour avec moi, elle venait chercher son louer.
Elle me demande tu fais quoi, j'ai dit j'ai retourné à l'école en information et en montage
d’animation. Je veux devenir un infographe. Je lui dis j'ai eu mes cours avec un secondaire
un et sans savoir parler en anglais. Je lui conte mon histoire dans la halle de la porte et
m'invite chez elle prendre un café. Une soirée fabuleuse, mais anguille un elle demeure à
Laval, je suis des cours à Longueuil Institut Demers et je vis en chambre chez un ami, à
Montréal, quartier Westmount, de plus je ne suis pas riche et je n'ai pas d'auto.
Elle me dit couche chez moi et elle était aussi une serveuse, dans un grand resto dans le
vieux Montréal.
Mon ami qui était son locataire, m'appel pendant qu'elle est partie à son travail et me dit pi,
comme vas-tu. J'ai dit ces partys ici boisions et tous les drogues disponibles. Il me dit fait
attention c’est la femme d'un Rock Machine.
J'ai dit quoi. Et il me dit dans le sous-sol caché sais pleins argents et des armes.
J'ai ok, pas un sous presque et seul à Laval, une ville que je ne connais pas trop. Je pense
à tout cela et elle revient de son travail. Elle me demande de rester avec, car son chum est
en prison.
J'ai dit non, mais je tombe sous charme et retombe dans la consommation de drogues dure
durant deux semaines.
Le gros party. Car une fille de motard sa tripe fort dans le sexe et dans tout. J'appelle mon
père pour parler avec, car depuis mes 18 ans je n’avais pas eu de ces nouvelles. Ma mère
l'avais rejoint pour dire que j'avais de la misère et que j'allais à école avec un gros prêt de
13516.00 dollars. Et qu’il va tout perdre, s’il n'est pas remis en écoute de conseils.
Mon père me rejoint par téléphone à Laval et lui demeure depuis plusieurs années avec sa
blonde Rose-Anne, à Rivière-Beaudette. Il me dit viens avec moi, j’ai un garage à refaire et
je sais que tu y connais en construction. J'ai dit j'ai congé d'école je vais y aller.
J'ai monté de Laval à Rivière-Beaudette, en bicyclette. Cela m’a pris 6 heures, et j'ai pris
l’autoroute, la police m’a interpellé par quatre fois pour de rouler sur des chemins de
champagnes. Je l'avais déjà faite une fois à mes 18 ans, pour aller le voir, sauf que j'étais
plus jeune.
On parle et durant deux semaines je travaille pour mon père, avec un petit salaire, car je
dormais chez lui et sa blonde ma chargeais pension. J'ai retourné voir mon ami Richard
dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve et je rencontre en chemin un ancien ami, qui me
dit que lui aussi est en informatique. Viens vivre avec moi et on va s'encourager. J'ai dit ok.
Sur entrait faits la propriétaire a su que j'étais en ville et elle dit à mon ami, de l'attendre.
Ce que je fi et elle me dit viens chez moi, je prépare un souper.
Je lui parle de mon père et des faits partagé avec le tout de ce qui m'arrive de bon.
Elle me dit j'ai des boites de cigarettes pas cher, connais des personne.
J'ai dit je ne sais pas, peut-être mon père et elle lui parle.
Moi pendant ce temps je prépare le souper et elle me dit j'ai un rendez-vous,
Tout surpris j'ai dit OK, passe-le-moi et j'ai fini la conversation, car j'avais bu un peu.
Elle me dit il reste plus de vin, je vais aller en chercher tu peux rester.
Si ça sonne, dire que je ne reviens dans pas long.
Je m'assois dans le sofa je regarde la télé et je mets le souper de côté le temps qu’elle
revienne. Là ça sonne, je me lève et va ouvrir un homme viens et va dans le sous-sol et me
dit tu me n’as pas vu.
38
Après un homme style Arabe arrive en moto Harley Davidson et me dit tu fais quoi là. J'ai
dit j’attends mon amie. Et me dit elle est tu dans sous-sol j'ai dit elle est partie chercher du
vin. Et il va dans le sous-sol. Je décide de l’appeler et elle me dit que d'urgence elle doit
remplacer une fille à Job et ça va prendre 3 heures de plus. Wouin je suis sans auto, à Laval
et un peu soul du vin de l'après-midi. Je mange alors un peu et je m'endors.
Je me réveille à 2.00 AM du matin et je suis seul dans sa maison. Alors je l'appel sans
réponse. Alors je une décision je pars pour prendre un taxi et aller dormir dans ma chambre
chez mon ami, que je loue et mes cours en informatique dans deux jours recommence.
Le tripe est finie et doit prendre ma santé et ma vie, en main.
Le lendemain matin, mon ami reçoit un appel et moi je dors dans ma chambre. Il me dit
cette la fille propriétaire, ou tu as tripé et elle veut te tuer. J'ai dit quoi, passe-moi le téléphone
elle cris l’argent a disparue et il manque 25 milles dollars et ces toi qui là.
Tu es parti d'un coup, sans barré la porte. J'ai dit un je n’ai rien prie et de deux tu arrivais
pas, alors j'ai été me couché chez moi, car je dois faire mes devoirs pour mes cours.
Elle m’accuse et me dit on va tuer ton père, ta mère.
J'ai dit hey tu es folle ou quoi, Si j'aurais l'argent pense que j'aurais emprunté 40 dollars à
mon ami pour payer le taxi et fouille dans ma chambre, je n’ai même pas 10 dollars viens
voir.
Elle me dit bouge pas j'arrive.
Avec les menaces je change d'endroit pour voir si elle vient seule.
Et elle n'est pas venue. Elle mon mi une charge en court et a été avec des gars de motos
de gang de Rock Machine, chez mon père et au mariage de ma mère.
Je ne comprenais plus rien et cela durant 1 an j'ai revécu dans la rue, avec la peur de me
faire tuer, jusqu'au jour où a me dit ces pas toi, c’est l'Arabe qui avais pris l'argent et un gars
qui avais un commerce sur la rue Piex-IX fessais parti des Rock Machine m’a dit excuse et
viens à mon mariage. De reculons j'ai été, seul et tous ces biens passés, plus de 100
personnes avec des Harley, les grosses tripes. Je n'ai rien consommé et je l’ai plus jamais
revue. Le hasard en 1998 a fait qui est devenue peu un voisin, de mon amie Lucienne, par
le hasard des choses. Et nous avons nos vies et sur le balcon le matin on fessait des saluts
de respect. Car j'allais revoir mon amie Lucienne des fois.
39
- En 1998,
Je rencontre une femme au Nom Patricia Maldonado qui travaille croupière au casino de
Montréal depuis des années, elle été locataire pour un mois et moi je vis dans un et demi
dans l’édifice de maison de chambres, sur la Chateaubriand et je suis devenue responsable
de l'entretient.
Je travaille comme gardien de sécurité, dans des shows rock sur appel aussi, pour Pinkerton.
Elle me parle de sa situation elle est là le temps qu'elle trouve un grand logement, à son
goût dans le quartier Westmount.
Le fait est qu’au bout d'un mois avons décidé d'aller vivre ensemble.
Cela coûterait mon cher et je dormirais dans son salon, comme chambreur.
Ce qui fi, sauf qu’elle fessait l'amour et moi dans le salon j'attendais tout.
Un jour cela fi mon tour et j'ai vu des chaines avec des menottes après le lit.
Elle m'explique qu'elle attache des clients du casino et il la paye.
Car nous avions réservé des Vacances au Camping. Elle avait une auto. Nous sommes
arrivés tard au terrain le temps de placer la tente, etc. de rires, les autres clients étaient
dans leurs sommeils. Disons 20 tentes collées et nous sommes arrivées, vers 23.00 Pm.
On se colle et ont fait l'amour les gens applaudisse et un moment donné quelqu'un dit tu ne
pourrais pas faire des choses en ville, il y a des enfants ici.
Le gérant est venu avec une lampe et nous a mis dehors. Dans le bois le soir, savoir ou
aller nous sommes trouvées une auberge le trou du Diable dans le Nord. Nous avons passé
la nuit de sexe comme jamais j'ai connu dans ma vie. Le lendemain arrivé en ville le verglas.
Je me suis dit dans ma tête je déménage tu et ces ce que je fi un mois plus tard, un ami est
venu chercher mes causes.
J’ai rencontré un ami du passé en marchant sur la rue, et il m’a informé que la vie du futur,
c’était dans le milieu du Multimédia, donc tout en marchant dans la rue avec lui, il m’a dit !
Va s’y c’est l’avenir dans ce domaine-là.
C’est ce que disait le gouvernement, il m’a dit d’écouter les commentaires et les informations
à la radio ou à la télévision et tu pourrais être mieux renseigné.
J’ai pensé à tout cela et j’ai fait une demande d’inscription à l’Institut Demers, à Longueuil.
On m’a refusé et ils m’ont donné comme explication qu’il fallait que j’aie au moins mon
diplôme de mon secondaire V et avec l’anglais comme étude.
En raison que je n’avais pas le secondaire V et que je possédais seulement le secondaire
III terminé et que je ne comprenais rien.
Je me suis entêté de vouloir m’enregistrer à ce cours et je suis retourné une autre fois à
l’institut Demers et je leur ai proposé de me faire passer des tests d’aptitudes.
De ce fait, (j’ai réussi) à faire et à réussir tous les tests de même celui d’une perception 3D
eu 130%, Ils n’avaient jamais vu cela.
Suite à ceci, j’ai poursuivi mes recherches et j’ai fait les démarches pour un emprunt d’un
prêt et bourse pour étudiants qui était offert par le gouvernement.
Le montant de cette bourse d’étude s’élevait au montant de treize mille cinq cent seize
dollars, pour mes cours qui étaient d`une durée de 6 mois et qui était toujours par le biais
du gouvernement
Pourtant tout ceci sans avoir compléter mon secondaire V.
Donc, aussi pendant la période de mes cours et pour certains élèves, je suis devenu un
preneur de notes pour aider ceux qui étaient sourds/muets.
Avec ce travail je ne percevais pas le vrai montant pour être rémunérer, je recevais très peu
d’argent parce que je ne possédais aucun certificat et ni de diplôme.
40
En raison que j’étais tellement concentré à travailler parce que je voulais réussir, suite à tout
ceci, je n’ai jamais vraiment continué mes études.
Encore aujourd’hui principalement c’est ce qui m’a empêché durant toutes ces années de
ma vie de poursuivre mes buts, mes projets.
De plus, je ne parle pas et je ne comprends pas l’anglais et tous les livres des cours étaient
avec des termes anglais et pourtant les cours étaient en français.
Alors j’ai dû étudie très fort (ruché).
J'ai été chez le cousin de Patrick Carpartier, le coureur automobile si avais des photos de
mariage de lui quelques places dans le salon.
J'ai mangé un Noël dans le salon, avec une partie de sa famille.
Et j'ai sauvé sa vie en allant a forum un gang ont voulu attaqué son cousin et j'ai fait mon
Bruce Lee et nous avons pris un taxi et au retour de la maison. Nous avons ri, il a fait venir
du blanc et son chimisme et trois putes, un gros party pour me remercie. Car je suis
intervenue à temps qui mon dit, avec coups pieds et mes points.
Il avait été à l’étude avec moi en informatique et me louer une chambre quelques mois, le
temps de finir mes études à Institut Demers, j'ai repris ma section.
Il avait des pots de chips rouge Prigel, pleins d'argent enroulé et un chimiste plus deux
finissants de l’institut Demers. Je savais ou il les cachait et j'aurais peu partir facile avec
bien des pots, mais je suis une personne honnête.
Le patriarche son surnom * Sylvain son vrai nom et me disais quand ma famille viens
pourrais-tu prendre une marche. Je l’avais aussi connu comme vendeur quand j’étais portier
à la différence. Un club au coin de la rue Alexandre et St-Catherine, au club la Différence,
propriétaire par le grand François abattu quelques années plus tard, retrouvé dans le coffre
de sa valise.
- En 1999, vers l'âge de mes 37 ans
Une amie à François Massicote qui me trouvait son goût m'offre une chambre sur la
rue Hiberna au 856, elle se nomme Nancy Comtois. Je dors dans le salon et fonce pour
me repartir une entreprise, au nom Images3D encore et Xp2003.
Elle demeure dans une C.O.O.P. Quelques mois plus tard, cela tombe en tutelle et doit
passer dans le journal de Montréal, le journaliste de Radio-Canada viens et films les
cadenas sur les portes. Les locataires doivent partir. Saisies par les banques, manque de
gestionnaire, etc. Tutelle. Je me retrouve dans la rue avec aucun revenu, car le bail n'était
pas à mon nom et je n'avais pas de droit comme locataire, j'étais un chambreur. J'ai envoyé
des tonnes de lettres à mon gouvernement et retourné à l'école, sans avoir un logement.
* Nancy Comtois a resté mon amie, sauf chacun a fait son chemin, elle a eu un mari décédé
et enfants aussi et nous sommes toujours resté en contacts, ma meilleure chum-mie, Mars
2014.
Quelques mois plus tard je par mon entreprise Images3D, avec François M, pas le comédien
un élève de l'institut Demers et il sort avec ma sœur et je vais déménager avec mon nouveau
associer sur l’Île St-Thérèse à St-Jean sur Richelieu et en trois semaines nous avions pleins
de contrat.
Sauf je me brise la main en mille morceaux avec 11 vis à vie, dû au fait que j'ai frappé le
mur. Car j'ai regardé dans compte de banque pour acheter des produits et il avait tout prix.
Il était chez ma sœur, soul je ne savais que c'était un irresponsable et un alcoolique au
dernier degré et il a vidé le compte de banque de ma sœur.
De rage je frappe dans un mur de brique et j'ai fait éclater pour la vie ma main droite.
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Je rencontre dans mon malheur la Postière, nous tombons amoureux et j'allais en tourner
avec elle, faire la poste en automobile sur l'île St-Thérèse. On a parlé d'amour, de mariage,
de rêveries ensembles. Elle me demande d'aller vivre avec, je dis OK et je mets l'entreprise
de côté du au faits de ma main.
Elle connaît le François M, et elle invite chez elle. Il était des amis depuis des années, car
il est né presque que sur l'île lui. Un vol ce produit, cela tombe sur moi et doit partir, je vais
vivre chez ma sœur temporaire. Deux mois après j’apprends que ces lui qui est entrée il
avait les clés et il a pris des objets ou de quoi.
Ma sœur m’a dit qui lui a tout confié et il voulait reprendre avec et lui a dit mille excuses.
Ma sœur a dit non et je me suis trouvé un logement et
J'ai perdu mon amour, encore par la faute du destin. Pas chanceux.
- En 1999,
Maintenant pour continuer, j’ai décidé en 1999 de poursuivre mes buts et j’ai démarrer une
petite entreprise.
Il y avait un élève qui suivait les mêmes cours que moi, donc mutuellement nous nous
sommes aidés pour la réussite de notre projet.
Ce dit élève m’invite à partir un local chez lui et donc n’ayant pas de logement, j’ai décidé
d’aller demeurer chez lui et aussi pour démarrer l’entreprise.
Suite à ceci, il m’est arrivé un incident chez lui et je me suis brisé la main droite.
J’ai dû subir une chirurgie c'est-à-dire une opération très délicate et les médecins m’ont
installé des vises et des plaques pour retenir la main à mon poignet et les médecins
m’informent que ces plaques et ces visses, je les aurai pour la vie.
Pourtant c’était vraiment un accident bête, je suis tombé du toit de la maison en la rénovant.
Faisant suite à ceci, j’ai subi 3 chirurgies soit des opérations, consécutivement les unes à la
suite des autres. Depuis j’ai la main droite avec des coapteurs partout.
Le médecin m’a enlevé le radius et métastases. Cela a réduit mes capacités énormément
à presque ne plus rien faire avec cette main.
Ce fut ainsi ce que j’ai vécu, cela a été un 6 mois d’enfer surtout en vivant à l’extérieur de
Montréal... C’est à dire sur île Sainte-Thérèse.
Il a fallu de tout réapprendre exemple même à me laver avec juste une main.
Ce qui n’est pas évident pour aller faire même mes besoins.
Voici un exemple, en raison où je demeurais, il y avait un poêle à bois et pour me chauffer
fallait couper du bois et seulement avec une main et avec une hache ce qui n’est pas évident.
En plus, je suis un gars ville cela disons, qu’il n’y avait rien de facile à vivre pour moi.
Donc durant cette période, il a fallu tout réapprendre et en ayant pas le choix, comme
système de chauffage c’était avec un genre de poêle c’est à dire une truie pour me chauffer
c’était pourtant une question de temps pour me trouver un autre logement mais les
démarches ont été autrement.
Encore une autre fois, je perdais tout, j’étais devenu comme un peu handicapé d’une main
et je me suis retrouvé chez une amie à Pointe St-Charles et qui m’a loué une chambre dans
son logement pour me dépanner, c’était un secteur que je ne connaissais pas mais je n’avais
pas le choix en raison que j’étais sans travail, sans le sou et un peu amoché avec ma santé
donc pas le choix de demeurer chez elle.
Je me retrouve avec un dos refait, une dichotomie, une main droite refaite, avec 7 vis à vie.
Je suis sans revenu et en passant dans les journaux Montréal matin et LCN
Je me mets membre dans pleins d’organismes, comme Le R.I.L, Le C.E.P.A.S, R.E.S.O,
Je me trouve un logement dernier recours, sur la rue 2745 Wellington, durée jusqu’à 6 mois,
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Je suis subventionné à 25 % pour-cent du revenu, je paye 65 dollars pour un trois pièces
et demie par mois, car je n'avais pas le droit en rien, car out mes papiers était dans trop
d’organismes du à mes besoins de santé, mon dos et ma main, plus Arthrose sévère
diagnostiqué et j'attendais la décision du tribunal, pour voir quoi faire avec ma situation de
survie, ma vie et j'aillais à l'école avec l’organisme le R.E.S.O, plus j'allais manger dans des
banques alimentaires La maison du partage Youville.
Comme revenu en 2009 j'ai fait pour vivre dans mon année 3349.00 environ.
De plus je commence des saignements anaux, que j'ai endurés pendant deux ans.
Mon aide au logement a fini, je me retrouve dans la rue, mais Le propriétaire un ancien
policier signe un papier, comme quoi je suis un locataire propre, calme et bon payeur et j'ai
eu 1 an de plus...
Je vais manger au toit rouge, église St-Charles, À la maison du partage Youville, pour les
pauvres.
Une dame de classe a la MPY, Mme Johanne me dit : on ne veut pas savoir ta vie, ont veux
que tu la continue.
Je passe dans les journaux et Marguerite Blais la députer et son équipe, me trouve un HLM,
au 2745 rue Châteauguay, dans une seule pièce bourrée de coquerelles. Il ramasse avec
des plates, J'ai tout filmé, j'ai plus de 32 vidéos. Avec une tonne de plaintes entre locataires
un enfer de vie de B.S.
Les exterminateurs sont venus 62 fois, faire tous les logements en 3 ans.
J'ai tout gardé les papiers et preuves...
J'ai vécu dans ce logement avec mon chat, Boule, avec des voisins de problèmes des
vendeurs de crack, la police est venue 17 fois.
Je commence à saigné de plus en plus, dans mon anus.
Je mets cela sur la faute des hémorroïdes, car ma mère m’a déjà dit que mon père avait été
opérer pour cela. Met non j'ai eu tumeur Colorectal et doit aller me faire opérer d'urgence.
- En 2000,
Je repars avec mes projets et j’ai rebâti ma P.M.E, j’étais tout seul dans un coin de ma
chambre en octobre 2000.
Pour me dépanner, j’allais chercher de la nourriture soit du manger dans une église, pour
pouvoir m’acheter un vieil ordinateur et pour bâtir un site et pour promouvoir mes services
d’informaticien et de concepteur et de nouveau, je prends des cours au Réso (ressources
économique du sud-ouest), et forme même des gens gratuit pendant deux semaines pour
leurs montrer des cours en informatique, j’ai monté un plan d’affaires et j’ai été voir un
imprimeur pour faire un livre de présentoir de mes services, j’ai fait toutes les démarches
possibles pour réussir ce projet. Pour ouvrir un site dans le secteur de la santé avec des
services de caméra en direct.
On m’a informé après 6 mois que le gouvernement ne pourra pas m’aider car je n’ai aucune
mise de fond.
Et encore une autre fois, j’ai retourné à l’école et avec l’aide du RÉSO.
Un autre problème est survenu, des problèmes de santé, mon dos ne tolère absolument
rien et les douleurs étaient devenues atroces, j’ai enduré et je ne pouvais pas rester assis
trop longtemps ou debout, je n’avais aucune posture.
Tout mon dos est bloqué et encore une fois et je me suis rendue encore à l’hôpital pour des
traitements, et cela étaient quatre fois par semaine.
43
Après, je suis allé de l’avant dans des organismes pour essayer de trouver un logement de
dernier recours.
J’ai préparé une marche de Montréal à Québec à pied.
Je manifestais seul et il y avait même des journalismes du Journal de Montréal qui sont
venus voir ma situation.
Ils ont rédigé le 21 novembre toute mon histoire dans le journal de Montréal.
Car l’endroit où j’habitais en plus c’était des logements qui étaient en tutelle.
Avec tout ceci, de plus en plus, je dormais très peu, environ 2 heures par jour en moyenne
et si je faisais tout ceci c’était pour tout apprendre de ce qu’était de l'informatique, et tout ça,
sans comprendre l’anglais, ce qui n’était pas évident parce que toutes les infos étaient en
anglais.
Pourtant je me disais que rien n’était impossible et autant la limite que tu te donnes. Et
pourtant tout le monde, me disait, j’étais toujours collé ou pris sur mon écran d’ordinateur
mais c’était et c’est encore ma vie. Mais la principale raison, c’est que je veux réussir à
relever mon défi. C'est-à-dire d’avoir, de sentir et de réussir mon entreprise pour mieux vivre.
- 2001,
Me voici rendu en 2001, on m’a trouvé un logement dernier recours et j’ai signé un bail, pour
moi seul.
Mais on m’a avisé que je n’aurais plus de subvention en 2002 pour moi et je devrais me
retrouver un autre logement, et encore je devais me remettre une autre fois sur une liste
d'attente et de plus les informations mentionnées sur leur document ou leur papier, n’avait
pas la bonne année d’inscrite pour le déménagement durant le temps que j’avais ce dit
logement, mon proprio m’a signé une lettre en disant que j’étais un locataire exemplaire
calme et bon payeur.
Je refais encore toutes les démarches et encore on me refuse de me payer mon
déménagement, on me laisse dans la rue sans autre logement.
Je dois vendre ma laveuse et sécheuse durement gagné parce que les gens qui s’occupent
de mon dossier pour me trouver le logement m’informe qu’il n’y a pas de prises pour mes 2
appareils et si je veux un autre logement, il y en a pas d’autre et car vivant seul.
J’ai seulement le droit d’avoir 1 appartement et demi et en surplus pas de prise pour mes
appareils de laveuse et sécheuse dans ce petit logement. Donc pas le choix d’accepter
pourtant je devrai me rendre à l’extérieur soit dans une buanderie pour mon lavage ce qui
occasionne des frais en surplus.
- 2002,
J’ai subi un accident ! Myocarde sévère, * 130 de battements à la seconde, je me suis rendu
en ambulance à l’hôpital de Verdun avec rapport à l'appui des ambulanciers et me garde
sur place.
Je n’étais plus capable de travailler, j’ai passé des mois à la recherche de logement
subventionné !
On m’a trouvé un logement qui était rempli de coquerelles même les gars de la ville étaient
dans le logement à mon arrivée avec les gars du déménagement.
Ils m’ont dit de ne pas penser d’ouvrir mes boîtes En plus je n’avais même pas de bol de
toilette, ni d’électricité. J’ai des preuves à l’appui.
Tout ceci, je l’ai vécu avec une main, un dos mal en point et une crise de coeur en surplus.
Un animal aurait été mieux traité. J’ai dû dormir durant 1 mois dans le milieu de ma cuisine
durant la période des rénovations et durant 3 semaines pour avoir de l’électricité.
Donc un délai de plus 5 mois pour remonter et m’installer un simple 2.5 pièces.
44
Aussi, une fois par mois je marche en tout 4 heures pour aller faire mon lavage parce que
la buanderie était assez loin de mon logement et avec le linge dans un sac vert pour moi je
me sentais honteux d’aller à cet endroit et en plus d’apporter tout cela de la main gauche
car je n’avais pas trop de force dans la main droite en raison de mes visses qui retienne
mon pouce et spécialement l'hiver, ce n’était pas évident. (Car ma main gèle rapidement).
Aussi, je me battais avec des avocats durant 4 ans pour avoir un montant de l’aide sociale
en raison je tiens à mon entreprise de tout mon coeur, c’est le seul souffle de ma vie qui me
reste. L’aide sociale veut me faire signer des documents qui disaient qu’ils me prêtaient un
montant d’argent en raison que mon entreprise ne faisait pas d’argent !
Pourtant je ne vivais pas avec grande chose, je mangeais de la nourriture que j’allais
chercher dans les églises et je prenais le peu qui me restait pour me payer de l’encre pour
l’imprimeur pour mes des cartes affaires et je faisais faire des chandails de promotions et
aussi de plus je devais payer mon serveur de site Internet et tout le reste qui suit.
- 2003,
On me renouvelle mon bail en 2003 en disant eux aussi que j’étais un locataire exemplaire,
je ne faisais jamais de bruit et j’étais super propre.
- 2004,
Au mois de Mars j’ai entré à l’hôpital d’urgence avec l’ambulance, le nerf du cou est
débarqué (Nerf de Arnold coincé).
Là, je commence à être tanner.
Le dos, la main, le coeur et le cou et en plus des rages hémorroïdes assez souvent.
J’attendais une opération.
Je ne peux plus travailler normalement, même s’il me reste une tête.
On me dit de prendre du Dilaudide Morphine aux 6hrs pour enlever mes maux de cou, de
dos et pour ma main droite.
Au mois de Mai 2004, j’ai gagné contre le gouvernement avec des papiers signés d’un juge,
ainsi que 2 avocats et des médecins : Il reconnaissait comme quoi je suis invalidité à vie !
A la condition que les 4 ans que l’on vous doit d’oublier ça.
Mon avocat m’a dit prend ça sinon il va falloir se battre encore un autre 2ans.
Ce n’était pas drôle se faire dire ça, quand on a 41ans.
Entre temps, je ne lâchais pas le vouloir de m’en sortir et j’avais envoyé des milliers de
lettres que j’avais gardé. Je les ai postés aux gouvernements ! Pour recevoir de l’aide pour
le montant de mes taxes et de recevoir l’aide pour des subventions. Parce que tout ce que
j’avais reçu, cela avait été une lettre d’un monsieur qui disait que j’avais eu droit à 2 ans de
leur aide et que leur aide venait de se terminer (soit de finir.)
Jamais mais Jamais je n’avais reçu d’autre lettre pour me dire que j’avais droit à ces services.
Même pas un appel téléphonique pour m’avertir que ce service existait.
En plus j’avais des comptes pour des appels de longue distance incroyable pour avoir
essayé de trouver des services. Je me suis dit OK, donc j’ai fait mes comptes moi-même
personnellement.
Donc en ayant pas d'argent pour payer un comptable. Je me suis bâti un porte-folio, avec
des lettres de références et j’ai fait la gestion sur 2 ans.
J’ai décidé donc de faire parvenir soit de leur envoyer encore des lettres à ce fameux
gouvernement comme quoi je voulais réussir. Avec une mention, disons une certaine
menace ridicule de ma part. Comme quoi j’avais mentionné que si je ne recevais pas d’aide,
je m'immolerais devant eux et j’avais écrit que j'étais très sérieux.
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* Sur ce, la police est venue chez moi pour m’arrêter et ils m’ont dit pourtant tu me sembles
une personne responsable et c’est très propre chez toi Donc on m’a donné un avertissement
et de ne plus envoyé ce genre de lettre. Je leur dis, OK aussitôt qu'ils ont quitté, J’ai retourné
la lettre.
Encore une autre fois, la police est revenue, ils m’ont arrêté comme un voleur et en surplus
avec une ambulance, ils m’ont attaché de partout ensuite ils m’ont envoyé à Pinel pour subir
un examen. Ils m’ont gardé quelques heures, le temps¸ de rencontrer plusieurs personnes
et des médecins.
On m’a relâché en me disant ?
Toi, tu ne veux pas mourir, tu as juste crié avec un grand A pour avoir de l’aide.
Suite à ceci durant les mois de juin, juillet et août, sept et oct. 2004, j’ai reçu des traitements
à hôpital locomoteur soit pour ma main et mon dos, et de la physio pour voir si cela pouvait
revenir normalement au mois de novembre 2004, je n’avais même pas une seule tranche
de pain dans mon frigo, ce qui me restait c’était tout juste mon courage.
Ensuite pour compléter ma situation, le fisc du gouvernement a fait une enquête sur moi
pour l’impôt et la gestion de mon entreprise pour l’année 2003.
Donc, sans m’avertir de rien, ils viennent sonner chez moi, j’étais couché dans mon lit et ils
me disent, on vient vérifier tes dossiers et montre nous ta gestion de ton entreprise.
C’est environ de cette façon le déroulement, et je me suis senti tellement mal de les voir
agir ainsi à mon égard !
Je suis devenu tellement angoissé que cela m’a provoqué des douleurs tellement intensives
et bloqué dans le cou et ainsi pendant 3 jours au lit avec des médicaments.
Peut- être, que je m’étais trompé dans mes comptes, mais je n’ai jamais été pas un voleur.
Et ces personnes m’ont donné un ultimatum pour leur remettre mes comptes, mes livres
soit mes chiffres et j’avais jusqu'au 6 décembre 2004, pour tout leur remettre mes comptes.
En raison que par chance, j’avais tout gardé soit mes reçus, les lettres, etc.
Mais j’avais besoin de connaître et de savoir mes droits avant que ce gouvernement à
écrasé mes droits humain dans le mur. Pourtant j’avais juste un chat et il y avait reçu des
plaintes à mon égard !
Je me disais que pendant que des riches se promenaient en bateau et qui volaient leurs
gouvernements.
Mais saviez-vous comment je me sentais parce que lorsque j’entendais dire aux nouvelles
que le gouvernement avait une dette de plusieurs millions de dollars et qu’ils devaient aussi
aider Irak/Iran.
Et aussi lorsque que le gouvernement du Canada disait de laisser faire car que c’est vrai
que l’on aurait dû vous aider auparavant.
Entendre ces commentaires du gouvernement quand moi, je suis assez malade et pauvre
et que tous on s’acharne sur moi comme plusieurs le font comme ça.
* Serait-ce possible de savoir s’il y aurait quelqu’un dans ce monde qui pourrait m’aider
S.V.P. en ayant lu ceci soit (ce qui est écrit ci-haut mentionné). Parce que je ne sais plus
vraiment où aller chercher de l’aide pour apporter un petit baume ou un petit souffle à ma
vie. Je n’ai même pas eu le droit de recevoir un panier Noël en raison que cette année, les
groupes communautaires ont favorisés les familles avant les autres donc en vivant seul, je
n’y avait pas droit.
En plus, pour vous informer lorsque je veux me déplacer je ne peux pas utiliser le métro et
je ne peux pas même traverser des ponts. Je dois me permettre de prendre seulement
l’autobus parce que j’ai un problème de vertige et ce qui me provoque que je viens très
étourdie, c’est à dire blackout total, ce qui m’occasionne beaucoup de problèmes à mes
46
déplacements.
Aussi en plus, je pense ou je doute que cela peut être occasionné par mes problèmes de
dos ou mon cou qui pourrait occasionner ces séquelles à mon vertige.
En ajout, je ne peux plus me permettre de conduire en raison des problèmes que (j’ai subi
à ma main droite, soit qu’il y a des vises et des plaques à vie en dessous la peau et ce qui
relie mon poignet à ma main aussi j’ai des risques ou à une fragilité pour faire une crise de
coeur.)
Avec tout ceci, je ne peux pas vraiment travailler parce que pour un employeur ma santé
devient un trop grand risque pour effectuer un travail dans une entreprise.
Donc pour le gouvernement, j’aurais fait des erreurs dans mes chiffres et c’est un montant
maximum de (six mille dollars) pour des taxes et des frais divers et ce dit gouvernement me
demande de les rembourser. Pourtant je ne me sens pas du tout fautif ou en faute !
Car depuis le début, je leur faisais parvenir mes rapports et mes papiers tel que convenu et
demandé autant les montant des taxes comme tout bon entrepreneur.
Mais en raison (soit faute argent), je faisais de mon mieux avec la connaissance que j’avais
pour l’envoi de mes comptes de gestion et je leur faisais parvenir ces rapports
trimestriellement soit à chaque (3 mois) avec tous mes chiffres et je recevais une réponse
du gouvernement m’informant qu’il faisait les corrections à mon dossier et tout ceci était
ainsi depuis l’ouverture de l’entreprise en octobre 2000.
Je leur faisais confiance parce qu’ils me confirmaient qu’ils effectuaient les corrections
appropriées à mes chiffres et à mon dossier et que s’ils voyaient des erreurs, ils
effectueraient les corrections concernées et ils m’enlèveraient lesdites corrections pour mon
remboursement ou à ma réclamation.
Par la suite je communique et je parle avec 2 personnes assez régulièrement d’où pour le
moment je vais taire leurs noms, par respect.
Alors je pensais et je croyais que tout mon dossier était mis à jour et que le tout était correct.
Mais j’ai eu une surprise le 28 novembre, les représentants du fisc sont venus chez moi
pour me réclamer les montants des taxes accumulées à mon dossier et ils m’informent que
mes factures et mes chiffres ne balancent pas et ils me démontrent qu’il y a trop d’entrées
de chiffres ici et pas assez à d’autres endroits soit d’autres sections qui furent enregistrés à
mon dossier et ils m’informent que je dois un montant de (six mille dollars).
De ce fait, en raison de ma santé, j’ai beaucoup de difficultés à marcher et mon état de
santé est en équilibre avec la température donc il y des journées que cela est plus difficile
que d’autres pour me déplacer !
Suite à mon état de santé, une personne ressource d’organisme communautaire ; de la
Maison Youville, m’a fait rencontrer un de leur travailleur social parce cet organisme me
connaissance depuis plusieurs années car je vais chercher ma bouffe, (c'est-à-dire ma
nourriture) à cet endroit.
De ce fait, en réponse au gouvernement, ils m’ont dit que j’étais bien organisé car j’avais
gardé toutes mes factures de mon entreprise depuis 5 ans et je les avais bien classés dans
un système d’enveloppes par enveloppes.
Mais à bien y penser que c’est eux, le gouvernement qui m’ont organisé ! Et s’il y a eu des
fautes ou des erreurs de ma part !
C’est certain, je ferai tout pour les rembourser.
47
- 2005,
Mais je pense que les personnes du gouvernement auraient dû m’aider bien avant et
autrement, que de cette manière cavalière qu’ils m’ont fait subir.
C’est à dire avec. * UNE attente qui avait été émise pour m’informer que j'ai plus dettes.
Ils m’informent que si je veux contester de me défendre et de demander l’aide d’un avocat.
Pour un certain temps, le dossier a été mis sur une tablette jusqu’à la date du mois de
décembre.
Donc en 2005, un nouveau calcul soit pour la dette et des nouvelles informations donc pour
les 5ans de l’entreprise de multimédia Marc Cantin qui était de (quatre mille six cent dollars)
et il ne sera pas réclamé soit avec la note suivante qui a été ajouté comme ceci : m’informant
autant que le client n’aura pas un emploi de (trente dollars) et plus.
Pour moi, c’est un combat qui a été terminé pour le moment mais pour l’année 2005.
J’ai vécu dans un logement de la ville de Montréal de 2003 à 2008, j’ai eu 37 visites
d’exterminateurs à coquerelles avec des preuves de vidéos, des témoins etc.
La vie pour moi, je la trouve très difficile comme on peut dire rien n’est facile et cette vie très
dure pour moi, comme on peut dire, je n`ai pas de chance et comme on dit, il y en n’aura
pas de facile ….
Vers mes 46/ 51 ans
Dans un mon un demie, logement remplis de coquerelles encore une fois, je pars
marccantin.com. Je mange très peu, faute de moyen et je recommence en me tenir en forme
dans mon salon. J'ai mal partout et je me dis même si ton dos, ta main, du au vis ce pli mal.
Je fais 10 Km par jour sur une bicyclette stationnaire dans mon salon et 1000 redressements
assis et 1000 push-up par jours, et seul. Cela n’est pas évident, car ma santé joue au yo-yo
avec moi, j'ai des maux à mon corps chaque, et presque jamais a même place. De plus j'ai
des maux de têtes terribles. Je dois prendre des médicaments a vie et je refuse.
Je manque de savoir, mais j'ai la base et je fonce le mieux comme que je peux.
Entre-temps avec les voisins incapables de me concentrer et je saigne comme un fou, le
bol est plein, mais je ne me plais pas et dort très peu, car je veux réussir.
Cela dure 3 ans que je vais s'être en hémorragie et ma glande thyroïde, comme à aller très
mal. Je dois reprendre des médicaments à vie. Je refuse.
Je remets tous mes opérations et mes combats pour ma santé, pour me mettre dans des
organismes, encore une fois et retourne encore à l'école. La santé me lâche trop mal de
SOS et ma main écris mal et pas vite.
Je suis des cours aux R.E.S.O pour me bâtir ma PME SANTÉ.com en 2008
J'ai fait tous les cours et le jour de ma promo, la dame me dit tu sens le pot, on ne t'accepte
pas, sort de la salle s.v.p., elle me dite. J'ai dit le pot je vis dans un demi et la senteur entre
de partout, ce n'est pas ma faute et ces juste mon manteau. Elle regarde les fautes de
présentation que j'avais fait faire de toute qualité pour mon présentoir de services, chez un
vrai imprimeur, Et elle me dite tout va, très bien. Elle me pose la question, avez-vous le 10 %
en somme, car je voulais partir des tableaux électroniques et un site au nom de santé.com
et Images3D, depuis 1998. J'ai dit non, elle me dit je ne peux rien faire pour vous. J'ai pris
mes choses et je suis sortie du bureau, avec ma peine et je me disais dans ma tête, avoir
su je n’aurais pas fait six mois de cours, perte de temps...
Je fi quelques rencontres de femmes sur l'internet, quatre en huit ans.
Je ne donne pas de rendez-vous jamais en personne.
48
Un jour après cinq mois de communication juste par MSN, une superbe belle femme au
nom Suzanne L’abèque vivant à Drummondville, désir veux ne me voir en personne, j'ai dit
OK et cela a marché toute suite en se voyant, le courant passe.
Je vis avec mon chat sept ans, ce mon ami que je traîne part tout avec moi et je renfonce
dans mes projets et je lui à Suzanne L, j'ai des saignements anaux souvent et des douleurs
à la main et mon dos et des cauchemars, mais je ne suis pas violent, juste un peu sec des
fois et je me corrige avec le temps, car la santé me fait apprécier le moment présent.
Elle me dite cela ne me fait rien tu me fais du bien, être avec toi et me visite durant quelques
mois. Après six mois de fréquentation, elle me dit viens vivre avec moi tu fais du bien à mes
rires. Elle me dite je vis a Drummondville, j'ai un camion, j'habite dans un énorme logement,
juste à côté de l'hôpital et je paye part cher mon logement.
Elle me dite tu seras plus tranquille, car tes voisins sont souvent sur les partys.
Mon fils habite au sous-sol et est en informatique et mon frère aussi.
Elle rajoute, mon mari vie ailleurs, mais il vient voir son fils des fois.
Car il travaille ensemble et prend sa douche ici, des fois, mais ne mange pas ici.
J'y pense car je dois faire tuer mon chat, que j'ai depuis des années et j'y pense fortement
avec le cœur qui arrache mes sentiments, pour mon animal. Mes ces mes santés ou mon
chat, voilà la question et je ne suis pas en contact avec personne
Elle me répète durant deux mois, elle venait me voir tous les fin semaines, je ne veux pas
de chat chez moi et tu pourras récupérer plus vite si tu fais opérer, je demeure à 5 min de
l'hôpital et je t'aime. Le mot magique et je quitte Montréal et fait tuer mon chat, le cœur mon
arraché seul et en silence, durant des mois et des mois et encore aujourd'hui, car il me
fessait du bien dans mes moments, de silence et de solitude.
Aussi bien de pas demeurer seul pour le moment, car ma santé me fait peur et je suis faible
et pleur pour rien, mais j'ai mal partout au os. Mon trou pet brûle l'enfer, en hémorragie cinq
chaque jour. J'endure et je m'installe chez elle et durant le jour quand elle travaillait je
bâtissais mon site Web, sur son ordinateur seul dans un petit salon et elle arrivait et la salle
de bain et mes jeans étaient pleins de sang, elle capote et cela fi des discutions.
J'ai tout filmé le bol de toilettes pleines rouges partout, dans douche etc.
Je passe une boite de serviette double épaisseur chaque et Suzanne va mais acheter au
son retour de son travail à la cage aux sports. Pas évident et surtout que je ne suis pas
comme chez moi. Je trouve le moyen de faire des push-ups dans sa chambre et
recommence mes milles push-up aux deux jours, car ma santé ne va pas, pour libérer mes
douleurs.
Même si j'ai mal, je développement de l’endorphine, la glande du bien-être et je compose
mes poèmes durant son travail et bâti ma PME avec l'aide de son frère, un peu de savoir
avec le logiciel de programmation Html.
J’annule mon fin bail par la suite, avec avis médicale du a mes opérations urgente a venir
Signé par un juge de cours, comme quoi je suis invalide a vie, pleins de combats que je dois
changer d'adresse et je perds pleins de droits, comme nouveau citoyen d'une nouvelle ville.
Je ne savais pas cela et du attendre mon tour en bas de la liste, pour mes causes.
La vie de Office Municipal annuelle mon bail après quelques mois de combats avec eux et
preuves de santé, signé par des juges de cour supérieur.
* Je déménage tous mes choses qui restaient avec des amis et sa famille de Suzanne, de
Montréal à Drummondville. J'ai un frigo complètement neuf qu’une amie m’avait payé en
échange de services d'un site Web, depuis un mois.
49
J'ai un lit extra King, neuf que j'avais acheté et mon ordinateur plus mon linge et les
vaisselles, plus une énorme télé, et quelques boites de souvenirs, papiers de mes combats,
et réussite. En arrivant son mari à commencer à jouer à la chaise musicale, avec moi et j'ai
perdu.
Car il a mis le conflit dans notre relation. Il venait prendre sa douche et mangeais chaque
souper presque à la table.
Je me senti très mal et j'étais en plus avec des hémorragies, cela passait le sang entraver
mes Jeans, en mangent à la table et me sentais très mal.
De plus une de mes Ex, une femme très jalouse de tout et une Voleuse, elle vend des
cigarettes à la tonne, a la vanne et est sur l'aide social et s'en fou... Avais commencé à la
rendre jalouse. Suzanne et Linda, la Bs qui des cigarettes illégales depuis de longues
années et la police le sais, fond des affaires ensembles, et son Ex-mari à Suzanne deviens
un runner, à 950 la caisse et trois vanne minimum par semaine...
Preuve deux fois descende des polices et elle paye son amende, avec son chèque de B.S
et voyage, chalet, belle vie quoi et fait chier les autres souvent, des plaintes de polices
contre elle. La Linda s'en sort tout temps, et cela a fait un bug a notre relation, avec Suzanne,
et ma demande de partir. Car un son mari est plus présent dans sa vie et Linda me veux
prêt d'elle, à Montréal et fait tout pour cela, et de plus je me mêle absolument de rien, car
avec ma santé, je ne peux pas trop marcher et ma main et dos et mes tests, plus mes
traitements en physio. Alors je me retrouve à Montréal, sans plus rien, plus de linge, plus
d'avoir, une santé précaire et dans la rue.
Me laissant l'après-midi pour partir, j'ai appelé ma mère pour lui conté ma situation, elle est
venue me chercher avec André son mari, que je n'avais pas communiqué avec depuis des
années. Ma mère appel la Suzanne, elle dite tu es une femme sans cœur, qui ne pense
qu’a l'argent, je n’aurais même pas laissé un chien, comme cela dans la rue, mon fils veut
un peu son linge, s.v.p. Quelques semaines après j'ai eu du rechange, car ma mère restait
à St-Jean sur Richelieu, une nouvelle ville et sa famille ont tout gardé mes choses neuves
et mes souvenirs. Et du tout recommencer et j'ai fait tuer mon chat pour rien.
Aussitôt rendu chez ma mère, j'ai tombé en hémorragie j'ai été à l’hôpital.
On m’a gardé et opéré traitements majeurs, j'ai eu 19 polîtes et 24 points dans mon anus,
avec brûlement aux jambes, du aux douleurs endurer et frottement sur les draps.
J'ai dû vivre dans une petite chambre froide, à côté d'un congélateur, car ma mère ne
s’attendait pas que je resterais chez elle. Elle et son mari ont dû discuter, deux travailleurs
et moi seul durant le jour et sans un sou, comment il va faire, une tonne de question et le
spécialiste nous dit, 18 mois de suivi minium qui aura besoin.
Elle n’avait aucune place et je dormais avec des tonnes de serviettes sanitaires, elle me
lavait les fesses à 46 ans. Pour un homme, une personne cela joue avec l'orgueil et mon
humilité et doit avoir trois ans de suivis de tests. Le Gastro Chirurgien, un top Gastroentérologie réputé DC Gamache.
Je me mi à m'entrainer dans cette chambre froide, avec la porte fermé, ma mère criait
souvent ces quoi tu fais là. Je me défoule et je me donne des chances pour réussir, à guérir.
Je me mi à lire, tous les nouvelles lois des affaires, informatique et sur la nourriture.
Moi et ma mère ont commencé à écrire au gouvernent, nous avons envoyé plus de trois
cents lettres de demande d'aides, de tout genre pour ma santé, logement social, aides pour
vivre en argent, car je n'avais pas le droit au BS, etc.
50
Ma mère était secrétaire composais les lettres sur son lieu de travail, elle arrivait deux
heures plus tôt, 5 Am si son lieu de travail, pour envoyer mes demandes d'aides.
Vu que je n'avais pas de bail encore une fois et je n'étais un nouveau résident, je n'avais
aucuns droits. J'avais perdu mes droits pour la ville de Montréal et à la ville de St-Jean sur
Richelieu, les logements trop chère pour mon revenu temporaire, Je vivais avec un chèque
de dépannage de 231.00, où 345.00 par mois, que le gouvernement et payais ma survie,
ma bouffe, déplacement, gaz avec cela, pour vivre dans mon année, j'ai fait sur mon rapport
d’impôt en 2009, 3345.88 pour mon an complet, pas évident et dort sur un lit pneumatique
que je change aux dos mois, car je bouge trop, dû à mes douleurs,. Preuve Canadian Tire
et je dors à côté d'un congélateur qui part aux heures invariables et ma mère et son mari
qui ronflent comme des trains, dans leurs chambres et se lève très tôt chaque matin, 4 .00
Am, j’attends tout.
Sur cela je devais aussi tous mes frais médicaux, non rembourser et déplacement,
J'allais au deux semaines voire mon Chirurgien DC Gamache.
Et me dit un jour tu fais partie des chanceux, sort de mon bureau et bonne chance avec ta
vie.
Tout content j'ai pleuré de tout mon âme et disant merci, merci et ma mère, plus André le
mari de ma mère, attendais dans la salle d'attente et nous dit on va fêter cela au resto.
Marguerite Blais, la ministre me rejoint le soir de Noël et me dit j'ai un logement pour toi,
appel l’organisme le R.I.L. J'ai dit je connais et j'ai été visité trois logements.
J'ai rempli les formulaires et sept mois plus tard j'ai eu logement HML.
Je m'installe et je repeins avec André et des amis mon studio et je repars à mon
entrainement, encore une fois et repart ma PME encore une fois.
Je vais m'enregistrer et commence à bien aller, malgré mes maux de douleurs que j'endure
depuis des années. Je pars aller faire mon épicerie je reviens le plafond a tombé dans mon
studio, car il pleuvait fort...
J'ai enduré cela deux mois des gouttes qui pleuvait partout et dormais dans mon sofa lit
mouillé des jours. Car c'était devenu urgent, j'ai des vidéos et preuves de rendez-vous pour
réparation, le hic est que cela était durant une période de fête par la suite et du endurer
quatre mois de rénové pour rien, car il fallait refaire le toit et l’organisme le R.I.L attendais
par le gouvernement des subventions.
Ont ma donnée des listes pour me trouver un autre endroit, mais ce n'était que des
chambres, car je n'avais pas d'enfants et les logements subventionné étais rarement libre.
- J'écris à mon premier Ministre Charest. Pour avoir de l'aide une subvention
Il m'a envoyé la police par deux fois chez moi et du aller passer quelques heures chez
l’hôpital Douglas, relacer après quelques heures, car je ne suis pas violent aucunement et
veux juste réussir, pour être un peu fier.
- J'ai arrivé en ambulance attaché sur une civière en plus, les ambulanciers mon dit nous
n’avons pas le choix, c’est un ordre de politique.
Arrivé sur les lieux à Douglas vers l'heure du changement et du revoir trois intervenant et
deux psys. Ils ont appelé la police, pour dire que je n'étais pas un danger en lui et la société.
J'ai marché deux heures vers chez nous, sans manteau pleines hiver, avec ma santé
précaire, mes saignements encore, par moment.
51
- J'ai aussi un rapport qui dit le patient voulais juste de l'aides avec un grand A pour réussir.
Il n'a pas malice en lui, j'ai vue trois spécialistes en 6 heures et ils disent tous, il n'est pas
dangereux pour lui et les autres, il est calme et logique, sans danger pour lui-même et autrui.
Et j'ai gardé encore le silence, et j'ai passé des nuits pour composer et édité mon livre en
poésie et j'ai refait mon site Web, à neuf.
- En l’an 2009 Juillet, un jour je reçois un appel de Madame Linda, qui a su que je me
retrouvais vivre dans le même quartier. Elle me propose un énorme logement libre
immédiatement. Je lui dis je viens juste de signer mon nouveau bail la semaine passée.
Elle me dit tu n’es pas pénalisé si tu pars d'un Html pour une C.O.O.P
Demande à ton agent M.P de la S.O.C.A.M
* Il me répond viens me voir je t'arrange cela, avec une lettre de référence, très bon locataire
et très propre, bon payeur jamais en retard et fait un choix, pour plus grand, je parte d'un
petit studio a une pièce et demie énorme, avec balcon, car elle m’avait donné 5 minutes
pour réfléchir, car sa filleule était en trait de peindre le logement pour elle, et j'ai dit oui.
M.P de la S.O.C.A.M me fi une lettre pour donner a Linda comme quoi que je suis un
excellent payeur de loyer et très propre et très tranquille et je l'ai remise à la Gestion de
L'Éclipse de la C.O.O.P et je fie accepté, ces Linda la patronne.
Je suis une personne qui vis avec une santé précaire limité à vie, avec pleins de rendezvous à chaque mois presque chez des spécialistes, je lui donne copie de mon dossier
médical.
Je dis aussi que je suis un informaticien A1 diplômé et je ne sors pas.
Je n'ai jamais payé un loyer en retard, ou même un compte de Vidéotron, ils me disent que
je suis un excellent client, très bon payeur.
Elle me dit aussi tu dois avoir des assurances obligatoires, alors j’en prends une dans une
Caisse et la payerai chaque mois sur mon pauvre chèque que je reçois, une dépense de
plus C'est le prix d'avoir un logement plus grand ce que je me dit et tranquille, proche de
tout, mieux pour moi.
Elle me dite ma filleule viens vivre avec moi, elle risque de recevoir son chèque de bien-être
chez, par 3 mois j'ai été lui porter, elle me dit car elle travail en décor pour un sous-traitent
en Ontario depuis des années, pour faire des décors dans des restaurant, style Mc Donald,
j'ai je me suis tu et j'ai dit OK.
Elle a fait une boite à mail avec un numéro 7 cloué sur le mur, avec une simple clé, alors,
qui n'a pas de logement, elle a mi cela pour le local de réunion qui se trouve dans mon
bloque.
Elle m'offre un trois pièces et demi à 28 % de mon revenue et j'accepte, car un plus grand
logement me ferait du bien. J'arrive une inondation encore une fois, party dans la cour aux
heures du matin et va-carne aucun respect l’Été, mes dans mon logement la paix totale.
Je dors sur mon planché six mois, car je n'avais pas de lit et repeint avec une seule main
gauche, mon logement.
Problème majeur d’inondation sur trois étages, Linda m’accuse et voie que je n'ai pas
encore, mes assurances, alors elle accuse la dame en dessous de moi, une dame âgée et
par quelques mois plus elle demande que le chèque de son assurance soit au nom de Linda,
la dame lui fait et après et ont été a la cour de justice en ensemble, car elle n'avait pas le
droit encaisser ce chèque à son nom, cela aurais dû être fait au nom de la C.O.O.P.
52
Problème majeur de ce lieu, que j'endure car j'ai un logement subventionné et un autre ne
se trouve pas facile, de deux je n'ai aucun financement pour payer un déménageur, de trois
avec ma main et seul dans ma vie, je ne serais même pas capable de dévisser les pôles de
mes rideaux, je suis droitier et mon pouce, on m'a enlevé le radius et mise onze vis dans
mon poignet, car il été en milles miettes.
La responsable Linda quand je rentre il y une descendre et elle, plus GRC, grosse saisis de
cigarettes, je vais lui déposer mes chèques de 12 mois d'avance de mon loyer, car elle
l’exige dans le livre de règlement de la C.O.O.P de L'Éclipse, elle me dit aussi je veux un
dépôt de cents dollars, tu l’auras quand tu quitteras, et l'an prochaine je demande a tout
nouveau locataire cinq dollars, tu es chanceux. Je répondu merci et arranger son ordinateur
elle m’a donnée une cartouche et vingt dollars, je n’en voulais pas sauf qu'elle sait lever et
assez dans le Locke que chaque logement a presque, moi dans mon logement j'ai eu ou il
y a tant qu’à eau chaude. Elle me montre, ces pleins de boite brune remplis de cigarettes
jusqu'au plafond, full en vend 925 la caisse et elle me dit qu’elle fait de là depuis 10 ans.
Elle ces fait prendre la semaine passée et me tu es-tu au courant, bien j'ai entendu un peu
les dires. Alors elle m'explique que la police pense qu’elle est juste une petite vendeuse, et
me montre une amende qu’un autre nom va payer a sa place, un peu de 45 milles dollars !!!
Elle est sur l'aide social et met son argent sur un prête nom, son amie du bloque central et
autre.
J'ai dit OK je vais partir me demande arranger le F.A.X et l’imprimante, comme ça j'aurais
fait une participation en tant que membre, vue je ne peux pas faire des travaux avec ma
main.
Je fais une copie de son amende, car je ne lui fais aucunement pas, confiance, car je sais
qu’elle a fait du mal aux autres et depuis des années elle abuse du gouvernement et pleins
de voisins le savent et autres personnes.
* J'arrive dans mon salon, pas d'électricité, comme je ploque mon câble Vidéotron ma
donnée une date, sinon risque de payer pour des frais, comment je vais faire pour écouter
la télé, relaxer avec une lumière dans mon salon. Durant 9 mois cela a durée, car il a fallu
3 électriciens en divers moment pour trouver le problème, il a changé les ploques dans mur
et trouver des fils coupés dans l’allumeur et sa pris 1.00 heure pour neuf mois de misère et
de manque de jouissance de mes lieux.
–
Par la suite autre saisis chez elle deux que j'ai vue et j'ai pris mes distances, avec
tous les locataires, j'ai fait mon affaire.
–
Par la suite réunion des locataires, des 24 logement, divisé en trois édifices en forme
de u, à la prochaine réunion des locataires elle m'annonce comme nouveau locataire et vote
pour moi, pour que je sois vice-président, ou poste à côté d'elle, j'ai pensé la tête et un autre
a voter pour son autre chum, avec qui elle vend des manteau de chien et a boutique de
vente de produits animal. Ce fi marqué dans les livres des rencontres, par un comptable
comme témoin.
–
- Elle me demande de faire une copie d'aller faire une copie, d'un document ou c'est
indiqué un chèque au nom d'une locataire sa très bonne amie, comme tondre le gazon de
350.00$ environ et personne ne l'a vue tondre le gazon, jamais. Je lui demande c'est quoi
cela et elle ne le dit pas au gouvernement et me mêlé mes affaires. Je lui en n'ai plus jamais
reparlé, sauf que j'ai gardé une copie de la preuve, en cas.
–
Je lui présente mon ex Suzanne de la ville de Drummondville et elle en commencer
à faire la vente des cigarettes indiennes avec dans les deux villes, avec plusieurs autos,
presque tous les locataires voyaient un moment une auto blanche faire chaque jour, le Mardi
et à chaque premier du mois 3 transports full par jour.
53
Des allers-retours. Et par la suite elle s’achète un camion vanne de l'année, super beau
pour elle, et elle est sur le bien-être social en plus. J'ai filmé quelques preuves avec mon
cellulaire de loin de transactions, en cas. Car c’est un patriarche, qui veux tout contrôler, On
peut voir très bien les vidéos * 32 environ que j'ai, surtout que je mi connais en informatique,
je suis diplômé A1 Webmestre en 98.
–
Après j'ai de la moisissure dans salle de bain et mon locataire de mon palier aussi,
qui m’a dit dans un bonjour de solution. Ont ce plait je dois appeler a Québec pour avoir un
inspecteur qui part de Qc en personne pour réaliser les faits. Il prend rapports avec une
responsable nommée par Linda, sont venu voir dans mon logement et les autres logements.
Il a exigé avec un rapport, lettre de recommandation que cela soit traiter au plus vite. Dans
la semaine suivante j'ai eu deux peintres qui ont repeint, par dessous. Et cela n'a duré 4
mois propre et vert gris reviens, je dois acheter de mes poches des produits spéciaux pour
garder ce propre. En une dépense, pour mon budget.
–
Après, les sonnettes de la porte principal, ne marchent pas je dis cela au locataires
du deuxième que je rencontre au hasard, la dame âgée, elle me dit je suis obligé de laissé
une notre et la porte ne barre pas souvent, j'ai dit quoi ce n’est pas normal et tous me disent
ont les répares depuis des années, mais cela ne tiens pas.
–
Quand mon livreur de pharmacie vient pour livrer mes médicaments, ou pour recevoir
des lettres de mes médecins, mes spécialistes pour ma santé et opération, par exemple,
Purolator. Vue que la sonnette ne marche pas, la personne ne pour ouvrir la porte car des
fois elle barbe. Je lui demande poliment depuis 3 ans et je ne suis tanné et je me suis plait
a un avocat et cela traîne des mois, et redemande en pognant les nerfs dans ma voix, jamais
physiquement, je ne suis pas de nature violent et je lui laisse un message de rage sur le
répondeur de la gestion de la C.O.O.P. Pour laisser une preuve de mes dires et faits vécus.
–
Elle me rappelle et me dit je sais que tu dis pourquoi tu me film et je ne comprends
pas pourquoi tu me fais cela je t'ai eu un logement, oui mais tu as oublié me dire que tu
fourrais gouvernement. Je suis rendu à 52 ans et je veux la paix et une vie honnête. En plus
elle me dit je vends des manteaux de chien avec mon ex et cela me fait en rage en moi.
Je lui réponds et tu oses te promener avec ton chien pur race en plus, ou est ton respect
pour les animaux, aimerais ton chien finisse comme cela, c’est fait en Chine avec des chiens
battus, regarde sur You Tube, et j'ai plus reparlé de ce fait.
–
Elle a faite monter une piscine dans la cour, avec un super beau patio en bois fait par
un pro. Dans tout la rue, c'est juste nous qui avons une piscine wow, même pas les
condominiums dans coins. En plus autre un camion neuf presque, tu achètes un terrain à
Rougemont, ça roule ton affaire et je fais une plainte à mon Avocate que j'avais montré les
preuves, Et dit j'y pense, mais si je perds mon logement je vais où !
–
Dans la soirée Linda elle me rappel en pleurant j'ai dit excuse-moi et dit OK et je n’ai
pas porté plainte au suivi de mon avocate, et je ne l’ai plus rappelé durant un an, juste vue
à la réunion, prochaine des locataires que je l'ai vue seulement. Même pas assise depuis 5
minutes, un barrage éclate à gros poings entre deux locataires, réunion se termine et
remonte chez moi, la police est venue prendre les preuves et j'ai dit je n’ai rien vue, et ne
sont pas revenu me demander. Sauf que j'ai su que cela passerait en la cour de la justice
entre ces deux locataires.
–
Autre problème majeur chaque fine semaine presque en été, les partys commence
dans les piscines, 16 personnes des fois avec de la bière, baiser et un chien de la race
berger Allemand qui nage avec le monde. La nuit pleines bières qui flotte et pleins bains de
nuits presque nues, gros plaisir de tripe de q. Preuves en vidéo et certaine locataire ont
même appelé la police, à cause des cris que cela fessait et la musique.
54
–
La responsable la patronne Madame Linda elle part en voyage avec son chum qui
supposément ton le gazon, payé pour rien, ou elle va sur son terrain qu'elle sait acheter à
la ville de Rougemont, avec son frère et la fille de son frère, cousine.
–
Il a eu quelques décès de locataires qui était âgé, cela a fi des logements à louer,
elle fit enter sa filleule dans un logement, elle est demeurée deux ans ;
–
** Linda fait entrée son frère dans un autre logement qui un BMW de l'année et elle
me dit qui la payé cela en vendant sa maison, pour venir proche de moi, et en même temps
j'ai plusieurs transports d'auto différente pour faire mes livraisons de cigarettes, car l’auto
rouge est trop vue, par tous. Car la police il y a deux ans a fait une descente chez moi, et
doit faire mes affaires autrement.
–
** Linda me car il est malade, elle fi entré la fille a son frère dans un autre logement
sans que personne ne décide rien entre les locataires même si tu es membres. Alors quand
il y a des votes cela n'est pas juste, surtout qui ne n'aimes pas, car je suis sur les gardes et
prudent et ne parle qu’à mon voisin de palier des fois, au hasard des bonjours
–
Je fais très attention. Je me demande dans ma tête s’ils ont donné un dépôt de 500
dollars-t-elle que Linda a fait ajouter dans le livre de règlement, ils ont entrée deuxième
année après moi.
–
Elle a fait déménager un locataire qui était avec sa famille depuis des années, car un
enfant adulte a eu une naissance à venir avec sa blonde, et la famille sais séparer Linda lui
a eu un logement pour son fils dans la C.O.O.P et elle dit vous travailler payé le plein prix a
ses parents, qui n'ont pas eu le choix de changer de logement, autre lieu dans la C.O.O.P.
–
Linda avait un grand logement qu’elle pouvait louer une 6 pièce et demie, elle a fait
entrer une amie avec ces enfants, car il était locataire aux dessus d'elle et elle était tanné
du logement aussi, car il devait refaire au complet du a des réparations majeurs négligé par
les années.
–
Après quelques mois le toit se refait durant l'Été et j'appelle Linda après un sans
communication, j'ai dit que ma sécheuse marche mal, la chaleur est pas la même et me
répond tu n’es pas seul, j'ai fait refaire le toit et ils ont bouchés les trous, je vais voir ça plus
tard, j'ai dit merci et plus reparler de ce fait, et la fait rouler 2 heures pour une petite brasser,
pas le choix. Je ne peux pas mettre mon linge sur une corde à linge, avec ma main et mon
dos pas évident, pour moi.
–
Après l'hiver suivant les vents montés et ont débarque sur le mur de brique dehors le
clapet du ventilateur du poêle, car quand il vent il clape à répétition et ne peut dormir la
chambre est juste à côté, depuis 2 ans que j’endure ce fait. Et elle me dit ancien locataire,
le savais il reste en dessous toi, ces lui le responsable. Je cogne à la porte et me répond
une histoire qui a un conflit avec Linda et ne veux rien savoir et il ne vient même pas à la
réunion. Elle lui a envoyé une énorme lettre sur Facebook car il aurait abusé de la fille de
son frère avec de la boisson et il l’aura abusé et il me dit j'ai dû aller voir un avocat pour
faire enlever la lettre sur Facebook et avoir des excuses, cela a duré un an.
55
–
J'ai appelé Linda quelques mois plus tard, j'ai demandé qui fait ménage dans mon
bloque, elle me répond chacun des locataires, car je dis ces très mal propre et la porte
central ne barre pas. J'ai dit nous sommes six locataires, La locataire en bas de chez est
âgée personne, ne peut faire, et dit aussi moi je fais mon étage chaque mois, mais quand
je passe dans couloir pour monter chez moi, les plancher sont très sales et les tuiles qui
décolles et avec pleins gouttes de peintures dessus, car ils ont peints les murs, ça me gêne
si j'ai de la visite la malpropreté , elle a dit arrange avec les locataires, car moi ces rare je
vais dans votre bloque et la prochaine fois écris moi une lettre ce que je fi avec une avocate,
encore des frais pour rien, et les autres locataires peuvent demander à leurs enfants et
petits-enfants elle me répond. Je luis répond fugue OK et j'ai plus parlé de ce sujet.
–
Mon sommeil est perturbé du a la fane qui claque au-dessus mon poile quand il vente
et avec mes douleurs des fois je me couche presque toujours épuiser et ne peux même pas
m'endormir en paix.
–
Je la communique encore pour l'aviser avec politesse et je lui dis je parle calmement
et dit regarde je te demande poliment pourrais-tu couper la branche de l'arbre en face de
notre édifice, Les branches sur des fils électriques d’Hydro qui traînes dessus des branches
et sais dangereux et elle m’a dit j'ai vue, mais je payerai pour faire couper une branche,
même si elle est énorme. OK j'ai dit. Si fil brise nous avons plus d’électricité dans tout
bloque. L’arbre est devant le bloque un gros arbre, qui fleurie l'Été.
–
Quelques 6 mois après ; je l'appel Linda chez elle pour l'aviser. Que mon bain fait un
va-carne incroyable, quand une personne vide son bain dans le bloc, assez que cela me
réveille, un gros bruit de bateau en écho cela fait. Elle me dit à oui je envois les deux russes
pour arranger ta toilette qui ne marche pas depuis que tu restes dans ton logement, j'ai dit
merci j'ai attendu presque 3 ans. Et ils n'ont pas revenu pour finir leurs ouvrages, j’attends
encore depuis plus un an. Elle me dit attend encore, car la C.O.O.P n'a pas d'argent.
–
Quelques 6 mois après ; J'appelle chez la responsable de la C.O.O.P Linda C. et je
lui demande personne nettoie dans les autres bloquent elle me dit, oui sauf qu’un locataire
sais battu a une réunion, la police est venu et ne peuvent pas ce parler et ils ce déteste,
alors il ne peut participer ensemble, car avant c'était eux qui s'occupait des réparations,
nettoyage de la cour, etc., avant durant plus 10 ans. Mais je suis devenue le boss et me dit
dans une discutions, il y a eu une bataille à la réunion, la police est venue, elle a dit avec
une lettre à la cour de se tenir, alors le ménage se fait pas trop, très sale !!!
–
Depuis un an on n'a une poubelle de merde, pleines sur le nôtre terrain que les
passagers mettent leurs merdes de leurs chiens, trop lourde pour moi et personne ne la met
au chemin encore, elle déborde, proche de l'entrée très sales, ça me fait honte.
–
Je l'ai fait avec ma santé les trois étages 6 fois a date et ces assez, et mon étage
chaque mois avec mon bon locataire de palier, que je respect, c'est sa mère qui a bâtie fait
la C.O.O.P, avec deux ses tantes, il y a plus 20 ans de cela. Et avant mourir elle lui a dit de
toujours se méfier de Linda, ces qui m'a dit quelques fois. C’est une manipulatrice, une
germaine qui abuse à fond du System depuis plus 14 ans, une professionnel de la fraude
depuis des années, on ces tous qu’elle fraude le gouvernement qui me dit, on la laisse faire.
Regard son logement des grosses télévisions de 55 pouces, a la mode dans une 4 pièce et
demie, tous des meubles neuf elle les changes aux 3 ans au complet et les donnes a des
voisins ces anciens
–
Un voisin me dit l'été sa feuille viens chercher ces chèques de bien-être social, vue
que plus tranquille en Ontario l'été et viens baigner dans des bains minuits chez sa tante,
presque tout l'Été. Alors ce m'a dit reste prudent.
56
–
L'hiver presque plus personne dans le quartier ne veut venir peller nos entrées, elles
disent toutes qu'elle donne trop d'ordre, mais le stationnement de madame et autres
locataires sont toujours propres, elle a dû engager deux messieurs, de la race Russe
Espagnol cette année pour faire l'entretient de la neige au gros prix et c'est très mal fait a
75 % du temps. Nous sommes les derniers de la rue à voir plus neige devant nos portes,
car ce mal entretenu.
–
Moi je mange dans des banques alimentaires, je suis pogné chez moi dû à ma santé
entourée de condominiums et moi je crève de faim presque et mal partout chaque jour
presque, je vis seul dû à ma situation de finance, et je fais du bénévolat ma façon, quand
on me demande.
–
Ex de mon bénévolat cette année j'ai été dans des journaux et à la télévision MaTv,
Montréalité 19 Nov. 2014 ; pour trouver le moyen de recevoir des fonds pour un organisme
la maison du partage Youville, pour les pauvres en manque de nourritures, et m'ai demandé
aussi un témoignage avec un journalisme, vue que cela fait presque 17 ans que je me
nourris à cette banque alimentaire. J'ai dit oui avec la gêne en moi.
–
J'ai édité une esquisse de mon livre de poésie, en vente et je me suis ré meublé
presque à neuf et de plus, je signe en 2015 mes cinq baux. Cette année cette la ministre
Madame Marguerite Blais qui m'a obtenu un panier de Noël, avec la demande son équipe
à mon église Saint-Charles, car je suis payé des bottes d'hiver et mes traitements, au lieu
de manger.
–
Je me suis fait trois amies en cinq ans, une durée chacune environ d'un an et demi
chaque. J’ai une relation, laisser le jour de la St-Valentin par courriel et une relation d’un an
et quatre mois, elle m'a laissé deux jours avant ma fête, par texto et ces marié 4 jours après
la fin de notre relation avec un autre, un dur coup à gérer sur mon orgueil.
–
Je mal à mon corps chaque jour à un endroit différent et attend pleins de chirurgies,
que je remets dû au manque de monétaire de ma situation a ma vie.
–
Je refais mes push-ups et etc. aux jours que j'ai moins mal si possible, quand la santé
me permet dans mon salon et seul, encore. Pas évident vivre comme pauvre qui se cache
de sa honte, car la misère ce n'est pas toujours évident à la montrer et vivre avec.
–
Je suis sans aucune famille, pas de contact depuis longues années et peu d’amis,
deux a vrai dire et qui demeure hors de Montréal. Personne ne m'envois de cartes par la
poste, ou m'appel pour des souhaits depuis quelques, le jour de ma fête c’est un jour normal.
Je ne peux conduire dû à ma santé précaire et avec ma main et mon dos, trop longtemps
assise cela me fatigue et un moment donner je vais que ça brûle sur mes os, depuis des
années que je me débrouille avec mes douleurs et seul.
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Maintenant voici un Résumé
De ce que je possède pour essayer de vivre une vie normale donc pour vivre depuis 3 ans,
je reçois un montant de, (quatre mille huit cent dollars) l’an passé, j’ai reçu un montant de
(six mille sept cent dollars) et cette année ce sera un montant de (neuf mille neuf cinquante
dollars).
Je ne consomme plus de drogue depuis plusieurs années, je n’ai pas problème de boisson
ou autres depuis 1989.
J'ai beaucoup de douleurs en raison dû à des crises de fibromyalgie.
J’ai vécu avec des saignements abondants au niveau colorectal.
Aussi j’ai ma main qui bloque et devient engourdit spécialement l’hiver en raison des vises
et des plaques.
De plus, j’ai le cou qui me donne des torticolis par période et avec mes os qui me font de
plus en plus mal ! De ce fait, je prends aucune médication c'est-à-dire Je ne touche à aucune
pilule pour réduire mes douleurs, je ne veux pas que mon système s’habitue à la médication.
Pourtant j’ai déjà pris du Dilaudide 2000 c’était une sorte de 'Morphine pour mes maux et
de différentes douleurs et cela m’avait occasionné une grosse crise du coeur et j’ai été
transporté en Ambulance etc., et en plus j’avais pris cela avec du VioXX 2004.
Je ne bois pas vraiment à l’exception que du vin et cela très rarement.
Pour moi qui aime beaucoup me sentir en forme, je ne peux même plus m'entraîner depuis
mes opérations et mon état de santé qui s’est aggravé...
Mais j’essaie quand même quelques fois à la maison et je le fais sans aucun appareil de
mise en forme mais avec de la méditation.
J'ai fait du bénévolat il y a quelques années, c’est l’endroit où je vais prendre de la nourriture,
chaque semaine depuis 14 ans et c’est la maison Youville Maison du partage qui est localisé
à Ponte St Charles.
- Mars/ Août 2009,
À cette époque, j’ai loué une chambrette dans la région de St-Jean sur Richelieu chez ma
mère qui est une personne âgée et qui n`a pas vraiment de place et mais elle me fait un
petit coin dans une petite pièce comme un genre de chambre froide et je dors sur un matelas
pneumatique.
Pourtant j’ai été un locataire dans un logement de l'Office municipal de Montréal durant les
années 2001 à 2008.
J’ai dû quitté mon logement avec un arrangement et avec une entente avec mon agent
Michel Brault de l'Office Municipal de Montréal pour cause de santé précaire avec des lettres
présentées comme preuve par mes médecins attestant mon dossier médical, c'est-à-dire
que j’avais une tumeur colorectale et qu’il y a quelques années, j'avais subi des opérations
au niveau du dos ainsi que ma main droite qui avait été refaite avec des plaques et des
vises et de plus que j’avais eu deux myocardes sévères.
Suite à mon état de santé précaire, j’ai renouvelé une demande pour un logement et on a
rejeté la demande pour mon application à y avoir un certain droit en m’informant que je
n’étais pas dans la rue parce que je demeurais chez ma mère malgré avec les moyens
restreints que je vivais.
Mes médecins ont écrit des lettres à ces dites personnes pour une demande urgente comme
quoi que M. Marc Cantin ne pût pas vivre sans logement car la situation qu’il vivait ainsi
détruisait ma santé autant que physique et mentale.
58
Je recherchais un logement subventionné d'urgence et spécialement en raison de ma
situation de santé précaire.
Je recevais pour vivre une rente d’invalidité de (huit cent soixante-dix) par mois.
J’avais un remboursement à faire pour un prêt d’étudiant de (cent dollars) mensuellement
et ceci avec les déductions des dépenses mensuelles de mes comptes courants.
Donc il me restait la différence pour manger, soit pour la nourriture, payer mon loyer et mon
transport d’autobus parce que je n’ai pas d’auto, ce qui donne la différence de la somme est
de (cinq cent dollars) par mois et pourtant je suis considéré comme une personne invalide
à vie et pourtant j’ai subi plusieurs opérations pour mes troubles colorectales.
Pour continuer cette période, donc au mois de Mars dernier, j’ai subi une chirurgie et encore
une autre plus importante soit le 26 Mai dernier qui a occasionné 24 points de suture, 19
polîtes et avec un sac temporaire pour mes intestins ou mes besoins, c’était un genre de
cancer colorectal.
- Août 2009,
De plus, j’étais en attente encore pour une chirurgie c'est-à-dire une autre opération pour le
31 Août 2009.
* Voici les détails de mon état de santé depuis les dernières années :
Ø Un dos refait avec une dichotomie L-4-L5
Ø Une main droite refaite avec vises et une plaque à vie
Ø Deux myocardes sévères
Ø Arthrose des sévères et troubles facettaire majeurs
Concernant ma situation, je suis obligé de déménager donc je serai dans la rue vers le mois
d'Août/ Septembre 2009.
Cette situation sera véridique si je ne me trouve pas de logement d’ici ce temps.
Pourtant je n'ai aucun trouble de consommation et je suis une personne responsable.
Les gouvernements ne veulent pas m’aider pour me trouver un logement subventionné.
Les personnes concernées m’informent que le gouvernement du Québec ne possède aucun
recours pour faire avancer mon dossier.
Tous se lancent la balle au gouvernement fédéral et ainsi que les autres organismes etc.
J'ai rempli plus de 100 applications pour des demandes de logement soit subventionné ou
d’autres style HLM ou Cooptation etc.
Comment puis-je vivre ainsi avec mon budget et ma santé qui est précaire, ce n’est pas
évident de vivre ainsi...
J'ai gardé toutes les copies de mes formulaires et des demandes que j’avais fait parvenir
soit par lettres, par courriel ou par télécopieur, etc.
Ma demande n’était pas pour un caprice mais pour me permettre d’avoir une meilleure
situation de vie parce que je dormais sur un lit pneumatique à côté d’un congélateur, dans
une très petite chambrette.
Personne ne pouvait pas ou ne voulait pas m’aider, quelle solidarité Québécoise !
Mon gouvernement s’en lavait bien les mains sans vraiment avoir étudier cette demande à
mon dossier.
Pourtant quand c’était pour demander un vote ou pour passer devant les médias, toutes ces
personnes qui représentent ce gouvernement qu’ils sont beaux avec le sourire qu’ils font.
Mon premier Ministre Monsieur Jean Charest m’avait fait parvenir une réponse de politesse
mais rien n’avançait, c’était seulement de belles paroles ou c’était un écrit par courriel, c’est
tout, mais sans aucun résultat. Qui résultait de tout ceci.
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De plus j’ai fait plusieurs années de bénévolat et je connais très bien ce qu`en d’aider les
autres et les plus pauvres.
J’ai été aussi un payeur de taxes durant des années.
J’ai représenté mon pays, ma province aux jeux du Québec lorsque j’étais jeune à
différentes occasions...
Ø Finalement le 3 septembre 2009, je me suis trouvé un logement subventionné dans la
région de Montréal, dans le quartier Pointe-Saint-Charles un ghetto du délaissement de mon
gouvernement, c’était un logement très sale, mais je l’ai pris car je voulais me sentir un peu
plus humain, soit un homme responsable et me sentir libre à mon toit.
Ø Moi, ma mère et mon beau-père nous avons dû sortir 8 sacs remplis de vidanges,
exemple des bûches en vrai bois qui avait été laissé dans le salon au troisième étage.
Ø Aussi, avec ma santé qui était précaire, et avec une seule main accessible, j’ai tout
peinturé seul, j’ai investi toutes mes économies et j’avais réussi à me faire un très beau
logement, c’était assez tranquille pour un 10 logement dans cet édifice.
Ø J’étais très content parce qu’enfin j’étais chez moi. Je me disais qu’il me restait seulement
à me trouver des contrats pour réussir à m’en sortir, mais l’hiver arrivait très bientôt et durant
cette période de l’hiver, ma santé me jouait des tours de vieillesse surtout avec ma main
droite qui bloque en raison des plaques et des vises qui reliait mon poignet et qui me donnait
des douleurs dans mon pouce et en plus que mon dos des fois me faisait ressentir des
douleurs en raison aussi qu’il manque des disques donc cela me fait marcher tout croche
comme une personne de l’âge d’or.
Ø Ma situation est que je vis pauvrement et souvent avec le frigidaire vide et je vais à toute
les semaines à église pour de la nourriture pour réussir à manger et recevoir une petite
épicerie, à ce moment il me restait en argent sur ma rente invalidité pour survivre par mois
que (cent quatre-vingt-huit dollars) par me soigner, pour manger et mes déplacements, qui
peut se permettre de vivre avec si peu.
Ø Voici un autre épisode de ma vie, qui est survenue au mois Novembre 2010, voici le
commencement de cette épisode assez spécial, ce qui est arrivé c’était comme une
inondation qui est survenue dans le logement, un gros morceau du plafond a tombé en
raison de fortes pluies et le toit a vraiment coulé, cela a fait un trou béant grand comme le
dessus d’une table ronde de 60’’ de diam.
Ø Suite à ceci j’ai fait plusieurs appels à différentes personnes de la ville mais en vain sans
résultat.
Ø J’ai dû endurer de vivre ainsi soit durant plusieurs mois, c'est-à-dire avec une énorme
poubelle, du même style l’on utilise pour les ordures dehors et qui était dans le milieu de la
cuisine de mon logement, j’avais pris des photos et des vidéos comme preuves pour montrer
à l’organisme qui s’occupait de mon appartement ce que c’était vraiment la grandeur des
dégâts et aussi la situation que je devais vivre.
Ø Après plusieurs mois seulement et cela pris tout ce temps pour que l’organisme puisse
faire parvenir le rapport pour une demande d’effectuer ces travaux de réparation du dit
plafond endommagé.
Ø De plus il y avait y des voisins, dont le logement qui était à côté du mien et qui était
supposé d’être louer pour seulement 4 personnes, tel que décrit dans le bail et c’était mon
voisin de palier qui était à l’appartement 8, les personnes qui y demeuraient cela arrivait
assez souvent qu’ils étaient 17 personnes qui vivaient dans ce logement, donc avec des
preuves à l’appui, je pouvais démontrer ces photos véridiques.
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Ø Les représentants de la ville s’en étaient occupé et les avaient emmenés à la régie du
logement pour bris de condition à leur bail en exemple : spécialement, un surnombre de
personnes dans leur appartement, etc.
Ø Entre temps, j’endurais toujours l’écoulement de l’eau qui devenaient très majeur dans
mon logement et à chaque jour ou chaque nuit surtout quand il pleuvait, ce qui m’empêchait
de dormir ou si je dormais c’était très mal ou très peu en raison que mon dit logement c’était
comme une très petite pièce soit environ de la grandeur de (1 1/2)
Ø Pour faire suite à tout ceci, d’autres faits qui s’ajoute à ma qualité de vie, j’entendais les
claquements de la porte fort à répétions par mes voisins de palier et en plus ces dits voisins
parlaient très forts et très vulgaires aussi ils gueulaient ou ils criaient assez fort dans le
passage et c’était les mêmes locataires qui habitaient l’Apt. 8 avec un surnombre de 17
personnes.
Ø Pour faire suite, quand tu vis dans un très petit studio et que, tu te fais réveiller assez vite
la nuit et surtout quand mon lit était près du mur ou il y avait le passage des escaliers, donc
ce qui était assez difficile de vivre ainsi et spécialement sans dormir. Pourtant, il y avait eu
d’autres plaintes par d’autres voisins envers ces dites personnes de ce dit logement, Apt.
8..
Ø Pour le suivi de ceci, autant, la police, la régie du logement, etc. possédait un dossier
pour ce litige.
Ø J’ai fait des démarches pour des applications pour me trouver un autre logement ailleurs
et je leur ai laissé savoir que je devais me trouver un autre logement.
Ø Dans l’entre-temps, une amie me téléphone et m’informe qu’elle est en charge d’une
C.O.O.P et en raison qu’elle me connaissait depuis des années et que j’avais vécu à
plusieurs périodes plusieurs difficultés donc la misère de toute ma vie. Elle me fait visiter le
logement dans une C.O.O.P au mois d’Aout 2010, ce logement m’intéressait beaucoup,
c’était pour un super de beau trois pièces et demi, mon rêve se réalisait et c’était un endroit
super tranquille, avec quelques rénovations à faire mais rien de majeur, le plus important je
pourrais vraiment commencer à respirer une vraie vie...
Ø Mais je devais briser le bail de mon autre logement, mais en raison que j’ai toujours bien
payé mon loyer et que je n’avais jamais été en retard. Donc en raison pour les dégâts d’eau,
les personnes de ladite organisme qui s’occupaient de ces édifices m’ont laissé partir sans
aucun paiement de pénalité d’avis de 3 mois pour un préavis.
Ø Suite de toutes ces démarches, j’ai signé finalement le bail pour le logement localisé dans
la Cooptation et j’ai appelé une compagnie privée de déménageurs et ma mère m’a prêté
l’argent et elle dispute les déménageurs car ils ont fait beaucoup des dommages. En
exemple : Les déménageurs ont brisé mon frigo, ma table de cuisine et ma laveuse.
Ø En ayant pas argent, j’ai dû vivre sans frigidaire pour un certain moment et encore ma
mère me prête l’argent pour l’achat d’un frigidaire car on ne peut pas vivre sans frigidaire.
Ø De plus, je n’avais pas de lit depuis environ 3 ans donc ma mère m’a encore prêté l’argent
pour l’achat d’un lit, ma mère a utilisé sa carte de crédit pour effectuer les paiements pour
ces différents achats de ces items essentiels à ma survie.
Je fais des arrangements avec elle pour les paiements de ces dits achats. Cela a fait du
bien au moral de bien dormir dans un lit et d’avoir moins de douleurs c'est-à-dire à mon mal
de dos et ailleurs.
61
Ø J’ai pris mon courage à deux mains, j’ai peinturé mon logement parce qu’il y avait des
couleurs foncés sur les murs donc j’ai utilisé 12 gallons de peinture en raison que ce
logement n’avait pas été peinturé depuis plusieurs années et surtout pour enlever les
couleurs des murs qui étaient jaune foncé et d’autres comme un mauve rose.
Ø Pour effectuer toute cette peinture et ce grand ménage, cela m’a demandé environ une
période de deux mois pour tout terminer mais avec tous ces efforts, cela n’a pas aidé à ma
santé, j’ai ressenti des douleurs et spécialement avec une main qui ne fonctionne pas très
bien en raison des plaques et des de mes visses en plus avec mon dos qui a déjà été opéré
et qui me provoquait beaucoup plus des torticolis à répétions, ce qui n’était pas évident de
tout faire ceci avec mon état de santé.
Ø Aussi, quand j’ai loué mon logement il y avait quelques rénovations à faire comme
l’électricité ; je n’en avais pas lors mon arrivée et je n’en ai pas encore aujourd’hui soit de
l’électricité dans le salon, c’est à dire trois prises murales avec aucun contact et aussi la
chambre principale.
Ø J’ai demandé ces dites réparations et encore en ce jour, rien n’a été réparé de ces bris et
cela fait depuis 8 mois que je vis dans ce logement.
Ø Depuis ce temps, des amis m’ont réparé temporairement la lumière de chambre...
Ø J’ai demandé à la responsable une demande pour effectuer ces dites réparations et cette
dite personne m’a laissé un message dans la boîte vocale soit mon répondeur.
Ø Elle m’a répondu que 3 semaines après t’avoir loué le logement il est survenu une
inondation en raison d’un bris de ma laveuse et on a dû refaire le plafond du voisin du
premier étage en raison des dégâts occasionnés par l’eau donc elle m’a informé de
m’arranger avec mon électricité car elle me dit qu’elle a dû défrayer des coûts pour le
paiement de réparations occasionnés à d’autres logements
Ø Sur ce, je me suis dit à moi-même que pourtant c’est une Coop privé et que ces
réparations devraient être effectuées par la gérance de cette dite Coop.
Ø En raison que je ne veux pas perdre ce logement donc je me tais, c'est-à-dire je me suis
fermé la gueule et je n’ai plus rien demander à cette dite personne.
Ø Je me suis privé de manger, de nourriture et j ’ai pris des assurances pour m’assurer pour
une protection en cas de sinistre, donc un paiement de plus qui s’ajoute par mois à mon
budget et donc moins d’argent qui me restait sur ma rente pour survivre soit un montant
seulement de (quarante dollars) par mois.
Ø Aussi lorsque j’ai signé mon bail, ces personnes m’ont demandé un montant en argent
pour un dépôt de garantie et lorsque je quitterai ce logement et que rien n’a été brisé dans
le logement il me rembourse mon dépôt, en plus j’ai dû payé pour faire des clés pour la boîte
aux lettres parce qu’ils n’avaient plus de clés supplémentaires pour me donner donc encore
des frais inattendus.
Ø Lorsque j’ai commencé à m’installer, je me suis aperçu qu’il y avait d’autre rénovation à
effectuer dans le logement et c’était l’autre locataire avant moi qui ne les a pas fait réparer
comme un autre exemple que les robinets du bain et du lavabo de la salle de bain coulent
goutte à goutte à répétions, ce sont les morceaux complets qui devraient être changé donc
pour dormir je suis obligé de fermer la porte de la salle de bain.
Ø Maintenant, j’endure ceci soit le glouglou depuis 8 mois, mais je ne peux pas me plaindre
parce que je suis dans un endroit de bonheur, très propre et super calme.
62
Ø Un jour, lorsque j’aurai de l’argent, j’appellerai pour un plombier je ferai d’effectuer ces dit
problèmes de plomberie parce qu’avec ma main c’est impossible, je ne peux pas rien
dévisser ou presque rien.
- Pour ma santé Janvier 2011,
Ø Dernièrement j’ai rencontré un spécialiste pour ma main que j’ai eu une attente de 6 mois
pour avoir un rendez-vous. Il m’a informé que c’était trop d’outils dans ta main et que la
chirurgie avait été mal fait au départ et que ce dit spécialiste ne peux pas rien faire et il me
donne un papier dont il a inscrit que je dois me trouver une chirurgie par moi-même et s’il le
faut de faire les appels dans tous les hôpitaux.
Ø J’ai rencontré un autre spécialiste à l’hôpital de Verdun au mois de février 2011 et il
m’informe cette fois ci qu’il y a trop d’outils dans ma main et au départ la chirurgie soit
l’opération a été mal fait et d’essayer de m’arranger avec mon médecin famille.
Ø Aussi ce qui s’ajoute en plus de ma santé précaire, c’est que j’ai un nerf dans le cou qui
a débarqué et qui me donne beaucoup de douleurs intolérables et je ne peux rien y fairepour en savoir plus parce que le Rendez-vous est le 11 Avril 2011.
Ø En plus ce qui m’est arrivé de plus, j’ai une dent de sagesse qui a poussée complètement
sur le côté droit, une radiographie prise en 360 degré le 11 Mars 2011 et le dentiste m’a
informé qu’il faudra une opération majeure et le dentiste m’informe que par mes
radiographies, il a constaté que ma dent est très loin et que l’état de ma dent c’est très rare
qu’il a jamais ainsi vu cela...
Ø Aussi, il m’informe que j’aurai de besoin d’une grosse chirurgie et en raison que la dent
est tellement loin à l’arrière de la bouche, il ne peut pas savoir si à l’endroit ou qu’il y a un
nerf qui s’appelle le nerf jumeau et que ce dit ; s’il est touché cela risque que je perde le
goût et depuis plusieurs mois j’endure cette douleur indéfinissable et ce qui me provoque
des douleurs ailleurs dans la bouche. De ce fait, cela fait deux fois que je dois remettre mon
rendez-vous.
Ø Au mois de Mars 2011, quelque chose d’inusité m’arrive, je me réveille un matin et tout
mon corps est remplit de plaques rouges, après consultation à l’hôpital et à la clinique, les
préposés m’informent que ces plaques ce sont des champignons donc suite à un examen
par deux médecins à l’urgence et mon médecin de famille, ils m’ont donné une prescription
pour une crème et d’en appliquer tout sur le corps et de retourner pour les rencontrer après
10 jours pour un autre rendez-vous si mon état n’a pas changé.
Ø De plus je dois faire mon épicerie dans une maison du partage Youville et que je vais à
cet endroit depuis 10 ans, c’est un centre d’aides de dernier recours et ceci tous les
vendredis.
Ø Je commence vraiment à trouver cela lourd de toujours me sentir pauvre, malade et très
seul dans ma tête et dans mon coeur.
Ø Voici les priorités pour ma santé que je devrai m’occuper c'est-à-dire que je devrai me
trouver un chirurgien pour refaire ma main, une chirurgien pour m’enlever ma dent de
sagesse, une probabilité d’une chirurgie possible pour mon cou, et maintenant aussi des
traitements pour ma peau soit pour soigner les plaques qui selon les médecins seraient des
champignons, dont j’en ai partout sur le corps et ce qui n’est pas évident pour appliquer la
crème sur mon coeur pour essayer d’aider aux plaques à ne plus brûler où pour me soulager
c’est que ma droite qui est reliée avec des plaques et des vises que je suis dans
l’impossibilité de m’en servir en raison et que je suis malgré tout droitier, donc avec
beaucoup de problèmes je dois utiliser seulement ma main gauche donc il y a des endroits
que je ne peux pas appliquer cette dite crème médicamentée.
63
Ø De plus, j’ai subi une chirurgie majeure soit une opération très grave en 2009 dans l’anus,
J’ai reçu 18 mois de traitements et des suivis médicaux en raison d’une tumeur colorectale,
en plus j’ai reçu 24 points de suture, avec 19 polîtes attachés, etc.
Ø Il y a quelques années j’ai subi une chirurgie au dos soit une dichotomie L4-L5 et depuis
assez souvent mon dos devient tout croche et cela tout dépend comment je m’endors et
aussi de ma position.
Ø Je reçois de l’aide seulement de ma mère et de son mari à l’occasion parce que personne
ne m’aide, pourtant je ne me plains pas mais pas aucun organisme ne m’aide pour ma
survie ou ma situation pour ma santé précaire ou pour l’achat de médicaments etc., je ne
sais pas comment je peux trouver une certaine survie.
Ø Avec tout ce que je vis qui devient assez lourd sur le moral, par chance que je me parle
et que je fonce avec le sourire.
Ø De plus en raison que j’ai dû prendre des assurances privées en cas de sinistre pour mon
logement, donc ces frais mensuels sont de (quarante dollars) et je dois déduire ce dit
montant soi à chaque mois se montant en moins sur le montant que je reçois de la rente
mensuelle du gouvernement et pourtant pour moi chaque dollar compte et devient très
important pour ma survie.
Ø Maintenant j’aurais une faveur à demander, s.v.p. à lire ce qui suit :
Si une personne qui est un peu riche et qui voudrait une personne qui essaie beaucoup s’en
sortir malgré ce que la vie lui donne sur le tracé de sa vie.
Ce serait très apprécié de recevoir un don PayPal, tout montant sera accepté pour réaliser
des voeux et reprendre une santé plus stable.
Malgré tout ce que j’ai vécu avec mon état de santé qui est devenu précaire et que si mon
corps lui est malade ce que j’ai vraiment hâte de le sentir libre de mes souffrances, c’est
vraiment un rêve que j’espère qui sera réalisable et aussi même si j’ai une apparence
trompeuse ce qui donne une impression d’être en meilleure santé, lorsque l’on me connaît
c’est tout le contraire et si cette apparence est ainsi c’est que la seule chose qui m’a resté
c’est que je me suis entraîné toute ma vie.
Ø De plus pour vous dire que juste de me sentir capable de se faire une épicerie dans un
marché ou une épicerie de façon régulière c’est que j’ai hâte pour me sentir moins pauvre.
Ø Aussi, j’essaie de prendre un peu d’argent qui peut me rester sur mon chèque que je
reçois de ma rente mensuelle pour investir dans le bût de réussir un rêve soit un jour d’éditer
un livre de mes poèmes que j’écris depuis plus une dizaine d’années ceci est mon plus
grand désir et mon projet que je voudrais tant réussir.
Ø Ce qui est le plus important c’est que je demande aussi à la vie de me prêter un peu plus
de santé et de chance pour avoir une certaine survie et connaître certains moments de joies
et d’un certain bonheur.
Ø Pourtant j’ai des cicatrices un peu partout avec dans ma main droite une plaque et des
vises et les douleurs inimaginables à mes os qui me parlent tous les jours, je peux vous dire
que j’entends mes cris de mon corps en silence et spécialement toutes les nuits.
Ø De ce fait, que je suis une personne franche, honnête, responsable et je suis très fonceur
et je suis devenu ainsi avec tout mon vécu par mon passé mais comme toute personne
normale, notre vécu nous fait grandir, aussi je peux vous informer que j’ai compris, et que
mon présent, je le vis assez durement et difficilement mais j’ai appris à sentir le respect du
coeur de la vie.
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Ø Maintenant. Voici mes buts soit les trois objectifs que je voudrais atteindre c'est-à-dire
que je dois absolument visualiser et : éditer mon livre de poésies, et ensuite pour me partir
une PME stable et essayer de me trouver une femme pour tout simplement partager le
verbe aimer avec du respect, de la douceur et de la communication.
P/s - Mes mémos
Je ne peux même plus travailler normalement en raison de mes douleurs partout par la
température instable. Cet état fut reconnu par le Gouvernement, juges et avocats
À 53 ans, ce n’est pas évident de chercher une certaine survie, quand tu te sens inutile pour
toi et pour la société, car une personne qui vie avec des douleurs constance ce n’est pas
évident de travailler, parce que tu ne sais jamais quand le mal de mes os qui brule comme
l’enfer arrive, cela fait mal je peux vous le jurer, je ne souhait cela a personne…
Quand tu veux manger, tu vas chercher de la nourriture dans des églises, tu comprends
après les mots - Apprécié et Orgueil !
Quand tu apprécies, je pense que tout peut grandir car tu apprends à épanouir le respect.
Je n’ai pas d’argent mais j’ai au moins un nom et un coeur.
J’ai appris dans la vie une chose quand tu deviens pauvre, le senti des pleurs est seul et
sans même un miroir pour le regard de la lourdeur car l’invisible est solitude.
Sans menace pour personne, ce livre a juste pour but de partager mon poids qui est
devenu lourd et qui continue à chaque jour de plus en plus.
Et si Dieu le veut, s.v.p. recevoir de l’aide de quelque part.
- Quelques s’unes de mes réussites
Je vis seul, j'ai signé mes 6 ixièmes baux dans un super de beau logement, Coop de l’éclipse,
privé à 28% du revenu. Locataire depuis 2010/16. Proche de tout, * Griffintown est un ancien
quartier ouvrier du Sud-ouest de Montréal. Je n’ai jamais payé aucun loyer en retard.
* J'ai gagné une rente invalidité de (neuf cent dix dollars) par mois à partir de Avril 2012.
* J'ai réussi 12 attestations Un diplôme en informatique/ mise en forme/ nutrition.
Et ce sans comprendre l’anglais et accepté dans une Université Demers en dormant dans
la rue. Avec peu d'éducation un secondaire III fini ils ne m'ont pas accepté.
* J'ai passé deux semaines test IQ et j'ai eu un prêt sans bourse de (seize mille cinq cent
treize dollars) et rien à moi comme revenu.
* J'ai réussi à me meublé à neuf, en mangeant dans des banques alimentaires.
* Je vais chaque vendredi à la maison du partager Youville sur la rue Centre à MTL, la
responsable, Imanat, depuis 15 ans, elle travaille à cet endroit, une grande dame de coeur.
* J'ai eu souvent (soixante dollars) par mois pour vivre, saisi sur mon chèque du a un prêt,
mes opérations, déplacement etc...
* Je me suis relever d'une dichotomique L4-L5, mal encore mais c`est correct, tout dépend
des jours.
* Je me suis relever d'un radius enlevé à la main droite, avec des vises à vie, poignet coupé
en deux. Doit être refait et cela fait quatre spécialistes que j'ai rencontré et tous ne veulent
pas y toucher ont dit que, c'est un boucher qui a fait cela s’est trop risqué les vises auraient
de l’être coupées DC. Mazarin de qui m’a fait cette chirurgie de St-Jean-sur-Richelieu,
(Montérégie).
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Plus problème majeur colorectal, j'ai eu 26 points, 19 polîtes brûlés attachés par DC Gastro
Gamache, il a fait un très bon ouvrage et de plus le dentiste me dit chirurgie majeure dans
la bouche du mes dents de sagesses poussent dans le palais et très loin.
* Ont commencé les traitements le 15 Févr. 2012 Je fonce malgré pour trouver un max de
sourires et les partager au max tout en me mêlant de mes affaires. Le 26 Mars tests
d’allergie sur tout corps, j'ai commencé des crises d'urticaires en plus.
Je ne consomme aucunes pilules mon médecin viens de me prescrire des antidouleurs pour
un an car il m’a vue souffrir dernièrement, car je cache mes souffrances, j'ai les poèmes
pour m'évader...
Le plus dur n'est pas la solution, mes se sentir inutiles.
Très dur de trouver une femme dans mon état même si j'ai un coeur honnête à 100%.
Cette année je fonce pour éditer mon livre de poésies.
* Maintenant que j'ai un logement stable, avec stationnement privé même si je peu plus
avoir d'auto et un piscine privé et dû à mon dos ma main je prends pas chance, mais ces
bon pour la visite avec patio privé pour chaque logement et une rente et je suis tous meublés,
Et jamais en retard dans aucuns paiements. De la bouffe cela se trouve partout, pas un nom.
Je me dis un jour à la fois en me disant fait de ton mieux et demain risque d` aller mieux.
Apprécie la vie avec profondeur, en disant merci tant que je suis en vie je peux aimer, pour
qu’un jour je puisse le savourer à deux, car je crois en son verbe.
Je regarde ma vie en ce jour du 10 Juin 2011.
Je me demande à 48 ans ce que mon destin veut me faire comprendre.
Car depuis mon enfance, j'ai toujours cru qu’il ne fallait jamais lâcher et de foncer avec des
sourires. J'ai toujours cru en la chance mais je sais que ce n'est pas tout le monde qui peut
en avoir.
- Depuis 1998,
J'ai vécu les inondations à Chicoutimi soit au Saguenay, j’ai tout perdu et ensuite, j’ai dû
retourné vivre pour une certaine période chez ma mère, mais je devais repartir à zéro, donc
je suis reparti sans vraiment rien et j’ai été obligé d’aller manger Accueil Bonneau et j’ai été
dormir dans le toit rouge de la Maison du Père et sans énumérer d’autres étapes, etc.
Après quelques temps, je me suis trouvé un logement dans un HLM qui était rempli de
coquerelles, il y a eu 27 visites par des exterminateurs, j’ai décidé que je devais relever de
nouveaux défis même si ma santé devenait de plus en plus précaire, j'ai réussi d’être
accepté pour effectuer un retour à école, j’ai obtenu un prêt du gouvernement et ceci pour
être accepter à l’Université avec seulement des crédits d’études pour un secondaire I.
De plus, personne ne savait que ma santé était vraiment précaire et que j’étais malade, pour
être admissible, les orienteurs m’ont fait passé des tests d’aptitudes pour terminer des cours
en multimédia et qui ont coûté environ un montant 17.000$ et ce montant a été remis
totalement pour mes cours à l’Institut Demers.
Faisant suite à des différentes demandes d’aide à différents organismes ou autres endroits,
il y a eu un article qui a parue dans les journaux pour m’aider à me trouver un logement
temporaire et de plus un journaliste de Radio Canada est venu me rencontrer pour prendre
des photos pour un article dans les journaux et aussi l’animateur du matin de Radio Canada
dans sa chronique a mentionné les problèmes que je vivais parce que je me trouvais dans
la rue.
Je vous relate les explications de certains faits de mon vécu qui vous feront comprendre le
statut de ma vie d’aujourd’hui
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Donc depuis 1998, je faisais mon épicerie dans un centre d'aide alimentaire de la Maison
du partage d’Youville qui est localisé sur la rue Centre et je me rends à cet endroit.
Je pense que je commence à être un des plus vieux qui se rend à cet endroit soit à chaque
vendredi et tous me connaissent et pourtant ce fut très rare que je parlais de mon passé.
Mais en raison que mon état de santé se détériorais et que je devenais un handicapé et très
malade donc pour une autre fois, par l’entremise de LCN, il y a eu un article dans les
journaux pour me soutenir en raison que je ne recevais pas de réponse à une demande en
2007 pour obtenir une subvention d’aide au gouvernement.
Aussi, il a fallu durant une période de 4 ans que je me débattre pour prouver un accident de
travail que j’avais subi et malheureusement que j’ai perdu la cause.
Ensuite il a fallu que je subisse des opérations au dos au cou avec des opérations pour une
dichotomie l4-l5 et en plus j’ai reçu des traitements parce que mes douleurs me
provoquaient des crises majeures. Il y a plusieurs personnes de mon entourage et des amis
qui m’ont vu vivre ceci et cet état de santé mon orgueil en prenait un coup parce que j’ai dû
réapprendre pendant 2 ans à marcher.
* Un autre fait qui s’est ajouté à ma santé, j’ai subi un accident en 2000 à ma main droite,
j’ai dû subir des opérations majeures parce que sinon je perdais ma main droite, donc les
médecins m’ont installé des vises et des plaques pour retenir mon poignet à ma main et
cette année je devrai faire changer les dites visses et les plaques parce que le matériel
utilisé n’est plus tolérable à mon système et la nouvelle technologie des matériaux a
beaucoup changé pour ce genre de situation.
Pour faire suite à mon état de santé pour ma main droite, mon médecin de famille me
demande de faire le suivi vers un spécialiste et qui me répond après d’avoir visionner les
radiographies qu’il ne veut pas toucher à ce genre de chirurgie parce que c’est très délicat
comme situation et qu’il ne peut pas garantir la réussite.
* Depuis ce dernier verdict, je continue à effectuer des appels pour me rendre dans tous les
hôpitaux pour un rendez-vous avec un spécialise et finalement lorsque je réussi à avoir des
rendez-vous pour rencontrer trois spécialistes et ils sont tous unanimes avec la même
version qu’il y a dans ma main droite trop d’outils et de métaux parce que lors de la première
chirurgie l’opération a été mal fait et il faudrait refaire le tout mais avec aucune garantie
parce qu’il y un grand risque que tu ne puisses plus utiliser ta main droite et que tu devras
vivre avec tes maux et suite à leur réponse, je leur ai donné la réplique suivante en disant
que je fais quoi avec ma main, car avec une main tel que, je ne peux pas travailler stable et
toutes les employeurs dans différentes compagnies ou entreprises ne veulent pas
m’accepter en raison que je suis trop à risque et que ce n’est pas évident de se faire dire
cela lorsque l’on a seulement 48 ans.
* Aussi pour continuer mon récit de mon état de santé, en 2009, j'ai vécu une autre période
assez difficile, c’est que depuis quelques années je vivais avec des saignements anaux et
ce qui a provoqué à subir des opérations majeures en 2009 pour un tumeur majeur
colorectal avec 24 points de suture, en plus de 19 polypes qui ont été attachés et brûlés.
* Suite à cette étape de ma santé, donc suite à une demande du médecin traitant et pour
une convalescence assez longue et pour recevoir des meilleurs traitements etc.., je fus
obligé de quitter mon logement pour aller vivre chez ma mère, pourtant ma mère n’a pas
vraiment d’endroit dans son logement et elle demeure en banlieue à l’extérieur de Montréal
et ce qui n’est pas évident.
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Donc ma mère m’a installé dans une petite pièce avec peu de confort mais en raison d’un
manque de place j’ai dû dormi à côté d'un congélateur sur un matelas pneumatique durant
près de 10 mois le temps soit durant le temps de ma guérison et de me retrouver un nouveau
logement.
* Encore une autre fois, j’ai dû me battre avec le gouvernement pour recevoir un revenu
pour me permettre de déménager et de vivre un peu, de ce fait ma mère et moi, nous avons
fait parvenir plusieurs demandes par courrier en incluant les copies de mon dossier médical
avec celles des radiographies et tous autant que mon premier Ministre Jean Charest que
de son attaché presse, que Marguerite Blais, que le Ministre de la Santé et plusieurs autres
et tous, ils m’ont retourné un suivi qu’ils me feraient parvenir de l’aide mais en raison que
ma mère m’aidait ce n’était pas urgent et aussi en raison que j’avais subi ma chirurgie et
reçu mes traitement à l’hôpital de St-Jean sur Richelieu donc que je n’étais pas vraiment
résident de cette ville et que je résidais à Montréal auparavant donc je ne pouvais pas
recevoir d’aide de la ville de St-Jean sur Richelieu parce que je ne possédais aucun
document, où un bail en mon nom et que je n’étais pas résident depuis un an, donc je n’ai
reçu aucune aide et il a fallu que je me trouve par moi-même de l’aide ce qui fut assez
difficile avec des moyens restreints et avec une santé fragile et précaire.
* Voici mon récit de mon état de mon dossier médical qui continue, le 9 juin, j’ai un rendezvous chez le dentiste et en raison de certains problèmes buccaux, le dentiste a pris une
radiographie soit un 360%, le dentiste s’est aperçu que j’avais un problème assez urgent
c'est-à-dire que le dentiste apercevais que j’avais les dents de sagesses et les prémolaires
qui n’avaient pas sorties et qui poussaient sur le côté dans la peau à l’intérieur de la bouche
et que le dentiste m’a donné le commentaire que c’était très qui avait vu et que cela
demande une très bonne chirurgie.
Pour continuer en plus d’être à la recherche pour me trouver un spécialiste pour ma main,
et mon dos et en surplus pour la suite ce qui me donne un ajout à mes problèmes, le
gouvernement me refuse tous mes remboursements autant de transport soit d’autobus ou
de taxis, de déménagement et même les prescriptions dû à certains traitements majeurs de
peau etc.,
J’ai fait parvenir quelques lettres au gouvernement en ajoutant les documents comme
preuves en leur mentionnant les raisons explicatives pour cette demande, donc ce dit
préposé du gouvernement m’a retourné une réponse en m’informant les raisons de leur
refus comme quoi que les médicaments prescrits en exemple cette crème très spéciale et
essentielle, etc., et leur refus est expliqué en mentionnant la raison par laquelle que le nom
de ces médicaments n’étaient pas spécifiés et ni inscrits sur la liste déjà préétablie des
médicaments autorisés par leur dit gouvernement parce que de plus cette dite liste n’inclut
pas les médicaments pour les traitements spécifiques.
Aussi concernant la réclamation pour les dépenses pour le transport, l’explication qui m’a
été transmise par ce gouvernement dans leur dite lettre qui mentionne que les billets
d’autobus n’indiquent pas la même heure que le rendez-vous chez le médecin.
* Donc lorsque j’ai reçu cette dite lettre avec leurs explications, je leur ai téléphoné pour
m’informer du pourquoi de leur refus et leur faire le suivi de l’explication en les informant
qu’en raison que je n’ai pas de véhicule, je dois prendre l’autobus pour me rendre à mon
rendez-vous donc je devais quitter mon logement un peu avant pour me permettre d’arriver
à l’heure de précise au rendez-vous chez le médecin.
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* Ce dit préposé qui mentionne comme leur raison explicative m’informant que l’heure
mentionnée sur le billet n’était pas le même que l’heure du rendez-vous chez le médecin,
personne ne peut prendre le transport à la même heure que n’importe quel rendez-vous et
j’ai demandé à ce dit préposé d’être un peu humain et de comprendre la situation d’une
personne qui a des problèmes de santé et qui demande un remboursement pour des
montants minimes.
* Pourtant lors de la conversation, je lui ai donné les explications adéquates du pourquoi
que ce n’était pas les mêmes heures pour les billets de transport et que c’était impossible
et pour n’importe qui, je lui ai demandé d’être un peu plus humain et de plus, je l’ai informé
que même j’avais besoin d’une urgence pour mon état de santé qui se détériorait et je lui ai
expliqué que j’avais même dû appeler un taxi pour cette urgence pour vous sauver le prix à
mon gouvernement les frais pour une ambulance. Suite à ma demande de me rembourser
(neuf dollars) de frais de taxi parce que mon état était devenu critique et majeure, je faisais
une crise d’urticaire dans mes os et que ma main avait bloqué et que je pouvais plus rien
faire, ni me déplacer parce que j’avais de la difficulté à me déplacer et à marcher et aussi
pour tous les autres rendez-vous j’essaie de me déplacer le moins possible en raison de
mon incapacité de marcher normalement.
* Voici la réponse de mon gouvernement, ils m’ont dit que j’étais aussi en retard parce que
le remboursement devait être dans un délai de 14 jours et pourtant je leur ai expliqué que
s’il y avait eu un délai c’est que j'attendais le rapport médical de mon médecin de famille
pour leur faire parvenir, et que je ne pouvais pas avoir un rendez-vous avec mon médecin
n’importe quand et que je devais attendre comme tous un rendez-vous et cette dite
préposée, elle m’a répondu que la loi était ainsi et de me débrouiller et de contester ce refus.
Pour tout dire, je n’ai plus de jus ou je n’ai plus d’énergie pour me battre encore ou pour
contester un refus de ce gouvernement lorsque l’on sait que l’on doit s’acharner avec eux
si l’on veut débattre notre situation pourtant j’ai une santé précaire avec plusieurs séquelles
incluant ma main droite, mon dos, mon problème de peau et aussi ma bouche, et en plus je
dois m’occuper à ma récupération suite de ma chirurgie anal et aussi ce qui est important
c’est que j’ai un défi à relever soit de bâtir mon entreprise et éditer mon livre de poésies ..
* Suite à plusieurs recherches, depuis près de 10 mois j'ai réussi à me trouver un logement
une C.O.O.P Privé. Je me suis meublé à neuf sans aucune dette mais j’ai réussi ceci en me
privant assez souvent de manger. Si le destin peu me prêter à un moment donné un peu de
chance dans ma vie.
- Avril 2012,
Je suis content de moi un peu, je vais signer mon troisième bail, aucun retard dans aucuns
paiements. J'ai réalisé et acheter mon site Web, marccantin.com
Je me suis meublé presque que à neuf en magnant dans des banques alimentaires.
Depuis 15 ans que je vais en ligne pour manger dû à ma santé, à la maison du Partage
Youville, MTL.
Je ne mange pas toujours frais, mais c`est correct cela me permet d’économiser pour
reprendre le dessus... Je ne veux aucunes dettes. Je vis une rente de (neuf cent dix-huit
dollars) par mois, paye mes traitements plus loyer comptes courant. Il me reste par mois
(cent vingt dollars) pour manger, habilité extra si possible.
69
Ma santé qui est comme un Yo-yo chaque jour !!
J'ai mal à mes maux de cou, de tête majeure et souvent presque tous les jours.
Le dos me fait souffrir presque chaque jour.
La main avec des vis à vie, et si je me cogne juste sur le bord d'un comptoir le cœur me fait
deux tours et souvent engourdie et crampes qui me frissonnent mes cris en moi.
Le rectal toujours avec des spammes de maux et encore quelques saignements parfois et
ils ont dû me faire un trou de plus, Et avec l'hygiène rectal pas évident.
* Cette année doit voir un ORL pour ma bouche, radiographie dit que ce majeur.
J'ai mes suivies en Avril et en Mai pleins de RDV pour mon dos, ma main à refaire du qu’elle
a été mal faite au départ et un ORL pour mes dents besoin d'une opération du me payé des
lunettes pour lire.
* Le gouvernement ne me paye rien en surplus et doit me débrouiller avec le peu qui me
reste, par mois.
Avec tous mes maux et la solitude qui s`installent jours après jours sur la chaise de ma
vieillesse, j’essaie de m’asseoir avec mon espoir, pour me dire que je suis libre et tant que
je suis libre je suis riche. Avec les manques de présence dans la cellule de mon monde, je
prends mon énergie et je me dis mal pas mal, fonce et entraîne toi 1.30 Hrs aux deux jours,
Et donne-toi une chance, tu es en vie.
Pas évident vivant seule et rien pour motiver ta vie, car j`ai un papier de cour supérieur signé
par deux avocats et un juge comme quoi je suis un handicapé pour la vie, du sur le moral,
car ma vie professionnelle en prend un coup, sur mon orgueil et ma fierté d'être.
* Je me dis qui a toujours pire ailleurs et que je suis comme tout l'monde, il faut que je sois
libre le plus possible pour mieux voir un l'horizon de mon temps et avec la profondeur je
verrai un sens pour ma vie et pour ma survie. J'ai compris que tout commence par le sourire
du coeur et avec l'espoir de mieux croire, pour mieux croître.
* L' étranger de la maladie de la pauvreté me parlent souvent jours après jours, sur le corps
de mes cicatrices et en attende avec mes jugements dans une salle de patient, j'ai allumé
dans le passage de mon identité l'énergie de la foi ma lumière et depuis ce temps entre les
quatre murs couché sur la froideur du présent de mon temporel j' essaie de voir clair sur le
sol de ma destinée, pour me dire au hasard que si je meurs à la fin de mon temps comme
un pauvre malade, je demande à genoux avec la croix de mon INRI une âme pour me
souvenir de la pierre de ma signature, car dans ma main j'ai le vécu des pardons de mes
larmes, qui se trouve sur la nature de ma chair et seul dans mon sommeil je rêve aux nuits
de mes saisons, seul assis sur une étoile et dans un ciel de solitude je visualise avec l'astre
de mes silences des signes de voeux, pour donner au suivant l'enveloppe corporel sur une
correspondance de guérison, car je crois au miracle de la beauté de la vie.
Ce que je désire, c’est de me trouver un éditeur, un mentor pour mon livre de poésies.
Je voudrais aussi réussir une PME et principalement de reprendre normalement ma santé.
70
- 12 Juin 2012,
* Je suis assez déçu de mon DC et des hôpitaux... Regarde je te conte ma situation vite fait.
Il y a 10 ans j'ai eu un accident grave à la main droite.
Il a fallu enlever le radius complet, plus des os dans le poignet etc. avec des vises à vie !!!
Je vie depuis avec des douleurs du que je m’accroche souvent sur le bord du comptoir,
Où quand je torde une débarbouillette ne peux pas etc. limiter dans tout et droitier en plus !!!
Avec le temps, j'ai vu 4 Ortho et 3 médecins, spécialistes etc...
* Vendredi au mois de Mai, 2012, RDV à l’hôpital de général de MTL, clinique pour la main...
* Ce sont les meilleurs spécialistes pour la main, à ce que l'on m'a dit, un an pour un RDV
attente.
* Ils me disent qu’ils ne touchent pas, car ça été mal faite opération au départ et trop de
visses pour nous et ont donner un RDV chez un Ortho le meilleur dans 3 ans, quoi oui
seulement dans 3 ans...
Je fais quoi là moi avec ma vie, plus le reste...
* J’appelle mon Dr de famille, et laisse un peu la situation à sa secrétaire pour qui me rappel,
car je ne veux pas attendre 3 ans et de plus je me sens comme lancer comme une balle,
une patate chaude j'ai vu plus de 5 spécialistes en 10 ans car les RDV sont long en plus et
aucuns ne veulent et touché... Mon Dr, hier me rappel du message et me dit que veut tu j'y
fasses.
* Je peux laisser une prescription même si tu ne veux pas de pilules je te connais depuis
10 ans, mais je peux laisser dans une enveloppe une prescription pour antidépresseur et
viens la prendre quand tu veux. On se voie en Septembre et bonne chance, je ne peux rien
faire de plus, Et je dois attendre 3 ans !!
* Voila ma situation !!! Quoi faire si tu connais un spécialiste voici mes radiographies et dite
que je suis bloqué dans bien des mouvements, cet apparat des douleurs inattendu et des
engourdissements à tout moment.
•
* Cela me bloque sur le marché du travail, aucunes entreprises ne veulent de moi,
car j'ai aussi le dos qui me manque des disques et me relève de autres opérations. Mon
privé et ma vie en mange un coup sur l'orgueil, par chance que je suis né avec des sourires
infini, juste que des fois ma solitude a besoin d'amitié pour se sentir un être humain...
•
* Je ne peux plus m’entraîner dans un centre de mise en forme et ne peux plus
prendre de poids haltère etc. Mais avec tout mon courage et seul ce qui n'est pas évident,
surtout malade et proche de 50 ans.
* Je fais aux deux jours des push-up, setup et du Sado à ma façon, dû à mon dos et à ma
main, etc., je fais mon possible après j'ai mal partout et je me mets des coussins chauffants
chaud, durant des heures, au moins j’essaie de me garder en forme, pour mieux récupérer
dans tout.
- Mise à jour... Juillet, Août, Sept et Oct. 2012,
Juillet : le dentiste m'a enlevé 5 grosses dents çà mange mal et j'ai besoin d'une maxi o
facial, dû à des dents de sagesses qui poussent dans les deux côtés du haut de ma bouche
et c'est très rare, le dentiste m'a dit que c'est plus haut que ses connaissances et doit me
référencer pour un spécialiste Maxi o facial, rendez-vous sous peu.
J'ai acheté une nouvelle paire de lunettes, car je ne voyais plus rien.
Août : j'ai entré d'urgence à l’hôpital de Général de Mtl, mon dos a bloqué cela fait cela
souvent dû au manque de disques, et avec l'âge c'est plus quotidien et m'ont mis sur la
morphine, et RDV.
71
* Sept 2012 : j'ai entré d'urgence à l’hôpital de Verdun mon bas de dos droite bloqué, passé
quelques j'ai fait des scanner de la colonne complète, le gros test, plus des radios graphies
etc. prise de sang etc. Pour me dire besoin sûrement d’une chirurgie, encore et retourné
chez moi.
J'ai marché faute d'argent, avec le dos en douleur plié en deux, pas amis proches ou de
famille et je vis avec très peu de d'argent. Le peu que j'ai-je met le désir de réaliser un jour,
mon entreprise, mes livres, mes meubles, etc., et paye toujours mes comptes tout est à
jours dans tout dans ma vie, pour ne pas avoir aucunes dettes.
Réponse en générale pour mes amis (amies). :) 6 Sept 2012
Merci la semaine passée le doc urgence hôpital spécialistes m'ont mis sur la morphine car
il me manque des disques dans le dos et des fois et quand je m'endors sur le ventre je
bloque et cela fini par se replacer et fait ma visite de rémission dû à une tumeur colorectale,
mes traitements reçus durant 26 mois, en 2010.
Merci pour votre attention et pour votre belle gentillesse
Pour le reste ça va, juste ma santé me bloque dans bien des choses, mais pas sourires mes
sourires, car je suis une personne de solution...
** J'arrive de l'hôpital... GDM / 4 heures de tests encore.
La semaine passée fût radios graphies, test de sang pilules antidouleur, maux etc.
Là le dos est dit est mieux, mais je peux marcher et si je peux demain va essayer de mettre
en forme, depuis 1 mois que je n’ai rien fait. Avec des maux au dos majeurs et quotidien
pas évident, je me suis dit tant que je suis en vie, je veux m’entraîner mal pas mal. Pas
évident non plus seul, malade et à 49 ans...
* Mais si un jour je rencontre une femme j'ai un coeur, un corps et une tonne de sourires à
lui donner, avec des vises pour aller chez un Rona. Car j'ai des vises partout dans mon
corps. J'ai marché de chez moi aller et retour jusque' à H Général de Montréal ce matin une
1 heure aller. Ce matin c'est ma main ont changé le mal de place.
* Il y a dix ans ont a dû refaire ma main droite et tellement brisé qu’ils ont mi sept visses à
vie et quand je me cogne disons que les maux vont droit au coeur, je peux vous dires, voir
les radiographies et elles sont disponibles sur demande.
J'ai passé encore des radiographies, prises de sang encore plus une machine où j'ai dû
gardé mes yeux fermés et ont prises 6 photos cote dos et de face tout le corps.
J'ai fait 6 étages et tourner en rond pour trouver les salles examens, Rx et revenir voir le
médecin et renseignement, tu sais quoi c'est en anglais, je ne comprenais pas ce qu’elles
disaient en français.
Là je vois un premier spécialiste un Harvard style, 28 ans et un petit-riche, cela voie.
Il regarde ma main et dit un moment tu n’as plus rien ici les tendons sont débarqués.
As-tu mal, j’ai dit oui.
Et là me dit qu’as-tu fait avec ta santé, car il regarde les radiographies a moi et ceux qui ont
été prises.
Il me dit je vais aller avec un partenaire pour qui vois de quoi. Attend 40 min dans le bureau
et là les deux jeunes spécialistes le top de la crème j'ai lu tous leurs diplômes sur les murs,
Et les deux jouent avec ma main et mon dos et j'ai dit je viens pour ma main.
Il dit je sais, mais nous devront faire venir un autre spécialiste le chirurgien, attends 30 min.
encore à regarder les autres murs. Et là le top des médecins arrive, lui a pris ma main et l'a
tourné, le cave et me parle avec les autres en anglais rien compris.
Et me dit as-tu compris j’ai dit non, en FR s.v.p. Et un répond moi je pars voir mes patients
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et l'autre dit je retourne à ma salle opérateur, et me disent arrange toi avec celui que tu as
vu en premier, vas le voir attend dans son bureau il arrive. Il me dit opération urgent je
réponds ce soir.
Et me dit une bonne blague, et dit va remplir le document que ma secrétaire prépare, elle
va tout te dire.
Elle me dit : ils ne comprennent pas pourquoi le bas de dos est vide, tu ne devrais pas
marcher.
J'ai dit je le sais... Pour ta main Le chirurgien le meilleur elle m'a dite, Va changer tes visses,
et refaire 5 tendons et le poignet le pouce et les doigts pour que ça bouge mieux
De plus il faut remplacer en un autre matériau, tes visses au poignet et au pouce.
RDV Le 10 Oct. 9.00 AM et me dit préparez-vous en avoir pour l'hiver, vissé avec un quoacteur.
Les effets : Du un appareil pour le patient Marc Cantin durant quelques mois, tige quo-acteur
fixé les vises 7 à vie. Je réponds merci car depuis des années recherchent un spécialiste et
j'ai vu 5 spécialistes avant qui ne voulaient rien savoir.
Je suis tannée d'avoir des maux irréguliers, mais souvent et je suis bloqué sur bien des
points de ma vie, comme dévisser un pot, etc. et mon orgueil de me sentir utile, car la
solitude est devenue mon ami 20 Hrs par jours et 4 heures pour dormir.
Recommandation : Ça va te prendre une personne pour t'aider à te reconduire chez toi,
aussi pour manger te laver etc. J'ai dit je n’ai personne, elle me répond appelle au CLSC,
et j'ai pris ma carte, mon RDV et marcher jusqu'à chez moi. Je suis un peu tanné de me
faire fouiller, dans q dû à ma tumeur il y a 3 ans, 24 points 19 polîtes et je suis correct là,
fait partie des chanceux.
- Le 14 Septembre 2012,
Je me retrouve 2 fois à l'urgence de l'hôpital de Verdun.
Mon dos bloque et plié en deux je vais à l'urgence qui me garde et me font passé des tests.
Je dis au doc de garde çà m'arrive quelques fois depuis qui me manque L-4 * L-5.
Sauf plus je vieillis plus on dirait que je bloque plus souvent et doit faire plus attention.
Ils voient les radiographies après des RDV et me dit le chirurgien à rien remis entre les
vertèbres. Je me retrouve à l’hôpital, avec des tests urgences durant quelques semaines,
etc.
Prescription d'urgence : Morphine et autres antidouleurs, moi qui déteste toute pilule, doit
prendre au 4 heures durant 30 jrs et un RDV 11 Nov., 2012, doc familiale, pour résultat avec
suivi depuis 10 ans.
- Le 1 Oct. 2012,
* Mon dos est mieux encore engourdi, mais je peux endurer au moins, car mal au dos avec
une main croche devant un ordinateur des heures pas évident. Je me suis remis à refaire
mon site Web, pour partager mes services, mes réalisations et mes créations.
Plus mis en vente mon livre de poésies. Unique !
* Je fais aussi de la mise en forme, quand ma santé me le permet. Pour me donner des
chances de guérison dans tout et simulé l’endorphine, la glande du bien-être'.
De plus, j'ai gagné ma vie et donné des cours de nutrition et la mise en forme durant 30 ans.
Alors cela me manque d'être en forme, j'ai eu mon centre durant 5 ans, à MTL plateau Gym.
* J'ai dû remettre mon opération de ma main en date 10 Oct. 2012, du que je vis seul et que
je n’ai pas aidés de personne pour m'aider et CLSC pas assez de monde, organisme pas
d'argent.
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* Je me suis battu des années et là j'ai le RDV ils m’ont remis le 12 Déc. et d'ici ce temps
pour me trouver une amie stable... Sinon doit remettre pas d'amis proche où de famille
proche.
* Je vis seul et jamais marié, sans aucuns enfants.
* Je demande rien à personne, un je ne veux pas de dette et de deux je ne veux pas de
facture, car des fois tu payes cher...
* Mon père, je n'ai jamais eu une seule photo dans toute ma vie de lui, de mon père, je n’ai
pas vu depuis mes 18 ans.
- Le 21 Nov. 2012,
Visite chez mon médecin suivant aux radiographies que j'ai fait depuis quelques au dos, ma
main, ma bouche.
Date opération 12 Déc. 2012 : ma main droite, opération refaire tendons, tendons coupés
dans deux doigts et le pouce à refaire, refaire les 7 visses, et nouveaux métaux.
Résultat mon doc m'a dit de ne pas la remettre mon opération à ma main.
- J'ai remis le 11 Nov. 2012,
Car je n'avais pas d'aides de personne, pour m'aider dans ma maison,
Ouvrir des cannes à manger, ménages, manteau d'hiver etc., avec une main pas évidente.
Il me dit, qui va tout faire pour m'avoir un organisme, pour venir chez moi chaque jour et
gratuit. Et il m'a dit souffle prend ton temps, car on a bien des rapports, à lire, etc.
Moi je lui disais excuse je sais qu’une dame attend et je ne veux pas prendre son temps. Il
dit là assis toi, c'est ton tour.
A chaque fois je ne veux pas prendre la place d’un plus malade.
Il n’avait pas lu la lecture des radiographies dos mains tumeur.
Je pouvais y parler et là, il me dit tumeur, un moment j'écoute, je dis k.
Il me dit ça va, mais je vois de quoi et je veux-tu refasses tous les tests ont comme par prise
de sang, Et aussi pour ton dos voici un des formulaires, il manque L4-L5 et 4 entorses
facettes majeure etc.
Radiographies de ma main urgence doit tout changer. * Mg Gill
Les vises auraient dû être coupé car quand je pli ma main sa déchire en dedans.
Si je me cogne sur le comptoir sur le bout du vis, direct au coeur.
* Aussi dans ma bouche problèmes avec des dents besoin de chirurgie, rapporté depuis un
an.
Par chance que cela ne paraît pas trop, je peux avoir encore un peu de l'orgueil et un peu
de fierté,
Sinon le temps deviendra lourd. :)
- En Décembre 2012,
J'ai dû demander pour manger, un panier de Noël, et pour une personne seule tu n`as pas
grand-chose. Car le dû à ma santé je suis limité et j'ai eu le dos plié en deux, avec des maux
intenses, des mois et à répétition souvent, de plus ma main l'hiver me fait terriblement mal,
dû au visses et j'ai mal aux os.
J'ai passé Noël seul, sans une mère, sans un père, sans une sœur, sans une famille pour
partager ce temps de joie, seul avec ma TV et mes poésies et mes sourires de mes
mémoires. J'ai dû remettre mes opérations de ma main !
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Je vis seul et je n'ai pas les moyens pour me payer de l'aide, une préposée pour ma santé,
pour mes besoins, des fois majeures... Remise de l'opération de ma main et mes 11 vissent,
pour le 14 Février 2013, Hôpital McGill Clinique pour la main. C'est une urgence dite sur le
rapport.
- En Janvier 2013,
Je me suis privé de manger souvent et je mange dans des banques alimentaire la Maison
du Partage Youville sur la rue Centre à Montréal et ce depuis 12 ans. Je mange souvent
des aliments passé dates et du pain sec, mais je ne me plains pas, je le vis, mais je sais qui
a toujours pire quand j`ouvres la télévision et je me dis que je suis chanceux et je m'endors
avec le sourire.
Je vis avec une rente d'invalidité à vie (neuf cent dix-huit dollars) par mois.
J'ai des lettres signées par la cour suprême qui dit que je suis invalide à vie, plus des
rapports médicaux de plusieurs médecins dû à mes plusieurs opérations, et tumeur, etc.
Ce qui veux dire que la C.S.S.T et des patrons ne prendront pas de risque avec moi.
Pas évident à 50 ans de se sentir invalide de la société, car je veux me sentir utile à ma vie
et celles des autres, pour devenir un humain de sourire.
Je fonce le mieux que je peux et je ne demande rien à personne, mais un don des fois serait
bienvenu. Je fonce pour me donner des défis et des désirs et des sourires.
- Le mois de Janvier et Février 2013 :
Pour vivre il me reste 3.00$ pour mon mois, et ce sans avoir mangé, encore doit aller à la
maison Youville pour manger, car j'ai dû payé mon renouvellement de mon site Web pour 2
ans et mon hébergement, .com. etc., plus démanche pour me trouver un éditeur, car un jour
je veux vendre mon livre à la place Bonaventure.
Je veux être fier un jour et je me donne des chances pour me sentir moins pauvre, car j'ai
des sourires de vie à partager avec mon cœur.
De plus je dois rembourser mon prêt d'étudiant.
Par chance que je n'ai pas d'autres dettes...
- Févr. 2013,
Mes coûts qui me coupent mon épicerie et qui me bloque dans bien des choses...
Je dois aller manger à la maison du partage Youville pour les pauvres,
À Montréal sur la rue Centre, depuis 1998, pour arriver à survivre.
Rendez-vous pour mon dos à l'hôpital de Verdun sou peu.
Rapport : dichotomie L4-L5 et avec des problèmes majeurs de facettaires.
Suivis : traitement pour des blocs de morphine, pour soulager les maux,
En Févr./Mars/Avril 2013 Hôpital de Verdun.
Rendez-vous pour ma main droite, le 21 Févr. et le 13 Mars, pour refaire et replacer les 11
vissent et doit refaire les tendons des doigts.
* Hôpital Général de Montréal/ Clinique pour la main.
Depuis des années je vis avec des maux majeurs, à ma main droite dû au visses etc.
J’attends mes résultats pour mes traitements de mon dos, du mois Mars 2013.
J'ai dû remettre par 3 reprises l'opération de ma main et doit refaire tous mes tests au 4
mois en surplus.
•
* Opération de ma main en attente et pour mon dos traitements majeurs, en même
75
temps et sur trois hôpitaux différents.
* Dichotomie L4-L5, facettaire fini arthrose avec douleurs 8/ 10 * Spasme/tension
régulier.
* Rendez-vous pour mes traitements colorectaux, en /Juillet à St-Jean sur Richelieu,
Gastro Gamache et autres spécialistes.
* Je vis et je suis aussi en traitements pour des maux d'os et des maux de tête, majeurs.
Je dois à vie consommé de la Mono morphine au 3 Hrs, (Variable) pour fonctionner, pour
endurer mes maux.
- Avril/Mai 2013,
J’ai dû remettre mon opération de la main par 3 fois, du que mes traitements et mes suivis
pour mon dos, sont en même temps. Pas évident de plus j'ai mal aux os presque tous les
jours, un préposé en soins au patient. Depuis 21 ans qu'elle fait ce métier et mon dit que ce
n'est pas normal d'avoir aussi mal et je me rends plus dans les hôpitaux car je suis tanné et
ne peuvent rien faire de plus que de vivre avec des maux et des pilules.
En plus de vivre pauvrement et me mettre en ligne pour manger à la maison du partage
depuis 14 ans et la maladie cogne trop souvent à ma porte avec des douleurs diverses.
Seul sans aucunes familles pas évidentes, car la solitude est lourde des fois sur les cris de
tes sentiments. :) Et mes rapports médicaux deviennent de plus en plus avec des
symptômes majeurs de maux, de visses et d'opérations.
- Le 14 Mai 2013 : Mon médecin de famille à reçu mes prises de sang.
Il appel chez moi et depuis plus de dix ans que je connais et jamais qui m’appela.
Il me dit tu as des problèmes avec ton cou, il faut je te fasse des injections.
De plus tu des problèmes avec ta glande thyroïde, j'ai appelé à la pharmacie et le
pharmacien va tout expliquer.
De plus tu as des problèmes avec tes os et tu fais de l’arthrose majeur et trouble
facettaires.
Plus traitement pour les douleurs dû à ta main et ton dos.
RDV : en Juin 2013 et opérations pour refaire la main droite à venir.
De plus cessé de fumer, éviter le café, épices et fritures
Patient Marc Cantin mange dans des banques alimentaires, pas évident.
Patient n'ayant pas de contact avec aucuns liens de famille.
P : s/. * Autres rapports médicaux :
Je suis en attente par mon médecin de famille, qui dit doit avoir me trouver de l'aides :
Formulaire : mon patient M. Marc Cantin, dans son quotidien de vie.
Il vit chaque jour avec des maux variables avec des douleurs majeures !!
- Opérations AVETOP :
Une tumeur colorectale, 24 points, 19 polîtes
Une main droite refaite avec 11 vit, avec tendons coupé de 3 doigts.
Un dos qui manque des disques L4-L5 et troubles majeurs facettaires,
De plus 2 myocardes sévères 2008.
Arthrose sévère * Facettes.
* Patient de 50 ans, vivant seul et sans aucune famille, il a une famille d'autruche.
Vivant avec une rente d'invalidité, de (neuf cent dix-huit dollars) par mois.
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Coût de sa vie de (huit cent treize dollars) sans avoir manger, etc.
* Il lui reste par mois pour vivre, (cent quinze dollars) et moins, pour manger et besoin
d'hygiène, etc.
* Patient en ermite, un patient de parole, drôle et responsable et calme,
Dettes : seulement un prêt d'étudiant.
Consommation : Antidouleurs, Mari...
•
Majeur : Le patient M. Marc Cantin, il aura plusieurs opérations à venir, Septembre/
Oct. 2013
•
OPÉRATION URGENTE : À la main Droite, visses à refaire, (7), de plus 2 plaques
qui remplacent le radius. ' ' Le client a remis ses 4 opérations, cause manque de finances.
Opération à venir à l'Hôpital Général de Montréal le 30/10/2013 * Clinique semi privé.
* Le patient endure son mal, dite à sa situation, sans revenu fixe et sans aucuns contacts
de familles,
•
DE PLUS : OPÉRATION URGENTE Dorsale Vertèbre Arthrose majeur :
LES RÉSULTAS DES RADIOGRAPHIES ET DES TESTS DU DOS DE M. MARC CANTIN,
il vit avec une disco-thomisme L-4 et L-5, plus il fait de l’arthrose sévère, avec des troubles
majeurs facettaires et spams réguliers de sensations de brûlement, à ses os. Le client a
encore remis ses rendez-vous, dû aux manques de ses finances.
•
Doc Nu Yen Laperrière Clinique PSTC Médecin depuis plus de 10 ans pour M. Cantin
•
* DE PLUS : OPÉRATION URGENTE Buccale : M. Marc Cantin a besoin de deux
opérations majeures dans la bouche, Clinique du sourire à Verdun. Il doit se faire enlever
les deux dents de sagesses, qui poussent mal ! Rapports qui sont indiqués, Août 2013,
patient M. Marc Cantin a besoin de spécialistes pour les chirurgie et traitements, Urgent !
De plus de gencives, presque fini 4.3/5 de profondeur, besoin de traitements !
•
Résultat 12 Août 2013 M. Marc Cantin fait une parodontite sévère modéré et a
besoin de traitements majeur et un suivi pour 6 mois, mais il n'a pas d'argent et endure ses
maux.
Le client a remis son traitement. Il n'a pas les financements pour ce faire soigner. Il doit
endurer son mal ! Dentiste M. Beka, je suis son dentiste depuis plus de 8 ans
•
DE PLUS : résultats de sa glande thyroïde, elle va très mal, il doit prendre des
médicaments à vie, depuis 1 mois, Juin 2013.
•
DE PLUS : M. Marc Cantin, il doit prendre des rendez-vous pour les opérations qu'il
a eu, '' tumeur et troubles majeures colorectal '', opérations 2009/2011 à l’hôpital de St-Jean
sur le Richelieu, * le médecin est rendu en clinique en privé * Le client a remis son traitement.
Il n'a pas les financements pour se faire soigner. Il doit endurer son mal !
•
* Doc, Gastro-entérologue M. Gamache * Il ne veut pas prendre aucunes pilules, sauf
10 Tylénol et Célébrex par jours, environ dite par le patient. Endurance : tolérance plus
haute que la normal et il parle peu.
•
De plus M. Marc Cantin est suivi à l’hôpital de Verdun pour des blocs facettaires qui
a commencé le 20 Août et doit trouver de l'aides pour vivre son quotidien, Urgent repos total
du patient et considéré invalide à vie, diagnostiqué par le gouvernement et par la cour
suprême du Qc.
•
Du mois d'Août à mois de Janvier 2014, mon temps et mes sourires ont très seule,
77
car j'ai n'ai aucun enfant, je me suis jamais marié, et vie seule depuis des années.
•
J'ai parlé et vu mon père la dernière fois quand j'ai 29 ans et autres temps avant
à mes 18 ans, et à mes 18 ans il restait à Rivière Beaudette, pour le visiter je vous jure avec
pleins témoins encore vivants, je suis partie de Montréal 12237 Langelier de chez ma mère
en 10 vitesses, en bicycle à pétales, et j'ai roulé sur l'autoroute, avec des chemins de
champagne pour aller le voir pour mes 18 ans, 6 heures sans arrêt presque, la police ma
vue quelques fois et dit mon histoire et disant de prendre les chemins de champagne.
** À mon arrivée mon père m'attendait et en revenait pas, nous avons discuté, sorti dans un
club joué aux billards, et quelques après jours 3 jours, j'ai reparti en autobus, car il m'avait
payé le trajet et j'ai que revu à mes 30 ans environ, j'ai demandé de l’aide et m'a répondu
non au téléphone, après j'ai reçu une lettre que j'ai encore, qui dit : je n'ai pas les moyens
je suis rendu vieux j'ai mal au dos, je t'ai jamais voulu et jamais aimé, et sa dite ton père tu
l'auras jamais, il est à moi; et j' ai gardé encore cette lettre mi dans une boîte avec autres
souvenirs, sauf que je n'ai jamais aucune photo de lui de toute ma vie, cela me manque,
pour me sentir une appartenance, un lien d'émotion, je suis rendu presque à 52 ans et
aucunes nouvelles depuis.
•
* Ma mère vue que j'ai vécue dans plusieurs familles sociales, et à l'orphelinat StArsène sur la rue Christophe Colomb et Jean-Talon à Montréal, et que le me suis fait battus
par des familles, et que ma mère est très autoritaire, cris et se fâche comme un soldat, je
n'ai pas parlé depuis des années et mes deux seuls amis demeurent sont hors de ma ville,
et je ne demande pas d'aides à personne, je paye mes choses toujours à date et je garde
seul le silence de ma parole dans mon logement.
•
Tous mes grands-parents sont décédés depuis de longues années, je pense que
j’avais 30 ans, je les voyais peu souvent, ils m'ont gardé étant un bébé et à quelques reprises
dans mon enfance.
•
Je n'ai aucun contact, avec des demi-sœurs, des cousins, ou autres liens familiaux,
complètement seul.
•
Je vis chacun presque avec des douleurs qui me brûle sur mes os, je vis avec des
maux de tête graves, je ne consomme aucune pilule sauve, pour ma glande tyroïde, je
refuse toutes pilules, je prends la prescription pour mon médecin et son bonus et vais à la
pharmacie et je jette les produits. Car un cela rend zombie, deux cela fait vieillir la peau plus
rapidement, la mémoire en prend un coup et tu oublies qui tu es. Alors non, j'aime mieux
endurer mon mal. Je vis seul alors je ne dérange personne. Je bois que du vin et ce si j'ai
en exemple un souper romantique, sinon je ne bois jamais. Je fume de la Marie pour me
soulager depuis mon enfance, c'est tout et je fume la cigarette depuis mes 30 ans.
•
Je me craque tout mon corps chaque jour, sur mon vieux sofa, car mes os me brûlent
ce l’enfer. Je n'ai pas les moyens de me payer un Kiro, un Kino, un professionnel de la santé
qui pourrait m'aider à moins souffrir. J'endure mes douleurs depuis le lit de mon enfance,
car en plus j'ai été violé par le frère de mon père, je me souviens d'une main dans un Locher
ou bout du logement, avec ces coupons Gold Stars, et Export, sur la rue Gilford en dessous
d'une conneries et un magasin de télévision usagée, il me flattait les fesses quand mon père
partait, du logement et le reste en suie, plusieurs années après moi je n'ai jamais faite plainte,
sauf que j'ai été évalué étant un enfants par des médecins spécialiste de l'hôpital MarieClarat, comme quoi que j'ai été un bébé abusé...
•
Le jour de Noël 2010 une personne me dit, j'ai vue dans le journal de Montréal ton
Oncle le frère de ton père, j'ai répondu pourquoi et il m'a écouté les nouvelles à LCN, Radio78
Canada, il aurait filmé plus de 127 ans enfants nus avec le plus de photos que le Canada
est trouvé. Je me suis caché et j'ai pleuré des heures dans un coin. Il fit condamné par des
autres cela a passé dans plusieurs journaux et sur el Web.
•
Mon médecin de famille a communiqué avec ma mère et par la suite d'un rendezvous pour mes douleurs, et opérations subies et avenir, il me dit tu as une mère qui a dit qui
savait, mais elle voulait rien savoir, il la communique plusieurs fois sur une base d'un an et
m'a dit un jour tu as une mère très autoritaire et c'est une mère autruche, il m, a fait un
papier signé avec rapport, pour appeler la C.A.V.A.C un centre pour victimes de viol. J'ai
appelé plusieurs fois durant quelques mois, mais j'ai croché avant deuxième coup et j'ai
oublié cela avec le temps, mais j'y pense encore, même après 50 ans et plus de ma vie.
•
Je rencontre une femme sur le site de rencontres Badoo et on passe du bon temps
ensemble, en pleine nuit elle me réveille, car sois que je crie dans ma bouche elle me dit et
je me réveille avec un énorme mal de tête, je transpire comme un cochon, et je me lève du
lit, je me cache nue dans coin et je tremble comme une feuille, avec ma douleur, car j'ai
vraiment mal aux os, dans ma tête se brûlent l'enfer. Elle me dit j'appelle l'ambulance et je
dis non, non, laisse- moi faire je sais que cela va passer, et quelques temps ont sais laisser,
en amis.
•
Je vous jure que ce n'est pas évident de vivre avec des douleurs diverses dues à des
opérations arthroses sévères, une tumeur colorectale, une parodontite dans la bouche, une
main droite que je ne pas trop faire avec j'ai 11 vise, en plus très mal placé, une opération
de boucher, que j'ai eu disent 4 spécialités en chirurgie de l'hôpital Royal-Vitoria, et je remets
ma nouvelle opération toujours, car qui va me nourrir chez moi, je suis seul avec ma vie,
alors j'endure toute l'année 2014.
•
En mars 2013/ en mars 2014 je suis en attente de plusieurs opérations et traitements
pour ma main, pour suivi pour mon dos, etc., Je me refais une nouvelle blonde vient
quelques avec moi aux hôpitaux et je paye sait stationnement, etc., car elle ne me doit rien
même si nous sommes un couple d'amoureux. Je fais une méchante crise un soir quand je
dors un mal de tête grave et elle prise panique, le jour de ma fête, elle me dit excuse-moi
de t'avoir fait perdre un an de ta vie, mais ces pas ce que je recherche. Elle a laissé tous
une partie de son linge qui était chez moi et elle fermé ; la porte en toute douceur.
•
Depuis j'ai gardé absolument tout ce qu'elle a laissé chez moi, une partie linges dans
une boîte, incapable de jeter ses choses Elle travaillait et des fois venait coucher chez moi,
pour partager un bon repas, une belle soirée et des rires, de sourires, cela durée plus de 12
mois, Je lui écrivais presque chaque jour des mots d'amour à ma façon, car je suis un poète
et un homme taquin.
•
Du jour au lendemain plus rien, en dedans de moi cela m'a fait mal, en plus 4 jours
après je la voie avec une nouvelle sur Facebook, cela je vous son mon arraché cœur, j'ai
senti la rage en moi. J'ai écrit une lettre envoyée quelques appels et après je me suis dit
cela ne sert à rien, reviens sur terre et elle la fiancé 3 mois après. Je me suis dit bon le
malheur court encore après moi, Je me dis personne ne m'a appelé pour des Noëls,
personne ne m'appelle au jour de l'An et que deux personnes à le jour de ma fête
m'appellent, alors j'ai vu pire.
79
•
En juin 2014 je rencontre une femme sur un site de rencontres, elle est une femme
avec un gros salaire, un condominium, Île des sœurs et une auto de luxe, moi je vis avec
980$ par mois, dans un C.O.O.P mal propre dans l'entrée, avec les sonnettes qui ne
fonctionnent pas depuis 4 ans, la porte centrale ne barre trop, j'ai attendu 9 mois pour avoir
de l'électricité dans mon salon, des bris divers, sur des fils, avant que je loue ce logement.
Sauf que j'ai un super de beau logement, je suis un homme très propre, je suis un homme
très drôle, attentionné de la personne, et d'écoute, elle me veut. En plus je suis un homme
qui ne paraît pas son âge, car je ne manque pas de fast-food, etc., ou très rare, J'ai été M.
Mtl en 86, alors j'ai gardé un peu la forme. Le temps passe 4 mois en septembre 2014, je
dors chez elle, elle plaine nuit je me réveille et fais une crise de maux de tête, elle panique
et j'ai dit demain retourne-moi chez moi et j'ai fini la relation quelques plus tard et depuis j'ai
décidé que j'aviverais seul pour ne plus déranger personne.
* En octobre 2014, je me rends chez une amie que je connais depuis 20 ans et son mari
vient de mourir, je vais aux toilettes et je commence à saigner du sang par mon pénis,
majeur, le bol est plein partout et cela n'arrête pas, je sors et je ne dis rien. Sauf que revenue
chez moi cela a duré 21 jours, j'ai filmé pour montrer à mon docteur, urgence a l'hôpital de
Verdun, encore je me dis autre chose. Je vois des spécialistes et je dois passer une
coloscopie d'urgence et nous sommes rendu en Mars 2015, et je n'ai pas été à mes rendezvous pour mon opération, car a chaque fois j'avais trop mal à la tête pour me déplacer, et je
remettais mes rendez-vous de mois en mois. Quand je file mieux ce n'est pas le temps de
mon rendez-vous, alors j'endure ce nouveau mal depuis, plus tous les autres- situé décrit
dans les autres paragraphes; j'ai une main limitée avec onze vis à vie, un dos qui manque
deux disques, mon acide lactique brûle l'enfer, l'arthrose avec crises et craquement presque
chaque jour sur mon sofa, on m'a enlevé une partie de mes dents pour que j'endure mieux
les douleurs de ma parodontite, je dors très peu, car j'écris mes poèmes, je réalise mon site
Web seul, et quand j'ai pas mal seul dans mon salon je fais 600 push-ups, 600
redressements assis, en séries de 25 à ma façon et de la méditation Shiva que je pratique
quand j'ai moins mal depuis mon enfance, ce qui me permet de garder le sourire devant la
vie, devant une personne, devant une femme.
* Je suis brisé de partout, mais quand je vais chez le dépanneur ou que je marche dans la
rue, ou quand je vais à la banque alimentaire personne ne douterait que je sois malade, car
je me dis sois fier, car il y a toujours pire ailleurs, alors ne te plaît pas en public et marche
avec honneur, avec le don du sourire. Pas toujours évident se dire cela, surtout quand tu es
seul dans ta vie et souvent malade du a plusieurs, faits de malheurs, car être malade cela
bloque le temps des rêves et des désirs d'être juste aimé, ou être utile pour un autre, pour
soi le temps devient vide, sauf que tu gardes espoir, car crois ces vivres ces ce que je me
dis, pour encourager la volonté de faire une différence, parce qu'un vit tous dans un trou
noir entouré par la gravité du monde d'étoiles.
* Si un don de solidarité pourrait m'aider un jour,
Je dois payer aussi pour mes traitements dû à ma main, mon dos et mes autres opérations,
tumeur colorectal etc., transports. Le Gouv, ne me rembourse rien en plus.
Parce chance que je suis né avec des sourires et de la volonté et une tonne de solution.
C'est jusque l`intérieur des fois fait mal et seul pas évident et sans aucune famille, sans
aucuns enfants, et sans petite amie, dans ma vie,
C'est dur faire sa vie quand tu es pauvre et malade et se sentir inutile pour la société.
* Ma situation de ma vie : Je bâti ma PME Er. 98 marccantin.com
80
J'écris mon livre dans le but de le vendre mondialement et je recherche un éditeur, de
l'aide dans ce domaine.
Je mange à la maison Youville pour itinérant et les gens pauvres depuis 15 ans...
Je vis avec des vis, des opérations majeures et des maux qui me bloquent dans plusieurs
choses. Je fais du bénévolat j'ai à la télé pour avoir des paniers de Noël et de la nourriture
pour les autres à Ma. TV émission Montréalité en OCT 2014 et dans le journal de mon
quartier, parce-que l'organisme de la banque alimentaire était en manque de financement
et j’ai écrit à eux Gouvernement pour qu'une dame est la médaille d'honneur à ce lieu et elle
l'a obtenue un an après, elle se demandait qui avait fait cela pour elle, je n'ai jamais que
c'était moi. Elle a passé à la télévision pour l'obtenir devant le gouverneur qui lui remise. J'ai
fait ce geste, qu’en l'an 98 je crevai de faim et j'ai été à cette banque alimentaire et elle m'a
dite on donne de la nourriture, je ne veux pas savoir ta vie, je veux que tu la continue, et ce
phrase ma donnée le courage de continuer, un énorme merci, j'ai passé dans le journal du
quartier et la Ministre Marguerite Blais m'a obtenue un logement Hlm, remplis de coquerelles,
et j'ai fait mon chemin, aujourd'hui je vis dans un C.O.O.P très tranquille et proche de tout.
J'ai réussi à me meublé presque a neuf avec les années, il me manque presque plus rien.
* J'ai obtenu plusieurs attestations, un diplôme en informatique, programmeur et un diplôme
en autodéfense, Jeek-Kune Do et j'ai gagné M. Mtl, comme culturisme, mentor M. André
Élie. J’ai suivi mes cours en sécurité construction, et aucune compagnie ne veut de moi, ma
santé est trop à risque et les assurances coûtent pas mal plus. Alors je me dis à 52 ans où
je vais avec ma vie.
* Mars 2015 Cette année je signe 5 ixième bail dans un super grand logement et de plus
avec le peu de moyen de finance que j'ai pour vivre, je n'ai jamais eu aucun retard de
paiement de loyer. Je me suis privé de manger pour me meubler à neuf, sans demandé rien
à personne, cette année il ne me manque plus rien, sauf un poêle neuf.
Je vis seul dans une C.O.O.P, depuis bientôt 6 ans, vivant avec une rente d'invalidité de
(neuf cent dix-huit dollars) par mois et jamais en retard de aucun paiement de loyer etc..
Je suis responsable dans tout, je suis une personne très honnête qui donne l'heure juste
dans tout, sinon j'écoute.
Je fonce avec calme et je suis une personne logique le plus possible, sinon je regarde pour
mieux apprendre et pour mieux savoir.
Marc Cantin
Merci pour votre attention
81
* Quelques hyper liens de mes preuves en vidéos
- A mes 3 ans – Mon viol : Le frère de mon père : Jean Cantin * Un vrai pervers !!!
Art : journaux, média, Web de mes combats pour survivre,
De M. Mtl à vivre dans la rue comme Itinérant, sans que personne ne le sait.
* Exemples de quelques preuves sur ma santé et mes faits vécu.
Autres documents disponibles sur demande.
Infos la Presse Jean Cantin frère de mon supposé père Jacques Cantin,
Un Pédophile, un abuseur d’enfants
: http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/201110/28/01-4462138cyberpedophilie-cinq-ans-et-demi-de-prison-pour-gabriel-cantin.php
- Vers l'âge de mes 23 ans Marc Cantin
Je venais de gagner un concours de culturisme M. Lanaudière en 86
82
Exemples de quelques preuves sur ma santé
Suite à un accident et un refus par la CSST, * 84/94
Opérations dans mon dos une discoïdectomie L4-L5 94 à mes 31 ans.
La C.S. S. T avais noté que j'avais commencé à travailler trop dur, travailleur depuis mes 14 ans
dans la construction.
83
Exemples de quelques preuves sur ma santé ; pour mon dos et
traitement majeurs etc.,
* Infos doc. Rapport en 2012
: Discopathie dégénérative, avec Arthrose facettaire bilatérale sévère. Patient Marc Cantin
* Rapport En 2013 : Urgent bloc facettaire. Patient Marc Cantin
84
Rapport En 2012/2013 : Urgent Lombalgie chronique. Patient Marc Cantin
Rapport En 2011 Main droite : Patient Marc Cantin n'a plus de radius dans le pouce droit
et il vit avec une opération très mal faite, avec 11 vis dans la main droite. Douleur à vie !
85
Rapport En 1999 : * Opération de la main droite : Patient Marc Cantin
86
Rapport En 1999 : * Opération de la main droite : Patient Marc Cantin
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Rapport En 2009 : * Tumeur colorectal 18 mois de traitements majeurs
Patient Marc Cantin * Il a reçu une opération, avec 24 points et il a eu 19 polîtes, très rare.

88
Rapport En 2007 : * Myocardite sévère, du au VioXX * Mauvaise médication.
Patient Marc Cantin
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Rapport en 2013 : * Trouble majeur de la glande thyroïde, avec médication à vie !
Patient Marc Cantin
90
Rapport en 2013 : * Trouble majeur de la glande thyroïde, avec médication à vie !
Patient Marc Cantin
91
Rapport En 2014 : * Trouble majeur sang dans les urines !
Patient Marc Cantin
VIDEO EN LIGNE PRIVÉ de MARC CANTIN * URINE DU SANG MAJEUR depuis 2 mois.
Août 2014 * Disponible preuve vidéo * Suivi par un Urologue
https://www.youtube.com/watch?v=stpGZWUr8MI
https://www.youtube.com/watch?v=5bx_K48L2ys
92
Rapport En 2014 : * Trouble majeur dans la bouche, besoin d'urgent d'une chirurgie
maxillo-facial, trouble sévère parodontite grave.
Le patient retarde son opération dû au manque de financement.
Il endure des douleurs graves chaque jour.
Patient Marc Cantin
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Rapport 2014/15 : depuis 17 ans Marc Cantin se nourri par des banques
alimentaires, pour arriver à payer pour les frais dus à santé, etc.
Témoignage à l'émission MaTv. 19, en Nov. 2014.
http://matv.ca/montreal/mes-emissions/montrealite/videos/3897990816001
Témoignage dans le journal de son quartier, en Nov. 2014
94
Rapport en 2015/2016 :
* Trouble majeur d’arthrose sévère facettaire, avec des douleurs chroniques.
95
Rapport en 2015/2016 : * Luxation majeur de la clavicule de l’épaule droite.
Le spécialiste doit me scier mon os, car l’os c’est mal replacé.
Je suis tombé en hiver 2015 en face de l’entrée de chez moi, car l’entrée ou je demeure
est souvent négligé.
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Rapport en Fév. /2016 : * Fêlure plus un os de l’orteil du centre qui est brisée.
Repos 5 semaines minimum, pour que l’os se replace le mieux possible !
Je me suis cogné le pied droit sur un meuble en courant, car cela sonnais a ma porte
d’entrée de chez moi.
97
De plus depuis 17 ans Marc Cantin se nourri par des banques alimentaires, pour
arriver à payer pour les frais dus à santé, pour mieux manger et survivre, etc.
Témoignage à l'émission MaTv. 19, en Nov. 2014.
http://matv.ca/montreal/mes-emissions/montrealite/videos/3897990816001
Témoignage dans le journal de son quartier, en Nov. 2014
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Rapport 2016 :
Mes médications à vie ! Cela n’est pas évident pour personne, car avoir les maux de
mon mal envahissent souvent mes vingt-quatre heures.
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