Generali France casse du syndicat
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Generali France casse du syndicat
ASST]RANCES Generali France cassedu syndicat L" goope peine à retroaaæ sa paissance passée et s,a, prad à se.s mlæi&. Sartottt à ceuæqai nffistent ropéen derrière Axa et Allianz, il veut retrower la placequl a peldue apresla SecondeGuerre mondiale.Pour cela il noue des alliancesmais sesopérations srscitent desremousinternes Apilesle fondsbritanniqueAlgebrisæntestantIa gowerrranaede Generali,le fonds amé ricain Templetoncritique seschoix stra tfoiques. C,estensionspesentsr les s+ laries,inquietspour leur avenir.I€ CCE européende Generali,où F0 estreprê sentée,a saisila direction mondiale,re vendiquant gamntiesd'aucunlicer "les ciement d'aucun tansfert forcé des personnels,une infonnation complète sur les projets de restruchrration et leurs conséquencesprevisiblespour les salaries". Exigeant I'applicaûon de I'arrêt de ta cour d'appel du 31 mai 2002 condarnnant les sociéûesde I'UES Assurances France Generalià rectifier les bulletins de salaireavecmentionde I'employeur, FO exige aussi l'établissement de conbab de trarrailconformesà cette dé cision. Mais Generali se montre toujours récalcitrant Quant à sa politique salariale,elle s'axeprioritairement sur I'mdividualisation,les formes de partici pation, d'inûeressementau détriment des augmentationsgénérales (1,3%en 20û7alors que lTndicedu corit de lavie atfeignait 2,6%).Pour 2008,F'0, qui re fuse de signer cetaccord tiennal mê langeant dans la même enveloppe primes dbbjectf, salaires variables, épargne salariale, revendique 3,5% d'augmenhtion généralg avecun mini mum de 8(X)euros pour améliorerles bas salaires et une prime de 1 500 euros. Dans ce contexte le DRH, Michel Ây timbre, multiplie les attaquescontre le déléguécentral F0, Jean-SimonBitter. Ijaccusant d'occuper "un logement de convenance" depuis 1981,il I'a notamment menacé de lui reclamer 300 000 euros. Ia 31'chambre du tribunal de gnnde instanæ de Paris est saisie de I'afhire. .Choqué et surpris par la violence et la forme de cette provoc:r tion",le déléeuéFO, soutenu par la Fédération Fl) des Employés et Cadres, entend y répondre sur le plan pénal. Lors d'une conférenæ de pnesse,le 13 fewieçilapffseavoirré glé tous ses loyers depuis 1981 au prix du marché, conformément à la loi. En attes:ûent ses quittances conservées depuis cette date. "Toutes ces attaques sontextrè ment difficiles à viwe et c'est un reconfortde savoirquelajusticeest saisie.Je m'en tiens donc au deroule ment de la procédure', @mmente Jean-Simon Bitter qui, avec son épouse et la Fédération FO, a dé poseplaintepour "chantage,tenb tive d'extorsion de fonds et en- traveaudroit syndical".