Marie-France Boireau est professeur honoraire de CPGE (lycée

Marie-France Boireau est professeur honoraire de CPGE (lycée Camille Jullian de
Bordeaux) Agrégée de Lettres, Docteur en littérature française (sa thèse sur Aragon
romancier de la Grande Guerre et penseur de l'Histoire est publiée Presses Universitaires du
Septentrion). Elle également Membre du groupe de recherche ERITA(Equipe de recherche
interdisciplinaire Triolet Aragon) et Membre associé du laboratoire POLEN (Pouvoirs,
Lettres, Normes), et du CEPOC (Centre d'études politiques contemporaines) de l’ Université
d'Orléans. Elle est enfin auteur de plusieurs articles sur l’œuvre d’Aragon.
Caroline Julliot est maître de conférences en littérature française (XIXe-XXe siècle) à
l’Université du Maine et membre du 3L. AM. Elle travaille sur l'imaginaire historique, en
particulier sur l'articulation entre le politique et le religieux en contexte démocratique. Elle est
l'auteur de deux ouvrages analysant des figures centrales de l'autorité à partir du romantisme :
Le grand inquisiteur (éd. Champion, 2010), et Richelieu, à paraître aux éditions Garnier, en
2017.
Sylvie Servoise est maître de conférences en littérature générale et comparée à l’Université du
Maine. Membre du 3L. AM, elle est également rédactrice en chef de la revue de philosophie
et littérature Raison publique. Ses travaux portent sur les enjeux et modalités de l’engagement
littéraire aux XX et XXIe siècles et les rapports qu’entretiennent fiction, écriture de l’histoire
et mémoire tout particulièrement en France et en Italie. Elle est l’auteur d’un essai publié aux
PUR en 2011, intitulé Le roman face à l’histoire : la littérature engagée en France et en Italie
dans la deuxième moitié du XX ème siècle et, en ce qui concerne Aragon, de la « postface »
au recueil Il ne m’est Paris que d’Elsa aux éditions Seghers en 2005.
Erwan Guéret est doctorant et enseignant à l’université Paris 7 dans le cadre d’un contrat
doctoral à l’ED131 (Paris Sorbonne-Cité, laboratoire CERILAC) depuis 2015. Il travaille à
une thèse intitulée « Révolutions et illusions lyriques - Engagements à l’épreuve du fantasme
à partir des romans d’André Malraux et de Jean Genet », sous la direction d’Evelyne
Grossman. Il s’intéresse aux témoignages et engagements de ces deux auteurs, respectivement
dans les révolutions chinoise et epagnole et dans la révolution palestinienne, aux modalités de
ces engagements et de leurs récits en rapport avec un certain imaginaire romantique de la
Révolution française.