décembre 2013 - application pdf 881 KB
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L’AQDR Rosemont, 35 ans d’action collective vers le mieuxêtre des ainé(e)s Table des matières : Le mot de la présidente …………2 Lancement du documentaire Patrimoine vivant………3 Enjeux actuels Les trois fonctions du projet d’assurance autonomie……….4 L’assurance autonomie, pas aussi assurée qu’on le pense ?......5 À Rosemont, réagissons au projet d’assurance autonomie ……..7 Choisir ses services de soins de fin de vie……………7 À venir à l’AQDR Rosemont Démarche de réflexion: pour une association à notre image…8 Petites annonces et Joyeuses Fêtes !.................9 La calligraphie du titre est une gracieuseté de Mme Céline Robert Le mot de la présidente UNE TRENTE-CINQUIÈME ANNÉE AFFERVESCENTE J’éprouve beaucoup de joie à rédiger ce mot et, je remercie l’équipe de l’AQDR Rosemont qui m’a donné, une fois de plus, le mandat de continuer la démarche amorcée en juin 2011. Les membres du conseil d’administration sont les mêmes que l’année dernière et, depuis cet automne, monsieur Pierre Dufresne s’est joint à nous. Nous lui souhaitons la bienvenue. L’année 2013-2014 a démarré avec un projet prometteur, celui de la réalisation d’un documentaire audio-visuel relatant l’histoire de l’AQDR Rosemont de 1979 à aujourd’hui. Ce fut une merveilleuse expérience. Un gros merci à Denise Payette, la réalisatrice, à son équipe et à nos vedettes, généreuses comme toujours, qui se sont prêtées au jeu de l’entrevue et de la caméra. Une première à l’AQDR Rosemont ! De plus, ce documentaire nous a permis une présence dans les médias locaux et à l’émission radiophonique Le Bel Âge de Radio Centre-Ville. Nous avons continué les activités de communications et de rencontres avec les membres et les aîné(e)s de Rosemont. Je profite de cette occasion pour remercie les membres qui ont eu la gentillesse de répondre au questionnaire l’été dernier, lequel portait sur les besoins des membres aînés et sur leur intérêt pour les points chauds du moment : l’assurance-autonomie, les soins de fin de vie, le transport, etc. Si vous n’avez été contacté et que vous voulez nous faire part de vos commentaires, n’hésitez pas à communiquer avec nous. Notre démarche est continuelle. Nous voulons que notre projet soit adapté aux besoins et au mieux-être des aîné(e)s d’aujourd’hui et de demain. Afin de mieux faire valoir nos revendications, les AQDRs de l’Île de Montréal se sont regroupées et, ensemble, nous avons convoqué une conférence de presse adressée aux Chefs et candidats des partis en liste sur l’Île de Montréal. Nous avons rencontré les journalistes à l’Hôtel de Ville de Montréal. Est-ce que monsieur le Maire entend respecter le projet MADA mis de l’avant par l’équipe précédente ? Fera-til de Montréal une Ville Amie Des Aînés (MADA)? Quels sont ses projets pour les aînés de Montréal ? Aurons-nous un représentant aîné au Conseil de Ville ? Les défis sont nombreux. Que fera le Maire de Montréal ? Notre bulletin résume nos bons coups et les enjeux actuels et à venir. Pour votre gouverne, nous préparons pour le printemps une fête pour notre 35ième anniversaire. Les détails suivront. Nous comptons sur votre présence en attendant cet heureux événement, bonne lecture ! Comme le veut la tradition, je vous souhaite un très beau Noël avec ceux que vous aimez et du bonheur et de l’amour pour l’Année Nouvelle ainsi que de la santé pour réaliser vos projets les plus chers. Pierrette Guitard Joyeuses fêtes ! 2 Lancement du documentaire Patrimoine vivant Par l’équipe de l’AQDR Rosemont Lorsqu’en automne 2012, des membres de l’AQDR Rosemont ont imaginé monter un document d’archives pour souligner les 35 ans de l’association, ils n’avaient aucune idée de l’aventure de création dans laquelle ils s’engageaient. Envisagé initialement comme un album souvenir, Patrimoine vivant s’est transformé en un projet de film, une fière entrée de l’AQDR Rosemont dans l’ère de la technologie audiovisuelle. La réalisatrice, Denise Payette, a accompli un travail exceptionnel, le tout grâce à la générosité des personnes qui ont accepté de donner leur témoignage sur la vidéo. L’assistance est attentive à la projection de Patrimoine vivant Photo : Gilles Plante, 30/09/2013 Conçu comme une suite de huit courtes capsules pour faciliter le visionnement, Patrimoine vivant tisse l’histoire de l’association à travers les témoignages des bénévoles qui l’ont faite vivre. Les membres fondateurs tout comme l’équipe actuelle y ont leur place, et leurs histoires prennent vie à travers les photos et vidéos d’archive. On se remémore les divers aspects de la vie associative, depuis les repas collectifs où le gâteau aux carottes réchauffait les cœurs jusqu’aux importantes manifestations à Ottawa contre la désindexation des pensions de vieillesse en 1985, où une petite dame avait marqué les esprits en apostrophant Brian Mulroney de son célèbre : «Good bye Charlie Brown ! ». 1ire rangée : Gertrude Labelle et Yvette Bellemare vedettes de Patrimoine vivant et Florence Noël, doyenne de l’AQDR Rosemont ; 2ième rangée : Cécile St-Jean et Reine Legros, bénévoles depuis les débuts de l’AQDR Rosemont, assistaient au lancement. Photo : Gilles Plante, 30/09/2013 Les défis de l’époque récente sont marqués par l’aventure du Parlement des sages, où des ainé(e)s ont vécu une expérience d’initiation à la vie parlementaire 20002009, ainsi que par les revendications visant une signalisation routière adaptée aux ainé(e)s, les enquêtes sur les conditions de vie dans les résidences, les recherches sur les clauses illégales des baux de résidence, et bien d’autres dossiers encore. Il va sans dire que l’équipe de l’AQDR Rosemont était très fière lorsque, le 30 septembre dernier, Patrimoine vivant a été projeté pour la première fois devant une salle comble au centre Gabrielle-et-MarcelLapalme. La présence des vedettes du film, de l’équipe de réalisation, de plusieurs membres, de nos collègues des organismes communautaires de Rosemont et de politiciens locaux a mis la table pour une soirée profondément gratifiante, où les discussions à micro ouvert sont allées de bon train. Avez-vous manqué la projection de Patrimoine vivant ? Visionnez le documentaire en ligne au www.aqdr.org/patrimoine-vivant-aqdr-rosemont Ou commandez le DVD à notre bureau au 514-725-0183 ou à l’adresse courriel [email protected] Capsules - Les aîné(e)s il y a 35 ans - La naissance de l’AQDR - À Rosemont, on brise l’isolement - Les luttes nationales - Les luttes locales - Les événements marquants - Les défis des années 2000 - Regard vers l’avenir - --- E n j e u x a c t u e l s --Les trois fonctions du projet d’assurance autonomie Par Jacques Fournier Bénévole responsable du dossier santé à l’AQDR Nationale, représentant du Comité Logement et Habitation. Le projet du ministre Hébert a trois fonctions principales, selon moi : une fonction transformatrice, une fonction réparatrice et une fonction de promotion de la privatisation et de la tarification. Une fonction transformatrice Le pourcentage actuel du budget des services aux aînés en perte d’autonomie consacré aux ressources institutionnelles (CHSLD et ressources intermédiaires) est de 74 %. Seulement 17 % du budget va aux services à domicile et 9 % à des services que l’on ne peut imputer clairement à l’une ou l’autre mission. Le ministre voudrait que le taux québécois passe à 31%. Cet objectif de désinstitutionnalisation rallie un large consensus. Le projet d’assurance autonomie aurait une fonction transformatrice bénéfique. Le défi sera que les sommes destinées aux services à domicile soient disponibles avant la désinstitutionnalisation. (…) Connaissant la passion du gouvernement pour le déficit zéro, il y a lieu d’être inquiets que les aînés en perte d’autonomie n’aient pas le niveau de services à domicile requis par leur état. Pourtant, les sources de financement existent. (…) Une (…) source importante de financement ce sont les 750 M $ que le ministre Hébert compte économiser annuellement en implantant la réforme : diminution de l’hospitalisation et de l’institutionnalisation, etc. (Le Devoir, 24 avril 2013). Une fonction réparatrice L’un des effets positifs attendus du projet d’assurance autonomie, c’est de créer une barrière étanche entre les budgets des services aux aînés en perte d’autonomie (CHSLD, ressources intermédiaires et services à domicile) et les budgets des hôpitaux qui comblent souvent leurs déficits en utilisant à d’autres fins les sommes normalement destinées aux services à domicile. C’est ce qu’a découvert et expliqué la Protectrice du citoyen, Raymonde Saint-Germain, dans son Rapport d’enquête du 30 mars 2012. Aujourd’hui, pour contrer cette décision, on crée, par la caisse autonomie, une barrière étanche entre les budgets des hôpitaux et les services aux personnes en perte d’autonomie. C’est la fonction réparatrice du projet. Une fonction de promotion de la privatisation et de la tarification Par sa fonction de promotion de la privatisation et de la tarification, le projet réduit le secteur public et intensifie l’apport du secteur privé. C’est, pour moi, une fonction nuisible et dévastatrice, qui ne crée pas les conditions de réussite du projet. Actuellement, les personnes âgées en perte d’autonomie qui ont besoin de bains et de soins d’hygiène à la maison bénéficient des services gratuits des auxiliaires familiales et sociales des CLSC. Le Livre blanc propose que ces services soient dorénavant prodigués par les entreprises d’économie sociale en aide domestique, les EÉSAD. Or les services des EÉSAD ne sont pas gratuits (…) L’économie sociale est techniquement une composante du secteur privé mais elle constitue aussi ce qu’on appelle le tierssecteur, car elle a une philosophie et des pratiques en partie différentes du secteur privé. Comme le secteur privé, l’économie sociale a besoin de la contribution des usagers. Les EÉSAD, à leur corps défendant, deviendraient le bras armé du MSSS, l’exécutant de ses politiques de tarification. (…) Si l’objectif du Livre blanc est vraiment de désinstitutionnaliser les services aux aînés en perte d’autonomie, il faut que le ministre leur offre, avant toute chose, une panoplie substantielle de services à domicile de qualité et accessibles. Un mot du communautaire… L’assurance autonomie, peutêtre pas aussi assurée qu’on le pense Par Robert Wild Chargé de projet du Carrefour d’information pour les aînés, au Carrefour Montrose Le livre blanc sur l’assurance autonomie, présenté dernièrement par le ministère de la Santé du Québec, amène bien des questions sur la façon dont celui-ci assurera les services une fois la loi adoptée d’ici l’année 2014, d’après le ministre Réjean Hébert. Ce nouveau projet de société proposé par le gouvernement présentement au pouvoir vise surtout à maintenir une part importante de la population vieillissante du Québec à domicile, et ceci à partir de 2015. Son livre blanc nous donne un aperçu de sa vision en santé publique. Il prend appui sur les acquis actuels. Soit les CLSC, CSSS et le ministère du Revenu du Québec. Donc, pour 5 résumer, le ministère déterminera l’accès aux prestations et leurs montants selon la classification du CLSC ou CSSS. Enfin il faut mentionner que l’usager sera aussi mis à contribution (Proche aidant ou le demandeur). Il va de soit que l’empressement du gouvernent à mettre en place des changements de société aussi profonds attire beaucoup de critiques de la part des médias et de plusieurs organismes sociaux. Voici quelques points que l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitée (A.Q.D.R.) a présentés à la commission parlementaire de la santé et des services sociaux le 6 novembre 2013. L’organisme est tout d’abord soucieux que ce virage de société novateur ne compromette pas le mieux vivre et la sécurité des ainés ainsi que le financement des établissements de service déjà en place. Voici quelques points, que l’Association québécoise des centres communautaires pour les aînés, au nom du centre communautaire Montrose, surveillent pour s’assurer le bien-être de nos usagers. Le respect du vieillissement graduel de nos aînés, c’est-à-dire des soins de santé qui évoluent et qui répondent scrupuleusement à leur état. Mettre en place un mécanisme qui leur évitera l’isolement et la vulnérabilité. Mettre en place dans l’assurance autonomie la composante de prévention et que soient prises en compte les ressources communautaires existantes. Que le projet de loi reconnaisse la contribution et l’exercice des organismes communautaires dans leur mission. Le projet de loi doit respecter à part entière et traiter les centres communautaires pour aînés comme des partenaires tout en conservant leurs autonomies dans leur communauté avec un financement adéquat. L’application du projet de loi ne doit pas à accentuer l’appauvrissement des moins bien nantis et des plus démunis. Le projet de loi doit revoir le service gouvernemental des crédits d’impôt. Ils bénéficient seulement à un petit groupe et laissent de côté les démuni(e)s. Il serait aussi adéquat d’en simplifier la demande. En ce moment, il existe la présence d’un infirmier pivot et d’une équipe multidisciplinaire au service des personnes post hospitalisées. Ce service pourrait être étendu à toute cette clientèle en perte d’autonomie. La demande qu’une politique de gratuité totale des services soit donnée à la personne en perte d’autonomie bénéficiant déjà du supplément de revenu garanti. L’AQDR, de son côté, demande qu’une estimation de la contribution du prestataire soit tenue en compte selon le degré d’implication des aidants des services et des soins, afin que cette contribution soit véritablement reconnue et valorisée. Enfin l’AQDR a des interrogations légitimes sur les mécanismes qui seront mis en place pour assurer la qualité des services, et ce, par le biais d’une certification des organismes privés donnant ces services. Toutes ces interrogations semblent évidentes en soi, mais ne se retrouvent aucunement dans le livre blanc du gouvernement. Pensons aussi au rôle des intervenants à qui le gouvernement donne le titre d’aidant naturel, ceux-ci courent le risque d’épuisement puisque le soutient à domicile pourrait s’étendre sur plusieurs années sinon décennies et pourrait devenir un véritable fardeau pour ceux-ci si aucun service ou répit ne leurs seront offerts. 6 Le Carrefour d’information pour les aînés vous invite à communiquer avec nous pour toutes vos questions (514 521-7757). Notre équipe, Jean Desnoyers, Roger Farley, Mathieu Kovacs, Doris Brodeur, André Tremblay, Denis Lagueux, ainsi que l’auteur de cet article, Robert Wild, vous souhaite un heureux temps des fêtes. ---------------------------------------À Rosemont, réagissons au projet d’assurance autonomie Par l’équipe de l’AQDR Rosemont À Rosemont, les citoyens s’informent et se mobilisent autour du projet d’assurance autonomie. Ce 20 novembre 2013, à l’initiative conjointe de l’AQDR Rosemont et du service SAVA du Carrefour Montrose, le centre Lapalme a accueilli une soixantaine de personnes venues écouter un atelier d’information sur le sujet, donné par M. Jacques Fournier. Le 3 décembre, plusieurs de ces personnes se sont réunies à nouveau, mais cette fois pour parler action, dans un atelier de la Commission des droits de la personne portant sur les stratégies en défense de droits, et organisé par l’AQDR Rosemont. Puis, notre table de concertation locale pour les aîné(e)s, Vivre et vieillir à Rosemont, a décidé de supporter ces mobilisations citoyennes en créant un comité assurance autonomie. Il s’agit d’un comité ouvert à quiconque s’intéresse au sujet et souhaite agir pour faire respecter les droits et besoins des ainé(e)s touché(e)s par le projet de loi. Pour participer, contactez-nous ! Projet de loi 52 Choisir ses services de soins de fin de vie : l’AQDR dit oui au projet de loi 52 Par Georgette Martel et Pierre Dufresne Lors d’une journée d’étude, le 8 octobre 2013, nous avons entendu des conférenciers nous entretenir sur les sujets portant sur les enjeux du projet de loi 52 sur les soins de fin de vie Voici les conclusions à la fin de la journée : - Les soins de fins de vie sont définis comme des services de santé. - Législation sur les Directives anticipées de fin de vie, distinctes du Mandat en cas d’inaptitude, lesquelles seront exécutoires et mises à disposition des équipes de soins dans un registre national. - Encadrement de la sédation palliative terminale avec les mesures proposées pour permettre à la famille et au mandataire d’en faire la demande au médecin traitant qui doit coopérer. - Aide médicale à mourir permise à la demande de la personne en fin de vie, avec un pronostic fatal et des conditions très pénibles refusées par le patient; double supervision médicale, un médecin traitant et médecin externe. - Une Commission des soins de fin de vie afin de soutenir et superviser les équipes et évaluer le programme après cinq ans. (Source : La force de l’Âge AQDR-National Décembre 2013) Sans reprendre l’article de Madame Claire Duguay paru dans la revue précitée, l’AQDR-Rosemont est convaincue du bien fondé de ce projet de loi et agira en conséquence pour en faire connaître et comprendre la teneur à ses membres locaux lors d’une rencontre–discussion à l’hiver 2014. 7 Démarche de réflexion : réinventons une association à notre image Par l’équipe de l’AQDR Rosemont À 35 ans, l’AQDR Rosemont réfléchit à son avenir. Avec tout le chemin parcouru, plusieurs choses ont changé. Les ainé(e)s d’aujourd’hui ne sont plus ceux d’hier : leurs vies ont été différentes, les enjeux qui les affectent ont évolué, leurs façon de se faire entendre et ce qu’ils vont chercher dans le bénévolat sont différents. Le changement générationnel sera bientôt de plus en plus visible avec l’arrivée des Baby boomers dans l’âge d’or. De la même façon également, le milieu communautaire et les pratiques des mouvements sociaux ont changé, et ce tant au niveau de l’organisation et des rapports internes que des stratégies d’action employées et des différentes visions du changement social véhiculées. Quels enjeux préoccupent-ils les ainé(e)s de Rosemont aujourd’hui ? Sur quoi ont-ils envie de réfléchir, quelles questions se posent-ils ? Dans quels rapports organisationnels sont-ils à leur aise ? Comment souhaitent-ils concilier le bénévolat avec leur vie familiale et leurs autres projets ou priorités? Quelle est leur vision d’un processus positif de changement social ? Quelles stratégies d’organisation collective ont-elles du sens pour eux ? L’AQDR Rosemont souhaite aborder ces questions cruciales avec ses membres. C’est pourquoi nous entamons, dans le cadre des projets spéciaux du 35e anniversaire, une grande démarche de réflexion s’étendant sur plusieurs mois et se déployant en une série d’activités de trois types. D’une part, nous souhaitons nous informer sur la perspective des autres organismes pour ainé(e)s de Rosemont sur ces questions, et articuler plus à fond notre collaboration avec eux. D’autre part, nous prévoyons une série d’ateliers de réflexion conviviaux, ludiques et stimulants, ouverts aux membres comme aux non-membres. Leur objectif sera de susciter et de nourrir la réflexion sur différents aspects de la défense de droits et de l’organisation collective. L’animation, inspirée par les principes de l’éducation populaire, cherchera d’une part à fournir un petit contenu de formation pour nourrir la pensée, et puis, à travers des questions inspirantes, à favoriser l’expression et l’appropriation par chacun du processus collectif. Outre les traces que les groupes laisseront, sur papier ou vidéo, de leur réflexion, nous espérons que le processus suscitera une chimie entre les participants et permettra d’imaginer, à long terme, une relève pour l’équipe de l’AQDR Rosemont. Bien que la démarche de réflexion soit conçue comme un tout, chaque atelier sera indépendant et accessible par le public sans engagement à assister à toute la série. Éventuellement, la démarche culminera en une journée bilan où des textes d’orientation seront rédigés et où des décisions de fond seront prises. Ces réflexions finales concerneront le créneau d’action de l’association, ainsi que la compréhension du changement social qui fonde son organisation interne et ses activités. La programmation du projet vous parviendra dans les prochains mois. Et si votre curiosité est titillée… joignez-vous à l’aventure. 8 Merci à nos membres d’avoir contribué à une meilleure gestion de nos efforts en nous renvoyant la fiche d’information jaune transmise dans notre dernier envoi, en octobre. Soyez assurés que nous prendrons en compte les préférences et intérêts que vous y avez exprimés. Et si vous n’avez pas trouvé le temps de renvoyer votre fiche, merci d’y penser Voyez l’article intitulé « L’AQDR Rosemont se raconte », de Daphnée Tranchemontagne, dans le Journal de Rosemont-Petite-Patrie du 12 novembre 2013, ou en ligne au www.journalderosemont,com/Vie-de-quartier/2013-10-21/article-3435521/AQDR -Rosemontse-raconte/1 Joyeuses Fêtes ! Pierre Dufresne, Léopold DeMontigny, Georgette Martel, Claude Guitard, Pierrette Guitard, Louis Plamondon, président de l’AQDR National, Gilles Lalonde, Jean-Marie Gauthier et Marcel Daniel Le président de l’AQDR Nationale et les membres du conseil d’administration de l’AQDR Rosemont Ce document a été produit par l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées (A.Q.D.R.), section Rosemont 5350 rue Lafond, Montréal, Québec H1X 2X2 Tél. 514-725-0183 courriel : [email protected]