Prestations présentées par la chaire « Made in France » I) Approche

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Prestations présentées par la chaire « Made in France » I) Approche
Prestations présentées par la chaire « Made in France »
I)
Approche « corporate » et B to B :
Beaucoup d’études sur le « Made in France » s’intéressent – à bon droit – à l’attitude
du consommateur face à cette estampille tricolore mais assez peu à la problématique
stratégique et économique du producteur, de l’entreprise proprement dite. Voici à
titre d’exemples quelques problématiques que la chaire pourrait étudier dans une
approche sectorielle (automobile, textile, agro-alimentaire …) ou monographique
(sur-mesure à la demande du partenaire) :
-
Etude sur la valorisation de la marque « Made in France » ou « O.F.G » et
comment l’optimiser (approche comptable par le « goodwill »)
-
La robotisation et le « Made in France » : la baisse du prix des robots rebat
les cartes et les coûts de production. La substitution machine-salarié
constitue-t-elle une opportunité pour la Made in France ?
-
Quels effets du « sourcing local » sur les relations avec les fournisseurs, sur
le tissu territorial et au final sur l’emploi ? Développer une logique de
clusters « Made in France ».
-
Tester l’opportunité d’étendre à d’autres le « produire en France » selon
une analyse de coût …
-
Mesurer les effets environnementaux (économie en termes d’émission de
CO2) et les bienfaits sociaux et sociétaux d’un investissement Made in
France
-
Diagnostiquer le management des entreprises engagées dans le « Made in
France », à l’aune du paradigme « agilité, inclusion, innovation » (en
partenariat avec la Chaire IPAG « Entreprise Inclusive », dirigée par le Dr.
Maria Giuseppina Bruna).
II)
Approche B to C :
-
Sondage auprès des consommateurs : enquête non sur les intentions
d’achats Made in France (beaucoup traitée, très documentée) mais sur les
acheteurs de la marque. Etude dite longitudinale qui consiste à suivre dans
le temps un panel de consommateurs Made in France pour en disséquer les
intentions (aspect environnement, social, patriotique, qualité intrinsèque ?)
et les évolutions dans leurs comportements. Possibilité d’établir un
questionnaire à l’attention d’une entreprise, d’une gamme de produit ou
d’un secteur (ex. 3 ou 4 acteurs du textile).
-
Sondage à l’étranger (possibilité d’impliquer les étudiants de l’Ipag en
Chine, aux Etats-Unis, en Italie) sur les attentes des consommateurs. En
quoi le Made in France « exporté » peut se distinguer d’un Made in France
« domestique ». Quel intérêt de distinguer - dans le message, le prix, le
logo … - le produit français pour la France et celui pour l’export ?
-
Tester de nouvelles idées : par exemple faut-il distinguer la conception de
la fabrication, le « designed by … » au « Made in … », faut-il associer ou
non le Made in France aux notions de responsabilité sociale et
environnementale pour un produit ou un secteur ?
III)
-
Approche évènementielle :
Développer un cycle de conférences qui associeraient autour du Made in
France (et peut-être à l'occasion de la publication d'un sondage) des chefs
d'entreprises, des administrateurs de sociétés et bien-sûr des élus. Pour ce
faire, l’IPAG Business School dispose d’un magnifique amphithéâtre au
184, boulevard Saint-Germain.
-
Tester la notion de « récits économiques » autour du Made in France.
Narration différente selon les marques, les gammes, les régions … mais qui
doit déboucher sur une histoire sociale, humaine ou territoriale. Possibilité
de communiquer sur le sondage avec reprises presse.
-
Concevoir une méthodologie pour mesurer la création d’emplois ou le
nombre d’emplois sauvés par le Made in France. Et le faire savoir. Par
exemple à l’occasion d’un trophée du Made in France avec remise de prix.
-
Interpeler les Pouvoirs Publics : les sondages, études, mesures peuvent être
l’occasion de porter des idées, d’adresser des requêtes. Exemples : Crédit
Impôt Recherche spécial Made in France, changement de législation
européenne, clauses d’achats responsables …
Présentation de l’équipe
-
Frédéric Teulon : directeur de recherche de l’IPAG (macro-économie)
-
Duc Khuog Nguyen, directeur adjoint de la recherche (finance, marchés et
audit)
-
Franck Dedieu, ancien rédacteur en chef adjoint de L’Expansion, thèse de
doctorat en préparation sur le Made in France.
-
Maria Giuseppina Bruna, directrice scientifique de la Chaire « Entreprise
Inclusive »
-
Isabelle Aimé, (marketing des marques)
-
Mohamed Akli Achabou : (labels et économie environnementale)
-
Dominique Bonet-Fernandez (économie industrielle)
-
Jean-Michel Sahut (Finance et Techniques Quantitatives)
-
Vincent Rouvière (Marketing, Vente)
Comité scientifique
Composition à venir sur la base de deux ou trois chefs d’entreprises (industrie et
French Tech), deux élus (dont le député de Seine et Marne Yves Jégo) et trois
chercheurs, spécialisés en Economie industrielle, Marketing et Insertion territoriale.
Besoin de financement :
L’IPAG a déjà fait ses preuves en matière de lancement de chaire et en tant qu’acteur
scientifique. Une première chaire consacrée à la stabilité financière et aux risques
systémiques est financée à hauteur de 150 K euros par Instit7 et a été labellisée par le
FMI (programme « global housing watch »). D'autre part, une nouvelle Chaire vient
d’être signée avec l’Association Française des Managers de la diversité et est
consacrée à « l’entreprise et au management inclusif ». Cette chaire Made in France
ambitionne un budget de fonctionnement comparable à celle sur la stabilité
financière, autour de 150 000 euros.
Mécanismes de soutien pour une entreprise partenaire
§ Un engagement dans la durée : 2 ans minimum (étalement possible sur 3 exercices)
§ Un acte de mécénat donnant droit à des avantages fiscaux :
§ Crédit Impôt Recherche (60% du don),
§ Donation au Fonds de dotation de l’Ecole (défiscalisation de 66% du don).
Engagement financier et prestation de la Chaire
Au regard des études et des actions décrites ci-dessus, l’IPAG propose à ses
partenaires de calibrer ses prestations selon cette graduation :
-
Rang 1 : Présentation en avant-première des résultats des recherches
menées par la Chaire, invitation aux conférences et évènements organisés
par la chaire, organisation de séances d’échange et de restitution avec les
partenaires et d’autres entreprises engagées dans le Made in France (« best
practices »).
-
Rang 2 : en sus des actions de Rang 1,
intervention directe aux
conférences, mise en avant dans les communications et actions organisées
par la Chaire pour renforcer la visibilité de l’entreprise-partenaire
(médiatique, institutionnelle et académique).
-
Rang 3 : en sus des actions de Rang 1 et 2, enquêtes personnalisées autour
du thème Made in France : sondages, diagnostic économique et social des
effets du label, construction d’un « récit économique » associé au Made in
France …

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