Knee Deep - Western Country Friends

Une présentation par Yves, de la chanson :
« knee deep », Paroles de Zac Brown Band
1) façon classique pour les danseurs avec les éléments précis du texte de la chanson
Le cow-boy a le blues, perdu sans sa chérie…
Ils étaient trop proches tous les 2, et ça s’est mal fini…
Là, maintenant, il ne rêve que de soleil, de ciel bleu et de plage…
Il apprécie même le petit vent qui balaye son visage !
Il rêve d’être dans l’eau, pas immergé, non,
Juste assis, dans l’eau jusqu’aux genoux : ça c’est bon !
Là, il est bien, heureux, comme enivré,
Son seul problème : la marée qui va monter.
Le lever de soleil, ah, ça c’est merveilleux,
On dirait que le ciel tout entier est un grand feu !
Le seul remède aux peines de cœur : l’océan !
Alors il a acheté un bateau et est parti, voiles au vent !
Il pense que personne ne va le regretter,
Que c’est beaucoup mieux de s’en aller.
La mer c’est comme du champagne, ça vous lave l’intérieur !
Alors, si ça va pas les gars, faites comme lui, partez voir ailleurs !
2) façon moins formelle avec un autre dictionnaire.
C’est l’histoire d’un » bouffon » d’cow-boy « un keum cainri » qu’a perdu sa gonzesse,
« Chelaoim » qu’elle lui a dit, « t’es trop relou, j’m’arrache».
« c’est quoi ce dawa ? portenawak » qu’il a pensé, mais en attendant, lui, juste là, il l’à
mauvaise passsqu’elle était « pas chemo », c’est sûr ça, c’était pas un « thon sa meuf ».
Y peut plus « la kiffer grave », alors il a « fait de son best » pour oublier, il s’est mis à
« mater » la mer – beuh non, pas sa « reum », la mer, là où c’est qu’ya les fish » - ça c’est
« mortel, c’est top-cool-maousse » : c’est « cash super cool » d’acheter un « toba » ! tu
r’gardes le soleil et pis tu t’laisses aller , personne « t’embète sur ta nichepé ». Ouais,
« c’est trop d’la balle » ; « tu t’mets les nougats » dans l’eau salée et pis un vent s’abat sur
ton corps frêle.
« hein ? qu’esssst’as ? c’est quoi l’blème ? »
« nan, j’suis pas zarbi » « j’suis juste a donf’ dans la poésie, moi M’sieur » … bon, allez,
maintenant « on s’tape des barres »( on rigole) et on écoute la « zicmu ».