Les nouvelles fonctions de la v3.0.05 de Filiatus

Transcription

Les nouvelles fonctions de la v3.0.05 de Filiatus
Les nouvelles
fonctions de la
v3.0.05
de Filiatus
Deux nouvelles icônes apparaissent dans cette dernière mise à jour. La
première icône concerne les doublons, la seconde, les tables de naissances et
de décès.
L’icône des doublons s’utilise avec tous les fichiers Filiatus (Pro, Classic et
Découverte) ; l’icône des tables est réservée aux utilisateurs du logiciel
MariaGed (cf. http://www.mariaged.com).
Maisons-Alfort, avril 2010
Michel DEMOREST
L’icône des doublons
Cette icône est un raccourci de la fonction du menu « Doublons>D’après les conjoints1 ». Bien que le
dédoublonnage soit étroitement lié à l’import de tables, il n’est pas nécessaire de posséder le logiciel
MariaGed pour l’utiliser. La procédure fonctionne sur un fichier ordinaire pouvant provenir de
n’importe quel import Gedcom.
La seule différence que ce bouton présente, par rapport à un clic dans le menu, consiste en sa faculté
de lancer la procédure de fusion lorsque les doublons ont préalablement été recensés. Idéal pour les
longs travaux.
Exemple :
Dans un fichier dont les doublons n’ont jamais été contrôlés, un clic dans le menu équivaut à un clic
sur le bouton de la barre d’icônes. Aussitôt apparait le message ci-dessous :
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Filiatus propose 4 sortes de recherche de doublons : a) La recherche de doublons d’après les conjoints, qui
consiste à détecter tous les couples dont le prénom et le patronyme semblent identiques. Le programme ne
prend pas en compte deux couples homonymes sans parents ; b) La recherche de doublons d’après les
naissances, qui consiste à détecter les personnes dont le prénom et le patronyme semblent identiques et qui
seraient nés la même année ; c) La recherche de doublons d’après les décès, qui consiste à détecter les
personnes dont le prénom et le patronyme semblent identiques et qui seraient décédés la même année ; d) La
recherche de doublons d’après les parents, qui consiste à détecter les personnes dont le prénom et le
patronyme semblent identiques et qui seraient enfants d’un même couple parental.
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S’ensuit le démarrage de la procédure de recherche où l’inscription « Veuillez patienter svp … ».
Cette mention va bientôt se transformer en un chiffre représentant le nombre de doublons
rencontrés par le programme.
Une barre de progression tient l’utilisateur informé de l’état d’avancement.
Au fil de la procédure, le personnage axial se transforme (de A à Z).
Quand le programme est terminé un message s’affiche.
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Un fichier résumant les travaux effectués s’ouvre sitôt après avoir cliqué sur « Oui ».
Ce fichier n’a d’intérêt que de faire figurer tous les travaux exécutés par la procédure. Il est affiché à
titre purement informel et ne nécessite aucune action de la part de l’utilisateur. A l’usage, il suffira
de répondre « Non » au message.
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Un clic sur le bouton de doublons de la barre d’icônes, objet de cet article, ouvre une fenêtre appelée
« Palette de fusion ».
Les cases roses représentent des personnages reliés à des parents ; les cases jaunes des personnages
reliés à des conjoints. Pour fusionner les doublons, il va falloir faire glisser les cases des personnages
les unes sur les autres en privilégiant le déplacement des cases roses et jaunes qui « transportent »
avec elles toute leurs dynasties. Pour qu’une fusion soit prête à être validée, il faut qu’un des deux
arbres généalogiques ait été vidé de ses personnages.
Chaque personnage recouvert par son « doublon » déclenchera l’ouverture du deuxième onglet dans
lequel on retrouvera toutes les informations leur appartenant.
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Les informations de couleur rose seront effacées au profit des informations de couleur bleue,
présélectionnées par le programme.
Quand deux informations sembleront complémentaires, l’utilisateur pourra cliquer sur le bouton
« + » situé entre les deux cases.
Les informations seront alors ajoutées, séparées par une virgule. L’utilisateur aura tout loisir de
modifier ces informations en écrivant dans la case de son choix.
Quand l’initialisation est terminée, il suffit de cliquer sur le bouton « Valider ». Cela aura pour effet
de ré-afficher l’arbre du premier onglet.
Au cas où l’utilisateur veut revenir sur sa décision de valider sa fusion, il peut encore cliquer sur le
bouton « Ignorer », ce qui annulera l’initialisation. Il peut aussi cliquer sur le bouton « C’est un
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homonyme » s’il juge que les deux arbres affichés ne sont pas des doublons. Ce doublon ne
réapparaitra plus au cours de la présente session. Dans les deux cas, la fenêtre affichera le doublon
suivant.
Il est à noter que la validation peut entraîner la disparition d’un ou plusieurs doublons qui allaient
suivre.
Ceci est normal dans la mesure où le doublon validé doublonnait également avec d’autres
personnages2.
Pour vérifier le résultat de la fusion qu’il est en train de valider, l’utilisateur pourra également cliquer
sur l’option « Vérifier la fusion à l’écran », afin de faire une pause sur l’arbre de l’écran d’accueil3.
En cliquant sur le bouton « Abandonner », la fenêtre se fermera et le programme proposera à
l’utilisateur d’enregistrer les doublons restants.
2
A cet effet, il est recommandé à l’utilisateur, dès qu’il aura terminé, de procéder à une ultime vérification de
son fichier afin de détecter les doublons qui auraient pu subsister ou être générés par ce long travail de
concentration.
3
A cet instant, l’utilisateur disposera de toutes les fonctions de saisie de Filiatus, telles que la suppression
partielle, la suppression définitive ou l’inversion de lit, sans intervenir sur l’ordre des doublons.
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Ces doublons pourront être réaffichés au cours de la présente session, ou bien dès la prochaine
ouverture en cliquant sur le bouton de la barre d’icônes, objet de ce tutoriel4.
Avant d’importer une table de naissances ou de décès, il est recommandé de procéder aux autres recherches
de doublons, telles qu’expliquées dans la note de bas de page n°1.
Pour exécuter ces autres recherches de doublons, l’utilisateur pourra cliquer dans le menu
« Listes>Doublons>D’après les naissances », et/ou « D’après les décès », en fonction des imports qu’il viendra
d’effectuer avec le bouton d’import de tables.
Bien que n’entrant pas dans le cadre du sujet traitant des doublons, il est vivement recommandé de procéder à
la recherche des incohérences de filiations (parents ayant eu des enfants durant cent ans et plus, parents
connectés aux enfants, entrainant une dynastie récursive, parents plus jeunes que leurs enfants, etc.), en
cliquant dans le menu sur « Listes>Filiations erronées ».
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Quand les doublons ont tous été analysés, il n’est pas exclus de se retrouver avec quelques personnages que le
programme prend pour des doublons mais qui, après vérification, n’en sont pas (exemple des personnages ayant une
même identité mais ne possédant pas de parents). Dans ce cas, il suffit tout simplement d’effacer le fichier *xxx+.txt placé
avec le fichier *xxx+.fts dans le répertoire du même nom. Il est possible aussi d’effacer la ou les lignes correspondant aux
« vrai-faux » doublons.
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L’icône des tables Nimègue.
Cette icône se veut, de loin, rappeler l’icône du logiciel de saisie Nimègue5. Le but de cette fonction
est de finaliser le travail réalisé avec le logiciel MariaGed www.mariaged.com, programme axé sur
l’importation des tables de mariages issues du logiciel Nimègue V3.
Mais, attention, cette fonction est exclusivement réservée aux utilisateurs du logiciel MariaGed, dont
Filiatus détecte la présence.
Le logiciel Filiatus, version Pro, qui permet déjà à l’utilisateur de lire les données générées par le
logiciel MariaGed, va lui offrir l’occasion de compléter son travail. Il va pouvoir importer les tables de
naissances et de décès afin de reconstituer la totalité de son village.
Pour résumer, si l’utilisateur a importé convenablement une table de mariages, via le logiciel
MariaGed, et après que la fusion ait été effectuée comme décrit précédemment, le programme
proposera par défaut d’importer la table des naissances (de ce même village).
Une fois que l’import sera terminé et que les doublons auront été fusionnés, c’est le message cidessous qui s’affichera.
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Nimègue, version 3 ou supérieure.
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Une fois ces décès fusionnés, il ne restera plus à l’utilisateur qu’à réaliser une monographie pour
parachever son travail.
Cependant, si l’utilisateur ne possède pas MariaGed, ou qu’il s’est trompé de fichier, un message
l’avertira de son erreur. Dans ce cas, pour éviter les redondances, l’importation d’une table de
naissances ou de décès sera impossible.
Si par inadvertance, l’utilisateur réimporte une table déjà fusionnée, le programme lui affichera le
message ci-dessous :
Dans tous les autres cas c’est le message suivant qui apparaitra :
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