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Définition fraternité fraternité, nom féminin Sens : Lien de solidarité, d'amitié. Synonyme solidarité Anglais brotherhood, fraternity fraternité : 8 synonymes. Synonymes amitié, amour, camaraderie, charité, entente, intelligence, lien, solidarité Citations avec fraternité "Bâtir la société, c'est prendre le parti de la justice, de la fraternité, de l'amour." Jean-Paul II ( élu pape de l’Église catholique romaine le 16 octobre 1978 sous le nom de Jean-Paul II (en latin Ioannes Paulus II, en italien Giovanni Paolo II, en polonais Jan Pawel II)Note 1. Il a été béatifié le 1er mai 2011 par son successeur le pape Benoît XVI, et il est donc, pour les catholiques, le « bienheureux Jean-Paul II », en attendant sa canonisation prévue pour le 27 avril 2014. Son pontificat (26 ans 5 mois et 18 jours) est à ce jour le troisième plus long de l’histoire de l’Église après celui de Saint Pierre et Pie IX (31 ans 7 mois et 23 jours). C’est le premier pape non italien depuis le pape hollandais Adrien VI en 1520 et le premier pape polonais de l’histoire de l’ÉgliseD 1. Sa volonté de rapprocher les religions a conduit à sensiblement améliorer les relations de l'Église catholique avec les juifs, les Églises orthodoxes et les anglicans. Il est à l’origine de la première réunion internationale interreligieuse d’Assise en 1986, réunissant plus de 194 chefs de religion. Il parcourut plus de 129 pays pendant son pontificat, plus de cinq cents millions de personnes ayant pu le voir durant cette périodeD 2, et institua de grands rassemblements comme les Journées mondiales de la jeunesse. Il béatifia 1 340 personnes et canonisa 483 saints, soit plus que pendant les cinq siècles précédents. Il fut l'ardent défenseur des réformes du Concile Vatican II, auquel il participa très activement en tant qu’évêque. Sa volonté de défense de la dignité humaine l’a conduit à promouvoir les Droits de l’homme. Il s'est opposé à l'idéologie communiste et par son action, notamment en Pologne, a favorisé la chute du bloc de l'Est. Il a également condamné les excès du capitalisme. Jean-Paul II est considéré par certains comme l’un des meneurs politiques les plus influents du XXe siècle. "J'ai rêvé d'un monde de soleil dans la fraternité de mes frères aux yeux bleus." Léopold Sédar Senghor (Léopold Sédar Senghor, né le 9 octobre 1906 à Joal, au Sénégal, et mort le 20 décembre 2001 à Verson, en France, est un poète, écrivain, homme politique sénégalais et premier président de la République du Sénégal (1960-1980) et il fut aussi le premier Africain à siéger à l'Académie française. Il a également été ministre en France avant l'indépendance de son pays. Il est le symbole de la coopération entre la France et ses anciennes colonies pour ses partisans ou du néo-colonialisme français en Afrique pour ses détracteurs. Sa poésie essentiellement symboliste, fondée sur le chant de la parole incantatoire, est construite sur l'espoir de créer une Civilisation de l'Universel, fédérant les traditions par-delà leurs différences. Par ailleurs, il approfondit le concept de négritude, notion introduite par Aimé Césaire qui la définit ainsi : « La Négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture. ») "La fraternité n'a pas ici bas de pire ennemi que l'égalité." Gustave Thibon (Gustave Thibon (2 septembre 1903 à Saint-Marcel-d'Ardèche, France – 19 janvier 2001) est un philosophe français ) "La fraternité se ressemble." Etienne Jodelle ( Étienne Jodelle, né en 1532 à Paris où il est mort en juillet 1573, est un poète et dramaturge français. Membre de la Pléiade, il s'efforça d'en appliquer les principes à l'art théâtral. Il fut le premier à utiliser l'alexandrin dans la tragédie. Il apparaît comme un précurseur du théâtre à l'antique qui naît dans la seconde moitié du XVIe siècle. Jodelle appartient à la bourgeoisie parisienne, mais il est attiré par la noblesse. Il se présente en effet comme « Sieur du Lymodin ». Il séjourne à Lyon (v. 1550), puis il s'établit à Paris où il se lie avec Jean Antoine de Baïf, Nicolas Denisot et Remy Belleau. Il appartient au cercle du mécène Jean II Brinon. Au début de l'année 1553, il fait représenter la première tragédie humaniste, Cléopâtre captive, et la première comédie humaniste, L'Eugène, devant le roi, à Paris (hôtel de Reims), puis au collège de Boncourt. Pour fêter la première représentation (et « baptiser » la naissance du théâtre à l'antique en France), Jodelle et ses amis de la Pléiade se rendent à Arcueil, où ils procèdent à une cérémonie à l'antique connue sous le nom de « pompe du bouc », qui leur attire les foudres des dévôts. Il est désormais protégé par le cardinal de Lorraine et par Marguerite de France. Il écrit une seconde tragédie, Didon se sacrifiant que Jacques Grévin imite lorsqu'il rédige son César (1561). En 1558, il est chargé par la municipalité de Paris d'organiser un spectacle en l'honneur du roi Henri II qui vient de conquérir Calais. Suite à un certain nombre de catastrophes, cette fête est un échec qui lui vaut la disgrâce. C'est vers ce temps qu'il aurait été condamné à mort. Il s'éloigne de la Cour, puis il finit par y revenir. Il écrit contre les protestants (Contre les ministres de la nouvelle opinion). Jodelle se serait réjoui du massacre de la Saint-Barthélemy.[réf. nécessaire] Il a peut-être fait partie du cercle littéraire de la maréchale de Retz. Jodelle meurt dans la misère en 1573 ; le poète protestant Agrippa d'Aubigné le célèbre dans des Vers funèbres. C'est Charles de La Mothe qui, après la mort du poète, a fait imprimer ses Œuvres et meslanges poëtiques (Paris, N. Chesneau et M. Patisson, 1574). "La liberté et la fraternité sont des mots, tandis que l'égalité est une chose." Henri Barbusse ( Adrien Gustave Henri Barbusse, né à Asnières-sur-Seine le 17 mai 1873 et mort à Moscou le 30 août 19351, est un écrivain français. Il est issu d'une famille protestante d'origine cévenole (attestée au XVIIe siècle) dans un hameau d'Anduze, près d'Alès2. Le milieu littéraire le reconnaît très jeune comme l'un des siens à la suite de sa participation remarquée au concours de poésie de L'Écho de Paris de Catulle Mendès. Son premier recueil de poèmes, Pleureuses, est publié en 1895 (réédité en 1920). Il s'exerce alors professionnellement dans la presse, se tourne vers la prose et publie un premier roman, empreint de décadence et de naturalisme à la fois : L'Enfer, en 1908. En 1914, âgé de 41 ans et malgré des problèmes pulmonaires, il s'engage volontairement dans l'infanterie (malgré ses positions pacifiques d'avant-guerre) et réussit à rejoindre les troupes combattantes en décembre 1914 au 231e régiment d'infanterie avec lequel il participe aux combats en premières lignes jusqu'en 19163. La postérité se souviendra surtout du roman qu'il écrivit sur cette expérience Le Feu, prix Goncourt 1916, récit sur la Première Guerre mondiale dont le réalisme souleva les protestations du public de l'arrière autant que l'enthousiasme de ses camarades de combat. En 1917, il sera cofondateur et premier président de l'Association républicaine des anciens combattants (ARAC)3. Il adhère au Parti communiste français en 1923 et se lie d'amitié avec Lénine et Gorki3. En 1928 il fonde la revue Monde (publié jusqu'en 1935) avec des collaborations mondiales prestigieuses. Admirateur de la Révolution russe (Le Couteau entre les dents, 1921; Voici ce qu'on a fait de la Géorgie, 1929), il anima le mouvement et la revue Clarté et chercha à définir une « littérature prolétarienne ». Il fut l'un des instigateurs du mouvement pacifiste Amsterdam-Pleyel, dont il devient le président avec Romain Rolland et auquel adhéra notamment Albert Camus, dès la prise du pouvoir d'Hitler en Allemagne. Il fit plusieurs voyages en URSS et écrivit une biographie de Staline (1935). C'est à l'occasion d'un de ces voyages qu'il décède à Moscou le 30 août 1935. Selon Arkadi Vaksberg, il serait mort empoisonné, sur l'ordre de Staline4. Lors de ses funérailles à Paris, la population parisienne lui rendit un dernier hommage particulièrement important3. Il a été marié à Hélyonne, fille de Augusta Holmès et Catulle Mendès.Henri Barbusse est enterré au cimetière du Père-Lachaise (division 97, près du mur des Fédérés).Un musée lui est dédié à Aumont-en-Halatte (Oise).)