pourquoi le diable a-t-il des cornes
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pourquoi le diable a-t-il des cornes
POURQUOI LE DIABLE A-T-IL DES CORNES ? Parce que la religion des chrétiens est une secte araméenne fondée sur la religion sumérienne… La religion trinitaire des chrétiens copie la religion trinitaire sumérienne laquelle était composée de 3 divinités : le père An, le fils Enlil, l’esprit ingénieux Enki. Chez les chrétiens le Père, le Fils et le Saint Esprit. Dans la religion sumérienne le fils Enlil détruisit les hommes en les faisant périr par le déluge au motif qu’ils pullulaient et qu’il ne pouvait plus dormir avec le bruit qu’ils produisaient. Le récit sumérien du déluge se trouve dans le poème d’Atrahasis ou le Supersage dont une partie fut traduite par Georges Smith en 1874, et la seconde partie en 1956 suite aux travaux de l’assyriologue danois J.Laessøe. Ce texte constitue la plus ancienne Genèse connue de l’histoire de l’humanité. Un document vieux de 37 siècles calligraphié par un copiste nommé Kasap-Aya. On trouve dans ce texte la relation suivante proférée par Enlil : La rumeur des humains est devenue trop forte J’en suis incommodé Et le sommeil me fuit avec tout ce tapage Commandez donc que leur survienne le déluge Le récit du déluge se retrouve dans « l’épopée de Gilgamesh » avec le rappel de la décision d’Enlil de détruire l’humanité. « Un jour les grands dieux ont décidé de faire un déluge Entre eux ils ont tenu conseil, parmi eux siégeaient leur père An Leur conseiller, le héros Enlil…. » extrait de Le déluge, la plante de l’immortalité Dans la religion des chrétiens le fils sauve les hommes en se faisant mettre à mort. Sans que l’on en comprenne bien la raison exacte de cette immolation suicidaire consentie. Sacrifice, que les autorités religieuses chrétiennes présentent à leurs fidèles comme un mystère, et une preuve d’amour. De mystère aucun, car Enlil ayant détruit l’humanité, sauf [email protected] Page 1 un couple Ziusudra et sa femme sauvé par la divinité ingénieuse Enki contre la volonté d’Enlil. Le Prêcheur des chrétiens imagina nécessaire d’inverser le mythe afin d’en créer un autre pour effacer l’histoire du déluge, élément culturel religieux important à son époque, dont aucune trace archéologique n’a encore été retrouvée. Le sacrifice du fils de dieu constitue le lien en sens inverse entre la religion sumérienne et ses mythes, et la religion des chrétiens, laquelle fait référence au mythe du déluge dans son histoire de la Genèse de l’humanité. On notera que le Prêcheur des chrétiens, s’autoproclamant fils de dieu s’avère en réalité être le fils d’Enki, puisque le Prêcheur des chrétiens naquit de l’insémination artificielle d’une mère porteuse, technique conceptionnelle du Saint Esprit, pratiquée au XXe siècle, inconnue de la Palestine de l’an -4. Or dans la mythologie sumérienne le dieu Enki est un géniteur sexuel pratiquant rituellement l’inceste copulatoire. Le Mythe d’Enki rapporte qu’il féconda sa femme Damgalnunna ou Ninhursag qui lui donna une fille Nintu laquelle eut elle aussi une fille, dans des conditions fécondatrices non rapportées appelée Ninsar. Enki copula avec sa petite fille qui lui donna une arrière petite fille Ninkura. Enki copula avec son arrière petite fille qui lui donna une arrière arrière petite fille Uttu. Il voulu copuler à nouveau avec son arrière arrière petite fille et sa femme Ninhursag intervint alors pour interdire cette fécondation. Puis pénétrant la jeune femme il la baise Lui déversant au giron son sperme Elle reçut en son giron le sperme, le sperme d’Enki La belle femme alors de s’exclamer : oh mes cuisses ! oh mon corps ! oh mon cœur ! Mais Ninhursag lui ôta le sperme des cuisses ! Le Prêcheur des chrétiens se présente comme le fils d’Enki, or dans la dernière grande genèse Babylonienne, le fils d’Enki se nomme Marduk. Plusieurs paroles rapportées par les apôtres des Chrétiens, prêtées au Prêcheur émanent de la dernière grande composition mythologique babylonienne. Notamment ceci : Les fils ne prendront plus souci de la vie de leurs pères Les pères de leurs fils Les mères trameront avec entrain du mal contre leurs filles… Les pères n’écouteront plus leurs fils Et les filles parleront haineusement de leurs mères… On notera que les chrétiens nomment leur dieu Seigneur, appellation sumérienne se rapportant au représentant terrestre d’une divinité dans une ville état de Mésopotamie, le EN, ou ENSI, mots sumériens dont la traduction est seigneur. Alors que les divinités polythéistes de l’époque portaient des surnoms en fonction de leurs pouvoirs, notamment [email protected] Page 2 Jupiter dont la prééminence le plaçait naturellement à devenir un jour le symbole d’une religion monothéiste en devenir le Jupitérisme : Jupiter feretrius à qui l’on porte les dépouilles et les offrandes Jupiter inventor celui qui découvre et qui invente Jupiter capitolinus du capitole Jupiter latialis des peoples latins Jupiter Pistor l’abondance Jupiter maximus le plus grand Jupiter Sponsor le garant, celui qui répond pour vous, qui garanti Jupiter Victor le vainqueur Jupiter herceus le protecteur des propriétés et des biens Jupiter anxurus jupiter du peuple des volsques du latium Jupiter optimus le meilleur de tous les dieux, l’excellent, le très bon Jupiter olympius jupiter olympique, le vainqueur des jeux et des sportifs Jupiter fluvialis le dieu des eaux Alors à quoi correspondent les diables ? Le mot diable, traduit du latin diabolus vient du grec dont la signification est judicaire : l’accusateur. Diable se rapporte au procès et au jugement. Aucun rapport avec un être difforme aux pattes fourchues, dotée d’une queue, de couleur rouge. Pourquoi les cornes ? L’explication se retrouve dans la religion sumérienne. Les dieux de cette époque étaient représentée avec deux cornes sur la tête, parfois même trois leur enserrant le crâne comme un diadème. Ainsi le père du Prêcheur des Chrétiens, le dieu Enki (l’image du verseau des grecs) est lui-même représenté avec plusieurs cornes sur la tête comme dans l’apographie ci après [email protected] Page 3 Ainsi les représentations antiques des divinités, sur lesquelles la secte araméenne du Prêcheur des Chrétiens, est édifiée sert d’iconographie manichéenne à son discours. Le diable au sens des chrétiens n’existe pas, il n’a jamais existé. Le Prêcheur se proclamant luimême le descendant d’une divinité pourvue de cornes. ϕclaude THEBAULT 05/2016 [email protected] Page 4