Validation du programme d`histoire du Québec et du Canada, 3e
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Validation du programme d`histoire du Québec et du Canada, 3e
VALIDATION DU PROGRAMME D’HISTOIRE DU QUÉBEC ET DU CANADA, 3E SECONDAIRE Avis auprès du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport OCTOBRE 2014 La Fédération des établissements d’enseignement privés tient à remercier les membres du comité de travail pour leur généreuse contribution et leur engagement à la réalisation du mandat confié. Coordination et rédaction Normand Brodeur, coordonnateur des services de l’enseignement, FEEP Membres du comité Sylvain Fortin, directeur adjoint 2e cycle du secondaire, Collège Jean de la Mennais, et auteur Sylvain Larose, enseignant d’histoire et d’éducation à la citoyenneté, Collège de Montréal Révision linguistique Mireille Clermont, FEEP Tous droits réservés. Il est interdit de reproduire, d’enregistrer ou de diffuser, en tout ou en partie, le présent ouvrage par quelque procédé que ce soit, électronique, mécanique, photographique, sonore, magnétique, sans avoir obtenu au préalable l’autorisation écrite de l’éditeur (Cadre). Dépôt légal ISBN : 978-2-89170-094-8 VALIDATION| FEEP 2014 2 TABLE DE MATIÈRES PRÉSENTATION DE LA FÉDÉRATION 4 INTRODUCTION 5 1. Présentation de la discipline 6 2. Contexte pédagogique 6 3. Compétence 1 - Caractériser une période de l’histoire du Québec et du Canada 7 4. Compétence 2 - Interpréter une réalité sociale 7 5. Structure du programme et contenu de formation 8 6. La périodisation 8 CONCLUSION 10 MÉDIAGRAPHIE 11 VALIDATION| FEEP 2014 3 PRÉSENTATION DE LA FÉDÉRATION La Fédération des établissements d'enseignement privés regroupe 191 établissements répartis sur l'ensemble du territoire québécois. Ces établissements offrent des services à plus de 110 000 élèves de l'éducation préscolaire et de l'enseignement primaire et secondaire, soit environ 12 % des effectifs scolaires québécois. La très grande majorité des établissements privés, contrairement à ce que l'appellation privée laisse croire, sont en fait des organismes à but non lucratif qui appartiennent à la communauté civile. Certaines sont des coopératives de parents ou d'enseignants. Parmi ses membres, la Fédération compte 12 établissements qui offrent exclusivement des services en adaptation scolaire à des élèves handicapés ou en difficulté d'adaptation et d'apprentissage. La Fédération compte aussi 17 établissements qui possèdent une résidence scolaire. L'école privée est autonome. Elle dispose d'une marge de manœuvre lui permettant de répondre efficacement aux besoins de ses élèves et de s'adapter aux exigences d'une société en changement. Autrefois associée à l'élite, l'école privée s'est démocratisée et offre aujourd'hui une série de programmes et de mesures pour accueillir des élèves aux profils variés et de différents milieux socioéconomiques pour les amener à la réussite. Enfin, la Fédération contribue au développement de l’éducation au Québec en produisant des études et des recherches, en participant activement à différents groupes de travail ministériels, en encourageant et en soutenant le développement de ses membres. VALIDATION| FEEP 2014 4 INTRODUCTION La Fédération des établissements d’enseignement privés remercie le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport pour son invitation à contribuer à l’opération de validation du programme d’Histoire du Québec et du Canada, pour la 3e secondaire. L'an dernier, au moment de la consultation Pour le renforcement de l’enseignement de l’histoire nationale au primaire et au secondaire, la FEEP avait souligné l’importance de maintenir une approche par compétences, afin d’amener les élèves à réfléchir sur l’histoire plutôt que d’apprendre l’histoire en accumulant une somme de connaissances. Tout d’abord, les compétences proposées pour le nouveau programme d’Histoire du Québec et du Canada, bien qu’elles soulèvent des questions, ne remettent pas en cause l’essence même du Programme de formation de l’école québécoise (PFEQ). Les craintes d’un retour à l’enseignement traditionnel soulevées par la FEEP se sont donc apaisées. La FEEP salue cette décision. Ensuite, la FEEP remarque que la direction des programmes a opté pour un retour à l’enseignement de l’histoire plus traditionnel par l’espace accordé aux évènements politiques. Ce choix d’enseigner une histoire qui s’appuie davantage sur l’évènementiel politique aura pour effet de présenter aux élèves une histoire moins totale, moins englobante et manifestement moins culturelle. Enfin, la FEEP salue le maintien de l’approche socioconstructiviste du programme d’Histoire du Québec et du Canada : ce qui permettra aux élèves du Québec de continuer à effectuer des opérations intellectuelles si essentielles pour l’analyse et l’interprétation de l’histoire. La Fédération s’étonne encore une fois du trop court laps de temps accordé à la validation du programme d’Histoire du Québec et du Canada, comme cela avait été le cas lors de la consultation Pour le renforcement de l’enseignement de l’histoire nationale au primaire et au secondaire l’an dernier. VALIDATION| FEEP 2014 5 1. Présentation de la discipline D’entrée de jeu, la présentation de la discipline ne laisse place à aucun doute quant à l’intention d’offrir un angle plus national à l’enseignement de l’histoire tel qu’il se vit présentement. Les termes « parcours d’une nation » ou encore « l’aventure singulière du Québec » reviennent de façon récurrente dans le document soumis à la consultation. Or, malgré cette visée plus nationale, la Fédération apprécie la mise en perspective de l’histoire du Québec pour l’inscrire dans un contexte sociohistorique plus large : soit en l’associant aux contextes canadien, nord-américain et mondial. Le choix d’opter pour une perspective historique élargie permettra surement aux élèves de mieux saisir leur histoire. Il en va autrement avec la notion de citoyenneté. Cette dernière compétence est ramenée à une simple mention dans les visées du programme en tant que participation sociale. Ce timide effort pour maintenir la notion citoyenne risque d’être complètement obnubilé, d’autant qu’elle ne fait plus partie des compétences du nouveau programme et encore moins de l’épreuve unique de fin d’année en 4e secondaire. La Fédération estime que l’approche de l’histoire, bien que très nationale, gagnera à être mise en perspective avec le contexte sociohistorique national et international, mais déplore la disparition de la compétence liée à la citoyenneté. 2. Contexte pédagogique La Fédération apprécie que l’approche socioconstructiviste du programme d’histoire soit réaffirmée dès les premières lignes de présentation du contexte pédagogique et qu’elle fasse partie des deux compétences du nouveau programme d’Histoire du Québec et du Canada. Toutefois, la Fédération s’inquiète en lisant que « les informations sont transmises par l’enseignant 1» ou que l’enseignant « transmet et narre »2. Cette sélection de vocabulaire laisse entrevoir un net recul quant aux choix des stratégies pédagogiques que l’enseignant aura à déployer pour créer les interactions nécessaires à l’apprentissage dynamique de l’histoire. Ces termes semblent également valoriser un retour à un enseignement de type magistral, donc plus traditionnel. Inutile d’insister trop longuement pour dire que les recherches récentes en didactique nous mettent en garde quant à de telles stratégies. On conviendra que la transmission ou la narration ne représentent guère une pédagogie réellement compatible avec approche socioconstructiviste. Aussi, la Fédération ne peut passer sous silence la mention faite au sujet des enseignants d’histoire en tant que professionnels « spécialistes de l’histoire du Québec et du Canada ».3 Comment prétendre à ce titre quand les enseignants n’ont accès qu’à trois ou quatre cours d’histoire dans l’ensemble de leur formation initiale? C’est à tout le moins présomptueux. 1 Programme provisoire Histoire du Québec et du Canada (MELS 2014). p. 8 Ibid. p. 9 3 Ibid. 2 VALIDATION| FEEP 2014 6 Seule une éventuelle révision en profondeur du programme de formation des enseignants d’histoire permettrait une telle prétention. Au même titre, par exemple, que les enseignants de mathématique ou de français dont le parcours universitaire impose soixante crédits de formation dans leur discipline respective, les futurs enseignants d’histoire auraient tout à gagner d’un tel réaménagement. La Fédération est d’avis qu’une profonde réflexion doit être entreprise à l’égard de la formation des futurs enseignants d’histoire. Enfin, la Fédération reconnait les efforts entrepris pour amener les enseignants et les élèves à se servir, entre autres, des technologies de l’information et de la communication à divers moments du cours d’histoire. Celles-ci permettent la consultation d’une quantité impressionnante de documents et une grande diversité des sources, notamment pour la création des séquences d’enseignement. Or, le développement de compétences en histoire, notamment la mise en œuvre de la méthode historique et l’analyse des sources, relève d’un cheminement qui doit s’inscrire dans une perspective graduée. On ne saurait concevoir un programme qui suggère que l’élève procède, par exemple, à une analyse de sources en mettant en œuvre un protocole méthodologique similaire de septembre à juin. Bien au contraire, il faut concevoir un programme qui propose un parcours gradué qui fera en sorte que l’élève sera confronté à des tâches de plus en plus complexes lui demandant de déployer au fil de l’année scolaire un protocole méthodologique plus raffiné. Le programme qui nous est proposé fait abstraction d’une telle préoccupation. La Fédération est d’avis qu’un programme qui présenterait un cheminement pédagogique gradué pour certaines composantes du programme – et qui ne sont pas les moindres - telles que la maitrise de la méthode historique et l’analyse des sources, permettrait de préciser le parcours permettant d’atteindre les finalités d’apprentissage. Cela permettrait également de guider les enseignants quant à la planification à construire alors que présentement, sur le terrain, les interprétations pullulent. 3. Compétence 1 - Caractériser une période de l’histoire du Québec et du Canada La Fédération reconnait l’importance de cette nouvelle compétence qui interpelle les élèves à devoir maitriser des connaissances pour décrire et expliquer une réalité historique; pour mettre en relation des évènements et pour les aider à défendre leur opinion. Cette nouvelle compétence fait appel à des opérations de type intellectuel nécessaires à une bonne compréhension des phénomènes historiques du Québec et du Canada. 4. Compétence 2 - Interpréter une réalité sociale La Fédération reconnait la compétence du programme d’Histoire et d’éducation à la citoyenneté et s’en réjouit. Cette compétence d’ordre méthodologique fait appel à la rigueur de la méthode historique en tant qu’habileté intellectuelle essentielle à l’étude de l’histoire : habileté à développer et à perfectionner tout au long du programme, comme cela est mentionné à juste titre. VALIDATION| FEEP 2014 7 La Fédération s’étonne toutefois de voir réapparaitre deux des trois critères d’évaluation de la compétence 1 dans la liste des critères d’évaluation de la compétence 2, à savoir : la maitrise des connaissances et l’utilisation appropriée des connaissances. La compétence 2, Interpréter une réalité sociale, correspond à un savoir-faire, alors que les deux tiers des critères d’évaluation reposent sur l’acquisition de connaissances. La Fédération se questionne à savoir pourquoi les rédacteurs du programme d’Histoire du Québec et du Canada ont pris l’initiative de fractionner l’évaluation des connaissances dans les deux compétences du nouveau programme. Faudrait-il y voir des considérations autres que celles liées à la maitrise du programme d’histoire? 5. Structure du programme et contenu de formation La Fédération remarque le retour de concepts particuliers dans l’élaboration du nouveau programme et y voit là un apport positif à l’enseignement de l’histoire. Par contre, pour la compétence 1, nulle part il n’est expliqué en quoi la « périodisation retenue pour le présent programme a été établie de manière à rendre plus intelligible l’étude de la singularisation de la société québécoise. »4 Le programme d’Histoire du Québec et du Canada de 1982 ne s’appuyait-il pas sur une telle périodisation qui a été diluée par la suite? Les réalités sociales retenues à la compétence 2 sont des réalités sociales du passé, peut-on lire. La Fédération y perçoit une disparition des aller-retour propres au programme actuel d’histoire au profit d’une contextualisation davantage sociohistorique, ce qui est de bon augure. La Fédération s’inquiète à nouveau lorsqu’il est réaffirmé que les connaissances historiques ne sont pas spécifiques à l’une ou l’autre des compétences. Enfin, la Fédération est heureuse de constater que les techniques proposées pour interpréter une réalité sociale sont demeurées les mêmes que celles du programme actuel. Ces techniques contribuent à l’élaboration d’une méthode historique importante pour l’interprétation des phénomènes. 6. La périodisation La Fédération a relevé une série d’imprécisions dans la présentation des contenus propres à chacune des périodes mentionnées. Pour la période 1500-1608, il est dit que les « Iroquoiens, Algonquiens et Inuits se partagent les ressources de la vallée du Saint-Laurent et du Bouclier canadien »5 quand seuls les Inuits le feront dans le Bouclier canadien. De même, il est mentionné que le premier contact entre les Amérindiens et les Européens date du XVIe siècle. Cette affirmation fait fi de contacts bien antérieurs avec les Vikings. 4 5 Op. cit. p. 19. Ibid p. 22 VALIDATION| FEEP 2014 8 Le titre de cette période L’expérience des Amérindiens dans le projet de colonie laisse entendre qu’il sera question des interactions entre les divers peuples concernés. Plus précisément, le programme a pour objectif de permettre aux élèves de saisir « comment la connaissance du territoire par les Amérindiens a contribué à l’exploitation de ses ressources par les Français ainsi qu’à leurs tentatives d’établissements »6. Or, avec une telle formulation, ce n’est pas tant l’Amérindien comme tel qui fait objet d’étude (son mode de vie, sa culture, ses croyances, etc.), mais en quoi il permet de mieux comprendre les conditions de la colonisation française. Un tel objectif pédagogique est d’un ethnocentrisme qui tranche avec la littérature récente où les historiens se sont efforcés de redonner à l’Amérindien sa juste place dans l’histoire. On retrouve ici un relent de l’historiographie traditionnelle canadienne-française (antérieure à la Révolution tranquille) où l’Amérindien devenait un objet d’étude pertinent que dans la mesure où il était en interaction avec le Français. Curieusement, lorsque l’on porte attention au contenu de la réalité sociale, on découvre que les thématiques permettent bien plus de connaitre la culture amérindienne (#1, 2, 3, 4, 5, 6) que de comprendre comment les Amérindiens ont permis aux Français d’exploiter les ressources du territoire et de s’y établir (#7 et 8). Il existe ici une intention d’apprentissage – comment la connaissance du territoire par les Amérindiens a permis aux Français d’en exploiter les ressources et de s’y établir – qui apparait fortement désincarnée quant au contenu d’apprentissage. La Fédération est d’avis qu’il apparait impératif de réécrire le titre de cette réalité sociale et de redéfinir l’intention d’apprentissage afin qu’ils soient en harmonie avec le contenu des apprentissages centré sur la culture amérindienne. Enfin, la disparition des Inuits comme objet d’apprentissage doit être soulignée, car le libellé de la réalité sociale mentionne « Amérindiens » et non « Autochtones ». Le titre de la période 1608-1760, L'émergence de la société sous l'autorité de la métropole française, étonne la Fédération par son absence de qualification de la société. De quelle société s’agit-il? La société canadienne, la société canadienne-française? Dans la présentation, il est souhaité que les élèves soient en mesure de caractériser cette période où la société est en construction, mais nulle part il n’est mentionné de quelle société il est fondamentalement question. La Fédération y voit là une grave lacune. La période 1760-1791 relève presque du statuquo. Seuls quelques éléments du programme y sont précisés et ajoutés comme la Conquête et les conditions imposées aux Canadiens. La Fédération n’a pas d’objections quant au contenu de cette période. Enfin, la Fédération note une orientation nettement plus nationale pour la période 17911840. L’appellation de la période elle-même (Les revendications et luttes nationales) ne laisse place à aucun doute quant à cette volonté des rédacteurs. Il en est de même dans la description où il est demandé que les élèves soient en mesure « d’expliquer la montée du nationalisme dans une colonie en quête d’autonomie politique »7 La Fédération reconnait heureusement la mise en perspective de cette montée nationaliste dans le mouvement occidental de libération nationale. Cette contextualisation mondiale est un apport positif à la compréhension de cette période. 6 7 Op. cit. p. 23 Ibid p. 40 VALIDATION| FEEP 2014 9 CONCLUSION Le Programme provisoire d’Histoire du Québec et du Canada plait et étonne à la fois la Fédération, car l’approche socioconstructiviste du programme demeure avec le choix des deux compétences. Toutefois, le retour en force des connaissances en tant que critères d’évaluation des deux compétences, soulève de vives inquiétudes. Les objets principaux du programme prônent un retour systématique à l’enseignement des connaissances pour une histoire nettement plus socioéconomique et politique et beaucoup moins culturelle. Le choix d’un programme qui s’appuie davantage sur l’évènementiel politique, les grands hommes et les batailles, évacue par le fait même toutes références aux notions de la vie quotidienne des gens qui ont fait l’histoire. Ainsi, le nouveau programme propose un enseignement de l’histoire qui sera moins global et où les notions de littérature, d’art, des mentalités, des valeurs et de la vie spirituelle seront obnubilées. La Fédération déplore l’incohérence de la réalité sociale portant sur les Amérindiens et recommande la réécriture des objectifs d’apprentissage. En contrepartie, pour les réalités sociales qui succèdent à celle des Amérindiens, la Fédération approuve la contextualisation des évènements dans un cadre historique mondial. Pour terminer, la Fédération souhaite que les stratégies d’enseignement proposées aux enseignants d’histoire mettent davantage l’accent sur une pédagogie socioconstructiviste, et ce, afin de mettre moins à l’honneur une pédagogie traditionnelle comme la narration. La Fédération émet aussi le vœu que les critères d’évaluation de la compétence 2 soient revus, afin de mieux représenter le savoir-faire attendu. VALIDATION| FEEP 2014 10 MÉDIAGRAPHIE Programme de formation de l’école québécoise, préscolaire, primaire, secondaire et cadres de référence en évaluation des apprentissages (MELS 2013) http://www1.mels.gouv.qc.ca/sections/programmeFormation/ Politique d’évaluation des apprentissages (MELS 2003) http://www.mels.gouv.qc.ca/fileadmin/site_web/documents/publications/EPEPS/Formation_jeu nes/Evaluation/13-4602.pdf Loi sur l’instruction publique, L.R.Q., c.l-13.3, art L.I.P. http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/I_ 13_3/I13_3.html Loi sur l’enseignement privé http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/E_ 9_1/E9_1.html Régime pédagogique (MELS 2013) http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=//I_ 13_3/I13_3R8.htm Guide de gestion de la sanction des études et des épreuves ministérielles : Formation générale des jeunes; Formation générale des adultes; Formation professionnelle, Édition 2012 http://www.mels.gouv.qc.ca/fileadmin/site_web/documents/publications/EPEPS/Sanction_etud es/GuideDeGestion2012_DSE_fr_s.pdf La progression des apprentissages au primaire (MELS 2011) http://www1.mels.gouv.qc.ca/progressionPrimaire/ La progression des apprentissages au secondaire (MELS 2012) http://www1.mels.gouv.qc.ca/progressionSecondaire/ Pour le renforcement de l’enseignement de l’histoire nationale au primaire et au secondaire : Avis auprès du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (FEEP 2013) VALIDATION| FEEP 2014 11