hotel arras lavedan

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Archives Pyrénéennes : Architecture et urbanisme
ARTIGALET (Fernand), "Environnement...s...architecturaux", En Baredyo, 1981, n° 4, pp. 9-17.
Réflexions sur l'architecture montagnarde d'hier et d'aujourd'hui, accompagnées de trente photos de
bâtiments anciens et modernes, priées en vallée de Barège principalement.
ARTIGALET (Fernand), "Le monument aux morts de la guerre 1914-1918; son financement". En
Baredyo, 1982, n° 2, pp. 21-24.
Budget et réflexions sur l'érection du monument aux morts de Luz, inauguré le 11 novembre 1922.
BARROS (François de), MARCOS (Mariano), CAILLAU (Agnès), LAVIGNE (Etienne). Les villages en
Pays toy. Etude sur l'architecture et l'espace bâti, Pau, 1980, n.p.
Analyse méthodique et approfondie de Vise os, Chèze, Vizos, Grust, Vie y, Viella, Sers, Saligos, Betpouey,
Sazos, Sas sis, Esquièze, Esterre, Sere et Barèges. Résultats présentés par de nombreux et beaux dessins et
relevés, pour aider à mieux connaître le patrimoine bâti, à poursuivre l'ouvrage du village et l'art de l'habiter
(C.A.U.E. des H.-P.).
BARROS (François de), De la nature à la culture, dans Vieilles Maisons françaises, février 1993, n°
146 Hautes-Pyrénées, pp. 34-39.
L’auteur analyse les paysages de notre département en opposant le peigné (c’est-à-dire le cultivé) au sauvage,
en montrant l’importance des routes (routes d’utilité et de plaisir) qui se transforment en rues dans la traversée
des bourgs et des villages, et en dégageant enfin l’extrême diversité des implantations humaines, différentes à
l’intérieur d’un même petit pays. L’article nous donne, en outre, une multitude d’exemples précis qu’on souhaite
approfondir. (R.V.)
BERNAD (Pedro Miguel), JUVE (Angel), Architectures montagnardes, dans Mont Perdu Patrimoine
Mondial. Actes des rencontres organisées à Gavarnie le 4 novembre 1995, Gavarnie, 1995, n.p.
Pedro Miguel Bernad étudie le patrimoine architectural de la région de Aïnsa, caractérisé par la solidité, la
durabilité et le fait que ce patrimoine reste vivant. De nombreux exemples sont décrits et renvoient à 6 pages de
photographies en couleurs. Angel Juve se penche, quant à lui, sur la grange ou borde de montagne (avec 3
photographies en couleurs) en Andorre. (R.V.)
BIDART (Pierre), COLLOMB (Gérard), Pays aquitains. Bordelais, Gascogne, Pays basque, Béarn,
Bigorre, Paris, 1984, 255 p.
Cette étude d’architecture rurale, après une introduction fournie (architecture et société, matériaux et
techniques de construction...), présente des études monographiques dans lesquelles la Bigorre figure aux côtés du
Béarn et des vallées pyrénéennes. Ces études portent sur Visker (pp. 236-239), Arrens (pp. 244-247) et Campan
(pp. 248-251). (R.V.)
BORDES (Maurice), « Pays aquitains, Bordelais, Gascogne, pays basque, Béarn, Bigorre », Bulletin
de la Société archéologique du Gers, 1985 (3e trimestre), p. 327.
Compte-rendu de l’ouvrage de BIDART (P.) et COLLOMB (G.), qui concerne l’architecture rurale.
BOUCAY (V.), "Le mausolée de Solférino", En Baredyo, 3e trimestre 1976, p. 1-2.
Après bien des péripéties, y a été inhumé sous le Second Empire le corps du père de Lombes, capucin mort à
Saint-Sauveur en 1778.
BOUCAY (V.), "Le mausolée de Solférino", En Baredyo, 3e trimestre 1976, p. 1-2.
Après bien des péripéties, y a été inhumé sous le Second Empire le corps du père de Lombes, capucin mort à
Saint-Sauveur en 1778.
BUISAN (Georges), Là-haut sur la montagne, dans Vieilles Maisons françaises, février 1993, n°
146 Hautes-Pyrénées, pp. 56-61.
L’auteur nous présente les cabanes de bergers à pierre sèche, les hospices ou hôpitaux de montagne, refuge
des voyageurs du passé, et les refuges, abris des randonneurs et des pyrénéistes. (R.V.)
BUISAN (Georges), « Un type de maison élémentaire en vallée de Campan », Revue de Comminges,
1989 (1er trimestre), pp. 195-207.
Monographie de la maison-grange caractéristique de la vallée de Campan : situation, description, évolution.
CASSANHET (Guidou), "Vic-Bigorre, bastide ou pas bastide ?", Reclams de Biarn e Cascougne,
1984, n° 3-4, pp. 42-47.
Vie ne fut jamais ni juridiquement ni de droit une bastide, mais un vieux foyer de peuplement érigé en
castelnau en 1151 et qui s'agrandit plus tard en ville. Plan cavalier.
CAYLA (A.), Architecture paysanne de Guyenne et Gascogne, 1980, 125 p.
Intéresse surtout les Landes, le Lot et Garonne, le Gers. Etudes des bâtiments : murs, toitures, ouvertures,
dépendances. Très nombreuses photographies.
COQUEREL (R.) et VIE (R.), "Les cheminées de Calavanté", Pédagogie 65, 1978, n° 7.
Présentation des ruines d'une des plus importantes maisons de Calavanté, abandonnée à la suite de l'orage de
grêle de 1936.
DOSSAT (Yves), Catharisme et Comminges, Auch, 1976, 12 p.
Analyse critique de la rare documentation existante, qui conduit l’auteur à affirmer qu’il n’y a pas eu de
catharisme en Comminges. (R.V.)
DUCOS (Jean-Henri), Cent et un châteaux, dans Vieilles Maisons françaises, février 1993, n° 146
Hautes-Pyrénées, pp. 62-69.
L’auteur fait d’abord la distinction entre les « villas » construites au XIXe siècle le plus souvent, et les
« châteaux » près desquels ne subsistent souvent que les attributs valorisants, mottes et tours. Il explique ensuite
le nombre réduit et la modestie des châteaux médiévaux par une économie défavorable (seigneuries ou
coseigneuries très réduites ; les grandes et riches familles ne résident pas ; carrière militaire et charges
rappportent trop peu...). Ces constructions modestes et dont les techniques archaïques de construction se
perpétuent ont cependant de bonnes qualités défensives liées aux sites et au parti pris de la hauteur. (R.V.)
FORTASSIN (François), Les Hautes-Pyrénées... ont du caractère, dans Vieilles Maisons françaises,
février 1993, n° 146 Hautes-Pyrénées, p. 18.
L’originalité de l’architecture et du patrimoine historique du département, par le président du Conseil général.
(R.V.)
GUITTON (Philippe), "L'architecture à Bagnères", Bulletin de la Société Ramond, 1982, pp. 13-24.
L'étude à travers le temps des différents types d'édifices mais aussi des aménagements urbains successifs, la
mise en lumière des caractères de la maison bagne rais e -importance des galeries, monumentalité des
lucarnes, forte influence de l'architecture thermale- aboutissent à une intéressante réflexion sur l'espace
public moderne et sur les moyens à trouver pour assurer une nouvelle continuité à l'architecture bagnéraise.
Les Hautes-Pyrénées, dans Vieilles Maisons françaises, février 1993, n° 146, 122 p.
Après une brève présentation (F. Léonelli, F. Fortassin), l’ouvrage s’attache à nous montrer la spécificité du
territoire départemental à travers :
Espaces et Temps (J.-F. Le Nail), pp. 20-25 ;
Les héros de la montagne (J.-V. Parant), pp. 26-29 ;
L’art et la matière (B. Voinchet), pp. 30-33 ;
De la nature à la culture (F. de Barros), pp. 34-39.
Ensuite viennent les études portant sur :
Quand la maison s’appelle « casal » (M. Marcos), pp. 40-47 ;
Ouvrages d’eau (E. Lavigne), pp. 48-55 ;
Là-haut sur la montagne (G. Buisan), pp. 56-61 ;
Cent et un châteaux (J.-H. Ducos), pp. 62-69 ;
Maisons de Dieu, des saints et des hommes (F. Marcos), pp. 70-77 ;
Traditions mariales (X. Recroix), pp. 78-83 ;
La maison du cheval tarbais (J.-F. Nantet et M. Marcos), pp. 84-86 ;
Le mythe de la caverne (J. Omnès), pp. 87-89.
Une dernière partie propose l’inventaire des sites à découvrir dans notre département :
A voir (J. Mouniq), pp. 90-96 ;
Le château fort de Lourdes (G. Marsan), p. 93 ;
Le musée Massey (E. Pawlak), p. 94. (R.V.)
HERAUT (Jules), "Recherches de vestiges de remparts du Bourg vieux, du Bourg neuf et du Portail
d'avant de Tarbes", Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées, 1980-1981, pp. 8599.
Après de patientes et obstinées recherches dans les Archives et surtout sur le terrain, l'auteur a retrouvé de
nombreux vestiges des remparts qui protégeaient chacun de ces trois quartiers.
HERAUT (J.) et DUBOS (C.), Tarbes jadis. Maquettes et documents. Exposition présentée par la
Société académique des Hautes-Pyrénées à la Bibliothèque municipale de Tarbes, 9 février-8 mars
1980, Tarbes, 1980, 4 p.
Liste des plans et documents d'archives intéressant des anciens quartiers : Bourg vieux. Bourg neuf. Portail.
d'Avant allant du XVIIe au XIXe siècle, et ayant servi pour la confection d'une maquette représentant la partie Est
du Bourg Vieux à la fin du XIXe siècle.
LACARCE (G.), "Alignement architectural au temps de Louis Philippe", La Dépêche du Midi, (HautesPyrénées), 5 et 6 septembre 1979.
Le centre de la ville de Vic-Bigorre : place d'Orléans (près de la Halle) et le pont la reliant à la place La
Fayette (actuellement Gambetta). Les démêlés de H. de Buzon avec l'administration.
LACARCE (G.), "Autour de la fontaine de Monda", La Dépêche du Midi (Hautes-Pyrénées), II, 18,
19, 20 octobre 1979.
Pompe habillée en monument située au Sud de la place de Verdun à Vic-Bigorre. Son histoire d'après les
archives conservées à la mairie de Vie.
LASSURE (Christian et Jean-Michel), "Tuiles et carreaux et inscription trouvés dans le Gers, les
Hautes-Pyrénées et les Landes", L'architecture vernaculaire, 1982, pp. 84-89.
Description et relevé d'une tuile à crochet portant la. date de 1788 provenant d'une église indéterminée des
Hautes-Pyrénées.
LASSUS (Simone de), « Valmirande », Revue de Comminges, 1991 (2e trimestre), pp. 265-286.
Histoire du château de Valmirande construit entre 1893 et 1899 par le baron Bertrand de Lassus. La
construction est pour l’essentiel due à l’architecte bordelais Louis Garros, le dessin du parc au paysagiste Eugène
Bühler, puis à René-Edouard André. L’origine auroise des Lassus et la position « frontalière » de Valmirande
permettent aux Hautes-Pyrénées de revendiquer une petite part -toute morale- du patrimoine culturel
extraordinaire constitué par ce domaine familial.
LAVIGNE (Etienne), Ouvrages d’eau, dans Vieilles Maisons françaises, février 1993, n° 146
Hautes-Pyrénées, pp. 48-55.
Etienne Lavigne nous présente les architectures de l’eau, utilitaires ou créées pour l’embellissement des lieux.
Il étudie d’abord les moulins, construits avec les rudes matériaux du terroir, puis les fontaines souvent
monumentales qui marquent l’espace public au cœur des villes et des villages. Il nous décrit ensuite les lavoirs et les
canaux de la plaine qui, dans les villages, se lient à l’architecture, puis l’architecture thermale de nos « villes
d’eaux ». Il enchaîne ensuite avec les ouvrages d’art (ponts), puis les barrages et les centrales hydro-électriques.
Au total, tout cela constitue un patrimoine à redécouvrir. (R.V.)
LE NAIL (Jean-François), Espaces et temps, dans Vieilles Maisons françaises, février 1993, n° 146
Hautes-Pyrénées, pp. 20-25.
L’auteur présente brièvement la « montagne, monument géologique », quelques repères historiques et les
composantes principales de l’architecture « fonctionnelle », à l’intérieur de paysages urbains des bourgs et des
villages « chargés de marques historiques ». Les Hautes-Pyrénées sont, en outre, caractérisées par une vocation au
transit et à l’échange, encore perceptible grâce au quadrillage ancien des voies de communication et à l’influence
des modes et des courants artistiques extérieurs, repérables dans les monuments anciens. (R.V.)
LEONELLI (François), Les Hautes-Pyrénées, dans Vieilles Maisons françaises, février 1993, n° 146
Hautes-Pyrénées, p. 17.
Brève présentation de notre département, par le préfet des Hautes-Pyrénées. (R.V.)
LONGUE (J.), "Thermalisme et architecture thermale dans les Hautes Pyrénées", Lavedan et pays
toy, 1980, p. 119—129.
Le XIXe siècle a vu, dans les Hautes-Pyrénées, la reconstruction presque totale des bâtiments destinés au
traitement et à l'accueil des curistes : à Bagnères, Barèges, Luz, Saint-Sauveur et Cauterets, les deux premiers
tiers du siècle voient le recours à une architecture typée localement, le dernier tiers, à une architecture plus
standardisée.
LOUBERGÉ (Jean), Les anciennes maisons rurales des pays de l’Adour, Pau, 119 p., ill.
Un ouvrage important, car « la maison est à la fois le reflet de la vie des hommes, de leur effort physique, de
leur pensée, de leur état social et de leur degré d’évolution ». La présentation générale fait la part de l’histoire et
de la géographie, pour déboucher sur les différences de mise en valeur des différentes régions concernées par
l’étude. L’auteur explique ensuite son classement en 2 catégories principales de maisons paysannes : les maisons qui
ont la façade sous le faîtage du toit (maison basque), et les maisons qui ont la façade sous la pente du toit (maisons
des Hautes-Pyrénées et du Béarn). L’étude régionale qui suit fait une grande place à la 2e catégorie (p. 58 et
suivantes) avec les fermes du bas pays béarno-bigourdan (p. 63), les maisons des montagnes béarno-bigourdanes (p.
75 et suivantes) où chaque vallée est détaillée puis, enfin, les maisons de transition (p. 88 et suivantes) où figurent
le nord des Hautes-Pyrénées et le sud-ouest du Gers (p. 94). Dans cette région, la présence d’argile dans la
construction et la maison basse surmontée d’un petit fronton triangulaire annoncent déjà la Gascogne et le pays
toulousain. Cet ouvrage de référence est agrémenté de plans, croquis et photographies (certaines en couleurs) qui
illustrent parfaitement le texte. Cartes (surtout celle p. 62), glossaire des termes techniques et des termes
régionaux, annexes (transcription de 2 documents d’archives datés du XVIIIe s.) , bibliographie classée et liste des
organismes s’intéressant à la sauvegarde des vieilles maisons, en font un outil de travail indispensable. (R.V.)
MAGOT (Jean), "L'architecture rurale du Magnoac", Bulletin de la Société académique des HautesPyrénées, 1980-1981, pp. 108-111.
L'utilisation de l'argile comme matériau essentiel, renforcée de galets de grès et de colombages, confère
aux maisons rurales de Magnoac une grande simplicité. Deux croquis illustrent l'article.
MARCOS (Mariano), Architecture et paysages des vallées haut-pyrénéennes, dans Les Cahiers de
l’Administration, Paris, 1994, pp. 24-27.
Les paysages de montagne et le village pyrénéen. (R.V.)
MARCOS (Mariano), Quand la maison s’appelle « casal », dans Vieilles Maisons françaises, février
1993, n° 146 Hautes-Pyrénées, pp. 40-47.
L’article, illustré de nombreuses photographies qui éclairent le texte, étudie l’extrême diversité des
constructions traditionnelles à travers les portails, le toit, la lucarne et la cheminée, la porte d’entrée, la façade, la
cour et les bâtiments secondaires... L’auteur essaie enfin de dégager quelques points communs à ces constructions,
et il les trouve essentiellement dans une « composition très classique, équilibrée, sereine et stable... ». (R.V.)
MARREY (Bernard) et MONNET (Jean-Pierre), La grande histoire des serres et des Jardins
d'hiver, France 1780-1900, s.l.n.d. [1984], pp. 90-92.
La serre du jardin Massey, avec photo en couleurs et plans.
MENDIETA (Santiago), « Tostat : perdu sur tapis vert », Pyrénées Magazine, hiver 1994-95 (n°
hors-série), pp. 28-33.
Présentation du château de Tostat et photos d’intérieur et d’extérieur (avec planches en couleurs).
MICHOU (Lucienne), "De la place de la Portète à la place Jean Jaurès", Bulletin de la Société
académique des Hautes-Pyrénées, 1982-1983, pp.83-87.
Aspect de la Portète à la fin du XÏX~ siècle. La démolition du château comtal en 1899. La Portète devient place
de la République avec la. statue de Danton. La nouvelle mairie et la démolition de l'hôtel de Castelnau.
MORISSON (Béatrice), « Le modern style à Tarbes et à Bagnères-de-Bigorre », Bulletin de la
Société Ramond, 1985, pp. 57-64.
Après une définition de cet « art nouveau », l’auteur analyse les différents édifices concernés : les
équipements collectifs (gares, halles...), les magasins (comme les Nouvelles Galeries, les Dames de France, Burton...
rue des Grands Fossés à Tarbes), les hôtels (comme le Moderne à Tarbes), et enfin les maisons particulières.
NANTET (Jean-François), MARCOS (Mariano), La maison du cheval tarbais, dans Vieilles Maisons
françaises, février 1993, n° 146 Hautes-Pyrénées, pp. 84-86.
La création et l’évolution des haras ; la restauration de l’écurie construite en 1881 par Larrieu. (R.V.)
PARROU (Annette), « Les vieilles maisons d’Arras-en-Lavedan (cœur du village) », Lavedan et Pays
Toy, 1992 (tome XIV), pp. 105-108.
Précieux recensement de maisons anciennes du village d’Arras-en-Lavedan, avec leur nom connu au XIXe siècle
et l’identité de leur actuel occupant.
PARROU (Annette), PARROU (C.), "1882-1982 : le centenaire de La désirée d'Arras-en-Lavedan",
Lavedan et pays toy, 1983, n° 15, pp. 322-325.
Le financement, la construction, l'histoire de la fontaine publique.
PARROU (Annette), « Les vieilles maisons de Nestalas », Lavedan et Pays Toy, 1994 (n° 25), pp.
153-158.
L’auteur a cherché à mettre en relation les maisons figurant sur le « rolle » de capitation de 1695, le livre
terrier de 1761 et l’état des sections du cadastre de 1825.
PICARD (Jean-Charles), dir., Les chanoines dans la ville. Recherches sur la topographie des
quartiers canoniaux en France, Paris, 1994, 424 p.
Ouvrage de référence, même si notre région n’est représentée que par Auch et Toulouse. (R.V.)
RIVALS (Cl.), Midi toulousain et pyrénéen. Paris, 1979, 350 p.
(L'architecture rurale française. Corpus des genres, des types et des variantes). Des renseignements qui
peuvent intéresser les confins des Hautes-Pyrénées, de la Haute-Garonne et du Gers. Nombreux plans et photos.
"Des rues-piétons prochainement dans les Hautes-Pyrénées", L'Essor de la Bigorre, 1979, n° 89.
Ce qu'est une rue-piétons. Les clés de sa réussite. Aménagements et conséquences.
SILVA (Daniel), « 150 ans d’urbanisme à Bagnères de 1714 à 1864 », Bulletin de la Société
Ramond, 1983, pp. 15-28, 1984, pp. 139-156.
La première partie (1714-1814) s’efforce d’analyser les premiers documents graphiques concernant Bagnères :
les coustous en 1650, les plans de 1714, 1771 et 1789... La période 1814-1864 est mieux connue grâce à de
nombreuses lithographies de Villain et de Dandiran, que l’auteur analyse succinctement. Pour 1864, il nous présente
de nombreux plans accompagnant des projets d’urbanisme qui ne seront jamais réalisés. La qualité des
reproductions n’est pas toujours parfaite, mais l’article est précieux pour qui veut connaître le Bagnères ancien.
VOINCHET (Bernard), L’art et la matière, dans Vieilles Maisons françaises, février 1993, n° 146
Hautes-Pyrénées, pp. 30-33.
La grande variété géologique et des sols de notre département ont conduit à l’utilisation de nombreux
matériaux de construction : murs d’argile et galets dans le Magnoac, murs de galets de la plaine de Tarbes, ardoise
au sud, tuile au nord, pin en montagne, chêne en plaine... (R.V.)