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LE JOURNAL DE N° 14 Janvier 2008 Pour vos articles du prochain journal ; Distribution du journal en janvier 2009 . 1998 2001 OR OR BESNARD Jean Pierre Les Gaillards 49250 La Ménitré Tel 02 / 41 / 45 / 65 / 50 [email protected] Dimanche dernier, j’ai amélioré mon temps sur 10 km à St Sylvain . Entente Sportive du Val d’Anjou Beaufort-en- Vallée C’est très sympa de courir en groupe de son niveau . 2005 OR Bonjour, ce matin, nous allons faire 12 séries de 200 mètres et 30 secondes de récupération entre chaque 200 mètres , c’est la régularité qui compte et essayez d’accélérer dans la dernière série . Il y a une bonne ambiance à l’ESVA . Que 12 séries ! Elles sont jolies les chaussures de Joël ! C’est pour le trombinoscope du site du club, merci ! Allez sur esva.fr 1 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Bienvenue sur le site de l’ESVA Beaufort . Cette photo a été prise au château de Beaufort, durant le mois de février 2007 ( Photo de groupe ). Dans l’onglet contact , on trouve ; Président : RÉMI Godard 02 41 57 39 89 ( Depuis le début janvier 2008 Eric est passé président et Rémi devient vice-président ) Vice-Présidents : SENÉE Eric et THOMAS Jean-Yves 02 41 80 31 80 Trésoriers : RICHARD Joël et RICHARD Patricia 02 41 50 55 76 Secrétaires : COCARD Jean-Yves et Auger Claude 02 41 80 26 44 Courses : MARTIN Patrice 08 71 43 75 09 Le site du club est très conviviale, c’est un moyen facile de s’informer sur la vie du club et l’actualité de la course à pied et merci pour tous ceux qui le font vivre .Comme vous le savez, Eric Sénée est notre nouveau président de club, pour ma part, je passe à la viceprésidence et continue à m’investir à l’organisation du semi-marathon . Voici, ci-à la page suivante, mon édito pour le numéro de ce journal de l’ESVA. Avant toute chose, je tiens à remercier Jean œuvre pour que ce document puisse paraître supprimée au profit de notre site ESVA qui est complément idéal de celui-ci. J’ai pour ma part beaucoup de plaisir à écrire articles. Pierre BESNARD qui depuis de nombreuses années en début d’année. Cette publication n’a pas été en ligne sur internet, bien au contraire. Elle est le cet édito mais aussi et surtout à lire, et relire vos 2 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Au fait, bonne et heureuse année 2008 à vous et à vos proches. Que cette nouvelle année vous apporte, joie, plaisir, santé, réussite et de la course à pied. Voila un joli programme et en tous les cas c’est l’état d’esprit de notre Club, l’ESVA Beaufort qui démarre sa 11ème saison. Nous venons de battre, encore, le nombre de licenciés au Club. Incroyable. Mais que se passe t-il dans cette structure ? Pourquoi cet engouement ? Y a t-il un secret, un truc ?? NON. Vous le savez bien vous qui vivez au quotidien ces séances d’entraînements du jeudi, du samedi et du dimanche. C’est à cette occasion que l’esprit ESVA Beaufort, fait de camaraderie, de convivialité et de performance est à son comble. Ajoutez-y, des courses nombreuses où les maillots bleu et vert sont légions et où la performance est souvent au rendez vous et vous avez un club en pleine forme. Je suis fier et heureux de pouvoir partager cet état d’esprit avec les membres du bureau qui travaillent avec moi dans l’ombre mais avec beaucoup d’efficacité. Il y a 4 ans, je prenais la succession de Jean Marc, nous étions alors 75 coureurs. Aujourd’hui, grâce à un travail d’équipe tout a fait remarquable, nous sommes 158 licenciés, avec une piste d’athlétisme éclairée, un local à disposition de l’association dans une salle communale, des finances saines, un site INTERNET, ce journal, des animations festives (cochons, huîtres….) des sorties découvertes dans les communes environnantes où nous sommes régulièrement invités, un trombinoscope qui est en cours de réalisation et un club qui avance et qui doit continuer de progresser. Il reste encore à former des entraîneurs supplémentaires pour encadrer et pourquoi pas mettre à disposition des athlètes, de nouveaux créneaux d’entraînements. A créer (pourquoi pas) une équipe élite pour pouvoir conserver nos meilleurs coureurs, à continuer à s’investir en tant que dirigeant mais aussi en tant que bénévoles ponctuels. Vous voyez, il reste à faire. J’ai confiance en notre capacité à nous mobiliser, à nous investir, à croire que c’est possible de faire vivre une association où le sourire est notre marque de fabrique. Mes obligations professionnelles de plus en plus prenantes et mon éloignement géographique (j’habite désormais au Mans avec ma famille) m’oblige à quitter la présidence de ce club. Ce n’est pas de gaieté de cœur mais la raison doit l’emporter……… Eric SENEE est le nouveau Président de l’ESVA Beaufort. C’est pour moi un grand plaisir que de lui céder la main. Ce garçon est riche d’expérience, de passion et de bon sens. Il va être un excellent président doublé d’un entraîneur responsable, précieux et patient. Il a beaucoup de chance et je sais que nous allons continuer à l’aider. Pour ma part, j’ai souhaité rester dans le bureau de l’ESVA Beaufort où je vais œuvrer, comme les autres copains, dans Eric Sénée l’ombre en aidant, s’il le souhaite, mon ami Eric. Bonne saison 2008 à vous tous et à bientôt sur les routes de la course hors stade. Rémi GODARD Le club comprend 158 licenciés venant de près de 40 communes. 3 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Communes Effectifs % des effectifs 41 27 9 8 6 5 4 4 54 26 17 6 5 4 3 2.5 2.5 34 Beaufort-enVallée Mazé La Ménitré St Mathurin Brion Les Rosiers Baugé Angers 31 autres communes Aujourd’hui, notre club compte dans ses rangs ; - 34 femmes . 123 hommes 1 dirigeant. ESVAccueil Habitué à courir seul, j’avais décidé de rejoindre un club pour progresser. Cette première expérience à Baugé m’a laissé sur ma faim. En croisant, une athlète baugeoise de renom (vous l’aurez reconnue) le long d’une route en pleine préparation d’un 100 kms, nous avons engagé la conversation et cette dernière m’a dit « Viens à Beaufort tu verras l’ambiance est bonne et tu vas pouvoir progresser ». Ma décision fût vite prise, j’ai donc quitté l’Olympique Baugeois pour rejoindre l’ESVA. Après de nombreuses tracasseries administratives, Claude a pu m’obtenir le transfert de ma licence, et j’ai commencé à venir m’entraîner le samedi matin pour faire du fractionné dès début septembre. Ma première course sous les couleurs de l’ESVA fût les 100 kms de Millau, et là j’ai ressenti une grande satisfaction, pas seulement pour le plaisir de revenir sur cette épreuve mythique, mais pour l’état d’esprit « Club ». Merci à Eric, à Joël, à Christian, à Claude, à Patricia et Claudine, qui par leurs encouragements, par leurs « Allez Beaufort », ont prouvé que mon choix était le bon. Géraldine avait eu raison, l’ESVA est bien un Club ou l’on se sent bien. Certes Joël nous fait souffrir le samedi matin, mais le plaisir est là et je découvre, moi qui avais l’habitude de m’entraîner seul, le plaisir de m’entraîner en groupe. Je connaissais déjà le Club pour ses capacités à organiser une grande épreuve comme le semi-marathon, car moi-même sponsor de l’épreuve et participant à de nombreuses reprises à ce dernier. J’avais à ces diverses occasions de sponsoring, rencontré et sympathisé avec notre Président, Rémi GODARD. Merci à tous, et gardez cet état d’esprit, car c’est comme cela que j’aime la course à pied. Alain FOUCHER 4 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Le petit mot de la famille Taillandier Je cours régulièrement depuis 4 ans. J’ai toujours couru pour le plaisir et pour le bien-être que cela me procure, sans une once de compétitivité (genre mémère pas dynamique). Pour mon dernier anniversaire mon mari JeanPhilippe qui fait partie du club depuis 3 ans, m’offre un chronomètre. Sympa le mari ! C ’est vraiment pas ce que je souhaitais. Voilà ce qu’offrent les maris à leurs femmes au bout de quelques années de mariage ! Mais que veut -il ? Que je chronomètre le temps que je mets à me préparer le matin ? Faisons bonne figure, il a l’air content de son cadeau. Je m’égare, je m’égare, et …je commence alors à noter mes sorties (sportives, pas du shopping entre copines), mes distances, mes vitesses. Finalement, ce petit compagnon silencieux au poignet me rassure et m’encourage. Je décide même de participer à un défi organisé par l’école de ma fille Camille que certains connaissent car elle est souvent là le dimanche matin dans les bois avec son vélo. Pour cette sortie, je ne me refuse rien car je veux que Jean Allard m’accompagne. En effet, je suis consciente qu’au bout d’un tour JeanPhilippe me laissera tomber comme une vieille chaussette mais Jean lui, n’osera pas ! Je me laisse guider par son expérience et je cours 17 kms en sa compagnie. Je fais également connaissance avec quelques membres du club. Je suis contente. Dans l’euphorie je décide de faire le semi - marathon de Beaufort en Vallée et de m’inscrire au club pour la saison 2007/2008. Maintenant, il faut que j’assure. Je suis arrivée au premier entraînement du samedi avec un peu d’appréhension. J’ai fini la séance ravie. L’accueil fut chaleureux, l’ambiance décontractée et l’entraîneur génial et très pro. Dorénavant, je préfère les conversations avec mes compagnons de course au silence de ma montre. Le chrono c’est pour le fractionné ! D’ailleurs grâce au fractionné, je crois avoir progressé. Pour rien au monde, je ne manquerais une séance d’entraînement le samedi. Je profite de ce petit courrier pour remercier les personnes qui m’ont encouragée pendant le semi et plus particulièrement Jean et Joël qui m’ont accompagnée pendant les 21 kms. J’ai mis 2 heures, eux ont fait mieux. Ils sont trop forts. Il faut que je m’entraîne….. Véronique Taillandier. Bonjour, je m’appelle Denis Roche, je suis membre de l’Esvab depuis sa création du temps où nous étions une dizaine et où je connaissais tout le monde. J’ai même été trésorier. Dans la vie professionnelle, je suis directeur des services de la mairie de Beaufort et aussi de la communauté de communes. Dans la vie familiale, j’habite depuis le début de l’année à Mazé. Dans la vie sportive, il y a eu des hauts au tout début : marathon de Paris en 1999. Depuis il y a eu beaucoup de bas. Cette année ce fut un peu mieux avec une saison qui a commencé en mai pour s’achever en octobre à Vannes (d’ordinaire ça commence à Champigny et ça se termine à Beaufort). J’ai même fréquenté assez souvent l’entraînement du samedi matin. Objectif 2008 : finir par un marathon à Vannes ou La Rochelle histoire de se préparer pour New York 2009. Un vrai haut ! Denis Roche 5 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Le petit mot de Nathalie et Pascal BULTE. En Juillet, sur les conseils de Patrick, licencié à l’ESVA et également collègue de travail, nous décidons de contacter le club pour nous inscrire. J’étais déjà licencié dans la région (trop loin de mon travail pour pouvoir m’entraîner), et Nathalie, même si elle était plus assidue que moi pour courir, n’avait jamais franchi le cap de la licence. Nous avons reçu de la part de Claude un accueil chaleureux, malgré ma mutation qui lui a occasionné un travail supplémentaire. Depuis, nous apprécions l’ambiance à la fois sérieuse et décontractée des séances de fractionné sur piste moi le Jeudi avec Eric et Nathalie le Samedi avec Joël (surtout Nathalie qui n’en avait jamais fait et qui trouvait cela austère et douloureux), nous avons goûté grâce à Véronique et Jean Philippe aux sorties du dimanche matin et nous avons participé pour la première fois à un cross le 11 Novembre. De plus, nous avons déjà un projet pour le marathon de La Rochelle 2008. Nous remercions tous les membres du club (athlètes et dirigeants) qui ont su nous intégrer avec gentillesse et nous ne manquerons pas lors des prochaines manifestations de donner un peu de notre temps pour y participer. Nathalie et Pascal BULTE. Des bois de Fontaines au Marathon … Par Claude GOUMARD. C’est presque par hasard que je suis venu au club. Rencontré par Didier dans les bois de Fontaines, j’ai décidé d’adhérer après avoir côtoyé une équipe sympathique. De gros efforts, de bonnes blagues auxquelles je ne peux pas répondre, faute de souffle, de belles sorties et le virus de la course à pieds m’a contaminé. Après une série de 10 km, une petite poussée de Claude ( Auger ) et voilà mon premier semi-marathon ( Rou – Marson ), une histoire de petit cochon qui entretient la convivialité du club…On aime, on s’entraîne, on progresse…et à force de suivre les centbornards, les marathoniens, on finit par y croire pour soit même. Alors, c’est un premier marathon à La Rochelle en 2006, puis Le Mont – Saint- Michel . Je suis fier de porter le maillot du club, toujours remarqué favorablement ; - il est bon votre fromage ! ( Le Beaufort ). - Vous devez faire erreur, mais vous pouvez goûter à notre semi-marathon, le premier dimanche d’octobre. Le comble fut à Paimpol où j’ai couru les championnats de Bretagne, un maillot coloré au milieu des noirs et blanc, un passage commenté à chaque tour et une arrivée remarquée à la place spéciale ; 200 ème du 20 km. Un régal breton. Je n’ai même pas piqué mon far . Enfin à La Rochelle, seconde édition pour moi, plus aguerri, j’ai pu améliorer mon temps de 9 mn, passant de 4 h 21mn 24 à 4 h 12mn 01. Je suis heureux de la performance, mais rien ne remplace le plaisir partagé, lors de ces sorties ! Merci à tous ! Claude . 6 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Pour marquer le 10 ème anniversaire de l’ESVA Beaufort , un invité ; 7 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Périple en Australie par Joël Richard. Après plus de 30 heures de voyage pour rejoindre le pays des kangourous, nous voilà arrivés à Alice Springs en plein cœur de l’Australie. Nous disposons de 2 jours pour nous adapter au décalage horaire et à la chaleur Il est midi, Serge suggère qu’on fasse un footing d’une douzaine de kilomètres par 45° à 48°. Inutile de dire que le décor était planté. Nous profitons de ces deux jours pour faire un peu de tourisme et nous nous rendons à Ayers RocK. Rocher mythique au cœur de l’Outback . Assez perdu de temps, nous terminons nos achats, et surtout, nous achetons 500litres d’eau minérale, nous sautons dans nos 2 4x4 pour rejoindre la porte du désert de Simpson (560 km de piste ) Maintenant, nous sommes à Dalhousie Springs sur la ligne de départ, on peut facilement lire l’angoisse sur les visages. La première journée, en guise d’apéritif se déroule dans des conditions presque idéales (à peine 40°, terrain plat et rocailleux, distance parcourue 44km) Le début de la seconde étape ressemble étrangement à la première mais, au kilomètre 30, on attaquera les dunes par une température de 48°, nous sommes dans le vif du sujet. L’étape fera 46 km. Au réveil le 3ème jour de course, je sais que j’ai des quadriceps. Je vais partir prudemment sachant que l’étape fera 48km avec des dunes du premier kilo au dernier.(les dunes font de 5 à 15 m de haut voire plus car Big Red fait 40m) Nous sommes obligés de découper le bout de nos runnings pour permettre au sable de sortir sans quoi, il faut s’arrêter tous les 300m pour vider les chaussures La température grimpe de jour en jour , on terminera l’étape par 50°. Je termine l’étape un peu décalqué mais content. Je vis au jour le jour, je ne fais aucun plan sur la comète, demain sera un autre jour. Déjà, un des participants doit revoir ses objectifs car le sable, les dunes et la chaleur l’ont mis ko Désormais, il alternera un semi un jour et un marathon le lendemain. Pour ma part, le 4ème et le 5ème jour se passent sans encombre mais je sens la fatigue qui me gagne de jour en jour. Je consomme tous les jours environ 4000 calories et mes repas ne m’apportent que 1500 maxi. J’ai des barres énergétiques mais après 10 heures du matin, je n’ai plus la force de mastiquer et je fais l’impasse (grosse erreur de débutant) . Nous buvons 10 litres d’eau par jour et en fin de journée, l’eau de nos gourdes est brulante, certains vomissent quand ils boivent Moi, j’ai la chance d’avoir un camelback avec une poche isotherme Dans la nuit, une tempête de sable nous réveille vers 22h et jusqu’à 2heures du matin, nous serons accrochés à nos swags (tente spéciale désert Australien) pour éviter que tout s’envole. La nuit fût courte. Au petit déj , le manque de récupération se fait sentir, les visages sont fermés , on appréhende la journée qui s’annonce. Pour ma part, elle sera fatale. Je n’avance pas, le moral est dans les chaussettes. Seul au beau milieu du désert, je peine, je souffre, je dois faire 50 km et je n’ai pas la niaque des ultra fondus pour continuer. Au 15ème kilomètre, je vais monter dans le véhicule d’assistance. Je passe ma journée à dormir. Le lendemain, je me sens en forme, mais oh combien prudent, j’attaque les dunes calmement (2km/h) , vers midi, j’ai déjà fait 30km, il fait 52°, je me couvre, c'est-à-dire que j’enfile un collant, je mets des gants et un foulard autour du cou Le soleil est brûlant Je termine l’étape euphorique, j’ai fait 46km et pas trop cassé. Les autres étapes jusqu’à la fin seront vécues de la même façon. Malgré tous ces grains de sable (normal, on est dans le désert), j’ai pris beaucoup de plaisir. Le désert de Simpson est très beau, le challenge était ambitieux …. 8 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm L’arrivée à Big Red (dune la plus haute du désert de Simpson 40m) , terme de notre périple (402 km pour 2 participants car moi, je n’ai que 372,5 km au compteur) fut un moment fort , l’émotion était à son comble . Nous rejoindrons Birdsville, petit village de 100 habitants où nous prendrons une douche ( la première depuis 9 jours) et nous coucherons dans un lit et une chambre climatisée ; quel bonheur J’ai également apprécié la première bière bien fraîche au bar de cet hôtel (il n’y a pas de chemin qui mène au bonheur mais si tu regardes bien, les chemins que tu empruntes sont pavés de bonheur) Cette aventure restera pour moi un grand moment sportif, personnel, humain. J’ai touché du doigt l’ultra. Je profite de cet article pour remercier les personnes qui m’ont encouragé, qui m’ont aidé à préparer ce voyage (médecin, pharmacien, équipementier, athlètes du club, les amis) Quelle belle aventure Joël Richard . L’ESVA Beaufort remporte une fois de plus le petit cochon à Rou – Marson . 9 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Mon premier semi-marathon par Christine Laurenceau . Çà est, je l’ai fait ! Même pas mal ! (si, un peu quand même…). C’était mon objectif 2007 et je l’ai atteint (les lecteurs assidus pourront se référer à mon article de l’année dernière, je l’avais écrit en toutes lettres !). Bon évidemment le temps de 1h44 n’était que pure illusion (mais ça aussi je l’avais marqué !), ceci dit, nos chers entraîneurs n’en sont pas la cause, c’est moi qui ne m’étais pas suffisamment préparée ! Un peu de footing cet été le long de la plage, quelques petites sorties dans la semaine de 7 à 8 kms environ, et le temps passant, me voilà sur la ligne de départ ce fameux 7 octobre, l’air de rien, alors que mes proches me disaient depuis quelques jours l’air vaguement inquiet que ce n’était pas très prudent… Mais je n’ai écouté que mon instinct et je me suis également écoutée tout au long du parcours, en allant à mon rythme, en jetant bien sûr un petit regard admiratif sur les jambes de gazelle des super forts, en m’arrêtant à chaque stand de ravitaillement (j’adore le pain d’épices et il y en avait !...), oui je peux dire que je me sentais bien à courir tranquille tout en admirant le ciel bleu et en appréciant même la caresse du soleil , en pensant au Chili con carne que je mangerai après la course, je me disais que la vie était belle…jusqu’au milieu du dernier tour… où des pensées malsaines sont venues perturber mon bien-être : une petite brûlure entre deux doigts de pied, un mal de reins de plus en plus pesant (quelle torture de courir sur le bitume alors qu’on sait pertinemment qu’il y a plein de chemins de terre aux alentours et qu’on n’a pas le droit d’y aller…), et une cuisse droite que je craignais de voir se raidir à jamais, au fur et à mesure des foulées…J’ai donc accéléré un peu les derniers kilomètres pour en finir, en puisant sur mes réserves de début de course pour doubler un peu de monde (j’adore ça…surtout vers la ligne d’arrivée, j’aime bien…) et j’ai terminé cette belle aventure, debout et en courant, dans un temps de 2 h et quelques, je ne sais même plus exactement, plus de 2 h ça c’est sûr mais moins de 2 h 15 ça c’est certain… Après la course, je me disais « eh bien ça y est, c’était donc ça ces fameux semi-marathons dont tout le monde parle, trop cool, j’y suis arrivée ! » et j’en ai conclu que je reviendrai l’année prochaine…Entre temps, inutile de me chercher sur d’autres parcours, 10 kms ou autre, ça ne m’intéresse plus ! Oui, j’ai découvert ce jour-là que je me retrouvais mieux sur les longues distances que sur les petits parcours (j’ai souffert le martyre sur les 10 kms d’Angers que j’ai terminés grâce à l’amical et efficace coaching de Claude Auger), alors cette année je pense m’offrir une deuxième fois le Pellouailles-Angers (15 kms) avant le semi de Beaufort 2008, mais à part çà, RIEN ! Comme quoi, on s’habitue vite au luxe… Bonne saison à toutes et à tous, et à bientôt à l’entraînement (quand il ne fera plus froid et nuit en même temps…) Christine Laurenceau Mon premier marathon par Damien Peltier . Une course en rose Surprenant qu’une ville de la taille de Toulouse n’ait pas son marathon ? Eh bien, ce n’est plus le cas depuis le 28 octobre dernier. Récit de cette première édition du Marathon du Grand Toulouse. Que demander de plus qu’une météo clémente, soleil, pas de vent et une température extérieure parfaite pour courir. Pour les organisateurs de cette première édition et pour ma première participation à un marathon, j’avoue qu’il était difficile d’avoir meilleur scénario. Pourtant l’avant départ a eu son petit lot d’angoisse. Des indications pas très claires pour se rendre au départ ont fait monter le taux d’adrénaline pour les coureurs un peu perdus comme moi à la recherche de la ligne de départ. 10 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Enfin 9h, le départ sous les ailes de l’A380 à l’AéroConstellation de Blagnac est donné. 3000 marathoniens et futurs s’élancent sur un parcours plutôt plat qui les fera passer à proximité de grands sites économiques ou culturels du Grand Toulouse : un passage à hauteur de la cité de l’espace, un autre aux abords du chantier du cancéropôle et, bien entendu, une traversée de la Place du Capitole noire de monde. Ensuite c’est 3h10’43’’ de course avec les petits doutes des 5 premiers kilomètres, un début de point de côté, un muscle pas encore chaud qui se fait sentir ou un ventre trop enthousiasme qui le chante un peu trop. Et puis, c’est 25 à 30 Km de course à un rythme constant, des ravitaillements réguliers et une bonne ambiance même si légèrement plus tendue que pour un semi-marathon. Mais le plus dur restait à faire, le fameux mur des 35 Km. Pas de doute, c’est dur ! C’est le moment aux jambes de passer le relais à la tête et oublier encore pendant 7 Km ces cuisses aux bords de la crampe. Et enfin, la ligne d’arrivée. Pas la peine de décrire ce moment que chacun savoure à sa façon allant de la joie à la souffrance libératrice. Mais ce dimanche-là, aux environs de 13h au stade de Sesquières, l’atmosphère était presque estivale, les coureurs récupérant sur l’herbe dans une certaine cohue de spectateurs, étaient tous ravis, moi le premier, de goûter ce moment de sport et de convivialité. Mon premier essai a donc été transformé au-delà de mes espérances. Reste à confirmer. Mais avant récupération. Pour les amoureux des chiffres, cette première édition du Marathon du Grand Toulouse a été une grande réussite. C’est 4000 participants qui ont pris le départ dont 1000 sur l’épreuve relais plaçant d’entrée l’épreuve au 5e rang national. C’est 775 bénévoles pour l’organisation et la logistique. Et puis c’est 85500 bouteilles d’eau, 6 tonnes de fruit, plus de 2000 kg de bananes et d’orange, 36000 barres de céréales, 8 Km de barrières de sécurité et 14 Km de rubalise. Côté performance il y a toujours les Kenyans, Benjamin Bitok, vainqueur en 2h18’27’’ et Micah Kiprotich, deuxième en 2h18’40’’, chez les femmes, c’est la Russe, Tatiana Mironova en 2h39’53’’ et des toulousains en embuscade dont Pierre-Laurent Viguier avec une 3ième place en 2h28’35’’. Sans oublier, le vaillant et courageux dernier en 5h54’28’’. Récit d’un nouveau centbornard par Eric Sénée. Chavagnes en Palliers, samedi 19 mai, 5 heures du matin me voilà devant la ligne de départ avec une certaine appréhension de l’inconnu. Quelques Angevins sont là, Gérard Claire, Jean Michel Serisier, Cyrille Amouny, je discute ça me rassure … Coup de départ avec une petite boucle dans Chavagnes et on attaque la première boucle. J’ai pas trop de jambes et j’ai même des douleurs un peu partout. 5 ième km en 25’, 10 ième en 50’, 20ième en 1h40 avec déjà une fatigue. Je ne m’inquiète pas trop, je me dis que cela va passer et le moral est bon. Temps de passage 1er tour pour 25km954 en 2h05’52’’ soit 12.37 km/ Passage pour le 2 ième tour, je me retrouve dans le peloton des marathoniens. Il y a beaucoup de coureurs et je rate Angélina ma suiveuse qui ne me voit pas non plus. Après la séparation avec les marathoniens, je me retrouve seul avec mes douleurs persistantes. Je rejoins enfin un coureur et son accompagnateur, on discute, il veut faire 8 heures et surtout il a de l’expérience, alors je me cale sur lui. A la fin de cette boucle, je retrouve mon suiveur, enfin… Elle a paniqué plus que moi, elle s’est renseignée auprès de Marc Antoine « IPITOS » pour savoir où j’étais. Temps de passage 2ième tour pour 24km682 en 1h56’00’’ soit 12.76 km/h Début du 3ième, malgré les douleurs je suis régulier, sur les bases d’environ 8h. Cette boucle a été dure musculairement, mon mollet gauche est en compote, j’ai des décharges électriques un peu partout à chaque foulée… Je me fais préparer de l’aspirine (conseil de Gaston et Claude) et de l’arnica. Je suis toujours avec le même coureur, j’ai même tendance à l’attendre… pour mon moral c’est bon. Temps de passage du 3ième tour en2h06’06 soit 11.74 km/ 11 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm La fin du 3ième et le début du 4ième se font bien, je retrouve enfin des bonnes sensations. Malheureusement vers le 80ième ça se gâte. J’ai plus de jambes, mes foulées deviennent petites. Je me fais doubler par Karine Hérry, qui finira première pour son 7ième titre de championne de France en 8h10. Je me retrouve maintenant seul. L’autre coureur lâche, je fais ma course. Angélina me sort des blagues pour me changer les idées, mais je suis dans mon monde, elles ne me font pas rigoler ! il paraît même que je suis chiant… Au 85ième, dur dur, je marche un peu pour relâcher, je ne pense qu’au ravitaillement suivant. J’arrive à trottiner, le compteur de vélo marque de 10 à 11 km/h mais je cours. 90 ième km je suis rattrapé par un certain Roland Vuillemenot jeune vétéran 3, recordman du monde vétéran sur 100 km en 6h30… il finira en 8h37. Je l’encourage, lui aussi. J’alterne maintenant marche et course, mais je cours de plus en plus longtemps avec des pointes à 11, cela m’aide moralement de savoir à combien je suis… Les cinq derniers se font, je sais que c’est bientôt fini, en plus j’en ai marre alors j’avance pour en finir plus vite. Je ne dois pas être beau à voir. Enfin le dernier km, il y a du monde, cela donne des frissons. Je vois enfin cette ligne d’arrivée tant souhaitée que je franchis en 8h40. Temps de passage du 4ième tour en2h32’27 soit 9.71 km/ Je retrouve Roland, on se serre la main, lui il boit une bière, et moi je m’assois enfin… Je n’arrive plus à marcher, Marc Antoine me félicite, c’est sympa. Après la douche et le massage, je vois Chaucho, on discute et il me dit « quand je te vois, cela ne me donne pas envie d’essayer… » cela veut tout dire sur mon état. Ceci dit, c’est une très belle expérience, je sais maintenant que même quand on a mal on peut avancer. Le 100 km c’est le moral qui fait tout, je l’ai toujours eu. Il y a dans ce genre d’épreuve une ambiance que l’on ne trouve pas ailleurs. L’humilité de ces coureurs devant un tel effort est impressionnant, beaucoup de sportifs d’autres disciplines devraient s’en inspirer. Maintenant, j’ai le pied dedans, mon challenge dans quelques mois sera je l’espère un 100km en 8heures, voir moins. Mon regret, c’est facile à dire. J’ai fait la course du viaduc de Millau trop vite, une semaine avant Chavagnes. Je n’avais pas récupéré des montées et des descentes, mais j’étais tellement bien ce jour là. Une erreur de jeunesse… Eric Sénée Elle court, elle court Géraldine ; Bonjour, Voici la liste des marathons que j'ai fait depuis 1994 1995 J'ai commencé par le marathon de PARIS que j'ai fait en 3H35 3H40 environ (j'ai oublié l'année ) St SYLVAIN en avril 1995 3H h36 5ème f (contrôlé à la fin de la course) CHOLET oct 1995 3h46 2 ème F (la 1 ERE c'était une russe ) J'ai fait CHOLET une autre année j'ai terminé 3ème F ST SYLVAIN avril 1996 3H47 6ème F LA ROCHELLE nov 1997 3H 54 AZAY LE RIDEAU juin 1999 3H48 Pause pour raison de grossesse AZAY LE RIDEAU juin 2001 4H ST SYLVAIN avril 2002 3H 29 AZAY LE RIDEAU juin 2002 3H 41 (4ème V1F 7ème f) LA ROCHELLE novembre 2002 3H30 51 ( 24F/262 V1F) LAVAL septembre 2003 3H36 30 (4ème V1F) LA ROCHELLE novembre 2003 3H36 ST SYLVAIN avril 2004 3H37 LAVAL octobre 2004 3H52 12 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm LA ROCHELLE novembre 2004 3H32 33/312 AZAY LE RIDEAU juin 2005 4H (marathon fait sous la canicule pas très ombragé mais avec des paysages de toute beauté marathon fait juste après le 100KM du 07/05/2005 ) LAVAL septembre 2005 3H43 LA ROCHELLE novembre 2005 3H29 09 34/363 LAVAL septembre 2006 3H32 10 LA ROCHELLE novembre 2006 3H22 05 6/184 ( meilleur temps grâce aux fractionnés fait le samedi matin, j'ai intégré le club en septembre 2006) NANTES mars 2007 3H26 J'ai également fait NANTES une autre année mais je n'ai rien noté LA ROCHELLE nov 2007 3H59 ( le plus mauvais temps mais reprise de la course en novembre suite à une blessure au genou) Je n'oublie pas le marathon de NEW YORK en 1998 et MARRAKECH en janv 2005 Je suis un peu surprise par tous ces marathons mais je les ai fait ça fait une moyenne de deux par an . Le plus beau de tous est incontestablement NEW YORK et le plus rapide LA ROCHELLE même si il y a des petites côtes J'ai aussi fait 2fois les 100 KM DE VENDEE - en 2005 11H 25 46 10ème F - en 2006 11H12 40 J'ai également fait la 6000D en juillet 2006 9H26 36 Et les 24H de GRAINVILLE YMAUVILLE en duo avec Joël 16ème V1 sur 17 J'ai fait aussi depuis 1996 assez régulièrement le semi de BEAUFORT ET la course ANGERS PELLOUAILLES Mes projets pour 2008 ANGERS PELLOUAILLES Le marathon de SENART Les 24H de GRAINVILLE YMAUVILLE en solo...et d'autres courses sauf si blessure Nouvelles sensations pour Patricia et Claudine Pour nous deux, cette année 2007 fut riche en sensations nouvelles .D'abord à St Jean-de Monts trail de 26kms dont 2 fois 5 en bord de plage, nous avons eu droit à un festival de grêle, de vent, de sable et nous dûmes notre salut à un grand et large gaillard, refuge bienvenu, avant de gagner le calme de la forêt. Puis la Tunisie nous vit caracoler sur 6 semi-marathons ou il fallut apprivoiser la course quotidienne, la caillasse, les rochers, les pistes incertaines où nous connûmes une grande émotion à la pensée d'avoir peutêtre perdu notre entraîneur dans les dunes de sable blanc. Et avec au retour, le désir de repartir pour un ailleurs, ce que Joël a déjà réalisé. Patricia Richard et Claudine Terrien . 13 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Et il fallut bien les 24 heures chez Serge Girard pour ajouter du nouveau. Bon comportement de nos deux équipes de l'E.S.V.A classées ex-equo avec 218 kms au compteur en duo. Reste pour Claudine à gérer le miam et le dodo pour la prochaine édition car tout le monde recommence en 2008 en solo-piano. En août au trail des moulins 30 kms il fallut se rendre à l'évidence plusieurs fois,la piste stoppant net au bord des ruisseaux nombreux et bien en eau cet été 2007.La première fois on hésite, on ne comprend pas que c'est là le chemin, on essaie un contournement impossible, et puis on y va. comme cela 5 à 6 fois, jambes immergées et sorties "abreuvoirs à vaches",donc... Mais il fallait encore en rajouter ce qui fut fait à Villevêque ou nous tentions le triathlon découverte:500m de natation,20 kms de vélo,5 kms de course. Avec tout d'abord l'entraînement en Vienne à Candes-St-Martin, envahies de doute et d'angoisse la 1ère fois:eau glauque, isolement, ciel bas, puis décontractées par des fous rires de nous voir ainsi déguisées(combinaison, lunettes, bonnet)un peu lunaires, un peu paumées ,un peu " bécassines".(ça, c'est un secret)...Mais ce n'était pas fini:le jour J fut marqué par l'épreuve des algues dont le Loir était envahi, nous empêchant ,novices que nous étions, de nager selon notre entraînement en Vienne et en piscine. Entraînement aussi pour nous habituer à changer au plus vite de tenue: chacune dans son garage;donc ,sortie de baignoire (non je plaisante)au pas de course, garage ou tout est prêt:chaise, ,vélo, casque, veste...quelques tours de pédales dans le coin, retour dans le garage et départ pour la course. A part les algues tout était bien rodé et nous recommençons cette année. L'apothéose ce fut Millau, course vécue à 5:nous deux, Guy Houet,et nos deux suiveurs:Jacky et celui de Guy. Avec là encore, de la décontraction au début, puis des douleurs et des répits et beaucoup de soutien entre nous ;mais je vous rassure, s'il y eu baptême pour certaine, communion pour tous ,nous échappâmes à l'extrême-onction, pour finir dans l'immense joie de l 'effort partagé. Voilà je ne parle pas chrono mais c'est volontaire car l'essentiel pour nous a résidé dans ces multiples découvertes au cours desquelles nous nous connaissons et nous apprécions chaque fois davantage;ceci dit les chronos furent très honorables. Nous souhaitons à tous de connaître ces riches sensations sportives et amicales. Patricia et Claudine . 14 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Lors de la soirée de remerciement du Semi de Beaufort, Jean-Pierre m’interpelle : ’’Salut Alain, tu connais tous les coureurs, comment tu fais ? ’’ Non, non, Jean Pierre, je ne connais pas tout le monde, et en plus il m’arrive souvent d’inverser les prénoms ( n’est-ce pas Claude, Christian, Jacques …Anne, Martine etc …). Et moi de répondre : Mais c’est vrai que j’essaie de retenir le plus possible de prénoms et noms de coureurs, car je sais bien que chacun apprécie énormément d’être reconnu et encouragé personnellement ! Alors, comment je fais ? Allez, je te donne mes secrets … mais tu ne le répètes pas à tout le monde, d’accord ? - D’abord je ‘révise’ chaque veille de course que j’anime avec les résultats complets de l’année précédente que je garde toujours précieusement, car on retrouve souvent des ‘fidèles’ que j’essaie de reconnaître en priorité. Je mets aussi à jour personnellement le palmarès des précédentes éditions que j’ai animées (il faut bien aussi ‘soigner’ les champion(ne)s …). - La veille (ou l’avant-veille), j’essaie aussi toujours d’avoir le fichier des inscrits que me transmettent les organisateurs, ça me permet de ne pas être pris au dépourvu et ‘d’attendre’ un certain nombre de coureurs que je connais, pour pouvoir mieux les accueillir et les citer plus rapidement. Ca me permet aussi de chercher (même tardivement) les perfs de bons coureurs extérieurs que je ne connais pas. - Chaque semaine également, je mets à jour ma ‘bible’ - tu sais, c’est le dossier que j’ai toujours en main – en prenant les principaux résultats du week-end (merci la presse et internet !). Ca me permet de mieux suivre les résultats des coureurs et de parler de leur palmarès récent. C’est aussi un peu un ‘pense-bête’ en cas d’oubli … ou de trou de mémoire. - Enfin, et à Beaufort c’est super pour ça : le terminal installé par Ipitos au car-podium et sur lequel pianote allègrement Nadine, une amie de St Sylvain, me permet de voir le nom de nombreux coureurs que je ne connais pas … et qui sont tout surpris d’être cités … comme si je les connaissais ! Donc en fait, c’est un peu du bluff !...(mais il ne faut pas le dire !). Voilà, Jean-Pierre, tu sais tout … ou presque ! Ajoute à cela une ancienneté dans ‘le milieu’ et sur laquelle je m’appuie souvent (j’ai commencé à courir à 14 ans … que le temps passe !), une bonne dose de préparation (heureusement, j’ai du temps !... mais la nuit précédant une course est généralement très courte …), et enfin et surtout, une motivation forte pour satisfaire le plus grand nombre ainsi qu’un immense plaisir que j’ai toujours à rencontrer des gens que j’aime bien : les coureurs à pied ! Salut Jean-Pierre et les amis de Beaufort, bonne année 2008 à toutes et à tous et à bientôt !’’ Alain DOHIN (‘Nelson Beaufort’) Le saviez-vous ? Le coucou terrestre peut voler, mais il préfère courir ; on l’appelle d’ailleurs coucou coureur ou coureur de routes. Il se déplace au sol à 20 km / heure . C’est un peu moins vite que l’autruche qui peut courir à 70 km /h. Maintenant, je comprends mieux pourquoi les supporters de l’ESVA nous font coucou. Jean Pierre Besnard. 15 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Edouard Ebener de l’ESVA remporte le prix du public avec le déguisement de Coluche . Pour cette dernière édition du 7 et semi-marathon de Beaufort, le public a été comme d’habitude très nombreux à voter ( plus de 200 personnes ) et particulièrement les jeunes qui sont venus en famille au moment des inscriptions dans les halles pour les courses jeunes . Ce que l’on peut dire c’est que lorsqu’une personne vote, généralement, elle n’a pas vu l’ensemble des 36 coureurs déguisés, mais son choix se porte sur les quelques coureurs aperçus. Comme il y a de plus en plus de coureurs déguisés sur le 7 km et un peu moins sur le semi-marathon, l’impact sur les journalistes est moindre, cependant , sur le semi, les coureurs passent 4 fois devant le podium . Voici le résultat du vote du public ; ( 60 voix ) Coluche), ( 40 voix ) les ramasseurs de goëmon ( 15 coureurs bretons de Landerneau ), ( 36 voix ) le cuistot Gégé , ( 18 voix ) Joe Dalton et viennent ensuite avec ( + ou – 10 voix ) la fouée de Rou-Marson, les lèvetôt ( 4 coureurs en pyjamas ), les charlots ( 3 coureurs ), Roselyne B. , la vampire, la dame au chapeau, le vacancier, la basque, la mariée au cheveux bleus, l’Arlequin, le corsaire, le chinois kicourou, LBP l’indien ( le plus beau ). Tous les coureurs déguisés sont récompensés, je tiens à remercier particulièrement les deux sponsors principaux de ce concours de déguisements ; New Balance et Devillé ( sécateurs ). Comme chaque année, le public apprécie cette animation, c’est tout à fait normal qu’il l’exprime en votant . Félicitation à Edouard qui gardera un excellent souvenir de cette édition de Beaufort . J’ai de nombreux déguisements à votre disposition, je compte sur vous pour imiter Edouard. Mon prochain déguisement sera en 2008, le porteur de la flamme olympique pour marquer les jeux 2008 au mois d’août à Pékin . Jean Pierre BESNARD . Rappel ; Vous pouvez faire les inscriptions aux courses par le club ( par l’intermédiaire de Patrice Martin ) sur le site pour les courses seulement dans le Maine & Loire, 10 jours avant le jour de la course . Merci Patrice pour ce que tu fais sur ce plan , ainsi que pour le trombinoscope qui avance doucement, mais sûrement . Quelques Photos ; Martine et Patrick PINEAU Patrice MARTIN et Marie-Laure HARIVEAU David PLUMEGEAU et Maxence BOUCHER aux étirements après la séance de fractionné au stade le samedi matin . 16 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Odile JAROSSAY Constant MESLIN La première affiche du semi-marathon de Beaufort et 7 km UAP ( 6 octobre 1996 ), . on y trouve de gauche à droite ; Rémi GODARD, Didier GAUTRAY, Jean François SERRAULT, Jacques BEILLOUIN, Eric SENEE et Jean Pierre BESNARD. A l’époque nous courions sous les couleurs de USB Atlétisme ( Union Sportive Beaufortaise ), il y avait environ 15 coureurs sur route . L’ESVA Beaufort fut créée plus tard, en effet, notre club vient de fêter ses 10 ans, alors que le semi-marathon de Beaufort en est à sa 12 ème édition . un grand merci à Rémi GODARD pour tout ce que tu as fait durant ta présidence au club. . Pour le prochain numéro 15 du journal qui paraîtra courant janvier 2009, vous pouvez m’envoyer vos articles sous word . Le journal contribue à maintenir la mémoire du club chaque année . C’est un moyen complémentaire au site de l’ESVA que vous appréciez beaucoup . Bonne année 2008. 17 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Elles sont bonnes ! Et avec le petit verre de blanc, elles sont encore meilleures ! Jean Allard organise la dégustation des huîtres formidablement chaque année . Les huîtres de janvier 2008 dans les bois de Fontaine-Guérin . René SOYER N’oubliez pas les courses d’enfants ; Certainement, vos enfants désirent aussi courir comme vous ou vous souhaiteriez qu’ils goûtent occasionnellement aux courses organisées pour eux, alors voici où ils peuvent courir ; St Saturnin, Rou – Marson, Angers, MontreuilJuigné, Mûrs-Erigné, Le Plessis-Grrammoire, St Barthélémy et bien–sûr Beaufort-en-Vallée. Personnellement, je leur donne chacun 5 euros par participation et ils courent ( après les 5 euros ). JeanPierre Besnard. Bienvenue pour cette sortie dominicale du 20 janvier dans les bois proche de Durtal, après le footing, il y aura bien sur une petite collation . Bon footing ( 10 km ) dans cette belle forêt . Merci d’être venu aussi nombreux ( plus de 40 participants ). Bravo . Je règle l’appareil et le retardataire, je vous rejoins et dans 10 secondes , la photo souvenir de cette sortie dominicale sera dans la boîte, souriez ! Record du monde du Marathon ; Halle Gebreselassie a essayé le jeudi 17 janvier 2008 de battre son record personnel du Marathon et record du monde 2 h 04 mn 26, il échoue de 27 secondes, il détient donc aussi le deuxième temps de l’histoire du Marathon . L’athlète éthiopien souffrant de problèmes respiratoires est incertain pour les JO de Pékin, si la pollution est trop élevée au moment du marathon olympique . Dernière minute ; le compteur du nombre de licenciés au club vient d’atteindre le seuil de 160 , bravo ! 18 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm Merci à Jacques BEILLOUIN pour la re-lecture du journal . Sous les traits de ce coureur à pied , je vous présente mes meilleurs vœux pour 2008. Jacques Beillouin 19 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm 20 PDF créé avec la version d'essai pdfFactory www.gs2i.fr/fineprint/pdffactory.htm