Dossier de présentation_FR
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Project O TRAFFO_CARRÉROTONDES + TROIS C-L (CENTRE DE CRÉATION CHORÉGRAPHIQUE LUXEMBOURGEOIS) PRÉSENTENT + Vedanza Spectacle de danse tout public dès 4 ans + + DOSSIER DE DIFFUSION Photo © Bruno Baltzer + Project O Cie VEDANZA présenté par TRAFFO_CarréRotondes et TROIS C-L (Centre de Création Chorégraphique Luxembourgeois) CRÉATION AVRIL 2010 Spectacle de danse, musique live, vidéo Tout public dès 4 ans Durée : 40 minutes Sans paroles Direction / Concept : Rajivan Ayyappan Chorégraphie : Emanuela Iacopini, Yuko Kominami Interprétation : Emanuela Iacopini, Yuko Kominami, Samuel Meystre Création sonore / Musiciens : Rajivan Ayyappan, Emre Sevindik, Tomas Tello Création lumière : Nico Tremblay Vidéo média interactifs : Matsuo Kunihiko Regard externe : Laurent Dupont Avec le soutien de Photo © Bruno Baltzer + + Project O La Compagnie VEDANZA Trois danseurs et un musicien avancent sur un chemin comblé d’obstacles et d’embûches, à la recherche de la lune. Ils évoluent dans un espace scénique fait de lumière, d’images, de sons et de jeux. Les spectateurs peuvent laisser libre cours à leur imagination et se laisser emporter dans un monde de rêve… La Compagnie VEDANZA s’inspire de la forme parfaitement ronde de la lune pour la composition chorégraphique et musicale du spectacle. Des moments bien concrets et réels contrastent avec des éléments magiques et abstraits. « Le jeu, l’erreur, la recherche, l’amitié, la surprise, le questionnement, l’énergie, la fatigue… ce sont tous des éléments du quotidien des enfants que nous aimerions représenter sur scène. » (Rajivan Ayyappan, directeur artistique) « C’est réussi... donner accès à la danse contemporaine à un public agé de 5 ans et en meme temps offrir un divertissement amusant pour un public adulte. » (Tageblatt, 19 avril 2010) « Les uns cherchaient des explications sur la facon dont bougeaient les danseurs, les autres étaient simplement fascinés par ce mélange de musique extraorinaire, d’input multimédia et de danse moderne. (...) Quel bonheur de voir mes élèves attentifs et interessés pendant toute la durée du spectacle. » (Une enseignante du cycle pré-scolaire) + Vedanza, association sans but lucratif luxembourgeoise, a été créée en 2006 par la chorégraphe et danseuse Emanuela Iacopini, la chercheuse en philosophie Isabell Siemplekamp et l’artiste du son et compositeur Rajivan Ayyappan. L’association a pour objectif de produire des performances multimédia et propose des programmes pédagogiques pour jeunes et enfants. Un des objectifs principaux de Vedanza a.s.b.l. est la construction d’un réseau d’artistes innovateurs travaillant dans divers milieux artistiques contemporains comme la danse, le son, les nouveaux médias, les arts littéraires. Vedanza veut créer un environnement propice à la création, à la recherche et à l’expérimentation. Productions : > Permanent Impermanent, chorégraphie solo, London (The Atelier) et Luxembourg (TROIS-CL), 2006 > A Fountain for instance, projet pédagogique, TROIS-CL, Luxembourg, 2007 > Farfalle sound scape project, dans le cadre de Retour de Babel, Dudelange, 2007 > Goose Bumps, projet pédagogique, TROIS-CL, Luxembourg, 2009 > Project O, spectacle de danse tout public dès 4 ans, TRAFFO_CarréRotondes, Luxembourg, 2010 > The JOB, chorégraphie impliquant des professionnels et des chômeurs, Mierscher Kulturhaus et Grand Théâtre de Luxembourg, 2010 Note d’intention Rajivan Ayyappan, directeur artistique L’idée originale était de travailler sur les fables d’Ésope, mais une fois le projet lancé, j’ai préféré un conte que j’avais moi-même écrit il y a une dizaine d’années : Moon and the Castle (La Lune et le Château). Historiquement parlant, la lune et le château forment une image iconique à travers la littérature et les arts visuels. Très souvent, ils apparaissent comme des images sombres et gothiques. C’est la raison pour laquelle j’ai voulu leur donner une connotation plus rose et légère dans Project O. La forme parfaitement ronde de la lune a inspiré la composition chorégraphique et musicale d’une grande partie de la pièce. D’autres éléments qui constituent le mouvement ont été inspirés par des gestes du quotidien. La chorégraphie et la musique ont été composées à partir de l’improvisation, et par moments, elles laissent la place à des improvisations sur scène. Ce spectacle de danse pour tout public dès 4 ans vise à offrir des moments magiques, certains plus abstraits, en contraste avec des éléments bien concrets ou plus réels. Le jeu, l’erreur, la recherche, l’amitié, la surprise, le questionnement, l’énergie, la fatigue… ce sont tous des éléments du quotidien des enfants que nous aimerions représenter sur scène. L’intention est de stimuler l’imagination du jeune public en lui proposant une pièce contemporaine dans laquelle la danse, la musique, la lumière et les images ont contribué à structurer une mise en scène du conte original. « On veux danser ! » ont crié quelques enfants des classes témoins qui nous ont suivi tout au long de ce projet. Un bon signe d’encouragement, car c’est aussi mon premier travail pour enfants. J’espère que les jeunes d’aujourd’hui constitueront les artistes, les amateurs et les publics de demain pour la danse et la musique contemporaine, d’où l’importance de leur donner la chance d’assister à des spectacles dès leur jeune âge. En espérant qu’ils apprécieront ! + Interviews avec Rajivan Ayyappan, directeur artistique Quelle a été la procédure de création pour Project O ? Dès le départ, je voulais utiliser les jeux comme structure de base pour la création de la pièce. Project O est un grand jeu en direct, qui génère en même temps du mouvement et du son... et comme dans tous les jeux, il y a un certain nombre de règles et d’indications à suivre, et les erreurs sont ainsi très visiblement définies. Nous avons utilisé des principes semblables de « jeu en direct », aussi bien pour la musique que pour la chorégraphie. Il y a donc des évènements qui sont composés et d’autres qui sont improvisés sur scène. On le voit assez clairement dans la structure de la partie centrale de la pièce, qui est supposée être un espace de jeu comme celui représenté dans le tableau « Les jeux d’enfants » de Pieter Bruegel : un champ très dynamique, une collection de mouvements qui viennent de la tradition des jeux physiques... une série de mouvements déconnectés de ces jeux, un montage d’extraits de jeux différents. + Bien sûr, des idées plus complexes peuvent être incluses dans le travail de création, même si les enfants ne peuvent pas les saisir dans l’immédiat... si elles sont assez fortes, ils vont peut-être les comprendre beaucoup plus tard dans leur vie. Pouvez-vous nous parler de la composition musicale ? Il n’y a pas de composition musicale dans le sens classique du terme. Il nous fallait trouver quatre environnements sonores différents. Pour la première partie du spectacle, l’environnement sonore d’une nuit étoilée dans une vallée, avec un ciel dominant. Puis celui d’un rêve, d’un espace de jeu, où tout son « joueur » est le bienvenu. Le troisième étant l’espace étrange d’un château, où le son résonne et où un seul jeu final est joué. Enfin le son de l’air à l’intérieur d’un ballon géant. Quelles particularités y a-t-il selon vous dans le travail pour le jeune public ? Il y a certainement plusieurs méthodes de création pour un public jeune. Il y a des créations qui s’adressent à la fois à un public adulte et à un public jeune, comme certaines œuvres traditionnelles et même modernes, par exemple celles de Jean Tinguely, Chaplin, Ésope ou encore Miró. Une assez grande partie du travail pour les adultes demande une expérience plus ou moins complexe et spécifique de la part du public, selon la complexité des intérêts de l’artiste et des contenus choisis. Je crois que la création pour le jeune public devrait être plus centrée sur ce qu’elle peut offrir aux enfants pour leur développement, plutôt que sur le besoin des artistes de s’exprimer. Le travail pour les enfants devrait déclencher chez eux de l’enthousiasme pour l’art, de l’émerveillement, il devrait stimuler la concentration, l’imagination... et l’envie d’être confrontés à d’autres nouvelles œuvres et spectacles. Photo © Sven Becker + Interviews avec Emanuela Iacopini, chorégraphe et danseuse avec Yuko Kominami, chorégraphe et danseuse Comment avez-vous abordé la composition chorégraphique dans Project O ? Quelle est votre vue sur la danse d’aujourd’hui ? Dans une phase préparatoire du travail de création, nous avons organisé des stages avec des enfants du Conservatoire et des classes préscolaires de l’école Commerce du quartier de la Gare. Nous avons pu observer le comportement et le mouvement des enfants en relation avec un espace de récréation et avec la danse. L’expérimentation avec des jouets de forme ronde a été ici un des points de départ de notre travail. Ensuite, nous avons travaillé à travers l’improvisation. Nous voulions créer des moments dansés parfois plus représentatifs, parfois plus abstraits. Nous nous sommes laissés inspirer par des gestes du quotidien : dormir, jouer, s’habiller,... des gestes que les enfants reconnaissent. Je pense que la danse d’aujourd’hui est de nature hybride. Elle peut inclure différents types de danse et différentes techniques de mouvement : traditionnelles, classiques, modernes, contemporaines, issues de différentes cultures. Dans l’extrême, n’importe quel mouvement conçu comme tel peut être appelé danse… Mais en même temps, cette tendance vers l’hybridation permet à chacun une recherche personnelle dans sa propre danse, qui naît par une nécessité, une envie de communiquer et de vivre au delà des styles de vie établis, au delà des pratiques établies. La forme sphérique de la lune a donc inspiré la composition du mouvement dans plusieurs moments de la pièce. Nous avons exploré l’interaction avec cette forme, réelle ou imaginaire, une interaction qui peut se faire à l’extérieur ou à l’intérieur du corps. Nous avons travaillé sur le mouvement en flux continu de la sphère, mais aussi sur des éléments de contraste comme par exemple la perte d’équilibre autour de l’axe de gravité, ou toute sorte d’interférence de rythme. Une partie du travail est aussi conçue comme un jeu vivant, où il y a des règles à respecter et des instructions à suivre, mais l’interprétation reste libre. C’est un vrai jeu en direct pour nous aussi. Quelle différence y a-t-il à votre avis entre des spectacles de danse contemporaine pour adultes et pour enfants ? D’après votre expérience dans l’enseignement de la danse contemporaine et dans la création, comment essayez-vous de rendre les enfants plus intéressés à la danse contemporaine ? Il n’y a pas grand chose à faire, heureusement, les enfants en général sont intéressés par la danse contemporaine, c’est peut-être les parents qu’il faudrait sensibiliser d’avantage. Une fois que les enfants sont dans le studio de danse, j’essaie tout d’abord de créer une atmosphère où ils puissent se relâcher et se concentrer sur la sensation de leur corps en mouvement. Ensuite, il m’importe de leur faire travailler des aspects techniques pour apprendre la dynamique du mouvement, avec une approche biomécanique saine, mais aussi de leur donner des tâches d’improvisation, où ils sont guidés par l’imagerie pour stimuler leur créativité. Et ils adorent ça, ils n’ont pas d’inhibition, et ils se laissent aller avec plaisir… cela leur fait du bien, physiquement et mentalement. Finalement, il faut leur montrer de temps en temps des spectacles de danse contemporaine… pour enfants ! Maintenant qu’on travaille sur ce Project O, je ne sens pas vraiment de différence entre une création pour enfants et une pour adultes. Je crois que c’est plutôt les thèmes qu’on traite qui peuvent être différents. Dans ce projet, comme je l’entends, on explore des objets et des mouvements de forme sphérique et on laisse beaucoup de place au jeu… Parfois j’espère que n’importe laquelle de mes performances puisse être vue par et puisse résonner parmi des publics de tout âge et background. + Biographies + RAJIVAN AYYAPPAN YUKO KOMINAMI Sound designer, compositeur et plasticien D’origine indienne, vit et travaille au Luxembourg Chorégraphe et danseuse Née au Japon en 1973, vit et travaille au Luxembourg Les recherches de Rajivan Ayyappan sur le son prennent des formes multiples : installations, facture d’instruments, sculptures ou performances. Ses travaux ont été montrés dans de nombreux espaces d’art et festivals internationaux. Formé à la pratique de l’improvisation vocale des musiques de l’Inde du sud et du nord, de 1970 à 1986, il joue de multiples instruments. Au cours de ses études en arts visuels et communication au National Institute of Design d’Ahmedabad de 1984 à 1990, ses compétences dans le domaine de la typographie et sa connaissance de l’histoire des arts visuels ont considérablement influencé ses recherches musicales. Les nombreux voyages en Inde qu’il a ensuite effectués lui ont permis d’assimiler la multiplicité de la culture sonore et musicale indienne. Yuko Kominami à étudié le butoh et la danse à Tokyo. Après l’obtention de son diplôme en Histoire du Japon à la Waseda University, elle a étudié la danse au Laban Centre de Londres de 1998 à 2000, puis à l’Université du Surrey en 2006. Elle est aujourd’hui artiste indépendante dans les domaines de la danse et de la performance et collabore avec des professionnels de multiples horizons (danseurs, chorégraphes, plasticiens, musiciens et metteurs en scène). Parmi ses projets récents, on citera : Sound mapping Mithi terrain, projet sonore (enregistrements in situ et installations) pour la National Gallery of Modern Art de Mumbai (2009) ; Telesapes (Audio elf), installation sur le sujet du football conçue à l’occasion de la Coupe du Monde de Football en 2006 et exposée au Museum für Angewandte Kunst de Cologne ; The Air Around, performance en direct impliquant 213 artistes dans le monde entier ; Signals untitled, installation conçue à partir de cartes de la ville de Bengalore. Ce travail est notamment illustré par une série de pièces solo consacrées aux relations entre individus. When the Peony Breaks…(2006) s’attache à la transposition en mouvements moléculaires de souvenirs tant individuels que collectifs. En 2007, Linnunrata, qui tire son inspiration du folklore japonais, explore le thème de l’amour, de la séparation et des relations entre les êtres. Enfin reMEMBRANEce (2009), qui associe une danseuse seule (Yuko Kominami) et le travail vidéo de Catherine Richard, juxtapose la mémoire des deux artistes pour créer un espace où je, tu, nous se déploient dans une aventure où s’entremêlent l’individuel et le collectif. Vidéaste et chorégraphe indépendant, il est également sound designer pour le cinéma. Il a collaboré à l’élaboration du son pour de récents films indiens - dont Printed Rainbow, de Gitanjali Rao, qui a reçu 3 récompenses au Festival de Cannes en 2006 – ainsi que pour de nombreux documentaires. Il travaille pour des réalisateurs indiens comme Ketan Mehta, Aparna Sen et Ayisha Abraham. Il fait partie des groupes PRBH Quartett et Luma-Luma Sound Laboratory, avec lesquels il se produit régulièrement en concert en Europe. Il est cofondateur de VEDANZA a.s.b.l. (Luxembourg). Son travail repose sur l’expérimentation de mouvements « dans l’intervalle », ou mouvements « du devenir » où se croisent les individus et leur intensité. Elle cherche ainsi à exprimer les mouvements multiples et fragmentaires d’ « une vie ». Elle anime des cours et des workshops parmi lesquels Movement Laboratory illustre au mieux l’essence de son travail : en associant le travail physique, l’improvisation et différentes techniques tels le butoh et la danse postmoderne, elle cherche à permettre l’expérimentation d’ « une vie » par l’individu et en relation avec l’autre, ainsi que la découverte d’un vocabulaire chorégraphique personnel et pourtant universel. + Biographies + EMANUELA IACOPINI Chorégraphe et danseuse D’origine italienne, vit et travaille au Luxembourg Passionnée autant par les sciences que par l’art, Emanuela Iacopini a accompli des études supérieures en choréologie à Milan et en chimie à Londres, où elle a également effectué des études en sciences de la danse au Laban Center. Elle a par ailleurs réalisé des travaux de recherche scientifique en kinésiologie de la danse, et est praticienne diplômée de yoga. La danse lui a ouvert des horizons très variés. Elle a notamment été engagée comme danseuse au Lyceum Theatre de Sheffield, par le Théâtre des Capucins à Luxembourg en coproduction avec le Festival de Wiltz, et a également travaillé comme chorégraphe pour le cinéma. En tant qu’artiste indépendante, elle collabore avec de nombreux artistes et structures comme le Attakkalari Centre for Movement Arts à Bangalore (Inde), Danceworks et Artelier à Londres, ainsi que la Kulturfabrik, le TROIS C-L (Centre de Création Chorégraphique Luxembourgeois) et le Mierscher Kulturhaus. Elle a fondé VEDANZA Artist International en association avec le compositeur Rajivan Ayyappan et la chercheuse Isabelle Siempelkamp. Ses créations incluent Permanent Impermanent (2005), A Fountain For Instance (2006), Goose Bumps (2008). Depuis 2007, elle assure le poste de Chargée de cours de Danse contemporaine et de Kinésiologie de la danse au Conservatoire de musique de la Ville de Luxembourg. Elle représente le Luxembourg au sein de l’International Liaison Network de la IADMS (International Association for Dance Medicine & Science). SAMUEL MEYSTRE Chorégraphe, danseur et professeur de danse Né en Suisse en 1974 Samuel a étudié la danse moderne, contemporaine et classique avec de nombreux professeurs dans diverses écoles et stages internationaux, (entre autres Nigel Charnock, Jorma Uotinen, Josef Nadj, Randy Warshaw, Ballet Junior de Genève,…). Il a pris part au programme de formation danceWEB à Vienne en 1997. Il a travaillé comme danseur et/ou co-chorégraphe avec de nombreuses compagnies en Suisse (Alias Cie, Movers, Mafalda, Pool,…), Allemagne (Micha Purucker, Sylvia Heyden) et Suède (Adekwhat/Philippe Blanchard). Il a reçu un prix de mérite culturelle de la ville de Zurich le 13 décembre 2002 pour son engagement dans la scène culturelle indépendante zurichoise et internationale. Après avoir chorégraphié diverses pièces courtes, Samuel a fondé en 2006 le collectif « vobalko », avec lequel il réalise des projets personnels en collaborant avec des artistes d’horizons divers (musique, vidéo, théâtre, cartoon,…). Son travail reflète en général les relations humaines, l’amour, la haine et les rapport de forces, avec une bonne dose d’humour et d’extravagance, et s’exprime dans un mouvement fluide et très énergétique. L’esthétique est mise au service de l’émotion, aucun mouvement n’est infondé. Samuel enseigne la danse moderne et contemporaine à tous les niveaux, avec des projets dans diverses écoles de Saarbrücken et environs, mais aussi avec des cours et workshops pour danseurs en formation professionnelle (Cinevox Junior Company, Zürcher Tanz und Theater Schule,…). Il donne également des cours/entraînements professionnels. Il chorégraphie actuellement pour la formation de danse moderne « Performance » à Saarlouis. + Biographies MATSUO KUNIHIKO EMRE SEVINDIK Artiste multimédia, designer, danseur Né en 1969 au Japon Compositeur, sound designer Artiste multimédia basé à Tokyo, Matsuo Kunihiko est spécialisé dans les technologies interactives, le design audiovisuel et la danse contemporaine. Cofondateur de Nest (performance intermédia à laquelle il participe également en tant que danseur et sound designer) en 1992, il a également fondé en 1998 CMprocess, un collectif d’artistes qui travaille sur un concept global intégrant à la fois les nouvelles technologies, les arts du spectacle et le design. En 2004, il a remporté le 1er prix du concours international The Presence of Time - City Architecture Art for Braunschweig. Il travaille régulièrement en Inde, au Japon et en Europe. TOMAS TELLO Tomas Tello est né en 1981 à Lima (Perou). Il étudie la musique traditionnelle et l’harmonie avec Jorge Madueno et Andres Prado de 1999 à 2001 à Lima, puis avec Gani Mirzo à Barcelone pendant deux ans. De retour en Amérique du Sud, à Buenos Aires, il étudie et travaille avec le guitariste Fernando Kabusacki et avec Jessica Nardelli pour la Technique Alexandre. En 2005 il forme le groupe Shaolines del Amor avec Raul Gomez et un projet solo Makakinho del Amor. Il habite à Urubamba, Cuzco. Son travail est basé sur la musique traditionnelle latino-américaine et sur la musique électronique analogique. Il mixe des sons ambiants avec des techniques musicales traditionnelles. Il cherche à restaurer la dimension rituelle de la musique afin de rétablir une relation étroite entre les sons et l’humain. D’origine turque, Emre Sevindik est compositeur et sound designer actif à Luxembourg dans le milieu de la danse contemporaine, du théâtre et du cinéma. Il a notamment travaillé avec Robert Wilson, Govinda van Maele, Yuko Kominami, Jean-Guillaume Weis et Nicholas Elliott. Il a travaillé pour plusieurs projets de performances pluridisciplinaires comme Shqrurx (1er prix du Festival International d’Odense, Danemark, en 2003), Le Bruit du Silence (première représentation à la Kulturfabrik à Esch-sur-Alzette en Avril 2006) et El Burro (présenté dans le cadre de ni vu ni connu en 2007). Il est régulièrement invité pour la création d’installations sonores, notamment par le Mudam à Luxembourg. + Informations pratiques INFORMATIONS GENERALES : Spectacle de danse, musique live, vidéo Tout public dès 4 ans Durée : 40 minutes Sans paroles Jauge : 150 2 représentations/jour possibles Gradin obligatoire TRANSPORT : 2 véhicules à partir de Luxembourg sauf en cas de très longue distance. HOTEL ET PER DIEMS : à la charge de l’organisateur EQUIPE EN TOURNEE : - 3 danseurs - 1 musicien - 1 technicien son - 1 technicien lumière - 1 chargée de production CONTACT DIFFUSION : Angélique D’Onghia Chargée de production TRAFFO [email protected] +352 2662 2007 + Tournée Project O TRAFFO_CarréRotondes – Luxemburg-Ville : 12 représentations du 16 au 22.04.10 6 représentations du 17 au 21.11.10 Centre Culturel Régional Opderschmelz - Dudelange (Luxembourg) : 2 représentations du 14 au 15.12.10 Theater an der Parkaue – Berlin (Allemagne) dans le cadre du festival « Luxemburg ist Tanz » organisé par l’Ambassade de Luxembourg 1 représentation – 27.10.2011 İrfan Şahinbaş Stage – Ankara (Turquie) dans le cadre de « Little Ladies Little Gentlemen » festival international de théâtre d’enfants organisé par les Turkish State Theatres 2 représentations - 26.04.2012 Merci de bien vouloir contacter Pascale Lanier pour toute question concernant le prix de cession. Les documents relatifs au spectacle (photos, dossier de diffusion, fiche technique) sont téléchargeables sur notre site internet : rotondes.lu/pro/creations-traffo Photo : Sven Becker + TRAFFO présente en tournée... Les habits neufs de l’empereur D’après le conte de H.C. Andersen Théâtre musical avec quintette de cuivres A partir de 6 ans Durée : 40’ Jauge tout public ou scolaire : 150 Création octobre 2009 Langue : français, italien, allemand ou luxembourgeois Deux escrocs qui prétendirent savoir tisser une étoffe que seules les personnes intelligentes pouvaient voir, proposèrent à l’empereur de lui confectionner des vêtements. Le souverain, qui aimait par dessus tout être bien habillé, se retrouva nu devant son peuple réuni ! L’histoire de H.C. Andersen parle de la relativité des choses, de la différence entre l’être et le paraître et du pouvoir trompeur des belles paroles. Les artistes originaires d’Autriche, du Luxembourg et d’Italie ont adapté le conte en s’inspirant des ateliers créatifs et artistiques menés avec des enfants des trois pays. Conception, Texte, mise en scène et scénographie : Dario Moretti (fondateur de Teatro all’improvviso) Composition musicale : Elisabeth Naske Costumes : Carmen Van Nyvelseel Lumières : Michael Bättermann Vidéos: Enrica Casentini Interprétation : Daniel Tanson (acteur) Sonus Brass Ensemble: Stefan Dünser (trompette/idée), Attila Krako (trompette), Wolfgang Bilgeri (trombone), Andreas Schuchter (cor), Harald Schele (tuba) Coproduction : TRAFFO_CarréRotondes & Grazer Spielstätten Avec le soutien de Bludenz Kultur Pour plus d’informations : rotondes.lu/pro/creations-traffo Photo © Bruno Baltzer CONTACT DIFFUSION : Angélique D’Onghia Chargée de production TRAFFO [email protected] +352 2662 2007 Les documents relatifs au spectacle (photos, dossier de diffusion, fiche technique) sont téléchargeables sur notre site internet : rotondes.lu/pro/creations-traffo