ensemble le 15 fevrier - Fédération PCF de Seine Maritime
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ensemble le 15 fevrier - Fédération PCF de Seine Maritime
ENSEMBLE LE 15 FEVRIER A 18H30 HALLE AUX TOILES ROUEN AVEC MARIE-GEORGE BUFFET D écidément notre département est dans l'œil du cyclone concernant l'emploi et la formation. Ce numéro de l'Avenir en témoigne. démocratiques. C'est le sens premier du rassemblement à la halle aux toiles à Rouen le 15 février en présence de Marie-George Buffet. Il Suppression de classes et d'emploi sont février 2006 à l'horizon de la droite. Et l’on sait, pour l'avoir souligné souvent ici, qu'il y a un lien profond entre les deux questions. Cela ne se coupe du besoin pas du besoin d’une nouvelle politique économique et sociale, de service public et d’une relance de la croissance par le relévement du pouvoir d’achat des salaires et des pensions. N° 21 Résumer cette double question à l'équi- Didier Corroyer comité Départmental Seine-Maritime libre budgétaire, sous pression des critères de convergences de Bruxelles et des besoins du MEDEF, c'est assurément aller à contresens des besoins. projets Ainsi le CPE, qui poursuit la tendance à analyse démarche initiatives communistes la précarisation de l'ensemble des contrats de travail, qui fera ressentir encore plus aux salariés, notamment les futurs embauchés, qu'ils sont une marchandise que l'on peut jeter à tout moment, pour peu que l'on trouve moins cher sur le " marché " européen et mondial. en Seine-Maritime De même la directive "Bolkestein" dont La lettre d’information bimensuelle des communistes de la Seine-Maritime est éditée par la fédération du Parti communiste français Jacques Chirac nous avait annoncé la disparition en avril dernier.... Et qui revient. Cette directive encourage les délocalisations, le dumping social et fiscal, menace les services publics, les règles de la santé publiques, les normes environnementales et culturelles et la protection des consommateurs. L'heure est bien à rassembler pour s'opposer à ces reculs sociaux et Parti communiste français a en même temps une autre dimension, la volonté de réussir à gauche F ace aux agressions de la droite, la gauche ne doit pas se contenter de réagir au coup par coup. P our les communistes, la question posée à la gauche, si elle ne veut pas décevoir une nouvelle fois et répéter les échecs du passé, est de définir les objectifs et les moyens précis d'une politique rompant avec le libéralisme. Les contradictions entre les formations de gauche sur ce point sont profondes. On ne doit pas en rester à ce constat. Notre peuple a besoin de battre la droite et d'une politique de gauche à la hauteur de ses attentes. Il doit être saisi des termes du débat et pouvoir y intervenir. L es communistes proposent que les formations de gauche et écologistes organisent ensemble, dans tout le pays, de grandes rencontres publiques permettant cette construction de solutions alternatives, par la confrontation d'idées et de propositions des uns et des autres et l'apport des citoyennes et des citoyens. Lorsque notre peuple se mêle de politique, lorsqu'il s'empare des grandes questions, alors la donne est changée et s'ouvrent de nouveaux champs du possible. C'est ce qui s'est passé en 2005 avec le référendum. Alors nous vous donnons rendez-vous le 15 février avec M.G. BUFFET ! total 8 1 15 1 2 18 8 4 61 8 94 36 1 6 3 2 44 4 30 22 23 23 18 25 132 8 47 10 23 54 10 7 38 25 39 68 13 28 32 25 120 8 46 10 23 52 10 7 38 24 37 64 13 28 29 21 68 6 43 3 15 46 6 6 35 12 30 50 12 19 15 4 4 2 3 12 1 2 1 2 4 3 4 8 1 2 13 1 4 2 3 2 1 2 1 33 7 1 4 2 1 1 1 13 4 3 1 1 1 2 23 4 3 1 1 1 3 18 2 12 2 12 1 3 5 1 3 1 4 3 3 1 2 2 2 5 1 1 1 5 1 4 5 4 1 3 8 3 3 1 2 1 1 2 1 6 1 5 3 les résultats en bleu sont non comptabilisés (parvenus hors délais) Seine maritime 2162 812 30 782 REPÈRES ba se c co om ns mu eil ne rp nat lct ion t "vi exte al sé v e isé rp com e c lct m om u t un exte nist mun e e un su de iste ion r s no p po traté tre ar pu gi tem rem e l a pla ire pa ps ce et r "p m ag o en iss ur td an es te" tex de te ux alt tex er tes na tif 1 tex te alt ern ati f2 tex te 3 8 1 15 1 2 18 8 4 63 8 97 36 ex pri mé s 19 10 26 9 2 31 9 18 108 38 189 88 5 4 153 9 29 689 40 67 15 43 71 14 10 54 75 77 122 20 50 51 8 9 nu ls vo tan ts Sections barentin blangy bolbec boos bray-sud canteleu caux 9 caux 10 couronne darnetal dieppe elbeuf forges gd quevilly gonfreville gournay harfleur le havre le trait le treport lillebonne malaunay maromme montivilliers neufchatel oissel petit quevilly rouen saint etienne sandouville sncf sotteville st romain université ins cr its 33eme congrès PCF résultats des votes sur le choix de la base commune 503 64% 12 97 31 22 67 50 National 92472 45541 1297 44244 28125 828 1216 2453 1614 5772 3582 Abonnement et diffusion de l’avenir de Seine-Martime: Pour soutenir et faire connaître L’Avenir de Seine-Maritime souscrivez un abonnement (voir page 12) Faites connaîttre ce journal en nous communiquant les adresses de personnes désirant le recevoir contact : avenir de Seine-Maritime, 33 place de l’hôtel de ville, 76000 Rouen L’AVENIR N°21 FEVRIER 2006 - p2 14 février Strasbourg Aprés le rassemblement du 11 février a l’appel notamment du PCF, la confédération européenne des syndicats organise un rassemblement contre la directive Bokenstein. Et réussir , comme les dockers à faire échouer le vote de cette directive ! RENAULT ET L'AUTOMOBILE ONT La population et les salariés des usines normandes, les équipementiers attendent un vrai plan d'avenir et de développement. Pas un plan de récession, de rabougrissement ! Nous ne voulons pas voir l'avenir de sites et des milliers d'emplois hypothéqués par la volonté de faire un groupe mondialisé selon des critères strictement financiers. Pour une nouvelle politique industrielle en France et en Europe favorisant la sécurisation de l'emploi, la promotion de la formation et de la recherche. Le parti communiste, ses militants, ses élus mettront tout en œuvre pour s'opposer au déclin de l'industrie automobile et de Renault. L'Etat, actionnaire à 15 % de Renault, doit prendre ses responsabilités face aux menaces qui pèsent sur l'entreprise. Il est possible et indispensable que d'autres logiques soient mises en œuvres, en France et en Europe. La direction de Renault doit mettre en œuvre une véritable politique industrielle de développement, notamment avec la mise en place d'une gamme bon marché complète. DE L'AVENIR SUITE... Nous proposons des mesures sur le moyen et long terme afin de protéger et promouvoir les salariés, de construire des partenariats entre équipementiers et constructeurs, des coproductions et des coopérations en Europe. r Des mises en formation avec maintien des revenus à partir d'un Fonds spécial de protection et de promotion des salariés. Cela permettrait, sans chômage, de réaliser les modernisations nécessaires ou d'assurer de bons reclassements choisis avec l'expansion d'activités fondées sur les nouvelles technologies et les services notamment ceux centrés sur la mobilité (location, guidage à distance etc.). r La mise en place de partenariats entre constructeurs européens auxquels Renault, dont l'Etat est actionnaire, et l'Union européenne pourraient contribuer activement. r La stabilisation d'un pôle d'équipementiers et de sous-trai tants, pour assurer une politique de qualité leur permettant de maîtriser la fiabilité de leurs produits, mais aussi de sécuriser l'emploi et de répondre aux défis écologiques. r L'impulsion par l'Union européenne d'une véritable politique de coopération à l'échelle du continent, pour organiser jusqu'à des coproductions au sein de l'Union européenne afin de sortir de la concurrence coupe-gorge. La plus value dégagée du travail doit permettre à Renault de renouer avec ce qui a toujours été à l'origine de ses succès, l'innovation et le social. Aujourd'hui, il s'agit de sécuriser l'emploi et la formation, de combler le retard pris sur les salaires, d'aborder les questions de conditions de travail, embauches et départs à la retraite pour les plus de 55 ans. C'est avec cette démarche que la qualité des voitures sera assurée. Les communistes proposent Une relance concertée de l'effort de recherche par : r l'organisation du partage des coûts et l'impulsion de larges programmes de co-production. Il s'agit de construire de nouvelles liaisons entre la recherche et la production en Europe pour l'efficacité sociale et non pour le rendement des actionnaires comme avec " les pôles de compétitivité ". r un programme pluriannuel en direction de l'automobile afin de mieux équiper les entreprises, de mieux former les salariés, d'organiser les coopérations entre grands donneurs d'ordre et équipementiers, tout particulièrement dans notre région. L’AVENIR N°21 FEVRIER 2006 -p4 Dans les cahiers de l’alternative RENAULT ET L'AUTOMOBILE ONT DE L'AVENIR Les constructeurs automobiles ont misé massivement sur l'essor des marchés financiers. Ils se sont endettés pour réaliser des opérations financières géantes. Ainsi, la fusion de Renault et de Nissan a coûté 5 milliards d'euros. Le secteur automobile est vital pour la France et notre région. C'est un moteur de l'ensemble de l'industrie et de la recherche. L'Automobile dans notre région c'est : r 16300 salariés r 57 entreprises r 85 établissements r Renault représente 80% des emplois de la filière. r Avec la sous-traitance (mécanique, plasturgie, textile…) c'est environ 30 000salariés Haut-Normands qui travaillent dans la filière. r En 2000, le secteur représentait 15% des exportations régionales, le port (du Havre ?) étant le premier port français pour les entrées et les sorties de véhicules. r 7 salariés sur 10 ont plus de 40ans r 1 sur 3 plus de 50 ans Le 9 février prochain M. GHOSN, président de Renault, présentera un plan triennal. Sans préjuger de la gravité de ses annonces, nous appelons à la vigilance. La direction de Renault a en effet déjà montré la facilité avec laquelle elle supprimait les emplois, gelait les salaires, développait la flexibilité et l'intensité du travail. Sous prétexte d'assurer l'avenir, c'est en fait le taux de profit maximum pour les actionnaires qu'elle assure. Cette politique oppose les salariés entre eux, utilisant le chômage, la précarité, la dégradation des rémunérations et des conditions de travail comme seules variables d'ajustement. Les salariés de Renault, comme ceux des entreprises sous-traitantes, en font les frais. En l'absence d'une politique industrielle ambitieuse, fondée sur le développement de l'emploi, de la formation, de la recherche, la stratégie annoncée à risque de se traduire par un séisme social non seulement chez Renault, mais dans l'ensemble de notre pays. Nous ne voulons pas que se reproduise dans le secteur automobile, ce qui s'est passé dans l'industrie du textile et de l'habillement. Nous refusons de connaître de nouveaux Vilvoorde. L’AVENIR N°21 FEVRIER 2006 Cette gestion uniquement guidée par la rentabilité financière est intolérable. Elle joue les marchés financiers contre l'emploi, la formation, la recherche et le développement, contre l'intérêt national et européen. Ces stratégies ont déjà mené à des impasses. Elles risquent de mettre en péril tout le secteur. Ainsi, alors que les ressources de Renault ont été pompé vers la finance et les actionnaires, le groupe a tardé à renouveler sa gamme de modèles, conduisant à un essoufflement des ventes. Et la seule réponse de la direction c'est de reporter à 2007 la sortie de nouveaux modèles. Avant d'être un marché, l'automobile est un besoin. C'est un produit utile, incontournable en terme de développement durable. L'industrie automobile dans son ensemble, Renault en particulier, a un avenir : en France, les immatriculations de voitures neuves ont progressé de 2,7% en 2005 ; 8,2 % des ménages français ont acheté une voiture. Si cette proportion passait à 11,7 % comme en Espagne cela porterait le marché national à 400 000 unités supplémentaires. -p3 E N J E U X répondre aux besoins Le MEDEF en rêvait, Villepin l'a fait! POUR LE RETRAIT Du Contrat Précarité Emploi A l’appel des syndicats CGT - CFDT - FO - FSU - UNSA - Solidaires - UNEF (syndicat étudiants) le 7 février a été une forte journée de mobilisation, surtout des jeunes, contre le CPE La peur de chaque jour qui vient Au moins, un « Cdd de six mois » à terme précis, c’est garanti six mois… Mais un « Cpe de deux ans » c’est pas garanti du tout : chaque jour on se couche sans savoir si on travaille encore le lendemain… Lorsqu’il ne comporte pas de terme précis, le Cdd est conclu obligatoirement pour une durée minimale…pas le Cpe... Même les entreprises multinationales du Cac 40 vont pouvoir « faire du Cpe »… Le Cpe, à la différence du Cne, n’est pas réservé aux entreprises de moins de 20 salariés, mais ouvert à toutes : ainsi Axa, AGF, Gan, Vivendi, Thales, le Crédit Lyonnais, etc... les 100 premiers entreprises du Cac 40, (qui ont gagné 57 milliards d’euros en 2004, et davantage en 2005) pourront prendre des « Cpe » : mais en quoi ces entreprises qui font des bénéfices extraordinaires ontelles besoin de cela pour embaucher ? Des sous en plus pour les grosses entreprises qui font déjà d’énormes bénéfices Villepin prévoit une exonération totale de charges patronales pendant trois ans à tous les contrats à durée indéterminée (CDI, CNE, CPE) signés au profit de jeunes de moins de 26 ans au chômage depuis plus de six mois. Les 1000 entreprises de plus de 1000 salariés qui emploient déjà 3,5 millions de salariés et produisent 45 % du Pib vont doncvengranger encore plus de bénéfices pour leurs actionnaires avec cet argent donné généreusement par l’état avec les impôts… des salariés… Au début, en aout dernier, prétendument, le “Cne” était réservé aux “petites entreprises” de moins de 20 salariés qui auraient eu “besoin de davantage de souplesse” pour embaucher,, mais voilà que pour les moins de 26 ans, il n’y a eu plus cette pudeur : la mesure concerne tous les jeunes et toutes les entreprises... Aumône Unedic pour le Cpe viré Dans le dernier accord Unedic signé en décembre 2005, la filière « A » concerne les salariés ayant travaillé 6 mois dans les 22 mois précédant leur perte d’emploi ; elle ouvre droit à 7 mois d’indemnisation. 17 % des chômeurs indemnisés relèvent actuellement de cette filière. Une nouvelle filière (A +) a été créée. Elle est ouverte aux salariés ayant travaillé 12 mois au cours des 20 mois précédant la perte d’emploi. Elle permet une indemnisation de 12 mois. Dans le cadre du Cpe, s'il a travaillé au moins quatre mois, chaque jeune n’aura droit qu’à une allocation forfaitaire de 16,40 euros par jour soit 460 euros pendant seulement 2 mois… . 6 à 8 ans de super précarité pour tous les jeunes… et bientôt quel que soit l’âge… ? Si le jeune est soumis à plusieurs Cdd consécutifs, il sont « requalifiables » en un Cdi… Mais avec le « Cpe », en cas de rupture du contrat durant les deux premières années, un nouveau Cne entre l'employeur et salarié pourra être conclu après trois mois. Le syndicat peut ester en justice à la place du salarié pour faire qualifier des Cdd successifs en Cdi (L 122-316) : dans le Cpe pas de recours ! Les Cpe peuvent se succéder sans motif, sans recours, sans contrôle : un jeune pourra en faire trois de suite, et être viré chaque fois au bout de deux ans, puis passé 26 ans, il pourra encore faire un contrat CNE de deux ans… Cela fait des années de précarité, toute la jeunesse… ( les Cdd sont limités à 18 mois maxi…) L’AVENIR N°21 FEVRIER 2006 -p5 en direct des élus communistes du conseil général Pour l’emploi Le Département participe à sa mesure à la lutte contre le chômage, même si ce n’est pas de sa compétence directe mais celle de l’Etat. Mais ses actions se heurtent à la politique nationale libérale qui multiplie les cadeaux aux entreprises sans résultat tangible sur l’emploi durable. Le gouvernement vise à accentuer la dérégulation du Code du Travail en favorisant la précarité généralisée (contrats «nouvelle embauche» et contrats «de première embauche» pour les jeunes avec période d’essai de... 2 ans !!). N’en déplaise aux statistiques officielles, chaque jour apporte son lot de radiations à l’ANPE, de licenciements et de fermetures d’entreprises. En 2005, déjà près de 1000 emplois ont été supprimés en Seine-Maritime par licenciements économiques dans les secteurs de la chimie, de la sous-traitance automobile, la verrerie, la réparation navale notamment. Pour 2006, les perspectives sont également sombres. C’est pourquoi les élus communistes ont demandé que le Préfet, représentant de l’Etat, soit entendu sur cette question lors d’une prochaine session du Conseil Général. A l’inverse des mesures actuelles de la droite qui visent à précariser de plus en plus, les élus communistes entendent lui faire part de leurs propositions : interdiction des licenciements «boursiers» et institution d’une véritable «sécurité emploi-formation» (comme ils avaient été à l’origine en 1945 de la création de la «sécurité sociale»). Naturellement, ces propositions supposent un changement radical de politique … possible dès l’année prochaine, année électorale. Sans attendre cependant, les élus communistes au Conseil Général ont été force de propositions au plan départemental. O Ils ont ainsi été à l’origine de la création d’un comité départemental de contrôle des fonds départementaux versés aux entreprises : le CESA (Comité d’évaluation et de suivi des aides) examine désormais les demandes des entreprises et auditionne non seulement les chefs d’entreprises mais aussi les représentants des salariés. Ce comité peut ainsi veiller au respect du droit du travail avant de verser ses aides en fonction des emplois réellement créés. O D’autre part, les élus communistes ont contribué à recentrer les aides économiques du Département au bénéfice des petites et moyennes entreprises (de moins de 250 salariés), des très petites entreprises et des artisans qui créent de l’emploi (dès le 1e r emploi). O De même, le Département s’est lancé dans un plan d’insertion en faveur des personnes en situation de fragilité économique et va aider les entreprises qui recrutent en CDI des allocataires du RMI et d’autres minima sociaux. O Enfin, le Département a été à l’origine de la création directe de centaines d’emplois : - par les conventions de modernisation des établissements accueillant les personnes âgées (plus de 800 emplois créés), - par le recrutement direct d’agents départementaux : 90 «référents» RMI, 250 emplois pour tenir compte de la réduction du temps de travail, ou encore 60 emplois au CDE et 30 chez les pompiers du SDIS … Retrouvez tous les textes des élus communistes et les contacts sur :www.elus76.com contact : groupe communiste Hôtel du département quai Jean Moulin 76101 Rouen Cedex 1 tel : 02 35 03 55 65 fax 02 35 03 67 90 L’AVENIR N°21 FEVRIER 2006 - p 6 Equité des territoires O Services publics A l’inverse de l’Etat qui organise un véritable «déménagement du territoire» avec la suppression de nombreux services publics (bureaux de postes, classes, agences DDE, bureaux des douanes, de la banque de France, des assedics…), le Conseil Général s’est lancé dans une démarche de développement de services publics départementaux de proximité pour être au service des usagers. C’est ainsi que plusieurs «Maisons du Département», regroupant des services administratifs vont être progressivement créées pour couvrir les territoires de Seine-Maritime. De même, dans le domaine sanitaire et social, les CMS (Centres Médicaux Sociaux) seront implantés «en tenant compte de la particularité des territoires et des besoins des populations», alors que l’ancienne majorité de droite avait voulu diviser par 2 leur nombre en les transformant en CIAD (1 seul par canton). Enfin, Michel Barrier, vice-Président communiste de la commission des infrastructures, mène une réflexion sur le développement du service public Départemental des Transports : transports à la demande, tarifications sociales pour les personnes démunies … O Quartiers populaires Mais aménager les territoires du Département de façon équitable ne veut pas dire les traiter égalitairement. Les besoins des populations ne sont pas les mêmes dans les quartiers «chics» et les cités populaires. C’est pourquoi les élus communistes proposent de «faire plus là où il y a le moins» dans un souci de solidarité réelle. Par exemple, dans le domaine du logement social, pour favoriser la mixité, ils ont proposé, non pas seulement de pénaliser les communes qui ne remplissent pas leurs obligations légales de construire 20% de logements sociaux, mais également d’encourager les communes qui ont rempli plus que leurs obligations, en créant une «dotation de solidarité départementale» à leur intention. Noël de Solidarité La Solidarité, une des priorités de la nouvelle majorité du Conseil Général, s’est également manifestée le 24 décembre dernier au Havre : A l’initiative de Nathalie NAIL, vice présidente communiste chargée de la lutte contre les exclusions, un «noël de la solidarité» a été offert à 400 personnes démunies du Département, un moment exceptionnel, d’émotion, de partage et d’Humanité ... L’AVENIR N°20 JANVIER 2006 p 7 La quinzaine communiste Médias : Le matraquage libéral ça suffit ! Les Cofondateurs et cofondatrices de l’HD-l’Humanité Dimanche Ensemble créons un nouvel hebdomadaire Dés aujourd’hui, devenez lecteur-fondateur Vous pouvez participer au lancement de la nouvelle Humanité Dimanche en prenant des parts dans l’association renseignements : Dominique Langlois : 02 35 07 89 80 33 place de l’hôtel de ville 76000 Rouen ou: les cofondateurs et cofondatrices de l’HD- l’Humanité Dimanche 32 rue Jean Jaurès, 93528 Saint-Denis Cedex tel : 01 49 22 73 47 Email : [email protected] En Seine-maritime 35 co-fondateurs et co-fondatrices ont déjà versé 15500 €. Vous pouvez vous aussi devenir lecteurs-fondateurs de la nouvelle Humanité Dimanche ou participez à sa diffusion, en renvyant ou copiant le bulletin ci-dessous : je souhaite participer à la vente géante de découverte de la nouvelle Humanité Dimanche des 9-10-11-12 mars je commande : .... exemplaires pour tenir des points de vente dans ma ville Je souhaite devenir co-fondateur, co-fondatrice en souscrivant des parts MES COORDONNÉES Nom et prénom : Adresse : Code postal : Tél : Localité : E-mail: ______________ L’AVENIR N°21 FEVRIER 2006 -p8 BATTRE LA DROITE RÉUSSIR À GAUCHE Nos emplois en danger ! nRowenta Vernon Le site de Vernon va supprimer 66 emplois sur 240, en 6 ans les effectifs seront passés de 450 à 178. nFonderie Aluminium de Cléon 600 emplois menacés nGDX Automotive St Nicolas de laTaille 190 emplois de supprimés, dont 58 licenciements, sur un effectif de 335 nDockers de Dieppe 47 licenciements et l'ensemble des emplois portuaires menacés nOtor (chapelle darblay) St Etienne du Rouvray Incertitude sur l'avenir du site et 75 emplois menacés La droite et le MEDEF veulent leur revanche sur la victoire du NON Ils n'ont pas supporté la défaite que nous leur avons infligé en rejetant, à 55%, " la concurrence libre et non faussée ". Depuis, ils intensifient leurs attaques à l'égard de tous les aspects de notre vie : l'emploi, le logement, l'école, les services publics, la santé, les transports, …leur objectif ? Précariser davantage encore nos vies pour nous mettre à la merci de leurs volontés. Après le Contrat Nouvelle Embauche, donnant le droit de licencier sans motif pendant 2 ans, le gouvernement veut étendre cette mesure aux entreprises de plus de 20 salariés, avec le Contrat Première Embauche. Sous prétexte de favoriser l'emploi des jeunes, il entend mettre fin aux CDI, sous les ovations du MEDEF. Il veut passer ses mesures en force, nous faire peur, nous faire taire et nous faire admettre sa politique comme la seule possible. Halte au saccage de la Haute-Normandie ! Des centaines de suppressions d'emplois sont envisagées dans notre région, dans la chimie, la métallurgie, les activités portuaires, le papier-carton, l'automobile et ses sous-traitants…Le coeur même de notre économie régionale est mis à mal, la plupart du temps pour satisfaire l'appétit financier des actionnaires. De nombreux services publics disparaissent dans nos quartiers et nos communes. Nos hôpitaux sont étranglés, les moyens en faveur de l'école ou du logement diminuent. Une nouvelle saignée dans l'éducation ! nM.Réal Menaces sur le site d'Alizay. 220 emplois à la clé lDe nombreuses classes de notre académie sont à nouveau menacées de fermeture pour la prochaine rentrée. lLa fermeture de 26 Classes d'Intégration Scolaire, après les 19 de l'an dernier, est prévue. lAlors que notre région est parmi celles qui comptent le plus de retards scolaires, seuls 6 établissements verront leurs moyens augmentés... avec des financements pris sur des Zones d'Education Prioritaire, qui verraient, elles, leurs moyens spécifiques diminuer, voire disparaître. nSavonnerie de Yanville 101 personnes craignent d'être touchées par un plan social = 50 à 75 % des effectifs nSara Lee Pont Audemer L'entreprise ferme ses porte laissant 138 personnes au chômage nTranscosatal Dieppe Fermeture : 22 salariés sur le bitume nPfitzer Val de Reuil La cession du site à Fareva entraîne des inquiétudes sur la pérennité du site, les 270 salariés redoutent des licenciements L’AVENIR N°21 FEVRIER 2006 -p9 PRIORITES POUR CHANGER VRAIMENT LA VIE. 7 1 S'attaquer vraiment au chômage en faisant de l'emploi et de la formation la priorité nationale 2 Salaires : relèvement massif du pouvoir d'achat populaire 3 Un nouvel essor des droits sociaux pour enrayer l'insécurité sociale 4 Vivre librement dans la sécurité 5 Etendre et démocratiser les services publics 6 7 La lutte contre les discriminations déclarée grande cause nationale Garantir la souveraineté alimentaire, agir pour un développement durable et solidaire Rassemblons-nous contre la droite et le MEDEF… Les dockers et les travailleurs portuaires de toute l'Europe viennent de mettre en échec une direc tive qui visait à les mettre en concurrence pour tirer vers le bas leurs salaires et leurs droits. C'est un espoir pour tous ceux qui refusent la logique ultra-libérale, la logique capitaliste. C'est un appel à exprimer plus fort notre refus de la politique de la droite et du patronat, en France comme en Europe : contre le CPE avec les mouvements de jeunes ; contre la directive Bolkestein, qui revient au parlement européen, alors qu'on nous l'avait dite enterrée ; pour l'emploi et les salaires, lors des journées d'action, à l'appel des syndicats. Les communistes sont de tous ces combats. Ils travaillent au rassemblement des forces de gauche pour donner de l'efficacité à la riposte contre la droite. Pour stopper, dès maintenant, ses mesures et construire les changements nécessaires. ….et construisons un véritable changement Pour battre la droite, il faut un élan populaire, un élan majoritaire. Un élan qui mobilise les salariés, les privés d'emplois, les jeunes, les habitants des quartiers populaires, tous ceux qui n'allaient plus voter par déception, tous ceux qui se sont sentis abandonnés par des responsables politiques se disant impuissants face aux difficultés. Pour cela, la gauche a besoin de se rassembler. Elle a aussi besoin d'audace et de courage pour s'attaquer aux maux de notre société et pour réussir, cette fois. Elle a besoin de détermination face aux puissances de l'argent et aux institutions mondiales. ...elle a besoin d'ambition pour construi re une société solidaire, juste, humaine et fraternelle. Pour cela nous proposons : d'utiliser et de répartir l'argent autrement, de mobiliser tous les moyens pour un nouveau type de croissance, fondé sur la satisfaction des besoins sociaux et humains. de donner de nouveaux pouvoirs aux salariés pour qu'ils puissent participer aux choix dans leurs entreprises et faire respecter l'intérêt général plutôt que celui des actionnaires. de mettre tout le poids et l'autorité de la France au service d'une autre mondialisation, d'une autre Europe. Un projet qui change vraiment notre vie : voilà qui créerait l'espoir et la mobilisation ! Voilà qui permettrait de se rassembler et de gagner face à la droite ! Possibilité de transport en cars : INFORMATIONS : Rouen : 02.35.07.89.80 - Construisons-le ensemble ! Le Havre : 02.35.53.10.66 Dieppe : 02.35.84.10.77 - L’AVENIR N°21 FEVRIER 2006 - p 10 Evreux : 02.32.39.46.82 E N J E U X répondre aux besoins Port de Dieppe Déclaration des conseillers généraux et régionaux communistes L'avenir du port de Dieppe : un enjeu majeur de l'aménagement du territoire. Le port de Dieppe, atout essentiel pour la métropole d'équilibre qu'est cette ville en Haute Normandie connaît une situation très grave. La menace sur l'emploi des 47 dockers confirme qu'il y a un risque réel de disparition de sa fonction de port de commerce. Il apparaît aujourd'hui évident que le groupe Belge Sea Invest a racheté l'opérateur Léon Vincent pour détourner des trafics traditionnellement acquis à la place dieppoise. Disparition de trafic qui pourrait avoir un effet en chaîne sur l'ensemble de l'emploi portuaire, ainsi que des industries, notamment agro-alimentaires, qui lui sont liées. Il est évident que l'Etat, le port d'intérêt national étant encore actuellement placé sous sa compétence, porte une part essentielle de responsabilité dans la situation actuelle. Il entend de plus utiliser les lois de décentralisation Raffarin pour se débarrasser du port de Dieppe sans assumer toutes les conséquences de ses choix, c'est inacceptable. Les élus communistes de la Région Haute Normandie et du département de la Seine Maritime apportent tout leur soutien aux luttes qui se développent pour la défense de l'emploi et la promotion de la place portuaire de Dieppe. Il n'y a en effet aucune fatalité à ce que le port de commerce disparaisse au profit d'une fonction dominante dédiée à la plaisance. Les propositions avancées pour développer sa fonction commerciale doivent être soutenues. L'acceptation, par notre région, du transfert de la compétence portuaire se concrétisera désormais dans moins d'un an. Compte tenu de la place qu'a pris le département dans le développement du transmanche, cela invitera à trouver une solution originale de collaboration étendue aux collectivités locales et associant des partenaires. Nous concevons cette nouvelle donne comme un moyen pour insuffler du dynamisme à la fonction portuaire de la région dieppoise et à l'emploi qui lui est lié. Dans notre esprit, cela est conditionné par la mise en oeuvre effective et rapide d'une complémentarité nouvelle entre les ports de Haute Normandie. Il n'y a aucune raison pour qu'il y ait concur- rence entre ces ports de tailles différentes. Port 2000 au Havre, les nouveaux développements du port de Rouen ont bénéficié d'importants engagements financiers publics de l'Etat. La région et le département ont apporté eux-mêmes des participations considérables, il est naturel qu'en retour cela bénéficie à toute l'économie portuaire du département et de la région. Cette nouvelle complémentarité implique qu'elle soit organisée sur toute la façade maritime de la Haute Normandie, de la Baie de Seine à la Vallée de la Bresle. De ce point de vue nous confirmons notre demande de mise en action d'une conférence portuaire normande ouverte pour inciter et veiller à la construction de synergie et de complémentarité entre les différents ports pour le développement de méroutage, du cabotage, de l'occupation de toutes les niches, si modestes soientelles, de trafics... C'est le chemin de l'avenir. Cela permettrait le renforcement de notre vocation maritime et portuaire en offrant la totalité de la gamme des services qu'on peut attendre de cette diversité. Dans l'immédiat cela résorberait les effets de goulets d'étranglement qui découlent de la croissance rapide des échanges mondiaux en particulier par containers. A plus long terme les diversités des lieux et des modalités d'accueil du fret accroîteraient notre place en Europe et dans le monde. Concernant directement le port de Dieppe : nous pensons qu'il y a urgence à une remise à niveau de son outillage ainsi qu'à achever ses liaisons routières en particulier la RN 27. Cela est naturellement exigible à l'égard de l'état dans le processus de transfert. - nous pensons qu'il faut faciliter, y compris par une procédure d'aide tout projet de reprise de l'opérateur historique : c'est l'urgence. Enfin, la mise en oeuvre d'une réelle sécurité d'emploi et de formation, notamment pour la profession spécifique de docker, doit être envisagée parallèlement et dans l'attente des développements ultérieurs qui résulteront d'une dynamique de complémentarité qui doit être au coeur de l'outil portuaire normand. L’AVENIR N°20 JANVIER 2006 p 11 La quinzaine communiste Banlieue, lendemains de révolte Une coédition REGARDS-LA DISPUTE Novembre 2005, dans les cités populaires, une jeunesse se révolte. Colère passagère ou expression d’un profond malaise qui révèle les tares de la société ? Après le dénigrement, la répression et les polémiques, des chercheurs et des acteurs de la vie locale et associative cherchent à comprendre le sens de ce mouvement. La criminalisation des classes populaires, le mépris des banlieues, la violence sociale induite par le néolibéralisme ou encore la persistance d’un post-colonialisme à la française…, autant de pistes à explorer d’urgence pour entendre la jeunesse révoltée. Clémentine Autain, co-directrice du mensuel Regards.Stéphane Beaud, professeur de sociologie. Alain Bertho, professeur d’anthropologie. Patrick Braouezec, député PCF de Seine-Saint-Denis. Paul Chemetov, architecte. François Dubet, professeur de sociologie. Jean-Pierre Dubois, président de la Ligue des droits de l’Homme.Gustave Massiah, président du CRID. Laurent Mucchielli, sociologue, chercheur au CNRS. Michel Pialoux, chercheur au Centre de sociologie européenne. JeanLouis Sagot-Duvauroux, philosophe et écrivain, président de Familles Nord-Sud. Évelyne Sire-Marin, ancienne présidente du Syndicat de la magistrature, co-présidente de la fondation Copernic. Christiane Taubira, députée PRG de Guyane. Sylvie Vassallo, directrice du Salon du livre de jeunesse en Seine-Saint-Denis. EN LIBRAIRIE LE 19 FÉVRIER 2006 160 PAGES, 9 € À COMMANDER À REGARDS par courrier au 120 rue Lafayette 75010 PAR ou par mail : [email protected] (chèque à l’ordre de REGARDS : 11,50 € dont 2,50€ de frais de port) Département/démocratie déclaration groupe des élus communistes et républicains de l'agglomération de Rouen Notre pays connaît de graves difficultés économiques qui ont des répercussions lourdes sur nos concitoyens. La politique de la droite est à sens unique, tout est fait pour répondre positivement aux demandes de libéralisation du MEDEF. Il faut que les verrous sautent ; droits du travail, conventions, 35h, la précarité partout et pour tous, voilà l'objectif à atteindre dans les meilleurs délais. Notre agglomération, comment pourrait-il en être autrement, n'est pas épargnée par les mauvais coups qui frappent d'abord les plus fragiles. Les menaces de fermetures d'entreprises, de réductions sensibles des effectifs dans des secteurs comme l'automobile, la chimie, le papier carton, les coups portés au service public, la diminution des trafics frets à la gare de triage de Sotteville … demandent la mobilisation de tous les élus pour, comme nous le faisons, s'opposer au démantèlement du tissu économique industriel et social de notre agglomération. Vendredi 27 janvier le budget 2006 était à l'ordre du jour du Conseil d'Agglomération. La droite, responsable de par sa politique nationale des difficultés grandissantes rencontrées par nos concitoyens avait décidé, à Rouen, de ne pas siéger à ce Conseil. Le quorum n'a pu être atteint et cela de façon délibérée. Des dossiers importants doivent pourtant trouver des débouchés rapides pour répondre aux mieux aux aspirations des habitants de l'agglomération. Logement social, développement économique, transport, eau publique, urbanisme, culture, sport … le travail ne manque pas et devrait passer avant les querelles politiciennes ou de personnes. Chaque jour les responsables politiques, les élus doivent faire des choix. Pour les élus communistes et républicains ce qui nous guident ce sont les engagements pris, la défense des intérêts du plus grand nombre, les moyens d'agir pour corriger, inverser si possible les décisions néfastes de la droite. Dans les domaines de responsabilités qui sont les nôtres et plus généralement sur la politique de l'agglomération, nous sommes attentifs à orienter nos propositions et nos choix en tenant le plus grand compte des engagements que nous avons pris. Mépriser la démocratie, refuser le débat n'est pas une bonne façon de concevoir le développement de notre agglomération. Les élus communistes et républicains déplorent la façon, en catimini, dont va être voté le budget de l'agglomération. Budget qui, il faut le souligner, de façon non partisane, prend largement en compte les demandes de la ville centre en ce qui concerne, par exemple, les transports. Notre agglomération, ses habitantes et habitants méritent mieux que le mépris et l'indifférence. Les interventions des élus communistes de la région et du département peuvent être retrouvées sur le sites : www.elus76.com et www.avec-vous-un-projet.org En mouvement n Ecoles Contre les fermetures de classes Pavilly, Saint Georges sur Fontaine, le Houlme, Caudebec-les-Elbeuf, et bien d’autres ailleurs. La résistance contre les fermetures de classes se met en place. Dans les collèges aussi les parents d’éleves réclament que le nombre d’heures allouées ne baissent pas, au contraire, ils veulent plus de moyens et le maintien des zones d’éducation prioritaire. Ces actions sont soutenues par les élus communistes locaux. L’AVENIR N°21 FEVRIER 2006 La fédération PCF de Seine-Maritime et son nouveau site Retrouvez tous les articles et les liens sur: www.pcf76.fr - p 12 N°21 Daté du 06/02/2006 Lettre d’information éditée par la fédération de Seine-Maritime du Parti communiste français Directeur de la publication : Daniel Lallier Rédacteur en chef : Claude Etienne Imprimerie : SNEIP Saint-Etienne-du-Rouvray Tel 02 35 07 89 80 Courriel : [email protected] Abonnement annuel : 25 € Prix au numéro : 0,60 € N° CPPA :0710 P11480 ISSN : 0338-0645