MUSÉE WÜRTH FRANCE ERSTEIN

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MUSÉE WÜRTH FRANCE ERSTEIN
MUSÉE WÜRTH FRANCE ERSTEIN - Janvier 2011
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SOMMAIRE
L’exposition
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Biographie de l’artiste
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Visuels
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Catalogue
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Programmation culturelle
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Informations pratiques
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MUSÉE WÜRTH FRANCE ERSTEIN - Janvier 2011
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L’EXPOSITION
L’exposition Anselm Kiefer dans la Collection Würth présente le fonds particulièrement riche
des œuvres de l’artiste allemand, depuis ses œuvres de jeunesse jusqu’à aujourd’hui. Les
choix d’acquisitions du collectionneur et fondateur du Groupe Würth, le Professeur Reinhold
Würth, se sont en effet portés ces dernières années sur différents ensembles majeurs du
travail de Anselm Kiefer.
Organisée autour des thèmes du paysage héroïque, de la poésie et des cosmogonies,
l’exposition se veut comme un parcours dans une géographie imaginaire, l’esquisse d’une
cartographie des pensées historiques, poétiques ou encore philosophiques chères à l’artiste.
Elle présente ainsi des œuvres de jeunesse marquées par ses interrogations sur la difficulté
d’être un artiste allemand dans les années 1960-1970, vingt-cinq ans après la fin de la
Seconde Guerre mondiale.
Anselm Kiefer appartient à cette génération de plasticiens qui évolue autour de la figuration
et du retour au sujet (Richter, Baselitz, Immendorf, Lüpertz). Ces artistes se plongent dans les
thèmes littéraires, philosophiques ou artistiques de la culture allemande souvent récupérés
par le régime nazi. Cette mémoire qu’ils souhaitent se réapproprier est aussi une arme pour
questionner la conscience collective longtemps silencieuse après la défaite de 1945. Les
figures héroïques, les corps mutilés, les vastes paysages sont autant de symboles de cette
nouvelle iconographie.
Anselm Kiefer, né en mars 1945, fait le choix à la fin de ses études d’expérimenter
physiquement le nazisme lors d’un voyage « d’occupation » à travers la France, l’Italie et la
Suisse, à l’été 1969. L’artiste se met en scène dans une série d’autoportraits
photographiques dans lesquels il effectue le salut nazi. Cet ensemble de photographies
aboutira à la réalisation de livres d’artiste, puis en 1970 à une série de huit tableaux intitulés
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Symboles héroïques. Il déclarera par la suite : « Il fallait que je fasse un petit bout de chemin
pour comprendre la folie ».
L'exposition révèle aussi un ensemble d’œuvres monumentales réalisées au cours des vingt
dernières années, où l’on retrouve les matériaux de prédilection de l’artiste : plâtre, plomb,
paille, plantes séchées, terre, bois ou encore la photographie.
Le processus d'empilement et de transformation sur la couche picturale, d'objets, de matières
et d'écriture qui caractérise le travail de création de Anselm Kiefer, crée une œuvre
polysémique que le visiteur peut aborder librement, en ayant connaissance ou non des
références érudites de l'artiste. Les vastes constellations d’étoiles, désignées par des numéros
puisés dans les annuaires astronomiques ou dans la nomenclature de la Nasa, invitent en
effet tout autant à la contemplation d'un passé ou d'un futur imaginaire, à la découverte des
palais célestes de la Kabbale, qu'aux récits de la mythologie antique qui donnèrent leur nom
à des systèmes stellaires.
Le dialogue ininterrompu avec la poésie, en particulier celle de Ingeborg Bachmann et de
Paul Celan, est pour Anselm Kiefer une source de stimulation intellectuelle et émotionnelle
inépuisable, qui, le plongeant dans l'horreur de la Shoah, lui donne en même temps les
moyens de survivre.
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BIOGRAPHIE
Peintre allemand, Anselm Kiefer est né en 1945 à Donaueschingen dans le BadeWurtemberg. Il étudie d’abord le droit, les langues et les littératures romanes, avant de
s’orienter vers l’art en fréquentant les Ecoles des beaux-arts de Fribourg-en-Brisgau et de
Karlsruhe. Après avoir travaillé à Buchen dans le Bade-Wurtemberg, il s’installe en France et
travaille depuis 1993 à Barjac dans le Gard et depuis 2007 à Paris.
L'œuvre d'Anselm Kiefer démarre sur une interrogation capitale : comment, après
l'Holocauste, être un artiste qui s'inscrit dans la tradition allemande ? Ce travail existentiel de
mémoire s'est élargi d'une quête spirituelle nourrie de grands mythes et de mystique
kabbalistique. Pétri de culture, il mêle peinture, photographie, livres et sculptures. Fasciné par
le judaïsme, Anselm Kiefer a, tout au long de son œuvre, exploré le thème de la Kabbale
avec la même insistance que celui de la germanité.
Ses œuvres font partie des collections des plus grands musées du monde. En octobre 2007,
trois de ses œuvres (Athanor, une peinture de 11 mètres de haut, Danaë et Hortus conclusus,
deux sculptures) entrent dans les collections du Louvre. Il a inauguré le programme
Monumenta du Grand Palais à Paris en 2007, avec un travail qui rend hommage
notamment aux poètes Paul Celan et Ingeborg Bachmann, mais aussi à Céline.
En 2009, à l'occasion des célébrations des vingt ans de l'Opéra Bastille, l'institution
commande à Kiefer la conception d'un spectacle musical avec récitant, intitulé Am Anfang
dont il réalise le concept, la mise en scène, les décors et les costumes sur des textes bibliques
de l'Ancien Testament.
L’artiste a reçu le prestigieux Praemium Imperial Prize à Tokyo en 1999 et a été élu lauréat
du Prix de la Paix des Libraires et Éditeurs allemands pour l’année 2008.
Anselm Kiefer a été nommé titulaire de la chaire de Création artistique au Collège de France
pour l’année académique 2010/2011.
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VISUELS
© Anselm Kiefer pour l’ensemble des œuvres
Les femmes de l’Antiquité – Les Érinyes
Die Frauen der Antike – Die Erinnyen
1995-1998
Technique mixte et fil de fer barbelé sur toile
Collection Würth Inv. 6361
Photo : Philip Schönborn, München
Bibliothek (mit Meteoriten)
Bibliothèque (avec météorites)
1991
Livres en plomb, pierre en plomb,
fil métallique et fer
Collection Würth Inv. 8318
Photo : Margrit Olsen
Les batailles navales de Velimir Chlebnikov
Velimir Chlebnikov Seeschlachten
2005
Huile, émulsion, acrylique, plomb et plâtre
sur toile
Collection Würth Inv. 9166
Photo : Charles Duprat
Himmelspaläste 1 (Hydra)
Palais célestes 1 (Hydre)
2001
Huile, émulsion, acrylique, laque, plâtre
et paille sur toile
Collection Würth Inv. 7753
Photo : Margrit Olsen
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Merkaba
2001
Huile, émulsion, acrylique, fil métallique,
plâtre sur toile et objets en plomb
Collection Würth Inv. 7754
Photo : Margrit Olsen
Hercules
Hercule
2002
Huile, émulsion, acrylique sur toile et plantes
en plâtre
Collection Würth Inv. 7755
Photo : Margrit Olsen
Urd, Werdandi, Skuld
2007
Huile, émulsion, gomme-laque, terre sur bois,
branches et chaise pliante
Collection Würth Inv. 11117
Photo : Charles Duprat
To be titled (Triptychon)
À titrer (Triptyque)
2008
Huile, émulsion, acrylique, gomme laque,
branches, fougères recouvertes de résine et
plâtre sur toile
Collection Würth Inv. 12378
Photo : Charles Duprat
Les visuels haute définition sont téléchargeables sur le lien
http://www.musee-wurth.fr/presse/
Nom d'utilisateur : pressemwfe
Mot de passe : kiefer
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CATALOGUE
Catalogue de l’exposition Anselm Kiefer dans la Collection Würth
Format : 21,5 x 26 cm, 112 pages
Édition trilingue français/allemand/anglais
Catalogue édité par Swiridoff Verlag / Musée Würth France Erstein
Prix : 29 €
Le catalogue comprend un essai « L’art comme le soleil » de Danièle Cohn, philosophe,
professeur d’esthétique à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne.
Extraits du texte de Danièle Cohn :
« Pour qui regarde une première fois une œuvre d’Anselm Kiefer ou découvre une œuvre
nouvelle, le choc est toujours là, l’incompréhension au premier abord également. Lourde de
symboles, exigeant un glossaire, contenant souvent quelques mots écrits à la main,
combinant les techniques et engrangeant les qualités de médiums divers sans pour autant les
fusionner, ou même les « monter » pour leur donner une continuité sémantique et matérielle,
une œuvre de Kiefer s’installe dans notre perception et comme un monument, et comme une
trace mnésique individuelle, un souvenir d’un quotidien dans sa banalité. La peinture de
Kiefer est cultivée, savante même. Elle est imprégnée de littérature et d’histoire de l’art, de
musique et d’histoire de l’architecture, de philosophie et de science, de théologie et
d’alchimie. »
(…)
« La peinture de Kiefer est une peinture substantielle en effet, dense. Les œuvres de Kiefer ne
relèvent pas du pur visuel, de l’optique. Pour emprunter au sculpteur Adolf von Hildebrand la
polarité conceptuelle qu’il a inventée et que Riegl et les autres tenants de la science de l’art
ont développée, celle de l’optique et de l’haptique, le travail de Kiefer est du registre d’une
peinture haptique (tactile). Dans les topographies que dessinent nos régimes sensoriels, avec
leurs sources distinctes – vue, ouïe, odorat, toucher –, Kiefer construit des ponts, qui
connectent nos systèmes d’orientation corporelle. Nous ressentons la troisième dimension, la
consistance. Les surfaces qu’il produit ne sont pas planes, leurs reliefs nous guident vers des
profondeurs cachées, des aspirations maintenues au secret, vers la verticalité qui est leur
fondation. L’horizontalité partielle a chez Anselm Kiefer une verticalité. Les cartographies
qu’il invente, ces cartes des étoiles, des continents, des époques, sont une manière de faire
l’histoire, et non de la raconter, car on ne raconte que des histoires, pas l’histoire qui
demeure inénarrable, invraisemblable, incroyable : l’histoire passe toujours notre
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entendement, c’est pourquoi il nous faut des histoires, des contes, des fables, des tableaux,
des musiques pour voyager de l’autre côté du miroir. »
(…)
« Anselm Kiefer noue ainsi son « lien de parenté »avec la poésie de Paul Celan, qui, avec
Ingeborg Bachmann, est ce qui lui est le plus proche, sa filiation choisie. « Dein goldenes
Haar, Margarete, Dein aschenes Haar, Sulamith ». Son tableau est dans un lien de parenté
avec la Todesfuge de Paul Celan, il la cite, il l’écrit sur son tableau. »
(…)
Kiefer est moins dans la mélancolie que dans la Sehnsucht ; cette nostalgie qui anime est
ferveur. Il y a un pathos de la nostalgie qui la dirige vers la mélancolie, mais si le registre de
la Sehnsucht résonne avec la tristesse de la quête manquée, il est aussi celui de l’énergie qui
bande la corde de l’arc dans une tonalité où l’intensité de l’élan prime la pesanteur, le poids
de l’état d’âme. »
(…)
« Ruines, éléments de la destruction-reconstruction, ruines avec noms, noms propres, autres
fragments. Il y avait Margarete, il y a aussi Siegfried, Brünnhilde, Kleist, Hölderlin, Goethe, le
Dormeur du Val et tant d’autres. Il y eut, en abondance, un genre que le peintre Claude
Lorrain porta à son sommet. On l’a caractérisé comme « paysage héroïque », peinture de
paysage avec personnages, belle nature, forêts, clairières, fleuves avec des figures, souvent
minuscules qui renvoient aux récits mythologiques, aux héros de la mythologie. Les champs
avec moignons de blé, fleurs calcinées, branches d’arbres desséchées, les trames des
constellations célestes et les réseaux de balises dans les mers des tableaux de Kiefer sont, à
leur manière, des peintures de paysage. Ce sont souvent des paysages habités par les noms,
inscrits dans ces noms, ou des paysages dont les noms émergent, fantômes cachés dans les
reliefs des surfaces peintes que l’invocation du nom propre réveille, fait venir au jour en les
ranimant, paysages écrits. »
(…)
« Ni Goethe, ni Hölderlin ne sont« nazis », pas plus que Bach, Beethoven ou Brahms, les trois
B de la musique « allemande » comme les labellisait le régime hitlérien. Mais leur
panthéonisation par le troisième Reich fait depuis lors partie d’eux. On a transformé des
poètes, des artistes en héros de la germanité. Cette héroïsation a perverti, et la culture qui l’a
acceptée comme un sauvetage, et les œuvres de ces poètes et de ces artistes qui ont été
gangrenées. »
(…)
« Les ravages de ces opérations d’appropriation du passé, de la culture, nous « occupent »
– c’est d’une Occupation qu’il s’agit – encore. Weimar aujourd’hui, c’est toujours et encore
le classicisme allemand, c’est aussi Buchenwald. Peintre des figures de dos, des abbayes
gothiques sous la neige, Caspar David Friedrich est devenu celui qui n’est pas « dégénéré »,
symbole d’un art allemand parce qu’en son temps il s’était opposé aux soldats de Napoléon
et que pour cette raison, les nazis l’avaient adopté comme l’un des leurs.
Dans les années soixante, l’urgence pour un jeune peintre est de donner une forme nouvelle
à ces noms, pour qu’ils cessent d’être les symboles d’une identité collective, blasons d’une
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héraldique douteuse. Se rappeler, comment se rappeler, que se rappeler, ces questions au
coeur de la filiation que s’invente Kiefer le conduisent aussi sans détour à celle-ci : comment
avoir aujourd’hui, après et avec Auschwitz, des héros ? Pour quoi faire ? Les héros avaient
été faits pour qu’on les honore, les vénère, qu’on leur rende un culte. Là réside le danger, un
des dangers du moins. »
(…)
« Comment alors penser les symboles héroïques ? Par urgence biographique (« ma
biographie est celle de l’Allemagne »), Kiefer leur cherche une nouvelle forme expressive.
Est-il un provocateur, quand il fabrique ces livres de Symboles héroïques ? La seule réponse
possible est non. Les travaux appelés Symboles héroïques sont au départ des photographies
prises à la fin des années soixante. Présentées pour passer le diplôme à l’Académie des
beaux-arts de Karlsruhe, ces séries ont été des œuvres par lesquelles le scandale est arrivé.
Kiefer en demeure aujourd’hui encore étonné, il récuse l’idée de provocation, et les désigne
comme des « radiographies de son histoire ». »
(…)
« Kiefer chasse ses spectres. Avec ce travail qu’il nomme Occupations, il chasse ce qui
l’occupe littéralement – jeune homme assailli par un occupant : le nazisme d’un pays et d’un
peuple sur lequel les « années de plomb » ont étendu leur silence. »
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PROGRAMMATION
CULTURELLE
Mardi 1er février à 20h
Concert : « De la rosée sur la cendre », Lisa Erbès (violoncelle)
et Corine Linden (comédienne)
Œuvres de Bach, Britten, Erbès et textes de Ingeborg Bachmann
et Paul Celan
Dimanche 13 février à
17h
Théâtre : « La route vers la Mecque » d’Athol Fugard
Mise en scène de Jean-Marc Eder
Cie Le Mythe de la Taverne
Mardi 1er mars à 20h
Théâtre musical : « 44, des bruyères sous la neige »
Cie BAAL novo
Mardi 8 mars à 20h
Concert : Daniela Tsekova (piano)
Programme Franz Liszt
Samedi 19 mars
Dimanche 20 mars
Week-end de l’art contemporain
• création acousmatique de Detlef Kieffer
• performance danse de Fabrice Lambert
Mardi 29 mars à 20h
Projection du film « Allemagne année zéro »
de Roberto Rossellini
Mardi 5 avril à 20h
Concert : Quatuor Florestan : « Résistances »
(musique et lecture poétique)
Mardi 12 avril à 20h
Théâtre : « Un poignée de terre » de Claire Audhuy
Cie Rodéo d’Âme
Mercredi 13 avril
à 11h et 15h30
Jeune public : « 2, rue Bulle »
ie
C Les Yeux comme des Hublots
Samedi 14 mai
de 18h à minuit
Nuit des Musées
Concert du Textur’Ensemble, dirigé par Pierre Hoppé
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Mardi 17 mai à 20h
Promenade littéraire dans l’exposition
Textes de Hugo, Rimbaud, Kafka, Genet
ie
C Le Talon rouge
Mardi 24 mai à 20h
Concert : Jean Deplace (violoncelle) et Andrée Plaine (piano)
Œuvres de Mendelssohn, Britten, Chostakovitch
Mardi 7 juin
Projection en avant-première du film-documentaire
« Over your cities grass will grow » de Sophie Fiennes
En partenariat avec ARTE
Mardi 14 juin à 20h
Lectures de textes d’Ingeborg Bachmann et de Paul Celan
(en allemand) par Hermann Hirner
Mardi 28 juin à 20h
Concert : Anne-Cécile Litolf (piano) et Julia Rosenberg
(récitante)
Œuvres de C. Franck et Prokofiev, textes de Paul Celan
Mardi 20 septembre
à 20h
Promenade littéraire dans l’exposition :
« Femmes/Frauen » Textes de Magali Mougel
Cie Les Yeux comme des Hublots
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INFORMATIONS
PRATIQUES
Horaires
Du mardi au dimanche de 11h à 18h
Tarifs
Normal : 5 €
Réduit : 3 € (étudiants, seniors, groupes, carte Cezam)
Gratuit : Pass Musées, groupes scolaires (uniquement sur réservation)
Visites guidées
Réservation au 03 88 64 79 10
ou par e-mail [email protected]
Tarif : 90 € (maximum 25 personnes)
Musée Würth France Erstein
Z.I. ouest / rue Georges Besse
BP 40013
F – 67158 Erstein cedex
Tél. : + 33 (0) 3 88 64 74 84
Fax : + 33 (0) 3 88 64 74 88
www.musee-wurth.fr
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