4P GRD PUBLIC CTIG-fr 2011.indd - Espace Pro

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desservies par voie maritime, au départ de différents
ports, tant de la Basse-Terre, que de la Grande-Terre,
mais également par voie aérienne.
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20 km
Le décalage horaire
Les Îles de Guadeloupe partagent le fuseau horaire des
villes de New-York et Montréal soit GMT – 5 en hiver
et GMT - 6 en été.
Le voltage est celui utilisé en France, soit 220 volts.
Le téléphone
Plusieurs ports de Saint-Martin relient le port de
Gustavia à Saint-Barthélemy. En fait, en moins d’une
heure de traversée ou de vol, l’ensemble des îles de
l’archipel vous invite à la découverte et au voyage.
Les formalités d’entrée
Comment se déplacer ?
Les animaux
Pour faire entrer un animal sur le territoire, celui-ci doit
être accompagné d’un carnet de vaccinations à jour.
Monnaie
La monnaie officielle est l’euro et l’on trouve toutes
les grandes banques françaises en Guadeloupe. La
carte bleue est acceptée par la plupart des commerçants mais les chèques hors Guadeloupe sont souvent
refusés. Cependant, vous pourrez trouver de nombreux
distributeurs automatiques partout dans les îles.
La Poste et Banque Postale
En Guadeloupe, les numéros fixes commencent par
0590, et les numéros de portables, par 0690. Entre
la Guadeloupe et la France, il n’y a pas d’indicatif, le
numéro direct suffit. Depuis l’étranger, il faut composer le 00 590 590 ou 00 590 690 (pour un portable)
suivis des 6 chiffres de votre correspondant. Enfin, pour
appeler l’étranger depuis la Guadeloupe : composez
le 00, suivi du code du pays de votre correspondant
et de son numéro.
Les multiples atouts des Îles de Guadeloupe :
• C’est sûr ! Les Îles de Guadeloupe représentent
un département français appartenant à l’Europe.
Sécurité sanitaire et publique sont les mêmes qu’en
France métropolitaine, les normes en vigueur le sont
également et la monnaie (l’euro) tout autant.
• C’est facile ! Les Îles de Guadeloupe disposent
d’un très bon réseau routier et de liaisons inter-îles
développées, elles sont donc idéales pour tous ceux
qui veulent séjourner « à la carte » et vous invitent
aux sauts de puce.
• C’est varié ! Les Îles de Guadeloupe représentent
un véritable archipel aux multiples facettes. Un large
choix vous est offert du côté des activités à pratiquer et
des hébergements. Il est également facile de fractionner son séjour dans plusieurs îles de l’archipel, grâce à
des liaisons maritimes et aériennes régulières.
• C’est pour tous ! Les Îles de Guadeloupe peuvent
satisfaire tous les goûts (plages, farniente, activités…)
et sont destinées à tous : célibataires, couples, familles,
seniors…
• C’est mieux ! Les Îles de Guadeloupe offrent tout
simplement plus que bien des destinations : elles
sont plus proches et mieux desservies que beaucoup,
ensoleillées toute l’année, d’une richesse naturelle,
gastronomique et culturelle étonnante. C’est sans
doute pour cela que quand vous les découvrirez, vous
n’aurez qu’une idée en tête : y revenir !
Les 5 îles de l’archipel sont toutes desservies par des
moyens de transports réguliers. Marie-Galante, Les
Saintes et la Désirade, proches les unes des autres, sont
La Poste en Guadeloupe est la même qu’en France. Vous
y trouverez les mêmes services avec toutefois certains
tarifs propres au territoire. N’oubliez pas d’acheter vos
timbres. Il y a très peu de bureau de tabac en Guadeloupe.
www.lesilesdeguadeloupe.com
Comité du Tourisme des Îles de Guadeloupe
Siège - 5 square de la Banque - BP 555
97 166 Pointe-à-Pitre Cedex (Guadeloupe)
Tél. : + 590 (0)5 90 82 09 30 - Fax : + 590 (0)5 90 83 89 22
[email protected]
Antenne Europe
23-25, rue du Champ de l’Alouette - 75 013 Paris (France)
Tél. : +33 (0)1 40 62 99 07 - Fax : +33 (0)1 40 62 99 08
[email protected]
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Echelle 1 : 400.000 (1cm = 4 km)
L’électricité
Il existe deux saisons en Guadeloupe. La saison sèche,
de décembre à mai, et la saison humide, plus chaude,
de juillet à octobre. La température moyenne est de
27°, avec parfois des pointes à 32° et des baisses
nocturnes pouvant atteindre les 20°. Si la tenue d’été
reste de rigueur, un vêtement plus chaud est recommandé pour ceux qui comptent séjourner dans les
hauteurs de Basse-Terre au mois de février. Enfin, les
sportifs n’oublieront pas d’emporter leurs chaussures
de randonnées pour découvrir la Guadeloupe hors des
sentiers battus.
Excellent moyen pour découvrir les Îles de Guadeloupe,
vous trouverez partout de nombreux loueurs de
voitures ou de 2 roues. Le réseau routier est le meilleur
de la Caraïbe. Le taxi est une alternative à vos déplacements. Vérifiez simplement qu’ils comportent un
compteur réglementé. En Guadeloupe, les seuls transports en communs sont les cars privés qui sillonnent
les communes de part en part. Typiques jusque dans
l’ambiance que vous trouverez à l’intérieur, les bus
s’arrêtent dès qu’un passager en exprime l’envie. Peu
d’horaire (de 5h à 19h environ), peu d’arrêt défini…et
pas de tarif réglementé.
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Le territoire guadeloupéen est un département français. A ce titre, on y rentre sous les mêmes conditions
qu’en France métropolitaine. Les citoyens français
et les ressortissants de l’Union Européenne n’auront
qu’à présenter leur carte d’identité, leur passeport ou
leur carte de séjour française. Les étrangers doivent
être munis d’un passeport en cours de validité et
d’un visa. Pour ces derniers, se renseigner auprès des
Ambassades françaises. Aucun vaccin particulier n’est
exigé pour entrer en Guadeloupe. Il existe d’excellentes
infrastructures sanitaires, ainsi qu’un Centre Hospitalier
Universitaire pour assurer, en cas de besoin, tous les
soins nécessaires.
Comment s’habiller ?
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Hôtels de luxe, bungalows rustiques sur la plage, résidences, gîtes, petits hôtels de charme ou villas à louer,
toutes les formes d’hôtellerie existent en Guadeloupe.
Pour toutes les envies… et tous les budgets.
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Où se loger ?
Pointe des Gros-Caps
Anse Bertrand
Renseignements
• Air Antilles Express : www.airantilles.com
• Air Canada : www.aircanada.com
• Air Caraïbes : www.aircaraibes.com
• Air France : www.airfrance.fr
• American Eagle : www.aa.com
• Corsair : www.corsair.fr
• Liat : www.liatairline.com
Bleu
Vert
Saveurs
Culture
Pointe du Piton
Pointe d‘Antique
Comment venir en Guadeloupe ?
Plusieurs vols quotidiens desservent les Îles de
Guadeloupe, au départ de Paris Orly et de Roissy
Charles de Gaulles, jusqu’à l’aéroport international
et régional Pôle Caraïbes, à proximité de Pointe-àPitre. La durée de vol direct est de 8 heures. Les Îles
de Guadeloupe sont également reliées au Canada
(Montréal), aux Etats-Unis (Miami en direct et New
York via Saint-Martin et Porto Rico), et au Brésil (Bélem)
via la Guyane. Enfin, des vols intérieurs et des dessertes
maritimes assurent de nombreux transferts vers
l’ensemble des dépendances.
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Océan Atlantique
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An
écouverte par Christophe Colomb en 1493
lors de son deuxième voyage en Inde, la
Guadeloupe est devenue territoire français
en 1835, département en 1946 puis région en 1974.
Véritable paradis caribéen de 1 780 km2, situé à 7
000 km de la France métropolitaine, elle égrène son
chapelet d’îles dans l’Océan Atlantique et la mer des
Caraïbes. Car la Guadeloupe n’est pas seulement,
comme on le pense à défaut trop souvent, cette île
qui déploie ses ailes sur l’océan. S’il est vrai que la
Guadeloupe continentale (la Basse-Terre et la GrandeTerre) ressemble à un papillon avec ses 2 îles simplement séparées par un bras de mer, la Guadeloupe,
c’est aussi La Désirade, Les Saintes et Marie-Galante.
3 dépendances qui font toute la richesse de cet archipel
des Îles de Guadeloupe.
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Un rêve aquatique
Grandeur nature
L
‘archipel guadeloupéen, bercé par les alizés et
tempéré par un soleil infaillible toute l’année, fouetté
par l’océan Atlantique et caressé par la mer des Caraïbes,
possède un éventail d’activités nautiques que votre séjour ne
parviendra pas à épuiser. S’étendre sur le sable les pieds dans
l’eau, chevaucher la grande bleue à dos de scooter des mers,
plonger à la découverte des coraux et des éponges, voir le vent
s’engouffrer dans sa voile sous un ciel sans tâche, jeter son
ancre dans les plus belles baies du monde, tout apprendre de
la réserve naturelle du Grand-Cul-de-Sac marin en kayac, partir
pour une croisière à la journée en catamaran à la recherche
des bancs de sable blanc, s’enivrer au vent du large en wakeboard ou en ski nautique, s’initier au surf ou s’élancer entre
ciel et mer en kite-surf… Les férus de pêche s’essaieront aux
grosses prises de la mer des Caraïbes alors que les amoureux
des baleines partiront à la rencontre des cétacés. Les ports de
pêche qui essaiment les Îles de Guadeloupe vous donneront
l’occasion de découvrir l’immense variété de poissons que
l’on trouve dans les eaux guadeloupéennes. Détente, ivresse,
liberté, bien-être… Tout est permis dans l’eau, et l’on s’y sent
si bien !
D
otées d’une des forêts primaires la mieux préservée de tout
le bassin caribéen, les Îles de Guadeloupe, représentent le
terrain de prédilection des sports et loisirs de nature, d’autant plus que l’insularité et la présence de l’homme l’ont toujours
prémunie de la présence d’animaux dangereux. Promenades,
canyoning, VTT, randonnées ou trekking s’y pratiquent de façon
encadrée et sûre pour une approche vraiment écotouristique
du milieu tropical. Fougères arborescentes, feuilles d’épiphytes,
balisiers, et orchidées en abondance en sont la toile de fond,
tout comme le vrombissement des cascades dans la forêt ou le
clapotis cristallin d’une rivière. La Soufrière, point culminant
de la chaîne volcanique des Petites Antilles offre également de
multiples occasions de marches, de bivouacs et de découverte.
Plus qu’une culture,
une âme
Terre de saveurs
D
ans les Îles de Guadeloupe, la magie du métissage et
l’immense variété des épices ont donné naissance à un
véritable génie culinaire. Pour tout apprendre sur le café
bonifieur, le cacao ou la vanille, il faut se promener sur la Côte
sous-le-vent et prendre le temps de la gourmandise en s’arrêtant
aux musées, domaines et sites historiques qui leur sont dédiés.
Autres cultures locales, le sucre et la banane se découvrent l’un
en visitant les usines sucrières de Gardel en Grande-Terre ou de
Grande-Anse à Marie-Galante, et l’autre en faisant une halte
à la Maison de la Banane, entre Capesterre-Belle-Eau et TroisRivières. Pour le reste, il vous faudra interroger les Guadeloupéens
directement : les doudous du marché se feront un plaisir de vous
expliquer les différences entre malangas, couscouches, madères et
manioc, et vous initier aux subtilités des épices créoles : curcuma,
safran, gingembre, cannelle, noix de muscade et bois d’inde. Vous
y trouverez également un choix saisonnier de fruits exotiques et
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rares : mangues, ananas, goyaves ou maracudjas, bien sûr, mais
aussi corossols, pommes-cannelles, malakas, quénettes, chadèques,
barbadines ou sapotilles ! Pour une expérience gustative typique
et délicieuse, il est recommandé de se garer en bord de route aux
abords de Capesterre-Belle-Eau et acheter quelques kassav, délicieuses galettes de manioc chaudes fourrées à la confiture de coco.
Enfin, pour connaître l’art et la manière de déguster ti-punch,
planteur ou rhum vieux, les bars des hôtels permettent une dégustation exhaustive, tout comme les restaurants qui disposent en
général de la majorité des marques de Guadeloupe. Dans les Îles
de Guadeloupe, choisir un restaurant n’est pas chose facile, il y en
a pour tous les goûts : de la roulotte à bokit au grand restaurant
créole en passant par les adresses spécialisées en langoustes, en
grillades ou en poissons… Largement de quoi changer de menu
tous les soirs ! Dernier conseil, ne partez pas sans avoir goûté un
blaff de poisson, un colombo de cabri ou une fricassée de lambis !
En se promenant sur les traces du Parc national, on tombe
souvent sur les vestiges d’un de ces jardins créoles, envahis par
la végétation, chargés de poésie, signalant l’emplacement d’une
ancienne habitation. Aujourd’hui, les espèces tropicales sont
exposées dans de superbes parcs botaniques et floraux où il
fait bon poser son petit carré de nappe et savourer le temps
qui passe. Alpinias, anthuriums, frangipaniers, orchidées, roses
de porcelaine, alamandas ou hibiscus y rivalisent de beauté.
Un bon moyen de s’initier à la douceur et au raffinement des
jardins guadeloupéens !
Quant aux petits et grands enfants, ils s’amuseront à découvrir
la flore guadeloupéenne à pied dans les parcs et jardins,
à dos de poney ou à cheval.
L
es tribulations de l’histoire et le métissage ont pétri une
culture guadeloupéenne multiple, qu’il faut prendre le
temps de découvrir pas à pas. Les Îles de Guadeloupe
vivent d’abord en musique. Les anciens vous parleront de
quadrille avec ses bals et orchestres où l’on danse en cercle
au son de la clarinette, du violon, de l’accordéon et du ti-bwa.
De la biguine, aussi, et des grands titres qui font encore danser
les Guadeloupéens (« La rue Zabym », « Adieu foulards, adieu
madras », « Ami Roro », etc.) Le gwo-ka connaît un renouveau
très fort, notamment chez les jeunes qui découvrent au moyen
de ce tambour fait d’une peau de cabri tendue sur une pièce de
bois, une grande partie de leur patrimoine. On peut en écouter
dans les rues de Pointe-à-Pitre et de Basse-Terre et dans les
lewoz, rassemblements réguliers de musiciens et de danseurs
de ka. Quant à l’architecture créole, soumise aux contraintes
climatiques, elle s’aborde en observant les singularités d’un
habitat ouvert sur l’extérieur, les toits aux belles charpentes
de bois, les balcons aux balustrades ouvragées et les cours
intérieures ornées de fleurs en pots de terre cuite. Les mairies
de Pointe-à-Pitre et de Basse-Terre (deux « Villes d’Art et
d’Histoire ») organisent des visites guidées des quartiers
anciens. L’artisanat guadeloupéen, original et riche en
matériaux naturels (calebasses, noix de coco, bambou, feuilles
de latanier ou de palmier, sable, graines, etc.) donne des
idées de cadeau tout comme les grands titres des auteurs
guadeloupéens, de Saint-John Perse à Gisèle Pineau en passant
par Maryse Condé ou Ernest Pépin.
Si vous avez la chance de connaître le carnaval dans les Îles de
Guadeloupe, vous vivrez en quelques jours un des moments les
plus forts de la vie culturelle.
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