IDA Report - August 2004 FR.pmd
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IDA Report - August 2004 FR.pmd
Rapport ACCOVAM Été 2004 Rapport du président p. 3 Faits saillants des 88e assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM p. 6 Notre nouveau président du conseil et vice-président du conseil p. 9 Conférence des courtiers régionaux p. 13 Séminaires de formation à l’intention des membres p. 14-16 Mise à jour de la réglementation p. 25 Mise en application : Décisions en matière disciplinaire p. 30 Allocution du président du conseil d’administration entrant J’aimerais d’abord vous dire à quel point je suis honoré d’être nommé à la présidence du conseil d’administration de l’Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières – c’est un organisme qui apporte beaucoup à ses membres. C’est un poste que j’accepte avec humilité, et je ferai tout en mon possible pour poursuivre et consolider le travail de mes prédécesseurs. Avant toute chose, j’aimerais prendre un instant pour remercier une personne qui a apporté une contribution inestimable à l’ACCOVAM. Kym Anthony a consacré énormément de temps à cet organisme au fil de sa carrière, et plus particulièrement, au cours de la dernière année en qualité de président du conseil d’administration. Il a toujours fourni des conseils avisés et fait preuve d’un leadership exemplaire; c’est pourquoi, au nombre de tous ceux et celles qui sont réunis ici aujourd’hui, j’aimerais vous remercier, Kym, pour tous les services et pour votre dévouement. Au cours de l’année à venir, je serai heureux d’oeuvrer avec les hommes et femmes talentueux qui siègent au conseil d’administration et aux divers comités de l’ACCOVAM. Cette année nous présente encore des défis et occasions de toutes sortes, et en tant qu’Association, nous serons prêts à les saisir. J’aimerais vous parler maintenant de certaines de nos priorités – et de la nécessité d’y répondre au cours de l’année qui vient. Nous partons très certainement d’une position solide. L’an dernier, le secteur des valeurs mobilières au Canada a tourné à toute vapeur et a enregistré une augmentation des bénéfices de l’ordre de 21 pour cent, un revirement fort bienvenu pour les membres de l’ACCOVAM. Cette croissance a été ressentie partout, mais plus particulièrement dans le secteur des services-conseils aux particuliers. Tout autant, les marchés des grandes entreprises et des institutions ont continué de présenter des occasions intéressantes aux sociétés de courtage en matière de services bancaires d’investissement et d’opérations boursières. Les émissions d’actions ordinaires ont été nombreuses – nous venons en fait d’inscrire notre meilleur résultat trimestriel à ce titre depuis l’an 2000 –, et les fusions et acquisitions sont en recrudescence. Dans l’ensemble, donc, une situation qui s’annonce prometteuse pour notre secteur. Cela dit, il y a encore des défis à l’horizon, et nous avons bien tenu compte de ces réalités lorsque nous avons fixé les priorités de l’ACCOVAM pour l’année qui s’amorce. En tant qu’Association, nous devons représenter efficacement les intérêts de nos membres est cela sans perdre de vue notre mission. C’est pourquoi nous avons identifié certaines priorités à atteindre plus spécialement au cours de la prochaine année. La première priorité sera de conforter la confiance des investisseurs. C’est là un objectif d’envergure qui nécessitera l’apport de chacun de nos membres. Nous devons tous cibler les pratiques commerciales de nos sociétés et veiller à ce qu’elles soient à la fois éthiques, intègres et équitables. Une attitude appropriée, une saine gouvernance 1 d’entreprise et des pratiques commerciales éthiques bien appliquées sur une longue période finiront par renforcer la confiance des investisseurs dans les marchés – et dans les sociétés de courtage qui les servent. Les législateurs et les autorités de réglementation font bien sûr tout en leur pouvoir pour atteindre cet objectif. À preuve, nos membres doivent composer continuellement avec les conséquences des changements structurels qui découlent des nouvelles directives autant fédérales que des provinces – et, pour ceux qui exercent des activités aux États-Unis, des changements qui ont résulté de la loi Sarbanes-Oxley. Ces nouvelles données ont de profondes répercussions sur la manière dont nous faisons des affaires, particulièrement aux chapitres de la conformité et de la responsabilité des dirigeants. Il y a eu une série de changements ici au Canada, notamment ceux qui ont émané des Autorités canadiennes en valeurs mobilières. La CVMO propose de plus le «Modèle de traitement équitable», dont je traiterai plus loin. Quelles que soient les exigences législatives, les attentes sont désormais plus élevées et nous devons adapter nos activités de manière à répondre à ces nouveaux impératifs. En fait, la question de l’éthique et de la réputation des entreprises a pris une telle importance que les agences de notation – comme S&P et Moody’s – offrent maintenant des services d’évaluation de la gouvernance des entreprises. D’aucuns pourraient soutenir, à juste titre, qu’une chose aussi abstraite que la gouvernance d’entreprise se prête difficilement à un classement quantitatif. Mais honnêtement, ce n’est plus le temps de débattre cette question. Le marché s’est déjà engagé dans cette voie, et c’est une chose que nous ne pouvons pas ignorer. La réputation des entreprises a un effet sur la valeur qui est attribuée à leurs actions, et à partir du moment où la question intéresse les investisseurs et les actionnaires, nous devons y porter attention. Toutes nos sociétés membres doivent prendre ces questions très au sérieux, car malheureusement comme nous l’avons vu, les agissements d’un petit groupe peuvent se répercuter sur l’ensemble d’une industrie. 2 La deuxième grande priorité dont je veux vous parler est la réforme de la réglementation au Canada. Il existe un large consensus en faveur du changement, consensus qui transcende les frontières géographiques, idéologiques et politiques. En bref, le statu quo n’est plus une option. Le régime de réglementation actuel est coûteux et inefficace, et plus important encore, il pose un obstacle à la croissance des entreprises – et de l’économie partout dans le marché au Canada. La réforme de notre régime actuel revêt donc une importance fondamentale pour tout le secteur et pour le marché. Plusieurs propositions ont été mises de l’avant à cet égard – et deux d’entre elles jouissent de puissants appuis. La première consiste à établir un régime de passeport, dans lequel les 13 organismes de réglementation actuels demeureraient en place, mais où les participants du marché ne seraient assujettis qu’aux règles et aux décisions d’une seule autorité, quel que soit le territoire où ils exercent leurs activités. L’autre proposition encore débattue vise un changement plus fondamental, c’est à dire, remplacer les 13 organismes de réglementation actuels par un seul organisme, pancanadien. L’ACCOVAM appuie le changement. Cela dit, nous sommes aussi à l’écoute des préoccupations des régions et nous reconnaissons qu’il est nécessaire de favoriser l’harmonisation et l’efficacité. Le choix définitif d’un régime sera une décision d’ordre politique, et nous composerons avec le modèle retenu, à condition qu’il soit pratique et qu’il représente un pas en avant pour toutes les personnes concernées. Cette année, nous encouragerons le débat autour de cette question et nous prônerons le changement auprès des décideurs. La troisième priorité dont j’aimerais vous parler maintenant est celle de la reconnaissance de l’ACCOVAM au Québec. C’est là un objectif que notre organisme nourrit depuis plusieurs années déjà, mais qui continue d’occuper une place centrale. L’ACCOVAM joue un rôle d’autoréglementation important au Québec à l’heure actuelle, comme elle l’a suite à la page 10 Rapport du président Mon rôle à la présente réunion consiste à passer en revue les faits saillants des activités et des réalisations de l’Association au cours de la dernière année. Je tiens également à souligner la contribution des nombreux représentants du secteur et de tous les employés qui nous permettent de mener à bien notre mission, qui est de protéger les investisseurs et de favoriser l’efficacité et l’intégrité des marchés de capitaux canadiens. La dernière année aura été une année de transformation. Le raffermissement de la situation économique et des marchés, une rentabilité soutenue du secteur et une plus grande participation des investisseurs nous ont permis de sortir d’une période difficile. Mais tout cela n’a pas mis fin aux scandales corporatifs ou à la nécessité de renforcer la confiance des investisseurs dans l’intégrité des marchés. Le secteur est en train de s’adapter à une réglementation rigoureuse axée sur une bonne gouvernance, une divulgation juste des renseignements financiers et des pratiques équitables. Et pour tous ceux qui seraient tenter de transgresser les règles, un rappel a été fait avec des modifications du droit criminel, des services de police mieux intégrés et un accroissement des activités de mise en application. La réforme de la structure de la réglementation au Canada a été un sujet de réflexion d’envergure pour les décideurs et les responsables des politiques durant toute l’année. En plus, il y a déjà d’autres initiatives en préparation. Les autorités de réglementation, les OAR et les participants au marché doivent continuer à s’intéresser au débat sur la structure et sur le contenu. Une action décisive est nécessaire pour rendre notre système de réglementation efficace et compétitif. Nous devons donc équilibrer les objectifs d’équité et d’harmonisation internationale avec la nécessité d’éviter un fardeau réglementaire qui minerait l’efficacité et la compétitivité. L’ACCOVAM a fait sa part pour atteindre ces objectifs communs. Nous avons procédé à une large consultation de l’industrie et nous avons participé activement au débat sur la réforme de la structure de la réglementation, et ce, autant publiquement que lors de rencontres privées en présentant des idées destinées à favoriser des consensus. Notre participation porte sur des documents sur le Comité de personnes averties, sur les projets de déréglementation de la CVMCB et sur le projet de Loi uniforme sur les valeurs mobilières des ACVM. Cet effort se poursuivra. Comme je l’ai mentionné dans mes observations préliminaires ce matin, nous avons collaboré avec les gouvernements et les autorités de réglementation pour soutenir une mise en application stricte mais équitable en ce qui concerne les crimes économiques et les infractions. Nous avons présenté des réponses détaillées à une variété d’initiatives particulières de politique de réglementation dans l’ensemble du pays. Parmi les plus importantes, on peut citer la loi québécoise concernant la création de l’AMF, le nouveau modèle de réglementation de la CVMCB et le modèle de traitement équitable de la CVMO. Bien sûr, une de nos grandes priorités était notre demande de reconnaissance au Québec dans le projet de loi 107. Nous tenons à remercier Carmen Crépin et son équipe pour ses efforts inlassables dans cette initiative. Lors de la conférence de l’année dernière, le conseil d’administration a approuvé le Principe directeur no 11 sur les normes régissant le travail des analystes. Nous avons depuis reçu l’approbation des Commissions et la politique a été mise en œuvre en février. Lors de la réunion de juin 2003, le conseil d’administration a également adopté des modifications au Statut 1300 qui exige des membres d’obtenir et de vérifier l’identité des propriétaires bénéficiaires de comptes d’entreprise et de fiducies corporatives. Des exemptions sont prévues pour les entreprises publiques, les institutions financières et les fiducies testamentaires. Les amendements correspondent aux révisions, publiées deux jours avant la réunion du conseil d’administration, des 40 recommandations du Groupe d’action financière sur le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Avec cette récente approbation réglementaire, le Canada est maintenant le pays le plus à l’avant-garde en cette matière et l’ACCOVAM collabore avec divers organismes internationaux pour encourager d’autres pays à suivre le mouvement. 3 Les réalisations de la Réglementation des membres comprennent une série d’initiatives stratégiques en tant qu’organisme de réglementation du secteur des valeurs mobilières de première ligne du Canada. Les initiatives comprennent : (1) un projet sur les exigences de marge applicables aux actions, (2) un modèle d’évaluation du risque en conformité des ventes, (3) une fiche de rendement détaillée sur la conformité des sociétés membres, (4) une attestation obligatoire de chef de la conformité pour compléter l’accréditation récemment mise en œuvre de chef des finances, (5) en association avec les ACVM, un examen axé sur les risques des procédures d’inscription, (6) l’élaboration d’un système de signal précurseur pour la conformité des ventes, (7) le développement d’un outil d’évaluation des risques à partir des données de ComSet, (8) la préparation d’un plan de mise en œuvre sur le transfert des connaissances des exigences réglementaires aux membres de l’ACCOVAM, et (9) la promotion et l’encouragement à participer, pour nos membres, à l’élaboration des politiques en renforçant la capacité de la Réglementation des membres d’évaluer les coûts et avantages de la réglementation. La Réglementation des membres a également atteint, pour l’essentiel, la plupart de ses mesures et normes de rendement. Dans le cadre d’une initiative sur le transfert de connaissances aux membres, la Réglementation des membres a tenu des séminaires financiers pour les membres et les groupes de vérificateurs à Toronto, à Calgary, à Vancouver et à Montréal. Sous la direction de Paul Bourque, la seconde Conférence annuelle des OAR pour traiter de questions courantes de conformité – à laquelle ont participé la MFDA, RS Inc, la Bourse et le Fonds canadien de protection des épargnants – a attiré plus de 275 délégués. Le service de la Politique réglementaire a procédé à une refonte de son manuel des politiques et des procédures afin de documenter plus en détail le processus d’élaboration des règles appliquées par le personnel. Le personnel de la Réglementation a préparé une lettre d’observations sur les propositions de NASDAQ Canada d’accorder un accès plus direct des courtiers canadiens aux opérations du NASDAQ à partir de leurs bureaux en Colombie-Britannique. Nous avons effectué un sondage auprès des membres pour évaluer l’existence de pratiques d’opérations tardives ou de momentum de marché dans le secteur des fonds communs. Les résultats sont intégrés dans un projet commun de la CVMO et de l’ACFM. Nous 4 avons également procédé à un examen des questions soulevées lors d’un sondage des participants du marché de la dette, qui a permis d’identifier des éléments à améliorer dans le Principe directeur no 5. Une société d’experts-conseils a été retenue pour effectuer une analyse comparative des exigences de déclarations réglementaires de l’ACCOVAM et du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF). Cette analyse vise à étudier la possibilité que l’ACCOVAM permette l’utilisation de la modélisation de la Valeur à risque (VAR) (une approche d’évaluation des risques actuellement permise par le BSIF à des fins de rapports réglementaires et de constitution de marges réglementaires). L’ACCOVAM continue de collaborer étroitement avec d’autres organismes de réglementation et d’autoréglementation. Par exemple, nous avons travaillé avec les ACVM dans leur examen complet du rôle des OAR dans la structure de réglementation du Canada, y compris les pouvoirs, la compétence, la délégation et la surveillance. L’Association a également participé activement au Groupe de travail sur les délits d’initiés. L’ACCOVAM et la MFDA ont effectué une étude visant à déterminer si des accords de coopération entre l’ACCOVAM et les membres de la MFDA exigeaient des modifications à la réglementation pour permettre de fournir des services aux clients des membres de la MFDA. Ce sujet est actuellement examiné par les deux OAR et la CVMO. En date du 31 mars, le service de la Mise en application menait des enquêtes conjointes avec trois commissions des valeurs mobilières au Canada, deux OAR canadiens, ainsi que des enquêtes simultanées avec la US Securities and Exchange Commission. L’ACCOVAM demeure un soutien important de l’Association canadienne des marchés des capitaux dont les membres représentent tous les segments importants du secteur des valeurs mobilières du Canada. L’objectif fondamental de l’ACMC est de promouvoir les stratégies de traitement direct afin de réduire les erreurs, les risques et les coûts et de maintenir notre position face à l’évolution des marchés de capitaux américains. L’ACCOVAM appuie TSX Venture dans ses efforts pour devenir un marché reconnu dans tous les États des États-Unis. En mars 2004, la Base de données nationale d’inscription (BDNI) a été mise en œuvre, ce qui a créé des conditions d’inscription nouvelles et difficiles au début pour les courtiers, l’ACCOVAM et les ACVM. Les «bogues» initiaux ont été corrigés et plusieurs nouvelles fonctions ont été ajoutées. Sous la direction de Ian Russell, nous avons lancé une nouvelle publication Richesse et patrimoine pour compléter la publication vedette du secteur Tendances des affaires et de la rentabilité dans l’industrie canadienne des valeurs mobilières. Nous nous sommes présentés plusieurs fois devant les ACVM au nom du Comité des courtiers régionaux de l’ACCOVAM pour décrire le rôle des petits courtiers sur les marchés des capitaux et pour préconiser un programme de réglementation qui tienne compte des besoins de ce segment de nos membres. Nous avons également défendu des positions sur divers aspects techniques clés de la politique de réglementation, dont la résolution de la question de la taxe fédérale sur les emprunts et les prêts des sociétés de fonds communs; la possibilité de négocier les titres de créance inscrits au TSX sur les marchés de la dette hors-bourse; la création d’une exonération pour la diffusion des documents de recherche durant une souscription; et la modification du modèle System X de CCDV pour permettre la participation de petites sociétés dans le nouveau système de compensation et de règlement. Nous avons élaboré des lignes directrices révisées pour le système de rapport d’opérations de la Banque du Canada/ACCOVAM afin d’améliorer la ponctualité et la qualité de la consignation des données. CanPX Inc. a été officiellement reconnu comme organisme de traitement des données sur les marchés intérieurs de la dette et nous avons mené avec succès des négociations avec les ACVM pour satisfaire aux exigences de transparence du marché de la dette corporative en 2004. Nous avons réussi à faire apporter des changements à la loi sur le Centre financier international en ColombieBritannique et nous avons obtenu une responsabilité limitée pour les fonds de titres à revenu fixe en Alberta. On s’attend sous peu à des modifications législatives semblables en Colombie-Britannique et en Ontario. Les changements apportés à la Loi sur la protection de la vie privée au Québec assureront que les entreprises membres de l’ACCOVAM conservent le statut d’intermédiaire admissible dans le US Internal Revenue System à des fins de retenues fiscales. les conseillers financiers dans six villes. Il y a eu une inscription et une participation record aux services des sociétés membres de l’ACCOVAM, dont le programme d’assurance collective, l’assurance des institutions financières et un forfait de télécommunications. Et la liste continue, mais le fait est que votre Association a participé activement au soutien d’une large gamme d’initiatives politiques et opérationnelles visant à remplir sa mission de protéger les investisseurs et de favoriser l’intégrité et l’efficacité des marchés. Je tiens à exprimer mon appréciation personnelle à Kym Anthony pour son leadership et son soutien. Kym était toujours disponible pour donner des conseils et des orientations, toujours inspiré par l’intérêt public. Kym a contribué de façon importante au succès de l’Association et il mérite donc la gratitude du secteur et du public en général. J’ai hâte de travailler avec Brian Porter, notre prochain président, dont les conseils et la participation ont déjà contribué à l’atteinte de nos objectifs communs. La participation du personnel a également été essentielle pour atteindre notre objectif. Son soutien et sa contribution sont irremplaçables pour l’Association et ses membres, et je suis sûr que vous serez d’accord. Finalement, je désire remercier les centaines de professionnels du secteur qui ont donné si généreusement de leur temps pour participer à notre conseil d’administration, aux conseils de section et aux comités. Par votre compétence et votre jugement, vous donnez tout son sens à l’autoréglementation, en veillant au bien-fondé de nos politiques et de nos positions publiques et en vous assurant qu’elles représentent bien l’ensemble de nos membres. Vous contribuez à la force de l’Association et à sa capacité de remplir sa mission, dans l’intérêt public. Joseph J. Oliver Président et chef de la direction Assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM Le 14 juin 2004 Des tables rondes des chefs de direction ont eu lieu en Ontario, en Alberta et en Colombie-Britannique, et des séminaires sur la vente au détail ont été organisés pour 5 Le conseil d’administration 2003 – 2004 Un certain nombre de nouveaux administrateurs ont été confirmés dans leurs fonctions à l’assemblée générale annuelle. Donald W. Black, chef de la direction, Greystone Managed Investment Inc.; Dale Godsoe, vice-présidente externe, Université de Dalhousie; et Daniel Leclair, viceprésident, Finances, et chef des finances, Hydro-Québec ont été nommés administrateurs représentants du public pour un mandat de deux ans. Ken G. Copland, président, KGC Limited, a accepté un deuxième mandat comme administrateur représentant du public. Rob Jennings, président, Jennings Capital Inc., siégera aussi au conseil à titre de président du comité consultatif national. Les administrateurs représentants de l’industrie suivants ont aussi été nommés au conseil pour un mandat de deux ans : Ron Lloyd, président et chef de l’exploitation, Merrill Lynch Canada Inc., et Donald K. Charter, président, président du conseil et chef de la direction, Corporation de Valeurs Mobilières Dundee inc. Jacques Daoust, président et chef de la direction, BLC Edmond de Rothschild Asset Management Inc.; Jean-Pierre De Montigny, président et chef de l’exploitation, Valeurs mobilières Desjardins inc.; Lonsdale W. Holland, président, Beacon Securities Limited; et Dean Manjuris, vice-président du conseil, BMO Nesbitt Burns Inc., ont été reconfirmés dans leurs fonctions d’administrateurs représentants de l’industrie pour un nouveau mandat. Faits saillants des 88e assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM Les 88e congrès et assemblée annuels de l’ACCOVAM ont eu lieu du 12 au 16 juin 2004 au centre de villégiature Fairmont Mont-Tremblant dans la région pittoresque de Mont Tremblant, au Québec. Des collègues du secteur, des représentants des bourses et des commissions des valeurs mobilières du Canada, ainsi que des hauts fonctionnaires de la fonction publique y avaient été conviés pour venir entendre une brochette de brillants conférenciers invités et prendre part à toute une série d’activités sociales de même qu’au traditionnel tournoi de golf avec départs simultanés de l’ACCOVAM sur le parcours Le Maître, de calibre mondial. L’ACCOVAM tient à remercier sincèrement les administrateurs sortants pour leur contribution : l’administrateur représentant de l’industrie, Tom Caldwell, président du conseil, Caldwell Securities Ltd.; les administrateurs représentants du public, Ruth Goldbloom et Paul Hill, président et chef de la direction, Harvard Developments Inc; la présidente du comité consultatif national, Debra Hewson, viceprésidente et chef de l’exploitation, Odlum Brown Limited; et enfin l’ex-président du conseil de l’ACCOVAM, Terry Salman, président du conseil, président et chef de la direction, Salman Partners Inc. Le programme de conférences, d’exposés et de tables rondes avait pour thème Redessiner le paysage financier. L’exprésident du conseil de l’ACCOVAM Kym Anthony, le président et chef de la direction de l’ACCOVAM Joe Oliver, et le premier Steve Forbes vice-président, Représentation du secteur, Ian Russell, ont agi comme conférenciers. La table ronde des organismes de réglementation – Priorités en matière de réglementation réunissait David Brown, président de la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario, Stephen Sibold, président de la Commission des valeurs mobilières de l’Alberta, Doug Hyndman, président de la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique, Jean St-Gelais, président directeur général de l’Autorité des marchés financiers, et Ann Leduc, du Secrétariat des ACVM. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Ken Nason Secrétaire de l’Association (416) 865-3046 ou [email protected] Brendan Wood, fondateur et associé de la société Brendan Wood International, et Earl Bederman, fondateur de Investor Economics, ont animé un atelier sur les stratégies commerciales pour les marchés institutionnels et de détail. Les déjeuners-conférences ont 6 donné la parole à Steve Forbes, rédacteur en chef du Forbes Magazine, qui a présenté son point de vue sur les perspectives des finances publiques, des entreprises et de l’économie des Robert Pozen États-Unis, et Tom Jenkins, qui a expliqué comment les sociétés peuvent utiliser la conformité pour favoriser l’adoption des meilleures pratiques dans toutes leurs activités. Parmi les autres conférenciers invités, l’ACCOVAM a eu le privilège d’accueillir Bob Pozen, vice-président retraité du conseil d’administration de Fidelity Investments et président de Fidelity Management Research Company; Harold James, professeur d’histoire à l’Université Princeton et auteur du livre acclamé The End of Globalization; Robert Hormats, vice-président du conseil de Goldman Sachs International et administrateur délégué de Goldman Sachs & Company; Richard Croft, président de R.N. Croft Financial Group; Martin Walker, rédacteur en chef de la United Press International; et Donald Coxe, président du conseil de Harris Investment Management Inc. Le congrès s’est terminé par une réception à l’hôtel Fairmont Tremblant suivie d’un gala en tenue de soirée. Nous tenons à remercier tout spécialement le comité de planification du congrès 2004 pour son travail sans compter et son dévouement afin d’assurer le succès du congrès de cette année. Les membres du comité étaient : le président du conseil de section du Québec, Gérard Taillon; le premier vice-président et directeur général, Financière Banque Nationale, Benoit Marcotte; la viceprésidente, région du Québec, Carmen Crépin; la directrice régionale du Québec, Claudyne Bienvenu; et le premier vice-président, Représentation du secteur, Ian Russell. Des copies des exposés et des discours sont disponibles sur le site Web de l’ACCOVAM sous Médiathèque/ Congrès annuel/Discours. L’an prochain, le congrès et l’assemblée générale annuelle auront lieu au centre de villégiature Fairmont Banff Springs, à Banff, en Alberta, du 25 au 29 juin 2005. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Ian Russell Premier vice-président, Représentation du secteur (416) 865-3036 ou [email protected] Ian Russell L’ACCOVAM tient à remercier les commanditaires du congrès 2004 pour leur soutien. ADP Brokerage Services Baynes & White Inc. Bell Canada Borden Ladner Gervais s.r.l. Bourse de Montréal CGI Group Inc. Dorsey & Whitney s.r.l. Dow Jones Newswire FundSERV Hydro-Québec IBM Canada Ltée McCarthy Tetrault, s.r.l./LLP Moneyline Nasdaq NBCN OpenSky Capital Open Text Corporation Osler, Hoskin & Harcourt s.r.l. Quiettouch Inc. GRC Reuters Sentry Select Capital Corp. Standard Life Thomson Financial Le Groupe TSX 7 89e assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM Fairmont Banff Springs, Banff, Alberta Du 25 au 29 juin 2005 Les préparatifs sont déjà bon train en vue des 89e assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM qui se tiendront à l’hôtel Fairmont Banff Springs, à Banff, en Alberta. Le congrès aura pour objectif de fournir des occasions « d’apprentissage et de réseautage » aux participants. Le comité organisateur entend se concentrer sur deux grands thèmes, à savoir : L’énergie et Le rôle de la Chine dans l’économie mondiale. Sous la présidence de Mme. Ruby Wallis, de FirstEnergy Capital Corp., le comité a déjà invité un certain nombre de conférenciers de marque à venir traiter de ces thèmes. D’autre conférenciers ont également été pressentis pour donner encore plus de valeur au congrès et faire en sorte qu’il soit le « meilleur d’entre tous ». Le congrès débutera le dimanche 26 juin 2005, journée au cours de laquelle les conseillers en placement et les courtiers régionaux profiteront d’une mine de renseignements, de conseils en matière de planification stratégique et de possibilités de réseautage. Le comité compte organiser deux plénières et trois ateliers sur des sujets spécialisés, tous animés par des experts. Le programme de conférences des lundi 27 et mardi 28 juin s’annonce aussi des plus stimulants et enrichissants. Par exemple : Daniel Yergin – Président du conseil de Cambridge Energy Research Associates (CERA), lauréat d’un prix Pulitzer et expert renommé en matière de politique énergétique, de politique internationale et d’économie mondiale. Son nouveau livre intitulé La grande bataille : les marchés à l’assaut du pouvoir (titre original The Commanding Heights : The Battle for the World Economy) a reçu beaucoup d’attention pour son analyse et sa description de la manière dont le monde est en train de changer sa vision des marchés. Cet ouvrage a été traduit en 13 langues et converti en un documentaire de six heures diffusé sur le réseau PBS dans le cadre d’une série télévisée très populaire sur la mondialisation. Daniel Yergin, Ph. D., a aussi reçu le prix Pulitzer dans la catégorie des ouvrages généraux pour son livre The Prize: The Epic Quest for Oil, Money and Power. 8 David Hale – Fondateur du cabinet Hale Advisors LLC de Chicago et économiste mondial, M. Hale conseille des sociétés de gestion de placements et des multinationales d’Amérique du Nord, d’Europe, d’Asie, d’Australie et d’Afrique du Sud sur les tendances économiques mondiales. Il est également président du conseil de China Online, LLC, un fournisseur de services de nouvelles sur les affaires et l’économie chinoises. Avant de lancer son propre cabinet, M. Hale était économiste en chef spécialisé dans les affaires mondiales pour le Zurich Financial Services Group. À titre d’économiste en chef à Zurich, il fournissait des conseils aux divisions de l’assurance et de la gestion de fonds du groupe sur les perspectives économiques et une grande variété de questions liées aux politiques d’intérêt public. Donald Cox – Président du conseil de Jones Heward Investments Inc. et président du conseil et stratège en chef de BMO Harris Investment Management à Chicago, M. Cox est chroniqueur pour le magazine Maclean’s et donne souvent des conférences, partout dans le monde. Il est également gestionnaire du Fonds américain de valeur BMO. L’assemblée générale annuelle de l’ACCOVAM aura lieu le lundi 27 juin, et le populaire tournoi de golf se tiendra le mardi 28 juin en après-midi. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Terry Melling Directeur régional des Prairies (403) 260-6278 ou [email protected] Notre nouveau Notre nouveau viceprésident du conseil président du conseil L’Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières est heureuse d’annoncer la nomination de Brian J. Porter, directeur général exécutif chez Scotia Capitaux Inc., à titre de président du conseil de l’Association. M. Porter a été désigné lors de l’assemblée générale et du congrès annuels qui ont eu lieu à Mont-Tremblant, au Québec. M. Porter était auparavant vice-président du conseil de l’ACCOVAM et il a siégé au comité exécutif du conseil. M. Porter est membre du comité de la politique en matière de risque de la Banque de Nouvelle-Écosse, du comité des crédits principaux, du comité des placements privés de la Banque Scotia, du comité de fiducie globale du régime de retraite de la Banque Scotia et du comité d’administration du régime de retraite et de placement de la Banque Scotia. Il siège aussi au conseil d’administration de Scotia Capitaux Inc. et de Investissement Scotia S.A.R.F. Également à l’assemblée générale et au congrès annuels, Ross Sherwood a été nommé vice-président du conseil d’administration. M. Sherwood est actuellement président et chef de la direction chez Odlum Brown Limited. M. Sherwood a été président du conseil d’administration de la Bourse de Vancouver, président du conseil de section du Pacifique et gouverneur de l’Institut canadien des valeurs mobilières et du Fonds canadien de protection des épargnants. Il est actuellement membre du comité exécutif du conseil d’administration de l’ACCOVAM et président du comité des courtiers régionaux. Ross Sherwood est actuellement gouverneur du Vancouver Playhouse Theater, administrateur de Festival Vancouver et membre du comité consultatif de la faculté de l’École de commerce Sauder de l’Université de Colombie-Britannique. M. Porter est également membre du comité consultatif de la faculté de gestion de l’Université Dalhousie et du conseil d’administration de l’organisme Invest in Kids et de la Fédération du saumon Atlantique. Journée-conférences annuelle sur la clientèle privée Les conférenciers étaient Earl Bederman, Investor EcoLes délégués aux 88e assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM ont d’abord été conviés à la Journéeconférences annuelle sur la clientèle privée, le 12 juin 2004. Intitulée Répondre aux besoins des clients dans un marché en évolution, la journée visait à informer les conseillers du secteur du détail des grands enjeux dans le domaine de la gestion du patrimoine. Les sujets suivants y ont été abordés : comment améliorer la qualité des conseils à valeur ajoutée fournis aux clients; comment bâtir et préserver les relations avec les clients en période difficile sur les marchés; portrait du client de demain; comment rehausser l’image professionnelle et le profil du conseiller financier; et quels produits de placement offrent les meilleures possibilités de rendement. nomics; Alain Dubuc, chroniqueur, ancien chroniqueur économique au journal La Presse et ancien président et rédacteur en chef au journal Le Soleil; Gordon Higgins, vice-président, Actions, Sentry Select Capital Corp.; Bernard Letendre, premier vice-président, Fonds de placement Standard Life Ltée; Marc André Morel, spécialiste dans le domaine du leadership personnel et professionnel; et Alain Pelchat, chef du service de titrisation et de financement structuré à la Financière Banque Nationale. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Claudyne Bienvenu Directrice régionale du Québec (514) 878-2854 ou [email protected] 9 Allocution suite... fait d’ailleurs durant toute son histoire. Pourtant, nous ne sommes pas encore officiellement reconnus comme OAR. Le Projet de loi 107, sanctionné en décembre 2002, a établi le mandat d’une nouvelle Autorité qui restructure les autorités de réglementation qui encadrent le marché financier au Québec. J’ai donc l’intention de poursuivre le travail entrepris par mes prédécesseurs, bâtir sur notre présence au Québec et continuer de poursuivre l’exercice de notre mission au Québec. Finalement, j’aimerais parler d’une autre priorité – celle de trouver une formule équilibrée pour le Modèle de traitement équitable que propose la CVMO. Depuis sa création, l’ACCOVAM a mis à contribution le savoirfaire des membres du secteur pour mettre en place des politiques solides et bien équilibrées. Le Modèle de traitement équitable est un autre exemple de la façon dont nous pouvons contribuer à l’élaboration de politiques d’intérêt public. Le Modèle de traitement équitable propose en effet de renouveler le régime de réglementation de sorte qu’il corresponde davantage à la formule actuelle axée sur la prestation de conseils, et de veiller à ce que les attentes des consommateurs s’accordent avec les services offerts. Évidemment, nous devons nous assurer que le modèle n’ajoute pas simplement un nouveau palier de réglementation, mais qu’il établira un cadre qui profite à l’ensemble des participants. L’ACCOVAM loue l’intérêt de l’initiative de la CVMO et appuie les principes qui sous-tendent le concept. Nous continuerons donc à faire en sorte que le Modèle de traitement équitable réponde aux besoins de tous les participants du marché. Rapports des comités Comité des marchés de capitaux Le comité des marchés de capitaux s’est réuni le 1er juin 2004 pour discuter du débat d’orientation actuel entourant l’élimination de la retenue d’impôt sur l’intérêt payé aux détenteurs américains de titres d’emprunt canadiens de moins de cinq ans et informer les membres sur cette question. La réunion a débuté par une courte récapitulation de la position de l’ACCOVAM exposée dans la lettre adressée au ministre fédéral des Finances en novembre 2002, suivie des présentations de Jack Mintz, chef de la direction de l’Institut C.D. Howe et administrateur de Brascan, et de Joe Vermeer, premier vice-président de Thomson Group, tous deux en faveur de l’élimination de la retenue d’impôt. La réunion a permis de discuter abondamment des avantages et désavantages du retrait de la retenue d’impôt selon différentes perspectives du marché pour les opérations sur titres d’emprunt transfrontalières avec et sans lien de dépendance. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Jon Cockerline Directeur, Représentation du secteur (416) 943-5787 ou [email protected] Section des affaires juridiques et de la conformité En conclusion, mesdames et messieurs, je tiens à répéter à quel point je suis honoré d’avoir la chance de servir au cours de l’année qui vient. J’accueillerai vos idées, vos commentaires et vos préoccupations avec ouverture. Les perspectives qui s’ouvrent à l’ACCOVAM me stimulent, et je crois que nous pourrons accomplir d’importants progrès en vue de l’atteinte de nos objectifs. Nous aurons besoin de votre appui, mais je suis convaincu qu’en travaillant ensemble, nous parviendrons à réaliser nos objectifs. Allers retours dans la journée Le Règlement 2500, l’article 22 du Règlement 100 et le Principe directeur n o 10 ont été approuvés par les ACVM le 29 juin 2004. Ces nouvelles dispositions définissent les obligations des sociétés membres qui font la promotion de l’utilisation de la stratégie des allers retours dans la journée afin de s’assurer que l’usage qu’en fait le client est approprié et que celui-ci a été suffisamment informé des risques avant que le compte ne soit ouvert. Elles visent aussi à protéger les investisseurs contre les pertes financières en imposant des limites strictes sur l’effet de levier intrajournalier sous forme d’exigences de couverture. L’ACCOVAM mettra en application ces dispositions conjointement avec la Bourse de Montréal, et les sociétés membres seront avisées avant leur entrée en vigueur. Brian Porter 2004-05 Président du conseil Assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM Le 14 juin 2004 Conflits d’intérêts Des modifications à l’article 1 du Statut 1 et au Statut 29 portant sur les conflits d’intérêts et les règles de priorité des ordres des clients ont été approuvées par 10 le conseil d’administration en juin 2004 et publiées pour commentaires en juillet. Les modifications proposées exigeront la divulgation des avoirs du groupe professionnel lorsque i) un membre a conclu une entente ou signé un engagement avec un émetteur pour agir à titre de conseiller, de mandataire ou de preneur ferme ou participer à un groupe de vente pour une émission dans le public ou un placement privé de cet émetteur et ii) les avoirs du groupe professionnel de la société membre dépassent 10 pour cent des titres en circulation de l’émetteur. L’information devra être communiquée aux investisseurs au moment de leur faire des recommandations ou de leur fournir des conseils relativement aux titres faisant l’objet du placement ou de l’offre et figurer sur tous les avis d’exécution s’y rapportant. L’obligation de divulgation s’appliquera jusqu’à ce que la société membre ait entièrement vendu sa part du placement ou de l’émission. Les modifications proposées clarifient également les règles de priorité des ordres des clients et décrivent leur fonctionnement en ce qui a trait aux placements privés. De plus, elles établissent des limites quant à la réduction des périodes de détention obligatoire des placements privés. Constitution en société des représentants Un sous-comité a été chargé d’examiner la question de la constitution en société des représentants en remplacement de la structure d’entreprise employeur/ employé ou mandant/mandataire. Les personnes intéressées à participer au groupe de travail peuvent communiquer avec Deborah Wise au (416) 943-6994 ou [email protected]. Formulaire 2 Un sous-comité a examiné les révisions proposées au formulaire 2 et aux exigences d’ouverture de compte et est en train de rédiger les nouvelles normes minimales pour les comptes institutionnels, de détail et de courtage à escompte qui remplaceront l’actuel formulaire 2. Autres questions Les questions suivantes sont également à l’étude : • normes minimales pour les comptes institutionnels (Principe directeur no 4) • attribution des PAPE Section des administrateurs financiers Obligation d’établir un plan de continuité d’activité et autres modifications des règles Lors de sa réunion du 28 mai à Toronto, la Section des administrateurs financiers (SAF) a recommandé en vue de l’approbation une proposition qui, lorsqu’elle sera en vigueur, obligera chaque membre à établir un plan de continuité d’activité. Ont également été approuvées des modifications concernant le calcul de la pénalité pour concentration de titres à l’égard des positions sur titres indiciels diversifiés, la couverture des options position acheteur, la couverture des OPC marché monétaire et la couverture des titres cotés sur le CNQ. Les règles proposées ont ensuite été approuvées par le conseil d’administration de l’Association lors de sa réunion de juin et ont été présentées aux organismes de réglementation ayant reconnu l’Association en vue de leur approbation. Autres questions Voici une liste de questions étudiées à l’heure actuelle par divers sous-comités permanents : • Traitement direct (le projet de Règlement 24-401 sur le traitement direct, Recommandations de meilleures pratiques et de normes de l’ACMC). • Règles sur la piste de vérification électronique (recommandations du comité sur la déclaration des opérations et la piste de vérification électronique). • Plan de mise en œuvre relatif à la proposition sur le projet de couverture des titres de participation. • Questions relatives aux agents de transfert (NC 54101, STPGV pour les droits et privilèges, inscription directe). • Modification du tableau 12 relatif à la couverture requise pour les concentrations de positions sur contrats à terme. • Capital requis pour les titres de clients accusant une insuffisance de séparation. Pour obtenir de plus amples renseignements sur ces questions ou sur les travaux de la Section et de ses comités permanents, veuillez communiquer avec : Richard Corner Vice-président, Politique réglementaire (416) 943-6908 ou [email protected] Pour obtenir de plus amples renseignements sur ces questions ou sur les travaux de la section et de ses comités permanents, prière de communiquer avec : Deborah Wise Avocate, Affaires juridiques et politique, Politique réglementaire (416) 943-6994 ou [email protected] 11 Rapport du comité consultatif national Le comité consultatif national, dont Debra Hewson, Odlum Brown Limited, section du Pacifique, est présidente, a tenu sa dernière réunion de l’année 20032004 lors des assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM au Fairmont Tremblant à MontTremblant (Québec). Toutes les sections ont tenu leur assemblée annuelle et un certain nombre de présidents de conseil ont terminé leur mandat. Les membres ont informé le comité des activités de leur section au cours des trois derniers mois. Un certain nombre de sections ont accueilli des séminaires de formation continue sur le courtage de détail et de nombreuses sections ont formulé des commentaires sur le modèle de traitement équitable de la CVMO. Les démarches se poursuivent en vue de faire reconnaître l’ACCOVAM par les commissions de valeurs mobilières au Manitoba et Terre-Neuve. Les sections travaillent à la mise en œuvre des modifications du Statut 20 pour le 1er octobre 2004. Ces modifications concernent principalement la structure et la composition des formations disciplinaires. Rob Jennings, de Jennings Capital, section de l’Alberta, sera président du comité consultatif national en 20042005. Il a suggéré comme priorités pour l’année : la poursuite de la réflexion et du travail avec le personnel de l’ACCOVAM en vue de l’allègement du fardeau de la réglementation; la réforme des pensions; l’inscription des courtiers sur le marché des valeurs dispensées; la simplification de l’approbation des dettes subordonnées par l’ACCOVAM. Debra Hewson a remercié tous les membres pour leur contribution et leur appui au cours de son mandat comme présidente. Voici la composition du comité consultatif national 2004-2005 : • M. Robert Jennings, président du conseil de section de l’Alberta, Jennings Capital Inc., Calgary; • M. Ronald Beer, président du conseil de section de Terre-Neuve, RBC Dominion valeurs mobilières Inc., St. John’s; • Mme Daniella Dimitrov, présidente du conseil de section de l’Ontario, Valeurs mobilières Dundee, Toronto; • M. David Gauthier, président du conseil de section de l’Île-du-Prince-Édouard, RBC Dominion valeurs mobilières Inc., Charlottetown; 12 • • • • • • • M. Douglas MacKay, président du conseil de section du Pacifique, Credential Securities Inc., Vancouver; M me Susan Milburn, présidente du conseil de section de la Saskatchewan, Raymond James Ltd., Saskatoon; M. Paul Rodger, président du conseil de section du Nouveau-Brunswick, Scotia Capitaux Inc., SaintJean; M. Colin Ryan, président du conseil de section du Manitoba, BMO Nesbitt Burns Inc., Winnipeg; Mme Jane Smith, présidente du conseil de section de la Nouvelle-Écosse, Beacon Securities Limited, Halifax; M. Gérard Taillon, président du conseil de section du Québec, BMO Nesbitt Burns Ltée/Ltd., Montréal; Mme Debra Hewson, présidente sortante, Odlum Brown Limited, Vancouver. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Terry Melling Directeur régional des Prairies (403) 260-6278 ou [email protected] Rapport du comité des courtiers régionaux Le comité des courtiers régionaux s’est réuni en juin dans le cadre des assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM qui se tenaient à Mont-Tremblant, au Québec. Le comité poursuit ses discussions avec les commissions de valeurs mobilières et le service de la Réglementation des membres de l’ACCOVAM au sujet du transfert des conseillers en placement entre sociétés membres. Le comité a également cerné certaines questions qui préoccupent plusieurs sociétés membres et sur lesquelles le comité se penchera au cours des prochains mois. Ce sont : • l’approbation, par l’ACCOVAM, de dettes subordonnées pour les actionnaires existants; • les discussions avec l’Institut canadien des valeurs mobilières concernant le coût des cours pour les membres; • la vente de contrats à terme, par des non-résidents non inscrits, à des résidents canadiens; • le suivi effectué auprès des provinces concernant la réforme des pensions; • l’inscription, dans toutes les provinces, des courtiers exerçant leurs activités sur le marché des valeurs dispensées; • les changements apportés au programme des obligations d’épargne du Québec. Le comité a aussi tenu son forum des courtiers régionaux à l’occasion du congrès de l’ACCOVAM. Ce forum avait pour objet d’identifier les principaux sujets qui intéressent les sociétés de courtage régionales, dans le cadre de discussions ouvertes. Les préoccupations générales suivantes, qui sont ressorties de ces échanges, sont maintenant examinées de près par le comité : • les nouveaux règlements et les changements de politiques sont adoptés à un rythme très difficile à suivre pour les petites sociétés de courtage. Les sociétés aimeraient que l’ACCOVAM les aide et les guide davantage dans l’interprétation, la compréhension et la mise en œuvre des changements prescrits; • divers procédés de vérification exigés par les organismes de réglementation sont longs à accomplir et perturbent les activités. Les OAR devraient coordonner les vérifications; • le processus d’inscription des nouveaux membres est beaucoup trop laborieux et complexe; • quiconque vend des valeurs mobilières devrait être inscrit, y compris les personnes qui vendent des contrats à terme et des titres de placements privés. Conférence des courtiers régionaux Le programme de la Conférence des courtiers régionaux est maintenant établi. Cette conférence d’un jour, qui aura lieu le 29 octobre 2004 à The Old Mill Inn, à Etobicoke, traitera de questions stratégiques de pointe pour aider les petites sociétés de courtage à cerner les tendances qui se dessinent dans le secteur des valeurs mobilières et à se préparer à livrer une concurrence efficace dans les marchés de demain. Deux séances plénières ouvriront et clôtureront la journée, soit une table ronde sur le contexte réglementaire actuel et une table ronde de dirigeants du secteur. Les participants pourront en outre choisir deux ateliers sur trois tenus en milieu de journée, ateliers qui porteront sur les sujets suivants : Comment renforcer les relations avec les clients : bâtir la confiance au moyen d’un service exceptionnel; La planification stratégique : pour mieux saisir les occasions d’affaires; et Planification de la relève : l’importance de préparer une douce transition. Nous vous invitons à profiter de cette occasion inégalée d’entendre des experts du secteur et d’échanger avec vos collègues de la profession. L’information et les conseils obtenus au cours de cette journée aideront votre société à se positionner pour relever les défis de demain. Voir les modalités d’inscription dans la présente livraison du Rapport ACCOVAM et sur le site Web de l’ACCOVAM, au www.ida.ca. Forum des courtiers régionaux La prochaine réunion du comité des courtiers régionaux est prévue pour le 28 octobre 2004 à Toronto. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Terry Melling Directeur régional des Prairies (403) 260-6278 ou [email protected] Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Eileen Brady Coordonnatrice des services aux membres Représentation du secteur (416) 943-6947 ou [email protected] Claire Hoy Adjointe, Représentation du secteur (416) 943-6992 ou [email protected] 13 Séminaires sur la conformité financière à l’intention des sociétés membres Les séminaires annuels sur la conformité financière présentés à l’intention des sociétés membres de l’ACCOVAM auront lieu à Vancouver, Toronto et Montréal les 17 septembre, 22 septembre et 26 octobre 2004, respectivement. Ces séminaires s’adressent aux professionnels financiers des sociétés membres et portent sur différents sujets d’intérêt. Les séminaires de cette année porteront notamment sur les faits nouveaux en matière de réglementation, le blanchiment d’argent, les plans de continuité de l’activité et les nouvelles règles relatives aux prises fermes. Les présentateurs proviendront principalement de l’ACCOVAM, et participeront des membres du personnel du FCPE, des commissions des valeurs mobilières et de l’ACCOVAM. M. Paul Bourque, premier viceprésident, Réglementation des membres, sera le conférencier d’honneur du séminaire donné à Toronto. Outre ces séminaires à l’intention des membres, l’ACCOVAM prévoit aussi tenir en septembre et en octobre, dans les trois mêmes villes, ses séminaires annuels à l’intention des vérificateurs. Ces séminaires ont pour objet d’informer les vérificateurs des sociétés membres de l’ACCOVAM au sujet des faits les plus récents survenus dans le secteur du placement. Pour de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Maysar Al-Samadi Vice-président, Normes professionnelles (416) 943 6902 ou [email protected] 14 Séminaire 2004 à l’intention des groupes de vérificateurs L’ACCOVAM tiendra son séminaire annuel à l’intention des groupes de vérificateurs (Toronto) le mercredi 15 septembre 2004 au TSX Conference Centre. Les participants y recevront de l’information sur les tendances récentes au sein des marchés financiers canadiens et les questions réglementaires qui retiennent actuellement l’attention, ce qui les aidera à planifier les vérifications des sociétés membres. Le séminaire s’adresse aux associés, directeurs et vérificateurs aux paliers supérieurs qui prennent part aux vérifications des sociétés de courtage. Les documents de cette rencontre seront disponibles et distribués le jour du séminaire à tous les participants. Ressource utile, l’information contenue dans ces documents pourra par la suite être distribuée aux autres membres du personnel intéressés de votre société. Les sujets suivants seront notamment abordés : points saillants des marchés financiers et analyse des tendances, faits nouveaux sur le FCPE, mise à jour de la réglementation incluant les changements récents ou à venir, insuffisances de capital et autres sujets importants. D’autres séminaires sont prévus à Vancouver, le 24 septembre, et à Montréal, le 27 octobre. Si vous prévoyez y assister, veuillez confirmer votre présence par courriel auprès de Heather Barclay à l’adresse [email protected] ou au numéro (416) 943-6931, en indiquant les noms des autres membres du personnel qui comptent également y assister. Veuillez répondre avant le vendredi 3 septembre 2004. Séminaire de formation à l’intention des membres Toronto Séminaire de formation à l’intention des membres Vancouver Le mercredi 22 septembre 2004 Le vendredi 17 septembre 2004 Programme de la journée Programme de la journée 8 h 15 Inscription 8 h 30 à 8 h 45 Inscription [café, jus et muffins] 8 h 30 Café, jus et muffins 8 h 45 à 9 h Introduction Warren Funt 9h Plénière (tous les participants) Conférencier invité Paul Bourque [30 min.] Nouvelles du FCPE Rozanne Reszel [15 min.] Faits nouveaux en matière de réglementation Richard Corner [30 min.] 9 h à 9 h 30 Faits nouveaux en matière de réglementation Ron Johnston/Lynn Wittiger 9 h 30 à 10 h 15 Nouvelles règles relatives aux prises fermes Lynn Wittiger 10 h 15 à 10 h 30 Pause de Matin 10 h 30 à 10 h 45 Nouvelles du FCPE Rozanne Reszel 10 h 45 à 11 h 30 Plan de continuité de l’activité Maysar Al-Samadi 11 h 30 à 12 h Observations courantes durant les inspections Ron Johnston 12 h 15 à 13 h Lunch [sandwiches, salades] 13 h à 13 h 15 Faits nouveaux en matière d’assurance Mary da Costa, Guaranteed Company of North America 13 h 15 à 13 h 45 Arrangements avec un remisier / courtier chargé de comptes Maysar Al-Samadi 13 h 45 à 14 h Insuffisances de capital / Signaux précurseurs Ron Johnston 14 h à 14 h 30 Exposés divers Structures de propriété des sociétés et activités permises Lynn Wittiger Comprend une pause de 10 h à 10 h 15 Blanchiment d’argent Larry Boyce [20 min.] Plan de continuité d’activité Maysar Al-Samadi [30 min.] Insuffisances de capital et signaux précurseurs Jean Chan [20 min.] Conventions de garde Maria Alano Laset [10 min.] Période de questions [10 min.] 12 h 00 à 13 h Lunch – [sandwiches, salades, etc.] 13 h à 14 h ATELIER N 1 – salles d’atelier Arrangements avec un remisier / courtier chargé de comptes Maysar Al-Samadi Nouvelles règles relatives aux prises fermes Dennis Dirksen O 14 h à 14 h 15 Pause de l’après-midi 14 h 15 à 15 h 15 [Conclusion] ATELIER NO 2 – salles d’atelier Structures de propriété des sociétés Bill Dines Principe directeur no 3, Énoncés de principe relatifs au contrôle interne – Attentes de l’ACCOVAM Ciro Mirabella suite à la page 16 15 Vancouver suite... 14 h à 14 h 30 Exposés divers Évaluation des titres et couverture prescrite / Concentration des comptes Maysar Al-Samadi Garanties données par les clients Maysar Al-Samadi 14 h 30 à 14 h 45 Pause de l’après-midi 14 h 45 à 15 h 15 Couverture prescrite pour les comptes de moyenne des cours Ron Johnston Examen du Cours à l’intention des chefs des finances Lynn Wittiger Lettres de crédit Maysar Al-Samadi Rapport des régions Région du Pacifique Conseil de section du Pacifique Doug MacKay, Credential Securities Inc., succède à Debra Hewson, Odlum Brown Limited, à titre de nouveau président du conseil. À l’assemblée générale annuelle de la région du Pacifique en mai, trois membres du secteur ont été élus au conseil et six autres ont été réélus. Ward McMahon, Corporation Canaccord Capital, a quitté le conseil après six ans de service. Le 30 avril, le conseil a soumis ses commentaires à la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario à la suite du dépôt du mémoire sur le Modèle de traitement équitable. Bien qu’il appuie bon nombre des principes de base proposés dans le modèle, le conseil a fait état de certaines préoccupations, notamment le manque d’harmonisation avec les systèmes réglementaires actuels et les propositions réglementaires; les frais de mise en œuvre; la nécessité d’assurer une coordination avec les OAR; et enfin la structure proposée du modèle qui pourrait ne pas convenir à tous les clients. Le conseil de section du Pacifique a nommé cinq membres du public et six membres retraités du secteur pour des mandats d’un an. Ceux-ci assisteront aux réunions du conseil de section du Pacifique convoquées pour tenir des audiences, conformément au Statut 20. Le conseil a aussi nommé les vérificateurs du conseil de section de l’Association et les vérificateurs substituts pour un mandat se terminant le 12 juillet 2004. Séminaire de Toronto pour les sociétés membres 22 septembre 2004 St. Andrews Club and Conference Centre 150, rue King Ouest, 27e étage, Toronto (Ontario) Information : Nellie Gomes (416) 943-6937 Séminaire de Toronto pour les groupes de vérificateurs 15 septembre 2004 TSX Conference Centre 130, rue King Ouest, Toronto (Ontario) Information : Heather Barclay (416) 943-6931 Séminaire de Vancouver pour les sociétés membres 17 septembre 2004 Terminal City Club 837, rue West Hastings, Vancouver (C.-B.) Information : Christine Pollitt (604) 331-4770 Séminaire de Vancouver pour les groupes de vérificateurs 24 septembre 2004 Morris J. Wosk Centre for Dialogue 580, rue West Hastings, Vancouver (C.-B.) Information : Christine Pollitt (604) 331-4770 Séminaire de Montréal pour les sociétés membres 26 octobre 2004 Hôtel Omni 1050, rue Sherbrooke Ouest, Montréal (Québec) Information : Isabelle Tassé (514) 878-2854 Séminaire de Montréal pour les groupes de vérificateurs 27 octobre 2004 Hôtel Omni 1050, rue Sherbrooke Ouest, Montréal (Québec) Information/Inscription : Isabelle Tassé (514) 878-2854 16 Le 23 juin, Maysar Al-Samadi, vice-président, Normes professionnelles, a fait une présentation sur le nouvel article 19 du Statut 17 – Plan de continuité d’activité devant les membres du conseil. Le conseil s’est réjoui de cette occasion de se familiariser avec ce Statut et il fera part de ses commentaires sur les lignes directrices qui l’accompagnent. Durant l’été, le conseil se prépare à l’entrée en vigueur du Statut 20, qui exige l’établissement d’un nouveau comité de mise en nomination et d’un comité de discipline. Les formations d’instruction, qui n’ont pas encore été désignés, recevront des sessions de formation en septembre. Série de séminaires à l’intention des sociétés de courtage de détail en septembre La planification d’une série de séminaires à Vancouver cet automne va bon train. Les cours seront disponibles sur DVD pour ceux qui ne pourront y assister. Un souscomité du conseil de section du Pacifique examine actuellement les propositions de cours et devrait faire connaître son choix en août. Les cours seront offerts à la fin du mois de septembre. Dépôt du projet de loi 38 Securities Act à l’assemblée législative de la C.-B. En juin, la nouvelle loi BC Securities Act (projet de loi 38) a reçu la sanction royale et elle entrera en vigueur à la fin de l’automne 2004, en remplacement de la loi actuelle sur les valeurs mobilières de la C.-B. La Commission a publié aux fins de commentaires les règles proposées et les autres instruments nécessaires pour la mise en application de la nouvelle loi (voir l’avis de la C.-B. 2004-31) sur son site Web à l’adresse www.bcsb.bc.ca. Les commentaires doivent être acheminés avant le 23 août 2004. Nous travaillons en collaboration avec la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique pour coordonner une table ronde ou un débat d’experts à l’automne sur les questions opérationnelles. Le personnel de l’ACCOVAM tente actuellement de clarifier avec la Commission l’effet de la nouvelle loi sur les valeurs mobilières sur le rôle et les responsabilités de l’Association en Colombie-Britannique. lui à partir d’une longue liste de catégories. Les utilisateurs recevront un bref message par courriel lorsque de l’information correspondant à leurs critères sera publiée sur le site www.ida.ca, incluant l’hyperlien vers la page appropriée. Séminaires sur la conformité financière Le service de la Conformité financière tiendra deux séminaires cet automne. Le séminaire de formation à l’intention des sociétés membres se tiendra le vendredi 17 septembre 2004 au Terminal City Club de Vancouver. Ce séminaire portera sur différents sujets dont les nouvelles règles de prise ferme, les conclusions courantes des inspections, les arrangements remisiers/ chargés de compte, etc. Il s’adresse aux cadres supérieurs responsables de la conformité financière des sociétés membres. Le séminaire annuel à l’intention des groupes de vérificateurs se tiendra quant à lui le 24 septembre au Morris J. Wosk Centre for Dialogue. Les associés, directeurs et vérificateurs aux paliers supérieurs qui prennent part aux vérifications des sociétés de courtage sont conviés à ce séminaire qui fait le point sur les tendances récentes et les faits nouveaux au sein des marchés de capitaux. Il est possible d’obtenir des renseignements sur l’un ou l’autre de ces deux séminaires auprès de Christine Pollitt, adjointe à la Conformité financière, par téléphone au (604) 331-4770 ou par courriel à l’adresse [email protected]. Programme de formation pour les professionnels de la conformité Warren Funt, vice-président, Ouest du Canada, Réglementation des membres, siège actuellement au comité consultatif du Justice Institute de la ColombieBritannique, qui a été mandaté par la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique pour concevoir un nouveau programme de formation à l’intention des professionnels de la conformité de l’industrie des valeurs mobilières. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Glenn Knowles Directeur régional du Pacifique (604) 331-4797 ou [email protected] Lancement du nouveau service « e-Publications » en août Les essais de système sont presque terminés et le service e-Publications devrait être lancé en août. Service gratuit et facultatif, e-Publications aidera les utilisateurs de l’Internet à faire un meilleur usage du site Web de l’ACCOVAM. Le système permet à l’utilisateur de définir le type d’information la plus pertinente pour 17 Région des Prairies Section du Manitoba La section du Manitoba a tenu sa cérémonie de reconnaissance annuelle dans le cadre de l’assemblée annuelle du conseil de section du Manitoba en mai dernier. Non seulement la section a-t-elle souligné les réalisations académiques des employés des sociétés membres, mais elle a aussi rendu un hommage spécial à quatre vétérans de la profession qui ont pris leur retraite au cours de la dernière année. Lors de l’assemblée annuelle, M. Colin Ryan, de BMO Nesbitt Burns, a été nommé président du conseil de section pour l’année 2004-2005, et M. Gord Wimble, de CIBC Wood Gundy, a été nommé vice-président du conseil. Les autres membres du conseil de section entrant du Manitoba sont : • M. Greg Bieber, de Partenaires Financiers Richardson Limitée; • M. Steve Bloss, de Benson Quinn-GMS Inc.; • M. Ron Cairns, de Partenaires Financiers Richardson Limitée; • M me Renee DeMeyer Mesman, de Valeurs mobilières Groupe Investors Inc.; • Mme Pam Dixon, de Wellington West Capital Inc.; • M. Alan Dunnett, de RBC Dominion valeurs mobilières Inc.; • M. Edward Griffith, de Scotia Capitaux Inc.; • M. Craig Harrison, de Credential Securities Inc.; • M. Bruce Henderson, de BMO Nesbitt Burns Inc.; • M. Alan McLaughlin, de RBC Dominion valeurs mobilières Inc.; • M. Donald Minarik, de TD Waterhouse Canada Inc.; • M me Stella Morrison, de Valeurs mobilières Berkshire Inc.; • M. Gregory Ozechowsky, de CIBC Wood Gundy; • M. Walter Silicz, de Wellington West Capital Inc.; • M. Scott Tays, de Scotia Capitaux Inc.; • M. Claude Tétrault, de Bieber Securities Inc.; • M. Blain Troup, de Benson Quinn-GMS Inc.; et • M. Jamie Wilton, de Refco, Valeurs Mobilières (Canada) Ltée À la fin mai, le conseil de section du Manitoba a accueilli les membres du comité exécutif de l’ACCOVAM dans le cadre de leur visite annuelle à Winnipeg. Ces derniers y ont rencontré le personnel de la Commission du Manitoba et le ministre des Finances, M. Greg Selinger. L’ACCOVAM a le plaisir d’annoncer que la Commission des valeurs mobilières du Manitoba a publié à des fins de commentaires une ordonnance accordant la reconnaissance à l’ACCOVAM à titre d’organisme 18 d’autoréglementation. L’ordonnance 4496 de la commission (MSC Order 4496), datée du 30 juin 2004, pourrait faire l’objet de modifications par suite des commentaires reçus des parties intéressées. La commission avait reçu tous ces commentaires au 6 août 2004. On trouvera plus de renseignements à ce sujet sur le site Web de la commission, au www.msc.gov.mb.ca (voir l’avis intitulé MSC Notice 2004-36). Section de la Saskatchewan Concurremment avec son déjeuner-causerie annuel, le conseil de section de la Saskatchewan a tenu son assemblée annuelle en mai à Saskatoon. Mme Susan Milburn, de Raymond James, a été nommée présidente du conseil de section et M. Larry Sloan, de RBC Dominion valeurs mobilières, a été nommé vice-président du conseil. Les personnes suivantes ont aussi été nommées au conseil de section de la Saskatchewan pour 2004-2005 : • M. Kostas Arapis, de Gestion de capital Assante ltée; • M. Michael Armstrong, de Scotia Capitaux Inc.; • M. Greg Beswick, de Financière Banque Nationale; • M. Alan Cruickshank, de Union Securities Ltd.; • Mme Susan Davison, de Credential Securities Inc.; • M. Brad Ens, de Marchés mondiaux CIBC inc.; • M. Kenneth Gardeau, de Valeurs mobilières Dundee; • M. Kevin Johnston, de Scotia Capitaux Inc.; • M. Daryl Ludwar, de TD Waterhouse Investor Services (Canada) Inc.; • M. Rob Theoret, de Raymond James Ltd.; et • M. Richard Thompson, de Wellington West Capital Inc. Le conseil de section de la Saskatchewan est impatient d’entreprendre sa nouvelle année et projette de tenir à la fois un séminaire de formation à l’intention des membres du secteur et une activité sociale pour les employés des sociétés membres. Section de l’Alberta Le conseil de section de l’Alberta et le bureau de Calgary de l’ACCOVAM ont tenu leurs portes ouvertes annuelles en mai dernier pour les sociétés membres et les collègues du secteur. Parallèlement à cet événement, le conseil de section a tenu son assemblée annuelle, au cours de laquelle MM. Rob Jennings, de Jennings Capital, et Ruby Wallis, de FirstEnergy Capital, ont été nommés de nouveau à titre de président et viceprésident du conseil de section pour une autre année. Les autres membres du conseil de section de l’Alberta pour 2004-2005 sont : • Mme Holly Benson, de Peters & Co. Limited; • M. Randy Bergh, de First Associates; • M. Philip Heimbecker, de Raymond James Ltd.; • M. Dale Horsley, de Wellington West Capital Inc.; • Mme Alison Keene, de BMO Nesbitt Burns Inc.; • M. Michael Kehler, de Tristone Capital Inc.; • M. Calvin Malhiot, de RBC Dominion valeurs mobilières Inc.; • M. Jim McDonald, de Valeurs Mobilières HSBC (Canada) Inc.; • M. Donald McPherson, de J.F. Mackie & Company Ltd.; • M. Michael Mezei, de ATB Securities Inc.; • M. James Ross, de Jennings Capital Inc.; • M. David Sanders, de Sanders Wealth Management Group Ltd.; • M. Jim Sorenson, de Marchés mondiaux CIBC inc.; • M. Bradley Whyte, de Scotia Capitaux Inc.; et • M. Michael Zwack, de Leede Financial Markets Inc. Autre fait à signaler, la Législature provinciale a adopté et promulgué la loi 34 intitulée Income Trusts Liability Act. Cette loi prévoit une responsabilité limitée pour les porteurs de parts de fiducie, ce qui devrait faire augmenter le nombre de participants du marché qui investissent dans ce véhicule de placement en Alberta. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Terry Melling Directeur régional des Prairies (403) 260-6278 ou [email protected] Section de l’Ontario Statuts relatifs aux vérificateurs de section de l’Association Les modifications des Statuts visant à éliminer les vérificateurs de section et vérificateurs de section suppléants de l’Association ont été approuvées à la réunion du conseil d’administration de l’Association le 16 janvier 2004. Les Statuts ont ensuite été approuvés par les commissions de valeurs mobilières compétentes. Le bulletin n 3282 annonçait que les modifications allaient entrer en vigueur le 12 juillet 2004. Les membres devaient ainsi continuer de se conformer aux Statuts et Règlements pertinents jusqu’à cette date. Or, depuis le 12 juillet, l’Association n’embauche plus de vérificateurs de section ou de vérificateurs de section suppléants. o Proposition de modification du Statut 11 (Conseils de section et réunions) Le Statut 11, qui décrit l’administration des conseils de section, fait actuellement l’objet d’une mise à jour et de certains éclaircissements. On compte présenter le Statut révisé au conseil d’administration en octobre. Conseil de section de l’Ontario 2004-2005 Le 12 mai dernier, le conseil de section de l’Ontario a tenu son assemblée annuelle 2004. M. Stanley H. Hartt, président du conseil d’administration de Marchés mondiaux Citigroup Canada Inc., y a traité de la question de l’établissement d’un seul organisme de réglementation des valeurs mobilières au Canada. Les nouveaux membres du conseil de section de l’Ontario ont aussi été élus lors de ce cette assemblée. Ce sont : • la présidente du conseil : Mme Daniella Dimitrov, de Valeurs mobilières Dundee; • le vice-président du conseil : M. Duncan Webb, de Credit Suisse First Boston Canada Inc.; • le président du conseil sortant : M. Nelson MacDonald, de Marchés mondiaux Citigroup Canada Inc.; • M. Brian Acker, de Acker Finley Inc.; • M. Brad Aulthouse, de BMO Nesbitt Burns Inc.; • M. Scott Bowman, d’Edward Jones; • M. Chris Climo, de TD Waterhouse Canada Inc.; • M. Dennis Gregoris, de Planification financière CIBC Inc.; • M. Terrence Hetherington, de Raymond James Ltd.; • M. Thomas Kim, de First Associates Investments Inc.; • Mme Lisa Langley, de First Asset Advisory Services Inc.; • M. Mark Lyon, de Partenaires Financiers Richardson Limitée; • M. William McIlroy, de Corporation Canaccord Capital; • M. Derek Nelson, de McFarlane Gordon Inc.; • M. David Prestwich, de Dominick & Dominick Securities Inc.; • M. Chris Rutledge, de Valeurs Mobilières Hampton ltée; et • M. Jan Sorhaug, de RBC Dominion valeurs mobilières inc. Les personnes présentes ont remercié Nelson MacDonald, président du conseil sortant, pour son dévouement et son excellent travail au nom du conseil et de la section. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Morag MacGougan Directrice régionale de l’Ontario (416) 943-6991 ou [email protected] 19 Section du Québec Lors des 88 e assemblée et congrès annuels de l’ACCOVAM qui avaient lieu en juin dernier à MontTremblant, le ministre des Finances du Québec, M. Yves Séguin, a annoncé aux participants présents que l’ACCOVAM serait reconnue à titre d’organisme d’autoréglementation conformément aux nouvelles exigences énoncées dans la Loi sur l’Agence nationale d’encadrement des services financiers (LANESF). Cette annonce précédait de quelques semaines l’annonce officielle faite par l’Autorité des marchés financiers, le 19 juillet 2004. Rappelons qu’aux termes de la LANESF, l’ACCOVAM devait perdre le bénéfice de la clause grand-père présente dans la Loi sur les valeurs mobilières (LVM), le 1er août 2004. L’Autorité des marchés financiers a étudié la demande de reconnaissance déposée par l’ACCOVAM le 26 mars dernier et a décidé d’accorder le statut d’OAR à l’ACCOVAM. L’ACCOVAM a joint à sa demande de reconnaissance une demande de délégation de pouvoirs qui a obtenu l’assentiment de l’Autorité des marchés financiers. Il revient toutefois au gouvernement d’approuver cette délégation. En avril dernier, le ministre des Finances du Québec annonçait le maintien du moratoire sur le régime d’épargne-actions, qui permet aux investisseurs du Québec d’obtenir des déductions d’impôt lorsqu’ils investissent dans des entreprises admissibles. Lors d’une rencontre avec M. Gérard Taillon, président du conseil de section du Québec, et Mme Carmen Crépin, vice-présidente, Québec, le ministre Séguin a indiqué son ouverture à recevoir des propositions sur l’avenir de ce régime. Un groupe de travail de la section Québec a rencontré des représentants du ministère des Finances le 8 juillet dernier afin de discuter des travaux en cours sur l’avenir du régime. Le groupe de travail, auquel participe activement l’ACCOVAM section Québec, entend présenter dans les prochaines semaines une proposition de relance de ce régime. L’ACCOVAM section Québec a participé à une rencontre organisée par la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario et l’Autorité des marchés financiers sur le modèle de traitement équitable élaboré par la CVMO. Lors de cette rencontre, l’ACCOVAM a exposé aux représentants de la CVMO les irritants que recèle le modèle, tel qu’il a été proposé au printemps. Les représentants de l’ACCOVAM ont aussi rappelé les travaux que son groupe de travail a entrepris dès 20 les premières étapes d’élaboration du projet de la CVMO. En outre, les représentants ont souligné l’importance de prendre en considération les particularités du droit québécois dans l’élaboration de tout modèle de traitement équitable. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Claudyne Bienvenu Directrice régionale du Québec (514) 878-2854 ou [email protected] Région de l’Atlantique Il y a 400 ans, les premiers colons français accostaient sur les côtes de l’Île-Ste-Croix, berceau des Acadiens situé à portée de vue de la ville de St. Andrews au NouveauBrunswick, où l’ACCOVAM a tenu son congrès et son assemblée générale annuelle en 2003. L’événement a été célébré dans tout le Canada atlantique au cours de l’été, marqué notamment par l’arrivée des grands voiliers dans les ports de Halifax et d’autres villes. En vertu d’une nouvelle loi sur les valeurs mobilières, le Nouveau-Brunswick a maintenant sa Commission des valeurs mobilières. Nous nous réjouissons de l’adoption de cette loi attendue depuis longtemps et nous comptons organiser une rencontre entre les membres de la direction et les nouveaux représentants de la Commission dans un proche avenir. Donne Smith, qui dirigeait la section de l’administration des valeurs mobilières depuis 15 ans, présidera la Commission. Nouveau Membres L’ACCOVAM souhaite la bienvenue à son tout nouveau membres : First Leaside Securities Inc. Le 1 mars 2004 Liquidnet Canada Inc. Le 7 mai, 2004 Liberty Wealth Management Inc. Le 7 mai, 2004 Sandstone Asset Management Inc. Le 14 juin, 2004 Trois nouveaux présidents ont été nommés à la tête de conseils de section de la région de l’Atlantique cette année : David Gauthier (Î.-P.-É.), Paul Rodger (N.-B.) et Jane Smith (N.-É.). Ron Beer présidera le conseil de section de TerreNeuve et du Labrador pour une deuxième année. Au début de juillet, la Commission des valeurs mobilières de la Nouvelle-Écosse a convoqué une réunion entre la CVMO, l’ACCOVAM, l’ACFM et d’autres afin de discuter du mémoire sur le Modèle de traitement équitable. Le débat a été une occasion pour les participants de comprendre les grands enjeux au cœur du mémoire et les conséquences potentielles sur nos façons de faire. Une visite de notre comité exécutif est prévue au début du mois de septembre, ainsi qu’un séminaire sur la proposition contenue dans l’article 19 du Statut 17, qui oblige les sociétés membres de l’ACCOVAM à se doter d’un plan de continuité d’activité. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : David Beazley Directeur de la région de l’Atlantique (902) 423-8289 ou [email protected] Plan de continuité d’activité pour les membres de l’ACCOVAM Le 13 juin 2004, le conseil d’administration de l’ACCOVAM a approuvé l’article 19 du Statut 17 qui oblige les sociétés membres à se doter d’un plan de continuité d’activité (PCA) pour faire face aux interruptions d’activité importantes (IAI). L’objectif du plan est de s’assurer que les sociétés membres sont en mesure de maintenir un niveau d’activité qui respecte leurs obligations juridiques, fiduciaires et réglementaires et leurs engagements envers les clients. Au minimum, les sociétés membres sont tenues de faciliter l’accès des clients à leur actif à la suite d’une IAI, ce qui inclut la capacité de reconstituer les avoirs des clients et de faciliter l’accès à ces avoirs. L’ACCOVAM a préparé des lignes directrices pour l’élaboration du plan de continuité d’activité et une liste de vérification détaillée que les membres peuvent utiliser pour établir leur plan, tout en reconnaissant que les plans varieront pour chaque société membre. L’ACCOVAM ou le groupe de vérificateurs utilisera la même liste pour effectuer la vérification des plans individuels. L’article 19 du Statut 17 a été soumis aux ACVM pour approbation et sera publié aux fins de commentaires. Les sociétés membres auront 12 mois pour mettre en place leur plan de continuité d’activité après l’entrée en vigueur du Statut. L’ACCOVAM a ajouté une page sur le PCA dans son site Web sous Renseignements sur l’industrie où les documents relatifs au PCA sont disponibles. Des présentations sur le PCA ont été organisées et d’autres sont prévues pour la SAF, les différents conseils de section et les sociétés membres. Des séances de formation technique sur le PCA sont également en préparation dans différentes régions afin d’aider les sociétés membres à se conformer à cette nouvelle exigence. Nous avons aussi conçu un modèle de PCA pour les courtiers remisiers de l’ACCOVAM, qui sera disponible sur le site Web de l’ACCOVAM une fois finalisé. Dans le cadre de la même initiative, l’ACCOVAM s’est engagée à mettre sur pied un Centre de communication 21 en cas de crise, qui tiendra lieu de centrale pour établir et maintenir les communications avec les membres de l’ACCOVAM en cas d’IAI. Si une telle interruption devait survenir, l’ACCOVAM recueillera l’information auprès des principales sources préalablement identifiées et l’acheminera aux membres en temps utile. Ces sources incluront notamment les sociétés membres de l’ACCOVAM, les ministères, les chambres de compensation, les bourses, la Banque du Canada, les grands fournisseurs de services, etc. À cette fin, l’ACCOVAM utilisera un site Web réservé exclusivement aux sociétés membres, créé pour cet usage. Pour de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Maysar Al-Samadi Vice-président, Normes professionnelles (416) 943 6902 ou [email protected] Traitement direct M. Gerry O’Mahoney, président du conseil d’administration de l’Association canadienne des marchés des capitaux, a annoncé récemment un changement d’attention et de priorités à l’ACMC. Il a déclaré en effet que le conseil d’administration, à sa réunion du 8 juillet 2004, avait décidé de recentrer les activités et les ressources de l’ACMC sur le traitement des opérations institutionnelles. Cet aspect est d’ailleurs l’une des préoccupations soulevées antérieurement par l’un des groupes de travail et comités de l’ACMC. M. O’Mahoney a souligné que les divers groupes de travail de l’ACMC ont fait des progrès considérables à l’égard du plan de travail de l’Association et que les ressources actuellement disponibles devaient être consacrées à l’activité qui profitera le plus et qui pose le plus grand risque au secteur canadien des valeurs mobilières. On peut consulter les statistiques sur le traitement des opérations institutionnelles pour le mois de juin 2004 (June 2004 Institutional Trade Processing Report Card, en anglais uniquement) sur le site Web de l’ACCOVAM, au www.ida.ca, sous l’onglet Renseignements sur l’industrie – Traitement direct/T+1. Les annonces futures au sujet de la restructuration de l’ACMC seront aussi publiées sous cet onglet. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Paul Bourque Premier vice-président, Réglementation des membres (416) 865-3038 ou [email protected] 22 Le faux argument de la concurrence réglementaire Dans le débat concernant les avantages respectifs de la réglementation des valeurs mobilières au niveau fédéral et au niveau provincial, certaines autorités de réglementation provinciales font la promotion de l’idée de la « concurrence réglementaire ». On nous dit que la multiplicité des autorités de réglementation provinciales engendre une concurrence réglementaire qui fait échec à une réglementation excessive et permet le développement et la distribution de produits financiers innovateurs, ce qui ne se produirait pas du tout ou ne se produirait pas aussi facilement s’il y avait une autorité de réglementation fédérale unique. Des opposants préviennent que la concurrence réglementaire aboutit à une « course à obstacles », non à l’innovation et à la rationalisation. Les autorités de réglementation vont être amenées à se faire concurrence pour obtenir le meilleur «prix» du concours, en offrant une réglementation de plus en plus anémique en réponse à des initiatives semblables émanant de cette « concurrence ». Avant d’examiner les résultats de la concurrence réglementaire, il faut se poser une question préliminaire : une concurrence véritable est-elle seulement possible entre des organismes de réglementation publics? Si les autorités de réglementation publiques sont capables de se livrer une concurrence véritable, est-il souhaitable qu’elles le fassent? Les gouvernements peuvent se faire concurrence à l’intérieur de leur territoire ou avec d’autres. Cela signifie que la compétence d’un gouvernement peut être concurrente ou exclusive. John C. Coffee Jr. , dans un article intitulé Competition Versus Consolidation: The Significance of Organizational Structure in Financial and Securities Regulation1, fait une étude approfondie du chevauchement de compétence entre la Securities Exchange Commission et de la Commodities Futures Trading Commission des États-Unis. Il tire la conclusion suivante : « L’histoire des querelles de territoire entre la SEC et la CFTC pendant les années 80 démontre que, lorsque deux organismes ont un chevauchement de compétence sur des produits substituables sur le plan fonctionnel, chacun possède probablement un pouvoir de blocage ou un droit de veto sur les opérations que souhaitent effectuer les participants au marché réglementés par l’autre organisme. Il peut en résulter une perte sèche pour la société, du fait que des opérations qu’on peut présumer efficientes et créatrices du maximum de valeur se trouvent empêchées par ces deux organismes2. » L’histoire de cette rivalité démontre que le résultat d’une telle compétence concurrente n’est pas de la concurrence, mais plutôt des querelles de territoire et finalement une collusion destinée uniquement à perpétuer la souveraineté de chaque organisme à l’intérieur d’un champ d’activité défini 3. L’auteur conclut qu’en règle générale, on observe la collusion des organismes de réglementation et non la concurrence entre eux 4 . Que l’on voie la concurrence des gouvernements à l’intérieur de leur territoire comme impossible ou simplement comme tendant inévitablement à la collusion et au monopole, on aboutit au même résultat : l’absence de concurrence. Les partisans des avantages de la concurrence réglementaire au Canada sont en face d’une situation différente. La concurrence réglementaire peut exister et procurer des avantages, disent-ils, parce que la compétence des gouvernements provinciaux en ce qui concerne la réglementation des valeurs mobilières ne donne pas lieu à un chevauchement. Chaque province est souveraine à l’intérieur de sa compétence législative et constitutionnelle et sur son territoire. Les provinces sont donc libres d’innover en ce qui concerne les moyens de promouvoir les marchés régionaux. Les participants au marché peuvent choisir le territoire qui correspond le mieux à leurs besoins commerciaux et aller s’y établir. Si l’on accepte l’idée que les autorités de réglementation publiques peuvent se faire concurrence entre leurs territoires, la seule façon d’exploiter les avantages de cette concurrence, c’est d’aller s’établir dans le territoire choisi. Toutefois, la décision d’aller s’établir dans un autre territoire est rarement une réaction proportionnée à des différences d’efficience réglementaire. Les coûts d’une telle décision ne seraient probablement pas compensés par les économies relatives à la réglementation et ce facteur ne constituerait probablement qu’un facteur, et probablement pas le plus important, parmi plusieurs autres facteurs pris en compte en vue de décider d’aller s’établir dans un autre territoire. Le choix offert par les autorités de réglementation consiste donc dans le choix d’aller ou non s’établir ailleurs, ce qui équivaut à l’absence de choix. En outre, la plupart des intermédiaires canadiens exercent leurs activités dans plus d’une province, ce qui fait que les avantages offerts par un ensemble de règles sont complètement neutralisés par les coûts découlant de l’obligation de se conformer à un nombre donné, jusqu’à douze, d’ensembles d’autres règles. On a un bon exemple de la façon dont les autorités provinciales de réglementation des valeurs mobilières sont en fait incapables de se faire concurrence dans les initiatives de la Colombie-Britannique en vue de réformer le contenu, plutôt que la structure, de la réglementation des valeurs mobilières. La Colombie-Britannique se propose d’adopter une loi fondée sur les idées exposées dans le document Securities Regulation that Works – The BC Model, publié par la British Columbia Securities Commission en avril 2003. On trouve beaucoup d’éléments innovateurs et dignes d’éloges dans le modèle de la Colombie-Britannique. Notamment, l’idée de l’inscription des seules sociétés de courtage. Comme l’indique la désignation, l’inscription des seules sociétés de courtage simplifiera la complexité des catégories d’inscription différentes d’une province à l’autre et des interprétations différentes de règles semblables en matière d’inscription grâce à l’élimination de l’obligation d’inscription pour les personnes physiques. Il ne s’agit aucunement, fait valoir la Colombie-Britannique, d’ouvrir la porte toute grande aux représentants malhonnêtes et incompétents. Il incombera plutôt aux sociétés de courtage d’embaucher les bons employés, responsabilité qui leur revient naturellement. Des sanctions administratives et civiles renforcées serviront à rappeler aux sociétés l’attention qu’elles doivent porter à leurs pratiques de recrutement. Du moins, c’est là la théorie, et en pratique, cela pourrait même fonctionner. Autrement dit, c’est peut-être un meilleur moyen que le système actuel pour empêcher les représentants malhonnêtes et incompétents de traiter avec le public. Malheureusement, nous ne le saurons jamais. Le modèle de la Colombie-Britannique ne s’appliquera qu’en Colombie-Britannique. Une société de courtage d’Alberta pensant qu’elle peut éliminer les mauvais représentants d’une manière plus efficace que les organismes de réglementation qui reçoivent et examinent actuellement les demandes d’inscription n’aura pas la possibilité d’appliquer ce modèle. Elle peut penser qu’elle pourrait tirer un avantage du nouvel équilibre entre une responsabilité plus grande en matière de recrutement et des coûts d’inscription moindres. Mais elle n’aura pas la possibilité de « choisir » le modèle de la ColombieBritannique. De plus, même les sociétés de courtage qui ont des bureaux en Colombie-Britannique et dans d’autres parties du Canada n’auront pas la possibilité de « choisir » le modèle de la Colombie-Britannique pour elles. Elles devront se conformer à la réglementation des autres 23 territoires et les gains qu’elles pourront réaliser du fait de l’adoption du modèle de la Colombie-Britannique en Colombie-Britannique seront neutralisés par la nécessité de se conformer à la réglementation des autres territoires. Les tentatives de concurrence réglementaire entre les juridictions entraînent inévitablement des incertitudes. La Colombie-Britannique souhaiterait que les ACVM adoptent son modèle. La réglementation par les autorités publiques devrait viser la clarté, la prévisibilité et la certitude. Mais ce sont là des avantages qui découlent de la concertation et de la coopération dans la réglementation, non de la concurrence. L’harmonisation des règles de même que le régime concerté d’examen et de décisions sont à l’opposé de la concurrence. Ce sont également la raison d’être des ACVM. Donc, pour revenir à l’exemple donné auparavant, l’Alberta pourrait choisir d’adopter le modèle de la Colombie-Britannique, mais cela ne donne pas de concurrence. Une fois que l’Alberta a adopté le modèle de la Colombie-Britannique, il n’y a plus de raison d’aller s’établir dans l’autre territoire, parce qu’il n’y a plus de différence. Le résultat inévitable, c’est l’absence de choix, non la concurrence. Une fois qu’on renonce à appliquer aux autorités publiques les notions inappropriées empruntées au secteur privé, on peut voir que la coopération entre les autorités publiques est une bonne chose. Les gouvernements ne se font pas « concurrence ». Ils fournissent des biens et services publics essentiels dans un environnement social complexe et riche en contradictions moyennant un coût, et ce, souvent parce que personne d’autre n’est disposé à fournir ces biens ou services. Plus précisément, dans le domaine de la réglementation, c’est la coopération qui permet d’atteindre les objectifs indiqués ci-dessus : clarté, certitude et prévisibilité. Lorsque des organismes publics se font « concurrence », il en résulte des coûts excessifs, des chevauchements de la réglementation, des lacunes et de l’incertitude. Ce que l’on fait maintenant passer pour de la concurrence réglementaire, c’est simplement un accord entre des autorités de réglementation souveraines pour adopter les idées les unes des autres. C’est une chose excellente, ainsi que je l’ai indiqué, et un objectif que seules les autorités publiques peuvent atteindre, mais ça n’est sûrement pas de la concurrence. Je me dois aussi d’ajouter qu’il n’y a pas de raison de penser qu’une autorité de réglementation fédérale unique serait meilleure pour concevoir des initiatives innovantes en matière de réglementation que les autorités de réglementation des provinces et territoires. Mais elle ne serait pas non plus moins bonne, puisque 24 la concurrence sur le marché mondial persisterait sans égard à la décision que pourrait prendre le Canada de regrouper la réglementation du secteur des valeurs mobilières au sein d’un organisme unique. Dans sa quête d’idées nouvelles, un organisme de réglementation fédéral devrait se tourner vers ses homologues des autres pays, plutôt que vers ses homologues des autres provinces5. Pour que la concurrence existe, il faut que les participants aient le choix. Quel choix les gouvernements provinciaux offrent-ils, du moins en ce qui concerne la loi à laquelle il faut adhérer? Les gouvernements provinciaux sont souverains à l’intérieur de leur compétence législative et constitutionnelle et sur leur territoire. Par contre, des organismes de réglementation privés, comme les organismes d’autoréglementation qui assurent la réglementation des sociétés de courtage, pourraient se faire concurrence. Cela tient au fait que leur compétence dépend de leurs relations contractuelles avec leurs membres, non de leur portée territoriale ou de leurs pouvoirs constitutionnels. En fait, il existe très peu de concurrence réglementaire entre les organismes de réglementation privés au Canada, mais c’est une autre question. Si les autorités de réglementation publiques ne peuvent pas et ne doivent pas se faire concurrence, d’où viennent des notions comme celle de concurrence réglementaire? Il semble qu’elles proviennent des autorités de réglementation elles-mêmes, habituellement dans une tentative de défendre le régime non concurrentiel actuel. Et c’est manifestement ce qui se passe au Canada à la suite de la recommandation du Comité de personnes averties en faveur d’une commission des valeurs mobilières fédérale unique. Il existe de nombreux arguments sérieux et valables en faveur d’une réglementation des valeurs mobilières au niveau provincial ou régional. Mais la concurrence réglementaire n’en est pas un. The Business Lawyer, vol.50, février 1995, p. 447. Ibid., p.465. 3 Ibid., p. 460 à 473. 4 Ibid., p.471 et 472. 5 Voir John C. Coffee Jr., précité, p. 457. 1 2 Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Paul Bourque Premier vice-président, Réglementation des membres (416) 865-3038 ou [email protected] Mise à jour de la réglementation Prochaines modifications des règles Supervision des succursales : Les modifications proposées de l’article 6 du Statut 4 et du Règlement 1300 visent à permettre aux sociétés membres de nommer un superviseur de succursale autre qu’une succursale de détail sans exiger qu’il soit inscrit à titre de directeur de succursale et qu’il possède les compétences requises d’un directeur de succursale relativement à la supervision des comptes de détail. Les changements proposés étaient difficilement compatibles avec les règles dans plusieurs territoires des ACVM. Les modifications proposées de l’article 6 du Statut 4 et du Règlement 1300 ont été retirées et un projet de modification de l’article 9 du Statut 4, qui permettra d’atteindre le même objectif, sera présenté à la réunion du conseil d’octobre 2004. Conflits d’intérêts et priorité des clients : Une version antérieure des règles sur les conflits d’intérêts et la priorité des clients a été approuvée à la réunion du conseil d’octobre 2002 et a été présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Toutefois, sur le fondement des observations reçues des sociétés membres, l’ACCOVAM a procédé à la révision des règles proposées à l’origine. Le personnel de l’ACCOVAM a rencontré les commissions en février et en mai 2004 et divers représentants des membres pour discuter de la proposition révisée, qui restreint la portée du texte publié. Un projet révisé a été approuvé à la réunion du conseil de juin 2004 et a été présenté aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Plan de continuité d’activité : Étant donné les interdépendances complexes des marchés, une perturbation d’activité soudaine risque d’entraîner par un effet de cascade une crise importante sur l’ensemble du marché. Cette question est devenue une préoccupation majeure pour la profession et a fait l’objet de débats abondants, à l’échelon tant national qu’international, particulièrement en réponse aux nouveaux risques graves affrontés depuis les attentats du 11 septembre. L’article 19 du Statut 17 obligerait les sociétés membres à faire des préparatifs adéquats en vue d’affronter des scénarios d’interruption d’activité importante et à être en mesure de reprendre leur activité dans un délai acceptable. La proposition a été approuvée à la réunion du conseil de juin 2004 et a été présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Procédure des audiences de l’ACCOVAM – Modification du Statut 20, modifications accessoires de Statuts et adoption des Règles de procédure : Le Statut 20 a été simplifié et amélioré de manière à 1) mieux refléter les principes de l’équité administrative, 2) regrouper et simplifier la procédure des audiences de l’Association, et 3) obtenir une procédure qui permettra à l’Association de mieux remplir son mandat de réglementation. La nouvelle procédure d’audience et de révision traduit mieux les principes d’efficacité, de transparence, d’équité et de protection du public. Les Statuts 2, 4, 11, 28, 30, 33 et 35 ainsi que le Principe directeur n° 6 ont également été modifiés pour assurer leur conformité avec le Statut 20. Les Règles de procédure de l’ACCOVAM ont été élaborées en vue d’aider les parties et les formations d’audience relativement à la tenue des audiences et aux questions s’y rapportant. La modification du Statut 20 et les modifications accessoires des Statuts 2, 4, 11, 28, 30, 33 et 35 et du Principe directeur n° 6 ainsi que l’établissement de Règles de procédure ont été approuvés à la réunion du conseil d’octobre 2003 et par les commissions de valeurs mobilières le 27 avril 2004. Ces modifications entreront en vigueur le 1er octobre 2004. Méthode du taux de couverture proposée pour les titres de participation : Un groupe de travail du sous-comité de la Formule d’établissement du capital de la SAF a élaboré une nouvelle méthode du taux de couverture qui permet de suivre de près le risque de marché d’un titre individuel et de déterminer un taux de couverture pour le titre en fonction du risque mesuré. La méthode proposée permet de déterminer le risque de marché en mesurant tant le risque de prix que le risque de liquidité, qui composent le risque de marché. La proposition a été approuvée à la réunion du conseil de juin 2001 et a reçu l’approbation de principe de l’ASC, de la BCSC, de la CVMO et de la SSC en février 2002. Le personnel de l’ACCOVAM travaille à l’élaboration d’un programme d’essai pour déterminer l’incidence potentielle de ces propositions sur les sociétés membres de l’ACCOVAM. Couverture des titres cotés sur le CNQ : Par suite de la reconnaissance par la CVMO du CNQ à titre de bourse, les titres cotés sur le CNQ deviendront automatiquement admissibles en couverture. Les émetteurs cotés sur le CNQ sont surtout des sociétés émergentes, et les normes minimales d’inscription à la cote du CNQ sont moins strictes que les normes minimales pour les sociétés de capital de démarrage inscrites à la cote de la Bourse de Toronto ou de la Bourse de croissance TSX. Étant donné ces normes d’inscription à la cote moins strictes (notamment une capitalisation boursière moindre) pour les titres cotés sur le CNQ que pour les sociétés de capital de démarrage cotées sur la Bourse de croissance TSX, 25 lesquelles n’ont aucune valeur d’emprunt, la modification proposée vise à dénier toute valeur d’emprunt aux titres cotés sur le CNQ. Le texte proposé du sousalinéa 2(f)(i) du Règlement 100 a été approuvé à la réunion du conseil de juin 2004 et a été présenté aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Capital et couverture prescrits pour les titres d’organismes de placement collectif marché monétaire : L’article 2 du Règlement 100 traite les titres d’organismes de placement collectif pouvant être vendus par prospectus dans une province du Canada de la même manière que les titres cotés. Dans le cas des organismes de placement collectif marché monétaire, cette règle est trop prudente, puisque les titres sous-jacents à ces organismes de placement collectif comportent par nature un degré de risque moindre que les titres de participation. Les règles de l’ACFM reconnaissent le risque moindre afférent aux titres des OPC marché monétaire en fixant à 5 % la couverture prescrite pour ces titres. La modification proposée de l’article 2 du Règlement 100 permettra une couverture au taux de 5 % pour les positions dans des titres d’OPC marché monétaire, au sens de la Norme canadienne 81-102, détenues dans les comptes de la société membre ou dans les comptes de client. La modification a été approuvée à la réunion du conseil de juin 2004 et a été présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Produits dérivés sur actions et compensations s’y rapportant : Les modifications visent à simplifier la formulation des règles actuelles, à en élargir l’application et à corriger les erreurs qu’elles contiennent, ainsi qu’à accroître le nombre de compensations possibles par l’introduction de nouvelles règles. Les modifications ont été approuvées à la réunion du conseil d’avril 2003 et par les commissions de valeurs mobilières le 7 août 2003. Le personnel de l’ACCOVAM attend la mise en œuvre conjointe avec la Bourse de Montréal. Règles sur les couvertures et le capital à l’égard des engagements de prise ferme : Les modifications initiales de l’article 5 du Règlement 100 ont été approuvées par le conseil en juin 1999. Le personnel de l’ACCOVAM et le personnel de la Commission des valeurs mobilières du Québec ont convenu des modifications suivantes. Le seul changement important par rapport au projet de modification initial est le suivant : la couverture réglementaire habituelle pour les nouvelles émissions ayant un taux de couverture de 50 % pendant les opérations courantes sur le marché secondaire passera à 40 % (soit 80 % de la couverture prescrite habituelle actuelle) plutôt qu’à 30 % suivant le projet de modification initial (soit 26 60 % de la couverture prescrite habituelle actuelle). L’article 5 du Règlement 100 a été approuvé à la réunion du conseil de janvier 2004 et par les commissions de valeurs mobilières le 13 avril 2004. Le personnel de l’ACCOVAM attend la mise en œuvre conjointe avec la Bourse de Montréal. Définition du « taux de couverture flottant » : Une proposition d’établir un « taux de couverture flottant » ou variable a été approuvée lors de la réunion du conseil de juin 2003, dans le but de mieux prendre en compte le risque lié aux positions des sociétés membres et des clients sur les produits indiciels cotés. La définition du terme « taux de couverture flottant » exposée au sousalinéa 9(a)(x) du Règlement 100 précise la méthode de calcul de ce taux (sur la base d’indicateurs du risque de cours et du risque de liquidité) et les circonstances dans lesquelles le taux doit être changé. La méthode de calcul exposée dans la définition actuelle comprend un coussin de 0,50 %, qui visait à limiter le nombre de changements du taux de couverture et, par là, le fardeau imposé aux sociétés membres. La modification proposée consiste à éliminer le coussin de 0,50 % qui est actuellement intégré dans la méthode de calcul du « taux de couverture flottant ». La modification du sous-alinéa 9(a)(x) du Règlement 100 a été approuvée à la réunion du conseil d’avril 2004 et elle a été présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Capital et couverture prescrits pour les options position acheteur : Dans le cadre de la refonte en cours des règles sur la couverture et le capital applicables aux titres et aux dérivés portant sur des titres, des modifications des articles 9 et 10 sont proposées en vue de réviser le capital prescrit pour certaines positions acheteurs dans des contrats d’options et pour les compensations concernant ces positions et d’aligner la couverture prescrite pour les clients sur ces règles modifiées concernant le capital. Les modifications proposées visent à refléter plus exactement le risque lié à la détention d’options position acheteur en attribuant une valeur 1) à la portion « en dedans du cours » de la valeur au marché de l’option position acheteur lorsqu’elle est supérieure à la couverture normale sur le titre sous-jacent, et 2) à la portion « valeur temps » de la valeur au marché de l’option position acheteur lorsque la date d’échéance de l’option est dans 9 mois ou plus. Des modifications correspondantes et des modifications techniques ont été apportées aux règles sur les compensations. Les modifications proposées des articles 9 et 10 du Règlement 100 ont été approuvées à la réunion du conseil de juin 2004 et ont été présentées aux commissions de valeurs en vue de l’approbation. Autorisation de l’utilisation facultative des systèmes TIMS ou SPAN à des fins réglementaires : À l’heure actuelle, les couvertures réglementaires pour les instruments dérivés sont calculées suivant une formule fondée sur les stratégies. Les modifications proposées de l’article 10 du Règlement 100 ont pour but d’autoriser l’utilisation des systèmes TIMS ou SPAN pour calculer les couvertures prescrites des positions sur produits dérivés détenus par les sociétés membres. Ces systèmes permettent d’évaluer plus efficacement le risque d’un portefeuille d’instruments dérivés et de faire concorder plus étroitement les exigences réglementaires de capital avec le risque de marché inhérent aux stratégies de couverture employées par les sociétés membres. De plus, les modifications devraient permettre aux sociétés membres de réduire les couvertures prescrites sans que l’intégrité des marchés de capitaux ne subisse de contrecoup défavorable. Les modifications proposées de l’article 10 du Règlement 100 ont été approuvées à la réunion du conseil de janvier 2004 et par les commissions de valeurs mobilières le 14 juin 2004. Le personnel de l’ACCOVAM attend la mise en œuvre conjointe avec la Bourse de Montréal. Obligation de faire parvenir aux clients des relevés trimestriels : À l’heure actuelle, la fin d’exercice de certaines sociétés membres ne correspond pas à la fin d’un trimestre civil. Étant donné que les sociétés membres sont tenues de produire des relevés à la fin de chaque trimestre civil et à la fin de l’exercice aux fins de vérification externe, elles envoient annuellement au moins cinq jeux de relevés aux clients qui ont un solde monétaire ou des titres. La modification proposée de l’article 1(c) du Règlement 200 a pour but de fixer à quatre le nombre minimum d’envois annuels aux clients pour toutes les sociétés membres. La modification proposée a été approuvée à la réunion du conseil de janvier 2004 et présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Modification des exigences relatives à l’assurance : Une modification d’ordre administratif a été apportée aux exigences relatives à l’assurance pour supprimer toute mention de l’assurance postale à l’article 2 du Règlement 400, Police d’assurance des institutions financières, Clause (C) – En transit, ainsi qu’à l’alinéa 5(a) du même règlement. Cette modification donne une définition plus concise de ce qui doit être couvert par la police d’assurance des institutions financières et élimine toute confusion au sujet de ce qui doit être couvert par la police d’assurance postale. La modification a été approuvée à la réunion du conseil de janvier 2001 et approuvée par les commissions de valeurs mobilières. Le personnel de l’ACCOVAM attend maintenant la mise en œuvre conjointe avec la Bourse de Montréal. Allers-retours dans la journée : Avant l’élaboration de ces propositions, il n’y avait pas de statut ou de règlement traitant des questions particulières que posent les allers-retours dans la journée (il s’agit du day trading, auparavant appelé spéculation sur séance). Vu qu’un certain nombre de sociétés faisant la promotion des allers-retours dans la journée souhaitaient devenir membres de l’Association et qu’il s’agit d’une activité très risquée, il était manifeste qu’il fallait des règles en la matière adaptées aux préoccupations particulières de protection des investisseurs que suscite cette activité. Les modifications proposées définissent les obligations des membres en ce qui concerne les points suivants : • s’assurer qu’un compte d’allers-retours dans la journée convient à un client particulier avant de lui ouvrir un tel compte; • prévenir les clients des risques liés aux allersretours dans la journée; • protéger le client contre la perte financière par la mise en œuvre de limites strictes sur l’effet de levier, sous la forme d’exigences de couverture. Le projet de règlement 2500 initial a été approuvé à la réunion du conseil de juin 2001 et les commissions de valeurs mobilières ont formulé des observations additionnelles. Par la suite, le projet de règlement 2500, Allers-retours dans la journée, le projet d’article 22 du Règlement 100, Couverture prescrite pour les expositions intra-journalières et le projet de principe directeur no 10, Couverture prescrite pour certains comptes de client comportant des expositions intrajournalières ont été approuvés à la réunion du conseil d’octobre 2003 et par les commissions de valeurs mobilières le 29 juin 2004. Le personnel de l’ACCOVAM attend la mise en œuvre conjointe avec la Bourse de Montréal. Normes minimales pour les comptes institutionnels : Le sous-comité des services institutionnels de la SAJC a rédigé le Principe directeur n° 4, qui définit les normes minimales du secteur en matière de surveillance des comptes institutionnels. Le Principe directeur a été approuvé une première fois à la réunion du conseil d’avril 2003. Le personnel des commissions de valeurs mobilières et le personnel de l’ACCOVAM se sont réunis récemment pour discuter des questions qui restent. Le personnel de l’ACCOVAM travaille à l’élaboration de certaines modifications du Principe directeur à partir des commentaires formulés par les commissions et présentera ces modifications au souscomité des services institutionnels et à la SAJC sous peu. 27 Compétences et formation : Les parties I et II du Principe directeur no 6 ont été modifiées pour reconnaître des cours additionnels et ajouter des exemptions sans diminuer la rigueur des règles actuelles concernant les compétences, pour éliminer des règles et des renvois périmés et pour ajouter des dispositions sur les droits à payer pour les demandes d’exemption. Les modifications apportent également un certain nombre de corrections d’ordre terminologique, syntaxique et grammatical au texte actuel et mettent à jour les renvois aux Statuts et Règlements. Les modifications proposées des parties I et II ont été approuvées à la réunion du conseil de juin 2004 et ont été présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. retraite étrangères est calculée de la même manière que la couverture des clients de détail. Les modifications proposées élimineraient ou réduiraient considérablement les couvertures prescrites applicables aux caisses de retraite étrangères, qui seraient désormais admissibles comme institutions agréées ou contreparties agréées. La diminution des couvertures prescrites permettra aux sociétés membres d’obtenir plus rapidement des capitaux auprès d’un groupe de contreparties de prêt de titres étrangers sans que leur solvabilité ou celle de leurs clients ne soit touchée de façon défavorable. Les modifications proposées ont été approuvées à la réunion du conseil de janvier 2004 et présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Pénalité pour concentration : Les modifications proposées du Formulaire 1, soit le tableau 15, établiront des limites pour l’exposition d’une société membre de l’ACCOVAM à une ou plusieurs contreparties sans lien de dépendance. Les expositions excédant ces limites déclencheront une pénalité pour la société membre qui sera fonction de l’accroissement du risque dû à la concentration. Cette pénalité s’appliquera à l’endroit de toutes les contreparties, et non des seules « institutions agréées », du fait que le risque de concentration peut augmenter dans les opérations avec tout type de contrepartie. Les modifications ont été approuvées en principe par les commissions de valeurs mobilières. La prochaine étape consistera à réaliser des essais dans le secteur pour déterminer l’incidence financière/opérationnelle potentielle de cette proposition sur les sociétés membres. Pénalité pour concentration de titres à l’égard de positions de titres indiciels diversifiés : Le Tableau 9 du Formulaire 1 exige la présentation des dix positions d’émetteurs les plus importantes du point de vue de la valeur d’emprunt de façon à pouvoir déterminer s’il y a possession d’une trop grande quantité d’un titre du même émetteur et s’il y a lieu d’appliquer une pénalité pour concentration. Lorsqu’il s’agit d’apprécier si l’exposition à un émetteur en particulier pose problème, l’exposition combinée des titres en stock et du « montant du prêt » du compte du client est calculée et comparée au capital régularisé en fonction du risque de la société membre. Les produits indiciels diversifiés cotés sont devenus auprès des sociétés membres et de leurs clients des instruments populaires et présentent l’avantage de réduire à la fois le risque lié à l’émetteur et le risque lié au secteur que peut entraîner la possession de titres individuels. Il s’ensuit donc que les titres indiciels diversifiés devraient être traités différemment lorsqu’il s’agit de déterminer s’ils présentent un risque lié à l’émetteur qui est important pour une société membre. Les modifications proposées visent à ouvrir aux sociétés membres l’option de traiter des positions de produits indiciels diversifiés de la même manière que les titres indiciels du panier sous-jacent aux fins de l’évaluation de la concentration des titres. Les modifications proposées du Tableau 9 du Formulaire 1 ont été approuvées à la réunion du conseil de juin 2004 et ont été présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Exigences de capital relatives aux arrangements de garde : Des propositions ont été mises au point pour modifier les exigences de capital actuelles dans la situation où le dépositaire serait admis comme lieu agréé de dépôt de valeurs n’était du fait que la société membre n’a pas passé de convention de garde écrite avec lui. Il est jugé que les exigences de capital proposées tiennent mieux compte du risque de ne pas avoir de convention de garde dans cette situation, tout en maintenant une incitation suffisante pour le membre à signer la convention de garde standard. Les modifications ont été approuvées à la réunion du conseil d’octobre 2002 et par les commissions de valeurs mobilières. Le personnel de l’ACCOVAM attend la mise en œuvre conjointe avec la Bourse de Montréal. Autorisation pour les caisses de retraite étrangères d’obtenir le statut d’« institution agréée » ou de « contrepartie agréée » – Formulaire 1 : Les règles actuelles de l’Association ne reconnaissent pas expressément les caisses de retraite étrangères comme étant des « institutions agréées » ou des « contreparties agréées » aux fins du risque de crédit. Par conséquent, la couverture de la plupart des caisses de 28 Règles en cours d’élaboration Statut 19 : La Section des affaires juridiques et de la conformité a établi un sous-comité chargé de l’aider à élaborer des règles plus efficaces dans le domaine des examens de conformité et des enquêtes. Statut 39 : Un sous-comité a été établi en vue d’étudier la question de la constitution d’une société par actions comme autre formule possible de montage de la rela- tion commerciale à côté de la relation employeuremployé ou mandant-mandataire. Formulaire 2 : Le sous-comité du Formulaire 2 travaille à définir les normes minimales pour la documentation d’ouverture de compte, qui viendrait remplacer le formulaire obligatoire. Il établira des normes minimales pour les comptes de détail, les comptes de courtier exécutant et les comptes institutionnels. Planification financière : Un comité a été constitué pour établir les normes minimales de surveillance de l’activité de planification financière exercée par les sociétés membres. Principe directeur n° 5 : Un sous-comité mixte de la Section des affaires juridiques et de la conformité et du Comité sur les marchés des capitaux révise le Principe directeur no 5 en vue de définir de façon plus détaillée les types d’activités interdites sur les marchés de titres d’emprunt pour les investisseurs institutionnels et à exposer de façon plus explicite les attentes en matière de conformité. Marchés de titres d’emprunt de détail : La Section des affaires juridiques et de la conformité a constitué un sous-comité chargé d’examiner les questions de conformité sur le marché des titres d’emprunt de détail, comme les majorations et la meilleure exécution. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Richard Corner Vice-président, Politique réglementaire (416) 943-6908 ou [email protected] 29 Mise en application : Décisions en matière disciplinaire Mark Spowart (No 3280/04) Contravention : A admis que, en août 2002 ou vers cette période : • il a contrefait la signature de 7 clients sur diverses lettres d’autorisation concernant des transferts de titres et a également garanti la signature de 20 clients sans certification ou sans authentification correcte des signatures; • il a effectué une opération non autorisée dans un compte de client. Sanction : amende de 25 000 $, cette amende devant comprendre la restitution nette des commissions; interdiction de recevoir l’autorisation en vue de l’inscription pour une période de trois ans; surveillance étroite pendant une période d’un an; frais de 12 554,75 $. James Michael Brennan (No 3281/04) Contravention : A admis que : • en avril 2003 ou vers cette période, il a préparé un faux formulaire d’attestation du cours Techniques de gestion des placements, puis a présenté ou fait présenter ce faux formulaire à l’Association en vue de l’autorisation de son inscription; • en novembre 2000 ou vers cette période, il a préparé une fausse attestation du cours relatif au Manuel sur les normes de conduite, puis a présenté ou fait présenter ce faux formulaire à l’Association en vue de l’autorisation de son inscription; • le 21 juillet 1998 ou vers cette date, il a présenté ou fait présenter à la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario une demande uniforme d’inscription/d’autorisation dans laquelle il disait avoir obtenu un baccalauréat en sciences sociales de l’Université d’Ottawa, alors qu’il savait ou aurait dû savoir qu’il n’avait pas obtenu ce diplôme; et • entre octobre 2001 et juillet 2003, il s’est présenté faussement à ses clients comme planificateur financier agréé et gestionnaire accrédité en placement et a employé les abréviations correspondantes, alors qu’il savait ou aurait dû savoir qu’il n’avait pas obtenu ces titres. Sanction : amende de 5 000 $; interdiction de recevoir l’autorisation en vue de l’inscription pour une période de cinq ans; passer à nouveau tous les examens 30 pertinents s’il demande d’être inscrit en vue d’exercer la profession; frais de 7 500 $. Edward Ing (No 3283/04) Contravention : Le conseil de section de l’Ontario a conclu que M. Ing n’avait pas surveillé adéquatement les opérations effectuées par John Illidge et qu’il ne s’était pas acquitté de ses fonctions à titre de chef des finances de St. James Securities Inc. d’une manière prudente et responsable. Sanction : amende de 175 000 $; interdiction permanente d’autorisation à titre d’associé, d’administrateur ou de dirigeant de tout membre de l’Association et interdiction permanente d’autorisation à toute fonction de surveillance au sein de l’Association; frais de 75 000 $. Brant Securities Limited (No 3284/04) Contravention : A admis que : • elle n’a pas répondu dans des délais raisonnables aux préoccupations exprimées par l’Association au sujet de la conception, de l’établissement, de la surveillance et de la mise en œuvre d’un programme efficace de conformité des ventes visant à assurer la conformité à la réglementation; • elle n’a pas maintenu des procédures de surveillance adéquates conformément au Principe directeur no 2 de l’Association; • elle n’a pas fait preuve, à de nombreuses reprises, de la diligence voulue pour connaître les faits essentiels relatifs à certains clients ainsi qu’aux ordres ou comptes acceptés, et pour veiller à ce que l’acceptation de ces ordres ou comptes soit dans les limites d’une saine pratique des affaires; et • elle a omis dans de nombreux cas d’établir l’identité de clients et de prendre des renseignements sur les opérations effectuées, comme l’exigeait le paragraphe 1.5(1) de la Rule 31 505, établie en vertu de la Loi sur les valeurs mobilières, L.R.O., ch. S. 5, modifiée. Sanction : amende de 220 000 $; frais de 60 000 $. Keith McMeekin (No 3284/04) Contravention : A admis que : • il ne s’est pas acquitté de ses fonctions et responsabilités pour veiller à ce que le membre se conforme à la réglementation de l’Association; • il ne s’est pas acquitté de ses fonctions et responsabilités pour veiller à ce que Brant respecte les engagements pris à l’égard de l’Association d’instaurer et de mettre en œuvre des procédures visant à assurer la conformité à la réglementation de l’Association; et • il a omis dans de nombreux cas d’établir l’identité de clients et de prendre des renseignements sur les opérations effectuées, comme l’exigeait le paragraphe 1.5(1) de la Rule 31 505, établie en vertu de la Loi sur les valeurs mobilières, L.R.O., ch. S. 5, modifiée. Sanction : amende de 35 000 $. Hugh Jackson Jr. (No 3284/04) Contravention : A admis que : • il ne s’est pas acquitté de ses fonctions et responsabilités pour veiller à ce que le membre se conforme à la réglementation de l’Association; • il ne s’est pas acquitté de ses fonctions et responsabilités pour veiller à ce que Brant respecte les engagements pris à l’égard de l’Association d’instaurer et de mettre en œuvre des procédures visant à assurer la conformité à la réglementation de l’Association; et • il a omis dans de nombreux cas d’établir l’identité de clients et de prendre des renseignements sur les opérations effectuées, comme l’exigeait le paragraphe 1.5(1) de la Rule 31 505, établie en vertu de la Loi sur les valeurs mobilières, L.R.O., ch. S. 5, modifiée. Sanction : amende de 35 000 $. John Davies (No 3284/04) Contravention : A admis que : • il ne s’est pas acquitté de ses fonctions et responsabilités pour veiller à ce que Brant se conforme à la réglementation de l’Association; Sanction : amende de 25 000 $. Andreas Felix Kiedrowski (No 3287/04) Contravention : A admis que : • entre janvier 1995 et mai 1997, il a fait défaut de fournir à un client des renseignements objectifs et impartiaux concernant ses placements dans TeeComm Electronics Inc. Sanction : amende de 25 000 $; interdiction d’autorisation à toute fonction de surveillance pour une période de 3 ans; passer à nouveau et réussir l’examen fondé sur le MNC; pour obtenir de nouveau l’autorisation de l’Association en vue d’exercer une fonction de surveillance, passer à nouveau et réussir l’examen fondé sur le Cours à l’intention des directeurs de succursale; frais de 7 500 $. David Lewis Silcoff (No 3291/04) Contravention : A admis que, entre le 5 août 1999 et le 30 mai 2001 : • il a inscrit des objectifs de placement pour deux comptes de clients qui étaient incompatibles avec les objectifs indiqués et les renseignements fournis par ces derniers; • il a effectué des opérations discrétionnaires dans les comptes de deux clients sans l’autorisation écrite préalable de ces derniers et sans que les comptes aient été formellement autorisés et acceptés comme comptes carte blanche; • il a acheté et vendu des actions sans commencer par obtenir le paiement de ces actions, pratique appelée le resquillage (free-riding); • il a fait changer l’adresse de trois comptes de clients de façon à ce que les relevés de compte ne parviennent pas à ces derniers; • il a fait des déclarations fausses au sujet de la valeur de deux comptes et a créé un faux document revêtant la forme d’un relevé de compte; et • en deux occasions, il a détourné des sommes d’un compte et les a transférées dans un autre compte afin de cacher des pertes et a contrefait une signature pour cacher le fait qu’il avait détourné des fonds. Sanction : interdiction permanente d’autorisation; amende de 375 000 $; remboursement de commissions de 7 240,99 $; frais de 40 000 $. John Craig Dunn (No 3288/04) Contravention : Pendant qu’il était directeur de succursale d’un membre de l’Association, il a : • autorisé une personne non inscrite à accomplir des opérations sur titres et omis de surveiller les comptes de clients. Pendant qu’il était représentant inscrit d’un membre de l’Association, il a : • omis de faire preuve de la diligence voulue pour veiller à ce que les recommandations formulées relativement à un compte de client conviennent à la situation du client et correspondent à ses objectifs 31 de placement, et fait défaut de fournir à des clients de l’information objective ou impartiale concernant leurs placements dans Tee-Comm Electronics Inc. Sanction : amende de 100 000 $; interdiction permanente d’autorisation à toute fonction de surveillance; passer à nouveau et réussir l’examen fondé sur le MNC; frais de 15 000 $. Glen Kau-Lee Fung (No 3295/04) Contravention : A admis que : • il a autorisé René Arthur Girard (M. Girard), un représentant inscrit, à ouvrir un compte pour une cliente, résidente de la province de la Saskatchewan à toutes les époques en cause, et à être responsable de ce compte sans être dûment inscrit en quelque qualité que ce soit dans cette province, omettant ainsi d’assurer une surveillance adéquate des activités de M. Girard; et • il a omis de contrôler adéquatement les opérations de négociation effectuées par M. Girard dans le compte d’un client afin de s’assurer que les recommandations faites relativement au compte de ce client convenaient à ce dernier et à ses objectifs de placement. Sanction : amende de 25 000 $; passer à nouveau et réussir l’examen fondé sur le Cours à l’intention des directeurs de succursale; frais de 4 500$. Jean Laroche (No 3297/04) Contravention : A admis que : • sur un formulaire de mise à jour de la convention de compte d’une cliente, il a modifié les objectifs de placement et la tolérance au risque de la cliente qui étaient indiqués sur la convention de compte initiale signée par elle, sans le consentement et à l’insu de celle ci; et • il a imité la signature de la cliente sur le formulaire de mise à jour de la convention de compte. Sanction : amende de 25 000 $; interdiction d’autorisation pour une période de 12 mois; passer à nouveau et réussir l’examen fondé sur le MNC; surveillance stricte pour une période de 12 mois; frais de 5 000 $. 32 Elefterois (Larry) Aligizakis (No 3299/04) Contravention : A admis que : • il a confirmé à son client que la vente de 20 000 actions de Goldbrook Ventures Inc. avait été effectuée dans son compte alors qu’il savait que l’opération en question n’avait pas été enregistrée; • il a inscrit délibérément de faux renseignements dans le FDOC d’une cliente afin que les opérations dans le compte de celle-ci, qui autrement auraient pu paraître inappropriées pour la cliente si les bons renseignements avaient figuré dans son FDCO, ne soulèvent pas de question de la part du personnel de supervision et de conformité de la société membre; • il a effectué 7 opérations discrétionnaires dans le compte d’un client sans l’autorisation écrite préalable de celui-ci et sans que le compte ait été dûment approuvé et accepté comme un compte carte blanche par la société membre; et • il a effectué 9 achats discrétionnaires et 9 ventes discrétionnaires dans le compte d’un client sans l’autorisation écrite préalable de celui-ci et sans que le compte ait été dûment approuvé et accepté comme un compte carte blanche par la société membre. Sanction : amende de 25 000 $; suspension de l’autorisation pour une période de 9 mois; surveillance étroite pour une période de 12 mois; passer à nouveau et réussir l’examen fondé sur le MNC; frais de 7 000 $. Alex Gurion (No 3300/04) Contravention : Le conseil de section de l’Ontario a conclu que M. Gurion avait détourné une somme de plus de 350 000 $ du compte d’une cliente âgée de 90 ans, en octobre 2001. Sanction : amende de 150 000 $; remboursement de commissions de 353 587 $; interdiction permanente d’autorisation; frais de 17 000 $. KingsGate Securities Limited (No 3301/04) Contravention : A admis que : • elle a négligé de maintenir un capital régularisé en fonction du risque supérieur à zéro entre le 2 juillet et le 11 août 2003; • elle a négligé d’établir et de maintenir des contrôles internes adéquats entre mars et août 2003; et • elle a exploité quatre sous-succursales entre le 16 avril 2002 et le 9 septembre 2003 sans informer l’Association par écrit de son intention d’établir ces sous-succursales ou de désigner un superviseur pour ces sous-succursales. Sanction : amende de 40 000 $; frais de 10 000 $. Donnelle John Loryn Loewen (No 3303/04) Contravention : Le conseil de section du Manitoba a conclu que M. Loewen avait contrevenu à l’article 5 du Statut 19 de l’Association en refusant ou en négligeant d’être présent et de fournir des renseignements relativement à une enquête menée par le service de la Mise en application de l’Association. Sanction : amende de 50 000 $; interdiction permanente d’autorisation; frais de 6 020 $. Harry Migirdic (No 3305/04) Contravention : Le conseil de section du Québec a conclu que M. Migirdic avait : • effectué des opérations discrétionnaires dans le compte de cinq clients à l’insu et sans l’autorisation de ces derniers et alors que ces comptes n’avaient pas été autorisés ni acceptés par écrit comme comptes carte blanche par Marchés mondiaux CIBC Inc. (CIBC); • modifié les objectifs de placement, les facteurs de risque et la valeur nette totale dans la mise à jour du profil de deux clients à l’insu et sans le consentement de ces derniers; • assumé la responsabilité de la baisse de valeur du portefeuille d’un client et offert à ce dernier de le dédommager pour les pertes qu’il avaient subies, à l’insu et sans le consentement ni l’autorisation de CIBC; • obtenu, par un faux semblant, la signature de clients pour des conventions de garantie de compte données en faveur d’autres clients; • omis d’indiquer dans les mises à jour de profils de clients que leur compte garantissait le compte d’autres clients et que ces autres clients avaient un intérêt financier dans le compte des premiers; et • accepté une procuration falsifiée à l’égard du compte d’un client, sachant que ladite procuration n’avait pas été signée par le propriétaire véritable du compte. Sanction : interdiction permanente d’autorisation; amende de 305 000 $; frais de 55 000 $. David Loftus (No 3306/04) Contravention : A admis que : • entre septembre 1999 et janvier 2000 inclusivement, il a omis de s’assurer que des investissements dans le cadre d’un placement privé effectués au nom de deux clubs de placement respectaient les dispositions de la Loi sur les valeurs mobilières, L.R.O., ch. S. 5, modifiée. Sanction : amende de 25 000 $; interdiction de l’autorisation à toute fonction pour une période de huit semaines; passer à nouveau et réussir l’examen fondé sur le MNC; frais de 7 500 $. Robert Binnington (No 3307/04) Contravention : A reconnu que : • entre novembre 1998 et juillet 2002, il a détourné un montant total d’environ 1,2 million de dollars US et 410 000 $CA de trois clients; • entre janvier 1999 et décembre 2002, il a remis à ces trois mêmes clients des relevés de compte mensuels fictifs; • pour les années 1999, 2000, 2001 et 2002, il a forgé des documents fiscaux fictifs pour un client; • en mai 2001, il a indemnisé l’un des trois clients dépossédés en lui remettant 2 millions de dollars, somme qui excédait les fonds détournés; et • entre octobre 1999 et août 2002, il a indemnisé ou convenu d’indemniser deux autres clients pour les pertes subies dans leurs comptes. Sanction : interdiction permanente d’autorisation; amende de 435 000 $; frais de 10 000 $. Richard Scott Latta (No 3308/04) Contravention : Le conseil de section de la NouvelleÉcosse a conclu que M. Latta avait : • donné une information fausse à un employé d’une institution financière et à sa cliente au sujet de la valeur du compte de celle-ci; • fait défaut de veiller à ce que l’utilisation de la marge dans les comptes d’une cliente convienne à celle-ci et corresponde à ses objectifs de placement et à sa situation personnelle; et • représenté une cliente en Colombie-Britannique sans avoir été dûment inscrit à cette fin. Sanction : interdiction de présenter une nouvelle demande d’autorisation pour une période d’un an; amende de 35 000 $; passer à nouveau et réussir l’examen fondé sur le MNC; frais de 10 000 $. 33 Haralambos Pandelidis (No 3309/04) John Patrick O’Malley (No 3313/04) Contravention : Le conseil de section de l’Alberta a conclu que M. Pandelidis n’avait pas coopéré à une enquête et ne s’était pas présenté à une entrevue menée par l’Association. Le conseil lui a ordonné de démontrer, dans un délai de 60 jours à compter de la date de l’audience, son intention de coopérer à l’enquête de l’Association dans cette affaire, notamment en se présentant à une entrevue avec le personnel de l’Association et en produisant les documents que celuici pourrait demander. Sanction : amende de 50 000 $; suspension de l’autorisation pour une période de 60 jours; frais de 3 000 $. Contravention : Le conseil de section de l’Ontario a conclu que M. O’Malley a eu une conduite inconvenante ou préjudiciable aux intérêts du public, en contravention de l’article 1 du Statut 29, du fait qu’il n’a pas respecté une ordonnance du conseil de section. Le 24 octobre 2003, le conseil de section avait imposé à M. O’Malley une amende de 10 000 $ payable dans les six mois. Cette sanction avait été imposée à la suite d’une audience tenue le 20 juillet 2003, au cours de laquelle M. O’Malley avait reconnu avoir enfreint l’article 5 du Statut 19 en ne coopérant pas avec l’Association. James Donald Wooster (No 3311/04) Contravention : Le conseil de section du Pacifique a conclu que M. Wooster avait : • modifié, à deux reprises, les objectifs du compte au comptant et du compte REER d’une cliente, exposés dans les formulaires de demande d’ouverture de compte pertinents, à l’insu ou sans le consentement de celle-ci; • effectué au total dix opérations non autorisées dans le compte REER et dans le compte sur marge d’une cliente; • donné à un client des renseignements faux sur la situation de certains fonds se trouvant dans le compte sur marge de ce dernier; • fourni des renseignements faux à son employeur au sujet du compte sur marge d’un client; • omis de faire preuve de la diligence voulue pour connaître les faits essentiels relatifs à une cliente; • rempli un seul formulaire de demande d’ouverture de compte pour mettre à jour à la fois le formulaire de demande d’ouverture de compte relatif au compte au comptant et celui relatif au REER d’une cliente; • recommandé à sa cliente d’effectuer pour son compte au comptant, son compte REER et son compte sur marge des achats de titres qui s’écartaient déraisonnablement de ses objectifs de placement pour ces comptes; et • recommandé à une cliente l’achat de certains titres particuliers qui ne convenaient pas à celle-ci. Sanction : amende de 105 000 $; passer à nouveau et réussir l’examen fondé sur le MNC; interdiction de toute nouvelle autorisation à un titre quelconque auprès de l’Association pour une période de 3 ans; frais de 40 000 $. 34 M. O’Malley n’a pas payé l’amende et n’a pas répondu aux demandes d’information du personnel de l’Association pour justifier son incapacité de payer. Il n’a pas envoyé de réponse relativement aux allégations de contravention à l’article 1 du Statut 29 et ne s’est pas présenté ni ne s’est fait représenter par un avocat à l’audience du 19 juillet 2004. Sanction : interdiction permanente d’autorisation. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Alex Popovic Vice-président, Mise en application (416) 943-6904 ou [email protected] Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières L’Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières est l’organisme national d’autoréglementation et de représentation du secteur des valeurs mobilières. L’Association a pour mission de protéger les investisseurs et de favoriser l’efficacité et la compétitivité des marchés des capitaux canadiens. Site Web www.ida.ca Ligne info-plaintes (877) 442-4322 Toronto Bureau 1600 121, rue King Ouest Toronto (Ontario) M5H 3T9 Tél. : (416) 364-6133 Téléc. : (416) 364-0753 Vancouver Bureau 1325 C.P. 11614 650, rue Georgia Ouest Vancouver (C.-B.) V6B 4N9 Tél. : (604) 683-6222 Téléc. : (604) 683-3491 Montréal Bureau 2802 1, Place Ville Marie Montréal (Québec) H3B 4R4 Tél. : (514) 878-2854 Téléc. : (514) 878-3860 Calgary Bureau 2300 355, 4e Avenue S.-O. Calgary (Alberta) T2P 0J1 Tél. : (403) 262-6393 Téléc. : (403) 265-4603 Halifax Suite 1620, Centre TD 1791, rue Barrington Halifax (Nova Scotia) B3J 3K9 Tél. : (902) 423-8800 Téléc. : (902) 423-0629 This report is available in English.