Patti smith joue Horses P atti s mith joue Horses
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Patti smith joue Horses P atti s mith joue Horses
samedi 22 janvier – 20H D ans le cadre du Domaine privé Patti Smith, du lundi 17 au samedi 22 janvier à la Cité de la musique. Patti Smith joue Horses | Samedi 22 janvier Patti Smith joue Horses Chanteuse engagée, poétesse intransigeante, voix de la colère ou de l’intimité : à l’occasion d’un Domaine privé qui lui est consacré, portrait de Patti Smith, une artiste qui n’est jamais là où on l’attend. Cité musiques : Pourquoi avoir décidé d’écrire votre première autobiographie, Just Kids ? Patti Smith : Le jour où Robert Mapplethorpe est mort, en mars 1989, je lui ai fait la promesse d’écrire ce livre. Il y est question en particulier de nos débuts, lorsque nous étions jeunes et que personne ne nous connaissait, j’étais donc la seule à pouvoir l’écrire. J’ai éprouvé beaucoup de souffrance à devoir rassembler tous ces souvenirs de quelqu’un que j’ai aimé et que j’ai perdu. Je l’ai donc écrit non pas comme un livre ordinaire mais pour rembourser ma dette envers Robert. Pensez-vous que vous seriez devenue artiste si vous ne l’aviez pas rencontré en 1967 ? P. S. : Sans doute, car j’ai désiré être une écrivaine et une artiste dès mon plus jeune âge. Mais Robert est la première personne à m’avoir encouragée, à avoir cru en moi et en mon travail. L’art était si important pour nous deux que nous avons fait en sorte de vivre notre relation en harmonie avec notre pratique artistique, en essayant de nous magnifier artistiquement l’un par rapport à l’autre. Entre nous, le sexe était merveilleux mais nous n’avons pas tout basé sur notre relation sexuelle, il y avait beaucoup de confiance, d’admiration mutuelle, et cela s’est perpétué lorsque nous n’étions plus ensemble. Au départ vous vouliez être poète. À quel moment la musique est-elle apparue comme un meilleur moyen d’expression que la poésie ? P. S. : Lorsque j’ai compris qu’à travers le rock’n’roll je serais en mesure de toucher un plus grand nombre de gens. Je ne pense pas que la musique soit un meilleur moyen d’expression, mais c’est un moyen plus direct, plus populaire. Il m’est arrivé de faire des choses pour moi-même, sans penser à toucher un maximum de gens, simplement pour animer mes pulsions créatives. Mais, à travers ma musique, mon but a toujours été d’entrer en communication avec le plus de personnes possible. Lorsque je dessine ou lorsque je fais des photos, c’est un processus plus égoïste, j’ai toujours eu besoin des deux. À la fin des années 60, la chanson des Byrds « So You Want to Be a Rock’n’roll Star » aura un impact énorme sur vous. P. S. : Quand je l’ai entendue, cela m’a touchée d’une manière étrange, je ne saurais expliquer pourquoi. Huit ans plus tard je l’ai enregistrée, je la jouais sur scène, elle était devenue mienne car elle parlait de l’aspect le plus sombre du rock’n’roll, notamment de l’exploitation des jeunes filles par l’industrie du spectacle. Tout cela a contribué à rendre cette fascination durable chez moi, car il y avait aussi une part d’ombre dans cette musique que j’ai essayé à mon échelle de faire remonter à la lumière. Quand vous avez rencontré les musiciens qui allaient former The Patti Smith Group, vous saviez quelle musique vous alliez jouer ? P. S. : Non, car au départ je cherchais juste une musique assez rythmique sur laquelle je pouvais improviser de la poésie. Je ne voulais pas spécialement faire partie d’un groupe ni écrire des chansons, cela s’est produit un peu par hasard. Je n’étais pas musicienne, j’étais avant tout poète. J’ai débuté en février 1971 accompagnée par Lenny Kaye dans une église de Saint Mark’s Place à Manhattan, mais ce n’est que plus tard que notre relation a vraiment abouti sur des chansons. Votre premier album, Horses, a contribué, à travers sa pochette et sa liberté de ton, à modifier l’image des chanteuses en pleine époque féministe. P. S. : Je ne pensais pas vraiment à ça, j’étais surtout préoccupée par la condition des homosexuels et de leur marginalisation dans la société. Je ne me sentais pas du tout porte-parole des femmes, mon travail n’a jamais été conditionné par le fait que je sois une femme. Quant à cette image de la pochette, qui a tant marqué les gens et à laquelle on fait toujours référence, Robert m’a juste photographiée telle que j’étais à l’époque. Ce sont les fringues que je portais tous les jours, la coupe de cheveux qui était la mienne. Il n’y a pas eu de stylisme avant la photo. Musicalement, vous étiez à la croisée du garage rock des années 60 et du punk, comme un lien entre ces deux époques. P. S. : Oui, vous avez raison, nous avons construit un pont entre ces deux périodes. Avec Lenny Kaye, nous avions à l’esprit qu’il fallait créer un espace nouveau pour les futures générations, et en cela nous étions punks. Mais nous l’avons fait en remettant au goût du jour des chansons des Byrds, de Them, des Who, et en inscrivant nos propres chansons dans cette lignée. Cela s’est fait naturellement, sans réfléchir, en confrontant ma poésie à l’âpreté et l’énergie du rock. Sur scène, vous étiez très extrême. Vous ressentiez le besoin de repousser vos limites ? P. S. : C’était juste ma façon d’être, je n’avais rien à prouver, ni à moi-même ni aux autres. Mon seul but était d’entrer en communication avec les autres et la violence fait partie des moyens de communiquer. Je n’ai jamais eu peur, je n’avais pas conscience du danger. Il m’est arrivé de me faire très mal sur scène, d’en ressortir en lambeaux, mais je n’ai jamais rien calculé. De la même façon je n’ai jamais prêté attention aux ventes de disques, au fait que mes chansons passaient à la radio ou pas, je n’avais et je n’ai toujours qu’un seul objectif, me sentir libre. Dans mes mouvements comme dans mon esprit. 3 Le New York des années 70 était incroyablement créatif. Vous êtes consciente de la chance que vous aviez ? P. S. : La ville était surtout dans un état de décomposition avancée à cette époque, ce qui fut notre chance car on pouvait s’y installer et y vivre pour presque rien. Du coup il y a eu cette génération spontanée de gens extrêmement talentueux dans tous les domaines, qui se sont retrouvés aux mêmes endroits, dans cette atmosphère très particulière, très électrique. Il y avait également des artistes d’autres générations, comme William Burroughs ou Allen Ginsberg, dont nous nous sentions les héritiers et que nous pouvions aborder sans complexe. En 79 vous avez choisi d’arrêter la musique pour vous retirer à Detroit… P. S. : À cette époque, j’ai eu le sentiment d’avoir accompli ma mission dans le rock’n’roll, en ouvrant justement l’espace dont je parlais pour les nouvelles générations. J’ai rencontré Fred Sonic Smith, mon mari, et nous avons décidé de vivre à l’écart de l’agitation qui nous entourait depuis une dizaine d’années. Nous voulions étudier l’art, et faire des enfants, vivre une autre vie qui aura duré jusqu’à la mort de Fred en 1994. Tout quitter ainsi n’était pas une décision facile à prendre, mais je ne l’ai jamais regretté. J’ai arrêté la musique et les concerts mais je n’ai jamais cessé d’écrire, de peindre, de faire de la photo, tout en élevant mes enfants. Ce fut donc une période très productive pour moi. Comment va s’articuler votre Domaine privé ? P. S. : Nous ferons des choses très différentes, des anciennes et des nouvelles, de la musique basée sur l’improvisation et puis des chansons que les gens attendent. C’est la première fois que nous jouerons Horses dans son intégralité. Je vais aussi faire de la musique avec ma fille, qui joue d’ailleurs sur mon prochain album. J’ai envie de proposer des choses que je n’ai jamais faites ailleurs. Notamment pour le concert acoustique, nous travaillons avec Lenny Kaye autour de nouvelles approches de certaines vieilles chansons, et nous en écrivons d’autres spécialement pour cette occasion. Je souhaite que cela soit un moment particulier pour moi comme pour le public parisien. Propos recueillis par Christophe Conte Interview parue dans Cité musiques n° 65 4 lundi 17 janvier – 20H CITÉ DE LA MUSIQUE vendredi 21 janvier – 20h SALLE PLEYEL Patti Smith : Dream of Life Patti Smith & Philip Glass Hommage à Allen Ginsberg Film de Steven Sebring, États-Unis, 2008, 109 minutes Projection suivie d’une rencontre avec Patti Smith. Patti smith, voix et guitare Philip Glass, piano Lenny Kaye, guitare mardi 18 janvier – 20H CITÉ DE LA MUSIQUE samedi 22 janvier – 20h SALLE PLEYEL Picturing Robert Une soirée de poèmes et de musique en souvenir de Robert Mapplethorpe Patti Smith joue Horses Patti Smith, voix et guitare Lenny Kaye, guitare et basse Tony Shanahan, piano et clavier Jay Dee Daugherty, batterie Jack Petruzzelli, basse et guitare Patti Smith, voix Lenny Kaye, guitare Tony Shanahan, basse Jack Petruzzelli, guitare Jesse Smith, piano Mike Campbell, percussions Luca Lanzi, guitare Andreas Petermann, violon jeudi 20 janvier – 20h CITÉ DE LA MUSIQUE Unplugged Dreams Patti Smith, voix Lenny Kaye, guitare Tony Shanahan, basse Jesse Smith, piano Mike Campbell, percussions Luca Lanzi, guitare Andreas Petermann, violon 5 6 samedi 22 janvier – 20h Patti Smith joue Horses Patti Smith, voix et guitare Lenny Kaye, guitare et basse Tony Shanahan, piano et clavier Jay Dee Daugherty, batterie Jack Petruzzelli, basse et guitare Fin du concert vers 21h45. 7 Patti Smith joue Horses Horses est le premier album de Patti Smith, publié en novembre 1975, produit par l’ex-Velvet Underground John Cale et incarné par une pochette signée Robert Mapplethorpe. Vu d’aujourd’hui, trente-cinq automnes plus tard, un tel concentré des mythologies new-yorkaises liées au rock relève toujours de l’illumination. Pourtant, ces premiers galops de jeune sauvageonne lettrée, le regard revêche et la voix sévère, presque douloureuse, Patti Smith les a attendus longtemps. À la sortie de Horses, elle a déjà vingtneuf ans, plus trop de temps à perdre pour étalonner son désir d’artiste sur celui de ses maîtres, Dylan ou même Rimbaud. Du punk balbutiant qui commence à faire trembler les cloisons borgnes des clubs de Manhattan, elle épouse plus volontiers le caractère d’urgence que l’instinct destructeur. Mieux que tout autre, Horses sera le disque pivot entre deux générations, celle de l’idéalisme sixties alors en déconfiture et celle de l’anxiété urbaine qui commence à faire rage. Sa version tout en implosion de « Gloria », le hit de Them qu’elle transfigure en ouverture de l’album, en témoigne, tout comme ce « My Generation » (The Who) désespéré qu’elle reprend à l’époque sur scène. Le studio Electric Lady où il voit le jour, s’il n’avait pas déjà servi en d’autres glorieuses circonstances, aurait pu donner son titre à cet album où une fille s’électrifie en direct comme jamais auparavant. Patti Smith a sans doute eu raison d’attendre, car en emmagasinant une culture littéraire et musicale hétéroclite (folk, Velvet, free jazz, poésie européenne et Beat), elle est à même pour son premier disque d’en fusionner les circuits, creusant entre ces divers continents des galeries qui lui sont propres. Il faut dire qu’elle a eu le flair des bonnes rencontres. Mapplethorpe, évidemment, son « jumeau », mentor et amant de la fin des années 60, qui l’a éveillée à tant de chocs esthétiques. Lenny Kaye ensuite, jeune guitariste qui l’accompagne depuis ses premières lectures de poèmes dans l’église Saint Mark et qui a rassemblé en 1972 la double compilation Nuggets, une sélection affûtée de groupes garage rock sixties qui servira de bréviaire aux punks du CBGB’s. Et puis les autres, Tom Verlaine (futur Television avec lequel elle coécrit « Break It Up »), Ivan Kral, Richard Sohl, Jay Dee Daugherty, Allen Lanier du Blue Öyster Cult, enfin John Cale pour canaliser toute cette agitation fiévreuse et lui donner un son, unique lui aussi. Un an avant Horses, Patti Smith a publié un premier single tiré à 1500 exemplaires, vendu de la main à la main dans les librairies et les disquaires underground de New York contre deux dollars. Déjà conçu dans le ventre de l’Electric Lady, ce 45 tours rend d’abord hommage à l’hôte le plus illustre des lieux, Jimi Hendrix, avec une reprise de « Hey Joe » sur laquelle Patti a déjà brodé, comme elle le fera plus tard pour « Gloria », son propre texte, inspiré par l’enlèvement de Patty Hearst. Sur la face B figure une composition originale, « Piss Factory », en réalité un ancien poème où elle évoque sa jeunesse en usine et le désir qui fut alors le sien de tout plaquer pour se rendre à New York et vivre une vie d’artiste. Le groupe coagulé autour d’elle pour l’occasion a littéralement improvisé une musique tendue comme un arc prêt à rompre. C’est ce « Piss Factory », à la grande surprise des intéressés, qui recueillera au détriment de « Hey Joe » le plus de louanges et conduira 8 samedi 22 JANVIER le label Arista à se pencher sur le cas singulier de cette jeune fille qui a déjà écumé tous les bars du Village, comme Dylan dix ans plus tôt. Passé auparavant par CBS, le patron de Arista, Clive Davis, a signé Janis Joplin et Laura Nyro, ce qui en fait une sorte d’expert en roche volcanique. Depuis la sortie de son single, Patti Smith et son groupe ont partagé l’affiche du CBGB’s pendant plusieurs semaines avec Television. Puis, au cours de quatre soirs de concerts particulièrement électriques dans un autre club, l’Other End, ils ont reçu la visite de Davis, venu pour confirmer l’impression qu’il avait du groupe et préparer un futur contrat chez Arista, ainsi que celle de Bob Dylan, qui franchira anonymement les portes du lieu pour apprécier de visu de phénomène dont tout New York bruissait. Inconnue il y a à peine un an hors des cercles littéraires souterrains, uniquement repérée comme journaliste dans des publications rock comme Creem ou, parfois, Rolling Stone, Patti Smith est alors au bord d’une reconnaissance qu’elle n’avait pas le moins du monde envisagée. Le retour au studio Electric Lady, au cours des premiers jours de septembre 1975, se fait donc par la grande porte. Hormis Lenny Kaye, qui est comme son ombre depuis ses débuts, on trouve auprès d’elle un jeune clavier à la chevelure dégringolant de boucles blondes, Richard Sohl, engagé notamment parce qu’il ressemblait au personnage de Tadzio dans Mort à Venise. Jay Dee Daugherty, garçon moins timide derrière une batterie que dans la vie, et Ivan Kral, guitariste tchécoslovaque recruté par une petite annonce dans le Village Voice, complètent l’attelage de Horses, dont le répertoire est le fruit d’une fusion égalitaire de ces différentes personnalités. Certes, ce sont les mots et la voix de Patti Smith qui lui donnent ce souffle et ce racé incomparable, mais chacun des protagonistes aura amené dans cette aventure commune un peu de son âme et de sa culture. La confrontation des guitares des deux K, Kaye et Kral, provoque notamment une émulsion inédite, le premier ayant été nourri aux convulsions de Lou Reed dans le Velvet Underground, le second appartenant plus volontiers à la filiation blues des Rolling Stones. Les figures aériennes croisées entre la batterie de Daugherty et les claviers de Sohl apportent quant à elles une sorte de support mouvant et corvéable pour la voix souvent divagante de Patti, dont le chant n’est qu’une extension des libertés formelles prises avec les mots lors des lectures de poèmes. L’album s’articulera d’ailleurs entre deux longues pièces jumelles, « Birdland » et « Land », ayant plus à voir avec la poésie chantée qu’avec la chanson de tradition pop. Voilà comment Patti Smith, dans son récent ouvrage Just Kids, évoque les thèmes abordés au cours de ces huit plages houleuses et passionnées : « Dans “Birdland”, nous nous embarquions avec le jeune Peter Reich dans l’attente que son père, Wilhelm, descende du ciel pour le délivrer. Pour “Break It Up”, Tom Verlaine et moi avons écrit sur un rêve dans lequel Jim Morrison, enchaîné comme Prométhée, se libérait soudainement. Dans “Land”, l’imagerie des garçons sauvages se fondait avec les étapes de la mort d’Hendrix. Dans “Elegie”, une remémoration d’eux tous, passés, présents et futurs, ceux que nous avions perdus, ceux que nous étions en train de perdre, et ceux que nous perdrions à la fin. » 9 Ce carambolage fascinant entre la mythologie et les premiers mythes du rock, cette alliance osée de Rimbaud et de Burroughs font de Horses un objet musical impossible à domestiquer. Une chemise blanche achetée à l’Armée du Salut, une cravate dénouée, une veste noire jetée sur l’épaule « façon Frank Sinatra », douze clichés signés Robert Mapplethorpe captureront toutefois la garçonne sauvage aux premières marches d’une gloire qui ne s’est jamais démentie depuis. Christophe Conte 10 L’Association est soucieuse de soutenir les actions favorisant l’accès à la musique à de nouveaux publics et, notamment, à des activités pédagogiques consacrées au développement de la vie musicale. Les Amis de la Cité de la Musique/Salle Pleyel bénéficient d’avantages exclusifs pour assister dans les meilleures conditions aux concerts dans deux cadres culturels prestigieux. Trois catégories de membres sont proposées avec des privilèges réservés : Les Amis • Un accès prioritaire à l’achat de places, 2 semaines avant l’ouverture de la vente aux abonnés, • Un accès à une bourse d’échanges, • Une newsletter par e-mail informant des événements importants de l’Association, • Des places parmi les meilleures, pour tous les concerts, dans la limite des places réservées à l’Association, • Une présentation en avant-première de la nouvelle saison. Les Donateurs • L’accès à des places de dernière minute (jusqu’à 48h avant le concert), dans la limite des places réservées à l’Association, • 2 verres d’entracte offerts par saison, • La participation aux cocktails organisés par l’Association, • La possibilité d’assister à 1 ou 2 séances de travail d’orchestre, • 4 entrées offertes au Musée de la musique. Les Bienfaiteurs • 2 places offertes par saison, à choisir parmi une sélection de concerts, dans la limite des places réservées à l’Association, • 2 cocktails d’entracte offerts par saison, • La mention de leur nom dans les brochures annuelles, • 2 invitations aux vernissages des expositions temporaires du Musée de la musique. Les Amis de la Cité de la musique | Salle Pleyel Association loi 1901 Présidente : Patricia Barbizet | Contact : Marie-Amélie Dupont 252, rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris [email protected] • Tél. : 01 53 38 38 31 • Fax : 01 53 38 38 01 N° Siren 501 242 960 Salle Pleyel | et aussi… VENDREDI 18 FÉVRIER, 20H DIMANCHE 17 AVRIL, 20H DIMANCHE 22 MAI, 20H El cielo de tu boca Dave Holland De Billie Holiday à Édith Piaf Andrés Marín, danse, chorégraphie Première partie : Wynton Marsalis Quintet Carmen Linares, chant Baptiste Trotignon, piano Wynton Marsalis, trompette Llorenç Barber, cloches et polyphonie Mark Turner, saxophone Richard Galliano, accordéon Salvador Gutierrez, guitare Segundo Falcón, chant Seconde partie : Antonio Coronel, percussions Overtone Dave Holland, contrebasse Chris Potter, saxophone SAMEDI 19 FÉVRIER, 18H Jason Moran, piano Eric Harland, batterie Grandes voix d’Inde du Nord Ajoy Chakrabarty JEUDI 21 AVRIL, 20H Rashid Khan Ulhas Kashalkar Fado Mariza SAMEDI 14 MAI, 20H Sylvain Luc & friends Sylvain Luc, guitare Richard Bona, basse André Ceccarelli, batterie Salle Pleyel Président : Laurent Bayle Notes de programme Éditeur : Hugues de Saint Simon Rédacteur en chef : Pascal Huynh Rédactrice : Gaëlle Plasseraud Graphiste : Ariane Fermont Stagiaire : Camille Girard et Delphine Anquetil Les partenaires média Imprimeur FOT |Imprimeur BaF | Licences : 1027391, 1027392, 1027393 Bireli Lagrène, guitare