copyright Indanja.be Vocabulaire de la couleur
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Vocabulaire de la couleur Le cercle chromatique de Johannes Itten est une tentative de rationaliser la couleur. Il existe trois couleur primaires qui sont placées sur la roue chromatique, le rouge, le jaune et le bleu. Elles ne peuvent être obtenues à partir d’autres couleurs. Le mélange de ces 3 couleurs primaires donne le noir. Il y a également trois couleurs secondaires – l’orange, le vert et le violet. Elles sont obtenues en mélangeant deux couleurs primaires (exemple, du jaune et du bleu donnent du vert). Autour de la roue chromatique, il y a six couleurs intermédiaires ou tertiaires. Elles résultent du mélange de couleurs primaires avec des couleurs secondaires (exemple, du jaune et du vert donnent du vert-jaune). copyright Indanja.be Toutes ces couleurs peuvent être mélangées les unes aux autres pour obtenir un nombre infini de variations de couleurs. Ces variations sont communément appelées “nuances“, “tons“ ou “teintes“, tous ces mots ayant une signification légèrement différente – voici une brève liste de terminologie de la couleur. Teinte est simplement un terme technique désignant la couleur. Par exemple, le bleu clair, moyen ou foncé est une même couleur ou teinte – le bleu. A cause de leur intensité, les teintes sont rarement utilisées dans leur forme pure telle qu‘elle apparaît sur la roue. Des variations plus claires ou plus sombres sont utilisées. Ces variations sont obtenues en ajoutant du blanc, du gris ou du noir à une teinte – changeant ainsi sa valeur (c‘est-à-dire son aspect clair ou foncé). Quand on ajoute du blanc à une couleur, le résultat donne un ton pastel, qui est plus clair en valeur que la teinte pure. Quand on ajoute du noir à une couleur, le résultat donne un ton plus foncé, qui est plus sombre en valeur que la couleur pure. Enfin, en ajoutant du gris, le résultat est un ton, plus sourd que la couleur pure. copyright Indanja.be En travaillant avec la roue chromatique, il est possible de créer un nombre pratiquement infini de couleurs. La plupart feront partie de quatre catégories générales, que les experts définissent de la façon suivante : Les systèmes de couleurs monochromatiques n’utilisent qu’une seule couleur. C’est le système le plus facile à comprendre. Il donne un aspect élégant et intemporel. Les systèmes de couleurs adjacents utilisent deux ou plusieurs couleurs voisines sur la roue chromatique. L’une de ces teintes est généralement dominante. Ce système peut souvent être utilisé pour créer une sensation d’harmonie reposante. Les systèmes de couleurs complémentaires (ou contrastées) associent deux couleurs à l’opposé l’une de l’autre sur la roue. Par exemple, la couleur complémentaire du rouge est le vert (obtenu en mélangeant les deux autres couleurs primaires, le jaune et le blue). copyright Indanja.be Souvent, deux couleurs ne sont pas suffisantes pour apporter assez de variété à l’œil. Par exemple, lorsqu’il s’agit d’assortir les meubles et autres accessoires, il est très utile de disposer de plusieurs couleurs s’accordant harmonieusement ensemble.On utilise alors des combinaisons complémentaires séparées (trois teintes) et complémentaires séparées doubles (quatre teintes) qui créent des atmosphères très fortes et intenses. Les systèmes de couleurs triadiques associent trois teintes équidistantes sur la roue. Encore une fois, le principe de base d’une couleur dominante s’applique, mais ce système fonctionne aussi très bien avec les pastels. Couleurs chaudes: couleurs allant du jaune aurouge-violet sur le cercle chromatique, c’est-a-dire: jaune, jaune-orangé, orangé, rouge-orangé, rouge, rouge-violet. Couleurs froides : couleurs allant du blue-violet au jaune-vert su le cercle chromatique Enfin, le noir, le gris et le blanc ne figurent pas sur la roue. C’est parce qu’ils ne sont pas des couleurs au vrai sens du terme. On les appelle des neutres. copyright Indanja.be