24 - Le collège lucien Cézard sur le web
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24 - Le collège lucien Cézard sur le web
Cette semaine à Lucien Cézard ... RepRise des activités de l’UNss Le Monde de Cézard Semaine du 12.09.2016 Bimensuel gratuit 3ème année N°24 5 films qui ont marqué l’été Lire p. 2 QUELS FILMS AVONS-NOUS SÉLÉCTIONNÉ POUR VOUS, LECTEURS ? VOIR PAGES 2, 3 & 4 ! Le chiffre de la semaine Comme l’année dernière, nos rédacteurs ont sélectionné un film qui, pour eux, a marqué la période estivale dont nous sortons… Et nous faisons dans la diversité, car ont été choisis un film de zombies, une comédie comme l’été sait nous en pondre, un film de superhéros (ou de supervilains ?), un film d’horreur et un de science-fiction. Bref, un éventail de possibilités s’offre à vous, et nous vous laissons déambuler au fil des pages… 65000 C’est le nombre d’animaux abandonnés cet été. Un record enregistré par la SPA. UNSS : la reprise Vous avez la passion du sport ? Vous aimez jouer avec vos amis ? Alors rejoignez l’UNSS ! De nombreux sports sont proposés, sur les heures de 1200 à 1300, mais aussi le mercredi après-midi ! N’hésitez plus et demandez plus de renseignements à votre professeur d’EPS ! Éditorial Le Monde de Cézard, troisième année ! Bonjour à toutes et à tous, et bienvenue dans ce premier journal de l’An III. Pour tous les sixièmes qui ne connaissent pas le journal, c’est en gros le journal du collège. Deux fois par mois, nous publions un numéro réunissant des articles en tous genres, des critiques de jeux vidéo, films, musiques ou encore livres & mangas. Il existe aussi une version numérique du journal, disponible à ce lien : http://www.luciencezard.org/?page_id=2425. Cette année, après un été meurtri par des attentats (Nice, le père Hamel), sera marquée par la politique, car nous aurons droit aux primaires à droite (et à gauche ?) en France, à l’élection du président des États-Unis en novembre, et bien sûr aux élections présidentielles en France au mois de mai. Voilà, c’est tout pour cet édito, bonne lecture, et à la prochaine ! – La Rédaction 1 Ils l’ont dit… il y a déjà quelque temps « Ce qu’on fait n’est jamais compris, seulement loué ou blâmé » (F. Nietzsche) Dernier train pour Busan, de Yeon Sang-Ho +++ Busan, c’est le nom de la ville de Corée du Sud qui est encore saine alors que le pays entier est ravagé par des zombies. C’est cette ville qu’aura pour terminus le train KTX. Avant le départ du train, une jeune fille contaminée par un monstre se jette dans le train et s’enferme dans les toilettes. Personne ne l’a remarquée. Elle finit par devenir un zombie à part entière, et le cauchemar va commencer. Les passagers du train vont un à un devenir des monstres. Cependant les héros du film vont tout faire pour arriver jusqu’à Busan sains et saufs. Vont-ils arriver jusqu’à Busan ? Qui seront les survivants ? Le spectateur, toujours dans l’angoisse, se pose constamment ces questions. Yeon Sang-Ho signe ici un huis clos terrifiant, nous attachant aux personnages, au point de redouter plus que tout leur mort. Chaque plan tourné avec les « monstres » (car aucun des personnages ne dit jamais le mot zombie) est terrifiant. On redoute le moindre son, la moindre chose qui pourrait faire que nos héros se fassent repérer par les zombies qui, au fur et à mesure du film, deviennent de plus en plus nombreux. Jusqu’à la fin, le petit jeu d’élimination du réalisateur s’affine. La scène finale, où des personnages (je ne vous dis pas lesquels, par peur de spoiler) essaient tant bien que mal de s’accrocher à une locomotive alors qu’ils sont poursuivis par une horde de zombies est tout simplement magnifique. Plans aériens, gros plan sur les visages aux yeux blancs des monstres, et sur ceux angoissés des humains, contreplongée… Tout y est pour réaliser une scène parfaite. Métaphore de la Guerre de Corée ou tout simplement représentation du pays et même du monde ? Quel opinion voulait faire passer le réalisateur en tournant ce film ? C’est lui seul qui le sait. Quoiqu’il en soit, un message concret résulte de ce film apocalyptique : invasion de zombies ou pas, on n’est rien sans l’entraide. Et ceux qui font preuve d’un égoïsme absolu finissent un jour où l’autre par le payer cher. Ce film est donc une pure réussite et mérite largement un 10/10. – Louis Rubellin Camping 3, de Fabien Ontentiente ++ Quelqu’un qui s’invite aux Flots bleus à cause d’un problème quelconque, qui est censé partir sous peu, puis est obligé de revenir, Patrick qui fait une « leçon » à celui (ou ceux, en l’occurrence) qui est concerné… Bref, un scénario un peu copié-collé sur le premier Camping, sorti dix ans plus tôt. Ce film reste quand même sympa, avec, par exemple, Gérard Jugnot dans le rôle de Jérôme Charmillard, présentateur M6 ou de Michèle Laroque dans celui de sa femme. Bien sûr, on retrouve l’inévitable Jacky Pique (Claude Brasseur) qui « perd la boule » (tout du moins le fait croire) et sa femme Lorette (Mylène Demongeot), Patrick Chirac (Franck Dubosc) et sa crevette, un Patrick qui n’attend cette fois pas sa femme mais sa fille. Paulo (Antoine Duléry), lui, a divorcé de Sophie et, déstabilisé, a passé une nuit dans la boîte nantaise Le Croque-Monsieur, si bien qu’il ne sait plus s’il est hétéro ou homosexuel. Le « 37 » (Laurent Olmedo) travaille désormais pour le camping. En revanche, ne sont plus au rendez-vous Sophie Gatineau (qui a donc divorcé), ni Mme Châtel, remplacée par un homme qui veut faire des Flots Bleus un camping sur le modèle américain. Mais parlons un peu de l’histoire. Patrick s’est lancé dans le covoiturage avec sa R21 Turbo et, au lieu de « Vanessa », qu’il avait choisi sur Bla Bla Car, il tombe sur trois jeunes gens dijonnais : Benji, Robert et José. Ils se quittent à l’entrée d’Arcachon comme prévu. Cependant, le lendemain, alors que Patrick et Paulo discutent sur la plage, ils réapparaissent, proposant un « cocouchage » avec Patrick, car la personne qui devait les loger, Kevin (Mister V) moniteur au Club Mickey, ne peut plus. Patrick accepte et se retrouve avec eux dans la tente. Après Michel Saint-Josse, à eux de goûter aux joies du Benco, de la vaisselle lavée et rangée… Au cours de ce séjour, Benji rencontre la fille de M. Charmillard, Morgane, et en tombe amoureux. Il passera donc plus de temps chez elle (un pavillon du Cap Ferret) que chez Patrick, jusqu’à une scène finale mémorable, contenant un space cake et beaucoup de délire pour terminer sur la démolition à la hache du Cap Ferret par Patrick et le martyre de sa voiture. Pour conclure, ce film n’est pas un raté total (comme son prédécesseur Camping 2, 2010), et je lui décerne la note de 7/10. – Côme Rubellin 2 Une phrase du Chat « Il faut avoir un certain courage pour oser avouer qu’on n’en a pas. » Suicide Squad, de David Ayer ++ Très cher lecteur, bonjour ! Nouvelle année, retour du journal et pour bien commencer, quoi de mieux que de parler du film Suicide Squad. Suicide Squad est un film réalisé par David Ayer sorti en 2016, il est le troisième film du nouvel univers de DC comics après le film Man of Steel et le fameux Batman v Superman. Personnellement, j’ai plutôt bien aimé le film malgré quelques points négatifs : la première chose plutôt mal faite est que le Joker (Jared Leto) ne sert à rien dans le film, malgré les scènes plutôt badass des bandes-annonces ; il n’a presque pas de scènes et ses apparitions sont plutôt inutiles. Le deuxième point négatif est le fait que, à part Harley Quinn (Margot Robbie) et Deadshot (Will Smith), les autres membres du groupe ne sont pas vraiment développés alors que certains sont vraiment intéressants comme, par exemple, l’Enchanteresse (Cara Delevingne, qui postulait au départ pour le rôle d’Harley Quinn) ou encore El Diablo (Jay Hernandez). Pour conclure, certes ce film a quelques points négatifs (dont certains que je n’ai pas dits car sinon ce serait trop long) mais également des point positifs comme, par exemple, des scènes de batailles captivantes et de la très bonne musique, sans oublier certaines répliques qui sont plutôt drôles. Je lui attribue donc un bon petit 7/10 et vous conseille d’aller le voir si ce n’est pas déjà fait ! – Maleaume Hauperpin Lights Out (ou Dans le Noir), Présentation de David F. Sandberg +++ Lights Out est un film d'horreur américain sorti très récemment en France sous le nom de « Dans le noir ». Réalisé et écrit par David F. Sandberg, c'est en fait une adaptation au cinéma d'un court-métrage, du même auteur et du même nom, posté sur YouTube en 2013. Le court-métrage en question, qui ne dure que 2 minutes 41, avait effrayé plusieurs millions d'internautes, ce qui est la principale raison de la réalisation de ce film. On retrouve dans ce film Lotta Losten, une actrice peu connue du grand public, qui avait joué dans le courtmétrage ; elle n'apparaît malheureusement qu'au début du film. Synopsis Sophie vit avec son fils et son deuxième mari, après que son premier époux l'a abandonnée alors que sa première fille, Rebecca, n'était qu'une enfant. Mais la mort de Paul, le second époux de Sophie, vient bouleverser sa vie et celle de son enfant. Sophie sombre très vite dans la folie et Martin, son fils, s'aperçoit qu'elle parle avec Diana, une amie d'enfance. Celle-ci est décédée il y a longtemps dans de terribles conditions. Elle est pourtant visible par Martin et Rebecca. Celle-ci, voyant sa mère dans cet état, s'occupe très vite de son petit frère. Ce n'est que plus tard qu'ils découvrent que Diana n'est présente que dans le noir... Critique personnelle Avant d'aller voir Lights Out, j'ai d'abord voulu me faire une idée du film. Rien que de regarder la bande-annonce, ça ma donné des frissons ! Puis par ailleurs, ça m'a encore plus poussé à aller le regarder, mais bien sûr accompagné. Finalement, après la séance, je n'ai pas du tout été déçu. Le suspens était réellement présent, et contrairement à certains autres films de ce genre, aucune scène ne m'a paru inutile. Je n’étais, au début, pas vraiment enthousiaste à l'idée de ne pas retrouver Lotta Losten tout au long du film, mais ce détail n'a finalement rien changé au fait qu'il ait été effrayant, qu'il s'agisse de la réalisation ou du concept. En effet, j'ai trouvé le concept du film, qui est celui de ne voir l'entité que dans le noir, assez original et réussi. Puis la collaboration entre David F. Sandberg et James Wan (l'excellent réalisateur de « Conjuring : Les dossiers Warren ») a particulièrement fait effet. J'ai aussi beaucoup apprécié de retrouver la même idée de base que dans le court-métrage. Bon, pour conclure, j'ai vraiment aimé ce film car le but était évidemment de faire peur... et ça a marché ! Je vous le recommande clairement tant qu'il est encore en salle. – Adam Abdi 3 Quand les « petits » clubs de foots humilient les « grands » (1/5) Celta Vigo – Barcelone : 4 – 1 (Mercredi 23 septembre 2015) Star Trek : Sans Limites, de Justin Lin ++ Montez à bord du mythique Enterprise pour une tournée dans l'ultime frontière avec Star Trek : Sans Limites ! Star Trek est une série de science-fiction crée par Gene Roddenberry en 1966 ou l'on suit le capitaine James Tiberius Kirk le commandant Spock et son équipage à travers l'espace à la conquête de phénomènes inconnus et de nouvelles civilisations. La série originale se déroule au XXIIIe siècle dans l'ère de distorsion (moyen de déplacement plus rapide que la lumière). La compagnie StarFleet est alors la branche spatiale de l'ONU, branche qui organise les voyages spatiaux. Dans le nouveau film Star Trek Sans Limites (Star Trek Beyond en anglais), l'Enterprise est appelé sur une planète où ils sont pris en embuscade par une race alien, ce qui les oblige à quitter le vaisseau partant en cendres dans l'atmosphère de la planète. Cette race extra-terrestre cherchait sur l'Enterprise une relique permettant la destruction massive de mondes. – Ewen Horville Ce week-end ont été organisées beaucoup de commémorations pour les 15 ans des attentats contre le World Trade Center. Mais que reste-t-il exactement de ces tragiques évènements ? Beaucoup plus de choses que l’on pourrait le croire, finalement. Et, surtout, une génération profondément marquée, pour ne pas dire traumatisée par les attentats. Par la suite, l’émergence de l’État Islamique, finalement une sorte de néoAl-Quaïda, a ancré les années 2010 dans et contre le terrorisme. Le 07 janvier 2015. Le 13 novembre 2015. Le 14 juillet 2016. Toutes ces journées. Toutes ces atteintes aux droits de l’homme les plus fondamentaux. Et désormais pour nous l’obligation de vivre dans cette atmosphère… Une nouvelle sonnerie d’alerte au collège, des entraînements anti-intrusion, des nouvelles formations pour les délégués… Qu’est-ce que notre génération gardera de cette période ? RETOUR DE VACANCES | PAR PHILIPPE GELUCK Directeur de la publication : M. MOREAU | Aide à la Photocopie : Secrétariat Que reste-t-il du 11 septembre 2001 ? Concours de dessin Les concours de dessin reprennent ! Pour les sixièmes qui n’en connaissent pas le principe, vous avez une semaine après la parution du dernier numéro pour donner vos dessins à Hélory MARIONMIRACA, 3°B. La semaine suivante, ils seront affichés en Vie Scolaire, et chacun d’entre vous pourra voter pour son dessin préféré. On recherche des rédacteurs Vous aimez écrire ? Vous voudriez faire découvrir des sujets aux élèves ? Alors rejoignez-nous ! Contacteznous à cette adresse : [email protected] Hommage Nous avons tous été très affecté par le décès d’un de nos camarades. L’équipe du journal soutient de tout cœur la famille de Vincent. Et même si c’est peu, nous laissons noir cet espace, en signe d’hommage. Imprimé par nos soins | Ne pas jeter sur la voie publique Chronique – Louis Rubellin 4