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Petites histoires de la vie Le chanteur est enroué. Pas d'interview parlée. Des questions par e-mail. On se fait documentaliste. Un site internet (www.arpetti.com) existe, avec des extraits de presse, etc. C'est là qu'on découvre qu'à un moment donné Giuliano est devenu Julien, prénom d'artiste plus propice pour évoluer dans la chanson française, surtout si l'on ambitionne de "conquérir des marchés" en Francophonie. Arpetti, l'enseignant, pratique depuis des années et avec un succès grandissant, un art qu'il maîtrise bien et qu'il aime par-dessus tout: la musique. Ces derniers temps, des soutiens inattendus et bénéfiques lui ont permis de franchir un certain palier. Le label luxembourgeois qui a publié son dernier CD, Tonic Music, département de Hagenland Productions, cherche à s'associer avec un partenaire international, afin d'asurer une distribution du CD dans tous les pays francophones du monde entier. Derrière Hagenland Productions, nous avons l'avocat Pol Urbany, musicien amateur passionné qui possède et gère un studio d'enregistrement professionnel à Hagen, d'où Hagenland Productions. Urbany est devenu au fil des ans - ainsi que l'écrit Julien dans le livret du CD - Paolo, l'ami fidèle qui assume à lui tout seul les fonctions de membre de l'orchestre, de producteur et de manager. Tout a commencé avec la chanson Surtout Pas Réfléchir, titre du dernier album. Avec cette chanson, Julien reçut de la SACEM le "prix spécial de meilleur auteur-compositeur", à la suite de quoi il est "approché" par Claude Salmieri, musicien français hyper-professionnel de la scène parisienne, qui a accompagné - à la batterie ou aux claviers - des sommités de la variété française: Cabrel, Berger, Renaud, Magma, etc. Côté luxembourgeois, c'est grâce au directeur de la SACEM-Luxembourg, M. Bob Krieps, que s'établit le contact avec Pol Urbany qui compte passer à la vitesse supérieure, dans des créneaux de plus en plus pros. L'enfant né des efforts conjugués du trio Arpetti-Salmieri-Urbany, est le CD Surtout Pas Réfléchir. La comparaison avec l'enfant ne s'arrête pas là. Les différents titres de son CD sont considérés comme des nouveaux-nés, des bébés; c'est Arpetti lui-même qui propose cette image. Il écrit dans le livret que si lui-même il se considère comme la maman de ces enfants, Pol Urbany n'en était pas moins une deuxième mère, qui aide Julien à soigner, à chouchouter, à élever les enfants jusqu'à ce qu'ils arrivent à marcher tout seuls. Toutes les chansons - sauf Stars Fantômes d'Isabelle Mayerau - sont de la plume de Julien qui signe aussi les arrangements. Après les premières prises au studio luxembourgeois, ce fut le voyage à Paris, au mythique studio de l'avenue de la Grande Armée, avec la participation de musiciens parisiens (Salmieri & Cie). Des opérations délicates de finition ont été effectuées en plus dans des studios anglais et flamands.