FLASH Zone Océan Indien et NTIC

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FLASH Zone Océan Indien et NTIC
FLASH
Publication du Centre de Documentation et d’Information du Conseil Régional de la Réunion - service TIC
Août 2003 (infos 78/79/80)
Tél. : +262 92 29 10 – Fax : +262 92 29 00 – mail : [email protected] - Web : http://www.protel.fr
Zone Océan Indien et NTIC
MAURICE
) AUDIOVISUEL
Multi-Carrier Mauritius Ltd. prête pour le
numérique
Selon l’express du 27 août 2003, Multi-Carrier
Mauritius Ltd. (M.C.M.L.) chargée de la
commercialisation des services hertziens, affirme
être prête à passer au numérique terrestre sur
70 % du territoire. L’opérateur national pour la
radio et la télévision a obtenu l’autorisation de
l’Information and Communication Technologies
Authority (ICTA) de réaliser une deuxième série
de tests en vraie grandeur. Le passage au
numérique terrestre permettra de diffuser deux
chaînes de télévision supplémentaires qui
devraient échoir au privé, ainsi que deux radios
et plusieurs services de données. Cette
technologie permettrait également d’améliorer la
qualité des images. Mais les usagers devront
s'équiper d’une boîte de conversion d’un coût de
100 euros. La transition de l'analogique au
numérique pourrait cependant prendre plusieurs
années. (Correspondant du 31 août 2003).
) INFORMATIQUE
S.A.P. s'installe pour renforcer sa position en
Afrique
L'allemand S.A.P. (informatique et services),
leader dans les solutions informatiques intégrées
pour les grandes entreprises, les PME/PMI et les
administrations, s'est officiellement installé le 23
juillet 2003, en partenariat avec D.C.D.M.
Consulting. (Correspondant particulier, le 25
juillet 2003).
A la recherche de partenaires indiens
Business Parks of Mauritius Ltd (B.P.M.L.),
gestionnaire de la cybercité d’Ebène, poursuit la
commercialisation des bureaux. Elle organise, du
22 août au 6 septembre 2003, en collaboration
avec les opérateurs du secteur privé, avec le
soutien du Software Technology Parks of India
(S.T.P.I.),
une
mission
de
prospection
commerciale qui conduira les participants à
Mumbai, Bangalore, New Delhi et Chennai
(Inde).
Certains types de services seront
particulièrement ciblés : les services financiers
(réclamations, facturation, comptabilité, etc,),
de transcription légales et médicales et de
design. (Correspondant particulier, le 5 août
2003).
Une I.T. Faculty privée dans la cybercité
L’Eastern Training Centre, filiale du collège
privé Basdeo Bissoondoyal College de Flacq,
envisage de s’installer dans la cybercité
d’Ebène. Cet établissement plus que
cinquantenaire dispense actuellement des
cours d’informatique du niveau secondaire.
Elle envisage de créer une I.T. Faculty de haut
niveau. Des discussions ont été ouvertes avec
l’Université de Bangalore (Inde) pour
l’organisation des cours qui seront dispensés
par des Mauriciens ; et éventuellement des
intervenants étrangers. Les examens seront
validés par la Mauritius Examinations
Syndicate. L’investissement est estimé à
665.000 euros. (Correspondant particulier, le
10 août 2003).
) TELECOMMUNICATIONS
Quatorze
candidats
auditionnés
par
l'I.C.T.A.
pour
des
licences
de
télécommunications internationales
Parmi eux, deux opérateurs français présents
à La Réunion : City Call Ltd, filiale d'Outremer
Télécom qui entend prendre 10 % de parts de
marché et XTS Network. L'Information and
Communication
Technologies
Authority
(I.C.T.A.) a auditionné, les 21, 22 et 28 juillet
2003, quatorze opérateurs potentiels (I.C.E.,
I.B.L.,
Gulfsat
Madagascar,
Bowman,
B.P.M.L., Data Communication Ltd, Rogers
Telecom, Mauritius Freeport Development...).
Ces opérateurs demandent une licence dans
le
domaine
des
télécommunications
internationales.
(Correspondant particulier, le 30 juillet 2003).
Le coût de l'interconnexion suscite encore
des remous
En dépit des 15 licences accordées en 2001
aux fournisseurs d'accès à Internet, un seul
opérateur privé fonctionne aujourd'hui. C'est
également le cas pour les nombreuses
licences octroyées depuis janvier 2003 par
PROTEL Flash –“Zone Océan Indien et NTIC” - août 2003
l'I.C.T.A... Le coût de l'interconnexion entre le
réseau de Mauritius Telecom (M.T.) et ces
nouveaux opérateurs (33 sous pour Internet, Rs
5 pour le téléphone) est, malgré les baisses
enregistrées, considéré comme un obstacle à la
mise en œuvre des projets. Ces prix ne font pas
l'unanimité. Ainsi, Emtel et Cellplus, les deux
opérateurs de téléphonie mobile, ont soumis
leurs nouveaux tarifs, le 15 juillet 2003, à
l'Information & Communication Technologies
Authority (I.C.T.A. ). Ils ont été revus à la baisse (
0,75 Re contre 1,22 Re actuellement ) après
celle du tarif d'interconnexion fixé par Mauritius
Telecom en accord avec l'autorité régulatrice.
L'I.C.TA. souhaitait que les nouveaux tarifs
entrent en vigueur au 1er août 2003, tout en se
réservant le droit de proposer des ajustements.
Mais, une nouvelle fois, la date d’application de
ces nouveaux tarifs a été repoussée. M.T. parle
d'une «différence d'interprétation» sur l'analyse
des chiffres qui ont servi à calculer le coût de
l'interconnexion. De ce fait, les nouveaux tarifs à
la baisse de CellPlus et d'Emtel n’ont pas non
plus été mis en vigueur. L'Association des
opérateurs de télécommunications (A.C.T.), pour
des raisons diamétralement opposées, s’est
félicitée de ce report. Elle demande une révision
des coûts d’interconnexion, après consultation
des opérateurs potentiels du secteur.
(Correspondant particulier, le 30 juillet et 5 août
2003).
La 3G en 2004 ?
Meg Pillay, directeur de Mauritius Telecom
(M.T.), selon l'Express du 26 juillet 2003, aurait
confié à un journaliste que M.T. envisage
l'introduction de la 3ème génération de mobile
pour un débit à grande vitesse sur portable. La
3G, grâce à son système sans fil, permettrait de
se connecter de n'importe quel endroit à Internet
et donc de parler, d'envoyer des photos et des
séquences vidéos, de regarder la télévision en
direct, de voir son correspondant... Meg Pillay
estime que M.T. pourrait lancer son projet pilote
3G au 2ème semestre 2004. Mais ces services à
très haute vitesse d'accès à Internet et de
transmission de données, y compris à partir d'un
téléphone mobile, ne peuvent être mis en place
que par des opérateurs disposant de gros
capitaux. (Correspondant particulier, 30 juillet
2003).
Commentaire PROTEL : En France, des licences
UMTS (Universal Mobile Telecommunication System)
ont été attribuées mi-2001 à France Télécom et SFR
et fin 2002 à Bouygues Télécom. Pourtant, la
commercialisation de ces offres pourrait ne pas se
faire avant fin 2004…
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) TIC
Quatre axes de coopération possibles avec
l’Inde
Le président de la National Association of
Software
and
Service
Companies
(NASSCOM), Kiran Karnik, lors d’une
conférence, le 13 août 2003, a ciblé quatre
axes possibles de coopération entre l'Inde et
Maurice dans le domaine informatique. L’île
pourrait servir de base pour la desserte des
pays francophones ; devenir une porte
d'entrée de l’industrie informatique indienne en
Afrique et notamment en Afrique du Sud ; être
un centre de sauvegarde des données. D’autre
part, l’Inde pourrait apporter un soutien à la
formation des techniciens et ingénieurs
informaticiens. (Correspondant particulier, le
15 août 2003).
Un centre d'appels s'implante à Goodlands
D’après l’Express du 6 août 2003, le groupe
Victoria, leader français des centres d'appels,
s'installera en septembre 2003 à St-Antoine
(Goodlands) dans un bâtiment de 1.000
mètres carrés. Le centre d’appels de
Goodlands emploiera 80 à 100 personnes
formées par des employés de l'entreprise
française. Le centre opérera de 11 à 23
heures. (Correspondant particulier, le 10 août
2003).
La connexion de 90% des foyers à l’Internet
d’ici à 2008
Le gouvernement va présenter à l’Assemblée
nationale un nouveau texte de loi, le National
Telecommunications Policy. Il a été élaboré
par le ministère de la Technologie informatique
et des Télécommunications. Il prend en
compte les synergies entre l’informatique,
l’audiovisuel et les télécommunications. Ce
texte circule actuellement pour que chacun
puisse y apporter ses commentaires. Il analyse
les différentes étapes de la mise en place du
secteur des T.I.C. Il fixe également comme
objectifs l’augmentation de la télédensité de 27
à 40% pour les téléphones fixes et de 27 à
50% pour les mobiles d’ici à 2005 ; l’extension
de la connectivité de la bande passante à tous
les serveurs professionnels d’ici à 2006, et la
mise à disposition de la connectivité à haut
débit
à 50% des foyers mauriciens d’ici à
2008. (Correspondant particulier, le 31 août
2003).
PROTEL Flash –“Zone Océan Indien et NTIC” - août 2003
MADAGASCAR
) INTERNET
La stratégie de développement des T.I.C.
entre logiciels propriétaires et logiciels libres
Dans le cadre de sa stratégie de développement
des T.I.C., la Grande Ile est confrontée au choix
du type de logiciels à favoriser : logiciels
propriétaires (Microsoft Word, Excel, etc.) ou
logiciel libre (Linux). En témoigne l’atelier
organisé le 9 août 2003 à Antananarivo sur le
thème «Quelle stratégie pour développer les
logiciels libres à Madagascar ?» Un séminaire
organisé par l’Agence française de la
francophonie
(A.U.F.),
l’université
d’Antananarivo, le PNUD, l’association malgache
des utilisateurs de logiciels libres (A.M.U.L.L.), le
comité d’appui en e-stratégies (M.T.P.C.),
l’association NIC-MG et le ministère de la Poste,
des
Télécommunications
et
de
la
Communication.
Si
économiquement,
l’exploitation des logiciels libres semble
intéressante, elle présente aussi des exigences
en terme de formation. Mais en dernier ressort,
l’utilisation massive de logiciels libres dépend
aussi de la volonté politique. (Correspondant
particulier, le 15 août 2003).
Un réseau interministériel pour le système
éducatif
Un réseau informatique interministériel va être
mis en place par le gouvernement malgache pour
améliorer le système éducatif du pays. Ce réseau
recueillera toutes les informations et données sur
l'éducation. Le ministère de la population
hébergera le serveur central de ce réseau. Ce
programme cofinancé par le gouvernement et le
système des Nations unies est programmé sur
trois ans. Les différents ministères en charge de
l'éducation pourront ainsi accéder facilement et
rapidement aux informations nécessaires à la
prise de décision. Le réseau permettra aussi de
renforcer le partenariat interministériel et de
donner ainsi plus de cohérence aux actions
menées sur le terrain. Cette stratégie a pour but
de réduire l’analphabétisme estimé à 50 % de la
population. (Correspondant particulier, le 10 août
2003).
) TELECOMMUNICATIONS
Distacom et l’Etat confirment la cession de
Telma
Après des négociations très serrées, un contrat
définitif de reprise de Telecom Malagasy (Telma)
a été signé le 26 août 2003 entre le groupe
Distacom et le gouvernement malgache. L'Etat a
cédé les parts de capital (34%) qu’il détenait
dans Telma au groupe Distacom pour 12 millions
d’euros - un prix fixé avec le précédent
gouvernement. Dans le même temps, Distacom a
racheté les 34% que détenait France Telecom
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via France Câble Radio. Le groupe Distacom
détient donc 68% du capital de Telma. Il s'est
engagé à investir 165 millions d’euros sur cinq
ans pour améliorer les services et assurer, en
deux ans, la couverture nationale en
téléphonie fixe. Le contrat protège les droits du
personnel et en échange, Distacom se verra
délivrer une licence de téléphonie mobile. Mais
pour cela, il devra se désengager de
Madacom, l’autre opérateur de téléphonie
mobile. (Correspondant particulier, le 27 août
2003).
) TIC
Partenariat pour le développement des
télécentres
Un accord cadre de financement a été signé le
29 août 2003 entre le ministère des
Télécommunications,
Télécom
Malagasy
(Telma) et la B.N.I. Crédit Lyonnais pour le
développement des télécentres appuyés
financièrement par l'Union internationale de la
télécommunication (U.I.T.). Ceux-ci ont pour
objectif de faciliter l'accès de la population aux
T.I.C.
Trente-deux
télécentres
sont
programmés. Ils sont répartis dans vingt
régions différentes. Ils seront gérés, en
autonomie, par des entités privées.
(Correspondant particulier, le 31 août 2003).
AFRIQUE
) EDUCATION
L’Université virtuelle inaccessible à la
majorité de la population
L’Université virtuelle africaine (U.V.A.), créée
en 1997, a mis en oeuvre près de 3.500
heures de programmes éducatifs suivies par
50.000 étudiants dans 34 centres répartis dans
17 pays. Cependant, les cours dispensés par
ce réseau d’enseignement à distance via le
satellite et Internet restent trop chers pour la
majorité des Africains. Il en coûte en effet deux
mille euros pour bénéficier des cours offerts
par ce réseau d’enseignement à distance, une
somme élevée pour une bonne partie de la
population
estudiantine
d’Afrique
subsaharienne. L’U.V.A. est un organisme
intergouvernemental dont le siège se trouve à
Nairobi (Kenya). L’un de ses objectifs est de
réduire l’écart de savoir entre l’Afrique et le
reste du monde. Elle est financée par plusieurs
bailleurs de fonds comme le Royaume-Uni, le
Canada ou l’Australie. Le 16 avril 2003, le
Canada a annoncé le versement, par l’Agence
canadienne de développement international,
d’une somme de 12 millions d’euros sur les
cinq prochaines années. (Correspondant
particulier, 1er août 2003)
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PROTEL Flash –“Zone Océan Indien et NTIC” - août 2003
) INTERNET
Perspective de développement pour le
commerce électronique
La Conférence des Nations unies pour le
commerce et le développement (Cnuced) estime
à sept milliards d’euros le chiffre d’affaires du
commerce électronique en Afrique à l’horizon
2006 contre 500 millions d’euros actuellement. A
cette même date, le chiffre d’affaires mondial
pourrait atteindre 13.000 milliards d’euros, dont la
moitié aux Etats Unis. L’Afrique du sud, le Maroc,
Maurice, Madagascar, le Kenya, l’Ouganda, le
Zimbabwe et la Tunisie sont en tête de peloton
des pays africains pour l’e-commerce. Les achats
de particuliers sur le Net restent faibles, mais le
commerce professionnel, notamment les achats
de matières premières, progresse. D’après la
Cnuced, de plus en plus d’entreprises africaines
utilisent le Net comme vitrine et échangent par email avec leurs clients. (Correspondant
particulier, le 31 août 2003).
) SANTE
Une expérience de télémédecine au profit des
villages
En Afrique du Sud, comme dans tous les pays du
continent, les médecins spécialistes exercent
presque tous en ville. En attendant un
hypothétique accroissement du nombre de
praticiens spécialisés dans les provinces, un
groupe de médecins, aidé par les coopérations
britannique et suisse a lancé une expérience de
télémédecine. Elle concerne l’hôpital de
Tygerberg du Cap, un des mieux équipés du
pays, et trois hôpitaux de province situés dans un
rayon de 100 à 250 km du Cap. Tygerberg est
équipé d’un centre de réception de diagnostics
ouvert 24 h sur 24. Il dispose, comme les trois
hôpitaux
correspondants,
d’un
ordinateur
puissant, mais courant, d’un écran de 42 cm,
d’un scanner, d’une webcam et d’un moniteur
spécial pour visionner les radios. Chaque fois
qu’ils ont besoin d’assistance, les médecins
communiquent avec leurs collègues de
Tygerberg par mail, par téléphone, par webcam.
Ils échangent ainsi textes, images et radios. Et
arrivent même à soigner à distance des cas de
maladies cardio-vasculaires. Les techniciens
réfléchissent à la simplification des logiciels
d’échange de données. L’Etat envisage déjà
d’étendre ce système très économique à d’autres
hôpitaux. Des pays voisins, dont la Namibie, le
Malawi et le Zimbabwe, espèrent bénéficier à
leur tour de cette expérience. (Correspondant
particulier, le 1er août 2003)
) TELEPHONIE SUR INTERNET
Une menace pour les opérateurs nationaux
L’Afrique vit un paradoxe grâce à la téléphonie
sur Internet : il est devenu plus facile, depuis
quelques grandes villes, de joindre au téléphone
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un correspondant en Europe que de
correspondre avec un pays voisin. Cette
technologie permet dans certains cas de
diviser jusqu'à cinq fois les prix des appels
internationaux proposés par des opérateurs
nationaux. (Correspondant particulier, le 22
août 2003).
ASIE
) TELECOMMUNICATIONS
T-Mobile et B.T. jouent la technologie wi-fi
La filiale de Deutsche Telekom, T-Mobile et le
britannique B.T. ont annoncé, le 23 juillet
2003, qu'ils rejoignaient le singapourien
Starhub, le sud-coréen K.T., China Netcom, le
malais Maxis Communications et l'australien
Telstrason pour le développement des réseaux
wi-fi et de l'itinérance ("roaming"). Les
opérateurs annoncent un investissement
annuel de plus 100.000 euros dans ce
partenariat. Ils vont tester pendant trois mois
des connexions internet haut débit avec de
l'itinérance en Australie, en Chine, en Malaisie
et à Singapour. (Correspondant particulier, le
25 juillet 2003)
IN D E
) TIC
84 % de croissance en dix ans
Le président de la National Association of
Software
and
Service
Companies
(NASSCOM), de passage à Maurice, le 13
août 2003, a indiqué que les revenus de l'Inde
dans le domaine de l’informatique avaient
atteint la somme de 3,1 milliards d’euros en
1998, 10,6 milliards d’euros en 2001/2002. Les
prospectives indiquent que ces revenus
pourraient atteindre 77 milliards d’euros en
2008. Soit une croissance de 46 % entre 1998
et 2001/2002 et de 38 % jusqu'en 2008.
L'industrie informatique comptera alors pour 7
% du Produit national brut (P.N.B.), soit 30 %
des revenus en devises étrangères, après
avoir
créé
quatre
millions
d'emplois.
(Correspondant particulier, le 15 août 2003)
PRATIQUE
) NOUVEAUX SITES
Artisanat équitable africain sur le Web.
http://www.ethnik.org : une ONG française,
dispose d'un site dédié au commerce équitable
d'objets artisanaux africains. Le catalogue
comprend une quarantaine d'articles (poupées,
meubles, porte-documents, porte-savon...).
Ces objets venus tout droit des ateliers
d'artisans sont vendus à des prix permettant
PROTEL Flash –“Zone Océan Indien et NTIC” - août 2003
aux
créateurs
concernés
de
vivre
convenablement de leur production. Ethnik.org
s'adresse aux particuliers et aux entreprises qui
peuvent faire fabriquer cadeaux d'affaires et
objets promotionnels selon les principes du
commerce équitable.
Service « d’e-retrouvailles »
http://www.unitefriends.com : Ce site anglophone
est un « cyber pont » entre les membres des
diasporas d'Afrique australe et leurs proches.
Avec un nom ou un surnom, l'internaute peut
entrer en contact avec un ami, un proche
originaire d'Afrique du Sud, du Zimbabwe, du
Botswana, de la Zambie, de l'Angola, du
Mozambique, du Malawi... En effet, les gens s'y
inscrivent pour établir des contacts, le site
constitue une interface discret dont le service est
payant : cinq euros environ par an.
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NET AT HOME
Du 27 octobre au 31 octobre 2003
Cannes, Mandelieu. Renseignements :
HOMEGA RESEARCH.COM
1240, route des Dolines - BP 287 Valbonne
06905 Sophia Antipolis Cedex – France
Tél. : 04 93 00 15 50- Fax : 04 49 30 01 56
Site web : http:/www.homega-research.com
La littérature du continent sur écran
www.embarquement.net : site web du projet
«Embarquement immédiat» qui met à la
disposition des internautes, depuis juillet 2003,
des livres d’Hilaire Dovonon (Bénin), de Jamel
Ghanouchi (Tunisie), de Moussa Bolly (Mali) et
de Raivoly (Madagascar). Il expérimente ainsi
une démarche nouvelle pour l’Afrique, l’édition de
livres électroniques. L’initiative vient de l’éditeur
belge Luc Pire, connu pour ses démarches
originales.
) MANIFESTATIONS
NET DAYS
Du 17 octobre au 18 octobre 2003
Boulogne-sur-Mer. Renseignements :
C.C.I. de Boulogne-sur-mer
98 Boulevard Gambetta - 62200 Boulogne-surMer – France
Tél. : 03 21 99 62 00 - Fax : 03 21 99 62 01
Site web : http://www.boulogne-sur-mer.cci.fr
SATIS 2003
Du 21 octobre au 23 octobre 2003
Paris - Paris expo, Porte de Versailles.
Renseignements :
REED EXPOSITIONS France (Paris 15ème)
11 rue du Colonel Pierre Avia - BP 571
75726 Paris cedex 15
Tél. : 01 41 90 47 47 - Fax : 01 41 90 47 00
Site web : http://www.reedexpo.fr
Dépôt légal 30.09.03 – ISSN en cours. Directeur de la publication : Guy JARNAC
Service TIC du Conseil Régional - PROTEL
MRST – 100, rte de la Rivière des Pluies – BP 29 – 97408 St Denis Messageries Cedex 9
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